Topic de kongstrong :

Topic du Glauque

Un médecin généraliste emprisonné pour avoir comploté en vue de tuer sa maîtresse est radié
Un médecin de Midland emprisonné pendant sept ans après avoir élaboré un plan visant à convaincre un tueur à gages d'assassiner son ancienne maîtresse a été radié.

Le médecin généraliste communautaire Monahar Rangwani a été reconnu coupable d'avoir sollicité le meurtre du Dr Kumundini Khare en février.

On lui a dit qu'il ne pourrait plus exercer la médecine.

Au cours du procès devant la Crown Court de Birmingham, le jury a entendu comment le médecin généraliste de 64 ans avait offert 5 000 livres sterling pour faire tuer son ex-amant et partenaire de pratique, le Dr Khare.

Rangwani, de Knowle, un ancien chirurgien de la police, aurait cru qu'il était un « homme ruiné » après qu'une affaire de paternité en 1998 ait établi qu'il était le père de trois des enfants de sa maîtresse.

Rangwani, un homme marié et père de deux filles, craignait les demandes d'entretien qui lui seraient faites par le Dr Khare, âgé de 48 ans.

Le tribunal a appris que le plan était que le tueur à gages s'introduise par effraction dans la maison du Dr Khare, lui donne un sédatif, l'étrangle et jette son corps à la mer.

Mais l’homme approché par Rangwani était un journaliste infiltré qui s’est rendu à la police.

Rangwani avait nié l'accusation d'avoir incité le journaliste d'investigation à assassiner le médecin généraliste de Minworth, le Dr Khare, entre le 18 et le 31 janvier 1998. Les deux hommes avaient mis fin à leur liaison en 1995.

avec de lourdes pertes.

En janvier 1998, Rangwani a été désigné comme le père des enfants et c'est à ce moment-là, a-t-on dit, qu'il a décidé de faire tuer sa maîtresse.

https://www.thefreelibrary.com/GP+jailed+for+plotting+to+kill+mistress+is+struck+off.-a064256400

Rubina, la star de "Slumdog Millionaire", Ă  vendre ?
Le père de Rubina, Rafiq Qureshi, était prêt à offrir sa fille à l'adoption pour 200 000 livres (225 000 euros).

Un peu de cinéma indien à la Bollywood, un peu de Dickens et de Cendrillon pour l'intrigue. Les bas-fonds d'un bidonville de Bombay, le sort des enfants des rues, l'âpreté au gain et les combines. Un père indigne et sa fille âgée de 9 ans, vedette du film de Danny Boyle qui a remporté huit Oscars en février à Los Angeles. Un journaliste d'investigation expert en manipulations. Vous agitez le tout, vous passez au mixer du News of the World - l'hebdomadaire dominical britannique habitué des scandales qui pèse plus de 3,5 millions d'exemplaires - et vous obtenez la "une" du 19 avril : "La star de Slumdog Millionaire est à vendre !"

Rafiq Qureshi, le père de Rubina Ali, l'héroïne du film, aurait dû se méfier. Un cheikh arabe à lunettes noires agissant comme intermédiaire pour le compte d'une riche famille de Dubaï prête à adopter sa fille contre espèces sonnantes et trébuchantes en lui faisant miroiter une vie meilleure... ne pouvait être que le célèbre paparazzo Mazher Mahmood, l'enquêteur star du News of the World. A lire l'hebdomadaire, le père de Rubina était prêt à offrir sa fille à l'adoption pour 200 000 livres (225 000 euros). "Nous n'avons pas touché un sou pour ce film... juste 150 000 roupies (2 306 euros) au lieu de la maison qu'on nous a promise", se serait plaint Rafiq Qureshi au faux cheikh.

A aucun moment, le père n'a interrogé son interlocuteur sur la famille candidate à l'adoption, selon l'hebdomadaire, affirmant même que la mère, dont il a divorcé il y a sept ans, n'a aucun droit de regard sur sa décision. A l'évidence, le père de la petite vedette, suggère le journal, aurait été furieux de ce que les dirigeants du film aient monté un trust pour assurer l'avenir de la gamine au lieu de lui verser les royalties qu'il espérait.

News of the World a publié les photos de la rencontre dans un hôtel de Bombay et même une vidéo, mais Rafiq Qureshi n'en démord pas. Dans la presse indienne, il nie tout en bloc. "Tout cela est infondé", a-t-il déclaré au Times of India.

La djellaba est le déguisement préféré du chef du service enquêtes du premier tirage du pays. Sans scrupules, passé maître dans l'art de manier le chéquier de son employeur, Rupert Murdoch, Mahzer Mahmood a piégé des membres de la famille royale d'Angleterre et des personnalités du sport et de la politique. A la suite de son nouveau "scoop", l'ONG Save the Children, le fonds de secours à l'enfance, a alerté le gouvernement indien. Danny Boyle tiendrait-il dans le News of the World le script d'un "Slumdog Millionaire II" ?

https://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/04/20/rubina-la-star-de-slumdog-millionnaire-a-vendre_1182909_3216.html

Les faits se sont déroulés lundi soir à Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique.

Le gérant d'un kebab du quartier de Méan-Penhoët a demandé à des dealers de ne plus proposer de la drogue à ses clients car cela perturbait son commerce.

Le ton est monté et une violente altercation a éclaté entre une dizaine d’individus au cours de laquelle le fils de ce commerçant, âgé de 25 ans, a été tué à coups de couteau.

La victime Ă©tait inconnue des services de police.

En réponse, une trentaine d'amis du père de la victime ont été appelés pour se venger. Ils ont rattrapé le meurtrier de son fils et l'ont roué de coups.

Le jeune homme de 27 ans a été transporté à l'hôpital où il a été placé en garde à vue.

Ce dealer en situation irrégulière était déjà connu défavorablement pour des faits de violence et du trafic de stupéfiants.

