Topic du Glauque
Le 25 janvier 2019 à 18:38:42 Akatsuki-Sasori a écrit :
Le 25 janvier 2019 à 18:38:05 PatateChaude14 a écrit :
Le 25 janvier 2019 à 18:33:46 Akatsuki-Sasori a écrit :
Pourquoi faire un discord et un blog alors que ce topic est fait pour les forumeurs? Pourquoi se séparé alors que l'on est déjà en communauté?Le 25 janvier 2019 à 18:33:46 Akatsuki-Sasori a écrit :
Pourquoi faire un discord et un blog alors que ce topic est fait pour les forumeurs? Pourquoi se séparé alors que l'on est déjà en communauté?Pour éviter le 410
le topic a 41 pages la donc je doute qu'il va se faire 410.
Et c'est plus facile a trouver les histoires que de ttaverser 40 pages
Je poste cette histoire car j'ai connu le tueur.
"crime de jalousie"
Le 24 mars 2017, deux jours après la mort de la gérante d'un centre équestre à Trigny (Marne), son ex-compagnon a reconnu les faits et le parquet de Reims a ouvert une information judiciaire pour "meurtre sur ex-concubin", a annoncé vendredi le parquet de Reims.
Le meurtrier présumé, un ouvrier de 45 ans au casier judiciaire vierge résidant dans les Ardennes, devrait être mis en examen dans la journée, a précisé le parquet de Reims, qui a sollicité son placement en détention provisoire.
"Il a expliqué avoir vu rouge en apprenant que la rupture était consommée, a déclaré Matthieu Bourrette, le procureur de la République de Reims lors d'une conférence de presse, qualifiant son acte de "crime de jalousie".
Après une relation tumultueuse de trois ans, le couple s'était séparé définitivement il y a moins d'un mois mais avait eu "une discussion" la veille des faits. Le lendemain, l'homme avait décidé de se rendre tôt au centre équestre "n'acceptant pas la nature définitive de la séparation" avec la victime, a-t-il ajouté.
La jeune femme, 28 ans, était gérante depuis l'été 2016 de ce centre équestre au milieu d'une forêt situé à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Reims. Malgré l'intervention rapide des secours appelés par le palefrenier, elle est décédée peu après avoir reçu deux coups de couteau.
Interpellé environ une heure après les faits et alcoolisé, le suspect a reconnu un seul coup "accidentel" porté au coeur après un échange verbal avec son ancienne compagne. Durant son audition il a ensuite expliqué que "soit il pouvait la récupérer, soit il la tuait avec l'intention de se suicider ensuite", a précisé M. Bourrette.
En garde à vue, le meurtrier présumé, instable psychologiquement mais qui avait arrêté de prendre son traitement médicamenteux, s'est défini comme "très jaloux voire possessif", capable d'être "violent sous l'effet de l'alcool".
Il avait été entendu "quelques semaines plus tôt" suite à une plainte déposée par la défunte pour des faits de violations de domicile, classée sans suite sous condition d'indemnisation, a indiqué le parquet.
A ce jour du 26/01/2019 le procès n'a pas encor eu lieu.
info perso
J'ajoute en effet quelques infos perso car je le connaissais personnellement et on travaillais ensemble.
Le matin des faits il devait commencé à 6h du matin où il n'est pas forcément venu sans même prévenir (extrêmement rare dans notre entreprise et encor plus rare de sa part)
Au travail c'était quelqu'un de super cool, calme, drôle et de bien attentionné.
Pour vous dire quand on a su la nouvelle dans la journée ça nous a fait un choc.
Bon sang je découvre ce topic et la lecture sera merveilleuse
le coup des poupée est tordu mais j'ai lu pire , le gars a pas expliquée pourquoi il fait ça ?
Le 12 janvier 2019 à 16:33:39 kongstrong a écrit :
Une petite amie sordideTravis Victor Alexander est mort le 4 juin 2008 à Mesa, Arizona, il a été tué par son ex-petite amie, Jodi Ann Arias à son domicile ( plus précisement sous la douche ). Jodi Ann Arias a été déclarée coupable de meurtre au premier degré le 8 mai 2013 et condamnée à l'emprisonnement à perpétuité le 13 avril 2015.
Lors du crime, Travis a subi de multiples blessures à l'arme blanche et reçut une balle de pistolet automatique de calibre 6,35 mm dans la tête.
La photo que vous voyez est prise par son ex petit amie quelques secondes avant sa mort.
Mot clé pour voir le cadavre ( sur google image ) : "travis alexander corpse"
Cette image me brise le coeur
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Meurtre_de_Junko_Furuta
Le meurtre de Junko Furuta, est une affaire criminelle dans laquelle une jeune fille japonaise, Junko Furuta, (古田順子, Furuta Junko), âgée de 16 ans à l'époque, fut assassinée. Ce sinistre crime a atteint un haut niveau de notoriété au Japon.
