Topic du Glauque

Le 08 septembre 2024 à 16:13:09 :

Le 02 septembre 2024 à 21:38:41 :

Le 08 mai 2024 à 17:36:27 :
L'histoire tragique de Suzy Perez

Suzy Perez a passé une grande partie de sa jeunesse en République dominicaine. Cependant, elle avait de grandes ambitions qui l'ont poussée à déménager aux États-Unis. En effet, depuis son plus jeune âge, Suzy a toujours rêvé de devenir danseuse. C'est dans ce nouveau pays que son talent a pu s'exprimer.

Dans les années 90, Suzy Perez était omniprésente, apparaissant dans des clips de Jennifer Lopez, de P. Diddy et sur les couvertures de magazines. Au fil du temps, Suzy s'est forgée une belle réputation, si bien qu'elle a gagné des revenus considérables. Elle a acheté un manoir et menait une vie luxueuse. Cependant, cette vie idyllique a finalement pris fin.

Un jour, Suzy reçoit un appel d'une agence de mannequins italienne. Son interlocuteur, se faisant passer pour un membre de cette agence, lui propose un contrat alléchant de plusieurs millions de dollars. Intriguée par cette offre, Suzy décide de partir pour l'Europe.

Une fois arrivée là-bas, Suzy découvre la vérité. Cette agence n'a en réalité jamais existé. Il s'agit de mafieux déterminés à utiliser Suzy à leurs propres fins. À partir de ce moment-là, c'est la descente aux enfers pour cette jeune mannequin, qui subit les pires atrocités pendant sa séquestration. Son corps est vendu au plus offrant. Durant sa captivité, Suzy développe une dépendance à la drogue, une habitude dont elle ne parviendra pas à se défaire.

À New York, personne ne s'inquiète vraiment de la disparition de Suzy. Certains pensent qu'elle avait un emploi du temps chargé. Cependant, Suzy avait un fils et un mari.

Un jour, alors que ses tortionnaires n'ont plus besoin d'elle, ils décident de s'en débarrasser. Nous retrouvons alors une Suzy Perez très affaiblie. Devenue toxicomane et ruinée, elle arpente les rues de New York en mendiant. Un jour, elle est reconnue dans la rue, et une personne fait le lien entre Suzy Perez, la célèbre mannequin des années 90, et cette pauvre femme errante. Avec l'aide des médias, une cagnotte est organisée pour lui venir en aide. Après plusieurs années de souffrance, Suzy retrouve enfin son fils.

Tout semble revenir à la normale pour Suzy, qui entre dans un centre de réhabilitation et montre des progrès sur Instagram, où elle réapprend à vivre. Cependant, un jour, certains internautes remarquent que son compte Instagram n'est plus actif. Son fils décide alors de clarifier la situation. Il annonce qu'il ne faut plus contribuer à la cagnotte, car Suzy utilisait l'argent pour acheter de la drogue. Il explique également que Suzy a décidé de retourner vivre dans la rue.

Suzy Perez continue donc d'errer dans les rues de New York à la recherche de nourriture et d'argent. Nous ne saurons jamais ce qu'il est advenu de ses tortionnaires. Cependant, cela a profondément marqué Suzy, qui ne pourra jamais vraiment s'en remettre.

puisse-t-elle trouver sa voie. P.Diddy at-il tenté de lui venir en aide?

aux dernières nouvelles, elle est allée retourné vivre dans la rue, et cela même si sa famille lui venait en aide.

ok merci pour l'info

Le 08 septembre 2024 à 16:13:09 :

Le 02 septembre 2024 à 21:38:41 :

Le 08 mai 2024 à 17:36:27 :
L'histoire tragique de Suzy Perez

Suzy Perez a passé une grande partie de sa jeunesse en République dominicaine. Cependant, elle avait de grandes ambitions qui l'ont poussée à déménager aux États-Unis. En effet, depuis son plus jeune âge, Suzy a toujours rêvé de devenir danseuse. C'est dans ce nouveau pays que son talent a pu s'exprimer.

Dans les années 90, Suzy Perez était omniprésente, apparaissant dans des clips de Jennifer Lopez, de P. Diddy et sur les couvertures de magazines. Au fil du temps, Suzy s'est forgée une belle réputation, si bien qu'elle a gagné des revenus considérables. Elle a acheté un manoir et menait une vie luxueuse. Cependant, cette vie idyllique a finalement pris fin.

