Topic de kongstrong :

Topic du Glauque

Bordel... Je me tape 5 pages par soirées... et je suis dans un état indescriptible.... entre la fascination et le traumatisme :peur:

La vidéo du mec qui se filme avant de se foutre une balle est vraiment malsaine... elle me fait penser à une vidéo d'un suisse de 20 ans qui s'était filme tout les jours avant sa mort

Je suis obligé de laisser ma TV+Veilleuse allumées,je jette des regards furtifs a droite a gauche,ce topic du démon https://image.noelshack.com/fichiers/2018/28/1/1531163250-jesus666.gif

( je suis l'auteur en secondaire ) perso ce qui me traumatisent dans le sens ou je suis obligé de dormir avec une veilleuse sont :

- la vidéo d'elisa lam
- krim kremers et froon
- le cri de sherley ledford
- le 911 de la vieille femme
- la photo de dear david
- la photo de la meuf retrouvé dans la grotte ...

:mort: un periscope morbide :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548815361-hqdefault.jpg

La jeune femme de 19 ans "vivait" sur les réseaux sociaux. Mardi, elle s’y est donné la mort en direct devant un millier d’abonnés.

Mardi, devant un millier de spectateurs, Océane s'est jetée sous un RER en gare d'Égly, dans l'Essonne. Elle a choisi Periscope, une application gratuite qui permet de diffuser en direct des vidéos, pour "faire passer un message". Elle leur a livré son histoire, ils s'en emparent.

Océane a mis en scène sa mort, mais sa dernière image en ligne est celle du visage du pompier qui, après de longues minutes où l'écran reste noir, ramasse son téléphone et coupe le direct. Avant cette vidéo (censurée depuis), Océane en avait posté quatre autres dans la journée. Dans son canapé rouge, les cheveux noirs, les yeux maquillés façon manga, elle annonce "quelque chose de choquant" à venir. Sur la gauche de l'écran, les messages défilent, tantôt méprisants, tantôt bienveillants. Elle rit : mais non, elle ne va pas se jeter du balcon, elle vit au rez-de-chaussée! Sur la droite de l'écran, des cœurs à chaque nouveau spectateur. Qu'attend-elle? Une réponse? On saura, plus tard, qu'elle a envoyé un SMS à un ami de son ex-copain. "Il aurait suffi que quelqu'un vienne pour qu'elle soit en vie", confie au JDD "Otsirhc", un ami qui l'a connue fin 2015 via le site de rencontres Adopteunmec, et s'en veut de n'avoir pas été connecté mardi. "Elle n'était pas là pour faire le buzz mais pour être écoutée et dire : j'ai mal, j'ai été violée, personne ne m'aide."

Dans ces films, Océane explique en direct aux internautes qu'elle va faire quelque chose vers 16h30, qu'elle attend un maximum de personnes pour suivre ce qu'elle appelle "un événement". Dans ces vidéos, la jeune femme de 19 ans évoque une vengeance contre son ex. En revanche, à aucun moment elle ne parle de suicide. A 16h00 mardi, toujours en direct sur Periscope, Océane sort de chez elle, un petit studio du centre d'Egly. Elle prend son parapluie, se dirige vers la gare et s'approche du quai…

Il est 16h29, Mattéo, 15 ans, était à ce moment-là sur Periscope. L'adolescent lui est à Lille, bien loin de l'Essonne. Mais il a tout vécu en direct. "On la voit approcher du quai, témoigne-t-il ce jeudi sur RMC. On entend un gros bruit et c'est là qu'on comprend… Enfin on comprend sans comprendre. C'est surtout quand on a entendu les voix des pompiers parler de traumatisme crânien que l'on a compris". "Je n'aurais jamais cru ça. C'est quand même choquant", ajoute-t-il.

Son live ( no gore/ no choquant ) : https://www.youtube.com/watch?v=5Laaj7hfWvk

"My dead girlfriend keeps messaging me on Facebook. I’ve got the screenshots. I don’t know what to do."

99% de chance que ce soit un creepypasta tho

De rien, bonne nuit :hap:

Le 30 janvier 2019 à 00:38:40 psii a écrit :

Le 14 janvier 2019 à 17:06:06 kongstrong a écrit :
:mort: Issei Sagawa :mort:

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Le 13 juin 1981 à Paris : les policiers font une découvre macabre dans le Bois de Boulogne : Dans un fourré, à quelques pas du lac, ils tombent sur deux valises contenant le corps dépecé d’une jeune femme.

Issei Sagawa qui s'est rendu célèbre pour avoir tué et en partie mangé une étudiante néerlandaise à Paris en juin 1981 escorté par des policiers français en civil le 17 juin 1981, au siège de la préfecture de police de Paris, après un interrogatoire.

