Le moment le plus GLAUQUE de votre vie ?
Je faisais mes courses tranquille un matin au lidl Ă l'ouverture
Je vois un mec devant les bouteilles de pataya. Vu que je voulais en acheter une je me dirige vers lui, et je le surveille pour le stopper en cas de tentative de vol, c'est lidl quand même ça serait un crime contre l'humanité.
Du coup je m'approche, il semblait hésitant et tout du coup je lui disit :
- Ca va Monsieur ?
Et là il relève sa tête et omg : C'était lui Vu que je maitrise un peu la langue de shakespeare, je lui adressa quelques mots :
- Leo', that is you ?
- Yes, it isn't.
C'était bien lui mais là il me jettûtes un regard qui voulait en dire long : Il voulait passer incognito dans le magasin, d'ailleurs il ne tardit pas à me le dire :''
- Please, i'm anonym in this shopping, don't revelate
LĂ je lui adressa une tape amicale sur l'Ă©paule :
- No problem Leo', have a nice day
Il m'adressa un sourire que je lui rendût et je partis. Mais bon voilà c'est quand même dingue de se dire qui avait Dicaprio au lidl quoi...
Le 16 mai 2020 Ă 09:59:42 FutureSynth a Ă©crit :
C'était en cinquième il y a pas mal d'années. J'avais fini les cours et je me dirigeais vers la sortie du collège pour rentrer chez moi. En arrivant vers la cour j'ai entendu des dizaines de hurlements de terreur mêlés aux cris des professeurs et surveillants qui disaient de remonter dans les couloirs.On a fait demi tour et on a attendu que les élèves de la cour remontent pour qu'ils nous expliquent (À l'époque on aurait jamais pensé que ça puisse être un attentat donc on était pas plus effrayés que ça). Un groupe d'amis est arrivé, le regard vide et le visage blanc. La plupart n'arrivaient pas bien à s'exprimer, l'un d'entre eux nous a dit qu'un élève de troisième s'était jeté du quatrième étage et gisait au milieu de la cour, complètement désarticulé. À ce moment là des dizaines de collégiens s'y trouvaient et on tous été témoins de la scène ... Le pauvre gars est mort quelques minutes après la chute alors que le CPE était seul avec lui en attendant l'arrivée des secours. Beaucoup d'élèves ont eu du mal à s'en remettre, le CPE a fait une dépression. La fin de l'année a été un peu sordide
Dur, ça.
Qd ma prof d anglais polonaise de 3ème me parlait de la Pologne de jaruzelski ou elle se rendait pendant son enfance
Milice (((populaire))) partout (milicja)
Les ZOMOS (Ă©quivalent des CRS Ă chaque coin de rue)
Le SB (ministère de la sécurité publique) vient arrêter leurs voisins en pleine nuit avec la milice et dont on n entend plus jamais parler
Une des rares profs qui votait ouvertement FN
Le 01 mai 2020 Ă 18:26:35 Tadaykrootoku a Ă©crit :
Quand je vivais encore encore à la campagne dans les Landes, maison pas vraiment isolée mais entouré de bois, un soir d'été notre chien, un bon gros truc, croisé berger des pyrénée, toujours deter, le bon gros chien de garde. Toujours à trainer dehors, c'est un chien qui à vécu comme un vagabond avant qu’on le récupère.
La fenêtre du salon était ouverte, et d'un coup le chien saute dans la pièce complétement paniqué et va se foutre derrière le canapé, qui était contre le mur. Il avait à peine la place de s'y mettre...
Mon père se lève d'un coup, et choppe de suite le fusil qui était dans un râtelier au mur, choppe les munitions et charge deux cartouches (une chevrotine et une brenek) en me disant, y'a quelque chose dehors. (Le daron un alpha de première, était un commando de montagne). Il m'a balancer la carabine 22lr, sorti le gun du coffre, (un beretta, il avait un permis étant tireur), en me disant et je me souviendrais toujours : Si quelque chose bouge à la fenêtre, tu l'allume.
On a laisser passer 5 bonnes minutes, le chien n'avait tjr pas bouger...
Et là , ordre du daron, sortir faire une levée de doute, j'avais 15 piges et je me chiais dessus. On est sorti avec deux grosse lampes torche faire le tour de la maison, rien. Mon père prend la direction du fond du terrain, toujours rien. Aucun bruit en revanche et ça à la campagne c'est flippant quand c'est le silence absolue de nuit...
Bénéfice du doute, on remonte vers la route, mon père ouvre le portail pour aller voir à l’extérieur, et là , il met en joue en me disant : Charge la carabine et rapproche toi de moi !
Il y avait trois lampadaires de merde et je voyais une sorte d'ombre au loin. Il me dit d'allumer la torche dans la direction ou il visait.
