[PAVAX] L'éducation nationale, usine à esclaves.
Tes pavés sont brutaux et incisifs mon bon khey mais, déjà obsolètes je le craint.
En effet, tu décris l'école de mon (notre?) enfance (je suis de 95), déjà bien médiocre mais toujours moins délabrée que l'actuelle.
Tu ne mentionne pas que les élèves actuels sont les engeances de la fin de génération 80, début 90, qui a vraiment subit des transformations de société majeurs: Ils sont nés dans le fameux tournant de la rigueur, ont acquis leur majorité lors des attentats de 2001, ont vécu leurs premières années professionnelles durant la crise 2008...
Leur angoisse s'est naturellement transmise à leur progéniture qui elle a eu dans les mains un outil dévastateur des 5 ans: internet.
Parlons des smartphones qu'on refile aux gamins de 3 ans pour avoir la paix, parlons du harcèlement et de l'anxiété générés par les réseaux sociaux (quelle appellation fausse et détestable), parlons du porno, parlons des influenceurs Twitch qui incarnent le mode de vie rêvé par toute une génération, le cul vissé sur un fauteuil gaming à jouer à fortnite en vrai, nojoke genre.
J'en viens à penser que notre génération (85-2000) est la dernière pouvant redresser la situation. On a eu des parents post-boomer ayant encore un semblant de valeur (hérités par leurs enfance douce dans les 30 glorieuses), ils n'ont pas versé dans le cynisme de la génération X. On a eu une enfance sans internet jusqu'à nos 15 ans.
En dépit de notre conformisme a la doxa, on est plutôt redpilled sur les bienfait du vivre ensemble : a nos 18 ans on a eu Mohamed Merah, puis Charlie Hebdo, Bataclan, nice... Ça va on a compris
Bref c'est confus mais grâce à ton topax, j'ai pu cerner l'origine de mon aversion du boulot (ingesclave bien douillet en dépit de ent's) et de mon train fog constant.
Hâte de lire la suite
Tes pavés sont brutaux et incisifs mon bon khey mais, déjà obsolètes je le craint.
En effet, tu décris l'école de mon (notre?) enfance (je suis de 95), déjà bien médiocre mais toujours moins délabrée que l'actuelle.
Tu ne mentionne pas que les élèves actuels sont les engeances de la fin de génération 80, début 90, qui a vraiment subit des transformations de société majeurs: Ils sont nés dans le fameux tournant de la rigueur, ont acquis leur majorité lors des attentats de 2001, ont vécu leurs premières années professionnelles durant la crise 2008...
Leur angoisse s'est naturellement transmise à leur progéniture qui elle a eu dans les mains un outil dévastateur des 5 ans: internet.
Parlons des smartphones qu'on refile aux gamins de 3 ans pour avoir la paix, parlons du harcèlement et de l'anxiété générés par les réseaux sociaux (quelle appellation fausse et détestable), parlons du porno, parlons des influenceurs Twitch qui incarnent le mode de vie rêvé par toute une génération, le cul vissé sur un fauteuil gaming à jouer à fortnite en vrai, nojoke genre.
J'en viens à penser que notre génération (85-2000) est la dernière pouvant redresser la situation. On a eu des parents post-boomer ayant encore un semblant de valeur (hérités par leurs enfance douce dans les 30 glorieuses), ils n'ont pas versé dans le cynisme de la génération X. On a eu une enfance sans internet jusqu'à nos 15 ans.
En dépit de notre conformisme a la doxa, on est plutôt redpilled sur les bienfait du vivre ensemble : a nos 18 ans on a eu Mohamed Merah, puis Charlie Hebdo, Bataclan, nice... Ça va on a comprisBref c'est confus mais grâce à ton topax, j'ai pu cerner l'origine de mon aversion du boulot (ingesclave bien douillet en dépit de ent's) et de mon train fog constant.
Hâte de lire la suite
Merci d'avoir lu mon crayon. Je suis aussi de la décennie 1990 et comme tu le dis notre génération est médiocre mais moins délabrée que l'actuelle, sans aucun doute.