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/03/1/1547481496-3108373065-1-7-qopphait-1.jpg

LE MEURTRE :

Le 11 juin 1981, Sagawa attire Renée Hartevelt, une jeune Néerlandaise de vingt-quatre ans, étudiant tout comme lui la littérature comparée à l'Université Paris-III, dans son studio du n° 10 rue Erlanger, sous le prétexte qu'un de ses professeurs lui a demandé d'enregistrer des poèmes expressionnistes allemands.

Le jour-même, alors qu'elle lit un poème de Johannes Robert Becher, il la tue à la carabine 22 long rifle (il évoquera initialement un amour déçu entre les deux jeunes étudiants). Il réalise un enregistrement audio sur lequel on peut entendre la jeune fille réciter les vers en allemand sur la mort, puis le coup de feu étouffé par le silencieux de la carabine, suivi par le son de la chute de son corps sur le sol4. Il prélève de son corps plus de sept kilogrammes de chair, puis commet un acte de cannibalisme.

Il consomme sa chair trois jours, en la conservant dans un réfrigérateur, prenant 39 photographies au fur et à mesure qu'il prélève les chairs de sa victime. Ne disposant pas d'un congélateur, pour se débarrasser de la dépouille, il la découpe et la cache dans deux valises puis le 13 juin 1981, fait appel à un taxi pour les transporter au bois de Boulogne où il trouve alors un caddie. Dans une descente, il perd le contrôle du chariot avec lequel il transporte son chargement.

Les valises se renversent devant un couple d'amoureux qui l'apostrophe en raison de son comportement étrange et du liquide s'échappant des valises. Il s'éloigne le plus rapidement possible et laisse le couple découvrir un drap ensanglanté dans la valise en carton. La brigade criminelle appelée sur les lieux découvre « des morceaux de cadavre ».

Dès le lendemain, la police lance un appel à témoins qui est entendu par le chauffeur de taxi. Celui-ci appelle aussitôt la brigade criminelle dirigée par le commissaire Ange Mancini pour lui révéler qu'il a chargé un client asiatique avec deux valises. Arrêté trois jours après son crime, grâce au témoignage de ce chauffeur de taxi qui se rappelle son adresse, et avant même que sa victime ait été identifiée, Sagawa déclare aux policiers de la brigade criminelle de Paris « si j'avais eu un congélateur, vous ne m'auriez pas retrouvé… » et revendique son acte, qu'il considère comme un acte artistique.

Lors de la perquisition, les policiers découvrent les papiers de la victime, des taches de sang, la carabine 22 long rifle, une pellicule photo avec 32 clichés du dépeçage de la morte, un dictaphone, une shampouineuse pour nettoyer la moquette, la couverture de Charlie Hebdo du 16 août 1979 (qui titre « Barbecue monstre dans le Var : Le cul rôti aux herbes de Provence » où un cuisinier découpe les fesses d'une femme), des photos d'identités de Renée et 7 kilos de tissus humains dans de petits sacs-poubelles et sur des assiettes en carton dans le réfrigérateur.

Placé en détention préventive, il est soumis un an durant à une expertise psychiatrique contradictoire, menée par trois experts indépendants, qui attribuent sa perte totale d'inhibition à son encéphalite de l'enfance et ses pulsions cannibales à ses rapports avec sa mère, cette dernière passant son temps à l'obliger à manger pour survivre durant sa petite enfance.

Les experts psychiatres concluent à son irresponsabilité pénale mais recommandent son internement, en raison de son extrême dangerosité. Le juge d'instruction, Jean-Louis Bruguière, se range à l'avis des experts : il prononce un non-lieu au titre de l'article 706-125 du code de procédure pénale. Sagawa est interné un an à l'Unité pour malades difficiles de Villejuif, avant d'être transféré au Japon où ses parents le placent dans l'hôpital psychiatrique Matsuzawa de Tokyo le 21 mai 1984.
Un nouveau collège d'experts japonais le déclare responsable de ses actes ; mais le non-lieu prononcé en France a un caractère définitif et interdit aux autorités japonaises de le juger. Sagawa bénéficie donc d'une des règles de droit international favorables aux prévenus et est libéré le 13 août 19852.

À la suite de cette affaire, il cherche à retrouver un travail normal. Il réussit à enseigner le français dans une école, mais lorsque son identité est connue par les élèves, il doit renoncer à ce poste. En 1989, sévit au Japon un tueur en série d'enfants, qui viole et dépèce ses victimes, si bien que la presse nationale engage Sagawa comme consultant. Cette médiatisation est telle qu'il devient célèbre dans le monde entier sous le nom de « Japonais cannibale » ou « l'étudiant français ».

