« Le Q.I. c'est de la merde »
J'ai disséqué un à un les articles scientifiques sur le génétique, et c'est pas fameux :
article inaccessible, de toute façon le titre est hors sujet puisque ça parle des non-humains
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S016028961630023X
Traite des chiens, rien sur la différence entre environnement et génétique sur les humains. Cet article est plus une méthodologie pour montrer qu'on pourrait calculer le QI de chiens comme on le pourrait avec les animaux. Intéressant mais hors sujet
https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(14)00677-0
L'intelligence des chimpanzés est héritable. Encore une fois rien ne dit sur l'environnement.
Fun fact mais l'article contredit mot pour mot le propos de l'OP en disant que pour les humains la génétique a peu de place dans l'héritabilité : " It has now become increasingly clear that IQ is heritable in humans, but these effects can be modified by nongenetic mechanisms "
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/016028969290010O
Le mot génétique absolument absent de l'article. De toute façon l'article ne parle pas tant d'intelligence que " d'efficacité neuronale "
Attention avec PubMed, heureusement pour l'OP cet article a été revu. Sinon encore une fois rien à voir, ça s'intéresse au pH. C'est plus l'héritabilité du QI dont il est question mais l'anatomie du QI, un autre domaine proche mais pas le même. La rigueur en science ça compte
Lien mort
Le 02 juillet 2024 à 15:54:44 :
J'ai disséqué un à un les articles scientifiques sur le génétique, et c'est pas fameux :article inaccessible, de toute façon le titre est hors sujet puisque ça parle des non-humains
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S016028961630023X
Traite des chiens, rien sur la différence entre environnement et génétique sur les humains. Cet article est plus une méthodologie pour montrer qu'on pourrait calculer le QI de chiens comme on le pourrait avec les animaux. Intéressant mais hors sujet
https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(14)00677-0
L'intelligence des chimpanzés est héritable. Encore une fois rien ne dit sur l'environnement.
Fun fact mais l'article contredit mot pour mot le propos de l'OP en disant que pour les humains la génétique a peu de place dans l'héritabilité : " It has now become increasingly clear that IQ is heritable in humans, but these effects can be modified by nongenetic mechanisms "
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/016028969290010O
Le mot génétique absolument absent de l'article. De toute façon l'article ne parle pas tant d'intelligence que " d'efficacité neuronale "
Attention avec PubMed, heureusement pour l'OP cet article a été revu. Sinon encore une fois rien à voir, ça s'intéresse au pH. C'est plus l'héritabilité du QI dont il est question mais l'anatomie du QI, un autre domaine proche mais pas le même. La rigueur en science ça compte
Lien mort
RIP l'OP
Le 02 juillet 2024 à 15:54:44 GusFrimousse a écrit :
J'ai disséqué un à un les articles scientifiques sur le génétique, et c'est pas fameux :article inaccessible, de toute façon le titre est hors sujet puisque ça parle des non-humains
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S016028961630023X
Traite des chiens, rien sur la différence entre environnement et génétique sur les humains. Cet article est plus une méthodologie pour montrer qu'on pourrait calculer le QI de chiens comme on le pourrait avec les animaux. Intéressant mais hors sujet
https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(14)00677-0
L'intelligence des chimpanzés est héritable. Encore une fois rien ne dit sur l'environnement.
Fun fact mais l'article contredit mot pour mot le propos de l'OP en disant que pour les humains la génétique a peu de place dans l'héritabilité : " It has now become increasingly clear that IQ is heritable in humans, but these effects can be modified by nongenetic mechanisms "
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/016028969290010O
Le mot génétique absolument absent de l'article. De toute façon l'article ne parle pas tant d'intelligence que " d'efficacité neuronale "
Attention avec PubMed, heureusement pour l'OP cet article a été revu. Sinon encore une fois rien à voir, ça s'intéresse au pH. C'est plus l'héritabilité du QI dont il est question mais l'anatomie du QI, un autre domaine proche mais pas le même. La rigueur en science ça compte
Lien mort
Ayyaaaaaaaaaaa
Perso j'ai même pas pris la peine de lire les études de l'op car je sais que c'est du bullshit biaisé, toutes les études dans ce domaine sont très propices aux biais
Le 02 juillet 2024 à 15:39:34 Wowfan] a écrit :
Utiliser un rasoir d'Ockham pour justifier la carte des QI
petit rappel quand même https://osf.io/preprints/psyarxiv/26vfb
Je ne « justifie » pas la carte des Q.I. Réessaie.
