Topic de kongstrong :

Topic du Glauque

pas de nouvelles histoires l'op?
Envoie la suite alors :ok: ça fait quelques jours que t'as rien posté, je ne participe pas mais j'apprécie beaucoup ton topic!

Le 22 janvier 2019 Ă  21:32:51 kongstrong a Ă©crit :
:mort: Tyke l’élĂ©phant :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/2/1548189100-tyke-elephant-640x366.jpg

Battu et torturĂ© pendant 15 ans, un Ă©lĂ©phant s’était rebellĂ© dans un cirque avant de se faire abattre dans la rue
En 1994 Ă  HawaĂŻ, un Ă©vĂ©nement Ă  fait la Une des journaux locaux et AmĂ©ricains. Un Ă©lĂ©phant femelle a Ă©tĂ© abattu dans la rue aprĂšs qu’il se soit dĂ©chaĂźnĂ© dans un cirque, et se soit Ă©chappĂ© hors de l’enclos du site. Pendant une quinzaine d’annĂ©es, la femelle a Ă©tĂ© battue et torturĂ©e, dans le seul but de divertir les gens et pour ses dresseurs de se faire respecter. C’est notamment dans ces conditions que les Ă©lĂ©phants sont dressĂ©s en ThaĂŻlande et dans d’autres pays.

À l’occasion des 20 ans de cette tragique journĂ©e, l’association Peta (Personnes pour un traitement Ă©thique des animaux), avait postĂ© une vidĂ©o en 2014, pour marquer l’évĂ©nement et la mort de l’élĂ©phant Tyke, pris de folie dans un cirque Ă  Honolulu (HawaĂŻ), en 1994. La vidĂ©o montre des images de Tyke, juste avant un spectacle, devenant folle furieuse, et tuant l’un de ses dresseurs et chargeant ensuite dans la rue, piĂ©tinant des passants en courant dans tous les sens.

La vidĂ©o est choquante Ă  plus d’un titre. La “fuite” de l’élĂ©phant, Ă  la recherche de la libertĂ©, s’achĂšve lorsque des gardes tirent Ă  prĂšs de cent reprises sur la bĂȘte. Cette derniĂšre s’écroule aprĂšs avoir fait face Ă  cette pluie de balles....

La Peta utilise ces images pour convaincre les cirques d’abandonner leur exploitation des animaux, affirmant que le dressage qu’ils endurent “les pousse Ă  bout”. “Ce n’est pas surprenant que ces animaux se dĂ©chaĂźnent”, indiquait l’association Ă  l’époque. “Les cirques utilisent la violence, l’intimidation et l’extrĂȘme isolement pour forcer les Ă©lĂ©phants Ă  effectuer des tours stupides. Ces techniques de dressages cruelles sont utilisĂ©es pour briser l’esprit des Ă©lĂ©phants quand ils sont encore seulement des bĂ©bĂ©s, et elles marquent le dĂ©but d’une vie dans laquelle tout ce qui est naturel et important pour ces animaux intelligents et sensibles, oĂč tout leur est supprimĂ©â€.

video https://www.youtube.com/watch?v=F4IH-EqoHws

La pauvre bĂȘte https://image.noelshack.com/fichiers/2017/10/1488917398-sans-titre-23.jpg

Dommage que le sujet ne suit plus comme au début. Pour une fois qu'on a un sujet pareille qui se fait pas 410...

:mort: Un ami Ă©trange en ligne :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/7/1548629437-99176777-breck.jpg

Breck, 14 ans, vivait avec sa mùre et ses trois frùres et sƓurs à Caterham, dans le Surrey.
Il a fréquenté l'école St Bede à Redhill, dans le Surrey, et adorait jouer à des jeux sur Internet.

AprĂšs s'ĂȘtre liĂ© d'amitiĂ© avec un autre joueur en ligne, l'adolescent a Ă©tĂ© attirĂ© Ă  le rencontrer le 17 fĂ©vrier 2014. On lui a offert la propriĂ©tĂ© d'une entreprise fictive de logiciels de plusieurs millions de livres.

L'adolescent s'est rendu dans l'appartement de son ami en ligne, mais a été brutalement tué.

Sa mÚre, Lorin LaFave, a déclaré qu'elle avait exprimé à la police ses inquiétudes au sujet de son fils et de son entretien en ligne avant sa mort.

Qui est Lewis Daynes?

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/7/1548629490-lewis-daynes-breck-bednar-010.jpg

Lewis Daynes, 19 ans, Ă©tait le tueur que Breck avait mis en ligne pendant ses jeux.

Il a envoyĂ© Ă  l’écolier un courriel dĂ©crivant les mensonges Ă  raconter Ă  son pĂšre - qui aurait cru que Breck restait chez un ami de 14 ans.

Le jeune garçon, ùgé de 19 ans, est venu dans son appartement d'Essex.

Il lui a attaché les mains et les chevilles avec du ruban adhésif et lui a tranché la gorge.

Il a par la suite comparu devant le tribunal. Daynes avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© et accusĂ© d'avoir violĂ© un garçon du mĂȘme Ăąge en 2011.

Il a été emprisonné à perpétuité en janvier 2015 aprÚs avoir reconnu son meurtre.

Que savons-nous de l'affaire du meurtre?

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/7/1548629655-24a3f22000000578-2906787-image-a-22-1421085903144.jpg

Le lendemain du meurtre, Daynes a envoyé à des amis des photos du corps de Breck, qui auraient ensuite été vues sur les médias sociaux.

Et lors d'un appel effrayant au 911, on peut entendre Daynes dire à un opérateur de police qu'il s'était battu avec un ami et que «seul l'un de nous est sorti s'il était en vie».

https://www.youtube.com/watch?v=5zh9zS21wi8

Lors de la condamnation de Daynes Ă  au moins 25 ans d'emprisonnement, la juge Laura Cox lui a dĂ©clarĂ© devant la cour de la Couronne de Chelmsford: "Les faits entourant ce meurtre sont extrĂȘmement troublants. Ce meurtre Ă©tait motivĂ© par des raisons sexuelles ou sadiques."

:mort: Chip chan :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/1/1548630078-3-chip10.jpg

Le 6 août 2011, un internaute visionne différentes caméras web non sécurisées, lorsqu'il tombe sur une découverte étrange: une piÚce en désordre avec une femme immobile, des textes en coréen sur des affiches autour d'elle. Sa position inconfortable semble suggérer qu'elle soit morte.

L'internaute poste sa découverte sur le tableau /x/ du bulletin-board 4chan. (/x/ est la section paranormale de 4chan) Rapidement, d'autres internautes s'intéressent à la webcam, et pendant quelques heures, visionnent la caméra live, postent des commentaires, analysent la scÚne et font des spéculations. Finalement, la mystérieuse femme se gratte une jambe, révélant ainsi qu'elle n'est pas morte, mais endormie.