Son pronostic vital n’est pas engagé.

https://www.faitsdivers.org/41077-Poignarde-a-mort-car-il-s-opposait-aux-dealers-son-meurtrier-est-lynche-par-30-personnes.html

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/val-d-oise/crash-du-concorde-vingt-ans-apres-souvenir-est-evidemment-1856932.html

Parmi les quatre victimes au sol, deux des femmes de ménage de l’hôtel, dont une avait intégré l’équipe la veille, et deux stagiaires polonaises qui devaient repartir les jours suivants. "C’est quelque chose d’insupportable. C’est terrible. Une des femmes de ménage avait des jeunes enfants. Quand elle est décédée, ils nous en ont un peu voulu car on était les survivants. Ils ne comprenaient pas pourquoi on avait survécu et pas leur mère. C’était normal comme réaction",

Abdelali Hadi : la victime de la pédophilie qui devient serial killer

Abdelali était seul au milieu de seize jeunes clochards, tous armés de toutes sortes d’armes blanches. Il les regardait un à un comme s’il les suppliait. De leurs regards, ne rayonnent ni pitié, ni passion. Des prunelles comme des braises qui le brûlaient. «Laissez-moi tranquille, je vous supplie…Je n’ai rien sur moi, ni argent, ni bijoux, ni rien…Je suis plus pauvre que vous», les a implorés avec les yeux secs.
Il voulait même se jeter à terre pour baiser les pieds de leur chef. Mais en vain. Il semblait avoir pris sa décision. Laquelle? Abuser collectivement d’Abdelali. Le chef de la bande lui ordonne : «Déboutonne ton pantalon». Abdelali l’a fixé de ses regards sans réagir. Le chef de la bande a insisté. Comme un poteau électrique, Abdelali se tenait à sa place. Trois jeunes clochards se sont avancés. Abdelali a reculé de deux pas et a tenté de fuir à toutes jambes. Mais les trois clochards se sont jetés sur lui. Abdelali s’est renversé par terre. Des coups de poings et de pieds pleuvaient sur toutes les parties de son corps. Deux clochards se sont chargés de lui enlever le pantalon. Il était sans défense. Et ils l’ont obligé à les laisser faire, tous, sans exception. Seize clochards l’ont violé à tour de rôle et sans pitié. Plus de trois heures de tortures sexuelles, corporelles et psychologiques. Ils souriaient, alors qu’il sanglotait. Ils trouvaient un immense plaisir pendant qu’ils le frappaient et le violaient. Le comble du sadisme. Complètement engourdi, Abdelali est resté à sa place. Il ne savait pas ce qu’il devait faire. Tout lui semblait irréel. Il se demandait sans cesse: «ça m’est vraiment arrivé ?».
Il était enragé, dans une colère folle. Pourquoi ces salauds l’avaient-ils traité ainsi ? Comment pouvaient-ils lui faire ce qu’ils lui avaient fait ? Comment avait-il pu avoir assez peur pour les laisser faire ? Plusieurs interrogations lui ont martelé la tête avant qu’il soit, un peu pus tard, submergé par la peur surtout quand il a pensé que ça pourrait lui arriver encore une fois. Des vagues de différentes émotions le jetaient l’une à l’autre. Il s’est noyé dans un gouffre de confusion. À chaque moment, les séquences de son viol collectif déferlaient devant ses yeux. C’était comme dans un film d’horreur. Il tentait de les effacer de sa mémoire. Mais, il n’a jamais pu. Des séquences qui le jetaient aux vagues de l’angoisse sans fin. Il s’est tenu à peine debout pour aller chez lui. Il n’a raconté sa mésaventure à personne. Il l’a considérée comme un secret qui ne devait jamais être divulgué. Il n’a même pas pensé aller au commissariat de police pour déposer plainte. Il est resté chez lui à vivre des émotions inhabituelles, intenses et douloureuses. Et quand il a commencé à sortir, il se promenait de long en large pendant des heures, plongé dans une sorte d’hébétude, c’est comme s’il n’est absolument plus conscient de ce qui se passait autour de lui. Peut-être que ses promenades quotidiennes sans but alors qu’il était plongé dans une sorte de somnolence qui était la cause d’un accident de circulation quand il a été fauché par un chauffard. Cet accident lui a coûté deux fractures, au niveau du pied et de l’épaule gauches. Et combien lui coûtera son viol collectif?
https://aujourdhui.ma/archives/abdelali-hadi-la-victime-de-la-pedophilie-qui-devient-serial-killer-10-91533

https://jeuneafrique.com/221828/archives-thematique/criminel-au-long-cours/
Criminel au long cours
Le « plus ancien détenu de Genève » est de retour au pays.

Le Tunisien Abdelaziz Bouajila, 43 ans, qui détenait, jusqu’à sa libération conditionnelle, le 27 janvier dernier, le titre peu envié de « plus ancien détenu de Genève », vient de rentrer dans son pays. Seule son avocate bénévole, Doris Leuenberger, l’a accompagné dans ce retour.
Né en 1961 dans un village du nord de la Tunisie, Bouajila débarque en Suisse à l’âge de 19 ans. Seul, sans papiers ni qualification, il plonge dans la délinquance. Son parcours criminel commence en 1981, à Genève, où il s’attaque à un homosexuel, l’étrangle avant de le pendre avec sa cravate. Il assassine par la suite deux autres homosexuels à Zurich, selon le même rituel qui lui vaudra le surnom d’« étrangleur à la cravate ». La chevauchée criminelle de Bouajila s’achève en avril 1987 par une cavale tout aussi meurtrière. Avec à la complicité d’une jeune codétenue suisse nommée Ruth Schaefler, il s’évade de la prison de Champ-Dollon. Le lendemain, les deux fugitifs assassinent une jeune auto-stoppeuse de Bâle dans une forêt de Zurich. Puis, cherchant des passeports dans l’auberge de jeunesse de la ville, ils abattent le gardien et menacent un pensionnaire. Ils sont arrêtés, peu de temps après, dans une chambre d’hôtel à Lugano.
Le Tunisien sera jugé pour cinq assassinats, une tentative d’assassinat, sept brigandages aggravés, trois vols et une mise en danger de la vie d’autrui. Le 13 mars 1991, la cour d’assises de Genève le condamne à la réclusion à perpétuité. Bouajila, qui avait déjà passé huit ans en détention préventive et comptait cinq évasions à son actif, passe douze autres années au pénitencier de Bochuz, en Suisse alémanique, avant de rejoindre le centre de sociothérapie de la Pâquerette, où il demeurera jusqu’à sa libération.
En Suisse, une personne condamnée à la réclusion à vie peut demander sa libération conditionnelle au bout de quinze ans de détention. Passé ce délai, l’autorité doit accéder à une telle requête si le comportement du condamné a été bon et s’il est à prévoir qu’il se comportera bien en liberté. Les quatre premières demandes de l’intéressé ayant été rejetées, Bouajila saisit en juin dernier le tribunal administratif, qui lui donne finalement raison. Un avis médical finit par convaincre les juges de le relâcher. L’homme est devenu, selon les termes du professeur Timothy Harding, médecin-chef de la division de médecine pénitentiaire, « beaucoup plus posé, capable d’écouter et de respecter autrui, même dans des situations conflictuelles ».
L’ancien criminel, qui a suivi une formation en informatique, a retrouvé sa famille et un travail chez son frère. Une nouvelle vie s’offre à lui.