Sinon, tu dis que les "gains causés par un entraînement, sont modestes", mais tu ne prends pas en compte l'un des principaux problème de ce genre de test: ils sont adaptés à des cultures spécifiques. Un occidental aura de par son éducation, de meilleurs résultats à certains types d'épreuves, et de moins bons résultats à d'autres (en quelque sorte son mode de vie constitue en lui-même un entraînement).
Aucun rapport avec la comparaison entre groupes. Ici, je m'intéressais aux différences entre individus. Les différences entre les cultures du monde n'ont rien à voir là-dedans. Le fait est que beaucoup de gens critiquent les tests de Q.I. car on peut s'entraîner pour améliorer son score, et donc que ce serait un indicateur médiocre de l'intelligence ; une critique qui n'a pas beaucoup de sens, compte tenu de ce que j'y ai répondu.
Les tests de QI permettent d'avoir une vague idée des variations cognitives au sein d'une population ayant le même héritage socioculturel, mais pas de hiérarchiser les civilisations puisqu'ils sont développé avec un point de vue occidental.
Le fait que les fonctions cognitives soient inter-corrélées n'est pas une « création » occidentale, mais plutôt une découverte valide chez tous les peuples humains, et même chez certains mammifères. On peut tout à fait adapter les tests aux cultures africaines, par exemple, et mesurer le facteur g des populations d'Afrique. Mais en effet, il n'est pas forcément pertinent de comparer un Européen du XXIe siècle avec un chasseur-cueilleur Khoïsan dans leurs environnements respectifs.
Tu prétends aussi que le QI est à peu de choses près statique au cours de la vie. Ce n'est pas ce que j'avais entendu (https://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/qi-rien-n-est-joue-jusqu-a-20-ans-21-10-2011-1387688_57.php). Bref ya aussi des études qui montrent qu'un changement de milieu socio-économique induit des variations importantes dans le qi des enfants, mais flemme de les retrouver.
Les scientifiques n'ont toujours pas tranché à quel point le qi est influencé par la génétique, mais à te lire on pourrait croire qu'il est le facteur déterminant.
Faux.
Il est maintenant communément admis que la part génétique joue un rôle dès la petite enfance et augmente au fur et à mesure du développement. Le phénomène est documenté (« effet Wilson ») et j'en parle dans la partie n°4. Il n'y a même plus de débat sur cette question : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4739500
La source médiatique que tu cites se base sur une étude de… 33 personnes !
D'ailleurs, les experts dans le domaine de l'intelligence sont plutôt sceptiques quant au traitement médiatique du sujet. On se demande pourquoi.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0160289619301886
Je ne peux m'empêcher de penser qu'une grande partie de ceux qui réfutent le consensus scientifique sur la mesure du Q.I. sont des personnes qui on fait le fameux test; et qui ont eu un résultat décevant.
Ils souhaitent donc se convaincre que ce test ne signifie rien, plutôt que de s'avouer à eux-mêmes qu'ils ont un Q.I. dans la moyenne ou médiocre (ce qui n'est pourtant pas si grave)
Lien mort
Premier véritable article avec un lien avec l'héritabilité du QI. Dommage pour l'OP l'article est bloqué donc il nne l'a sûrement pas lu, on peut donc rien en faire. Dommage c'était une review, je vais peut être demander l'accès plus tard pour enterrer l'OP
Effet de l'iodine, un produit chimique, sur le QI des enfants. Rien à voir avec le sujet. génétique absent de l'article
Je l'attendais, le fameux article des jumeaux. Rien à dire qui n'a pas été dit : article dont la méthodologie a été critiquée et défoncée. La conclusion remet en question le propos de l'OP en étant bien plus mesuré.