Mais le mystĂšre ne s'arrĂȘte pas lĂ . Certains internautes ont consultĂ© des amis corĂ©ens pour une traduction des affiches. Tous les traducteurs s'entendent pour dire que les Ă©critures comportent des erreurs et que son corĂ©en n'est pas trĂšs bon, elle n'Ă©crirait pas comme qqn qui aurait le corĂ©en comme langue premiĂšre. Les textes sont confus, et il est difficile d'en saisir le sens.

Exemple: "Ne soyez pas dupĂ©s. TĂŽt chaque matin. Si qqn vient et paralyse la personne. Je ne peux pas ĂȘtre arrĂȘtĂ©e." Parfois, elle Ă©crit Ă  l'aide dans ses messages.

La femme fut surnommĂ©e "Chip Chan" par les internautes, et son vrai nom est encore inconnu. Elle habite Ă  SĂ©oul en CorĂ©e du Sud et semble ĂȘtre dans la quarantaine. Elle peut dormir pendant des heures (jusqu'Ă  20 heures selon certains) dans des positions trĂšs inconfortables, souvent assise sur une chaise. Lorsqu'elle ne dort pas, elle va sur son ordinateur portable, mange un peu, fait ses pancartes. Elle sort trĂšs peu, et quand elle le fait, elle se dĂ©guise avant de partir. Elle semble toujours triste. Elle a installĂ© une sorte de pile de boites et de bouteilles d'eau prĂšs de sa porte, qui semble servir d'alarme au cas ou qqn entrerait (mais ça reste une hypothese)

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/1/1548630106-4-chip10.jpg

Le policier

Des internautes au grand talent de détective ont trouvé un WordPress blog qu'elle aurait fait, expliquant son histoire (ainsi que qq vidéos youtube). Elle dit qu'un policier, qu'elle surnomme P, l'aurait enlevée en 1999, et la contrÎlerait contre son gré grùce à un implant dans une de ses jambes. Elle dit avoir découvert cet implant en 2006, et qu'elle a alors compris pourquoi elle vit ces épisodes de sommeil. Elle dit qu'elle tombe inconsciente plutot qu'endormie, et que c'est P qui déclenche ces épisodes.
Elle affirme que ses parents lui ont laissé un gros héritage en mourant, et que P veut cet argent.

Elle dit aussi que c'est P qui a installĂ© les camĂ©ras en 2008, mais qu'elle les utilise maintenant elle-mĂȘme pour savoir ce qui se passe quand elle dort. Parfois, les camĂ©ras cessent de fonctionner pendant des heures. Elle affirme que c'est P qui entre alors dans son appartement.

"Le harceleur utilise cette tactique depuis 2006, depuis j'ai dormi 20 heures chaque jour. Je ne sais pas ce qui est arrivée pendant que je dormais, j'ai toujours eu peur de dormir."

"Le harceleur P entre par effraction aprĂšs avoir arrĂȘtĂ© la camĂ©ra."

"Le policier P de la police corĂ©enne me fait perdre conscience n'importe quand, alors depuis des annĂ©es, je dors sur des chaises. Comment pouvez-vous dormir sur une chaise chaque jour, si vous ne perdez pas conscience? Je ne rĂȘve plus depuis des annĂ©es car je tombe inconsciente."

Et elle dit que puisque P est dans la police, elle ne peut pas avertir les autorités.

HypothĂšses

La majoritĂ© des internautes s'intĂ©ressant Ă  Chip Chan pensent qu'elle a une maladie mentale, et doutent de l'existence de P. Ils mentionnent un problĂšme de narcolepsie (d'ou le sommeil) et une schizophrĂ©nie paranoĂŻaque (d'ou l’invention de P). Toutefois, ses comportements ne correspondent pas du tout aux caractĂ©ristiques de ces maladies. Les narcoleptiques ont de frĂ©quent Ă©pisodes de sommeil qui ne sont pas nĂ©cessairement longs, et les paranoĂŻaques n'accepteraient pas d'ĂȘtre filmĂ©s en direct 24h.

Changements récents

Depuis quelques mois, Chip Chan se plaint sur ses pancartes de diverses douleurs (tĂȘte, ventre, os, poitrine, Ă©paule) et de problĂšmes gastro-intestinaux. On la voit parfois la bouche ouverte, semblant crier de douleur, mais plusieurs pensent qu'elle baille. RĂ©cemment, une affiche semblait dire que ses douleurs seraient des punitions corporelles.
Ça fait plusieurs fois aussi qu'elle poste le nom Park Sung Dong. Certains croient qu'il s'agit du nom de P.

Tentatives pour la contacter.
D'abord, plusieurs ont tenté de la contacter par email.
(L'internaute lui a écrit qu'elle s'inquiétait pour elle et demandait si elle pouvait l'aider)
Merci beaucoup.
J'apprécie que vous vous préoccupiez pour moi.
Je souffre beaucoup Ă  cause du policier P depuis 15 ans.
Il y a plusieurs photos sur mon http://blog.naver.com/qewwer
Maintenant je diffuse et je propage.
Merci.
J'espĂšre rester en contact avec vous.
Je comprends anglais, japonais, coréen.
P est entré dans mon appartement aprÚs avoir interrompu les caméras.

Souvent, ses réponses sont des copier/coller de son histoire. Elle demande aux gens de parler d'elle, de diffuser son histoire, de la traduire dans plusieurs langues.

Elle inclut parfois avec ses emails des photos de policiers coréens qu'elle a pris soit de son appartement, ou dans la rue.

Suivant les indices de lieu sur ces photos, elle a finalement été localisée dans un appartement à Séoul. Un internaute d'Espagne a posté ce lien Google Map . Elle vivrait au deuxiÚme étage.

Qqn a essayé de la contacter par téléphone, elle a décroché, et a ensuite paniqué et éteint les caméras. Devant sa réaction, les internautes qui la "suivent" croient qu'il est préférable de ne pas la contacter directement.

On voit parfois dans la web cam une dame ùgée lui rendre visite. Certains internautes habitant Séoul se sont renseignés et pensent que le couple ùgé qui possÚde une petite épicerie juste à coté de son appartement lui rendraient visite et lui apporteraient de la nourriture.

Ceux qui auraient contacté les autorités coréennes pour demander que la femme soit aidée ont reçu pour réponse qu'il s'agit d'une femme avec un problÚme de santé mentale, et qu'ils la voient de temps en temps protester contre CCTV (China Central Television) ou pour prendre des photos de policier. Ils disent qu'elle ne représente pas un danger.

