[PAVAX] L'éducation nationale, usine à esclaves.
« Maître corbeau, sur un arbre perché…
« Maître ! que signifie ce mot en lui-même ? que signifie-t-il audevant d’un nom propre ? quel sens a-t-il dans cette occasion ?
Qu’est-ce qu’un corbeau ? Qu’est-ce qu’un arbre perché ? L’on ne
dit pas sur un arbre perché, l’on dit perché sur un arbre. Par
conséquent, il faut parler des inversions de la poésie ; il faut dire ce
que c’est que prose et que vers.« Tenait dans son bec un fromage.
« Quel fromage ? était-ce un fromage de Suisse, de Brie, ou de
Hollande ? Si l’enfant n’a point vu de corbeaux, que gagnez-vous à
lui en parler ? s’il en a vu, comment concevra-t-il qu’ils tiennent un
fromage à leur bec ? Faisons toujours des images d’après nature.« Maître renard, par l’odeur alléché,
« Encore un maître ! mais pour celui-ci c’est à bon titre : il est
maître passé dans les tours de son métier. Il faut dire ce que c’est
qu’un renard, et distinguer son vrai naturel du caractère de
convention qu’il a dans les fables.
« Alléché. Ce mot n’est pas usité. Il le faut expliquer ; il faut dire
qu’on ne s’en sert plus qu’en vers. L’enfant demandera pourquoi l’on
parle autrement en vers qu’en prose. Que lui répondrez-vous ?
« Alléché par l’odeur d’un fromage ! Ce fromage, tenu par un
corbeau perché sur un arbre, devait avoir beaucoup d’odeur pour
être senti par le renard dans un taillis ou dans son terrier ! Est-ce
ainsi que vous exercez votre élève à cet esprit de critique judicieuse
qui ne s’en laisse imposer qu’à bonnes enseignes, et sait discerner
la vérité du mensonge dans les narrations d’autrui ?« Lui tint à peu près ce langage :
« Ce langage ! Les renards parlent donc ? ils parlent donc la
même langue que les corbeaux ? Sage précepteur, prends garde à
toi ; pèse bien ta réponse avant de la faire ; elle importe plus que tu
n’as pensé.« Eh ! bonjour, monsieur du Corbeau !
« Monsieur ! titre que l’enfant voit tourner en dérision, même avant
qu’il sache que c’est un titre d’honneur. Ceux qui disent monsieur du
Corbeau auront bien d’autres affaires avant que d’avoir expliqué ce
du.« Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
« Cheville, redondance inutile. L’enfant, voyant répéter la même
chose en d’autres termes, apprend à parler lâchement. Si vous dites
que cette redondance est un art de l’auteur, qu’elle entre dans le
dessein du renard qui veut paraître multiplier les éloges avec des
paroles, cette excuse sera bonne pour moi, mais non pas pour mon
élève.« Sans mentir, si votre ramage
« Sans mentir ! on ment donc quelquefois ? Où en sera l’enfant si
vous lui apprenez que le renard ne dit sans mentir que parce qu’il
ment ?« Répondait à votre plumage,
« Répondait ! que signifie ce mot ? Apprenez à l’enfant à
comparer des qualités aussi différentes que la voix et le plumage ;
vous verrez comme il vous entendra.« Vous seriez le phénix des hôtes de ces bois.
« Le phénix ! Qu’est-ce qu’un phénix ? Nous voici tout à coup
jetés dans la menteuse antiquité, presque dans la mythologie.