Le crime :
En novembre 1988, Hiroshi Miyano (宮野裕史, « Garçon A », qui avait alors 18 ans), Yuzuru Ogura (小倉譲, « Garçon B », alors 17 ans)[1], Shinji Minato (湊伸治, « Garçon C », 16 ans à l'époque) et Yasushi Watanabe (渡邊恭史, « Garçon D », 17 ans) venant tous de Tokyo, enlevèrent Furuta, une jeune lycéenne (second year high school) étudiante dans la préfecture de Saitama à Misato, pendant 44 jours ils la gardèrent captive dans la maison appartenant aux parents de Shinji Minato.
Pour prévenir un éventuel avis de recherche, Miyano força Furuta à appeler ses parents et à leur faire croire à une fugue, prétendant qu'elle était avec un « ami », qu'il n'y avait aucun danger. Il la menaça également pour qu'elle se fasse passer auprès des parents chez qui ils se trouvaient pour la petite amie d'un des garçons. Mais quand ils comprirent que les parents n'appelleraient pas la police, il laissa tomber ce prétexte. Furuta essaya de s'échapper à plusieurs reprises, suppliant les parents plus d'une fois de l'aider, mais ils n'en firent rien, apparemment terrifiés par l'idée que Miyano pourrait leur faire payer. Celui-ci était à l'époque un petit chef Yakuza et il avait menacé d'utiliser ses contacts pour tuer quiconque interfèrerait.
Selon leurs déclarations et leur procès, chacun des quatre garçons l'a violée (au total plus de 400 fois par plus d'une centaine de personnes[2]), battue avec une barre en fer et des clubs de golf, introduit des objets inconnus comprenant une ampoule électrique brûlante dans son vagin qui a ensuite éclaté[2], une barre de fer et une bouteille, des ciseaux et des brochettes de poulet rôti, l'a fait manger des cafards et boire sa propre urine, a inséré des pétards dans son anus et les a allumés ; ils ont forcé Furuta à se masturber, coupé ses tétons avec des pinces, ont mis des haltères sur son ventre, l'ont pendue au plafond et utilisé son corps comme punching ball, lui ont cloué des dizaines d'aiguilles à coudre dans les seins, ont frappé son visage sur le sol en ciment, l'ont mise dans un congélateur pendant des heures et l'ont brûlée avec des cigarettes, de la cire et des briquets (une des brûlures était une punition pour avoir essayé d'appeler la police). Au bout d'un moment, ses blessures étaient tellement graves que selon l'un des garçons, cela lui prenait plus d'une heure pour ramper en haut des escaliers afin d'utiliser les toilettes. Ils ont également mentionné que « probablement une centaine de personnes différentes » savaient que Furuta avait été emprisonnée là-bas, mais n'ont pas été clairs sur le fait que cela signifie qu'ils sont entrés dans la maison plusieurs fois pendant qu'elle était emprisonnée, ou qu'ils ont eux-mêmes abusé d'elle. Quand les garçons refusèrent de la laisser partir, elle les supplia à plusieurs occasions de « [la] tuer et d'en finir avec tout ça ».
Le 4 janvier 1989, se servant du prétexte d'avoir perdu à une partie de mah-jong, les quatre garçons la battirent avec une barre de fer, ont couvert d'un liquide combustible ses jambes, ses bras, son visage et son ventre, et l'ont mise en feu. Elle trouva la mort plus tard dans la journée. Les quatre garçons ont déclaré ne pas avoir remarqué à quel point elle était blessée, et qu'ils pensaient qu'elle ne faisait que se plaindre, qu'elle faisait semblant.
Les tueurs cachèrent son corps dans un bidon de 55 gallons avec du ciment ; les auteurs du crime placèrent le container dans un trou recouvert de terre à Koto, Tokyo.
Les parents sont aussi assez coupable selon moi de ne pas avoir agis
selon moi quand tu fais des enfant tu doit être prêt à sacrifier ta vie pour eux , si ils auraient au moins appeler la police quoi
Le 23 janvier 2019 à 11:44:23 EliteNocturne a écrit :
Enfin, je vous laisse imaginer l'enregistrement audio dans l avion de germanwings dont le copilote a volontairement crashé pour se suicider ( et 149 personnes avec lui ).
5 minutes, entre le moment où, le commandant de bord qui était parti pisser, toque à la cabine pour rerentrer, puis s agace, puis finit par s énerver en voyant que l avion est en train de descendre. Le capitaine qui finit par céder à la panique et mettre des coups de hache dans la porte en implorant son copilote de lui ouvrir. En vain.Et tout ça à la vue de tout les passagers, dont on peut imaginer le niveau d'angoisse et de panique au fur et à mesure qu'ils comprennent que le pilote de leur avion est enfermé hors de son cockpit. Aucun survivant.