pubmed, pointe vers PsycNet, aucun accès
L'article dont vient les chiffres de l'OP. PubMed disclaimed, on a les chiffres mais pas d'article. L’article vient de Cambridge, le sample est très bas, très nuancé
De toute manière l'article n'a pas d'accès
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9549239
Exactement les mêmes cas précédents
https://www.ncbi.nlm.nih.ih.gov/pmc/articles/PMC3182557
Lien mort
L'article sur l'effet Wilson, dommage ça contredit explicitement l'OP en mettant en avant la part de l'influence environnementale. Plusieurs erreurs de méthodologies mises en avant par l'article lui même, notamment sur une baisse de l'héritabilité à 60 ans qui contredit l'article.
https://www.nature.com/articles/mp2014105
Contredit explicitement l'OP, encore une fois beaucoup plus nuancé que ce qu'il prétend :
" Intelligence is associated with education and social class and broadens the causal perspectives on how these three inter-correlated variables contribute to social mobility, and health, illness and mortality differences. "
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0160289613000226
ne contredit pas le lien entre effet flynn et facteur g, ça dit juste que l'effet flynn n'explique pas la différence entre les groupes sociaux
Bon, pas besoin de lire en profondeur l'article pour voir que ça contredit l'OP, j'ai glissé à la conclusion et voici :
As in the earlier review, the pattern of averaged correlations is remarkably consistent with polygenic theory. This is not
to discount the importance of environ-mental factors; monozygotic twins reared apart are far from perfectly corre-
lated, dizygotic twins are more similar than other biological siblings, and adoptive parents' IQ's demonstrate a consist-
ent relation with the IQ's of their adopted offspring. Although the data clearly suggest the operation of environmental
effects, we found no evidence for two factors sometimes thought to be important-sex-role effects and maternal effects. That the data support the inference
of partial genetic determination for IQ is indisputable; that they are informative about the precise strength of this effect is dubious. Certainly the large amount of unexplained variability within degrees of
relationship, while not precluding attempts to model the data, suggests that such models should be interpreted cautiously.
En gros : l'OP est explicitement contredit, la review dit qu'on peut pas absolument pas dire que la génétique est prodiminante sur le facteur environnementale, et comme d'hab dans la littérature sur la mesure de l'intelligence ça finit par " attention ce genre de données est à traiter avec mesure ", tout ce que ne e fais pas l'OP
Conclusion : l'OP a envoyé une liste de liens qui contenaient 3 liens morts, 4 articles sans lien avec l'intelligence humaine, d'autres articles qui parlent d'anatomie du QI mais pas de génétique, une review (assez bonne, allez la lire) qui le contredit explicitement, des liens pubMed inacessibles et en alert, et un article sur l'effet Wilson qui est intéressant et mesuré
en bref, ce qu'il dit ne vaut rien. c'est un loser et un imbécile.
Pas besoin de lien pubmed pour dire qu'il a pas plus de 50 de QI
Le 02 juillet 2024 à 15:17:39 :
Le QI c'est de la merde, t'es juste le fruit de ton environnementSujet clos
Dans Bouchard (2013), on peut lire que “l’héritabilité du QI atteint une asymptote d’environ 0,80 à l’âge de 18-20 ans et se maintient à ce niveau jusqu’à l’âge adulte”.
Cela correspond effectivement aux nombres calculés pour le QI dans plusieurs études : 83% (Jacobs et al., 2007), de 71% à 87% pour plusieurs pays développés (Wright et al., 2001), de 73% à 85% (Edmonds et al., 2008).
Panizzon et al. (2014) estime l’héritabilité du facteur g d’intelligence générale à 86%.
Le problème avec le sujet du QI c'est que c'est désormais un débat entre science essentialiste politiquement incorrecte et wokisme construviste, comme le témoigne le belge que je viens de citer.
https://www.nber.org/papers/w27053
J'ai bien aimé une étude à ce sujet. Les petits-enfants des élites pré révolutionnaires chinoises ont retrouvés leurs avantages sociaux après la fin de l'ère Mao
Comme quoi le socialisme n'a rien pu faire face à la persistance des gènes. Il y a une corrélation entre QI et richesse. https://academic.oup.com/esr/advance-article/doi/10.1093/esr/jcae020/7658521
Sinon super topic l'auteur.