On a vécu un petit peu de l' "ancien monde", avant l'omniprésence des réseaux sociaux, avant l'omniprésence et normalisation du porno, avant les attentats de 2015... même si le monde partait déjà en couilles, on a eu un cadre sécurisant que les jeunes d'aujourd'hui n'ont pas eu.
On a été brièvement protégés de toute cette merde, on a vécu un semblant de vie normale, d'enfance innocente et insouciante, qui est fondamental pour se construire correctement, sans trauma.
Je ne parle pas de tout cela, ici, parce que j'essaye de me focaliser sur l'école, et l'école seulement. Comme tu peux le voir, les dégâts qu'elle arrive à occasionner sont déjà gigantesques, alors en ajoutant les RS, le porno etc. ça devient une force régressive très, très inquiétante.
Et je suis tout à fait d'accord sur l'idée qu'on est la dernière génération à pouvoir redresser la situation. Les gen X sont désabusés, ils ont capitulé depuis longtemps ou se sont soumis au système. Les boomers sont dans une autre planète et déjà un pied dans la tombe. Les gen Z et suivantes se sont fait abrutir en masse par les RS et ne connaissent pas l'ancien monde, ils n'ont pas de point de comparaison.
Et ce que je vois de plus en plus, c'est l'extrémisme se développer dans cette génération Z. Extrémisme dans tous les sens : gauche, droite, wokisme... cette génération manque cruellement de repères, de mesure, de bon sens. Mais ce n'est pas de sa faute, on a bousillé son enfance par toutes les raisons évoquées sur ce topic, plus les dégâts des réseaux sociaux : anxiété générale, troubles de concentration, troubles de la personnalité (oui les RS provoquent des troubles de la personnalité, lire La civilisation du poisson rouge), troubles du sommeil...
Plus le chaos du monde en général, et plus particulièrement le covid, qui a été une horreur absolue. Cette période aura sa partie dédiée sur ce topic.
Bref, on est les derniers à pouvoir redresser la barre. Je suis un optimiste et je pense qu'on va le faire. Ca va prendre du temps, on s'y mettra peut être à 50 ans, mais on va finir par reconstruire un peu tout ce bordel. Parce que c'est notre rôle générationnel (nous sommes "les enfants du troisième tournant", lire le livre "Le Quatrième Tournant" ou voir la vidéo youtube de Michel Drac).
Le tout c'est de résister et de s'accrocher à ces bouts d'optimisme et de valeurs que les boomix nous ont transmis en dépit de son double vote Macron et sa quintuple dose Pfizer.
7) La discrimination contre les garçons
Sur 10 élèves en grande difficulté, il y a 7 garçons pour 3 filles.
En moyenne, les garçons représentent plus de 80 % des élèves punis et des redoublants.
56% des étudiants dans le supérieur sont des femmes.
86% des filles ont le bac, pour 76% de garçons.
A l’entrée en sixième, 87 % des filles font preuve d’une maîtrise « satisfaisante » ou « très bonne » du français à l’écrit, contre seulement 79 % des garçons.
En 2020, 93,6 % de filles ont réussi le brevet des collèges pour 87,5 % des garçons.
Qu'est-ce qui explique tout cela ?
Il faut déjà comprendre que, à l'époque, on distinguait clairement l'éducation des filles et l'éducation des garçons.
Les pédagoges ont voulu casser ce modèle traditionnel. Ils ont misé sur la mixité, comme si le sexe n'avait aucune importance : il fallait nier le genre, comme si on était tous des chiffres neutres, des individus égaux. Ainsi, on pourrait réduire les stéreotypes sexuels.
Une négation totale de la biologie.
Quelle est cette biologie ? Les filles ont une maturité plus précoce que les garçons, et cette maturité est marquée biologiquement. Les filles sont beaucoup plus adaptables (et parlons CASH, plus conformistes) que les garçons.
La mixité, plutôt que réduire ces stéréotypes, les a bien renforcés. Comment est-ce possible ? Eh bien, aussi étonnant que cela puisse paraître, c'est lié à l'immigration.