A ce jour, les enregistrements audio des derniers instants du vol n'ont jamais été rendu public ( ceux sur youtube sont des fakes, provenant toutefois d'un catastrophe similaire ).
Autant j'ai beaucoup de peine pour les cas de suicide mais là si ce type se retrouve en enfer je vais pas me plaindre
Le 22 janvier 2019 à 16:44:08 vintquatrieme a écrit :
Ricardo Lopez etait un americain d'origine UrugayenneIl etait obese, moche, introverti et n'avait jamais eu de relations avec les filles
Dans sa jeunesse il a commencé a s'interessé aux stars et celebrités et il y en avait une particulierement qu'il adorait par dessus tout, la chanteuse Bjork
Il etait fou amoureux d'elle, il etait veritablement obsédé et ne vivait que pour elle
Tellement fou qu'il voulait carrement que son existence et ce qu'il eprouve pour elle ait une incidence sur sa vieIl ecrivait sur un journal toute sa vie et surtout son attachement a Bjork et ce qu'il éprouvait pour elle
Quand il apparit que Bjork eut une relation avec l'artiste Goldie (un artiste brittanique NOIR)
Ca l'a rendu fou de rage, il prit ca comme une trahison de la part de Bjork du fait qu'elle fréquente un noirA partir de la , il commenca a eprouver de la haine envers Bjork du fait de cette relation et commenca a etablir un plan pour la punir de sa "trahison"
Il arreta d'ecrire dans son journal et commenca a se filmer en racontant sa vie etc.... c'etait des films de plusieurs heures a chaque fois , il y en a eu 20 au total
Pour pieger Bjork, au depart il eu l'idée de lui envoyer une bombe rempli d'aiguilles avec du sang contenant du VIH, pour etre sur que ca la suive tout au long de sa vie , mais il se rendit vite compte qu'il serait incapable de realiser un tel projet
Du coup il decida d'etablir le piege suivant: Une bombe a l'acide sulfurique dans un faux livre vidé qui exploserait a la tete de Bjork et la défigurerait à vie
Du coup le 12 Septembre 1996, Ricardo filma sa derniere vidéo , le 20eme et dernier chapitre de son journal vidéo , ou il montra la fabrication de sa bombe artisanale ainsi que l'envoi de ce dernier par La poste
Ensuite dans la vidéo (elle dure plusieurs heures) , on le voit, nu, qui se rase le crane, puis se peint le visage en rouge et vertPuis a la fin il se filme avec un flingue et un grand panneau derriere lui avec ecrit " The Best of me" , avec une musique de Bjork, a la fin de la musique il se tire une balle dans la bouche et meurt.
Bon sang mais la star n'a rien eux non ?
désolé si je poste tant de fois c'est mon dernier commentaire promis
Le 26 janvier 2019 à 00:31:40 cessna51 a écrit :
Je poste cette histoire car j'ai connu le tueur."crime de jalousie"
Le 24 mars 2017, deux jours après la mort de la gérante d'un centre équestre à Trigny (Marne), son ex-compagnon a reconnu les faits et le parquet de Reims a ouvert une information judiciaire pour "meurtre sur ex-concubin", a annoncé vendredi le parquet de Reims.
Le meurtrier présumé, un ouvrier de 45 ans au casier judiciaire vierge résidant dans les Ardennes, devrait être mis en examen dans la journée, a précisé le parquet de Reims, qui a sollicité son placement en détention provisoire.
"Il a expliqué avoir vu rouge en apprenant que la rupture était consommée, a déclaré Matthieu Bourrette, le procureur de la République de Reims lors d'une conférence de presse, qualifiant son acte de "crime de jalousie".
Après une relation tumultueuse de trois ans, le couple s'était séparé définitivement il y a moins d'un mois mais avait eu "une discussion" la veille des faits. Le lendemain, l'homme avait décidé de se rendre tôt au centre équestre "n'acceptant pas la nature définitive de la séparation" avec la victime, a-t-il ajouté.
La jeune femme, 28 ans, était gérante depuis l'été 2016 de ce centre équestre au milieu d'une forêt situé à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Reims. Malgré l'intervention rapide des secours appelés par le palefrenier, elle est décédée peu après avoir reçu deux coups de couteau.
Interpellé environ une heure après les faits et alcoolisé, le suspect a reconnu un seul coup "accidentel" porté au coeur après un échange verbal avec son ancienne compagne. Durant son audition il a ensuite expliqué que "soit il pouvait la récupérer, soit il la tuait avec l'intention de se suicider ensuite", a précisé M. Bourrette.