« Les hôtes de ces bois ! Quel discours figuré ! Le flatteur ennoblit
son langage et lui donne plus de dignité pour le rendre plus
séduisant. Un enfant entendra-t-il cette finesse ? Sait-il seulement,
peut-il savoir ce que c’est qu’un style noble et un style bas ? »
J’épargne au lecteur la fin de cette analyse. Les pédagogues
modernes, qui en sont imprégnés, évitent tout simplement de faire
apprendre « Le Corbeau et le Renard », ou une quelconque fable de
La Fontaine, vieux réactionnaire emperruqué, à leurs
« apprenants ». Ils ont assimilé une fois pour toutes la conclusion de
Rousseau : « Je demande si c’est à des enfants de dix ans qu’il faut
apprendre qu’il y a des hommes qui flattent et mentent pour leur
profit ? On pourrait tout au plus leur apprendre qu’il y a des railleurs
qui persiflent les petits garçons, et se moquent en secret de leur
sotte vanité ; mais le fromage gâte tout ; on leur apprend moins à ne
pas le laisser tomber de leur bec qu’à le faire tomber du bec d’un
autre. »
On dirait l'analyse d'un foromeur frustré qui se croit subversif putain.
Ce passage est simplement incroyable, et il est important de le lire car il illustre la folie sans limite des pédagogistes. Vous voyez à quel point on prend l'enfant pour un abruti fini.
Voyons en détail comment cette analyse finit par considérer les enfants comme des abrutis.
Le 31 janvier 2023 à 16:43:10 :
Oui, grâce à ma dernière lecture : La face cachée de l'école
Le premier commentaire amazon :
Un torchon.
Se lit en une demi journée, même en faisant autre chose. Un vulgaire pamphlet dont le niveau d'écriture et de réflexion est analogue à celui d'un article amateur rédigé dans un blog ou un réseau social.
Si l'auteur est historien, comme il est écrit sur la quatrième de couverture, alors cet ouvrage doit être considéré comme étant à caractère autobiographique, puisqu'il reflète parfaitement le niveau médiocre de l'enseignement que l'auteur dénonce dans ce livre.
Dommage, le fond est véridique ; il aurait seulement fallu qu'il soit traité par une personne compétente.
Ps : livre beaucoup trop cher, et pas seulement pour la qualité du livre, mais pour son contenu (150 pages).
Voyons en détail comment cette analyse finit par considérer les enfants comme des abrutis.
Les enfants seraient incapables de comprendre le terme "maître" utilisé dans la poésie
les enfants seraient incapables de comprendre ce qu'est un corbeau
La distinction entre prose et vers : trop compliquée pour nos petites tête blondes
L'enfant serait incapable d'imaginer un corbeau tenant un fromage, ça demande trop d'imagination et comme vous le savez les enfants ont TRES PEU d'imagination hein il faudrait leur montrer une image hyperréaliste d'un corbeau sinon ils ne comprendront pas
Incapables de comprendre ce qu'est un renard
"alléché" serait un mot TROP DIFFICILE pour les enfants surtout qu'il est IMPOSSIBLE d'en déduire le sens par le contexte, les enfants sont des DEBILES MENTAUX incapables de faire un lien simple dans un texte court
Erreur de logique impardonnable : l'odeur du fromage ne serait pas assez forte pour être sentie par le renard Un point ESSENTIEL de la fable à n'en point douter D'ailleurs on en parle des sabres lasers dans Star Wars ? Ca n'existe pas c'est ILLOGIQUE, pourquoi personne n'y a pensé ?
Enfant INCAPABLE de comprendre la distinction entre FICTION ET REALITE Un animal qui parle dans une fable c'est une mauvaise influence car il va falloir expliquer à l'enfant que les animaux ne parlent pas Les enfants qui croient aux Pokémon si on ne leur explique pas que ça n'existe pas, eh oui ils ne sont pas très fut-fut les gosses
Le mot "monsieur" utilisé en dérision, attention il ne faudrait pas trop BROUILLER les enfants avec les subtilités, les double-sens, le 2ème degré, ils sont TROP CONS il faut rester à 1 sens unique, tout 1er degré comme des petites be-bêtes
L'élève apprend à "parler lâchement" car il voit 1 répétition dans une fable, il est TROP DEBILE pour comprendre le contexte et le sens de cette répétition (le renard multipliant les éloges envers le corbeau)
Attention un PHENIX, une créature mythologique, il ne faudrait SURTOUT PAS initier les enfants à la culture antique MENTEUSE il faut rester sur PAT PATROUILLE ça sera mieux
"les hôtes de ce bois" encore une expression TROP FINE pour les enfants, des petits ABRUTIS trop débiles pour comprendre la moindre finesse
Conclusion : il ne faudrait PAS apprendre aux enfants de 10 ans qu'il existe des flatteurs, arnaqueurs, et profiteurs dans la vie il faudrait leur expliquer que tout le monde est gentil et beau et on se fait tous des câlins d'amour
Mais évidemment, lui, Rousseau, aura bien lu des romans avec son père dès l'enfance. La chance.