Le 06 octobre 2023 Ă  16:48:09 :
Melania Rea, c'est la fille de Vittoria : elle a maintenant 13 ans et a toujours le nom du père Parolisi. Lo zio: «Era il suo desiderio più grande»
La fille a seulement 18 mois quand la maman Melania Rea est brutalement sucée par son père

Vittoria a déjà dit qu'elle était seule, dans l'automobile, quand le père Salvatore Parolisi a réussi avec 32 collègues de sa mère Melania Rea. C'était le 18 avril 2011. Et dans une première journée, la vie de cette fille changeait pour lui-même: elle était sans mère et père, la mère et le père creusaient avec les autres mères et avec Michele Rea. Oggi Vittoria a 13 ans. Et non plus le nom du père, Parolisi, qui est la patrie la plus puissante. En 2020, il a été libéré pour vendre Vittoria Rea et porté così per semper avec lei un morceau de cette maman qui est portata via così brutalement. Nous allons annuler quel cognome diventato troppo ingombrante: il cognome di un assassino. «Era il suo desiderio più grand - raccontò lo zio Michele - Anche a scuola, quando facevano l'appello, lei ne sentiva suo quel suo cognome et ne fut pas giusto che fosse lei à porter le poids de quel cognome. Ora la bambina a acquis sa sérénité et sa sente ancora plus forte le jeu avec la famille de la maman colombe vive et le crescendo circondata dell'amore di tutti».

Vittoria a déjà dit qu'elle était seule, dans l'automobile, lorsque le père Salvatore Parolisi a réussi avec 32 collègues de sa mère Melania Rea. C'était le 18 avril 2011. Et dans une première journée, la vie de cette fille changeait pour lui-même: elle était sans mère et père, la mère et le père creusaient avec les autres mères et avec Michele Rea. Oggi Vittoria a 13 ans. Et non plus le nom du père, Parolisi, qui est la patrie la plus puissante. En 2020, il a été libéré pour vendre Vittoria Rea et porté così per semper avec lei un morceau de cette maman qui est portata via così brutalement. Nous allons annuler quel cognome diventato troppo ingombrante: il cognome di un assassino. «Era il suo desiderio più grand - raccontò lo zio Michele - Anche a scuola, quando facevano l'appello, lei ne sentiva suo quel suo cognome et ne fut pas giusto che fosse lei à porter le poids de quel cognome. Ora la bambina a acquis sa sérénité et sa sente ancora plus forte le jeu avec la famille de la maman colombe vive et le crescendo circondata dell'amore di tutti».

Le 18 avril 2011, Melania et Salvatore, respectivement 29 et 30 ans, ont décidé de porter la petite fille de Vittoria, en solo, en voyageant une nuit à Colle San Marco, avec quelques kilomètres d'Ascoli. Dopo essere andata in bagno, della donna si persero le trace. Divers témoignages racontent que vous n'avez pas la meilleure vue possible à l'entrée du restaurant « Le cacciatore » comme si vous aviez toujours soutenu le mari. Après une minute de vent, Parolisi lance l'alarme : Melania était comparée. Da lì iniziarono le ricerche. Le 20 avril, le commandant de la police de Teramo a reçu un téléphone anonyme d'une personne qui a signalé la présence d'un cadavre dans le bois des Casermette, à Ripe di Civitella, dans la localité Chiosco della Pineta. La notification des données de l’homme a été vérifiée.

Dans le cadre des diverses activités, de nombreux éléments sont utilisés pour développer la dynamique de l'omicidio et pour comprendre le mouvement. Melania est devenue l'épouse de son mari parce qu'elle a déjà exploré sa «double vie» et sa relation extraconiugale avec une jeune alliée de l'Esercito, Ludovica. Le jour même de la comparaison de Melania, Salvatore a aimé l'amour pour annuler tous les messages du cellulaire. Le rapport avec l’autre femme est en train de considérer le mouvement de l’omicidio. Parolisi est état condamné au premier degré de l'ergastolo, pena ridotta en Appello à 30 ans et infine la Cassazione l'a définitivement fissata à 20 ans, rimuovendo l'aggravante de la crudeltà.

https://www.ilmattino.it/primopiano/cronaca/melania_rea_figlia_vittoria_rea_oggi_quanti_anni_ha_cognome_dove_vive_salvatore_parolisi_news-7359443.html?refresh_ce

C'est bien de vouloir faire vivre ce topic mais ce n'est plus glauque avec ce genre de post .

C'est juste hilarant :rire: :rire:

Relis la traduction bordel :rire:

Il se filme roulant à 198 km/h et tue une ex-star de télé britannique enceinte
Le chauffard Adil Iqbal a été condamné à 12 ans de prison par un tribunal de Manchester après avoir plaidé coupable « de mort par conduite dangereuse ». Il s’est aussi vu infliger une interdiction de conduire pendant 13 ans.

Adil Iqbal est devenu un exemple de l’inconscience au volant pour la police britannique. Cet homme habitant la région de Manchester a comparu devant un tribunal local mercredi et a été condamné, après avoir plaidé coupable de « mort par conduite dangereuse », à 12 ans de prison et à 13 ans d’interdiction de conduire. La police du Grand Manchester a révélé à l’occasion du procès la vidéo terrifiante de ce jeune britannique qui se filmait au volant de sa BMW à près de 198 km/h sur l’autoroute avant de provoquer un accident mortel.

Le terrible drame remonte au samedi 13 mai dernier, vers 15h10. La police du Grand Manchester est appelée pour une grave collision entre deux véhicules circulant en direction du sud de la ville sur l’autoroute M 66 au niveau de la municipalité de Bury.

Selon plusieurs témoins et la vidéo, une BMW noire s’adonnait à une course de façon complètement folle, en se faufilant entre les véhicules, dépassant et pressant dangereusement d’autres voitures. La BMW noire qui roulait à très grande vitesse, comme a pu également le démontrer la vidéo, était donc conduite d’une main seulement par Adil Iqbal. Il a alors perdu le contrôle de son véhicule, avant de partir en tonneau et d’entrer en collision avec la voiture de la victime, Frankie Hough, qui était alors immobilisée sur la bande d’arrêt d’urgence.

Frankie Hough s’était arrêtée sur le bord de la route après une crevaison. Au moment du choc, cette actrice, bien connue des Britanniques pour avoir joué dans le « soap opera » très populaire « Hollyoaks » dans les années 2000, était au téléphone pour obtenir de l’aide. Elle aurait poussé un « cri à glacer le sang » lorsqu’elle a été percutée de plein fouet, selon le Manchester Evening News. Cette jeune maman - qui était enceinte de 17 semaines au moment des faits - est décédée des suites de ses blessures. Mais elle n’était pas seule à bord du véhicule : son fils Tommy, âgé de 9 ans, et son neveu Tobias, âgé de lui de 4 ans, ont perdu connaissance immédiatement face à la violence du choc et ont souffert de graves blessures.