Un jour, Suzy reçoit un appel d'une agence de mannequins italienne. Son interlocuteur, se faisant passer pour un membre de cette agence, lui propose un contrat alléchant de plusieurs millions de dollars. Intriguée par cette offre, Suzy décide de partir pour l'Europe.

Une fois arrivée là-bas, Suzy découvre la vérité. Cette agence n'a en réalité jamais existé. Il s'agit de mafieux déterminés à utiliser Suzy à leurs propres fins. À partir de ce moment-là, c'est la descente aux enfers pour cette jeune mannequin, qui subit les pires atrocités pendant sa séquestration. Son corps est vendu au plus offrant. Durant sa captivité, Suzy développe une dépendance à la drogue, une habitude dont elle ne parviendra pas à se défaire.

À New York, personne ne s'inquiète vraiment de la disparition de Suzy. Certains pensent qu'elle avait un emploi du temps chargé. Cependant, Suzy avait un fils et un mari.

Un jour, alors que ses tortionnaires n'ont plus besoin d'elle, ils décident de s'en débarrasser. Nous retrouvons alors une Suzy Perez très affaiblie. Devenue toxicomane et ruinée, elle arpente les rues de New York en mendiant. Un jour, elle est reconnue dans la rue, et une personne fait le lien entre Suzy Perez, la célèbre mannequin des années 90, et cette pauvre femme errante. Avec l'aide des médias, une cagnotte est organisée pour lui venir en aide. Après plusieurs années de souffrance, Suzy retrouve enfin son fils.

Tout semble revenir à la normale pour Suzy, qui entre dans un centre de réhabilitation et montre des progrès sur Instagram, où elle réapprend à vivre. Cependant, un jour, certains internautes remarquent que son compte Instagram n'est plus actif. Son fils décide alors de clarifier la situation. Il annonce qu'il ne faut plus contribuer à la cagnotte, car Suzy utilisait l'argent pour acheter de la drogue. Il explique également que Suzy a décidé de retourner vivre dans la rue.

Suzy Perez continue donc d'errer dans les rues de New York à la recherche de nourriture et d'argent. Nous ne saurons jamais ce qu'il est advenu de ses tortionnaires. Cependant, cela a profondément marqué Suzy, qui ne pourra jamais vraiment s'en remettre.

puisse-t-elle trouver sa voie. P.Diddy at-il tenté de lui venir en aide?

aux dernières nouvelles, elle est allée retourné vivre dans la rue, et cela même si sa famille lui venait en aide.

merci pour l'info.

Magdalena Solís
Dans la nuit du 22 mai 1963, Sebastian Guerrero, jeune homme de 14 ans en quête d’un refuge, gravit les montagnes de la Sierra Madre, au nord du Mexique. Ce jeune a fui la pauvreté de sa famille en partant quelques jours en excursion, sans même un sac à dos. Quand il longe une de ces grottes nombreuses dans la région, à sa plus grande surprise, il distingue de la lumière qui éclaire le fond de la cavité. Intrigué, il s’y faufile et découvre une scène macabre. Un pentacle est dessiné au sol. En cercle, plusieurs dizaines de personnes se tiennent debout, une torche à la main. Ils écoutent religieusement une femme qui chante. Elle tient dans sa main gauche un grand couteau. Entourée par deux hommes vêtus plus richement que les autres et qui se ressemblent. Des gardiens de la nuit, encadrant une déesse en transe. Celle-ci enfonce sa lame dans la gorge d’un pauvre malheureux, non masqué et qui avait les mains liées. La prêtresse attrape une coupe d’or pour boire le sang de la victime. Tous les membres présents dans l’assemblée, chacun leur tour, boivent une gorgée du sang frais du sacrifié. Terrifié, Sebastian s’enfuit, mais ses pas résonnent dans la cavité. Les membres de cette maléfique organisation se jettent à ses trousses. Mais le jeune Sebastian est rapide et agile. Il parvient à rejoindre la direction de Villa Gran, la ville la plus proche, celle qui dispose d’un service de police à… 25 kilomètres. Après des heures de trajet entre route et forêts, Sebastian arrive devant le poste de police. Il raconte les événements à un agent, Luis Martínez, qui ne croit pas à cette histoire, mais s’engage à venir vérifier ses dires avec lui sur les lieux le lendemain. Leur quête, entre irréel et réalité, va les mener vers l’horreur. Et vers la mort. Sans le savoir, ils sont tombés dans le piège de la secte de Magdalena Solis, la "prêtresse du sang". Le début de la secte de Magdalena Solis : les frères Hernandez, messagers des dieux incas Quelle est donc cette secte au nom terrifiant ? Tout commence plusieurs mois auparavant à Yerba Buena, un petit village dans les montagnes de la Sierra Madre. Une cinquantaine de fermiers y vivent reclus. Tout le monde est pauvre et ils sont peu nombreux à avoir reçu une éducation scolaire minimale leur permettant de prétendre à une vie meilleure. Un jour deux hommes qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau se présentent à la communauté : ils s’appellent les frères Hernandez. Venus de la ville, ils font croire aux villageois une curieuse histoire : ils seraient les messagers des dieux incas, jadis vénérés et aujourd’hui réduits au silence. Ces prophètes arrivent porteurs d’un message : les divinités, se sentant abandonnées, sont sur le point de revenir. Et elles vont punir celles et ceux qui se sont détournés d’elles. Seuls ceux qui iront pratiquer, dans les grottes des montagnes alentour, des rites d’offrandes et le versement d’un tribut, seront sauvés. Le stratagème fonctionne. Depuis déjà quelques mois, ils ruminent leur plan, et ciblent cette petite communauté : peu d’habitants, peu d’accès pour atteindre cette zone reculée, pas de service de police sur place. Et surtout, surtout, un taux d’analphabètes qui crève le plafond. La communauté de Yerba Buena est sans nul doute la cible idéale pour monter une arnaque aux dieux incas… une civilisation qui n’est pas l'ancêtre du Mexique, mais bien du Pérou. Une ignorance révélatrice de l'absence d'éducation, tant dans cette communauté que chez les deux malfrats.

