Topic du Glauque
Very Idham Henyansyah, également connu sous le nom de Ryan, est un tueur en série indonésien1. Il a avoué avoir tué 11 personnes et a été condamné à mort. Very est en attente d'exécution au pénitencier de Kesambi à Cirebon. Il a été arrêté en 20081.
Cette affaire a acquis une notoriété certaine en Indonésie en raison de la nature horrible des meurtres. Le corps de l'une de ses victimes a été retrouvé au bord de la route de Jakarta découpé en sept morceaux embrochés sur une barre2,1. Very enterrait le corps de ses victimes dans la cour de sa maison à Jombang Regency dans la province de Java oriental3.
Après son arrestation, il a été surnommé le « tueur en série chantant » car pour divertir les gardiens, les autres détenus et le public des médias, il a pris l'habitude de chanter dans sa cellule les chansons d'un prochain album2,4.
En février 2009, Very a publié une autobiographie intitulée The Untold Story of Ryan. Il y explique qu'il enseignait autrefois le Coran avant de devenir modèle2.
Very est ouvertement homosexuel et il a avoué que la plupart de ses victimes étaient aussi des hommes homosexuels. Very a admis avoir tué une de ses victimes après qu'elle lui eut offert de l'argent et une voiture pour avoir des relations sexuelles avec son petit ami2. Cependant, en octobre 2010, il a annoncé qu'il avait l'intention de se marier avec une trafiquante de drogue, Eny Wijaya, qu'il avait rencontrée en 2008 quand ils étaient tous les deux détenus au Centre de détention de Jakarta. Eny Wijaya a été libérée du pénitencier de Pondok Bambu en septembre 2010. Une des raisons de ce mariage alors que Very est homosexuel est d'accomplir le vœu de sa mère qu'il soit marié1.
Suradji, un éleveur né en 1949, également connu comme Nasib Kelewang, ou par son nom d'emprunt Datuk, reconnaît sous la torture avoir tué 42 femmes en 11 ans. Ses victimes, de 11 à 30 ans, ont été étranglées avec un câble après avoir été enterrées jusqu'à la taille dans la terre au cours d'un rituel. Suradji a été arrêté le 2 mai 1997, après que des corps furent découverts près de sa maison à la périphérie de Medan, capitale de Sumatra du Nord. Il a enterré ses victimes dans une plantation de cannes à sucre près de son domicile, les têtes des victimes faisant face à son habitation, croyant que cela lui donnerait une puissance supplémentaire.
Il a dit à la police qu'en 1988 il a fait un rêve au cours duquel le fantôme de son père lui a ordonné de tuer 70 femmes et de boire leur salive, pour devenir un guérisseur mystique. Comme il était sorcier, les femmes venaient le consulter pour le conseil spirituel ou pour devenir plus belles ou plus riches. Ses trois épouses -toutes sœurs- ont été également arrêtées pour complicités de meurtres et avoir aidé leur époux à cacher les corps.
Le procès qui a débuté le 11 décembre 1997, comportait un dossier de 363 pages. Continuant à clamer son innocence, Suradji et Tumini (la première de ses épouses) ont été jugés coupables le 27 avril 1998, puis condamnés à mort. Ils ont été fusillés le 10 juillet 20081,2. Les deux autres sœurs Tumini fuiront la ville.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ahmad_Suradji
Les sœurs Raya et Sakina sont des tueuses en série égyptiennes, responsables du meurtre de près de 17 femmes dans le quartier de Labban (en) à Alexandrie, au début du xxe siècle.
Condamnées à mort, elles sont exécutées le 21 décembre 1921 par pendaison.
Biographie
Les deux sœurs sont nées en Haute Égypte, Raya est l'aînée de sept ans. Après le décès de leur père, la famille déménage à Beni Suef puis à Kafr El Zayyat (en), où Raya travaille dans la collecte de coton. Elle y épouse Hasb-Allah Said, avec qui elle a une fille nommée Badia ainsi qu'un fils décédé peu de temps après sa naissance. Sakina déménage en 1918 avec son mari dans le quartier Labban à Alexandrie ; l'aînée la rejoint ensuite avec sa famille. Sakina divorce peu après et épouse Mohammed Abdel-Al, leur voisin de l'époque.
Contexte
L'Egypte est au début du xxe siècle confrontée à d'importantes difficultés économiques, en raison du chômage et des coûts de la Première Guerre mondiale. La prostitution et les débits d'alcools sont, à l'époque, légalisés par l'Empire britannique, ce qui permet à Raya et Sakina d'ouvrir de nombreuses maisons closes et de se lancer dans le proxénétisme.
Mode opératoire
Entre le 20 décembre 1919 et le 12 novembre 1920, Raya et Sakina, assistées de leurs maris, Hasb-Allah Saïd et Mohamed Abd El-'Al, ainsi que de deux autres complices Orabi Hassan et Abd El-Razik Yossef travaillant comme gardes des maisons closes, kidnappent et tuent 17 femmes égyptiennes avant d'enterrer leurs corps sous leurs maisons dans les vieux quartiers d'Alexandrie2.
Les victimes sont des prostituées et d'anciennes travailleuses des maisons closes gérées par Raya et Sakina. La plupart connaissent personnellement les deux femmes et sont amies avec elles depuis de nombreuses années. Les deux sœurs et leurs complices procèdent souvent de la même manière. Les deux femmes attirent d'abord la victime dans une des maisons des complices et leur offrent de l'alcool. Les complices masculins se chargent ensuite de maitriser physiquement la victime en restreignant ses mouvements, puis ils la tuent par étouffement à l'aide d'un linge mouillé placé sur le nez et la bouche. Une fois décédée, la victime est dépouillée de ses bijoux, vêtements et objets de valeur, puis enterrée sur le lieu du crime. Les hommes retirent le carrelage du sol, creusent un trou, enterrent le corps puis replacent les carreaux. Les deux sœurs vendent ensuite l'or dérobé à un orfèvre avant de partager le butin avec leurs complices3.
Enquête et arrestation
Peu avant le début de l'enquête, la police note une augmentation des signalements pour personnes disparues, toutes étant des femmes présentées comme portant des bijoux en or et transportant une grande quantité d'argent. Nombre d'entre elles sont vues pour la dernière fois en compagnie d'au moins une des deux sœurs. Raya et Sakina sont donc interrogées plusieurs fois dans le cadre des enquêtes, mais réussissent à éviter les soupçons des enquêteurs quant à leur éventuelle implication.
Cependant, le matin du 11 décembre 1920, un passant découvre le corps d'une femme sur le bord de la route. Le corps, complètement démembré, est endommagé au point d'être méconnaissable, à l'exception de ses longs cheveux noirs tressés. Le même mois, le propriétaire d'une maison précédemment louée par Sakina déclare avoir trouvé des restes humains sous le sol de sa maison alors qu'il creusait pour réparer une conduite d'eau. Les policiers retirent alors les carreaux du sol et trouvent deux corps. Ces découvertes apportent la preuve de meurtres commis dans le quartier de Labban et motivent l'ouverture d'une nouvelle enquête.