En garde à vue, le meurtrier présumé, instable psychologiquement mais qui avait arrêté de prendre son traitement médicamenteux, s'est défini comme "très jaloux voire possessif", capable d'être "violent sous l'effet de l'alcool".
Il avait été entendu "quelques semaines plus tôt" suite à une plainte déposée par la défunte pour des faits de violations de domicile, classée sans suite sous condition d'indemnisation, a indiqué le parquet.A ce jour du 26/01/2019 le procès n'a pas encor eu lieu.
info perso
J'ajoute en effet quelques infos perso car je le connaissais personnellement et on travaillais ensemble.
Le matin des faits il devait commencé à 6h du matin où il n'est pas forcément venu sans même prévenir (extrêmement rare dans notre entreprise et encor plus rare de sa part)
Au travail c'était quelqu'un de super cool, calme, drôle et de bien attentionné.
Pour vous dire quand on a su la nouvelle dans la journée ça nous a fait un choc.
Oh y a rien sur internet ??
Le 26 janvier 2019 à 01:44:59 That_Crusader a écrit :
Le 26 janvier 2019 à 00:31:40 cessna51 a écrit :
Je poste cette histoire car j'ai connu le tueur."crime de jalousie"
Le 24 mars 2017, deux jours après la mort de la gérante d'un centre équestre à Trigny (Marne), son ex-compagnon a reconnu les faits et le parquet de Reims a ouvert une information judiciaire pour "meurtre sur ex-concubin", a annoncé vendredi le parquet de Reims.
Le meurtrier présumé, un ouvrier de 45 ans au casier judiciaire vierge résidant dans les Ardennes, devrait être mis en examen dans la journée, a précisé le parquet de Reims, qui a sollicité son placement en détention provisoire.
"Il a expliqué avoir vu rouge en apprenant que la rupture était consommée, a déclaré Matthieu Bourrette, le procureur de la République de Reims lors d'une conférence de presse, qualifiant son acte de "crime de jalousie".
Après une relation tumultueuse de trois ans, le couple s'était séparé définitivement il y a moins d'un mois mais avait eu "une discussion" la veille des faits. Le lendemain, l'homme avait décidé de se rendre tôt au centre équestre "n'acceptant pas la nature définitive de la séparation" avec la victime, a-t-il ajouté.
La jeune femme, 28 ans, était gérante depuis l'été 2016 de ce centre équestre au milieu d'une forêt situé à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Reims. Malgré l'intervention rapide des secours appelés par le palefrenier, elle est décédée peu après avoir reçu deux coups de couteau.
Interpellé environ une heure après les faits et alcoolisé, le suspect a reconnu un seul coup "accidentel" porté au coeur après un échange verbal avec son ancienne compagne. Durant son audition il a ensuite expliqué que "soit il pouvait la récupérer, soit il la tuait avec l'intention de se suicider ensuite", a précisé M. Bourrette.
En garde à vue, le meurtrier présumé, instable psychologiquement mais qui avait arrêté de prendre son traitement médicamenteux, s'est défini comme "très jaloux voire possessif", capable d'être "violent sous l'effet de l'alcool".
Il avait été entendu "quelques semaines plus tôt" suite à une plainte déposée par la défunte pour des faits de violations de domicile, classée sans suite sous condition d'indemnisation, a indiqué le parquet.A ce jour du 26/01/2019 le procès n'a pas encor eu lieu.
info perso
J'ajoute en effet quelques infos perso car je le connaissais personnellement et on travaillais ensemble.
Le matin des faits il devait commencé à 6h du matin où il n'est pas forcément venu sans même prévenir (extrêmement rare dans notre entreprise et encor plus rare de sa part)
Au travail c'était quelqu'un de super cool, calme, drôle et de bien attentionné.
Pour vous dire quand on a su la nouvelle dans la journée ça nous a fait un choc.Oh y a rien sur internet ??
A part les article de presse qui disent la même chose y a pas la photo de la scène ni rien.
L'ange de la mort
Richard Angelo, dit « l’ange de la mort », est un tueur en série américain né le 29 août 1962 à Long Island dans l’État de New York et condamné pour les meurtres de 25 personnes.
Comme la plupart des « infirmiers » de la mort, le mode opératoire de Richard Angelo était le suivant : voulant se faire passer pour un héros, il intoxiquait ses patients et, lorsqu'ils étaient près de la mort, tentait de les sauver afin de paraître comme un héros.