Le 02 juillet 2024 à 16:16:45 :
GusFr, je suis plutôt de ton avis sur le sujet, mais tu admettras que puisque que c'est un sujet glissant c'est évident que les chercheurs seront EXTRÊMEMENT précautionneux dans le choix de leur mot voir même pendant l'étude, ne poussant pas vers les directions qui pourraient invalider certains théories dominantes
Même sans parler du fond, c'est normal qu'un sujet soit soumis à caution puisqu'on est pas dans le consensus mais dans la littérature
De manière générale, balancer un tas énorme d'articles pour prouver un propos c'est douteux, quand on sait tout ce qui se passe dans les journaux à comité de lecture. Par exemple là je pourrais te prouver avec des articles Nature que les trous noirs primordiaux n'existent pas en théorie des cordes. Qu'est ce que ça prouve ? Rien
la bonne méthode est de prendre des reviews. Pas cinquante, une ou deux review suffisent. Prendre aussi des travaux qui ont survécu à la ré-expérience (absolument pas l'expérience des jumeaux, donc)
Ensuite, tu fais attention avec tes propos
C'est tout ce que ne fait pas l'OP : balance plein d'articles dont plein de liens morts et/ou inaccessibles, a une posture péremptoire et très peu nuancée
Le 02 juillet 2024 à 16:20:01 :
Le 02 juillet 2024 à 15:17:39 :
Le QI c'est de la merde, t'es juste le fruit de ton environnementSujet clos
Dans Bouchard (2013), on peut lire que “l’héritabilité du QI atteint une asymptote d’environ 0,80 à l’âge de 18-20 ans et se maintient à ce niveau jusqu’à l’âge adulte”.
Cela correspond effectivement aux nombres calculés pour le QI dans plusieurs études : 83% (Jacobs et al., 2007), de 71% à 87% pour plusieurs pays développés (Wright et al., 2001), de 73% à 85% (Edmonds et al., 2008).
Panizzon et al. (2014) estime l’héritabilité du facteur g d’intelligence générale à 86%.
Le problème avec le sujet du QI c'est que c'est désormais un débat entre science essentialiste politiquement incorrecte et wokisme construviste, comme le témoigne le belge que je viens de citer.
Relis les pages précédentes, tu as besoin de ta brisure toi aussi
parle pas de politique dans la science quand c'est exactement ce que vous faites avec le QI, les droitardés
https://www.nber.org/papers/w27053
J'ai bien aimé une étude à ce sujet. Les petits-enfants des élites pré révolutionnaires chinoises ont retrouvés leurs avantages sociaux après la fin de l'ère Mao
Comme quoi le socialisme n'a rien pu faire face à la persistance des gènes. Il y a une corrélation entre QI et richesse. https://academic.oup.com/esr/advance-article/doi/10.1093/esr/jcae020/7658521
Sinon super topic l'auteur.
Le 02 juillet 2024 à 16:03:07 :
Le 02 juillet 2024 à 15:39:34 Wowfan] a écrit :
Utiliser un rasoir d'Ockham pour justifier la carte des QI
petit rappel quand même https://osf.io/preprints/psyarxiv/26vfbJe ne « justifie » pas la carte des Q.I. Réessaie.
Sinon, tu dis que les "gains causés par un entraînement, sont modestes", mais tu ne prends pas en compte l'un des principaux problème de ce genre de test: ils sont adaptés à des cultures spécifiques. Un occidental aura de par son éducation, de meilleurs résultats à certains types d'épreuves, et de moins bons résultats à d'autres (en quelque sorte son mode de vie constitue en lui-même un entraînement).
Aucun rapport avec la comparaison entre groupes. Ici, je m'intéressais aux différences entre individus. Les différences entre les cultures du monde n'ont rien à voir là-dedans. Le fait est que beaucoup de gens critiquent les tests de Q.I. car on peut s'entraîner pour améliorer son score, et donc que ce serait un indicateur médiocre de l'intelligence ; une critique qui n'a pas beaucoup de sens, compte tenu de ce que j'y ai répondu.
Les tests de QI permettent d'avoir une vague idée des variations cognitives au sein d'une population ayant le même héritage socioculturel, mais pas de hiérarchiser les civilisations puisqu'ils sont développé avec un point de vue occidental.