Peu de temps après, un agent de police remarque une odeur d'encens exceptionnellement forte émanant quotidiennement de la maison de Raya. Interrogée à ce sujet, cette dernière répond essayer de se débarrasser des odeurs de tabac et d'alcool émanant des clients de la maison close. L'agent de police remarque néanmoins qu'une partie du carrelage de la maison parait plus récent que le reste. Les nouveaux carreaux sont enlevés, révélant les corps décomposés dont l'odeur était masquée par l'encens. Les cadavres de deux femmes et les restes d'une troisième sont ainsi découverts sous le sol de la maison. Peu après l'incident, la police fouille l'ensemble des quatre maisons précédemment louées par Raya et Sakina, toutes situées dans le quartier de Labban, révélant les restes de 17 femmes au total. .
Arrêtées et interrogées, les deux sœurs accusent leurs maris et les deux autres hommes d'être à la tête des opérations et de les forcer à accompagner les victimes jusqu’à la maison, et racontent comment elles inventaient des prétextes pour séduire les femmes et les obliger à venir chez elles. Badeia'a, fille de Raya, âgée de neuf ans, est un témoin clé de l'enquête. Elle avoue avoir vu les membres de sa famille étouffer des femmes et les enterrer sous le plancher de leur maison, où ils s'asseyaient ensuite, mangeaient et poursuivaient leur vie comme si de rien n'était.
Condamnation et exécution
Deux ans après la disparition de ces femmes, la police termine de dresser un tableau détaillé du mode opératoire des criminels. Le procès attire l’attention de toute la société égyptienne. Raya, Sakina, leurs compagnons et complices sont déclarés coupables et condamnés à mort le 16 mai 1921. Les deux sœurs deviennent les premières femmes de l'Égypte moderne à subir cette peine. L'orfèvre ayant acheté les bijoux des victimes est quant à lui condamné à cinq ans de prison.
Le 21 décembre 1921, les deux sœurs sont exécutées par pendaison. Elles portent des vêtements d'exécution rouges spécialement conçus pour elles, étant les premières femmes à être condamnées à mort. Leurs maris sont exécutés le lendemain.
Des crimes ignorés sur une longue durée
Cette affaire compte 17 victimes. La raison pour laquelle ces crimes ont pu durer aussi longtemps, par delà le manque d'implication de la police pointée par certains historiens et écrivains, est que le phénomène des femmes fuyant leur famille en raison de la pauvreté ou de leurs relations conjugales défaillantes est, à l'époque, largement répandu. L'absence de papiers d'identité rend également très difficile la recherche des personnes disparues. Les deux sœurs étaient, de plus, connues des victimes, qui entraient dans la maison de leur plein gré sans faire de bruit ni de doute. Enfin la police n'a pas soupçonné que les criminels puissent être des femmes, de sorte que les enquêtes se sont d'abord concentrées sur les suspects masculins.
Scènes de crime
Les quatre maisons où les crimes ont été commis étaient toutes situées près de la place Mansheya. La plupart des victimes venaient de cette région.
L'adresse des maisons était :
N° 5 rue Makoris, près de la boulangerie Labban
N° 38 Rue Ali Bay Elkebeer
N° 6, rue El Negah
N° 8, rue El Negah
Conséquences
L'histoire de ce gang a inspiré de nombreux films, mini-séries et pièces de théâtre. De nos jours, de nombreux touristes égyptiens et arabes continuent de visiter le quartier de Labban pour voir la maison de Rayya et Sakina ainsi que l'ancien poste de police voisin où les premières enquêtes ont eu lieu.
Ladislav Hojer, né le 15 mars 1958 et mort le 7 août 1986 à Prague (Tchécoslovaquie), est un tueur en série et cannibale tchécoslovaque ayant assassiné au moins cinq jeunes femmes d'une manière particulièrement sadique entre 1978 et 1981. Condamné à la peine de mort pour ses crimes, il est exécuté par pendaison à la prison de Pankrác.
Le mobile des ses attaques est l'agression sexuelle (il a avoué 18 viols ou tentatives de viols). Selon les experts (psychiatres, sexologues, psychologues), il est un psychopathe primitif, un être amoral et asocial présentant des traits de personnalité schizoïdes et des tendances agressives. Son QI est estimé à 88, soit légèrement en dessous de la moyenne basse de la population.
Je comprends pas l'intérêt de les garder en vie c'est des prédateurs
RC'est d'autant plus perturbant que c'est des gens qui ont pour seul mobile des pulsions. Si c' est pas une bonne raison pour se débarrasser d'eux je comprends pas
Maroc : 15 jeunes auraient attrapé la rage après avoir violé une ânesse
C'est une histoire bien sordide qui s'est passée dans la région de Sidi Kacem, au Maroc. 15 mineurs ont violé une ânesse, au début du mois d'août. Mais d'après les médias locaux, les adolescents ont dû être hospitalisés d'urgence : ils auraient attrapé la rage suite à leurs actes zoophiles.
Selon H24info, les faits se sont déroulés le 10 août dernier. Quinze garçons mineurs, âgés de 7 à 15 ans, ont violé une ânesse, à Sidi Al Kamel. Si le pauvre animal n'a pas pu se défendre, il leur aurait tout de même laissé un «cadeau empoisonné»... En effet, les quinze jeunes garçons auraient été évacués d'urgence à l'hôpital, afin d'être traités contre la rage. Les adolescents n'ont pas réfléchi au fait que violer cette ânesse pouvait mettre en danger leur santé. Interviewé par Chouftv, l'un des auteurs du viol a expliqué son acte par l'ennui : «Si on avait un endroit où on pouvait s'amuser, on n'aurait pas fait ce qu'on a fait avec l'ânesse».
La zoophilie : un problème sociétal
Si cette histoire peut choquer, cette pratique n'est pas non plus rare dans les campagnes marocaines. «On crie au scandale, pourtant tout le monde sait que dans le milieu rural, les premières expériences sexuelles se font souvent sur des animaux», a déclaré Amal Elbekri, secrétaire générale adjointe du Réseau associatif pour la protection animale, à Telquel. Toutefois ce phénomène existe aussi dans les villes. Aujourd'hui, la zoophilie ne fait pas encore partie des grandes préoccupations du gouvernement. Toutefois, pour certaines associations, il est important de faire changer les mentalités, de sanctionner ces pratiques, et surtout de rééduquer ces zoophiles.