Le 28 janvier 2019 Ă  00:04:18 kongstrong a Ă©crit :
:mort: Chip chan :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/1/1548630078-3-chip10.jpg

Le 6 août 2011, un internaute visionne différentes caméras web non sécurisées, lorsqu'il tombe sur une découverte étrange: une piÚce en désordre avec une femme immobile, des textes en coréen sur des affiches autour d'elle. Sa position inconfortable semble suggérer qu'elle soit morte.

L'internaute poste sa découverte sur le tableau /x/ du bulletin-board 4chan. (/x/ est la section paranormale de 4chan) Rapidement, d'autres internautes s'intéressent à la webcam, et pendant quelques heures, visionnent la caméra live, postent des commentaires, analysent la scÚne et font des spéculations. Finalement, la mystérieuse femme se gratte une jambe, révélant ainsi qu'elle n'est pas morte, mais endormie.

Mais le mystĂšre ne s'arrĂȘte pas lĂ . Certains internautes ont consultĂ© des amis corĂ©ens pour une traduction des affiches. Tous les traducteurs s'entendent pour dire que les Ă©critures comportent des erreurs et que son corĂ©en n'est pas trĂšs bon, elle n'Ă©crirait pas comme qqn qui aurait le corĂ©en comme langue premiĂšre. Les textes sont confus, et il est difficile d'en saisir le sens.

Exemple: "Ne soyez pas dupĂ©s. TĂŽt chaque matin. Si qqn vient et paralyse la personne. Je ne peux pas ĂȘtre arrĂȘtĂ©e." Parfois, elle Ă©crit Ă  l'aide dans ses messages.

La femme fut surnommĂ©e "Chip Chan" par les internautes, et son vrai nom est encore inconnu. Elle habite Ă  SĂ©oul en CorĂ©e du Sud et semble ĂȘtre dans la quarantaine. Elle peut dormir pendant des heures (jusqu'Ă  20 heures selon certains) dans des positions trĂšs inconfortables, souvent assise sur une chaise. Lorsqu'elle ne dort pas, elle va sur son ordinateur portable, mange un peu, fait ses pancartes. Elle sort trĂšs peu, et quand elle le fait, elle se dĂ©guise avant de partir. Elle semble toujours triste. Elle a installĂ© une sorte de pile de boites et de bouteilles d'eau prĂšs de sa porte, qui semble servir d'alarme au cas ou qqn entrerait (mais ça reste une hypothese)

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/1/1548630106-4-chip10.jpg

Le policier

Des internautes au grand talent de détective ont trouvé un WordPress blog qu'elle aurait fait, expliquant son histoire (ainsi que qq vidéos youtube). Elle dit qu'un policier, qu'elle surnomme P, l'aurait enlevée en 1999, et la contrÎlerait contre son gré grùce à un implant dans une de ses jambes. Elle dit avoir découvert cet implant en 2006, et qu'elle a alors compris pourquoi elle vit ces épisodes de sommeil. Elle dit qu'elle tombe inconsciente plutot qu'endormie, et que c'est P qui déclenche ces épisodes.
Elle affirme que ses parents lui ont laissé un gros héritage en mourant, et que P veut cet argent.

Elle dit aussi que c'est P qui a installĂ© les camĂ©ras en 2008, mais qu'elle les utilise maintenant elle-mĂȘme pour savoir ce qui se passe quand elle dort. Parfois, les camĂ©ras cessent de fonctionner pendant des heures. Elle affirme que c'est P qui entre alors dans son appartement.

"Le harceleur utilise cette tactique depuis 2006, depuis j'ai dormi 20 heures chaque jour. Je ne sais pas ce qui est arrivée pendant que je dormais, j'ai toujours eu peur de dormir."

"Le harceleur P entre par effraction aprĂšs avoir arrĂȘtĂ© la camĂ©ra."

"Le policier P de la police corĂ©enne me fait perdre conscience n'importe quand, alors depuis des annĂ©es, je dors sur des chaises. Comment pouvez-vous dormir sur une chaise chaque jour, si vous ne perdez pas conscience? Je ne rĂȘve plus depuis des annĂ©es car je tombe inconsciente."

Et elle dit que puisque P est dans la police, elle ne peut pas avertir les autorités.

HypothĂšses

La majoritĂ© des internautes s'intĂ©ressant Ă  Chip Chan pensent qu'elle a une maladie mentale, et doutent de l'existence de P. Ils mentionnent un problĂšme de narcolepsie (d'ou le sommeil) et une schizophrĂ©nie paranoĂŻaque (d'ou l’invention de P). Toutefois, ses comportements ne correspondent pas du tout aux caractĂ©ristiques de ces maladies. Les narcoleptiques ont de frĂ©quent Ă©pisodes de sommeil qui ne sont pas nĂ©cessairement longs, et les paranoĂŻaques n'accepteraient pas d'ĂȘtre filmĂ©s en direct 24h.

Changements récents

Depuis quelques mois, Chip Chan se plaint sur ses pancartes de diverses douleurs (tĂȘte, ventre, os, poitrine, Ă©paule) et de problĂšmes gastro-intestinaux. On la voit parfois la bouche ouverte, semblant crier de douleur, mais plusieurs pensent qu'elle baille. RĂ©cemment, une affiche semblait dire que ses douleurs seraient des punitions corporelles.
Ça fait plusieurs fois aussi qu'elle poste le nom Park Sung Dong. Certains croient qu'il s'agit du nom de P.

Tentatives pour la contacter.
D'abord, plusieurs ont tenté de la contacter par email.
(L'internaute lui a écrit qu'elle s'inquiétait pour elle et demandait si elle pouvait l'aider)
Merci beaucoup.
J'apprécie que vous vous préoccupiez pour moi.
Je souffre beaucoup Ă  cause du policier P depuis 15 ans.
Il y a plusieurs photos sur mon http://blog.naver.com/qewwer
Maintenant je diffuse et je propage.
Merci.
J'espĂšre rester en contact avec vous.
Je comprends anglais, japonais, coréen.
P est entré dans mon appartement aprÚs avoir interrompu les caméras.

Souvent, ses réponses sont des copier/coller de son histoire. Elle demande aux gens de parler d'elle, de diffuser son histoire, de la traduire dans plusieurs langues.

Elle inclut parfois avec ses emails des photos de policiers coréens qu'elle a pris soit de son appartement, ou dans la rue.

Suivant les indices de lieu sur ces photos, elle a finalement été localisée dans un appartement à Séoul. Un internaute d'Espagne a posté ce lien Google Map . Elle vivrait au deuxiÚme étage.

