Le moment le plus GLAUQUE de votre vie ?

Le 26 mai 2020 à 08:10:42 sky-speed a écrit :
Les kheys si quelqu'un peut m'éclairer sur cet événement que même près de 10 ans après ne cesse de tourner dans ma tête de temps à autre.

J'avais 10 ans, je venais de me coucher il y a une heure à peu peu près et j'avais mon lit juste en face de la porte de ma chambre. Elle était éclairée par un petit halo de lumière sous la porte, ma sœur avait une grosse veilleuse dans le couloir donc je voyais tout ce qu'il se passait de la porte au pied de mon lit.

Je n'étais pas en train de somnoler ni même d'avoir l'envie de dormir je tournais dans mon lit. Je me redresse pour remettre mon oreiller et au moment où je retourne la tête vers la porte je vois ma mère, debout dans la pénombre les yeux grand ouvert qui me fixe avec un regard que je ne pourrais jamais au grand jamais oublier mes kheys.

Je n'ai jamais eu de sensation d'effroi similaire ni même revu un tel regard. Ma mère n'est pas somnambule, je n'ai jamais fait de rêve conscient/terreur nocturne, elle n'a aucun problème psychologique et ça ne s'est d'ailleurs jamais reproduit. J'étais paralysé, je n'ai même pas réussi à me rallonger j'ai juste fermer les yeux très fort en priant pour qu'elle parte. J'ai fini par m'endormir si crispé qu'au matin j'avais des crampes atroces.

Je ne lui en ai jamais parlé, et je n'ai jamais pu expliquer ce qui s'était passé, elle avait un regard que jamais elle n'a eu dans toute sa vie, rien que d'y repenser j'ai le sang qui se glace.

Si réellement elle semblait étrange, somnambulisme, caillou.
Si certaines personnes sont affectées régulièrement par des crises, il arrive à certaines autre de n'en faire que très rarement, voire une seule fois dans leur vie.

1ère histoire courte :

A l’adolescence, genre 16-17 ans, je vivais dans une région urbaine paisible avec bcp de forêt. On traversait souvent les petites forêts la nuit pour rentrer chez nous sans passer par la route. Le but était de respirer un peu d’air en fumant des j.

Un jour, un pote d’enfance nous raconte que la veille il était rentré tard (4h) en traversant la forêt en mobylette.
D’un coup, il a vu une ombre cachée derrière un arbre surgir et lui mettre un énorme coup au niveau du ventre.

D’après lui avec un très gros rondin de bois sans pouvoir être sur. Il a eu bien mal sur le coup et il était à 1millimetre de tomber.
Il a perdu le contrôle de son 2 roues et s’est mis à zigzaguer n’importe comment.

C’était un mec gentil et un peu à l’ouest, mais pas mytho. Il nous a dit qu’il avait eu tellement peur (quelles peuvent être les intentions d’un mec qui essaie de t’assommer en pleine forêt la nuit?) que tout son corps s’était concentré pour ne surtout pas tomber ou perdre trop de vitesse.
Au final il a réussi à rester sur son 2 roues et il a tracé comme un dératé, sans se retourner et sans jamais savoir qui se vaut voulu le faire tomber.

Le 25 mai 2020 à 01:34:22 DonnyCrado a écrit :

Le 24 mai 2020 à 23:14:41 Mevius67 a écrit :
Je n'ai pas vraiment de moments glauques dans ma tête mais je peux bien vous raconter celle-ci qui m'a bien marquée :
Mon frère et moi, on faisait une sortie dans la forêt quand il y avait de la neige et à un moment donné, on faisait un peu le con et pendant qu'on faisait le con, sans crier gare, il y avait un Monsieur qui nous prenait en photo avec son appareil photo, mon frère m'a fait arrêter de faire le con en me disant de regarder là, on l'a vu nous prendre en photo.
On s'approche de lui, il reste à sa place, on lui demande pourquoi il nous prend en photo, il nous répond que c'est juste pour sa collection personnelle.
Tout le temps durant la sortie, on était sérieux et une fois qu'on fait le con, on se fait prendre en photo par un inconnu. Non mais c'est fou ça !
Pour ceux qui ont des suspicions que cette personne est un pédophile, je doute que non, moi, étant le petit frère, j'avais 15 ans au moment de l'histoire.

J'ai rarement vu quelqu'un s'exprimer aussi mal.

Ah. Mais on comprend au moins ce que j'ai écrit ?

Quand mon beau frère c’est suicidé et juste après ma femme c’est retrouvé en HP a cause de ce suicide...

J’ai pas connu plus glauque et plus dur, style tu vis sur une autre planète.