Vera Renczi née à Bucarest, en 1903) dite « la Veuve noire » ou « madame Barbe bleue » est une aristocrate roumaine d'origine hongroise1,2,3,4, devenue célèbre en tant que tueuse en série. Elle a confessé avoir empoisonné 35 hommes à l'arsenic dans les années 1920, dont ses deux maris, son fils et de nombreux amants, tous ces crimes ayant eu lieu dans son château de Berkerekul, situé en pleine montagne dans ce qui est de nos jours la Serbie. Le premier rapport est publié aux États-Unis le 22 mai 1925 dans le quotidien local Danville Bee, Danville, Virginia, l'article reproduisant celui d'un journal yougoslave du 22 mai expliquant l'affaire. L'histoire de Véra Renzci a été contée régulièrement, toujours sans aucune précision sur sa date de naissance, ses mariages, son arrestation et sa condamnation à mort commuée en prison à vie. En 1972, le Guinness Book of World Records n'a trouvé aucune source sûre établissant la réalité des 35 meurtres.
Adolescence et premiers meurtres
Selon certaines sources, Véra serait née à Bucarest en 1903, mais, vu la dates des crimes, la fin du 19e siècle est plus plausible. Sa mère, une femme d'une beauté stupéfiante, décède alors que Véra a 13 ans. Son père, négociant richissime, et elle déménagent à Nagybecskerek (actuelle Zrenjanin en Serbie). À l'âge de 15 ans, elle se révèle incontrôlable et nymphomane, sautant le soir par une fenêtre de nuit pour avoir des relations sexuelles avec les pensionnaires d'un proche internat.
À l'âge de 20 ans, elle épouse Karl Schick, un riche banquier autrichien bien plus âgé qu'elle. Il semble qu'elle était une épouse aimante et fidèle. Ils ont un fils du nom de Lorenzo. Véra soupçonne vite que son mari la trompe. Un jour, elle rapporte à sa famille et ses amis qu'il l'a abandonnée. Après une période décente d'attente, elle épouse le beau et richissime Joseph Renzci, après avoir déclaré aux autorités que son premier mari a été tué en Roumanie dans un accident d'automobile.
Les meurtres suivants
Rapidement, le beau Joseph trompe allègrement Véra, qui l'apprend. Il disparait après quelques mois de mariage tumultueux. Une nouvelle fois, elle annonce à sa famille et ses amis qu'il l'a abandonnée, puis, après quelque temps, qu'il a été tué en Roumanie dans un accident d'automobile. Véra se lance alors dans une activité sexuelle effrénée, multipliant les amants, tous de beaux hommes qu'elle rencontre lors de ses visites à Belgrade et à Vienne. Même histoire à chaque fois : ils disparaissent et elle prétend qu'ils l'ont abandonnée.
Toute l'affaire éclate lorsque disparait son dernier amant, Serguëi Milorad. Sa femme n'accepte pas les explications de Véra et porte plainte. La police se déclare dans l'impossibilité d'agir, car aucun crime n'a été apparemment commis. Mme Milorad décide donc de conduire sa propre enquête, au cours de laquelle elle découvre rapidement les relations de Véra et de son mari. Elle rapporte les faits à la police, qui se rend au château de Berkerekul, mais ne remarque rien d'anormal. Mme Milorad retourne à la police, leur soulignant que beaucoup trop de mystères existent : comment se fait-il qu'il est arrivé la même chose à ses deux maris, une mort dans un accident de voiture en Roumanie ? Où est passé Lorenzo, disparu sans laisser de traces ? De même pour ses nombreux autres amants ? La police retourne au château ; Véra leur déclare que Milorad n'a jamais été son amant, en contradiction avec ce qu'elle leur avait déclaré la première fois. Enfin soupçonneux, les inspecteurs demandent à visiter le château et découvre une crypte où sont disposés 35 cercueils en zinc et, en leur milieu, un grand candélabre, un fauteuil ancien recouvert de velours rouge, une coupe et plusieurs bouteilles vides de champagne de Crimée. Véra leur déclare que tous les corps ensevelis sont ceux de membres de la famille, mais la police exige d'en ouvrir un, où git un homme en état de décomposition avancée. Ils ouvrent tous les autres cercueils et trouvent la même chose. Arrêtée, Véra avoue tout. Oui, elle a empoisonné tout ce monde à l'arsenic, mais, pour une mort plus rapide, a ajouté de la strychnine à l'arsenic dans le verre de Milorad. Oui, elle allait régulièrement dans la crypte boire du champagne et parler à ses amants.
Véra passe en jugement et est condamnée à mort. Toutefois, à cette époque, la Yougoslavie n'exécute pas les femmes. Sa peine est donc commuée en prison à perpétuité. Elle y devient de plus en plus démente, révélant une schizophrénie avancée, hurlant des obscénités à ses ancien amants, puis entrant en complète prostration. Elle est finalement enfermée dans un asile, où elle meurt en 1960.
Sa biographie et son parcours criminel auraient été la source d'inspiration de la pièce de théâtre de Joseph Kesselring Bodies in our Cellar, devenue Arsenic et vieilles dentelles, mais ce n'est pas le cas, le film ayant été inspiré de la vie d'un autre tueur en série, Amy Archer-Gilligan. Elle est la vedette d'un épisode de la série documentaire française Une série de tueurs - Les tueurs en série qui ont inspiré le cinéma.
Matti Haapoja (né le 16 septembre 1845 , en Finlande et mort le 8 janvier 1895 à Turku, en Finlande) était un tueur en série finlandais, très médiatisé à l'heure des meurtres.
Biographie
Le nombre exact de ses victimes est inconnu. Il a été condamné pour deux meurtres et un troisième procès pour homicide était prévu quand il s'est suicidé dans sa cellule. Il est peut-être lié à sept autres cas de meurtre identifiés, mais beaucoup se sont produits pendant son exil en Sibérie et sont pauvrement documentés, ainsi sa participation n'est pas sûre. On dit qu'il a admis 18 meurtres, mais il n'y a aucun détail au sujet de cette confession supposée. Quelques sources estiment qu'il a commis de 22 à 25 meurtres. Il a également blessé non mortellement au moins six hommes lors des agressions au couteau.
Haapoja a commencé sa carrière criminelle en tant que bagarreur, excellant rapidement dans le vol de chevaux. Son premier meurtre connu s'est produit le 6 décembre 1867, quand il a poignardé son associé Heikki Impponen dans une bagarre d'ivrognes. Il a été condamné à 12 ans de prison à Turku pour son meurtre. Pendant les 10 années suivantes il s'est échappé de la prison quatre fois. Pendant ce temps, il a gagné une grande notoriété en tant que spécialiste des évasions et voleur. Sa renommée de voleur a commencé à se développer après que les journaux ont signalé qu'il a dépouillé et abattu Esa Nyrhinen le 12 août 1876. Plus tard on a prouvé que Nyrhinen avait caché Haapoja dans sa maison.