Tiré d’un interrogatoire enregistré :
« Je voulais créer une insuffisance respiratoire ou un autre problème chez les patients et qui auraient été sauvés grâce à mon intervention car je n'avais aucune confiance en moi et je me sentais presque inutile. »
Jeunesse
Né de parents très religieux, Richard Angelo était un enfant unique choyé. Vivant dans une famille modèle, il reçut de bonnes valeurs et était considéré comme un enfant modèle. L’enfant modèle devint un adolescent modèle et, quoique peu sportif, s’adonna au scoutisme, activité dans laquelle il performait très bien, à la chasse et à la pêche. Familial, il avait une très bonne relation avec sa grand-mère, mais étant réservé et solitaire, n’avait pas d’amie de cœur.
Jeune homme studieux et religieux, il occupa le poste d’enfant de chœur à l’Église de Notre-Dame de la Santé Perpétuelle, rôle qu’il occupait avec une grande fierté. Adulte, il ne buvait pas, ne fumait pas et n’avait pas vraiment de vie sociale. C’est en 1980 qu’il trouva sa vocation, et débuta ses études d’infirmier à l’université de Farmingdale à New York pour ensuite décrocher des emplois dans différents centres médicaux et hôpitaux.
Considéré comme doux, calme et gentil par ses pairs, Angelo était pompier volontaire et bien qu’il fut aimé de tous, son estime de soi était très basse et il cherchait désespérément des moyens pour paraître comme le meilleur.
À 26 ans, Angelo fut seul pour la première fois alors que ses parents, retraités, avaient déménagé en Floride. C’est au printemps 1987, lorsqu'il débuta comme infirmier à l’hôpital du Bon Samaritain de Long Island dans le New Jersey que sa carrière de criminel commença.
À 37 reprises lorsque Angelo était d’office à l’hôpital, on enregistra des « codes bleus », soit des situations d’urgence. Sur ces 37 incidents, 20 patients perdront la vie et 12 autres survivront aux traitements de « l’ange de la mort. »Crimes
Angelo semblait être un employé mature et heureux de travailler à l’hôpital du Bon Samaritain. Tout se passait bien à cet endroit, n’était-ce que le nombre grimpant de mortalités aux soins intensifs. Des patients stables lors de la tournée de nuit passaient près de la mort quelques minutes plus tard, situation étrange pour l’hôpital. Sur une période de six semaines, toujours lorsque Angelo travaillait, et toujours sous des circonstances similaires, 25 patients perdirent la vie.
Bien qu’il ne sauvait pas tous les patients, Angelo était toujours prêt à agir et semblait toujours savoir quoi faire, ce qui lui valut une réputation de « sauveur » auprès de quelques collègues, alors que d’autres, dont l’infirmière Lauren Ball, avaient des doutes. Une patiente de 67 ans, Nancy Falabella, était du même avis que Ball et avait déjà averti sa fille qu’elle ne faisait pas confiance à l’infirmier, espérant qu’il ne s’occupe pas d’elle.
C’est pourtant seulement le 11 octobre 1987, après la mort de trois patients consécutifs et des déclarations d’un patient témoin d’un des crimes commis par Angelo que ce dernier fut enfin découvert. C’est à ce moment que l’enquête débuta.Victimes
Richard Angelo aurait tué au total 25 personnes, mais sera tenu coupable pour les meurtres de :
Milton Poultney, 75 ans, en juillet 1987
Anthony Green, 57 ans, en juillet 1987
John Stanley Fisher, 75 ans, le 8 septembre 1987
Frederick LaGois, 66 ans, en septembre 1987
Il aurait également assassiné, entre autres :
Joseph Seider, en juillet 1987Joseph O’Neill, le 21 septembre 1987
Nancy Falabella, 67 ans, le 11 octobre 1987
Joseph Mirabella, 71 ans, le 11 octobre 1987
Ruth Gardeneer, 49 ans, le 14 octobre 1987
Mode opératoire
Angelo empoisonnait ses victimes avec du chlorure de potassium (provoque l’arrêt cardiaque) et l'anectine (provoque une paralysie neuromusculaire).
Bien que ses victimes furent nombreuses, Angelo possédait d’excellentes références et beaucoup d’expérience, le qualifiant mal comme tueur en série. De plus, le but de ce dernier n’était pas de tuer ses victimes, mais bien de les affaiblir dans le but de les sauver et de paraître comme un héros. Enfin, combiné aux deux autres éléments, puisque ses victimes étaient âgées et malades et que les drogues qu’il utilisait étaient disponibles pour tous les infirmiers des soins intensifs, le processus fut long avant de démasquer Angelo.Enquête
C’est lorsqu'un patient avisa l’infirmière Ball qu’un infirmier barbu lui avait injecté un liquide, ce qui l’avait affaibli brusquement, que l’enquête contre Angelo débuta. Après analyse, plusieurs tests démontrèrent la présence des drogues utilisées en très forte quantité dans le sang des victimes.
