Le moment le plus GLAUQUE de votre vie ?
Le 15 mai 2020 à 17:24:15 Temporairement5 a écrit :
Le 15 mai 2020 à 17:20:15 Temporairement5 a écrit :
Un jour J'ai entendu plusieurs enfants, en pleine nuit, crier et pleurer comme si ils étaient torturésJ'étais dans notre voiture j'ai jamais su où ils étaient
Edit :
Quand je suis allé dans l'endroit où j'ai entendu ça : aucun enfant, juste des adultes qui mangeaient dans un sorte de fast-food d'aire d'autoroute
Pourtant j'ai vérifié très peu de temps après avoir entendu, ils auraient pas pu disparaître comme ça
Gosses violés dans des chiottes d autoroute puis go coffre de voiture
Aire d'autoroute hantée
Le 15 mai 2020 à 17:15:44 Brad_Bird a écrit :
C'est du solide ce topic, dites donc. Certaines anecdotes sont vraiment prenantes.
Par rapport à tout ça, ce que j'ai à dire semble vraiment léger. Parce que bon, il y a eu des moments malaisants dans ma vie, mais rien de vraiment glauque :Quand j'ai compris, je ne me rappelle plus précisément quand, que mon oncle (frère de ma mère) s'était suicidé. Quand j'étais plus petit, on m'avait dit qu'il était mort, mais sans préciser comment. Et un jour, je ne sais plus comment, j'ai appris qu'en fait, il s'était pendu quand il avait 18 ans, quelques années avant ma naissance.
A 16 ans, quand j'étais vraiment au plus mal : mauvaises fréquentations, consommation d'alcool excessive, auto-mutilation.
Quand j'ai salement pété les plombs quelques années plus tard, suite à des soucis d'orientation universitaire. Rien de bien grave ne s'est produit à ce moment, mais c'est plus l'état d'esprit dans lequel ça m'a mis (défaitisme, désespoir).
Quand je me suis retrouvé dans une famille d'accueil infecte à Cordoue en Andalousie, dans le sud de l'Espagne. C'était pour effectuer mon stage de BTS, la situation est relativement dure à décrire. En fait, je faisais mon stage dans l'entreprise du monsieur (Antonio) et j'étais hébergé chez lui, dans sa famille. Et en fait, c'était un deuxième mariage. Il habitait avec sa compagne, Inmaculada, dont il était le deuxième compagnon. Elle avait deux filles adolescentes d'un premier compagnon. Et ces deux dernières ne s'entendaient pas du tout avec Antonio. Et comment le leur reprocher ? C'était un imbécile fini, il était désagréable, pas sympa du tout, et buvait comme un trou. Tout pour plaire... côté Inmaculada et ses filles, ce n'était pas mieux : l'aînée parlait mal à sa mère, était désagréable en plus d'être stupide et particulièrement moche. J'ai accueilli la fin de ce stage avec joie...
Quand je suis sorti avec une iranienne traumatisée par une enfance difficile et complètement folle. Elle s'est montrée odieuse et agressive à mon égard, et m'a dit des choses très méchantes. Je l'ai vite quittée et ai coupé tout contact avec elle.
C'est pas glauque à lire dans le sens où on relève rien d'extraordinaire dans les faits, mais je crois saisir. Par exemple pour le passage en Andalousie, ça mériterait d'être raconté dans le détail pour ressentir ce que toi t'as ressenti, puisque l'intérêt est plus psychologique que factuel.
Je vais chercher dans ma mémoire si j'ai pas une anecdote mais je pense que ça ressemblerait aux tiennes, dans la forme.
En allant au boulot dans le XVe arrondissement de Paris, une vieille femme de 65-70 ans qui m’interpelle en me disant qu'elle est complètement perdue et qu'elle a besoin d'aide.
Moi jme méfie pas, c'est une vieille, je lui demande ce que je peux faire pour elle.