En raison de ses évasions et de ses vols continus, Haapoja a été condamné à perpétuité en 1874. Il a fait appel de cette décision pour que sa sentence soit changée en exil pour la Sibérie. Ceci a été accepté et il a été envoyé dans la région d'Omsk en 1880. Pendant son séjour, il a reconnu avoir tué un homme en 1886, après quoi il a été exilé en Sibérie orientale. La légende veut que pendant ce temps, Haapoja a tué deux autres criminels, Anssin Jukka et Kaappo Sutki, mais aucune preuve concluante n'a été rapporté à ce sujet.
En 1889, Haapoja a décidé de s'enfuir de Sibérie et de retourner en Finlande. Plus tard, il a raconté qu'il avait l'intention d'émigrer en Amérique. Il a réuni l'argent pour cette évasion en commettant une série de vols et de meurtres. Il a probablement tué au moins trois hommes et a participé au meurtre d'un quatrième. Il a également obtenu un passeport qui a appartenu à un homme russe dont le destin demeure peu clair.
Haapoja est revenu en Finlande en septembre 1890. Un mois plus tard, il a tué et dépouillé une prostituée, Jemina Salo. Il a été capturé à Porvoo deux ou trois jours plus tard et identifié. À son jugement, Haapoja s'est comporté avec arrogance, admettant ce meurtre et aussi ceux qu'il avait commis en Sibérie. Il espérait qu'il serait renvoyé en Sibérie mais à la place la cour lui a donné une deuxième condamnation à perpétuité.
Le 10 octobre 1894, Haapoja a essayé de s'évader de prison encore une fois. Pendant cette tentative il a tué un garde et en a blessé deux autres. Quand il s'est rendu compte qu'il ne pourrait pas sortir, il a essayé de se suicider en se poignardant, mais la blessure n'était pas mortelle. Cependant, dès qu'il eut récupéré, il s'est pendu dans sa cellule le 8 janvier 1895. Son squelette a été conservé pendant longtemps dans le musée du crime de Vantaa, jusqu'à ce qu'il ait été finalement enterré à Ylistaro en 1995.
L'auteur Kaijus Ervasti a écrit un livre sur Matti Haapoja appelé Murhamiehen muotokuva - Matti Haapoja 1845-1895 (« Portrait d'un meurtrier - Matti Haapoja 1845-1895 »).
Christina Aistrup Hansen (née le 13 août 1984) [1] est une ancienne infirmière danoise qui a été accusée du meurtre de quatre patients et de tentative d'homicide involontaire sur un cinquième à l'hôpital Nykøbing Falster.
Procès et peine
En juin 2016, elle a été condamnée pour quatre meurtres et tentatives de meurtre, conformément à l'article 237 du Code pénal danois.[2] De plus, elle a été privée de son autorisation d'infirmière. Le tribunal de Nykøbing a estimé qu'il était prouvé que Hansen avait administré à ses patients malades et affaiblis des doses mortelles de morphine et de diazépam. L'affaire devant le tribunal municipal a duré 27 jours et a impliqué plus de 70 témoins. Au moment du jugement, elle a fait appel devant la juridiction nationale pour que son recours soit rejeté.
En mai 2017, elle a été reconnue coupable lors d'un procès devant jury unique par l'Østre Landsret pour trois meurtres. L'examen de la Haute Cour a abouti à ce que cette personne soit déclarée coupable de tentative d'homicide involontaire dans quatre cas.[3] Sur cette base, le tribunal a réduit la peine de Hansen de la perpétuité à 12 ans de prison.[4] La raison du changement était en particulier un détail médico-légal et spécifique aux preuves : bien qu'il ait été constaté que les abus médicaux de Hansen sur les patients ne se produisaient pas "par erreur dans le traitement ou les analgésiques",[5] les preuves techniques n'étaient pas solides. de quoi confirmer le verdict. Le Conseil des services juridiques a examiné les informations médicales et a conclu qu'il n'était pas possible d'être totalement sûr que les injections de morphine et de diazépam étaient les causes directes du décès.
En plus de ces accusations, Hansen a été reconnue coupable d'avoir donné à sa propre fille de 7 ans des somnifères sur ordonnance puissants qui sont dangereux pour les enfants et ne conviennent qu'aux adultes.[6]
Une évaluation psychologique médico-légale a déterminé que Hansen souffrait d'un trouble de la personnalité histrionique.[7] Une personne souffrant de ce trouble est capable de faire des efforts extrêmes pour obtenir une attention positive. Tout cela et l’auto-absorption violente, qui inclut le narcissisme, poussent souvent la personne à agir envers les autres afin qu’ils puissent être le centre d’attention.
Son trouble de la personnalité a été considéré par l'accusation comme l'un des principaux motifs des meurtres.[8] Le procureur Michael Boelsen a déclaré au tribunal que "l'accusée s'est arrangée pour jouer le rôle principal dans une pièce bizarre où les patients sont ses figurants". Bien qu'elle ait été décrite comme compétente, le rapport psychiatrique a montré qu'elle avait une intelligence moyenne. Boelsen a déclaré dans ce contexte qu '"elle [Hansen] a utilisé sa perspicacité professionnelle d'une manière profondément perverse, motivée par son trouble de la personnalité histrionique".
Pourtant, après sa condamnation, elle a clamé son innocence lors d'entretiens avec le journaliste qui a ensuite écrit un livre sur l'affaire.
Gilberto Antonio Chamba Jaramillo, né en 1963, est un tueur en série équatorien, reconnu coupable du meurtre de neuf personnes en Equateur et en Espagne.
Surnommé le « monstre de Machala », il est reconnu coupable de plusieurs meurtres dans le sud-ouest de l'Équateur, mais est libéré par amnistie. Il se rend en Espagne où il y commet un meurtre. Il est condamné à 45 ans de prison en Espagne le 5 novembre 20061.
Crimes
Selon plusieurs sources médiatiques, Chamba aurait informé la police de chacune de ses démarches avant, pendant et après chaque meurtre.
Il possédait un taxi avec lequel, de 1988 à 1993, il parcourait les rues de Machala à la recherche de clients. Il recherchait des jeunes étudiantes seules..
Les agents qui ont capturé Chamba, doutant de sa culpabilité, ont essayé de le confondre en le conduisant dans des lieux éloignés des lieux du meurtre; Cependant, avec une froideur surprenante, Chamba les corrigea et les ramena aux lieux.
Une chronique dans le journal espagnol El País a présenté le témoignage de Fausto Téran, un policier à la retraite qui a participé à la capture du "Monstre de Machala":
« According to what Chamba confessed, he did not practice vaginal penetration of his victims. Practically they were skewered with an instrument similar to a cane, which had been expressly ordered to be manufactured. To many, he threatened them with such violence that the instrument came out through their mouths. »
Condamnation en Equateur
Sur ses dix victimes, deux étaient mineures. En raison du témoignage d'une prostituée, l'une des deux femmes ayant survécu à son agression, une procédure pénale a pu être ouverte contre Chamba, qui aboutira à une peine de 16 ans de prison.