Le fait que les fonctions cognitives soient inter-corrélées n'est pas une « création » occidentale, mais plutôt une découverte valide chez tous les peuples humains, et même chez certains mammifères. On peut tout à fait adapter les tests aux cultures africaines, par exemple, et mesurer le facteur g des populations d'Afrique. Mais en effet, il n'est pas forcément pertinent de comparer un Européen du XXIe siècle avec un chasseur-cueilleur Khoïsan dans leurs environnements respectifs.
Tu prétends aussi que le QI est à peu de choses près statique au cours de la vie. Ce n'est pas ce que j'avais entendu (https://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/qi-rien-n-est-joue-jusqu-a-20-ans-21-10-2011-1387688_57.php). Bref ya aussi des études qui montrent qu'un changement de milieu socio-économique induit des variations importantes dans le qi des enfants, mais flemme de les retrouver.
Les scientifiques n'ont toujours pas tranché à quel point le qi est influencé par la génétique, mais à te lire on pourrait croire qu'il est le facteur déterminant.Faux.
Il est maintenant communément admis que la part génétique joue un rôle dès la petite enfance et augmente au fur et à mesure du développement. Le phénomène est documenté (« effet Wilson ») et j'en parle dans la partie n°4. Il n'y a même plus de débat sur cette question : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4739500La source médiatique que tu cites se base sur une étude de… 33 personnes !
D'ailleurs, les experts dans le domaine de l'intelligence sont plutôt sceptiques quant au traitement médiatique du sujet. On se demande pourquoi.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0160289619301886
Ouille :
Although environmental effects have a major impact (see Finding 2), the salient environmental influences do not make siblings growing up in the same family similar. The message is not that family experiences are unimportant but rather that the relevant experiences are specific to each child in the family. This finding was ignored when it was first noted (Loehlin & Nichols, 1976) and controversial when it was first highlighted (Plomin & Daniels, 1987a, 1987b), but it is now widely accepted because it has consistently replicated (Plomin, 2011; Turkheimer, 2000). The acceptance is so complete that the focus now is on finding any shared environmental influence (Buchanan, McGue, Keyes, & Iacono, 2009), for example, for personality (e.g., Matteson, McGue, & Iacono, 2013) and some aspects of childhood psychopathology (Burt, 2009, 2014).
Le QI mesure une forme de vivacité intellectuelle basée sur la reconnaissance de motifs, l'épreuve des synonyme travaille légèrement plus l'intelligence "profonde" mais surtout l'équivalent de la RAM chez l'humain
Il est très biaisé par la vision occidentale puisque développés dans ces contrées
Bon, c'est le dernier message auquel je répondrai. Il y a trop de monde qui raconte n'importe quoi et je n'ai pas envie d'y passer tout mon temps.
Le 02 juillet 2024 à 15:54:44 :
J'ai disséqué un à un les articles scientifiques sur le génétique, et c'est pas fameux :article inaccessible, de toute façon le titre est hors sujet puisque ça parle des non-humains
L'article est accessible via https://sci-hub.ru ; raté.
Ce n'est pas hors-sujet. Je source l'affirmation que je fais au début, à savoir que l'on peut trouver un facteur g chez certains mammifères.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S016028961630023X
Traite des chiens, rien sur la différence entre environnement et génétique sur les humains. Cet article est plus une méthodologie pour montrer qu'on pourrait calculer le QI de chiens comme on le pourrait avec les animaux. Intéressant mais hors sujet
Normal, puisque c'est un article qui montre, comme je le dis dans l'introduction, qu'il existe un facteur g chez les chiens.
https://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(14)00677-0
L'intelligence des chimpanzés est héritable. Encore une fois rien ne dit sur l'environnement.
Fun fact mais l'article contredit mot pour mot le propos de l'OP en disant que pour les humains la génétique a peu de place dans l'héritabilité : " It has now become increasingly clear that IQ is heritable in humans, but these effects can be modified by nongenetic mechanisms "
Je n'ai pas entendu parler de ces fameux « mécanismes non génétiques » qui seraient à l'œuvre. Peut-être l'épigénétique ? Sinon, comme on n'a pas de proportion donnée, difficile d'affirmer que « la génétique a peu de place dans l'héritabilité ». Ta rigueur est sélective.