« Nos mondes ont été déchirés, et pour quoi ? »
Son autre fils, Rocky, 2 ans, est le seul à bord du véhicule percuté à avoir échappé à de graves blessures. On l’a entendu « pleurer pour sa mère », a déclaré la police après son intervention. Le chauffard a quant à lui réussi à sortir de sa voiture alors que la mère de famille et les trois enfants étaient coincés à l’intérieur du véhicule.

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Plusieurs témoins de l’accident spectaculaire se sont alors arrêtés pour aider à libérer la famille prise au piège à l’intérieur du véhicule jusqu’à l’arrivée des services d’urgence, peu de temps après. Frankie Hough, transportée en urgence à l’hôpital, est malheureusement décédée quelques jours plus tard, le lundi 15 mai, des suites de ses nombreuses blessures. Adil Iqbal a été arrêté sur les lieux de l’accident et immédiatement placé en détention provisoire.

« Il n’a fait preuve d’aucune considération pour la loi ou les autres »
« Nos pensées vont bien sûr à la famille de Frankie et à ses enfants qui ont également été impliqués dans la collision. J’espère sincèrement que la condamnation d’Adil Iqbal, un individu dangereux et imprudent, permettra à sa famille et à ses proches de tourner la page », a déclaré l’agent-détective Richie Hughes, de l’unité de police routière de Manchester à l’issue du procès.

« Nos mondes ont été déchirés, et pour quoi ? », a déclaré le père de l’actrice, Frank Hough, à la presse locale. « Tout cela parce qu’un jeune homme a voulu briller, a voulu montrer à ses amis sur les réseaux sociaux à quel point il pensait être audacieux et cool », a-t-il commenté très ému.

« Les actions d’Iqbal ce jour-là étaient tout simplement épouvantables. Il a sciemment et volontairement choisi de conduire sa voiture à cette vitesse, sans se soucier des autres conducteurs qui se trouvaient sur l’autoroute », a également souligné le policier. « Il n’a fait preuve d’aucune considération pour la loi ou les autres usagers de la route, a-t-il encore martelé à l’issue de l’audience. Malheureusement, Frankie et trois jeunes enfants ont été pris au piège de son imprudence et nous avons perdu une autre vie à cause d’une conduite dangereuse ».

L’officier de police s’est alors permis de répéter un message de sécurité routière basique. « J’aimerais profiter de cette occasion pour demander aux gens de réfléchir à leur façon de conduire et aux vitesses élevées qu’ils peuvent atteindre dans les véhicules. Pensez non seulement à vous, mais aussi à votre famille, à vos amis, à vos proches et, surtout, aux autres personnes que vous pourriez blesser ».

https://www.leparisien.fr/faits-divers/il-se-filme-roulant-a-198-kmh-et-tue-une-ex-star-de-tele-britannique-enceinte-20-07-2023-YVIKGUAFAVHLZK2DEHWN2VYJJU.php

« Il m’a violée trois fois par jour » : le terrible témoignage de l’ex-joueuse de tennis Angélique Cauchy
L’ancienne deuxième joueuse française chez les juniors a raconté devant une commission d’enquête les agressions sexuelles dont elle a été victime à partir de 12 ans de la part de son ancien entraîneur à Sarcelles.

Une histoire qui fait froid dans le dos. Ce mardi 5 septembre, Angélique Cauchy, agressée sexuellement dès l’âge de 12 ans par son entraîneur du club de Sarcelles (Val-d’Oise), Andrew Gueddes, a raconté devant une commission d’enquête le calvaire qu’elle a vécu pendant plusieurs années. En mai dernier, elle avait déjà expliqué à Franceinfo avoir été « violée près de 400 fois par son entraîneur de tennis pendant deux ans ». Cela avait mené à la condamnation d’Andrew Gueddes à 18 ans de prison en 2021 pour viols et agressions sexuelles sur quatre jeunes filles âgées de 12 à 17 ans.

Ce mardi, Angélique Cauchy a donc décidé de témoigner une nouvelle fois dans le cadre d’une commission d’enquête lancée en juillet pour identifier « des défaillances de fonctionnement au sein des fédérations de sport, du mouvement sportif et des organismes de gouvernance du monde sportif ». Et le récit est édifiant.

Des pensées suicidaires
« Ça s’est fait en quelques mois, en même pas deux ou trois mois, a-t-elle raconté. Et je lui ai dit : non, il ne faut pas, ce n’est pas bien, moi je ne veux pas. Et il m’a dit : mais quoi ? Tu sais, ça arrive souvent les relations entraîneur/entraînée. On passe tellement de temps ensemble, c’est normal. Mais moi, je ne voulais pas du tout, il avait l’âge de ma mère. »
Ce calvaire a provoqué chez elle des idées sombres, allant jusqu’à vouloir mettre fin à ses jours. « J’avais un petit carnet avec les autographes des joueurs du PSG parce que j’allais les voir au camp des Loges, a-t-elle précisé. Et entre ces feuilles, j’écrivais : j’en peux plus, il faut que ça cesse, je vais faire que tout s’arrête. »

Angélique Cauchy a également raconté les méthodes de son agresseur, particulièrement rodées. « Lui était originaire de La Baule et j’ai appris au cours du procès que c’était son mécanisme, a-t-elle expliqué. À chaque fois, il a amené ses victimes à La Baule, loin de chez elles, complètement déracinées, pour passer à des stades supérieurs. Ça a été les quinze pires jours de ma vie, il m’a violée trois fois par jour. »

« Ça se savait »
Le monde du tennis n’a, selon la victime, pas été surpris par cette affaire. « Dans le milieu du tennis, ça se savait qu’il n’était pas correct avec les jeunes filles, a-t-elle assuré. Je ne parle pas de moi parce que moi ça ne s’est pas su. Mais pour les autres, il y en avait toujours qui disaient : oui, il est avec, il sort avec. Mais à 38 ans, on ne sort pas avec une jeune de 15 ans, encore moins quand on l’entraîne. »
Pire encore, une femme avait tiré la sonnette d’alarme et prévenu le président du club. Elle a alors eu pour seule réponse : « oui, mais il nous ramène des titres ». Un discours qui met une nouvelle fois en lumière les violences sexuelles dans le monde du sport.
https://www.leparisien.fr/sports/tennis/tennis-il-ma-violee-trois-fois-par-jour-le-terrible-temoignage-dangelique-cauchy-06-09-2023-Q5CKPREF5JD3RG7QP53FWQIAG4.php

[20:02:34] <Pseud001>

Le 10 octobre 2023 Ă  22:03:34 :
Ce topic = https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/2/1641935362-6786898feldup-removebg-preview.png

c'est qui ce type?