Cependant, il n'a effectué que 7 ans de sa peine, bénéficiant d'une loi réduisant de moitié les peines de prisonniers de bonne conduite. Il a bénéficié d'une autre remise de peine d'un an en raison du Grand Jubilé, lorsqu'il a été amnistié2.
Migration vers l'Espagne
Le 9 novembre 2000, après avoir purgé sa peine et nettoyé son casier judiciaire - un avantage uniquement possible en Équateur -, Gilberto, jusque-là marié avec sa femme Mariela, décida de partir en Espagne. Il a pris l'avion pour Amsterdam et de là, il s'est rendu à l'aéroport Barajas de Madrid , où deux de ses sœurs l'attendaient.
Chamba a occupé plusieurs emplois qui variaient entre la maçonnerie et le portier de l'immeuble de ses voisins, où il vivait avec sa famille et ses petites amies occasionnelles.
En septembre 2004, Chamba s’est finalement inscrit en tant que préposé au stationnement pour le complexe de divertissement Illa de I'Oci, situé près de la faculté de droit de Lleida. Il y travailla non seulement comme gardien, mais aussi comme employé de nettoyage du cinéma.
Le nouveau meurtre
Les six années de tranquillité pour la famille Chamba, qui a beaucoup souffert pendant son emprisonnement en Équateur, ont pris fin lorsque Gilberto a été arrêté le 1er décembre 2004, accusé d'avoir violé et assassiné María Isabel Bascuñana, étudiante à la faculté de droit de l'université .
Bascuñana laissait généralement sa voiture garée dans le parking du cinéma, car elle craignait l'obscurité.
La dernière fois qu'elle a été vue en vie, c'était la nuit du 23 novembre. Ses parents lui ont parlé pour la dernière fois vers 22 heures, lorsqu'elle leur a dit qu'elle n'allait pas dîner à la maison. Son corps a été retrouvé deux jours plus tard, à quelques rues du cinéma. Elle avait un mouchoir noué autour du cou, des sacs poubelles enroulés autour du corps et elle avait été brutalement violée.
Peu de temps après, plusieurs théories sont apparues au sujet de sa mort. Certains ont supposé qu'il s'agissait d'un crime passionnel, d'autres de vengeance, mais ce sont ses amis qui ont fourni les indices nécessaires pour attraper le meurtrier.
Les indices qui l'ont accusé
Dans le cadre des enquêtes menées par les Mossos d'Esquadra, des témoignages d'amis de Bascuñana ont été rassemblés, ce qui a fourni suffisamment de preuves pour arrêter Chamba.
Selon les agents, María leur aurait dit que Chamba la harcelait constamment alors qu'elle était en train de déposer ou de prendre sa voiture au cinéma. Cette version était complétée par celles d'autres filles, qui indiquaient que Chamba leur demandait régulièrement leurs numéros de téléphone sous prétexte que si quelque chose arrivait leur voiture, il les appellerait immédiatement.
Cependant, beaucoup d’entre elles ont reçu des appels harcelants sexuellement et la seule explication possible était que le préposé au stationnement avait passé ces appels. Cette hypothèse a été confirmée lorsque les agents ont trouvé le téléphone de María. Après avoir écouté les appels entrants et sortants quelques heures avant et après le meurtre, ils ont constaté que l'agresseur avait passé deux appels à des services sexuels par téléphone. Les appels ont duré entre cinq et six minutes.
C'est l'un des indices qui a amené les agents à considérer Chamba comme le principal suspect. En outre, les agents ont affirmé au cours du procès avoir trouvé des sacs à ordures à l'intérieur de la boîte à gants du véhicule de María, les mêmes que ceux qui avaient été utilisés pour couvrir son corps. Ils ressemblaient beaucoup à ceux utilisés par les agents de nettoyage des cinémas pour transporter les déchets, ce qui a immédiatement permis de le connecter à Chamba, l'un des assistants de nettoyage.
Chamba a d'abord été arrêté pour interrogatoire. Ses collègues, appelés à témoigner au cours de la procédure, ont déclaré n'avoir rien remarqué d'étrange depuis la nuit du meurtre et que l'Équatorien n'avait pas abandonné son poste. De plus, des témoignages de voisins et de connaissances de Chamba, tous favorables, le décrivent comme un homme bon, ont nié sa culpabilité.
Cependant, des tests ADN sur les résidus de sperme trouvés sur le corps de la victime ont directement incriminé Chamba, qui a affirmé que la police falsifiait les preuves. Selon lui, les agents ont prélevé un échantillon de sperme sur un préservatif qu’il avait utilisé, puis l’ont inséré dans le vagin de María pour indiquer qu’il était le coupable.
Lorsque les analyses et les tests comparatifs ont été effectués, le bureau du procureur a rejeté l'argument, qui était l'élément principal dans l'accusation de Chamba. Il a été condamné à 45 ans de prison, répartis en 20 ans pour le meurtre de María, 12 autres pour son viol, et 13 autres pour une tentative de viol et d'assassinat d'une prostituée roumaine qui avait témoigné contre lui devant un tribunal après avoir vu sa photo dans les médias après son arrestation3,4.
Mais en plus de ces preuves, les procureurs ont indiqué que Chamba avait tenté de dissimuler des informations à la police. Lorsque les autorités l'ont contacté pour la première fois, il aurait révélé son casier judiciaire en Équateur et un incident en Espagne lié à la possession d'armes. Cependant, le procès a prouvé que le "monstre de Machala" a caché son passé judiciaire jusqu'à ce que des échanges entre les polices équatorienne et catalane confirment qu'il s'agissait de la même personne qui avait été condamnée à Machala pour meurtres.
Chamba est actuellement détenu au Module 6 du Centre pénitentiaire de Quatre Camins en Catalogne.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gilberto_Chamba
Yoo Young-chul est un tueur en série sud-coréen né en 1970, divorcé et père d'un enfant.
Biographie
Ce tueur en série a été localisé par la police sur un site, près d'un temple, au nord de Séoul. Il est arrêté un dimanche après l'agression d'une masseuse au sud de Séoul et est inculpé pour les homicides de dix-neuf femmes depuis septembre 2003. À la consternation de tous, après l'interrogatoire de la police, il annonce avoir tué vingt-six personnes.
Ses victimes sont des hôtesses de bar, des masseuses et des prostituées, même de riches dames âgées n'ont pas pu échapper aux pièges de Yoo Young-chul.