Les institutions actuelles ont bien adopté la philosophie de Rousseau en éducation.
Ainsi, on fait comprendre aux enfants qu'ils sont trop stupides pour comprendre une bonne poésie ou un bon roman. Trop cons pour apprendre des nouveaux mots, pour comprendre des distinctions simples, pour faire des liens basiques entre les mots par le contexte, ils seraient complètement déboussolés par la moindre "erreur de logique" (car incapables de distinguer la fiction de la réalité), trop débiles pour comprendre une subtilité ou le 2ème degré, et il ne faudrait surtout pas leur apprendre qu'il y a des dangers dans le monde, il faut qu'ils restent des enfants éternels dans la tête.
Alors comment faudrait-il les éduquer selon les pédagogistes ? Eh bien, pour eux, il ne faudrait pas les éduquer du tout. C'est pour ça qu'on dit que le pédagoge est celui qui apprend ce qu'il ne sait pas ; parce que son rôle n'est pas de transmettre, mais simplement de garder les enfants et de leur laisser s'exprimer, car le seul savoir valide est celui qui découle exclusivement de l'enfant lui-même.
Ainsi, le niveau va baisser dans toutes les matières. On va s'adapter à l'enfant le plus stupide, car il ne faudrait surtout pas que le savoir facho méchant du prof s'impose sur celui de Rachid 80 de QI ; les "réflexions" de rachid 14 ans 80 QI ont la même valeur que celui d'un BAC+8.
Le moindre effort est donc récompensé : moins on fait d'effort, plus le niveau baisse, moins il y a d'efforts à fournir, et la boucle continue. C'est pour cette raison qu'on va mépriser "l'intello". Car l'intello est celui qui fait remonter le niveau, et qui va donc forcer la classe à faire plus d'efforts. L'intello donne un point de comparaison, un repère, une aspiration, mais aussi un reflet de sa propre médiocrité. Quand tout le monde est débile comme nous, on se sent mieux. Quand il y a une personne intelligente, la bulle de bêtise explose, on se rends compte que de son infériorité. Et ça fait mal.
Les plus intelligents et les lambdas seront, à terme, démoralisés. D'une part, ils sont pris pour des abrutis, et s'habituent à être traités de la sorte, car c'est facile. Peu d'efforts à fournir, on est pénard : la culture de la planque, du "pas de vagues" s'installe déjà au collège. D'autre part, s'ils fournissent trop d'efforts ils s'isoleront forcément de ses camarades, ils deviendront des "intellos", ce qu'il faut éviter à tout prix pour survivre dans la jungle sociale du collège et du lycée. Vous le savez : le plus grand ennemi du planqué, c'est le travailleur. De plus, les intelligents comprennent très bien que le brevet et le bac n'ont plus aucune valeur. Oui, même certains collégiens le comprennent, à cet âge.
Exemple personnel : mon petit frère, qui a 18,5 de moyenne générale en 3ème, ne souhaite pas faire un lycée général, selon lui ça serait une perte de temps car le BAC est donné à tout le monde. 14 ans déjà redpilled. Les gamins comprennent déjà que ça ne sert à rien.