Qqn a essayé de la contacter par téléphone, elle a décroché, et a ensuite paniqué et éteint les caméras. Devant sa réaction, les internautes qui la "suivent" croient qu'il est préférable de ne pas la contacter directement.

On voit parfois dans la web cam une dame ùgée lui rendre visite. Certains internautes habitant Séoul se sont renseignés et pensent que le couple ùgé qui possÚde une petite épicerie juste à coté de son appartement lui rendraient visite et lui apporteraient de la nourriture.

Ceux qui auraient contacté les autorités coréennes pour demander que la femme soit aidée ont reçu pour réponse qu'il s'agit d'une femme avec un problÚme de santé mentale, et qu'ils la voient de temps en temps protester contre CCTV (China Central Television) ou pour prendre des photos de policier. Ils disent qu'elle ne représente pas un danger.

Typiquement le genre d'histoire glauque qu'il nous faut :ok:

Le 27 janvier 2019 Ă  23:55:24 kongstrong a Ă©crit :
:mort: Un ami Ă©trange en ligne :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/7/1548629437-99176777-breck.jpg

Breck, 14 ans, vivait avec sa mùre et ses trois frùres et sƓurs à Caterham, dans le Surrey.
Il a fréquenté l'école St Bede à Redhill, dans le Surrey, et adorait jouer à des jeux sur Internet.

AprĂšs s'ĂȘtre liĂ© d'amitiĂ© avec un autre joueur en ligne, l'adolescent a Ă©tĂ© attirĂ© Ă  le rencontrer le 17 fĂ©vrier 2014. On lui a offert la propriĂ©tĂ© d'une entreprise fictive de logiciels de plusieurs millions de livres.

L'adolescent s'est rendu dans l'appartement de son ami en ligne, mais a été brutalement tué.

Sa mÚre, Lorin LaFave, a déclaré qu'elle avait exprimé à la police ses inquiétudes au sujet de son fils et de son entretien en ligne avant sa mort.

Qui est Lewis Daynes?

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/7/1548629490-lewis-daynes-breck-bednar-010.jpg

Lewis Daynes, 19 ans, Ă©tait le tueur que Breck avait mis en ligne pendant ses jeux.

Il a envoyĂ© Ă  l’écolier un courriel dĂ©crivant les mensonges Ă  raconter Ă  son pĂšre - qui aurait cru que Breck restait chez un ami de 14 ans.

Le jeune garçon, ùgé de 19 ans, est venu dans son appartement d'Essex.

Il lui a attaché les mains et les chevilles avec du ruban adhésif et lui a tranché la gorge.

Il a par la suite comparu devant le tribunal. Daynes avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© et accusĂ© d'avoir violĂ© un garçon du mĂȘme Ăąge en 2011.

Il a été emprisonné à perpétuité en janvier 2015 aprÚs avoir reconnu son meurtre.

Que savons-nous de l'affaire du meurtre?

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/04/7/1548629655-24a3f22000000578-2906787-image-a-22-1421085903144.jpg

Le lendemain du meurtre, Daynes a envoyé à des amis des photos du corps de Breck, qui auraient ensuite été vues sur les médias sociaux.

Et lors d'un appel effrayant au 911, on peut entendre Daynes dire à un opérateur de police qu'il s'était battu avec un ami et que «seul l'un de nous est sorti s'il était en vie».

https://www.youtube.com/watch?v=5zh9zS21wi8

Lors de la condamnation de Daynes Ă  au moins 25 ans d'emprisonnement, la juge Laura Cox lui a dĂ©clarĂ© devant la cour de la Couronne de Chelmsford: "Les faits entourant ce meurtre sont extrĂȘmement troublants. Ce meurtre Ă©tait motivĂ© par des raisons sexuelles ou sadiques."

Voilà pourquoi il faut se méfier des irl avec les kheys :hap:

Le 26 janvier 2019 Ă  21:03:48 Boiteapunaise a Ă©crit :
Traduction d'un vieux post sur Reddit, je vous préviens c'est approximatif

Cela fait dix ans que ça c’est produit. Je vais vous raconter une histoire terrifiante Ă  laquelle j’ai Ă©tĂ© mĂȘlĂ©. J’ai eu beaucoup de mal Ă  Ă©crire ce texte parce que je trouvais que ce n’était pas racontable, que les gens n’avaient pas besoin de savoir, que je ne cherchais qu’à attirer l’attention sur moi, Ă  provoquer des rĂ©actions bref, je n’avais pas prĂ©vu de raconter cette histoire un jour. Mais aujourd’hui je me dis que cela me fera du bien d’en parler, de vider mon sac mĂȘme si je n’ai pas Ă©tĂ© seul
 enfin presque.

Alors que je cherchais un boulot en parallĂšle de mes Ă©tudes, j’ai trouvĂ© un poste dans un McDonald. LĂ -bas j’ai rencontrĂ© un type toujours Ă  cĂŽtĂ© de la plaque, typĂ© 
 je ne sais pas, il Ă©tait lĂ©ton Ă  la base je crois. Il agaçait beaucoup de gens, surtout les managers de par son manque de sĂ©rieux et son jemenfoutisme en toute circonstance. Mais c’est devenu mon pote. Comme d’habitude je m’attachais toujours aux personnes dont personne voulait. Ce gars-lĂ , appelons-le Arthur, ne comprenait rien Ă  rien, il arrivait Ă  m’énerver parfois mais qu’est-ce qu’il Ă©tait drĂŽle. Il se foutait de tout le monde et il est vrai que j’admirais cette forme de « courage » chez lui. Moi qui suis un vrai pleutre qui Ă  la frousse dĂšs que je fais quelque chose qui sort des limites, un garçon bien Ă©levĂ© quoi, je trouvais en ce gars quelque chose de fascinant. Il savait que ce qu’il faisait allait attirer des ennuis, que ce soit sur lui, pour les autres ou les deux, mais il assumait en haussant les Ă©paules, en ricanant. Je pense qu’il Ă  un peu trop abuser de fumette et qu’il en abusait toujours au moment oĂč je l’ai rencontrĂ©. Tout le monde pouvait se douter qu’il fumait bien sĂ»r, mais selon moi, il fumait beaucoup plus que de raison et cela lui avait dĂ©connectĂ© quelques neurones. Il aimait boire aussi. Pour ma part je ne fume pas mais je bois oui. J’aime la biĂšre et le whisky. Lui aussi. Enfin, lui, il aime tous les types d’alcool. Bref nous avons fini par nous voir en dehors du boulot pour aller picoler en ville, dans les bars ou dans la maison que lui avait donnĂ© ses parents. Pour coire et pour essayer de draguer aussi bien entendu. Nous n’étions pas douĂ©s avec les filles mais surtout lui je dois dire. Il n’était pas moche, pas gros, il plaisait la plupart du temps. Mais sa limite intellectuelle (causĂ© par la fumette ou par autre chose ) lui faisait souvent dĂ©faut au bout d’une heure de conversation. En plus d’ĂȘtre saoul, il se comportait le plus souvent comme une espĂšce de racaille alors mĂȘme que ce n’était pas son milieu
 C’est un gars qui Ă  Ă©tĂ© adoptĂ©, ses parents adoptifs ayant une classe sociale plutĂŽt Ă©levĂ©e
 rien n’expliquait vraiment son comportement, ses Ă©carts et je pouvais imaginer la dĂ©ception, l’incomprĂ©hension de ceux qui avaient essayĂ© de l’élever.