Sans déconner, à 200m de nous, dans le faisceau de la lampe, y'avait un truc énorme sur le bas coté de la route, pas un ours, pas un loup (trop gros), ca faisant la taille d'un joli veau. Mon père à siffler, la bestiole s'est retourné, ses yeux brillaient à la lumière. elle à continuer sa route sur un dizaine de mètres, en mode balek de nous et à sauter le fossé pour partir dans les bois...
J'en ai encore des frissons400% nofake
Donc ton chien a eu peur et ton père en a immédiatement déduit qu'il fallait que toute la famille sorte armée jusqu'aux dents pour tirer sur tout ce qui bougeait ?
Le 18 mai 2020 Ă 14:33:57 LePourfandeur92 a Ă©crit :
J'etais avec un pote ua tabac (pote depuis 6 mois). En faisant la queue, je vois un magazines sur des affaire criminelles. Le titre c'etait un truc du genre "il tue son chien puis le vi*le". Et la je dis a mon pote "putain ton daron est dans les journeaux" en lui montrant du doigt le magazine. Gros malaise, il ne me répond pas alors qu'il rit de tout d'habitude. Je comprends pas donc j'insiste. Je lui répète la phrase. La il me met une enorme droite au milieu de la queue du tabac, en me criant "mon pere est mort, connard !". Je m'étale complètement sur le stand de bonbon que je renverse, complètement sonner. Je suis ressorti du tabac, et n'y suis plus retourné de ma vie. Je n'ai plus non plus parler a ce pote. Ca aura été notre dernière conversation ce jour la.
Putain
T'aurais pas du t'essayer Ă l'humour
Le 09 mai 2020 Ă 15:36:31 Pre-Alpha a Ă©crit :
Au Vietnam, j'étais avec ma sœur et mes parents j'étais gamin genre 7-8 ans.
On était dans une ville paumé du viet nam près de la baie d'halong, et au loin on voyait une sorte de petite île et mes parents se sont dit que ce serait cool d'aller se baigner là -bas c'était vachement isolé, on a donc demander à une petite vietnamienne qui avait une barque de nous y emmener.
Sur le chemin on voit 5-6 gars plutôt jeune la trentaine, sur une planche enfin un radeau improvisé entrain de ramer avec des pancartes et ils semble nous suivre ou du moins se diriger sur le petit îlot.On arrive là -bas, et on commence à gravir la but pour se retrouver derrière, et la une plage magnifique personne, isolée de tous enfin vraiment l'endroit rêver avec les rochers comme ont peut en voir sur la baie d'halong.
On s'installe moi je cour me jeter à l'eau, tout se passe bien et la tu as les mecs du radeau qui arrive, des mecs tout tatoué vraiment trés trés louche, qui commence à tourner autour de ma sœur et ma mère qui était poser sur la plage, mon pére était un peu plus loin.
La tu as celui qui semblait être le leader du groupe, plus baraqué que les autres avec des cicatrices dont une énorme dans le dos qui approche mon pére.
Eux ont tout de suite compris qui se passait quelque chose, moi j'était tout gamin j'ai rien capté j'était entrain de kiffer dans l'eau.
Donc le mec approche mon pére lui tend la main, mon pére qui a fait l'armée et la guerre lui fait un salut militaire et le salut en lui broyant la main, la les mecs ont commencer à douter un peu, enfin ils ont compris que y'aurait du grabuge.
Donc mes parents en ont profiter pour vite revenir la ou on serait vu mais moi bien sur je voulais pas venir attend c'est trop bien l'eau et trop bonne
Et la mon pére ma poussé une gueulante au loin comme j'ai jamais vu, je suis sortit en courant les rejoindre.
On a passé la bute et y'avais la dame qui nous attendais avec sa barque, on c'est installé et la toute ma famille on ouvert les mains et une pierre est tombé de chacune de leurs mains, c'est la ou j'ai compris que la situation que j'avais vécu était pas normal
Et ce qu'on c'est toujours demander c'est qu'est ce qui c'est dit entre notre accompagnatrice et ces espèces de pirate parce que bien sûr ils sont partit en même temps que nous sur leurs radeau et ils ont parler à la dame et on a compris qu'elle avait répondu par la négativité mais ne parlant pas Vietnamien on a jamais pu savoir de quoi il retournait.
ce coup de parano intense
le mec il a serré la main de ton daron et c'est parti en couille dans sa tête
La définition même de seul avec soi-même.
Plus tu tape, moins tu sors, plus tu cries, moins tu sors.
La soumission est la clef.