Pour comprendre cela je vais tout simplement vous laisser un paragraphe de La Farique du Crétin 2 :
Les enseignants savent tous - encore qu’ils le disent en général à
voix basse - que les filles réussissent mieux que les garçons. JeanLouis Auduc, éminent spécialiste du sujet, a publié en 2009 un petit
livre stimulant, Sauvons les garçons, après avoir constaté que non
seulement les résultats des petits mâles sont systématiquement
inférieurs à ceux des jeunes filles, mais que de surcroît les deux tiers
des cent cinquante mille « décrocheurs » qui abandonnent le
système scolaire en fin de troisième sont des garçons. Des proies
faciles pour tous les petits boulots dégradants et les petits trafics. Il a
réitéré en 2018 avec École, la fracture sexuée. Il avait entre-temps
identifié la source du problème : sur ces cent cinquante mille
décrocheurs, les trois quarts sont issus de l’immigration maghrébine
et subsaharienne.
Récapitulons : il y a 150 000 descos en 3ème, dont les 2/3 sont des garçons. Sur ces 2/3 de descos garçons, 3/4 sont des maghrebix.
Or comme vous le savez, les maghrebix sont plus susceptibles de se faire laver le cerveau par des islamstes et autres idéologues radicaux. Ce n'est même pas une question de QI, mais d'origines, d'appartenance culturelle.
Quand nous avons vu la favorisation de l'extrémisme religieux, je n'ai pas mentionné un détail, quelque chose qui est très important ici : les élèves radicalisés seront toujours des garçons.
Le 20 janvier 2023 à 04:23:59 :
Le 20 janvier 2023 à 04:15:51 :
Tu dis ça comme si t'avais réussit pas vie ta pas trop ton mot a dire tes juste un célestin sur jvc a 4 h du matMerci de fournir une démonstration pour le topic. Comme vous pouvez le constater, ce spécimen ne parvient pas à aligner 2 mots, il écrit approximativement ce qui lui vient dans sa tête, et on arrive à peine à en soustraire une signification cohérente.
C'est une belle preuve des dégâts de la méthode semi-globale et du pédagogisme idéologique. Les crétins en deviennent incapables d'exprimer une insulte simple. Et dans sa tête, il a probablement une répartie de fou.
Aya la réponse parfaite. Le first transformé en clown.
Au surplus de tout ce qu'on a traité dans la partie 5), il faut indiquer une autre cause de la radicalisation : la majorité des enseignants sont des femmes, 68,3% dans l'Education nationale, allant jusqu'à 82% en primaire. Il est beaucoup plus facile pour une fille de s'identifier à son enseignant et le prendre comme modèle. Les garçons manquent ainsi de repère masculin.
A cette absence de repère masculin s'ajoute le wokisme, le féminisme forcé dans la tête des enfants, un féminisme qui va vouloir les culpabiliser, les rabaisser. Les garçons se sentent oubliés, méprisés, et ils voient bien que les filles s'en sortent mieux et ont des facilités dans tous les domaines.
Evidemment Brighelli n'en parle pas, mais sur ce forum on connaît bien le privilège féminin au XXIème siècle. Je n'ai pas besoin de développer sur ce point je pense.
Bref, les islmistes et autres tarés vont profiter de cette frustration masculine pour remplir la tête des petits avec de la merde.
L'extrémisme a donc pour conséquence de renforcer les stéréotypes sexuels, et rabaisser la femme au niveau d'un objet. Ce rabaissement s'explique, au fond, par la frustration que génère une société qui méprise les hommes et leur est hostile dès le plus jeune âge.
Cette discrimination est d'autant plus dangereuse que les hommes sont généralement plus violents que les femmes. Il est plus facile de les instrumentaliser à des buts terroristes ou violents en général : trafic de drogue, vandalisme, petite délinquance, et pour les whites intégration de groupes extrémistes et actions violentes contre x groupes
Flemme de lire étant un produit de ce système mais j’espère que tu as parlé des dégâts du féminisme dans l'éducation, cette aversion pour toute forme de violence dans l'éducation, l'adversité et la hiérarchisation en ligne de mire.
Système qui a rendu les petits garçons inaptes au monde, coupé de leurs moteurs biologique avec un bilan qui s'assombrit d'année en année.
Le 20 janvier 2023 à 04:52:40 :
Le 20 janvier 2023 à 04:35:04 :
Frank Lepage - Inculture-sRoland Gori - La fabrique des imposteurs
Regarde ca l'auteur et dis moi ce que t'en penses, je repasserais demain sur le topic.