Elle m'explique qu'elle a besoin de 80 euros pour payer son loyer
Direct je lui fais hola mais j'ai pas 80 euros désolé, et elle me lâche pas "y'a un distributeur pas loin vous savez".
Je commence à me barrer et elle me retient par le bras en me disant:
"Si vous voulez, j'habite pas loin on pourrait s'arranger pour les 80 euros"
Ca m'a tellement perturbé jme suis tiré sans rien répondre
Le 09 mai 2020 à 12:35:41 Largitudinal a écrit :
Mes voisins roms dont la daronne se prostituait, moi, dont la chambre était mitoyenne à leur immeuble, entendait chaque soir (et nuit) la daronne se faire gangbanger voire tabasser, et mes parents qui me prenaient pour plus candide que je n'étais et me disaient qu'elle se disputait avec son mec le fils qui se pointait en limousine, des liasses plein les mains, et la fille (sa fille ou sa soeur, jamais trop su) qui trainait dans le quartier à faire les poches ou à se faire draguer alors qu'elle avait même pas 10 ans...
ils se sont fait virer au bout de plusieurs années par le proprio, un marchand de sommeil qui n'entretenait pas l'immeuble à part quelques renovations au noir, mais la fille traine toujours dans le quartier, et est tombée enceinte alors qu'elle avait à peine 15 ans, maintenant elle mendie avec le gosse
Quelle horreur.
Le 15 mai 2020 à 17:21:05 PaulDedalus a écrit :
Le 09 mai 2020 à 18:42:38 kevinlacomete a écrit :
C'etait a une soirée un anniv au lycée , tout ce passe bien on devais être une dizaine on fumer des splif sur le balcon. C'etais chez un pote de mon meilleur pote qui m'avais incruster en douce . A un moment on va tous dans le salon sa pars en jeux d'alcool et 1h après le groupe de meuf commence à être bien bourrer elles se rendent compte qu'une de leur pote est plus dans l'appart elle répond pas au tel . Sur le coup moi j'étais en osef complet je la connaissais pas et on était bien déchirer on reprend la soirée jusqu'à 4 5 h ou les premiers rentre chez eux. La meuf en question c'etais jeter du 5eme ils l'ont retrouver sur le trottoir en ouvrant sortant de l'immeuble. J'ai eu droit a une visite au comico les jours suivent par qu'elle avait bcp de thc dans le sang et ils ont interroger tout le monde ... Plus eu de nouvelle après , je sais juste qu'à la morgue ils ont pas montré le corps aux parentsPutain. Fait chier.
Tu l'avais croisé à la soirée ?
C'est vraiment horrible, ça.
Le 15 mai 2020 à 17:31:51 henrivasavoir a écrit :
En allant au boulot dans le XVe arrondissement de Paris, une vieille femme de 65-70 ans qui m’interpelle en me disant qu'elle est complètement perdue et qu'elle a besoin d'aide.
Moi jme méfie pas, c'est une vieille, je lui demande ce que je peux faire pour elle.
Elle m'explique qu'elle a besoin de 80 euros pour payer son loyer
Direct je lui fais hola mais j'ai pas 80 euros désolé, et elle me lâche pas "y'a un distributeur pas loin vous savez".
Je commence à me barrer et elle me retient par le bras en me disant:"Si vous voulez, j'habite pas loin on pourrait s'arranger pour les 80 euros"
Ca m'a tellement perturbé jme suis tiré sans rien répondre
Ouh la, ah oui, pour le coup c'était vraiment sans ambiguïté sa proposition.
Le 15 mai 2020 à 17:30:08 PaulDedalus a écrit :
Le 15 mai 2020 à 17:15:44 Brad_Bird a écrit :
C'est du solide ce topic, dites donc. Certaines anecdotes sont vraiment prenantes.
Par rapport à tout ça, ce que j'ai à dire semble vraiment léger. Parce que bon, il y a eu des moments malaisants dans ma vie, mais rien de vraiment glauque :Quand j'ai compris, je ne me rappelle plus précisément quand, que mon oncle (frère de ma mère) s'était suicidé. Quand j'étais plus petit, on m'avait dit qu'il était mort, mais sans préciser comment. Et un jour, je ne sais plus comment, j'ai appris qu'en fait, il s'était pendu quand il avait 18 ans, quelques années avant ma naissance.