Il a également avoué avoir mangé certaines parties de ses victimes pour nettoyer son esprit. Il désirait assassiner plus de cent personnes si la police ne l'avait pas arrêté car il avait entendu parler d'un tueur en série coréen, Chong Du Yong, qui n'avait tué que neuf personnes entre 1998 et 2000. L'assassin aurait affirmé s'entraîner sur des chiens. Le chef de la police sud-coréenne a déclaré que le tueur présumé souffrait de problèmes mentaux et avait été auparavant condamné quatorze fois pour viol et cambriolage et relâché en septembre 2003.
Les enquêteurs ont déclaré qu'il aurait développé sa haine des femmes après son divorce avec son épouse qui était masseuse, alors qu'il se trouvait en prison pour vol en 2002. Ensuite, sa colère se serait transformée en rage lorsqu'une prostituée aurait refusé sa proposition en mariage. Toujours selon la police, l'hostilité du tueur envers les riches serait due au fait qu'il était né dans une famille pauvre et qu'il ressentait de la colère envers la société après avoir été emprisonné plusieurs années. Il semble que Yoo ait voulu se suicider avant son arrestation, en avalant des somnifères.
C'est le dernier citoyen sud-coréen à avoir été condamné à mort depuis 1997.
Références dans la culture populaire
Le film The Chaser réalisé par Na Hong-jin et sorti en 2008 est inspiré de l'histoire de Yoo Young-chul1.
Dans le livre “Bonne nuit maman” écrit par Seo Mi-ae, Yoo Young-chul est cité à plusieurs reprises.
Le 22 octobre 2021, Netflix diffuse The Raincoat Killer: Chasing a Predator in Korea (en français, Horreur à Séoul : La Traque d'un Prédateur2), une mini série de 3 épisodes retraçant l'enquête de l'affaire Yoo Young-chul.
Dans le drama coréen Through the Darkness sorti en 2022, un personnage qui est un tueur en série ressemble à Yoo Young-Chul.
Béla Kiss (1877-1915) est un tueur en série hongrois. On lui attribue l'assassinat d'un homme (l'amant de son épouse) et de 23 femmes qui ont répondu à ses annonces matrimoniales publiées dans un journal de Budapest.
Biographie
En février 1912, le couple Kiss s'installe dans une belle villa à la périphérie de Cinkota, où il arrive dans une voiture de luxe, une Torpedo rouge. Riche ferblantier de Budapest, âgé de 40 ans, Kiss engage des domestiques et est rapidement adopté par les habitants de Cinkota. Sa femme Maria, âgée de 25 ans, le trompe rapidement avec un artiste local, Paul Bihari. C'est à cette époque qu'étrangement, Béla Kiss achète deux fûts qu'il dit remplis d'essence pour servir de réserve car il est persuadé que la guerre et son lot de pénurie approchent. Paul et Maria disparaissent mais selon Béla Kiss, elle lui a laissé un mot expliquant qu'elle est partie avec son amant1. Après une période de chagrin, il reprend le dessus et revient régulièrement de Budapest avec de nouvelles conquêtes, essentiellement des veuves et des divorcées qui ont retiré leurs économies pour aller vivre avec ce jeune veuf.
En raison de la Première Guerre mondiale, Béla Kiss est mobilisé dans l'armée austro-hongroise en 1915. Il est déclaré mort au front en mai 1916. En réalité, malade de la fièvre typhoïde, il est alité dans un hôpital serbe et intervertit sa plaque de soldat avec celle d'un soldat mort dans son lit d'hôpital2.
Ses victimes sont découvertes en juin 1916, lorsqu'un convoi de soldats austro-Hongrois traverse le village de Cinkota à la recherche de carburant. Adolph Trauber, garde-champêtre et ami de Kiss, se rappelle qu'il stockait des fûts d’essence de 200 litres. Les soldats réquisitionnent les barils et font la découverte macabre : 24 corps garrottés avec une cordelette et qui portent comme des sortes de morsure à la gorge[réf. nécessaire] reposent dans ces fûts remplis d'alcool. La police trouve dans le bureau de Kiss des annonces matrimoniales au nom d'Hofman3.
Différents témoins affirment avoir reconnu Kiss à Budapest en 1919. En 1924, un déserteur de la Légion étrangère raconte à la police qu'un de ses compagnons, qui se fait appeler Hofmann, et dont le signalement correspondait à celui de Kiss, se plaît à raconter la meilleure façon d'éliminer les femmes en les étranglant, mais il disparaît dans la nature avant d'être interrogé. En 1932, l'agent Henry Oswald, appartenant à la section des homicides de la police de New York, affirme l'avoir vu sortant du métro4.
Postérité
Les morsures sur ses victimes et la proximité du nom du ferblantier avec celui de Béla Lugosi font que ce Béla Kiss est depuis lors prisé des amateurs de vampirisme5.
Kiss a inspiré le film d'horreur allemand Bela Kiss: Prologue (de) du réalisateur Lucien Förstner (de), sorti en 2013.
Vlado Taneski (né en 1952 et mort le 23 juin 2008) est un journaliste macédonien, soupçonné d'être un tueur en série, auteur des crimes qu'il a traités comme spécialiste des faits divers, commis de 2003 à 2008.
Journaliste pendant plus de vingt ans, Vlado Taneski travaille comme pigiste, correspondant local de cinq quotidiens de Macédoine. Il est arrêté en juin 2008 pour le meurtre de deux femmes. La police le suspecte en raison d'informations non rendues publiques sur ces crimes2 qu'il mentionne dans ses articles. Des tests ADN révèlent que c'est son sperme qui se trouvait sur les victimes. Il est emprisonné le 22 juin 2008. Le lendemain, il est trouvé mort dans la cellule qu'il partageait avec deux autres hommes, la tête plongée dans un seau1. La police considère qu'il s'agit d'un suicide3.
Biographie
Vlado Taneski a une enfance difficile, isolé des autres enfants par ses parents et battu par sa mère Gorica. Il fait des études de lettres à l'université d'Orhid, sans obtenir de diplôme. Il devient alors journaliste pour les journaux de sa région. Correspondant réputé, et obtient même en 2007 un prix du journal Nova Makedonia pour ses reportages4.
Vlado Taneski se marie à 22 ans et a eu deux fils ; sa femme Vesna et lui se sont séparés en 2004 après trente ans de mariage. Il s’occupe de ses parents jusqu'à leur mort, vivant avec sa famille dans la maison paternelle. Son père s'est suicidé par pendaison à un arbre en 1990 (une mort que la police réétudie après la découverte des probables crimes de Taneski), et sa mère Gorica meurt en 2003 par overdose médicamenteuse5. Il accapare par un « tour de passe-passe juridique l'héritage familial pour garder la maison »4.