Bref nous Ă©tions dans un bar un soir, avec des Ă©tudiants et des Ă©tudiants. C’était bien aprĂšs qu’il ce soit fait virĂ© de Mcdo, et encore aprĂšs que je sois parti moi aussi de l’entreprise 7 mois plus tard. Je le voyais qui galĂ©rait avec la fille qu’il avait choisi, une jolie rousse. Moi je tapais la discussion avec une brune pas trop moche et les deux gars avec elles et lui laissait le champ libre avec la rousse. Lorsqu’il s’est absentĂ© au toilette, j’ai mĂȘme tenu la conversation en 1 contre 4
 J’ai reçu un sms et suis allĂ© le rejoindre. Il Ă©tait ivre et m’accusait de, comme d’habitude, essayĂ© de le rabaisser auprĂšs des gens. Comme souvent je lui ai rĂ©pondu qu’il se dĂ©brouillait tout seul pour ça. Il a rigolĂ©. On Ă©tait vraiment des bons potes lui et moi, pouvant s’embrouiller de temps en temps sans qu’il y ‘ait de rancunes. On repart retrouver les personnes avec qui nous Ă©tions. La discussion continue mais ils doivent bientĂŽt rentrer. Arthur se propose de raccompagner la rousse chez elle, qui hĂ©site avant de dĂ©cliner. Tous se lĂšvent et s’en vont, me laissant seul avec Arthur. C’est Ă  partir de ce moment-lĂ  que j’ai moi aussi commencĂ© Ă  abuser de l’alcool ce soir-lĂ . Et avec ce qu’il s’est passĂ©, je le regrette. Tous deux alcoolisĂ© au-delĂ  de la biensĂ©ance, nous fĂźmes d’autres rencontres, notamment une bande de jeunes gars avec qui Arthur ne s’entendait pas vraiment. J’ai essayé de faire en sorte Ă  ce qu’ils nous incrustent dans leur soirĂ©es qui se dĂ©roulait plus tard mais ils ont refusĂ©s en ricanant ? Pas grave. Nous avons fait la fermetures des barres, discutant avec plein de gens diffĂ©rent (j’ai mĂȘme failli m’embrouiller avec un grand type qui embrouillait lui-mĂȘme une des serveuses qui fermait boutique). Je n’ai pas vraiment « surveillé » Arthur ce soir-lĂ , et, Ă  vrai dire je n’ai que peu de souvenir de cette soirĂ©e. Je me rappelle que je me suis fait draguer par un vieux gars tout petit et Ă©pileptique parait-il. TrĂšs saoul, je lui posait des questions sur son homosexualitĂ© et me marrait bien. Arthur, soudain moins saoul que moi, me bassinait pour qu’on aille voir ailleurs, qu’on rentre mĂȘme. Je l’ai envoyĂ© bouler sĂšchement et ait continuĂ© de discuter avec le gars, qui avait trente ans de plus que moi mais Ă©galement trente centimĂštre de moins que moi. Moi aussi j’étais dur Ă  arrĂȘter quand je voulais. Comme c’était moi qui avait conduit ce soir, j’avais emmenĂ© Arthur Ă  une place de parking auxquelles nous Ă©tions habituĂ© et la discussion se poursuivant avec le vieux, lui et moi nous retrouvĂąmes dans la voiture. La suite de ma soirĂ©e est difficilement racontable pour quelqu’un qui se veut hĂ©tĂ©ro comme moi. Disons qu’en plus cela s’est mal terminĂ©. J’ai Ă©jectĂ© le vieux de ma caisse et suis rentrĂ© chez moi. Sauf que j’avais oubliĂ© Arthur
 Et c’est lĂ  ma grande erreur, la pire que je ferais jamais de ma vie sans doute. Craignant de me faire prendre par les flics avec mon taux d’alcoolĂ©mie (en reculant pour sortir de la place de parking, j’avais lĂ©gĂšrement heurtĂ© un arbre et manquĂ© de rouler sur le vieux) je n’étais pas chaud de prendre le volant aprĂšs ĂȘtre retournĂ© chez moi, chez mes parents je veux dire. J’ai sorti mon tĂ©lĂ©phone portable mais il n’avait plus de batterie. Je suis allĂ© dans ma chambre et l’ai mit Ă  charger. J’étais dans un Ă©tat second, Ă  la limite de l’inconscience mais je voulais voir comment avait fini Arthur
 Une sorte de pressentiment si on peut dire avec le recul. Arthur m’avait appelĂ© 12 fois et laissĂ© 4 sms. J’ai lu les sms mais ceux-ci avaient Ă©tĂ© envoyĂ© encore tĂŽt dans la soirĂ©e, quand l’un de nous allait pisser ou quand il Ă©tait allĂ© Ă  un distributeur essayer de retirer du liquide. Mais l’heure des appels en revanche correspondaient pour la plupart Ă  la pĂ©riode oĂč je discutais avec le vieux, aprĂšs que je l’ai envoyĂ© chier. Je me rappelle avec peine que je lui ai dit de « dĂ©gager » Ă  ce moment-lĂ . Je me rappelle mĂȘme avec encore plus de douleur son air d’incomprĂ©hension, de rĂ©signation. Jamais de colĂšre dans ce type. MĂȘme malgrĂ© le voile d’alcool qui absorbait toutes mes sensations, je me rappelle la pointe de la culpabilitĂ© que j’ai ressenti en voyant tout ces appels manquĂ©s. Le jour se levait en plus. J’ai essayĂ© de l’appeler. Plein de fois, pendant des jours et des jours. Jamais il n’a rĂ©pondu. Et plus personne ne l’a jamais revu. J’ai Ă©tĂ© un des Ă©lĂ©ments clĂ© de l’enquĂȘte bien sĂ»r. Parce que je suis la derniĂšre personne connue avec laquelle il traĂźnait ce soir-lĂ , certes, mais aussi parce qu’en plus des appels et des sms, j’avais plusieurs messages vocaux de lui. Je n’ai pas pu les lire tout de suite car j’avais des problĂšmes avec ma messagerie, qui ont Ă©tĂ© rĂ©solus rapidement avec l’aide de la police. J’avais 9 messages vocaux d’Athur. Je les ai dĂ©couvert en mĂȘme temps que les flics et ses parents.
Il y en a un oĂč il me gueule de rĂ©pondre, un autre oĂč il dit qu’il rentre Ă  pieds chez ses parents (pas trĂšs loin des bars en plus, ce qui rend l’affaire encore plus terrifiante selon moi) et oĂč il m’insulte en riant et en disant que je suis un alcoolique. MalgrĂ© la lĂ©gĂšretĂ© du ton, ses bredouillages d’ivrogne, je n’arrivais pas Ă  sourire, au contraire ça me glaçait le sang. A ce moment-lĂ , il avait disparu depuis environ deux jours. Et c’est long deux jours pour un gars qui est au chĂŽmage, Ă  qui il arrive encore de passer la nuit chez ses parents, et dans une petite ville comme la nĂŽtre en plus