A 16 ans, quand j'étais vraiment au plus mal : mauvaises fréquentations, consommation d'alcool excessive, auto-mutilation.
Quand j'ai salement pété les plombs quelques années plus tard, suite à des soucis d'orientation universitaire. Rien de bien grave ne s'est produit à ce moment, mais c'est plus l'état d'esprit dans lequel ça m'a mis (défaitisme, désespoir).
Quand je me suis retrouvé dans une famille d'accueil infecte à Cordoue en Andalousie, dans le sud de l'Espagne. C'était pour effectuer mon stage de BTS, la situation est relativement dure à décrire. En fait, je faisais mon stage dans l'entreprise du monsieur (Antonio) et j'étais hébergé chez lui, dans sa famille. Et en fait, c'était un deuxième mariage. Il habitait avec sa compagne, Inmaculada, dont il était le deuxième compagnon. Elle avait deux filles adolescentes d'un premier compagnon. Et ces deux dernières ne s'entendaient pas du tout avec Antonio. Et comment le leur reprocher ? C'était un imbécile fini, il était désagréable, pas sympa du tout, et buvait comme un trou. Tout pour plaire... côté Inmaculada et ses filles, ce n'était pas mieux : l'aînée parlait mal à sa mère, était désagréable en plus d'être stupide et particulièrement moche. J'ai accueilli la fin de ce stage avec joie...
Quand je suis sorti avec une iranienne traumatisée par une enfance difficile et complètement folle. Elle s'est montrée odieuse et agressive à mon égard, et m'a dit des choses très méchantes. Je l'ai vite quittée et ai coupé tout contact avec elle.
C'est pas glauque à lire dans le sens où on relève rien d'extraordinaire dans les faits, mais je crois saisir. Par exemple pour le passage en Andalousie, ça mériterait d'être raconté dans le détail pour ressentir ce que toi t'as ressenti, puisque l'intérêt est plus psychologique que factuel.
Je vais chercher dans ma mémoire si j'ai pas une anecdote mais je pense que ça ressemblerait aux tiennes, dans la forme.
Oui, je vois. Après c'est sûr qu'il ne m'est jamais arrivé rien de vraiment glauque, dans le sens très grave/hors du commun, et encore heureux. Mais j'ai tout de même eu quelques épisodes dont je me serais bien passé.
Sur ce topic, l'histoire de la dame morte en club échangiste est pas mal, si elle est vraie. J'ai d'ailleurs eu une période où je fréquentais moi aussi ce genre d'endroits, pour voir comment c'était. Rien de spécial à signaler, sauf certaines soirées où il y avait des types un peu louches, pas mal de noirs ou des gars qui avaient l'air de venir d'Europe de l'Est et qui parlaient à peine français, c'était bizarre.
Une fois avec mon frère on a surpris le voisin en train de photographier depuis sa fenêtre notre petite soeur qui jouait dans la piscine du jardin avec des copines à elle (7-8 ans).
On l'a dit à nos parents, mon père qui débarque chez lui pour lui refaire le portrait.
Mon père et sa femme qui forcent le mec à donner son appareil photo, ils fouillent, tombent sur des dizaines de photos des mômes du voisinage prises à leur insu.
Mon père qui séquestre le mec dans la propre baraque le temps que la police arrive.
Le voisin qui se fait embarquer devant sa femme et ses enfants qui hurlent et pleurent + tout le quartier qui vient voir ce qui se passe
Le 15 mai 2020 à 18:23:50 Brad_Bird a écrit :
Le 15 mai 2020 à 17:31:51 henrivasavoir a écrit :
En allant au boulot dans le XVe arrondissement de Paris, une vieille femme de 65-70 ans qui m’interpelle en me disant qu'elle est complètement perdue et qu'elle a besoin d'aide.