Je voudrais ajouter une touche personnelle. Je me suis toujours demandé pourquoi il n'y a pas de cérémonie de délivrance du brevet, et surtout du BAC. Une cérémonie ou tout le monde se réunit, où l'on célèbre sa réussite par un évènement où se rejoignent parents, profs, élèves... un rite qui marquerait le passage de la vie adolescente à la vie adulte. Pourquoi on ne fait pas ça ? Pourquoi, en France, on célèbre le BAC en regardant des fiches collés avec du scotch sur les mursde son lycée délabré ? Perso je me suis senti vide de l'intérieur ce jour là. Non seulement car déjà redpill sur le BAC, mais aussi car j'avais l'impression que tout cela n'avait aucune valeur, aucune importance, aucune transcendance. On te file un bout de papier et hop dégage. C'est très démoralisant.
Les conséquences de tout ça sont catastrophiques. Les gens ne veulent plus travailler, car ils ont pris une aversion presque instinctive pour l'effort. Quoiqu'on en dise, l'effort paye, et dans une société normale, l'effort lui-même est apprécié, on aime activer ses neurones, se mettre à l'oeuvre, modeler le monde à son échelle de ses propres mains. Le travail est le propre de l'homme, homo faber, homme qui fabrique. Détester l'effort est anti-naturel, et un signe fort de la Régression anthropologique en cours.
3) La soumission au harcèlement promue par l'école ; la favorisation des sociopathes et autres malades mentaux.
Aujourd'hui s'est répandue la croyance stupide que le harcèlement relève de la "sélection naturelle". Non seulement dans le forom, mais aussi par influenceurs abrutissants, Andrew Tate en tête, qui parlent à des millions de jeunes hommes.
Il est temps de démanteler cette croyance absurde d'une fois pour toutes. Non seulement le harcèlement à l'école n'est pas naturel, mais il est complètement artificiel, et génère une société dominée par des sociopathes et autres malades mentaux.
Dit autrement, on sélectionne les humains défectueux, qui normalement auraient le moins de chance de survivre. Un psychopathe est naturellement rejeté par la société, ou alors il est rélégué à une place inférieure dans la hiérarchie, car on se rend vite compte de son manque d'empathie et d'émotions.
Or ce qui distingue les chefs des autres est justement sa grande empathie et sa grande sociabilité. Comme l'explique Pierre Clastres dans La Société contre l'Etat, le chef dans les tribus primitives ne donne pas des ordres, il a plutôt un rôle de juge, de médiateur, et il est au service de tout le monde en même temps ; son rôle est de souder, relier la société, en dénouant les conflits et aidant tout le monde dans ses besoins.
Tout le contraire d'un psychopathe, qui ne pense qu'à sa gueule, est incapable d'empathie, a des comportements antisociaux. Les psychos sont des humains défectueux, qui ont, dans la nature, beaucoup plus de mal à s'intégrer à la société. C'est pour cela que les psychos restent une minorité (seulement 1,2% à 4,5% des adultes), la nature s'est chargée de les sélectionner.
Mais comment l'Ecole sélectionne-t-elle les sociopathes et autres malades au détriment des enfants normaux ? Par le harcèlement. Le harcèlement est fortement favorisé par des conditions complètement artificielles. Les harceleurs sont une extrême minorité des élèves, il y a généralement 1 harceleur par classe et le reste sont des suiveurs. Les suiveurs sont généralement des personnes normales qui veulent juste survivre à la jungle sociale du collège.
Commençons par parler du Collège unique, instauré par la Loi Haby de 1975.
Contexte : avant 1975, à la sortie du primaire, tous les élèves n'allaient pas au même collège. Il y avait 3 filières différentes :
Filière I : pour les plus intelligents, la voie vers le lycée.
Filière II : menait vers des collèges techniques.
Filière III : menait vers la vie active directement.
Ainsi, les élèves étaient répartis selon leur niveau. On ne mélangeait pas les Célestins 130 de QI aux Rachid 80 de QI. Les classes étaient donc plus homogènes en terme de niveau (et pas seulement )
Il faut comprendre que, naturellement, le système éducatif séparait les enfants les plus doués et les moins doués. C'est un processus tout à fait naturel, car il est raisonnable. Le shaman d'une tribu n'essayait pas de transmettre ses connaissances à Abruton 60 de QI qui cassait des roches avec sa tête.