Exhibitionniste narcissique pour le psychiatre qui l'a suivi, il a écrit une douzaine de livres, tous centrés autour de son crime ; il est également apparu dans des publicités pour des chaînes de restaurants de viande et a joué dans quelques films érotiques (dont un mettant en scène une jeune femme néerlandaise, dans un décor fortement inspiré d'architecture typiquement hollandaise)9.

Il vit d'abord à Yokohama, sous surveillance policière, mais sans suivi psychiatrique ; il prend juste un léger traitement anti-dépressif. Aucune récidive n'a été découverte ; mais Issei ne cache pas que des pensées cannibales l'habitent toujours de façon permanente, bien que ce ne soit plus les femmes de type occidental qui l'attirent dorénavant11. Puis il vit retiré et un peu oublié dans un appartement de la banlieue de Tokyo. Un directeur de la rédaction d'un magazine à scandale déclare cyniquement : « il n'a plus de valeur marchande en tant que criminel »

AME SENSIBLE S'ABSTENIR : si vous voulez voir la photo du corps de la victime, tapez "issei sagawa corpse" sur google image, je vous préviens c'est plutôt trash.

Bon ok, vous m'avez eu, je vais mal dormir ce soir https://image.noelshack.com/fichiers/2017/25/1/1497893377-onizuka.jpg

Comment le 10 rue Erlanger peut encore exister après ça, et comment ce taré peut être en liberté https://image.noelshack.com/fichiers/2017/25/1/1497893377-onizuka.jpg

Quand je regardais Detective Conan quand j'étais petit et que j'avais peur de certains des criminels, mon frère essayait de me consoler en disant qu'ils étaient en prison, mais là le mec est littéralement en liberté et tu peux le croiser en allant au japon https://image.noelshack.com/fichiers/2017/33/6/1503123799-oni28.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/46/1/1542061354-bd0396e1-b9af-4318-b0eb-6e1dc782c600.jpeg

Personne pour Luka Rocco Magnotta :hap: ?

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548837426-4bce08e2-25e6-403c-9a70-bba4dea4ba8f.jpg Luka Rocco Magnotta https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548837412-d470483a-a61e-4c23-9ef0-684799edbb0e.jpeg Part 1

:mort: Le dépeceur de Montreal :mort:

Luka Rocco Magnotta (né Eric Clinton Newman le 24 juillet 1982 à Scarborough, Ontario) est un criminel canadien.

Il est l'auteur du meurtre prémédité de Lin Jun, un Chinois installé au Canada. Ayant utilisé Internet pour diffuser une vidéo dans laquelle il mutilait le cadavre de sa victime, il a parfois été présenté comme le premier « tueur sur internet » mais des cas similaires s'étaient déjà produits, comme ceux d'Armin Meiwes (le Cannibale de Rotenburg) ou des maniaques de Dniepropetrovsk.

Magnotta, qui travaillait comme escort boy et à l'occasion comme acteur pornographique, se fait remarquer plusieurs années avant cette affaire en tentant de se créer une notoriété sur le Web ; il publie entre autres des vidéos de lui en train de torturer des chatons, ce qui lui vaut d'être poursuivi en justice par des groupes de défense des droits des animaux.

Le 30 mai 2012, après l'envoi par la poste, à plusieurs destinataires, de morceaux du corps de Lin Jun, Magnotta est visé en tant que principal suspect par un avis de recherche pan-canadien, puis international. Durant plusieurs jours, il est considéré comme le fugitif le plus recherché du Canada. Il est arrêté à Berlin le 4 juin 2012, dans un cybercafé. Lors de son procès, fin 2014, il reconnaît les faits, mais plaide la démence passagère ; il est reconnu coupable et condamné à la prison à vie, dont 25 ans incompressibles.

Bio

Eric Clinton Newman naît à Scarborough. Son père est absent, alcoolique et schizophrène et sa mère dominatrice https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548837740-2c9ad21f-d487-4b3e-aba6-3122abd5eb4b.jpeg

Il est élevé à Lindsay par sa grand-mère maternelle Phylis, femme elle aussi tyrannique et étudie à la I. E. Weldon Secondary School.Très perturbé durant son adolescence, il est diagnostiqué schizophrène[9]. En rupture avec sa famille, Eric Newman change légalement de nom le 12 août 2006, pour s'appeler Luka Rocco Magnotta. Il subit plusieurs opérations de chirurgie esthétique sans jamais être satisfait de son apparence https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548837635-6a1a2c5d-01e8-471b-ba0c-6b06ba9b00ac.jpeg

À partir de 2003, Luka Rocco Magnotta travaille occasionnellement en tant que stripteaseur et mannequin, mais gagne surtout sa vie comme escort boy. Narcissique, il se définit lui-même comme bisexuel et métrosexuel.