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/2/1641935362-6786898feldup-removebg-preview.png

Le dentiste de l'horreur qui torture les enfants
Un dentiste qui aurait fait vivre l'horreur à des enfants sans défense qu'il aurait pourtant dû soigner n'a jamais été arrêté ou même accusé. Pire encore, il peut continuer de pratiquer sans problème.

Le réseau CNN a mis la main sur une vidéo enregistrée secrètement dans le bureau du Dr Howard Schneider, un dentiste de Jacksonville, en Floride.
Les images sont terrifiantes. On y voit l'homme de 78 ans intervenir dans la bouche d'un enfant. Celui-ci est attaché sur la chaise de traitement, et on l'entend hurler de douleur. On le voit également se débattre, mais il est incapable de se libérer de ses liens.

Son histoire n'est pas unique.
Des dizaines de parents qui ont emmené leurs enfants pour les faire soigner par le Dr Schneider, ont découvert trop tard le traitement «choc» qui était réservé aux petits.

En plus de faire souffrir atrocement ses patients, le dentiste aurait réclamé auprès des assurances dentaires des millions de dollars pour des procédures dont les patients ne voulaient pas ou n'avaient pas de besoin, rapporte CNN.

Un patient furieux a même été vu en train d'agresser physiquement le médecin. Le Dr Schneider affirme pour sa part n'avoir jamais rien fait de mal.

DÉNONCIATION SUR FACEBOOK
Les dénonciations ont commencé lorsqu'une mère de famille, Brandi Motley, a raconté qu'elle avait amené sa fille de 6 ans chez le Dr Schneider pour lui faire enlever une dent.

Le jour de la procédure, le dentiste lui a dit qu'elle ne pouvait pas s'asseoir avec sa fille dans la salle d'opération. «L'infirmière m'a dit que c'était mieux ainsi, que les enfants réagissent mieux quand les parents ne sont pas dans la salle. « Nous n'aimons pas que les parents soient présents», lui aurait-on dit.

La mère était assise depuis trois heures dans la salle d'attente lorsqu'une infirmière a surgi subitement. «Elle m'a dit qu'il y avait eu un incident. Elle hyperventilait. Elle avait du sang partout sur elle», a expliqué la maman.
En colère, Brandi Motley, n'a jamais été capable d'obtenir des explications de la part de l'équipe, mais surtout du dentiste. Elle a choisi d'amener sa fille aux urgences sur-le-champ.
«Une fois dans le stationnement je lui ai retiré les tampons de gaze, et j'ai vu que toutes ses dents avaient été retirées».

Au lieu d'extraire une seule dent à la fillette, le dentiste lui en avait retiré sept.

Dans tous ses états, Brandi a raconté son histoire sur Facebook et son texte est devenu viral, incitant ainsi d'autres parents à raconter le drame qu'ils avaient également vécu.

En plus de nombreuses poursuites au civil entamées par les parents, l'État de Floride poursuit également le dentiste pour fraude.

PLUSIEURS POURSUITES
D'autres poursuites plus anciennes avaient également été engagées contre le Dr Schneider. En 1995, il a été poursuivi pour avoir placé 16 couronnes dans la bouche d'un bambin de 3 ans, ce qui n'était évidemment pas nécessaire. Une entente de 7500$ est survenue entre la famille et le médecin.

Le dentiste a toujours nié les accusations à son endroit, et n'a jamais été arrêté. Malgré tous les soupçons et les doutes, le médecin a toujours sa licence et peut pratiquer sans problème.
https://www.tvanouvelles.ca/2015/05/22/le-dentiste-de-lhorreur-qui-torture-les-enfants

La disparition de Brianna Maitland est l’un des mystères les plus troublants et déconcertants de ces dernières années. Le 19 mars 2004, cette jeune femme de 17 ans a mystérieusement disparu après avoir quitté son lieu de travail dans un restaurant à Montgomery, dans le Vermont.
Malgré les efforts soutenus des enquêteurs et des proches de Brianna, son sort reste inconnu à ce jour. Cette affaire a captivé l’attention du public et est devenue un symbole des nombreuses disparitions non résolues qui continuent de hanter les communautés à travers le pays.

Brianna Maitland était une adolescente enjouée et ambitieuse qui aspirait à une carrière dans la musique. Le soir de sa disparition, elle avait quitté son lieu de travail après minuit et a été aperçue pour la dernière fois alors qu’elle conduisait sa voiture dans la nuit. Quelques heures plus tard, son véhicule a été retrouvé abandonné dans une position étrange à environ 1,5 kilomètre du restaurant où elle travaillait. Les phares étaient allumés et il semblait avoir été embouti par le mur d’un vieux hangar désaffecté.

Dès le début de l’enquête, les autorités ont envisagé différentes hypothèses, y compris celle d’une simple fuite volontaire. Cependant, la famille et les amis de Brianna ont toujours soutenu qu’elle ne serait jamais partie volontairement sans donner de nouvelles. Des recherches intensives ont été menées dans les environs, mais elles n’ont donné que peu d’indices sur la disparition de la jeune femme.

De nombreuses théories ont émergé au fil des années pour expliquer la disparition de Brianna. Certaines suggèrent qu’elle aurait été victime d’un crime violent, tandis que d’autres évoquent la possibilité d’un accident ou même d’une fugue planifiée. Malgré ces spéculations, aucune piste solide n’a pu être confirmée.

La disparition de Brianna Maitland a laissé un vide douloureux dans la vie de ses proches et dans la communauté de Montgomery. Sa famille a créé une fondation en son honneur pour aider à sensibiliser le public aux disparitions non résolues et pour soutenir les familles qui vivent des situations similaires.

La disparition de Brianna a également mis en lumière les défis auxquels sont confrontés les enquêteurs lorsqu’ils tentent de résoudre de tels cas. Malgré les avancées technologiques et les efforts continus des forces de l’ordre, il reste encore de nombreuses personnes disparues non retrouvées dans le pays.

La disparition de Brianna Maitland continue de hanter les esprits et d’évoquer un sentiment de frustration et d’impuissance. Bien que de nombreuses années se soient écoulées depuis ce triste événement, l’espoir de résoudre ce mystère persiste. La famille de Brianna et les enquêteurs ne cessent de lutter pour obtenir des réponses et trouver la vérité sur ce qui est arrivé à cette jeune femme pleine de vie. Espérons qu’un jour, la vérité émergera et que justice sera rendue à Brianna Maitland et à sa famille.

https://mysterium-incognita.com/2023/07/29/la-mysterieuse-disparition-de-brianna-maitland/

Une jeune fille de 9 ans est kidnappée devant chez elle en plein milieu de la nuit. Mais où est-elle donc ? Et que lui est-il arrivé ?