Ce sont des critiques de gauche du système éducatif et je devine a te lire que ce n'est pas ton bord politique mais ca m'intéresserais de savoir ce que tu penses de ces deux conférences qui sont des sortes de pamphlets mais ne rentrent pas dans les cadres clichés (style "woke" etc) que peut-être tu as sur la gauche.Bref, je repasse demain pour echanger si tu les as vues.
Je vais regarder ça mais je n'ai pas de parti pris à droite où à gauche. Les deux camps ont bien contribué à détruire la nation.
Mais c'est vrai que la gauche m'est particulièrement détestable, car elle suce régulièrement le Pouvoir tout en se présentant comme le camp du bien révolutionnaire. Au moins la droite est sincère, il n'y a pas de doutes sur la marchandise.
C'est marrant parce que moi je t'ai tout de suite classé à droite, et que je pense que c'est la droite qui suce le pouvoir (puisqu'elle est y est, au pouvoir), et à mon avis, les menteurs, c'est la droitards quand la gauche est camp du réel.
Mais je pense que tu as un pastiche de la gauche en tête, à tout hasard, le PS ou Merluche.
Le 03 février 2023 à 03:45:49 :
Flemme de lire étant un produit de ce système mais j’espère que tu as parlé des dégâts du féminisme dans l'éducation, cette aversion pour toute forme de violence dans l'éducation, l'adversité et la hiérarchisation en ligne de mire.Système qui a rendu les petits garçons inaptes au monde, coupé de leurs moteurs biologique avec un bilan qui s'assombrit d'année en année.
Je comprends, les pavés sont très longs. Je viens de parler du féminisme avec la discrimination contre les garçons (les filles réussissent mieux à l'école). Sur la violence j'en ai parlé dans le pavé sur le harcèlement
En ce moment je post un pavé sur la discrimination des garçons, pourquoi beaucoup sont en échec scolaire.
Dans un futur pavé je parlerai de l'inaptitude et incompétence des élèves en général, car l'école ne leur apprend rien de concret
Le 03 février 2023 à 03:47:02 :
Le 20 janvier 2023 à 04:52:40 :
Le 20 janvier 2023 à 04:35:04 :
Frank Lepage - Inculture-sRoland Gori - La fabrique des imposteurs
Regarde ca l'auteur et dis moi ce que t'en penses, je repasserais demain sur le topic.
Ce sont des critiques de gauche du système éducatif et je devine a te lire que ce n'est pas ton bord politique mais ca m'intéresserais de savoir ce que tu penses de ces deux conférences qui sont des sortes de pamphlets mais ne rentrent pas dans les cadres clichés (style "woke" etc) que peut-être tu as sur la gauche.Bref, je repasse demain pour echanger si tu les as vues.
Je vais regarder ça mais je n'ai pas de parti pris à droite où à gauche. Les deux camps ont bien contribué à détruire la nation.
Mais c'est vrai que la gauche m'est particulièrement détestable, car elle suce régulièrement le Pouvoir tout en se présentant comme le camp du bien révolutionnaire. Au moins la droite est sincère, il n'y a pas de doutes sur la marchandise.
C'est marrant parce que moi je t'ai tout de suite classé à droite, et que je pense que c'est la droite qui suce le pouvoir (puisqu'elle est y est, au pouvoir), et à mon avis, les menteurs, c'est la droitards quand la gauche est camp du réel.
Mais je pense que tu as un pastiche de la gauche en tête, à tout hasard, le PS ou Merluche.
Je crois que ces discussions gauche-droite ne sont plus d'actualité, le pouvoir est de centre, il est là juste pour nous baiser tous.
La droite a le défaut d'être berné par la mythologie libérale. La gauche étant bernée par la mythologie socialiste. Les deux sont obsolètes car le système s'imposant actuellement est de nature néo-féodale.
Pour moi le débat n'est pas droite VS gauche, mais plutôt entre néo-féodaux (camp des nouveaux Seigneurs) et modernes (encore et toujours le Tiers-Etat).