Les frangins Hernandez ont vu juste : lorsque, sortant de la brume matinale tels des fantômes, vêtus de toges noires, ils se présentent comme les grands prêtres, les familles isolées se jettent à leurs pieds, sans même discuter ni chercher à comprendre. Le discours est rodé, la mise en scène… parfaite. Les frères Hernandez ont repéré les lieux, visité les grottes leur permettant de mettre en place leurs soi-disant rites.

Au bout de quelques jours, ils commencent à récolter l’impôt, à organiser des cérémonies de sacrifices animaliers. Des chèvres sont conduites dans les grottes et égorgées. Les frères Hernandez promettent que les dieux offriront des trésors aux paysans et qu’ils se révéleront à eux. Ils doivent leur abandonner les sources de leurs maigres revenus à ces arnaqueurs venus de la ville. La communauté est pauvre. Pour autant, à chaque cérémonie, les pièces tombent, tout autant que les promesses d’apparitions divines. Et bientôt ces rituels ne suffisent plus… et des doutes s’installent chez certains membres. Les frères Hernandez font entrer dans la danse une jeune femme, Magdalena Solis, qui prendra son rôle de fausse déesse beaucoup trop à cœur… Quitte à en perdre la raison.

Magdalena Solís est une tueuse en série mexicaine, membre d'une secte, responsable d'avoir orchestré plusieurs meurtres tout en ingurgitant le sang de ses victimes1. Elle a été reconnue coupable de deux meurtres, et condamnée à une peine de 50 ans de prison.

https://www.rtbf.be/article/magdalena-solis-la-pretresse-du-sang-quand-des-sacrifices-etaient-pratiques-sur-des-fermiers-mexicains-11328514