Il tente une carrière dans le cinéma pornographique, dont il prétend par la suite être une vedette. S'il a bien fait, au cours des années 2000, quelques apparitions dans des pornos gays à très petit budget, il n’a jamais atteint une quelconque notoriété dans ce domaine et semble avoir davantage travaillé comme fluffer que comme acteur.

En 2004, il est arrêté et inculpé de plusieurs délits, dont vol de matériel, escroquerie et agression sexuelle sur une femme. Sa défense plaide à l'époque l'irresponsabilité en invoquant ses problèmes mentaux. Il est condamné à neuf mois de prison avec sursis et un an de mise à l'épreuve, avec obligation de soins psychiatriques.

Il tente de se faire connaître par le biais de la téléréalité en participant en 2007 à l'émission Cover Guy, destinée à découvrir des mannequins masculins et diffusée sur la chaîne gay Out TV. Sa candidature n'est pas retenue.

Dans les années 2000, Luka Magnotta cherche à devenir célèbre en créant un buzz sur Internet autour de sa personne. À partir de 2005, il poste sur des forums, des blogs et diverses pages (20 sites et 70 pages Facebook), sous 127 pseudonymes différents dénombrés, des commentaires dans lesquels il parle de sa vie[6]. En 2007, il accorde à un site gay un entretien dans lequel il se vante de ses performances sexuelles et dit viser une carrière d'escort boy haut de gamme.

Avec un ami, Luka Magnotta crée de nombreux profils sur des réseaux sociaux, ainsi que des forums à sa gloire, en tentant de se faire passer pour une célébrité, et notamment pour une vedette du porno. En 2010, il crée un site personnel sur lequel il multiplie les propos agressifs, voire racistes. Un membre de sa famille indique par la suite que Luka Magnotta a longtemps eu pour habitude de lancer des rumeurs à propos de lui-même, dans le but de se faire remarquer. Des messages relatifs à Magnotta apparaissent également en 2011 sur le forum du site d'extrême-droite Stormfront : il y est présenté comme un héros de la liberté d'expression, qui serait persécuté par les autorités canadiennes pour son opposition à l'immigration et son soutien au suprémacisme blanc.

Durant plusieurs années, il tente d'associer son nom à celui de la criminelle Karla Homolka. En 2007, il se fait passer sur Internet pour le petit ami de cette dernière, puis appelle des médias pour se plaindre de ces rumeurs en assurant qu'elles lui nuisent dans sa carrière de mannequin : il réussit à se faire interviewer à ce sujet par le Toronto Sun.Le journaliste qui l'avait rencontré à l'époque se souvient en 2012 l'avoir trouvé inquiétant et avoir deviné qu'il s'agissait d'un affabulateur à la recherche de publicité ; il aurait cependant considéré que Magnotta représentait avant tout un danger pour lui-même. En 2011 et 2012, l'article Wikipédia de Karla Homolka est modifié à plusieurs reprises, peut-être par Magnotta lui-même, pour tenter de la présenter comme l'épouse de ce dernier.

Magnotta est identifié comme l'auteur de trois vidéos diffusées sur internet à partir de 2010 dans lesquelles il torture des chatons. Ces vidéos le montrent en train de tuer deux chatons en les étouffant dans un sac d'aspirateur et de donner à manger un chat à un python. Après l'avoir identifié, des activistes pour les droits des animaux, l’Animal Beta Project, proposent d'offrir une récompense de 5 000 $ pour sa capture dans le but de le faire juger. Selon les bureaux de Scotland Yard, la vidéo du python aurait été prise lorsque Magnotta vivait à Londres en 2011. Magnotta annonce sur son blog qu'après avoir tué des animaux, il récidivera avec des êtres humains.

En mars 2012, moins de trois mois avant le meurtre de Lin Jun, Magnotta est l'objet d'un article de blog - probablement rédigé par lui-même - qui le présente comme un tueur en série nécrophile[19].

La victime

Jun Lin (chinois : 林俊Lín Jùn ) https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548837949-a1008e27-13ee-4ab7-a8e1-65a753a3d962.jpeg se faisait appeler Patrick Jun, en français, et Justin Lin, en anglais, pour mieux s’intégrer au Canada. Né le 30 décembre 1978 à Wuhan dans la province du Hubei, en Chine,il s’était installé en juillet 2011 au Canada, pour y suivre des études d’ingénieur en sciences informatiques à l’université Concordia à Montréal, et finançait son cursus en travaillant à temps partiel dans une épicerie. Lin Jun cachait son homosexualité à sa famille ; en mai 2012, il s’était séparé depuis peu de son compagnon chinois qui avait vécu un temps avec lui à Montréal.