Il commence à être soupçonné d'avoir enlevé, violé puis tué sauvagement trois femmes après avoir écrit des articles sur les meurtres de ces dernières à Kitchevo en Macédoine, en 2005, 2007 et 2008. La police compte également l'interroger sur la disparition en 2003 d'une femme de 78 ans, Gorica6 Pavleska, dont le corps n'a jamais été retrouvé. Les victimes étaient toutes des retraitées pauvres qui exerçaient l'activité de femme de ménage, le même profil que la mère de Vlado Taneski, que toutes connaissaient1.
Vlado Taneski demandait aux proches des victimes des détails personnels et même des photos des disparues. Des collègues de Taneski, le journaliste Ognen Cancarevik, de Nova Makedonia, qui a travaillé avec lui, et Ljupco Popovski, le rédacteur en chef de Utrinski Vesnik, une autre publication à laquelle collaborait Taneski, ont souligné le caractère calme et tranquille de l'homme qu'ils connaissaient. Tous ont été stupéfaits par ces soupçons (New York Times).
Crimes
Mitra Simjanoska avait 64 ans lorsqu'elle disparaît le 16 novembre 2004. Son corps est retrouvé, violé et mutilé, le 12 janvier 2005, sur un chantier. L'autopsie montre que son ravisseur l'a gardé en vie jusqu'au 4 janvier avant de la tuer. Elle habitait à 100 mètres du domicile du journaliste. Le tribunal de Kitchevo a condamné deux hommes (qui ont toujours nié), pour cet assassinat, à présent attribué à Vlado Taneski. Le dossier pourrait être rouvert7.
Ljubica Licoska, 56 ans, est assassinée en février 2007.
Zivana Temelkoska, 65 ans, vivait avec son fils et sa famille à deux maisons de celle de Taneski. Elle disparaît le 7 mai 2008. Son corps est découvert quelques jours plus tard : elle a été violée et battue.
Le 05 octobre 2023 à 00:50:42 :
Bordel je suis agent de sécurité j'ai tout lu et je mars faire ma ronde dans un immeuble vide
ca s'est bien passé?
Un infirmier flamand inculpé pour le meurtre de cinq retraités
L'infirmier en chef d'une maison de retraite de Gand (Belgique) a avoué, dimanche 23 décembre, le meurtre de quatre pensionnaires âgé de 86 à 93 ans, morts des suites de surdoses d'insuline. Kurt Dobbelaere a aussi été inculpé pour un cinquième meurtre et pour une tentative d'assassinat, qu'il n'a pas reconnus.
24 Ans De Prison Pour Cameron Herren Après Avoir Tué Une Mère Et Sa Fille Dans Un Accident En 2018
Cameron Herrin, 21 ans, courait avec un ami dans sa Ford Mustang le 23 mai 2018, tandis que Jessica Reisinger-Raubenolt, 24 ans, et sa fille de 1 an, Lillia, traversaient une rue de Tampa. L’ami d’Herrin s’écarta, mais Herrin fit une embardée vers Jessica et Lillia, les tuant toutes les deux. l’histoire de Cameron Herren La famille de la victime recherchait l’agresseur.
Jessica Reisinger, 24 ans, et sa fille Lillia, âgée d’un an, ont été tuées dans l’incident qui s’est produit sur Bayshore Boulevard à Tampa Bay.
Un juge condamne Cameron Herrin à 24 ans de prison
TAMPA Un juge a condamné Cameron Herrin à 24 ans de prison d’État jeudi soir, près de trois ans après que le jeune homme a filé le long du boulevard Bayshore et s’est écrasé sur une mère et sa fille, tuant les deux.
News in articles
La décision du juge du circuit de Hillsborough, Christopher Nash, est intervenue à la fin d’une longue journée de témoignage, qui a vu les membres de la famille et les amis de Herrin prendre la barre des témoins pour parler de son personnage, avant qu’un défilé de membres de la famille des deux victimes n’exprime leur chagrin et leur rage contre les dommages causés à leur vie.
«Il est impossible d’avoir plus de tort que ce qui s’est produit dans cette affaire», a déclaré le juge.
Herrin, 21 ans, a semblé les yeux écarquillés lorsque le juge a annoncé son sort. Par la suite, alors que l’adjoint d’un shérif le menaçait, les membres de sa famille se sont mis à pleurer.
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Lorsque son fils a appelé ce jour-là en 2018, Cheryl Herrin pouvait entendre qu’il pleurait, a-t-elle témoigné plus tôt dans la journée. Il lui a dit qu’il avait eu un accident.
«Maman», dit-il. «J’ai tué quelqu’un.»
«Non, Cameron», dit-elle. « tu te trompes. »
Mais elle est restée au téléphone assez longtemps pour se rendre sur les lieuxsur le boulevard Bayshore. Elle a vu la Ford Mustang, un cadeau qu’elle et son mari avaient offert à son fils lorsqu’il a obtenu son diplôme deux jours plus tôt du lycée catholique de Tampa. Elle l’a vu sur ses mains et ses genoux dans la médiane herbeuse.
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L’année dernière, Herrin a plaidé coupable à deux chefs d’accusation d’homicide au volant de la mort de Jessica Reisinger-Raubenolt et de sa fille de 1 an, Lillia.
«Je me sens responsable de cet accident», a déclaré Cheryl Herrin au juge. «Si je le pouvais, je passerais devant Cameron, et j’accepterais la punition que vous pourriez infliger.
Puis, dans l’après-midi, est venue la famille des victimes.
«Ils peuvent réconforter leurs enfants», a déclaré Pamela Reisinger, la mère de Jessica et la grand-mère de Lillia, des Herrins. «Ils peuvent les réconforter et les serrer dans leurs bras. Je vais dans un placard et renifle un T-shirt. Je vais à une photo de bébé et lui caresse les joues pour la réconforter.
«Savez-vous ce que c’est que de se préparer pour l’anniversaire d’un être cher décédé?» Brian Raubenolt, le beau-frère de Jessica et l’oncle de Lillia, a demandé à Herrin. «Savez-vous ce que c’est que de chuchoter dans les oreilles d’un tout-petit mourant, ‘Je promets que je prendrai toujours soin de ton père?’ … Vous nous avez fait ça, Cameron. Vous les avez tués.
Herrin, alors âgé de 18 ans, est parti ce matin-là le 23 mai 2018 avec un ami, John Barrineau, pour faire de l’exercice dans un gymnase local. Le frère aîné de Herrin, Tristan, est monté sur le siège passager de la Mustang. Barrineau, alors âgé de 17 ans, a conduit séparément dans une Nissan couleur or.
Les voitures se sont arrêtées pour un feu de circulation sur le boulevard Gandy, puis ont filé vers le nord sur Bayshore. D’autres chauffeurs et spectateurs diront plus tard à la police que le couple semblait courir. Les voitures étaient parfois parallèles les unes aux autres lorsqu’elles se déplaçaient entre les deux voies.