Le 15 juin 2019 à 20:45:59 astrakos a écrit :
Une fois je me suis masturbé avec la culotte de la mère de la petite fille que je garde, et j'ai été obligé de lui dire parce qu'elle a vu en rentrant depuis la rue que la lumière de sa chambre était allumée et commençait à m'accuser de piquer des trucs

L'élite

Le 15 juin 2019 à 22:49:28 WOLFemil a écrit :
Mon histoire la plus glauque c'est quand j'ai tuer mon chat, sans le vouloir évidemment , je roulais en voiture quand tout a coup j'ai senti un coup, je me suis arrêter et c'était mon chat , il était totalement explosé, je me souviens l'avoir pris dans mes bras pour l’emmener chez le veto le plus proche, quand je suis arrivé a destination, ma vétérinaire que je connais depuis les études (nympho vous allez savoir pourquoi), ma dis qu'il était mort sur le coup, quand j'allais partir elle m'a serrer la bite a travers mon pantalon, ensuite elle ma sucer sur le même plan ou mon chat à été ausculté, quand elle faisait ses vas et viens avec sa nuque je regardais le sachet ou était ma petite boule de poils, j'ai quand même réussis a jouir, j'étais mal, mais bon après cela je suis rentrer chez moi et j'ai dû l'annoncer a ma femme et mon fils. Voici pour l'histoire glauque

Putain j'ai ris comme un con devant mon écran

J'avais 20 ans, je rentrais de soirée seul en noctilien en étant un peu éméché. Un type s'assoit à côté de moi et me tapes la discute. On parle bien, on rigole, et la il me demande si je peux goûter son "mélange spécial" qu'il va amener à une de ces soirées. Soit disant que c'est un cocktail spécial et tout. Et la il me sort une vieille bouteille oasis avec de l alcool dedans.

J'en bois, je lui dis que ça passe, il me demande d'en reboire pour voir si je suis sur. Je rebois. Et la il me pose des questions chelou genre ou j'habite, ou je vais etc...

Je me mefiais toujours pas mais j'ai aps répondu à ses questions. Par contre je parlais bizarre, un peu comme si j avais la machoire était crispée.

Au final je suis descendu à mon arrêt, mais le type est resté dans le bus. Avec du recul je me demande s il avait pas essayé de me droguer à mon insu. Dans quel but ça je ne sais pas.

C’est pas une anecdote qui me concerne mais qui concerne mes grandes deux sœurs.

L’une avait douze ans et l’autre onze ans, au moment des faits.

Alors qu’elles souhaitaient rentrer au bercail, la plus jeune, qui a toujours été un peu casse-burnes, demande à la plus grande de prendre le bus, parce qu’elle est fatiguée de marcher. La plus grande, peut-être trop conciliante, accepte.

Arrivée à l’arrêt, la grande remarque qu’il y a un type louche en face d’elles, vêtu d’un imperméable et le visage dissimulé derrière de grandes lunettes. Il les fixe et semble se frotter l’entrejambe en les regardant. L’ainée sent la patate et convainc la cadette de se barrer.

Le temps de convaincre la petite de se casser, l’autre type mouche a déjà traversé et fais le tour pour les approcher. Mes sœurs ne l’ont pas vu et se dirigent dans sa direction. Arrivées face à elle, il ouvre son imperméable et dévoile son sexe.

Ni une ni deux, ma grande sœur démarre un sprint dans la direction opposée. Mais au bout de quelques mètres, elle sent qu’il n’y a pas de présence derrière elle. Elle se retourne et voit sa petite sœur tétanisée par la peur.

Elle tourne les talons et sprint maintenant vers la cadette. Elle lui saisit le bras et court à nouveau dans la direction opposée en la trainant. Finalement, la petite reprend ses esprits. Elle, qui voulait prendre le bus parce qu’elle se disait « fatiguée », finit par rentrer en courant à toute allure.

Ça m’a fait relativiser sur la différence qu’il y a eu entre nos différences respectives. Les filles tombent souvent sur ce genre de pervers. Moi, ça a du m’arriver qu’une fois et j’étais même pas sûr que le mec était vraiment dangereux ou si j’étais juste parano.

Pas vraiment glauque mais grosse montée de pression après coup

On était parti en vacances avec des potes dans le sud de l'Espagne, 1ere nuit dans la maison qu'on avait louée, on est arrivé vers 18h on avait fait 22h de route... J'avais pas dormis depuis le départ la veille

Je dormais avec un pote dans le même lit (no Homo) noir complet dans la chambre et j'avais des bouchons d'oreilles, aucun sens. Je m'endors et dans la nuit je fais un rêve ou je sens une présence dans la chambre et j'ai la forte impression qu'une personne rentre par la porte a ce moment la. D'un coup je me retrouve à lutter avec quelque chose dans le lit, en réalité je rêvais pas vraiment mais j'étais dans un demi sommeil mais sur le coup je pensais vraiment rêver

Je me retrouve donc à lutter avec ce qui se trouve être mon pote qui dormais avec moi, j'avais chopper ses bras et essayait de prendre le dessus, heureusement mon pote est un dur et il réussi à me gerer, comme je voyais que ça résistait et croyant être dans un rêve lucide (j'en faisais bcp a l'époque) je décide de me sortir de la en lui lâchant des patates dans les côtes... C'est là qu'il me repousse violement et me gueule dessus, je comprends seulement que je ne rêve pas.