Le 14 octobre 1987, la police trouva Angelo dans une convention à Albany dans l’État de New York, où on l’appréhenda pour ses crimes. Angelo ne résista pas et ne prit pas beaucoup de temps avant d’avouer ses crimes.Condamnation
Le 26 janvier 2019 à 01:11:26 That_Crusader a écrit :
Le 22 janvier 2019 à 16:44:08 vintquatrieme a écrit :
Ricardo Lopez etait un americain d'origine UrugayenneIl etait obese, moche, introverti et n'avait jamais eu de relations avec les filles
Dans sa jeunesse il a commencé a s'interessé aux stars et celebrités et il y en avait une particulierement qu'il adorait par dessus tout, la chanteuse Bjork
Il etait fou amoureux d'elle, il etait veritablement obsédé et ne vivait que pour elle
Tellement fou qu'il voulait carrement que son existence et ce qu'il eprouve pour elle ait une incidence sur sa vieIl ecrivait sur un journal toute sa vie et surtout son attachement a Bjork et ce qu'il éprouvait pour elle
Quand il apparit que Bjork eut une relation avec l'artiste Goldie (un artiste brittanique NOIR)
Ca l'a rendu fou de rage, il prit ca comme une trahison de la part de Bjork du fait qu'elle fréquente un noirA partir de la , il commenca a eprouver de la haine envers Bjork du fait de cette relation et commenca a etablir un plan pour la punir de sa "trahison"
Il arreta d'ecrire dans son journal et commenca a se filmer en racontant sa vie etc.... c'etait des films de plusieurs heures a chaque fois , il y en a eu 20 au total
Pour pieger Bjork, au depart il eu l'idée de lui envoyer une bombe rempli d'aiguilles avec du sang contenant du VIH, pour etre sur que ca la suive tout au long de sa vie , mais il se rendit vite compte qu'il serait incapable de realiser un tel projet
Du coup il decida d'etablir le piege suivant: Une bombe a l'acide sulfurique dans un faux livre vidé qui exploserait a la tete de Bjork et la défigurerait à vie
Du coup le 12 Septembre 1996, Ricardo filma sa derniere vidéo , le 20eme et dernier chapitre de son journal vidéo , ou il montra la fabrication de sa bombe artisanale ainsi que l'envoi de ce dernier par La poste
Ensuite dans la vidéo (elle dure plusieurs heures) , on le voit, nu, qui se rase le crane, puis se peint le visage en rouge et vertPuis a la fin il se filme avec un flingue et un grand panneau derriere lui avec ecrit " The Best of me" , avec une musique de Bjork, a la fin de la musique il se tire une balle dans la bouche et meurt.
Bon sang mais la star n'a rien eux non ?
désolé si je poste tant de fois c'est mon dernier commentaire promis
Poste mon ami, tu es le bienvenu
Traduction d'un vieux post sur Reddit, je vous préviens c'est approximatif
Cela fait dix ans que ça c’est produit. Je vais vous raconter une histoire terrifiante à laquelle j’ai été mêlé. J’ai eu beaucoup de mal à écrire ce texte parce que je trouvais que ce n’était pas racontable, que les gens n’avaient pas besoin de savoir, que je ne cherchais qu’à attirer l’attention sur moi, à provoquer des réactions bref, je n’avais pas prévu de raconter cette histoire un jour. Mais aujourd’hui je me dis que cela me fera du bien d’en parler, de vider mon sac même si je n’ai pas été seul… enfin presque.
Alors que je cherchais un boulot en parallèle de mes études, j’ai trouvé un poste dans un McDonald. Là-bas j’ai rencontré un type toujours à côté de la plaque, typé … je ne sais pas, il était léton à la base je crois. Il agaçait beaucoup de gens, surtout les managers de par son manque de sérieux et son jemenfoutisme en toute circonstance. Mais c’est devenu mon pote. Comme d’habitude je m’attachais toujours aux personnes dont personne voulait. Ce gars-là, appelons-le Arthur, ne comprenait rien à rien, il arrivait à m’énerver parfois mais qu’est-ce qu’il était drôle. Il se foutait de tout le monde et il est vrai que j’admirais cette forme de « courage » chez lui. Moi qui suis un vrai pleutre qui à la frousse dès que je fais quelque chose qui sort des limites, un garçon bien élevé quoi, je trouvais en ce gars quelque chose de fascinant. Il savait que ce qu’il faisait allait attirer des ennuis, que ce soit sur lui, pour les autres ou les deux, mais il assumait en haussant les épaules, en ricanant. Je pense qu’il à un peu trop abuser de fumette et qu’il en abusait toujours au moment où je l’ai rencontré. Tout le monde pouvait se douter qu’il fumait bien sûr, mais selon moi, il fumait beaucoup plus que de raison et cela lui avait déconnecté quelques neurones. Il aimait boire aussi. Pour ma part je ne fume pas mais je bois oui. J’aime la bière et le whisky. Lui aussi. Enfin, lui, il aime tous les types d’alcool. Bref nous avons fini par nous voir en dehors du boulot pour aller picoler en ville, dans les bars ou dans la maison que lui avait donné ses parents. Pour coire et pour essayer de draguer aussi bien entendu. Nous n’étions pas doués avec les filles mais surtout lui je dois dire. Il n’était pas moche, pas gros, il plaisait la plupart du temps. Mais sa limite intellectuelle (causé par la fumette ou par autre chose ) lui faisait souvent défaut au bout d’une heure de conversation. En plus d’être saoul, il se comportait le plus souvent comme une espèce de racaille alors même que ce n’était pas son milieu… C’est un gars qui à été adopté, ses parents adoptifs ayant une classe sociale plutôt élevée… rien n’expliquait vraiment son comportement, ses écarts et je pouvais imaginer la déception, l’incompréhension de ceux qui avaient essayé de l’élever.