Aujourd’hui, nous allons parler de l’incroyable histoire d’Anthonette Cayedito.

Les faits
Le 6 avril 1986, Penny, la mère d’Anthonette est une mère célibataire et part réveiller ses 3 trois filles. Cependant, Anthonette, la plus grande n’est pas là. Penny ne s’alarme pas et se dit qu’elle est sans doute partie chez un voisin. La porte principale, habituellement fermée est ouverte, signe qu’Anthonette a ouvert la porte.

À Galup, où vit une petite communauté de 18.000 habitants, la violence n’existe pas et les habitants se sentent en sécurité. De plus, beaucoup d’entre eux ne verrouillent même pas leur porte et ils se font tous confiance.

Penny part à la recherche de sa fille, mais aucun des voisins ne l’a vus. Ainsi, c’est tous le quartier qui part à sa recherche. Très vite, ils comprennent que quelque chose de grave vient d’arriver et signale sa disparition à 11 h. Malheureusement, les policiers lui disent de patienter et le lendemain, les recherches commencent.
Les enquêteurs pensent rapidement à la piste de l’enlèvement. Mais que s’est-il passé ? Penny dit que la veille de la disparition d’Anthonette Cayedito, elle est partie boire un verre avec des amis et une nounou était chargée de garder les fillettes. Enfin, c’est à minuit que Penny a rejoint son domicile, les filles étaient là et étaient toutes les 3 couchées dans la même chambre, celle de Penny.

Cependant, Saddie, la jeune sœur d’Anthonette dit avoir entendu en pleine nuit quelqu’un frapper à la porte. De plus, elles entendent un homme et une femme dire « dépêche toi d’ouvrir, il fait froid dehors ». Ne reconnaissant pas les voix, elles ont attendues que les personnes partent avant de retourner se coucher.

L’étrange appel qui va mener d’Anthonette Cayedito
Les policiers reçoivent un appel 1 an plus tard. Une jeune fille prétend être Anthonette Cayedito. Cependant, Anthonette a à peine le temps le dire de dire qui elle est qu’un homme l’empêche de continuer la conversation. Malheureusement, l’appel sera trop court pour être retracé. Penny, sa mère reconnaît sa fille.

Un appel à témoin est lancée et ne mène à rien
4 ans plus tard, une serveuse rapporte un incident. Elle a servi un couple négligé qui étaient accompagnés d’une jeune fille qui essayait d’attirer son attention par tous les moyens. La fille prenait sa main. Enfin, au moment de débarrasser, la jeune fille laissa un mot « aidez-moi, appelez la police ».

Enfin, Saddie, la jeune sœur d’Anthonette Cayedito se rappelle qu’un certain « oncle Jo » a demandé a demandé à ce qu’on lui ouvre la porte. A peine ouverte, il força Anthonette à monter dans sa camionnette. Effrayée, la jeune fille n’a pas osé en parler avant de longues années.

Malheureusement, les parents d’Anthonette meurent avant d’avoir revu leur fille. Les théories les plus répondues sont qu’un proche de la famille l’aurait kidnappé et qu’elle ne cherche plus à retrouver ses parents par lavage de cerveau ou parce qu’elle est morte.

Et vous, que pensez-vous qu’il est arrivé à Anthonette ?
https://lecoinducrime.com/le-kidnapping-irresolu-anthonette-cayedito/

Le 20 octobre 2023 Ă  00:10:57 :
up

Caterina Fort, que Rina (Sainte-Lucie di Budoia, 28 juin 1915 - Florence, 2 mars 1988), Il a été un criminel italien, le protagoniste d'un célèbre crime de 'Italie la Après la deuxième guerre mondiale.

Jugé coupable assassiner pour le meurtre qui a eu lieu le 29 Novembre 1946, sa femme et ses trois enfants de son amant, Giuseppe Ricciardi, dans leur maison sur la Via San Gregorio 40 Milan, elle a été condamnée à 'condamnation à perpétuité et alors gracié, après avoir purgé trente ans de prison.

Ses victimes étaient: Franca Pappalardo Ricciardi en 40 ans, Giovanni Ricciardi a déclaré John de sept ans, Giuseppina Ricciardi a appelé Pinuccia 5 ans, Antonio Ricciardi a dit Antoniuccio 10 mois. Les journaux ont appelé « la bête de Via San Gregorio ».

Rina Fort a eu une vie troublée, constellé de douleur et de la tragédie: son père est mort lors d'une randonnée dans les montagnes pour tenter de l'aider à traverser un passage difficile; son petit ami est mort de tuberculose juste avant la mariage; puis elle a été découverte souffre d'un début stérilité. A 22 ans, elle a épousé un habitant du village compatriote, Giuseppe Benedet, déjà le jour de son mariage a montré des signes de déséquilibre destiné à dégénérer en folie, au point d'avoir à se précipiter maison de fous. obtenu séparation et a repris son nom de jeune fille, Rina Fort a déménagé à Milan avec sa sœur. en 1945 il a rencontré Giuseppe Ricciardi, un Sicile propriétaire d'un magasin de tissu via Tenca, devenant son premier travail en tant que partenaire engagé, puis amant, sans en avoir conscience - disait-il - le fait qu'il était déjà marié.

Joseph avait une femme et trois enfants Catane, mais son histoire avec Fort allé tranquillement, jusqu'à ce que des amis de la famille n'a pas signalé sa femme Franca voix se soucier de la trahison de son mari. Le Ricciardi avait apparemment l'habitude de présenter le Fort comme sa femme, collègues et amis. Ainsi, en Octobre 1946 Franca Ricciardi a décidé d'aller avec les enfants à son mari Milan.