Cela étant dit, j'ai effectivement une aversion particulière pour la gauche. Déjà, les pédagogistes (que je dénonce tout au long du topic) sont très souvent de gauche. Ensuite, la gôche a eu le monopole des médias pendant longtemps et a promu les délires wokes. Elle a provoqué une infinité de problèmes avec l'immigration de masse. Elle ne se remet jamais en question, elle croit toujours être dans le camp du bien et des gentils. Bref, détestable
Le 03 février 2023 à 03:52:22 :
Le pyj illetré qui sert de cobaye en première page, je pleure putain
Le 03 février 2023 à 03:54:22 :
Bon sinon g pa lu ce n'est pas un sujet qui me fascine mais l'op que penses-tu de l'utilisation encadrée de la violence à des fins éducatives ?
On peut très bien éduquer un enfant sans le violenter physiquement. Et c'est l'idéal à mon avis.
Mais il y a certains gosses (surtout adolescents) problématiques qui ont besoin d'une bonne baffe. Je ne parle pas de ne pas avoir fait ses devoirs, mais d'être un harceleur, commettre des petits délits, dealer, etc. Ces ados là ne vont comprendre qu'une chose, la violence physique. Car ils n'ont jamais intégré la notion de hiérarchie, et son corollaire : le respect.
Donc certains cas très spécifiques justifient la violence, mais dans l'idéal, il faudrait éduquer le gamin sans le frapper. Tout en lui apprenant à se défendre bien entendu
Le 20 janvier 2023 à 04:23:59 :
Le 20 janvier 2023 à 04:15:51 :
Tu dis ça comme si t'avais réussit pas vie ta pas trop ton mot a dire tes juste un célestin sur jvc a 4 h du matMerci de fournir une démonstration pour le topic. Comme vous pouvez le constater, ce spécimen ne parvient pas à aligner 2 mots, il écrit approximativement ce qui lui vient dans sa tête, et on arrive à peine à en soustraire une signification cohérente.
C'est une belle preuve des dégâts de la méthode semi-globale et du pédagogisme idéologique. Les crétins en deviennent incapables d'exprimer une insulte simple. Et dans sa tête, il a probablement une répartie de fou.
J'ai hurlé
Bon, j'ai lu tout mais beaucoup de passages en diagonale. Sur ce topic là je vais pas être très d'accord.
Sur la pédagogie déjà, je trouve que tu la caricatures, l'enseignement très martial qu'on a eu et qu'on a encore en partie à l'école est bourré de défauts selon moi, et laisser à l'enfant une grande autonomie d'apprentissage, ou de découverte des savoirs, me paraît pas stupide. C'est juste une question très compliqué parce qu'il s'agit pas de laisser à l'enfant une liberté absolue (et c'est sans doute impossible de toutes manières), mais de le laisser évoluer avec autonomie dans un cadre qui favoriserait le bon développement (j'peux te renvoyer à André Stern pour mieux cerner c'que j'essaie de dire).
Pareil pour c'qui est enseigné ideologiquement, se débarrasser du mythe de la nation, de l'Histoire (romancée, en opposition à l'histoire sans majuscule, la vrai histoire) c'est plutôt positif. Le truc qui me dérange moi, c'est que si t'es honnête, faut bien t'en prendre à l'éducation mus aussi qui est aussi absurde et coercitive que la notre.
Bon j'ai pas fait de point par point et j'ai lu très vite donc j'ai pas tout retenu mais globalement, bien que j'suis d'accord sur le constat que ça va pas (mais ça c'est tout l'monde je pense), j'suis pas trop avec toi sur le reste.
L'école, pour faire très très vite, c'est d'abord une usine de formatage pour les enfants, pour en faire les adultes qu'on veut qu'ils soient (pas des gens dotés de sens critiques donc, évidemment), c'est un endroit pour berner la population et faire croire à l'égalité des chances et faire intérioriser aux prolos l'idée de méritocratie, c'est aussi tout simplement un moyen de garder le contrôle sur les millions d'enfants, qu'ils soient pas à traîner dehors librement, et forcément c'est aussi un moyen de libérer les parents pour que ceux-ci puissent être productif 5j sur 7.
Je pense qu'en gardant ça en tête on peut éclairer beaucoup de choses vis à vis de l'école.
Données du topic
- Auteur
- Putaso5
- Date de création
- 20 janvier 2023 à 00:31:11
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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