Le 25 mai 2012.une vidéo montée de près de 11 minutes est mise en ligne sur le site Internet Bestgore.com. On y voit d'abord des images d'un homme ligoté et non identifié. C’est ensuite Jun Lin qui apparaît sur la vidéo, déjà mort, égorgé et à qui Magnotta coupe une fesse avec un couteau et une fourchette, sans que l’on sache s’il s’agit d’un véritable acte de cannibalisme.La mise à mort n’a pas été filmée. Le cadavre de la victime est ensuite mutilé, démembré et violé. La vidéo a comme fond sonore la chanson du groupe New Order et bande originale du film American Psycho, True Faith.Dès le 27 mai, sous différents pseudonymes, Magnotta a publié sur des forums internet des commentaires annonçant la publication dans le web profond d’un snuff movie, auquel il donne lui-même le titre de 1 Lunatic 1 Ice Pick (littéralement 1 fou 1 pic à glace, titre inspiré de celui du film pornographique scatophile 2 girls 1 cup).

Le 29 mai 2012, un colis postal contenant un pied humain est reçu au siège du Parti conservateur du Canada, à Ottawa.Le colis taché de sang est ouvert par la directrice des opérations politiques du parti, Jenni Byrne (en), qui appelle immédiatement le Service de police d’Ottawa (OPS) et avertit le service de sécurité du Premier ministre du Canada Stephen Harper de menaces potentielles. Plus tard dans la journée, la police d’Ottawa découvre un autre colis suspect dans un centre de traitement de Postes Canada ; le paquet contient une main humaine, destinée au Parti libéral.Au même moment, la police de Montréal (SPVM) est appelée dans le secteur de Côte-des-Neiges par un concierge, pour y découvrir un tronc humain. Dans la nuit, la police de Montréal, la police d’Ottawa et la Gendarmerie royale du Canada (GRC) établissent que tous les membres appartiennent au même individu et découvrent la scène du crime près de l’endroit où le tronc a été retrouvé. L’enquête est confiée aux enquêteurs du module des crimes majeurs du Service de police de la ville de Montréal, qui travaillent en collaboration avec la GRC. Ils font appel à l’expertise du FBI pour tracer la vidéo du crime mise en ligne le vendredi 25 mai 2012. Le SPVM identifie rapidement le suspect comme étant Luka Magnotta et émet un mandat d’arrêt pan-canadien qui lance une chasse à l’homme d’envergure nationale[6].

La police, qui n’a pas encore retrouvé tous les morceaux du corps, identifie la victime le 1er juin. Selon le quotidien La Presse, une note accompagnait le colis livré au Parti conservateur indiquant que d’autres morceaux de corps avaient été envoyés par la Poste et que l’auteur avait l’intention de tuer à nouveau. La police travaille alors avec Poste Canada pour retrouver les membres manquants.

Le 5 juin 2012, l’école St. George’s School reçoit un colis contenant un pied humain et le Conseil scolaire de Vancouver un autre colis contenant une main humaine. On ignore à ce jour les raisons du choix de ces destinataires. Le lendemain, le 6 juin 2012, la police de Montréal découvre que Luka Magnotta a séjourné durant une période indéterminée à Vancouver et qu’il a loué un appartement sous l’un de ses surnoms.

Des restes humains, retrouvés dans le parc Angrignon de Montréal, sont identifiés le 4 juillet 2012 comme appartenant au corps de Lin Jun https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548837838-eded7f75-8111-42e4-ba98-abb644392dbe.jpeg

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548838610-12cb6544-0d98-45dd-962f-8e26475c7726.jpeg Luka Rocco Magnotta https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548838654-6ace2c81-dca9-4ca3-b6fa-074b759bcc6e.jpeg Part 2