Bref nous étions dans un bar un soir, avec des étudiants et des étudiants. C’était bien après qu’il ce soit fait viré de Mcdo, et encore après que je sois parti moi aussi de l’entreprise 7 mois plus tard. Je le voyais qui galérait avec la fille qu’il avait choisi, une jolie rousse. Moi je tapais la discussion avec une brune pas trop moche et les deux gars avec elles et lui laissait le champ libre avec la rousse. Lorsqu’il s’est absenté au toilette, j’ai même tenu la conversation en 1 contre 4… J’ai reçu un sms et suis allé le rejoindre. Il était ivre et m’accusait de, comme d’habitude, essayé de le rabaisser auprès des gens. Comme souvent je lui ai répondu qu’il se débrouillait tout seul pour ça. Il a rigolé. On était vraiment des bons potes lui et moi, pouvant s’embrouiller de temps en temps sans qu’il y ‘ait de rancunes. On repart retrouver les personnes avec qui nous étions. La discussion continue mais ils doivent bientôt rentrer. Arthur se propose de raccompagner la rousse chez elle, qui hésite avant de décliner. Tous se lèvent et s’en vont, me laissant seul avec Arthur. C’est à partir de ce moment-là que j’ai moi aussi commencé à abuser de l’alcool ce soir-là. Et avec ce qu’il s’est passé, je le regrette. Tous deux alcoolisé au-delà de la bienséance, nous fîmes d’autres rencontres, notamment une bande de jeunes gars avec qui Arthur ne s’entendait pas vraiment. J’ai essayé de faire en sorte à ce qu’ils nous incrustent dans leur soirées qui se déroulait plus tard mais ils ont refusés en ricanant ? Pas grave. Nous avons fait la fermetures des barres, discutant avec plein de gens différent (j’ai même failli m’embrouiller avec un grand type qui embrouillait lui-même une des serveuses qui fermait boutique). Je n’ai pas vraiment « surveillé » Arthur ce soir-là, et, à vrai dire je n’ai que peu de souvenir de cette soirée. Je me rappelle que je me suis fait draguer par un vieux gars tout petit et épileptique parait-il. Très saoul, je lui posait des questions sur son homosexualité et me marrait bien. Arthur, soudain moins saoul que moi, me bassinait pour qu’on aille voir ailleurs, qu’on rentre même. Je l’ai envoyé bouler sèchement et ait continué de discuter avec le gars, qui avait trente ans de plus que moi mais également trente centimètre de moins que moi. Moi aussi j’étais dur à arrêter quand je voulais. Comme c’était moi qui avait conduit ce soir, j’avais emmené Arthur à une place de parking auxquelles nous étions habitué et la discussion se poursuivant avec le vieux, lui et moi nous retrouvâmes dans la voiture. La suite de ma soirée est difficilement racontable pour quelqu’un qui se veut hétéro comme moi. Disons qu’en plus cela s’est mal terminé. J’ai éjecté le vieux de ma caisse et suis rentré chez moi. Sauf que j’avais oublié Arthur… Et c’est là ma grande erreur, la pire que je ferais jamais de ma vie sans doute. Craignant de me faire prendre par les flics avec mon taux d’alcoolémie (en reculant pour sortir de la place de parking, j’avais légèrement heurté un arbre et manqué de rouler sur le vieux) je n’étais pas chaud de prendre le volant après être retourné chez moi, chez mes parents je veux dire. J’ai sorti mon téléphone portable mais il n’avait plus de batterie. Je suis allé dans ma chambre et l’ai mit à charger. J’étais dans un état second, à la limite de l’inconscience mais je voulais voir comment avait fini Arthur… Une sorte de pressentiment si on peut dire avec le recul. Arthur m’avait appelé 12 fois et laissé 4 sms. J’ai lu les sms mais ceux-ci avaient été envoyé encore tôt dans la soirée, quand l’un de nous allait pisser ou quand il était allé à un distributeur essayer de retirer du liquide. Mais l’heure des appels en revanche correspondaient pour la plupart à la période où je discutais avec le vieux, après que je l’ai envoyé chier. Je me rappelle avec peine que je lui ai dit de « dégager » à ce moment-là. Je me rappelle même avec encore plus de douleur son air