Il transmettait ses connaissances seulement à un membre intelligent de la tribu, qui s'avérait souvent être son propre fils car hérédité du QI. D'un autre côté, on pouvait apprendre Abruton à chasser, à fabriquer une hache, etc. Chacun ses capacités, il n'y a rien de mal à ça, la société a besoin d'Abruton et du Shaman.
A partir de la Loi Haby du 11 juillet 1975, il y aura 1 seul collège unique. Quelle était l'idée ? Mélanger tout le monde dans un melting pot ignoble, en espérant que les plus intelligents allaient remonter le niveau du reste. Du pur idéalisme.
Evidemment, le résultat fut l'extrême opposé.
Les low ont tiré tout le monde vers le bas, car on est obligé de s'aligner sur eux. Le collège unique rend l'enseignement impossible aux profs, car l'hétérogenéité de niveau est trop grande. On est obligé de s'aligner sur le Rashid 80 de QI et les célestins, valentins, corentins vont s'ennuyer à mort, car la prof doit réexpliquer 5 fois la définition d'une hypoténuse.
Soulignons que n'est pas vraiment la faute de Rashid, mais du système qui veut lui enseigner à monter sur un arbre alors qu'il est un poisson.
Le collège unique instaure, déjà, des conditions complètement artificielles, qui vont favoriser les discriminations horizontales à cause des différences d'intelligence.
Ensuite, on inculque aux enfants, à l'école et à la maison, l'idée qu'il suffit d' "ignorer" ses harceleurs et ils finiront par s'en lasser. Cette idée n'a rien de naturel, elle découle du christianisme ("tendre l'autre joue"). On inculque cette idée complètement anti-naturelle à nos petites têtes blondes, alors que les petites têtes brunes apprennent qu'il faut être violent et barbare pour être un "homme" viril.
Encore une fois, les conditions sont loin d'être naturelles.
Essayez de provoquer un cheval avec un bâton, même si la bête est pacifique, elle finira par vous mordre ou vous frapper. Réagir au harcèlement est naturel. Dire aux gamins qu'il faut tout accepter sans réagir, c'est aller contre la nature.
Mais ce n'est pas fini. Comme vous le savez, l'Education nationale pratique le "Pas de vagues, pas de vagues..." et vont toujours ignorer le célestin qui se fait hagar. Pourquoi ? Car ils ne veulent pas se compliquer la vie. En revanche, quand le célestin réplique, on va tout de suite intervenir, car le célestin a commis la chose insupportable, "faire des vagues". Le pire cauchemar des planqués, comme on l'a vu dans la partie 2).
Dans une organisation naturelle, déjà rashid et célestin ne se rencontreraient pas normalement. S'ils se rencontraient, et rashid harcelait célestin, les adultes responsables mettraient une bonne claque à rashid pour le calmer. Sinon, le célestin se défendrait. Sinon, la famille de célestin interviendrait.
Vous voyez que, dans un monde à peu près normal, Célestin a plein de moyens pour s'en sortir, et le harcèlement n'a pas lieu de durer. Le harcèlement devrait, naturellement, être temporaire et permettre à la victime de se prendre une claque de réalité pour comprendre la violence du monde, mais ça devrait aussi faire comprendre au harceleur que ce type de comportements va finir par t'isoler de la société.
Or notre système est complètement artificiel, provoquant la prolongation du harcèlement et l'impunité des harceleurs, ce qui va faire que 1) les célestins ne vont pas pouvoir évoluer, car brisés par un harcèlement- torture psychologique s'étalant sur des années, et 2) les harceleurs vont continuer à avoir ces comportements dans la vie de tous les jours, ce qui va conforter sa sociopathie et rendra le monde un peu plus merdique.