Moi jme méfie pas, c'est une vieille, je lui demande ce que je peux faire pour elle.
Elle m'explique qu'elle a besoin de 80 euros pour payer son loyer
Direct je lui fais hola mais j'ai pas 80 euros désolé, et elle me lâche pas "y'a un distributeur pas loin vous savez".
Je commence à me barrer et elle me retient par le bras en me disant:"Si vous voulez, j'habite pas loin on pourrait s'arranger pour les 80 euros"
Ca m'a tellement perturbé jme suis tiré sans rien répondre
Ouh la, ah oui, pour le coup c'était vraiment sans ambiguïté sa proposition.
Le 19 avril 2020 à 02:35:26 LordPotato a écrit :
C'était en 2013, je cherchais du taff et du coup je suis allé à une sorte de forum dans un village paumé au pied de l'Alpes d'Huez.
Donc je me rend le matin dans ce village après 1h de bus et là bas je rencontre une meuf avec un style un peu rock et un mec hyper sympa.
On décide de faire la route ensemble à pied parce qu'on été paumés.Il faut savoir que c'est vraiment la caricature du village paumé, avec des paysans, la marie du coin, la petite rivière et l'église.
Donc on marche un long moment et on tombe à un moment sur une Renault super 5 de couleur rouge. Au volant un vieux paysan qui insiste pour nous prendre en voiture.Je suis un peu sceptique mais la meuf et le gars sont ok, donc je décide de suivre.
A partir de là les souvenirs sont un peu flou je suis désolé, mais je me souviens déjà de l'odeur de chèvre dans sa voiture. A un moment on est bloqué dans une ruelle par des travaux et le gars commence à marmonner des trucs puis il se met à péter un câble.
Puis ensuite je me souviens que la meuf à dit un truc du genre "c'est bon, on peut très bien se débrouiller ça ira, merci" et la il lui a dit d'un ton sec et glacial "J'ai dit que je vous emmenez, je vous y emmène" ...Je sais pas pourquoi mais à ce moment j'ai l'image de hannibal lecter qui m'est venue en tête.
Bref, ça jette un froid dans la voiture, on passe les travaux et on commence à rouler.
On arrive dans une intersection et la je remarque qu'il y avec un écriteau en carton accroché à un panneau indiquant la direction du fameux forum...
Evidemment il prend à l'opposé.
J'ai supposé qu'il s'agissait d'une erreur de sa part et du coup je commence à en parler au mec qui était avec moi.
On commence à marmonner entre nous, la meuf qui est entre nous deux commence à paniquer mais je lui dit de pas stresser.A peine après avoir fini de chuchoter entre nous je remarque qu'on arrive à la lisière d'une foret...
Nous étions clairement sorti du village et il nous emmenait droit dans une foret il n'y avait plus aucun doute.Ni une, ni deux on se regarde et on a tous capté qu'il fallait sauter de la voiture avant d'atteindre la foret.
On saute... et on cavale comme jamais.
Au loin on entend le vieux paysan gueuler.On a fini l'après midi à regagner l’arrêt de bus, mais je me demande ce qui nous serait arriver si on avait atteint la foret.
Ça c'est pas mal, dans le genre histoire louche.
Ma salle de sport était ouverte 24/7, donc comme je dors peu la nuit j'aimais bien m'y rendre lorsque je me réveille donc genre à 3h du mat ou alors des truc comme faire de 23h à 2h du sport etc
Et puis ben une fois je sortais de soirée et tout le monde est rentré vers les 2h chez eux et moi j'avais pas envie. Alors je me suis dit Ben je passe chercher chez moi mes affaires de sports et je vais à la salle jusqu à être fatiguée
Et donc je change juste mes talons avec des baskets et je repars,.. Et puis qui dit samedi soir dit forcément jeunes de sorties... Je devais traverser des parkings etc pour arriver a la salle quoi. Et donc j'arrive vers un parking, je vois un groupe de jeunes autours de leur voiture et ils m'appellent etc me font des remarques. Comme j'ai un fort caractère je répond ferme ta gueule et je continue ma route
Un moment je vois qu'ils remontent en voiture certains et d'autres arrivent vers moi à pied. je me dis oh non mais sérieux quoi.. Vous êtes genre 10 je suis toute seule....