Reisinger-Raubenolt, 24 ans, qui visitait Tampa depuis l’Ohio, revenait de Ballast Point Park ce matin-là le long du boulevard emblématique jusqu’à la maison d’un parent. Dans une poussette, elle a poussé Lillia. À l’intersection de Knights Avenue, elle s’est déplacée pour traverser la chaussée. Les voitures se sont approchées.
La Nissan a fait un écart pour éviter la jeune mère alors qu’elle sortait, a déclaré un témoin. La Mustang s’est déplacée pour éviter la Nissan et a frappé la femme et son enfant.
Au tribunal, le procureur d’État adjoint Aaron Hubbard a présenté des données du système de navigation du Mustang, qui a enregistré plusieurs incidents de vitesse dans les jours précédant l’accident. Il a enregistré une vitesse de 162 mph le 18 mai le long de l’Interstate 75. Le 22 mai, la voiture a atteint 84 mph le long de Bayshore.
Le 23, la voiture a dépassé les 100 mph quelques instants avant l’accident. Il a ensuite décéléré rapidement. Un détective de la police de Tampa a déclaré que la voiture se déplaçait entre 30 et 40 mi / h au moment de l’impact.
David Raubenolt, veuf et père de Lillia, a parlé pendant une heure de la perte qu’il a subie. Il se souvient avoir conduit vers la maison où ils séjournaient ce jour-là, avoir vu la circulation reculer, pensant que quelque chose de terrible s’était produit. Il a commencé à prier pour un étranger.
https://bonnewshaiti.com/24-ans-de-prison-pour-cameron-herrin-tue-mere-fille-accident-2018/
Melania Rea, c'est la fille de Vittoria : elle a maintenant 13 ans et a toujours le nom du père Parolisi. Lo zio: «Era il suo desiderio più grande»
La fille a seulement 18 mois quand la maman Melania Rea est brutalement sucée par son père
Vittoria a déjà dit qu'elle était seule, dans l'automobile, quand le père Salvatore Parolisi a réussi avec 32 collègues de sa mère Melania Rea. C'était le 18 avril 2011. Et dans une première journée, la vie de cette fille changeait pour lui-même: elle était sans mère et père, la mère et le père creusaient avec les autres mères et avec Michele Rea. Oggi Vittoria a 13 ans. Et non plus le nom du père, Parolisi, qui est la patrie la plus puissante. En 2020, il a été libéré pour vendre Vittoria Rea et porté così per semper avec lei un morceau de cette maman qui est portata via così brutalement. Nous allons annuler quel cognome diventato troppo ingombrante: il cognome di un assassino. «Era il suo desiderio più grand - raccontò lo zio Michele - Anche a scuola, quando facevano l'appello, lei ne sentiva suo quel suo cognome et ne fut pas giusto che fosse lei à porter le poids de quel cognome. Ora la bambina a acquis sa sérénité et sa sente ancora plus forte le jeu avec la famille de la maman colombe vive et le crescendo circondata dell'amore di tutti».
Vittoria a déjà dit qu'elle était seule, dans l'automobile, lorsque le père Salvatore Parolisi a réussi avec 32 collègues de sa mère Melania Rea. C'était le 18 avril 2011. Et dans une première journée, la vie de cette fille changeait pour lui-même: elle était sans mère et père, la mère et le père creusaient avec les autres mères et avec Michele Rea. Oggi Vittoria a 13 ans. Et non plus le nom du père, Parolisi, qui est la patrie la plus puissante. En 2020, il a été libéré pour vendre Vittoria Rea et porté così per semper avec lei un morceau de cette maman qui est portata via così brutalement. Nous allons annuler quel cognome diventato troppo ingombrante: il cognome di un assassino. «Era il suo desiderio più grand - raccontò lo zio Michele - Anche a scuola, quando facevano l'appello, lei ne sentiva suo quel suo cognome et ne fut pas giusto che fosse lei à porter le poids de quel cognome. Ora la bambina a acquis sa sérénité et sa sente ancora plus forte le jeu avec la famille de la maman colombe vive et le crescendo circondata dell'amore di tutti».
Le 18 avril 2011, Melania et Salvatore, respectivement 29 et 30 ans, ont décidé de porter la petite fille de Vittoria, en solo, en voyageant une nuit à Colle San Marco, avec quelques kilomètres d'Ascoli. Dopo essere andata in bagno, della donna si persero le trace. Divers témoignages racontent que vous n'avez pas la meilleure vue possible à l'entrée du restaurant « Le cacciatore » comme si vous aviez toujours soutenu le mari. Après une minute de vent, Parolisi lance l'alarme : Melania était comparée. Da lì iniziarono le ricerche. Le 20 avril, le commandant de la police de Teramo a reçu un téléphone anonyme d'une personne qui a signalé la présence d'un cadavre dans le bois des Casermette, à Ripe di Civitella, dans la localité Chiosco della Pineta. La notification des données de l’homme a été vérifiée.
Dans le cadre des diverses activités, de nombreux éléments sont utilisés pour développer la dynamique de l'omicidio et pour comprendre le mouvement. Melania est devenue l'épouse de son mari parce qu'elle a déjà exploré sa «double vie» et sa relation extraconiugale avec une jeune alliée de l'Esercito, Ludovica. Le jour même de la comparaison de Melania, Salvatore a aimé l'amour pour annuler tous les messages du cellulaire. Le rapport avec l’autre femme est en train de considérer le mouvement de l’omicidio. Parolisi est état condamné au premier degré de l'ergastolo, pena ridotta en Appello à 30 ans et infine la Cassazione l'a définitivement fissata à 20 ans, rimuovendo l'aggravante de la crudeltà.
Abraão José Bueno (né le 30 novembre 1976) est un infirmier et tueur en série brésilien. En 2005, il a été condamné à 110 ans d'emprisonnement pour le meurtre de quatre enfants et la tentative de meurtre sur quatre autres.[1]
Crimes
Bueno a travaillé comme infirmière à l'Instituto de Puericultura Martagão Gesteira de l'Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ) à Rio de Janeiro, Brésil.[1]
En 2005, Bueno, travaillant dans un service pour enfants, a commencé à injecter des surdoses de sédatifs à des bébés et à des enfants plus âgés, les empêchant ainsi de respirer. Il appellerait ensuite le personnel médical pour les réanimer. En l'espace d'un mois, jusqu'à quinze enfants auraient été pris pour cible, tous âgés de un à dix ans.[2] Beaucoup souffraient du SIDA et de la leucémie.[3]
Bueno a été arrêté le 11 novembre 2005. Le 15 mai 2008[4], il a été reconnu coupable par la juge Valéria Caldi de quatre chefs de meurtre et de quatre chefs de tentative de meurtre. Il a été condamné à 110 ans de prison au total.
On pense que Bueno a commis ses crimes afin d'être le premier à remarquer un problème avec un patient, gagnant ainsi le respect et l'admiration de ses collègues.
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
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