Je reprend pleinement conscience et je suis complètement paniqué, je sais pas où je suis,je me casse la gueule du lit pour vite trouver une lumière, ça dure 1min pour la trouver et je prends conscience de ce qui vient de se passer.

Mon pote m'a bien engueulé au réveil mais il avait compris de suite que je dormais quand ça s'est passé donc il a bien géré le truc, on en rigole maintenant

Voilà pour l'histoire, c'est assez flippant, c'était il y a 4 ans et c'était l'unique foi mais ça m'a fait flipper de ce dont on est capable sans en être pleinement conscient

Quand je me suis fait racketter par 3 gars en rentrant du lycée. L'un des 3 m'a demandé mon téléphone, je pense que c'était une blague et je continue ma route

Et là, il me tire par mon sac et me dit que je dois pas jouer au con, et qu'il a un couteau. C'est à ce moment là que tous mes sens étaient en alerte

Du coup je lui ai filé et il m'a fouillé et ils sont partis.

Une vieille en fin de vie dont je m'occupais m'a fait plusieurs fois le coup de galérer de oouuuuuuuuff a se réveiller.
Dans son lit, je venais la réveiller et devais carrément la secouer 10 min pour la faire sortir du sommeil..
La première fois, je rentre dans sa chambre, allume la lumière, pas de moove; gros malaise. Je go à son chevet essayer de la réveiller en parlant et choper sa main (elle était h24 gelée) .. Avant de me décider à empoigner et brusquer un peu ce qui était pour moi un corps mort, y'a eu une bonne minute où je me suis vraiment demandé ce que je foutais là.

Pas de dangers mais putain ce moment chelou..

Le 18 mai 2020 à 17:15:18 Amadeusone a écrit :

Le 18 mai 2020 à 14:33:57 LePourfandeur92 a écrit :
J'etais avec un pote ua tabac (pote depuis 6 mois). En faisant la queue, je vois un magazines sur des affaire criminelles. Le titre c'etait un truc du genre "il tue son chien puis le vi*le". Et la je dis a mon pote "putain ton daron est dans les journeaux" en lui montrant du doigt le magazine. Gros malaise, il ne me répond pas alors qu'il rit de tout d'habitude. Je comprends pas donc j'insiste. Je lui répète la phrase. La il me met une enorme droite au milieu de la queue du tabac, en me criant "mon pere est mort, connard !". Je m'étale complètement sur le stand de bonbon que je renverse, complètement sonner. Je suis ressorti du tabac, et n'y suis plus retourné de ma vie. Je n'ai plus non plus parler a ce pote. Ca aura été notre dernière conversation ce jour la.

Putain
T'aurais pas du t'essayer à l'humour

Le mec est un c**nard
Pourquoi tu serais censé savoir que son père est mort ?

Il y a quelques années j'étais ado, en vacances avec mes parents en Espagne dans une grande ville, notre hôtel était situé dans un immeuble donnant sur une petite rue, dans un quartier assez peu recommandable, mais proche du centre
On rentrait d'un cinéma qu'on s'était fait avec mon père, presques arrivés à la porte de l'hôtel on remarque de l'autre côté de la rue, assise sur le rebord d'un magasin, une femme en robe rouge, la tête dans ses jambes, complètement affalée sur elle-même
Le plus glauque, elle avait une seringue qui pendait sur sa jambe, on a bien compris que c'était une droguée mais c'était d'un grand constraste avec sa fastueuse robe rouge
Mon père a appelé une ambulance avec le réceptionnistes, tout en gardant un oeil sur la femme
Mais 15mn plus tard, alors que l'ambulance arrivait, la femme avait réussi à s'échapper assez discrètement, ce qui était assez surprenant vu l'état dans laquelle elle avait l'air d'être
Les ambulanciers ne l'ont pas cherchée et sont partis bredouilles

En tout cas en tant que jeune homme, voir aussi brutalement les ravages de la drogue dure sur une femme m'a assez marqué
Et surtout l'image de la seringue qui pend Quelque chose qui est resté dans ma mémoire

Le 19 mai 2020 à 02:11:51 El_Samo a écrit :
Je l’avais déjà raconté sur le forum mais je pense pas que c’était sur ce topic.

J’étais encore au collège et on avait dû faire une minute de silence pour des élèves qui étaient décédés dans un incendie.

Ils étaient partis dans un bâtiment abandonné pas loin de mon collège et ils ont eu la mauvaise idée d’y faire un feu, sauf que ce bâtiment était une ancienne usine et qu’il resté des produits inflammables. Le feu s’est répandu dans le bâtiment et les élèves y ont brûlés avec.

Un des jeunes a eu le temps d’appeler son père pour lui dire adieu, ils savait déjà qu’ils étaient condamnés

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