Alors quand j'etais en 3e j'avais pas mal de problemes chez moi et je passais la quasi totalité de mes nuits dehors, quitte à dormir sur un banc. Habitant dans un quartier pauvre près de la gare ( Dieu merci ça va mieux aujourd'hui), je passais souvent les nuits la bas, ou dans la cage d'escalier des bâtiments d'A côté.
La gare le soir c'est pleins de SDF, de toxicos et de policiers. mais il y avait un soir oĂą pour une fois on Ă©tait qu'une dizaine dans la zone.
Et en marchant, je croise un homme au trottoir d'en face,avachi sur le trottoir, immobile, capuché, canette de bière renversé.
Je fais du bruits, je l'observe 20mn pour voir si il se réveille mais rien. Les gens passent à côté en le regardant bizaremment mais ne s'arrête pas.
Clairement sa position ne permettait pas de dormir. J'ai pas appelé la police, j'avais 14 ans, je me serais fais embarqué etc puis j'etais un peu paniqué.
Je ne sais pas s'il était mort, ou en coma éthylique ou s'il a fais un malaise. Rien dans les infos au lendemain mais ces incidents étaient fréquents dans la zone.
Cette figure de l'Homme dépourvu et faible, entouré mais pas aidé ma glacé le sang. Il était la, immobile, je voyais bien qu'il n'allais pas bien..
Après y a d'autres anecdotes mais ce serait long
La voir pendant ses crises alterner entre la maison et l'HP pendant des semaines
Je l’avais déjà raconté sur le forum mais je pense pas que c’était sur ce topic.
J’étais encore au collège et on avait dû faire une minute de silence pour des élèves qui étaient décédés dans un incendie.
Ils étaient partis dans un bâtiment abandonné pas loin de mon collège et ils ont eu la mauvaise idée d’y faire un feu, sauf que ce bâtiment était une ancienne usine et qu’il resté des produits inflammables. Le feu s’est répandu dans le bâtiment et les élèves y ont brûlés avec.
Un des jeunes a eu le temps d’appeler son père pour lui dire adieu, ils savait déjà qu’ils étaient condamnés
Je me souviens, j'étais en vacances à Barcelone avec 5 potes à moi. On était sur les ramblas et on cherchait à fond de la weed pour la soirée qu'on allait faire le soir même ou le lendemain. Y'a un mec qui nous accoste, vendeur de base, rebeu qui comprenait rien au français, et même l'anglais limite. Je me décide de le suivre avec 2 de mes potes (2 phasmes )
On suit le vendeur tranquillement dans les rues de Barcelone, pour qu'ils nous amènent à son QG de drogue, et plus on avance, plus on s'éloigne des grandes avenues commerçantes et touristiques et plus on arrive sur des petites rues étroites et lugubres.
On arrive finalement dans une rue en cul de sac, je commençais sérieusement à me poser des questions en me disant "mais si là maintenant on se fait agresser on est morts". On arrive finalement devant une façade louche de chez louche dans ce cul de sac, le vendeur s'arrête devant une porte en bois. Elle s'ouvre et là y'a 2-3 colosses humains qui sortent et qui nous disent de rentrer. Dans ma tête je me dis "wahou mais on va décéder en fait, en plus mes 3 autres potes ne savent pas où on est."
La réflexion se fait en 2 secondes dans ma tête, je me sens prêt à partir en courant mais là mes 2 potes foncent têtes baissées et entrent. A ce moment là , je me dis que je peux pas les abandonner et me barrer
Donc je les suis tel un PNJ, près à finir charcuter et retrouver dans les égouts d'un pays étranger
Quand je rentre, un autre colosse qui était au fond du couloir de l'entrée me dit de fermer la porte en bois derrière moi. Je me dis que c'est fini, que comme un con on a suivi un inconnu dans Barcelone tout ça parce qu'il a prononcé le mot "weed" et qu'on se retrouve cerné par 4-5 colosses dans un couloir dans les rues les plus sombres de Barcelone.
On nous demande de descendre des escaliers, je me dis qu'on allait sûrement finir en mode sadomaso façon pulp fiction avant d'être découper en morceaux
Et finalement en bas, on arrive dans une espèce de salle style boite de nuit, avec un bar, la salle était vide, y'avait juste un mec derrière le comptoir, c'était le dealer en fait. Et quand il nous voit arriver il nous dit en français "bah les gars qu'est ce que vous voulez ? j'ai un peu de tout, vous pouvez goûter avant d'acheter". Le pire c'est que ce dealer en plus d'être français, il était BRETON, tout comme nous
FIN de l'histoire, on a pris notre came et on s'est tiré ni vu ni connu.
Mais je vous avoue que pendant un moment j'ai vraiment eu la peur de ma vie.
Données du topic
- Auteur
- Kheyssuscitay--
- Date de création
- 14 juin 2019 Ă 22:45:32
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