Cavale

Du 26 mai 2012 au 27 mai 2012, Magnotta se trouve à bord d'un vol Air Transat vers Paris. D'après les témoignages, dans l'avion, Luka Magnotta après avoir dormi, apparaît nerveux, agité et fébrile. À son arrivée à Paris, Luka Magnotta a les cheveux brun mi-long et a un look d'ado portant un pantalon vert-kaki et un tee-shirt sur lequel est sérigraphié un dessin de Mickey comme le confirment les témoignages et la vidéo-surveillance de l'aéroport. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839098-85c4e773-089b-468c-940b-393c809912dc.jpeg https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839109-a6abd746-f848-4d46-85d4-6d1dd9898e90.jpeg À sa sortie de l’aéroport Paris-Roissy−Charles-de-Gaulle en France, il prend un taxi. Il est hébergé en début de semaine à Clichy-la-Garenne, chez un homme rencontré sur un site de rencontre gay puis il choisit un hôtel discret situé avenue Gallieni La Soummam, à Bagnolet, dans la proche banlieue Est de Paris. Il apparaît calme et s'adresse au patron en anglais. Il réserve une chambre, qu'il paye comptant pour huit nuits d'avance en présentant un faux passeport au nom de Kirk Tramel, nom de famille inspiré de Catherine Tramell, personnage du film Basic Instinct joué par Sharon Stone.

Quatre jours après la fuite de Magnotta, le 31 mai 2012, la police, via Interpol, émet une « notice rouge » d'arrêt international,la presse canadienne diffuse la nouvelle de son départ pour la France.

La police française décide alors d'effectuer des recherches ciblées dans des hôtels de l'agglomération parisienne. Elle établit avec certitude la présence du suspect à Paris dès le dimanche 27 mai 2012, lors de son arrivée à l'aéroport Paris-Roissy−Charles-de-Gaulle. Il aurait alors logé deux nuits dans un hôtel du quartier des Batignolles dans le 17e arrondissement de Paris. Il a été signalé dans un hôtel de Bagnolet le 2 juin 2012, en Seine-Saint-Denis. En réalité, Luka Magnotta a alors déjà quitté Paris et le territoire français. Son téléphone portable, qu'il a abandonné dans le métro parisien, continue à activer des antennes-relais, ce qui laisse à penser qu'il se trouve encore dans la capitale française. https://image.noelshack.com/fichiers/2016/37/1473802135-image.jpg

La police remonte sa trace grâce au témoignage d'un chauffeur de taxi qui a reconnu dans la presse la photo du fugitif.Luka Magnotta prend un billet d'autobus à l'agence de la compagnie d'autocar Eurolines du 18e arrondissement de Paris.Le 31 mai 2012, il ne redort plus à l'hôtel. Dans la soirée,il se rend à la gare routière internationale de Paris-Gallieni de Bagnolet et emprunte un autocar Eurolines vers 19 h 30 en direction de Berlin, en Allemagne. La police française retrouve des affaires, des revues pornographiques et des sacs vomitoires de la compagnie d'avion dans la chambre d'hôtel. Durant le trajet Paris-Berlin, il voyage aussi sous le pseudonyme de Kirk Tramell grâce à son faux passeport. Il arrive à la gare routière (ZOB Berlin Am Funkturm) à l'ouest de Berlin le 1er juin 2012 vers 9 h15. Le 1er juin, un nouveau mandat d'arrêt est émis : Magnotta est accusé de meurtre au 1er degré, d'outrage à un cadavre, d'envoi de matériel obscène par la poste et de menaces à l'encontre du Premier ministre du Canada et de plusieurs députés fédéraux, qui ne sont pas nommés dans le mandat.

Le 4 juin 2012, peu avant midi, Luka Magnotta se rend dans un cyber-café dans le quartier populaire de Berlin-Neukölln, au sud de la ville, où le gérant l'installe au poste no 25. Son visage lui semble familier, mais il ne le reconnaît que lorsque ce dernier consulte des sites français qui reprennent une série d'articles à son sujet et rappellent son avis de recherche. Le gérant avertit les autorités une première fois, puis une seconde fois, en arrêtant une voiture de patrouille, conduite par des policiers stagiaires, qui passait dans la rue. Luka Magnotta est finalement arrêté sur place peu après 13 h 30. Il donne dans un premier temps une fausse identité, puis se résigne en disant : « vous m'avez eu. » Il est arrêté par la police allemande dans le calme et ressort menotté, sous l'œil d'une caméra de surveillance.Il a alors les cheveux courts et blonds peroxydés.
Vidéo de l’arrestation : https://m.youtube.com/watch?v=orIuv0u9az4

Cette affaire choque notamment l'opinion publique en Chine, où Magnotta est accusé de crime raciste[66]. Le ministre canadien des Affaires étrangères John Baird appelle l'ambassadeur chinois Zhang Junsai pour lui transmettre ses profondes condoléances. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839729-7642577d-8dd9-4b91-9756-4377fdf71bd7.jpeg

Extradition et procès

Luka Magnotta, en cavale, est arrêté le 4 juin 2012 par la police allemande. Il est accusé de meurtre prémédité, d'outrage à un cadavre, de publication de matériel obscène, d'envoi par la poste de matériel obscène et harcèlement criminel à l'encontre du premier ministre canadien Stephen Harper et d'autres personnes. Il est détenu au commissariat principal dans le centre de Berlin.