Le 27 octobre 2024 à 19:15:22 :
Magdalena Solís
Dans la nuit du 22 mai 1963, Sebastian Guerrero, jeune homme de 14 ans en quête d’un refuge, gravit les montagnes de la Sierra Madre, au nord du Mexique. Ce jeune a fui la pauvreté de sa famille en partant quelques jours en excursion, sans même un sac à dos. Quand il longe une de ces grottes nombreuses dans la région, à sa plus grande surprise, il distingue de la lumière qui éclaire le fond de la cavité. Intrigué, il s’y faufile et découvre une scène macabre. Un pentacle est dessiné au sol. En cercle, plusieurs dizaines de personnes se tiennent debout, une torche à la main. Ils écoutent religieusement une femme qui chante. Elle tient dans sa main gauche un grand couteau. Entourée par deux hommes vêtus plus richement que les autres et qui se ressemblent. Des gardiens de la nuit, encadrant une déesse en transe. Celle-ci enfonce sa lame dans la gorge d’un pauvre malheureux, non masqué et qui avait les mains liées. La prêtresse attrape une coupe d’or pour boire le sang de la victime. Tous les membres présents dans l’assemblée, chacun leur tour, boivent une gorgée du sang frais du sacrifié. Terrifié, Sebastian s’enfuit, mais ses pas résonnent dans la cavité. Les membres de cette maléfique organisation se jettent à ses trousses. Mais le jeune Sebastian est rapide et agile. Il parvient à rejoindre la direction de Villa Gran, la ville la plus proche, celle qui dispose d’un service de police à… 25 kilomètres. Après des heures de trajet entre route et forêts, Sebastian arrive devant le poste de police. Il raconte les événements à un agent, Luis Martínez, qui ne croit pas à cette histoire, mais s’engage à venir vérifier ses dires avec lui sur les lieux le lendemain. Leur quête, entre irréel et réalité, va les mener vers l’horreur. Et vers la mort. Sans le savoir, ils sont tombés dans le piège de la secte de Magdalena Solis, la "prêtresse du sang". Le début de la secte de Magdalena Solis : les frères Hernandez, messagers des dieux incas Quelle est donc cette secte au nom terrifiant ? Tout commence plusieurs mois auparavant à Yerba Buena, un petit village dans les montagnes de la Sierra Madre. Une cinquantaine de fermiers y vivent reclus. Tout le monde est pauvre et ils sont peu nombreux à avoir reçu une éducation scolaire minimale leur permettant de prétendre à une vie meilleure. Un jour deux hommes qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau se présentent à la communauté : ils s’appellent les frères Hernandez. Venus de la ville, ils font croire aux villageois une curieuse histoire : ils seraient les messagers des dieux incas, jadis vénérés et aujourd’hui réduits au silence. Ces prophètes arrivent porteurs d’un message : les divinités, se sentant abandonnées, sont sur le point de revenir. Et elles vont punir celles et ceux qui se sont détournés d’elles. Seuls ceux qui iront pratiquer, dans les grottes des montagnes alentour, des rites d’offrandes et le versement d’un tribut, seront sauvés. Le stratagème fonctionne. Depuis déjà quelques mois, ils ruminent leur plan, et ciblent cette petite communauté : peu d’habitants, peu d’accès pour atteindre cette zone reculée, pas de service de police sur place. Et surtout, surtout, un taux d’analphabètes qui crève le plafond. La communauté de Yerba Buena est sans nul doute la cible idéale pour monter une arnaque aux dieux incas… une civilisation qui n’est pas l'ancêtre du Mexique, mais bien du Pérou. Une ignorance révélatrice de l'absence d'éducation, tant dans cette communauté que chez les deux malfrats.

Les frangins Hernandez ont vu juste : lorsque, sortant de la brume matinale tels des fantômes, vêtus de toges noires, ils se présentent comme les grands prêtres, les familles isolées se jettent à leurs pieds, sans même discuter ni chercher à comprendre. Le discours est rodé, la mise en scène… parfaite. Les frères Hernandez ont repéré les lieux, visité les grottes leur permettant de mettre en place leurs soi-disant rites.

Au bout de quelques jours, ils commencent à récolter l’impôt, à organiser des cérémonies de sacrifices animaliers. Des chèvres sont conduites dans les grottes et égorgées. Les frères Hernandez promettent que les dieux offriront des trésors aux paysans et qu’ils se révéleront à eux. Ils doivent leur abandonner les sources de leurs maigres revenus à ces arnaqueurs venus de la ville. La communauté est pauvre. Pour autant, à chaque cérémonie, les pièces tombent, tout autant que les promesses d’apparitions divines. Et bientôt ces rituels ne suffisent plus… et des doutes s’installent chez certains membres. Les frères Hernandez font entrer dans la danse une jeune femme, Magdalena Solis, qui prendra son rôle de fausse déesse beaucoup trop à cœur… Quitte à en perdre la raison.

Magdalena Solís est une tueuse en série mexicaine, membre d'une secte, responsable d'avoir orchestré plusieurs meurtres tout en ingurgitant le sang de ses victimes1. Elle a été reconnue coupable de deux meurtres, et condamnée à une peine de 50 ans de prison.

https://www.rtbf.be/article/magdalena-solis-la-pretresse-du-sang-quand-des-sacrifices-etaient-pratiques-sur-des-fermiers-mexicains-11328514

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