Rina Fort a été congédié et trouvé du travail en tant que commis dans confiserie un ami, en continuant à assister à Giuseppe Ricciardi. Cependant, avec l'arrivée de sa femme et ses enfants à Ricciardi, leur relation a été compromise et Franca Ricciardi avait clairement fait savoir à Rina Fort qui devait finalement renoncer à son homme: il semble que la femme avait révélé être enceinte pour la quatrième fois, provoquant la frustration de son rival.

le crime
Le 29 Novembre 1946 Rina Fort a pris sa revanche sur la femme de son amant et ses trois enfants, de les tuer. Le même Rina Fort reconstruit la dynamique du crime dans sa confession unique détaillée, faite administration centrale Milan environ une semaine après l'assassiner, après plusieurs jours d'interrogatoire épuisant:

« Cette nuit-là quand je me promenais sans but, à travers Tenca, tourné automatiquement à droite et je suis allé dans le bâtiment numéro 40 de Via San Gregorio, traversa l'intérieur du passage, je suis allé à l'étage et a frappé à la porte d'entrée de la famille Ricciardi. La dame a demandé qui il était, puis ouvrit la porte. Je suis entré en tendant la main et elle m'a accueilli cordialement. Je me souviens que tenait le petit Antoniuccio dans ses bras. Il a introduit me suis assis dans la cuisine, tandis que les deux autres enfants jouaient ensemble. Assis juste senti un léger malaise, de sorte que Mme Pappalardo m'a donné un verre d'eau et de citron. Alors, elle a voulu clarifier la bizarrerie de ma visite: « Chère dame » - at-il dit - « elle doit mettre son esprit au repos et ne pas enlever Pippo, qui a une famille avec des enfants. La chose doit certainement finir parce qu'ils sont chers et bien, mais si elle le fait, je finirai tourner la tête pour l'envoyer dans son pays ». Soulignez que devant moi remettre le verre la dame il posa l'enfant sur la chaise et après avoir parlé à la cuisine m'a apporté une bouteille d'alcool pour me proposer un verre. Puis il est retourné à la salle à manger pour prendre un tire-bouchon, il n'a pas trouvé dans la cuisine. À ce stade, alors que la Pappalardo était dans la salle à manger, il a cassé le goulot de la bouteille de liqueur et versé en abondance. Aveuglé par la jalousie par petits mots avant qu'il a abordé la Pappalardo, ainsi que excité par l'alcool, je me suis levé par la rencontre aller. Giunta Antichambre Je l'ai rencontré alors qu'il tentait d'entrer dans la cuisine. À mon avis, il avait peur, pas en arrière, je me suis jeté sur elle et frappée à plusieurs reprises dans la tête avec un fer à repasser que j'avais pris de la cuisine et ils ne sont pas en mesure de préciser la taille. Le Pappalardo est tombé assommé sur le sol, je continuais à la frapper. Little John, et je frappe la mère, elle a été lancée pour la défense de son saisissant ses jambes. Avec une secousse projeta dans le coin droit de la préchambre et a obtenu le fer sur lui quelques coups de feu sont allés vide et a frappé le mur, d'autres l'ont rejoint dans la tête. Précise le tir avant de John; puis l'entrée dans la cuisine, a frappé le Pinuccia; à Antoniuccio, assis sur la chaise, infersi un coup dans la tête. Pendant ce temps, John était passé du coin où il se trouvait, alors je lui réduit sur plus de coups qu'il est tombé sans vie au sol avec sa tête à la porte de la cuisine. Le Pinuccia, frappé dans la cuisine, était tombée versé à la table. Horrifié par le spectacle macabre, je suis descendu et m'a emmené derrière la porte d'entrée du magasin, juste à droite de l'escalier. À l'intérieur du chien, il aboyait furieusement. Je voulais revenir sur les lieux du massacre, mais la route était mal et me suis retrouvé sur les marches menant à la cave. Je me suis assis sur la première marche quelques instants pour reprendre son souffle, puis montai l'escalier de l'appartement, où les lumières étaient allumées comme je les avais laissé. Mme Pappalardo et ses trois fils avaient pas respiré son dernier. Je suis entré dans la chambre à coucher, a enlevé ses chaussures et il calzai quelques Ricciardi, ceux des sept semelles. Sur les épaules, sur manteau, je me jeté une veste, puis a ouvert plusieurs tiroirs retirer un montant non divulgué de l'argent et des bijoux en or. Je mets à l'envers toute la maison, je ne sais pas dans quel but. Il n'était pas mort encore personne: la petite respiration, Mme tortiller, haletant la Pinuccia. Le Pappalardo à me regarder avec de grands yeux sommensamente dit: « Scandaleux! Scandaleux! Je vous pardonne parce que Joseph fait tant de bien. « Puis il ajouta: » Je recommande que les enfants, les enfants .... " Il a demandé à la dame de l'aide, comme il a continué à lutter. Elle sanglotait, puis il met des morceaux. Je marchais dans la chambre et a couru sur elle avec tout le poids de mon corps. Elle ne parlait pas, mais il respirait encore. Sans se rendre compte de ce que je faisais, je renversé sur le visage des victimes d'un liquide, et de sortir avant de finalement les bousculé dans sa bouche des couches imbibée du même liquide. Donc, je mets les chaussures dans la table de nuit et veste à l'endroit où je l'avais trouvé. Les victimes encore agonisaient quand ils approchaient de la porte et descendaient les escaliers. Je suis rentré chez moi, mangé deux œufs frits avec des bâtonnets de pain. La nuit, je ne pouvais pas dormir. Le lendemain, je suis allé travailler normalement ... "

enquĂŞtes
Le crime a été découvert le lendemain matin, le nouvel ordre de Ricciardi, Pina Somaschini, qui avait voyagé à San Gregorio de lui prêter par Mme Pappalardo des clés du magasin. Les victimes Riverse gisant dans une mare de sang, de la matière cérébrale et des traces de vomi: Mme Pappalardo et son fils aîné dans le hall de l'appartement, les deux jeunes enfants dans la cuisine. Le portier du bâtiment dit avoir fermé la porte à 21 heures comme tous les soirs, mais il manquait le verrou qui a été réparé et tout le monde aurait pu entrer sans difficulté.

Pour la police le tueur était une connaissance du Pappalardo, parce que la femme l'avait pris et lui a offert aussi alcool. Les meurtriers auraient pu être même deux, puisque les verres sales - dont on a trouvé des traces de rouge à lèvres - étaient un total de trois. Il semble que vous manque des pièces d'orfèvrerie faible valeur, presque certainement volé pour simuler un gauchement vol dégénéré en assassiner.

Les enquêteurs ont presque immédiatement mis au rebut l'idée du vol: la famille était dans des conditions économiques et le moins magasin Ricciardi précaire - surtout après le licenciement de Rina Fort, qui avait apparemment le talent dans les affaires - était toujours sur le point de fermer, avec de nombreux factures en guise de protestation. Celle de Via San Gregorio semblait sans aucun doute un crime passionnel, comme ils l'avaient été tués les enfants qu'ils ne pouvaient même pas témoigner. La femme avait eu du mal avant qu'elle a été tuée et ils ont été trouvés dans ses ongles de cheveux de la femme. Toujours à la scène, il a été trouvé déchiré Ricciardi une photo du couple le jour de leur mariage.