d’incompréhension, de résignation. Jamais de colère dans ce type. Même malgré le voile d’alcool qui absorbait toutes mes sensations, je me rappelle la pointe de la culpabilité que j’ai ressenti en voyant tout ces appels manqués. Le jour se levait en plus. J’ai essayé de l’appeler. Plein de fois, pendant des jours et des jours. Jamais il n’a répondu. Et plus personne ne l’a jamais revu. J’ai été un des éléments clé de l’enquête bien sûr. Parce que je suis la dernière personne connue avec laquelle il traînait ce soir-là, certes, mais aussi parce qu’en plus des appels et des sms, j’avais plusieurs messages vocaux de lui. Je n’ai pas pu les lire tout de suite car j’avais des problèmes avec ma messagerie, qui ont été résolus rapidement avec l’aide de la police. J’avais 9 messages vocaux d’Athur. Je les ai découvert en même temps que les flics et ses parents.
Il y en a un où il me gueule de répondre, un autre où il dit qu’il rentre à pieds chez ses parents (pas très loin des bars en plus, ce qui rend l’affaire encore plus terrifiante selon moi) et où il m’insulte en riant et en disant que je suis un alcoolique. Malgré la légèreté du ton, ses bredouillages d’ivrogne, je n’arrivais pas à sourire, au contraire ça me glaçait le sang. A ce moment-là, il avait disparu depuis environ deux jours. Et c’est long deux jours pour un gars qui est au chômage, à qui il arrive encore de passer la nuit chez ses parents, et dans une petite ville comme la nôtre en plus…
Mais les 6 autres messages, les plus longs, sont les pires. Si les deux premiers ne disposent pas d’heure d’envois particulièrement intéressants ou troublants, le premier vers 1 h du matin (on s’était perdu de vu juste avant que je rencontre le vieux) et l’autre, où il rentre à pieds, vers 3 h, c’est autre chose pour ces trois-là.
Ils ont été envoyé presque à la suite, entre 4 h 30 et 4 h 43 et durent tous deux minutes, la durée maximale d’un message sur messagerie vocale. On y entends de la musique, du rap apparemment, typiquement le genre de musique qu’il écoute en plus et des frottements. C’est tout. Pendant six fois deux minutes, on ne peut entendre que cela. Du rap et des frottements, comme s’il n’avait pas fait exprès de m’envoyer ses messages, comme si son téléphone était écrasé quelque part et qu’il ne s’était pas rendu compte des messages qu’il envoyait. La police était optimiste à ce moment-là. Moi aussi, le père adoptif d’Arthur aussi. Mais pas sa mère adoptive. Et au final, elle a eu raison. J’ai toujours du mal à y croire, ça fait cliché mais c’est vrai… comment il a pu disparaître comme ça, sans que personne, malgré les moyens mit en œuvre, n’ait plus jamais entendu parler de lui. Il s’était volatilisé. Les flics ont fouillés toutes le pistes, celles de la disparition volontaire, car sa mère lui mettait la pression pour qu’il fasse quelque chose de sa vie, celle d’un meurtre lié à la drogue car on sait qu’il dealait parfois, mais ça ne collait pas avec notre ville, on n’avait pas encore des guerres de la drogues dans nos rues et Arthur achetait plus qu’il ne dealait. Il avait une voiture qu’il n’avait pas fini de payer, qui était resté devant chez mes parents après qu’on ait décidé que cette fois c’est moi qui conduirait, il avait même préparé une surprise pour la fête des mère avec son père… Bref on a jamais revu Arthur depuis, et on est 14 ans plus tard .
Le piratage du Max Headroom ces du génie.
Par contre la fusillade aurait pu être éviter le mec avait appelé la veille une clinique psychiatrique pour dire qui était instable mentalement et que bientot il aller faire du mal, la meuf de l'accueil a dit qu'elle aller le rappeler sauf que cet cruche c'était trompé dans l'orthographe du mec ce qui fait que le type a attendu l'appel toute la journée et la fin il a dit a sa femme "ma vie ce termine ils ont eu leur chance"
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
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