Au lendemain de son arrestation, il est présenté à un juge qui lui confirme son arrestation. Le parquet de Berlin indique que Luka Magnotta ne s'opposera pas à son extradition vers le Canada. Luka Magnotta est transféré, le 5 juin 2012, dans l'une des principales prisons de la ville, dans le quartier de Moabit. Le Canada doit déposer auprès du parquet de Berlin une demande officielle d'extradition, accompagnée de documents étayant les éléments de preuve à l'appui.. Le tribunal régional supérieur de Berlin est chargé d’examiner si une extradition est conforme au droit puis, s'il répond par l’affirmative, le parquet doit ensuite demander cette extradition au gouvernement allemand qui examine alors si le pays vers lequel le suspect est extradé ne risque pas d’appliquer une condamnation violant les droits de l'homme.

Le 14 juin 2012, la cour juge que les preuves contre Luka Rocco Magnotta sont assez concluantes pour qu'il soit maintenu en prison avant son extradition. Il fait l'objet des cinq chefs d'accusation suivants : « meurtre au premier degré », « outrage à cadavre », « publication de choses obscènes », « envoi par la poste de choses obscènes » et « harcèlement criminel » à l'encontre, entre autres, de Stephen Harper.Magnotta décide de plaider non coupable.Le procureur demande à la cour qu'il soit transféré dans une autre unité de détention en attendant l'extradition.Le 18 juin 2012, le ministère canadien de la Justice confirme les informations de CBC indiquant que Luka Magnotta quitte l'Allemagne pour Montréal sous escorte du SPVM[75]. Il quitte Berlin vers 11 h à bord d'un avion CC-150 Polaris de l'Aviation royale du Canada sous escorte de la police de Montréal, de la Gendarmerie royale du Canada et de l'Agence des services frontaliers du Canada. L'appareil atterrit à l'Aéroport Montréal-Mirabel peu après 19 h. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839517-1a7d289e-fac9-49ec-9939-9572fa4286ea.jpeg https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839438-b8c2f6b3-e3e1-48da-a72d-b4ec6ffed9f2.jpeg

Une enquête de La Presse canadienne réalisée en 2012 le désigne comme la personnalité ayant le plus marqué les médias canadiens durant l'année.

En 2014, un documentaire intitulé Luka Magnotta : sexe, gloire et meurtre est consacré à l'affaire : mais, en août, la justice canadienne interdit sa diffusion afin d'éviter toute interférence avec les procédures en cours.

À l'issue de onze jours d'audiences préliminaires, qui commencent le 11 mars 2013 dans le but d'évaluer les preuves à charge, la préméditation de Luka Rocco Magnotta est reconnue.

Le procès débute le lundi 29 septembre 2014 à Montréal, en présence du père de la victime qui a quitté son emploi en Chine afin de pouvoir assister aux audiences au Canada. Le premier jour, Magnotta reconnaît avoir tué Lin Jun, mais plaide « non coupable » en raison de son état mental au moment des faits. Sa défense vise à le faire reconnaître comme pénalement irresponsable, en raison de la schizophrénie dont il souffre.

Le 23 décembre 2014, après huit jours de délibérations, Luka Magnotta est reconnu coupable de meurtre avec préméditation et de tous les autres chefs d'accusation qui pesaient sur lui. Il est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, sans possibilité de libération conditionnelle avant 25 ans. En janvier 2015, il a fait appel de sa condamnation,avant d'y renoncer un mois plus tard. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839696-f1d64f57-80a5-48a9-a01f-30fe042b340b.jpeg

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839877-da557166-985b-474f-8726-c953d57e8a54.jpeg Luka Rocco Magnotta Part 3/épilogue https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839856-f3aaec7f-afab-4ac0-83ba-3a7a41b3967e.jpeg

Depuis sa condamnation, les supporters du tueur se sont multipliés sur Internet. Sur la page Facebook « Free Luka Rocco Magnotta » tenue par son fan club, certains fans postent des messages d’amour, des photomontages et des mémos pour ne pas oublier de lui envoyer des cartes postales à Noël et pour son anniversaire. Des femmes hybristophiles fantasment sur lui https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839279-cbda44f9-b629-4587-b598-ca94dcfcaec7.jpeg