Mais les 6 autres messages, les plus longs, sont les pires. Si les deux premiers ne disposent pas d’heure d’envois particuliĂšrement intĂ©ressants ou troublants, le premier vers 1 h du matin (on s’était perdu de vu juste avant que je rencontre le vieux) et l’autre, oĂč il rentre Ă  pieds, vers 3 h, c’est autre chose pour ces trois-lĂ .
Ils ont Ă©tĂ© envoyĂ© presque Ă  la suite, entre 4 h 30 et 4 h 43 et durent tous deux minutes, la durĂ©e maximale d’un message sur messagerie vocale. On y entends de la musique, du rap apparemment, typiquement le genre de musique qu’il Ă©coute en plus et des frottements. C’est tout. Pendant six fois deux minutes, on ne peut entendre que cela. Du rap et des frottements, comme s’il n’avait pas fait exprĂšs de m’envoyer ses messages, comme si son tĂ©lĂ©phone Ă©tait Ă©crasĂ© quelque part et qu’il ne s’était pas rendu compte des messages qu’il envoyait. La police Ă©tait optimiste Ă  ce moment-lĂ . Moi aussi, le pĂšre adoptif d’Arthur aussi. Mais pas sa mĂšre adoptive. Et au final, elle a eu raison. J’ai toujours du mal Ă  y croire, ça fait clichĂ© mais c’est vrai
 comment il a pu disparaĂźtre comme ça, sans que personne, malgrĂ© les moyens mit en Ɠuvre, n’ait plus jamais entendu parler de lui. Il s’était volatilisĂ©. Les flics ont fouillĂ©s toutes le pistes, celles de la disparition volontaire, car sa mĂšre lui mettait la pression pour qu’il fasse quelque chose de sa vie, celle d’un meurtre liĂ© Ă  la drogue car on sait qu’il dealait parfois, mais ça ne collait pas avec notre ville, on n’avait pas encore des guerres de la drogues dans nos rues et Arthur achetait plus qu’il ne dealait. Il avait une voiture qu’il n’avait pas fini de payer, qui Ă©tait restĂ© devant chez mes parents aprĂšs qu’on ait dĂ©cidĂ© que cette fois c’est moi qui conduirait, il avait mĂȘme prĂ©parĂ© une surprise pour la fĂȘte des mĂšre avec son pĂšre
 Bref on a jamais revu Arthur depuis, et on est 14 ans plus tard .

tu pourrais poster la version originale de l'article si tu l'as khey ?

Il ne me semble pas avoir lu de post sur siĂšge de Waco?

Un gourou qui se prend pour JĂ©sus, une secte apocalyptique, un siĂšge de 51 jours qui se Termine par un feu de lÂŽenfer et un bilan de plus de 80 morts...

Intro de Wikipedia:
"Le siĂšge de Waco est un blocus qui s'est dĂ©roulĂ© du 28 fĂ©vrier au 19 avril 1993 Ă  la rĂ©sidence du groupe religieux les « Branch Davidians » dans la ville de Elk, prĂšs de Waco au Texas, aux États-Unis. 82 personnes dont 21 enfants et le leader du groupe, David Koresh, pĂ©rirent, principalement dans l'incendie qui mit un terme aux 51 jours de siĂšge par les forces de police. "

Désolé jŽai pas trop le temps de développer. Il y a un Petit Reportage interessant sur YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=YbshusFkPFM

Allez je me lance je poste un article :

Richard Kuklinski 11 avril 1935 - 5 mars 2006

Aussi connu sous le nom de Ice Man était un criminel et tueur à gages américain d'origine polonaise et chinoise

Il travailla pour plusieurs familles mafieuses italo-amĂ©ricaines. Il a avouĂ© avoir tuĂ© plus de cent personnes durant sa carriĂšre qui a durĂ© trente ans, et en a probablement tuĂ© environ 250. Il est mort de cause naturelle en 2006 en prison aprĂšs avoir Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  deux peines Ă  perpĂ©tuitĂ©. Il Ă©tait le frĂšre aĂźnĂ© de Joseph Kuklinski, lui-mĂȘme violeur et meurtrier. La mort de cause naturelle a Ă©tĂ© remise en question. Il devait comparaĂźtre contre des parrains de la famille Gambino, qui auraient commanditĂ© son assassinat, et qui furent arrĂȘtĂ©s par le FBI lors de l'opĂ©ration « Old Bridge », dĂ©but 2008.

NĂ© en 1935 Ă  Jersey City dans le New Jersey, en banlieue de New York et Ă©levĂ© par un pĂšre violent et alcoolique, Richard Kuklinski commet son premier meurtre Ă  treize ans1, sur le caĂŻd de sa classe. En 1973, il est recrutĂ© par la mafia. Son absence totale d'Ă©motions et de remords lui permet de travailler avec les plus grandes familles mafieuses des États-Unis. Il devient grĂące Ă  sa carrure impressionnante — 135 kg pour 1,95 m — le tueur attitrĂ© de la famille Gambino.

Une de ses particularitĂ©s Ă©tait de filmer ses victimes en train de se faire dĂ©vorer vivantes par des rats, comme le lui demandaient ses commanditaires. Le surnom de "Ice Man" provient des policiers qui enquĂȘtĂšrent sur lui ; ils le surnommĂšrent ainsi car Kuklinski maquillait l'horaire de la mort des victimes en congelant leurs corps dans une chambre froide industrielle. Avant de mourir en prison, Kuklinski a rĂ©pondu aux questions des journalistes et ainsi livrĂ© ses secrets, permettant l'Ă©criture de The Ice Man: Confessions of a Mafia Contract Killer (Confessions d'un tueur Ă  gages). On le considĂšre toujours comme l'un des tueurs les plus sombres, les plus violents et les plus complexes de son Ă©poque.