Et bref donc je cours et je pars me réfugier dans ma salle de sport, et y'avait le séçu de nuit qui me regarde d'un air chelou en me disant heu ça va t'es toute essoufflée et je répond ouais y'a des mecs chelous qui font les malins et ils m'ont suivis, alors du coup on est resté ensemble jusqu à 7h qu'il finisse son taff et il m'a ramené chez moi en voiture ^^
Et ben après dans le journal on a vu que le soir là y'a eu 3 jeunes qui se sont fait agressé sur ce fameux parking et depuis ils ont mis des caméras etc
Donc je me suis dit que c'était chaud parce que ça aurait pu être moi et 10vs1 j'ai beau savoir me défendre Ben je fais pas le poids... Bref là sur le coup ça paraît pas ouf comme histoire mais genre j'avais trop la haine et en même temps peur quoi
Genre parfois quand je rentrais toute seule quand j'avais pas encore mon permis je mettais un sweet à capuche et je faisais comme si j'étais un mec en parlant avec une voix grave, en crachant etc lol mais vraiment pour pas me faire agresser ou quoi, mais après en hiver c'est simple, en été quand t'es en robe... C'est moins évident. Alors ben j'essayais de trainer avec mes amis au moins jusqu à 6h que le soleil se lève pour pas renter toute seule de nuit
Le 01 mai 2020 à 18:26:35 Tadaykrootoku a écrit :
Quand je vivais encore encore à la campagne dans les Landes, maison pas vraiment isolée mais entouré de bois, un soir d'été notre chien, un bon gros truc, croisé berger des pyrénée, toujours deter, le bon gros chien de garde. Toujours à trainer dehors, c'est un chien qui à vécu comme un vagabond avant qu’on le récupère.
La fenêtre du salon était ouverte, et d'un coup le chien saute dans la pièce complétement paniqué et va se foutre derrière le canapé, qui était contre le mur. Il avait à peine la place de s'y mettre...
Mon père se lève d'un coup, et choppe de suite le fusil qui était dans un râtelier au mur, choppe les munitions et charge deux cartouches (une chevrotine et une brenek) en me disant, y'a quelque chose dehors. (Le daron un alpha de première, était un commando de montagne). Il m'a balancer la carabine 22lr, sorti le gun du coffre, (un beretta, il avait un permis étant tireur), en me disant et je me souviendrais toujours : Si quelque chose bouge à la fenêtre, tu l'allume.
On a laisser passer 5 bonnes minutes, le chien n'avait tjr pas bouger...
Et là, ordre du daron, sortir faire une levée de doute, j'avais 15 piges et je me chiais dessus. On est sorti avec deux grosse lampes torche faire le tour de la maison, rien. Mon père prend la direction du fond du terrain, toujours rien. Aucun bruit en revanche et ça à la campagne c'est flippant quand c'est le silence absolue de nuit...
Bénéfice du doute, on remonte vers la route, mon père ouvre le portail pour aller voir à l’extérieur, et là, il met en joue en me disant : Charge la carabine et rapproche toi de moi !
Il y avait trois lampadaires de merde et je voyais une sorte d'ombre au loin. Il me dit d'allumer la torche dans la direction ou il visait.
Sans déconner, à 200m de nous, dans le faisceau de la lampe, y'avait un truc énorme sur le bas coté de la route, pas un ours, pas un loup (trop gros), ca faisant la taille d'un joli veau. Mon père à siffler, la bestiole s'est retourné, ses yeux brillaient à la lumière. elle à continuer sa route sur un dizaine de mètres, en mode balek de nous et à sauter le fossé pour partir dans les bois...