Dans plusieurs lettres, dont des extraits ont été publiés par les quotidiens canadiens Toronto Sun, National Post et The Gazette, le dépeceur de Montréal raconte à ses amis sa vie derrière les barreaux de l’Établissement Archambault, à Sainte-Anne-des-Plaines (Québec), à 40 minutes au nord-ouest de Montréal.
Et le programme est plutôt sympathique : smoothies, séance de bronzage en extérieur, soirées pizzas, un peu de sport (hockey, tennis, volley-ball), de la musique, des films, et même des soins du visage. « Nos portes sont ouvertes 90 % du temps, donc pour moi, c’est comme si j’étais sur un campus universitaire », écrit-il ainsi à un ami, à qui il précise qu’il travaille tous les jours de la semaine à la cuisine de la prison, et qu’il apprend le français parmi d’autres activités éducatives.
Le meurtrier consacre le reste de son temps au sport, à la lecture et à la musique. « Je viens de m’acheter un album de Céline Dion et beaucoup d’autres. J’ai une stéréo et une radio portable que j’écoute quand je me fais bronzer à l’extérieur », écrit-il. Les services pénitentiaires canadiens n’ont pas souhaité commenter les écrits de Magnotta précisément, mais ont indiqué au Toronto Sun que les détenus étaient autorisés à utiliser certains équipements, comme des téléviseurs et des stéréos.
Dans ses lettres, le détenu précise qu’il fait beaucoup d’exercice, notamment « en courant et en dansant », et que l’hiver dernier, il a pu « jouer dans la neige et faire un petit bonhomme de neige ». Une activité physique nécessaire selon lui, car la nourriture de la prison « est très, très bonne et est servie copieusement ». Le dépeceur de Montréal précise qu’il préfère les mets italiens et la glace. Il raconte également qu’il a reçu beaucoup de chocolats pour la Saint-Valentin, et que cela « ruine son régime ». https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548840762-263c972b-1328-4a55-8566-32783a66fc5f.jpeg

En juin 2015, il fait parler de lui en s'inscrivant sur un site de rencontres spécial pour les détenus, Canadian Inmates Connect Inc...
Il déclare avoir retiré son annonce et écrit une lettre à la créatrice du site, lui indiquant avoir trouvé son « prince charmant ».
Dans son annonce, le meurtrier condamné à la prison à vie pour le meurtre prémédité et le démembrement en 2012 d’un étudiant chinois, disait vouloir un «homme blanc célibataire, 33 ans, 1,80 mètre et 79 kilos, avec des cheveux foncés et les yeux bleus. Cherche homme blanc célibataire, entre 28 et 38 ans, en forme». Il ajoutait espérer quelqu’un de «loyal, préférablement éduqué, financièrement et émotionnellement stable, pour une relation à long terme». «Si vous pensez être mon prince charmant, envoyez moi une lettre détaillée avec au moins deux photos. Ne recevront une réponse que ceux que je trouve compatibles avec moi. S’il vous plait, uniquement des demandes sérieuses. Toutes les lettres non sollicitées seront rejetées», poursuivait-il. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548840309-a3f586f3-7724-4c7e-8962-bdcbf6bd1210.jpeg

Détenu jusque là dans l'Établissement Archambault et se vantant donc de vivre dans une prison dorée, il est transféré trois mois plus tard vers un établissement de très haute sécurité à Port-Cartier où il ne quitterait jamais sa cellule, craindrait les autres détenus et ne participerait à aucune activité, selon un employé de l’établissement.
«Il ne va jamais au gym, il ne sort jamais marcher, il a peur des autres détenus. Il ne s’intègre pas du tout à la population. Il ne parle à personne et personne ne lui parle», a fait savoir l’employé du pénitencier de Port-Cartier.
Le 26 juin 2017, il se marie avec un autre détenu, Anthony Jolin. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548839223-4dd8e084-be71-4cf7-8fa5-bfc3f7c1609e.jpeg https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548840881-e1b3c995-fd6a-4465-8334-172cee84c8f5.jpeg

To be continued...

:mort: Bonus : Photo avec « l’inconnu endormi », 1 semaine avant le meurtre https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/3/1548841471-15f46ea6-9108-4800-b595-b90305f14904.jpeg :mort:

Up pour la postérité :ok:
Pas d'article sur le violongay ? Moi ce mec m'avait foutu la trouille :peur:

Le 30 janvier 2019 à 15:44:56 [Noot_Noot] a écrit :
Pas d'article sur le violongay ? Moi ce mec m'avait foutu la trouille :peur:

Ton jean noir pi' ta ch'mise blanc cOssé :peur:

Up :)
Un topic sur le glauque qui meurt, quelle ironie https://image.noelshack.com/fichiers/2017/20/1494974499-larryriremain.png

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kongstrong
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11 janvier 2019 à 16:05:48
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