Les conséquences se font sentir au quotidien, par le bas et le haut de la structure sociale.
Par le bas, à chaque "incivilité" qui correspond tout simplement à un manque d'instruction élémentaire. "Incivilité" ça veut dire ce que ça veut dire : "Manque de civilisation", en d'autres termes, barbarisme, sauvagerie, manque d'instruction, de "correction". Ces individus restent des ados éternels, ça devient même des "grands frères" qui vont continuer par rôder autour du collège / lycée car incapables d'affronter le monde adulte. Ils finissent souvent en tôle ou par avoir des vies de merde.
Par le haut, si vous avez lu la Ponérologie politique, vous savez que nous sommes dirigés par des sociopathes ; or c'est justement ce que le système promeut. Souvenez-vous que harcèlement existe partout, non seulement chez les prolos, mais aussi chez les petits bobos riches, où il est plus pervers et malsain.
En sélectionnant, de façon artificielle, les sociopathes, le système éducatif corrompt la société par le haut et par le bas. On s'habitue à des comportements malsains, et on les accepte comme normaux, car l'école et la culture chrétienne nous a conditionné à les accepter. Cela n'a rien de naturel, et on voit bien où ça nous mène : dictature sanitaire avec la petite charte de Biderman, pénuries d'énergie dans des pays du premier monde, insécurité grandissante, escroqueries économiques et financières en tout genre, bref, un petit enfer sur Terre.
Topic de merde, il n'y a pas besoin de tout ce blabla absurde.
Il suffit de citer mes topics qui sont bien plus pertinents et terre à terre au lieu de partir dans une logorrhée absurde.
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-71604877-1-0-1-0-la-dissertation-a-tue-la-france.htm
Le 31 janvier 2023 à 18:50:04 :
Le 31 janvier 2023 à 18:34:20 :
Chaud la longueur des pavés putain, je vais essayer d'alléger pour les prochainsN'allège rien, chaque pavé est extrêmement intéressant bien que la pilule soit dure à avaler
Le 31 janvier 2023 à 18:52:17 :
Topic de merde, il n'y a pas besoin de tout ce blabla absurde.Il suffit de citer mes topics qui sont bien plus pertinents et terre à terre au lieu de partir dans une logorrhée absurde.
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-71604877-1-0-1-0-la-dissertation-a-tue-la-france.htm
Mon topic se base sur le livre d'un prof qui exerce sa profession depuis 45 ans, a fait l'ENS et a enseigné au collège et lycée. Lui a écrit 130 pages environ, sans parler de son premier livre écrit en 2005 qui parlait déjà de thématiques similaires.
La pertinence de Jean-Paul Brighelli, que je synthétise en y ajoutant ma propre réflexion, n'est pas à discuter. Cependant, la pertinence d'un pucix au RSA de ton acabit est fortement discutable.
Le malaise que tu instaures sur le topic est palpable, je te demande par conséquent de quitter ces lieux dans les plus brefs délais. Ataraxie sur ton âme, en dépit.
Je rajoute que cette démarche qui consiste à réduire toujours plus la longueur des textes, essayer de tout résumer, de tout simplifier, n'est pas mauvaise. Mais il faut l'appliquer avec modération.
Afin de bien comprendre une thématique, un long texte est nécessaire. Sans cela, on gardera toujours une compréhension primitive de ladite thématique. On ne peut pas tout réduire à 2 phrases et un sticker issou chancla.
Le 31 janvier 2023 à 19:14:05 :
l'OP pas prêt pour les futures générations d'ahuris
et les "bébés covid" ça va être encore pire
Ce n'est que le début effectivement , le covid a encore accéléré la dégradation de l'institution... et des élèves.
Le 31 janvier 2023 à 19:14:57 :
j'ai tout lu
Ce chad bordel, ceux qui ont tout lu doivent se compter sur les doigts d'une main
Données du topic
- Auteur
- Putaso5
- Date de création
- 20 janvier 2023 à 00:31:11
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