Petit documentaire sur son entretien avec des journalistes avant de mourir en prison : https://www.dailymotion.com/video/x2llnh

Wikipedia anglais beaucoup plus complet mais là j'ai pas le temps de le traduire et je veux pas faire un copié collé qui va donner une traduction éco+.

Je vous conseille vraiment la lecture du wiki anglais et de visionner des documentaires, il y a des anecdotes terribles.
https://en.wikipedia.org/wiki/Richard_Kuklinski

Une fois, lors d'un rendez-vous avec un mafieux, pour un futur contrat, ce dernier montra un homme qui baladait son chien et demande a Kuklinski de le tuer. Sans aucune raison, cet homme Ă©tait juste en train de promener son chien. Kuklinski sorta de la voiture et mit une balle dans la tĂȘte de l'homme comme si de rien n'Ă©tait et retourna dans la voiture.
Une autre fois, il s'Ă©tait acheter une arbalĂšte et voulait la tester pour voir si c'est aussi efficace qu'une arme Ă  feu. Il se rendit dans un parc et tira dans la tĂȘte d'un joggeur pour voir si on pouvait mourir sur le coup.

Cet homme n'avait absolument aucune compassion pour ses victimes.

Le 23 janvier 2019 Ă  21:52:35 Boiteapunaise a Ă©crit :
L’affaire LĂ©a Boltin

LĂ©a Boltin Ă©tait une jeune femme Ă  peine ĂągĂ©e de 18 ans en passe de devenir militaire au 511 Ăšme rĂ©giment du train, Ă  Auxonne. EntrĂ©e dans l’institution le premier dĂ©cembre 2014, elle fut portĂ©e disparue le 16 juillet de la mĂȘme annĂ©e alors qu’elle atteignait avec brio la fin de ses classes.

Biographie :

LĂ©a Boltin est nĂ©e Ă  Paris le 9 aoĂ»t 1996. Son pĂšre Philippe Boltin, ancien militaire, est devenu carrossier suite Ă  une blessure et sa mĂšre Caroline Boltin, anciennement Houveau, est femme au foyer. La famille fut plusieurs fois au bord de la misĂšre, mais la mĂšre possĂ©dant par chance un don pour le poker, rĂ©ussit Ă  maintenir la famille Ă  flot. De plus, vers les annĂ©es 2000 les activitĂ©s du pĂšre s’arrangĂšrent beaucoup lorsqu’il s’associe Ă  un mĂ©canicien, montant avec lui un garage qui deviendra une vraie entreprise qui marcha trĂšs bien. LĂ©a connut donc malgrĂ© quelques pĂ©riodes creuses, une enfance normale malgrĂ© quelques soucis de poids. AprĂšs un baccalaurĂ©at littĂ©raire et une dĂ©ception amoureuse qu’elle vĂ©cu trĂšs mal aux alentours de 2013, LĂ©a dĂ©cide de commencer une nouvelle vie et s’engage dans l’armĂ©e, voulant en finir une bonne fois pour toute avec ses problĂšmes de poids entre autre.
ApprĂ©ciĂ©e par ses supĂ©rieurs et travaillant dur, elle finit major de sa promotion et semble encline Ă  une belle carriĂšre dans l’armĂ©e de terre française.

Fait :

C’est aprĂšs ĂȘtre rentrĂ©e chez elle pour le dernier week-end avant la fin des classes que LĂ©a disparaĂźt soudainement. AprĂšs avoir passĂ© la fin de semaine en compagnie de sa famille, LĂ©a prend le train pour rentrer Ă  son rĂ©giment oĂč il est prĂ©vu qu’elle passe la nuit de dimanche Ă  lundi. Malheureusement, LĂ©a n’arrivera jamais dans sa chambre au rĂ©giment.
DĂ©barrassĂ©e de sa timiditĂ© au fil des mois qu’elle a passĂ© Ă  l’armĂ©e, LĂ©a put discuter avec quelques voyageurs dans la gare et c’est grĂące Ă  cela que les forces de police purent retrouver sa trace et ainsi reconstituer les faits mĂȘme si de nombreuses zones d’ombre existent. Son train partant Ă  19 h 23 en destination d’Auxonne, il est prĂ©vu qu’elle arrive de nuit et qu’un collĂšgue passerait la chercher Ă  la gare pour l’emmener au rĂ©giment. StĂ©phane Felautako, son camarade, l’attendit Ă  la gare plus d’une heure en lui envoyant plusieurs messages et en essayant de l’appeler plusieurs fois sur son portable sans qu’elle ne rĂ©ponde. ExceptĂ© une fois. En effet, lorsque StĂ©phane appela pour la deuxiĂšme fois alors que cela faisait plus de quarante-cinq minute qu’il attendait, LĂ©a ou quelqu’un d’autre dĂ©crocha pendant deux secondes. StĂ©phane dĂ©crivit ce qu’il avait entendu par les mots qui suivent : « Un bruit sourd et un claquement sec puis plus rien. » AprĂšs cela StĂ©phane appela l’encadrement qui s’occupait de leur classe et les mit au courant sans que cela n’inquiĂšte les officiers et sous-officiers. Il Ă©tait frĂ©quent que les jeunes engagĂ©s aient du mal Ă  arriver Ă  l’heure Ă  la fin d’un week-end mĂȘme si cela ne ressemblait pas Ă  LĂ©a. C’est le lendemain constatant qu’elle n’était toujours pas rĂ©apparue que le lieutenant Pourcole tĂ©lĂ©phona aux parents de LĂ©a pour savoir si elle n’était pas encore chez eux. Abasourdis, les Boltin rĂ©pondirent que non, que leur fille avait prit le train vers 19 h et qu’elle Ă©tait censĂ© arriver au rĂ©giment vers les 22 h au plus tard. C’est Ă  ce moment-lĂ  que le lieutenant appelle la police.
L’enquĂȘte permit de confirmer que LĂ©a avait bien prit le bon train Ă  la bonne heure le dimanche 16 juillet 2014. Mais n’était pas arrivĂ©e Ă  Auxonne. Quelque chose s’était produit.