J'en ai encore des frissons400% nofake
Ça c'est intrigant, comme histoire. Du coup, vous n'avez jamais cherché à savoir ce que ça pouvait bien être, cet animal ? Genre, aller à la gendarmerie rapporter l'incident et voir avec eux si une bête exotique ne s'était pas échappée d'un cirque, ou quelque chose du genre...?
C'était en cinquième il y a pas mal d'années. J'avais fini les cours et je me dirigeais vers la sortie du collège pour rentrer chez moi. En arrivant vers la cour j'ai entendu des dizaines de hurlements de terreur mêlés aux cris des professeurs et surveillants qui disaient de remonter dans les couloirs.
On a fait demi tour et on a attendu que les élèves de la cour remontent pour qu'ils nous expliquent (À l'époque on aurait jamais pensé que ça puisse être un attentat donc on était pas plus effrayés que ça). Un groupe d'amis est arrivé, le regard vide et le visage blanc. La plupart n'arrivaient pas bien à s'exprimer, l'un d'entre eux nous a dit qu'un élève de troisième s'était jeté du quatrième étage et gisait au milieu de la cour, complètement désarticulé. À ce moment là des dizaines de collégiens s'y trouvaient et on tous été témoins de la scène ... Le pauvre gars est mort quelques minutes après la chute alors que le CPE était seul avec lui en attendant l'arrivée des secours. Beaucoup d'élèves ont eu du mal à s'en remettre, le CPE a fait une dépression. La fin de l'année a été un peu sordide
Le 01 mai 2020 à 18:26:35 Tadaykrootoku a écrit :
Quand je vivais encore encore à la campagne dans les Landes, maison pas vraiment isolée mais entouré de bois, un soir d'été notre chien, un bon gros truc, croisé berger des pyrénée, toujours deter, le bon gros chien de garde. Toujours à trainer dehors, c'est un chien qui à vécu comme un vagabond avant qu’on le récupère.
La fenêtre du salon était ouverte, et d'un coup le chien saute dans la pièce complétement paniqué et va se foutre derrière le canapé, qui était contre le mur. Il avait à peine la place de s'y mettre...
Mon père se lève d'un coup, et choppe de suite le fusil qui était dans un râtelier au mur, choppe les munitions et charge deux cartouches (une chevrotine et une brenek) en me disant, y'a quelque chose dehors. (Le daron un alpha de première, était un commando de montagne). Il m'a balancer la carabine 22lr, sorti le gun du coffre, (un beretta, il avait un permis étant tireur), en me disant et je me souviendrais toujours : Si quelque chose bouge à la fenêtre, tu l'allume.
On a laisser passer 5 bonnes minutes, le chien n'avait tjr pas bouger...
Et là, ordre du daron, sortir faire une levée de doute, j'avais 15 piges et je me chiais dessus. On est sorti avec deux grosse lampes torche faire le tour de la maison, rien. Mon père prend la direction du fond du terrain, toujours rien. Aucun bruit en revanche et ça à la campagne c'est flippant quand c'est le silence absolue de nuit...
Bénéfice du doute, on remonte vers la route, mon père ouvre le portail pour aller voir à l’extérieur, et là, il met en joue en me disant : Charge la carabine et rapproche toi de moi !
Il y avait trois lampadaires de merde et je voyais une sorte d'ombre au loin. Il me dit d'allumer la torche dans la direction ou il visait.
Sans déconner, à 200m de nous, dans le faisceau de la lampe, y'avait un truc énorme sur le bas coté de la route, pas un ours, pas un loup (trop gros), ca faisant la taille d'un joli veau. Mon père à siffler, la bestiole s'est retourné, ses yeux brillaient à la lumière. elle à continuer sa route sur un dizaine de mètres, en mode balek de nous et à sauter le fossé pour partir dans les bois...
J'en ai encore des frissons400% nofake
Ou alors, c'était peut-être tout simplement un chien errant ?
Données du topic
- Auteur
- Kheyssuscitay--
- Date de création
- 14 juin 2019 à 22:45:32
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