Giuseppe Ricciardi était en Prato au travail; Il a traqué et informé de ce qui a été interrogé et a fait le nom de Rina Fort, son amant et engagé de Septembre 1945. la police Il lui a demandé à sa maison via Mauro Macchi 89, puis dans la boulangerie où elle a travaillé via Settala 43. Elle a été arrêtée alors au service des clients en plaisantant et raconter des histoires, et transporté dans siège de la police.

L'interrogatoire a commencé le 30 Novembre 1946 dans l'après-midi, moins de 24 heures de multiples assassiner. Rina Fort a admis qu'il a travaillé pour le Ricciardi, mais a nié être sa maîtresse et de connaître ses allées et venues. Il a nié toute responsabilité même du crime; 2 décembre ramené Ricciardi, était indifférent.

Ramenés au poste de police, après 17 heures d'interrogatoire de Monsieur le commissaire. Di Serafino, a commencé à céder la place. Elle a admis qu'elle était la maîtresse de Ricciardi, avec beaucoup de bague de mariage, et que la relation était terminée avec l'arrivée de sa femme. Son avocat a dénoncé avoir été battu le défenseur et la sortie passages à tabac lors de son interrogatoire. Il a affirmé avoir participé au massacre, mais n'a pas touché les enfants; Ricciardi accusé d'être l'instigateur du crime, ainsi que avec un tel non identifié « Caramel ». Il a ajouté que, dans les intentions de l'ancien amant, elle et « Caramel » devrait mettre en scène un vol pour intimider Franca Pappalardo, lui faire croire que la vie à Milan était trop dangereux et le repousser à Catane; mais, une fois arrivé via San Gregorio, la situation serait précipitée, en partie à cause d'un « drogué cigarette » que le mystérieux « Carmelo » offrirait.

le processus
« Et vous parlez aussi bien, donc si vous êtes intéressé, lisez les rapports, les photos fournies, allez-y, si vous ne pouvez pas l'aider, la cour d'assises, en discuter dans la soirée. Mais il reste occupé au cœur de la mémoire de ces trois enfants tués sauvagement, de ces trois Faccini est resté là, immobile pour toujours, avec l'étonnement expression de cette chaise de téter d'où coulait le sang doux. Les âmes des trois innocents dominent, avec une lumière pâle et douloureuse, la foule se sont réunis à la cour; et il se peut que vous regardez. »

(Dino Buzzati, noir Chronicles[1].)
Le 10 Janvier 1950 à Cour d'assises de Milan Il a commencé le procès de Rina Fort, accusé d'assassiner. La femme, défendue par Antonio Marsico, a assisté à toutes les audiences, exhibant un foulard jaune flashy qui lui a valu le surnom de « La Bête avec un foulard de couleur canari. » Entre l'ouïe et l'autre, il a donné plusieurs interviews, dipingendosi comme absolument étranger aux faits si odieux et déclarant à un journaliste: « Avez-vous me croyez être si calme, si j'avais sur ma conscience les enfants? ». Au cours du procès, il n'a pas reconnu cette Zampulla, qui avait eu lieu comme le fameux « Carmel » son complice présumé de.

Giuseppe Ricciardi a confirmé son alibi Prato pour le travail. Il a nié avec des tons tristes qu'il n'a jamais pris part à un projet meurtrier vers sa famille. Sa figure ne semble pas évident à la Cour, car, arrivés sur les lieux, Ricciardi semblait plus soucieux de comprendre quoi et comment ils étaient partis précieux qui n'a pas le cœur brisé d'avoir perdu des êtres chers. Cela a conduit au poste de police, se sont précipités, sanglotant, dans les bras de Rina Fort criant « mine Rina! » En dépit de la police avait fait savoir que la femme était le principal suspect. Ricciardi est encore constitué partie civile contre son ancien amant, un acte qui lui a valu une réprimande sévère par l'avocat du frère à son tour formé partie civile. Le frère, au cours du procès, l'accusé d'être un mauvais mari et père, et qu'il avait abusé de sa femme. Pendant ce temps, Rina a été traduit du Fort San Vittore un prison de Pérouse.

Lorsque - comme d'habitude - à la fin de différend, elle a reçu le dernier mot, Rina Fort est venu avec une sorte de clame amer, sans scrupules:

« Je pourrais dire que je ne suis pas peur du jugement. Ils feront les juges. Donne-moi cinq ans ou la réclusion à perpétuité, quel usage est-il? Maintenant, je suis le Fort! »

Le 9 Avril 1952 Il a été condamné à 'condamnation à perpétuité, tandis que Zampulla et Ricciardi ont été acquittés de toutes les charges, en dépit des conclusions des enquêteurs à de nombreuses lacunes et de la scène devaient rester des doutes qu'une femme seule aurait pu tuer si violemment. L'utilisation de Cour de cassation, examiné le 25 Novembre 1953, Il a confirmé une condamnation à perpétuité.

Rina Fort a toujours refusé d'être considéré comme le seul coupable du massacre. Dans une lettre à son avocat a écrit:

« Il est pas le montant de la douleur qui me fait peur. Il y a une partie du crime que je n'ai pas commis et ne veulent pas. »

Au cours du procès, il a essayé de prouver le moins étranger tuant trois enfants, mais on ne croit pas. Dans son discours, l'avocat des demandeurs Armando Radice a prononcé des paroles de grand impact:

« Nous voudrions croire, madame. Mais elle sait que dans la conscience des enfants à tuer. Les gants noirs couvrant ses mains veulent faire taire sa conscience. Parce que la fin de la main du gant noir est le rejet de ce qui a fait la main. »

Le procès, à cause de la cruauté du crime, est le résultat de très large public. Parmi les journalistes de la criminalité qui ont suivi tout au long du procès dans la salle d'audience était l'auteur nous Dino Buzzati, qui a écrit une série d'articles pour la nouvelle BBC, malgré ne se sent pas trop faire le chroniqueur[1].

la peine
Rina Fort a servi son temps prison de Pérouse jusqu'à 1960, quand, pour des raisons de santé, il a été transféré à la prison Trani, qui a bénéficié de conditions climatiques plus favorables. Il a ensuite passé dans prison murate à Florence.

Églises et obtenu le pardon de la famille Pappalardo. Après trente ans de prison le 12 Septembre 1975 Il a été bénéficié par la grâce Président de la République Giovanni Leone. Dans la même année, il est mort Giuseppe Ricciardi, son ancien amant, qui avait alors remarié et a eu un autre fils.

àpartir de 1975 Benedet pris le nom de famille de son ex-mari Joseph, et a vécu une vie réservée aux Florence, avec une famille qui l'avait accueilli après sa libération, se faisant appeler même Rina Furlan, à la mort infarctus 2 mars 1988.

https://boowiki.info/art/les-criminels-italiens/rina-fort.html

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kongstrong
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11 janvier 2019 Ă  16:05:48
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