Après vérification, les sources renvoient vers des articles qui se penchent sur l'effet Scarr-Rowe, à savoir le fait que l'héritabilité est moindre dans les strates sociales les plus défavorisées, tandis que le plein potentiel environnemental est atteint dans les strates sociales les plus favorisées, et donc c'est majoritairement la génétique qui départage. Ça ne contredit absolument pas ce que j'ai écrit.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/016028969290010O
Le mot génétique absolument absent de l'article. De toute façon l'article ne parle pas tant d'intelligence que " d'efficacité neuronale "
L'efficacité neuronale (vitesse de conduction des neurones, plus précisément) est associée à l'intelligence, et donc au Q.I. Quelle surprise.
Là encore, j'ai mis cette source car j'affirme qu'il y a un lien entre vitesse de conduction des neurones et Q.I. Chacune de mes affirmations est sourcée, sans nécessairement que ça prouve l'ensemble de ce que je raconte dans mon message. Il faut voir ça un peu comme un puzzle, en quelque sorte.
Attention avec PubMed, heureusement pour l'OP cet article a été revu. Sinon encore une fois rien à voir, ça s'intéresse au pH. C'est plus l'héritabilité du QI dont il est question mais l'anatomie du QI, un autre domaine proche mais pas le même. La rigueur en science ça compte
Je me répète, mais j'ai mis cette source car j'affirme qu'il y a un lien entre Q.I. et pH cérébral dans l'introduction. Je ne prétends pas que chaque article montre que le Q.I. est héritable. Ici, ça concernait donc le lien entre Q.I. et certains paramètres biologiques du cerveau.
Le mot « génétique » est peut-être absent, mais es-tu capable de me citer un seul effet environnemental qui impacterait le pH cérébral ?
Lien mort
Il y a parfois des petits problèmes avec les liens trop longs sur JVC. Le vrai lien : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2678742 (si jamais ça ne marche toujours pas : « Positive association between cognitive ability and cortical thickness in a representative US sample of healthy 6 to 18 year-olds »)
En fait je pense que l'OP ne lit pas ses propres articles, car juste avant dans le même article :
Although heritability estimates are significantly greater than 0%, they are also significantly less than 100%. As noted above, heritabilities are substantial, typically 30% - 50%, but this is a long way from 100%. Again, we are unable to find any exception in which the heritability of a behavioral trait is near 100%. This is not a limitation of the methods because some traits, such as individual differences in height, yield heritabilities as high as 90%. However, it should be noted that behavioral traits are less reliably measured than physical traits such as height and error of measurement contributes to nonheritable variance. Many others have noted that no traits are 100% heritable (e.g., Plomin, 1989; Turkheimer, 2000).
j'ai même pas besoin de chercher en plus, j'ai juste à cliquer sur ses propres sources, c'est magnifique
Le 02 juillet 2024 à 16:28:39 :
En fait je pense que l'OP ne lit pas ses propres articles, car juste avant dans le même article :Although heritability estimates are significantly greater than 0%, they are also significantly less than 100%. As noted above, heritabilities are substantial, typically 30% - 50%, but this is a long way from 100%. Again, we are unable to find any exception in which the heritability of a behavioral trait is near 100%. This is not a limitation of the methods because some traits, such as individual differences in height, yield heritabilities as high as 90%. However, it should be noted that behavioral traits are less reliably measured than physical traits such as height and error of measurement contributes to nonheritable variance. Many others have noted that no traits are 100% heritable (e.g., Plomin, 1989; Turkheimer, 2000).
j'ai même pas besoin de chercher en plus, j'ai juste à cliquer sur ses propres sources, c'est magnifique
Personne ne prétend que l'héritabilité du Q.I. est de 100%. Je ne perdrai pas mon temps avec tes hommes de paille. Tu peux continuer de spammer mon topic si tu veux.
Données du topic
- Auteur
- Aryabhata
- Date de création
- 23 juin 2024 à 21:25:34
- Nb. messages archivés
- 236
- Nb. messages JVC
- 228