Quelques personnes avec qui LĂ©a avait rapidement fait connaissance Ă  la gare avant d’embarquer tĂ©moignĂšrent et affirmaient qu’elle Ă©tait bien descendue Ă  la correspondance de Dijon-ville. Elle avait donc dix minutes pour attraper le train qui l’amĂšnerait Ă  Auxonne. Brigitte B. prĂ©cise mĂȘme que la jeune femme stressait de ne pas rĂ©ussir Ă  arriver Ă  temps et de rater son train, surtout avec sa grosse valise et son gros sac. Un homme Ă©coutant la conversation se serait alors proposĂ© de l’aider Ă  porter ses affaires, lui aussi faisant route pour Auxonne. A ce que Brigitte et les quelques autres personnes ayant Ă©tĂ© prĂ©sent, LĂ©a avait gentiment refusĂ©e l’offre de l’homme, qui avait une apparence qualifiĂ©e par Brigitte de : « Louche, il est vrai ». AprĂšs plusieurs jours d’investigation, la police parvint Ă  retrouver l’homme en question et celui-ci devint donc le principal suspect. Vivant entre deux adresses et plutĂŽt seul, il n’avait pas d’alibi solide mais il s’avĂ©ra que ne possĂ©dant pas de vĂ©hicules ni aucun antĂ©cĂ©dents judiciaires, cet homme ne correspondait pas au profil. De plus des camĂ©ras de surveillance rĂ©vĂ©lĂšrent que LĂ©a avait quittĂ©e la gare de Dijon-ville seule, peu avant que son train pour Auxonne ne parte.
La police pencha donc pour la thĂ©orie suivante : craignant de rater son train, LĂ©a avait donc optĂ© pour un voyage en taxi, plus onĂ©reux mais plus sĂ»r. La police rĂ©ussit donc Ă  retrouver un chauffeur de taxi qui se rappelait d’elle mais qui jura ne pas l’avoir prise dans son vĂ©hicule pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait retrouvĂ©e un homme qu’elle connaissait alors mĂȘme qu’elle allait lui demander une course. Le remerciant, elle s’était ensuite allĂ©e vers une voiture blanche avec Ă  son bord un homme de couleur noire. La police prit tout de mĂȘme le signalement du chauffeur de taxi mais saisirent aussitĂŽt cette piste et contactĂšrent le 511 Ăšme rĂ©giment du train. Le lieutenant Pourcole leur affirma qu’il ne manquait personne parmi la promotion de LĂ©a. La police s’oriente donc vers les autres militaires du rĂ©giment, nombreux Ă©tant ceux qui avaient eut le temps de faire connaissance avec LĂ©a, qui Ă©tait devenue une jeune femme plutĂŽt jolie et qui n’avait plus la langue dans sa poche. Sans succĂšs.
La police revint donc vers le chauffeur de taxi, qui ne comprenait pas, qu’il avait peut-ĂȘtre mal compris, que peut-ĂȘtre Ă©tait-ce un homme qui avait entendu oĂč est-ce qu’elle comptait se rendre et qui se proposait gentiment de l’amener pour rien. La course en taxi de Dijon-ville Ă  Auxonne se rĂ©vĂ©lant chĂšre, il est possible que LĂ©a ait sautĂ©e sur l’occasion d’économiser une ou deux centaine d’euros. De plus rien dans le compteur du taxi ne trahissait que celui-ci l’avait prise. En effet, peu aprĂšs 21h 15, il emmenait dĂ©jĂ  une autre cliente. La police retrouva cette dite cliente qui affirma. Le chauffeur de taxi fut donc hors de cause.
MalgrĂ© des semaines d’enquĂȘte, la police ne trouva aucun autre Ă©lĂ©ments et l’affaire fut rangĂ©e dans le dossiers non-rĂ©solus Ă  ce jour encore.

Quelques mois plus tard, on fit remonter un sac militaire semblant appartenir à Léa Boltin qui fut trouvé dans un bois aux alentours de Sémur-en-Auxois, non-loin du parc Naturel Régional du Morvan. Il était vide, hormis quelques affaires moisies. Ce nouvel élément ne permit pas de retrouver la jeune femme.

J'ai rien trouvé sur Google :(

Le 28 janvier 2019 Ă  08:58:02 PasDDBouCancer a Ă©crit :
Il ne me semble pas avoir lu de post sur siĂšge de Waco?

Un gourou qui se prend pour JĂ©sus, une secte apocalyptique, un siĂšge de 51 jours qui se Termine par un feu de lÂŽenfer et un bilan de plus de 80 morts...

Intro de Wikipedia:
"Le siĂšge de Waco est un blocus qui s'est dĂ©roulĂ© du 28 fĂ©vrier au 19 avril 1993 Ă  la rĂ©sidence du groupe religieux les « Branch Davidians » dans la ville de Elk, prĂšs de Waco au Texas, aux États-Unis. 82 personnes dont 21 enfants et le leader du groupe, David Koresh, pĂ©rirent, principalement dans l'incendie qui mit un terme aux 51 jours de siĂšge par les forces de police. "

Désolé jŽai pas trop le temps de développer. Il y a un Petit Reportage interessant sur YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=YbshusFkPFM

Je rajoute que cette histoire à inspiré la map Oregon sur Rainbox six siÚge.

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495552452-mountcarmelfire04-19-93-g.jpg
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495552537-r6-game-info-map-oregon-14-229739.jpg

:mort: Les appels de l’au-delà :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/1/1548705896-p2.jpeg

En 2008, deux trains sont entrés en collision dans la Vallée de San Fernando en Californie. 25 personnes ont perdu la vie dans ce terrible accident.

Parmi elles, il y avait Charles E. Peck. Cet homme se rendait Ă  un entretien d’embauche et avait de beaux projets d’avenir, comme Ă©pouser sa petite amie. Pendant les 11 heures qui suivirent l’accident, 35 appels furent passĂ©s du portable de Charles vers sa famille. Sa copine, sa mĂšre, son fils
tous ont reçu des appels. DĂšs lors qu’ils dĂ©crochaient, ils n’entendaient que des bruits parasites. Pour eux c’était sĂ»r, Charles Ă©tait vivant et il tentait de les joindre, bloquĂ© dans les dĂ©combres de l’accident.

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/05/1/1548705913-p1.jpg

Or, le corps sans vie de Charles a Ă©tĂ© retrouvĂ© dans l’un des premiers wagons du train. L’autopsie a rĂ©vĂ©lĂ© qu’il avait Ă©tĂ© tuĂ© sur le coup et qu’il Ă©tait absolument impossible qu’il ait passĂ© des appels aux heures oĂč les appels ont Ă©tĂ© recensĂ©s. Son tĂ©lĂ©phone portable lui n’a jamais Ă©tĂ© retrouvĂ©.

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Auteur
kongstrong
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11 janvier 2019 Ă  16:05:48
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