« Les Grandes écoles, c'est que du piston »

Le 13 juin 2015 à 23:16:42 FameuxPoteNoir a écrit :

Le 13 juin 2015 à 23:13:37 Dagnyr a écrit :

Le 13 juin 2015 à 23:11:21 FameuxPoteNoir a écrit :
Tiens Dagnyr, comment c'est ton stage ?

Faut que je me mette au boulot
Demain, je bourrine et j'avance de 50 pages dans mon bouquin

Genre ça fait deux semaines que tu lis ?
Cool les stages de maths n'empêche.

Ben après, je suis en train de découvrir un domaine qui est vraiment tout nouveau pour moi. Donc forcément ça prend du temps. De toutes façons, le stage de L3 en maths, c'est surtout de la documentation. C'est pas comme si on en savait assez pour faire des trucs vraiment nouveaux.
En plus je perds du temps sur des preuves du bouquin qui sont incomplètes...

de toute façon beaucoup dans les grandes écoles y vont pour être "assisté" car même si ils sont bons ils n'ont pas d'idées et ne peuvent se contenter que d'un bon poste bien payé, les autres ont des projets et ne perdent pas leur temps avec la grande école, enfin je veux dire par là qu'ils n'en ont pas besoin

Ok t'es juste un abruti en fait, j'hésitais entre un troll subtil ou ça

Le 13 juin 2015 à 23:24:23 Dagnyr a écrit :

Le 13 juin 2015 à 23:19:55 BGpasTimide a écrit :

Tout à fait vrai, si on s'arrête à la PACES.

Mais votre "niveau académique" qui nécessite d'assimiler certaines compétences de réflexion, les médecins doivent l'acquérir par la suite en plusieurs années, pour ce qui est du sens clinique et de la réflexion médicale, qui les conduit nécessairement au 2e concours en 6e année qu'on n'a plus besoin de décrire, alors qu'après l'admission en grande école, entre nous on est d'accord, c'est de la pure branlette

Je veux bien te croire à propos de la suite des études en médecine.
Mais pour les écoles, ce que tu dis n'est pas entièrement vrai. Ça dépend des écoles et des ambitions.

Le 13 juin 2015 à 23:18:52 hooni59v7 a écrit :
ça reste une exception, pcq ceux que je connais ils sont arrivé en prépa ils ont bien senti qu'ils avaient du retard, dans les bons lycée on te prépare à la prepa, alors que dans un lycée public les profs s'en tape, du coup t'arrive t'es en retard sur les autres, quand je vois que certains ont du mal à avoir un top 10 ESC alors qu'ils ont eu 16-17 au bac et qu'ils étaient 1er de la classe avec le même genre de moyenne en survolant tous les autres sans bouger le petit doigt alors que le 2ème était en sueur..

Mec, il y a un moment où il va falloir que tu admettes que tu ne sais pas de quoi tu parles. Oui, certains ont de l'avance en arrivant en prépa. Mais les cartes sont très vites redistribuées, et après un ou deux semestres de première année, le top de la classe est pas mal chamboulé.
Un élève qui a le potentiel pour bien réussir en prépa, il ne va pas se planter parce qu'il ne vient pas d'un bon lycée. De même qu'un taupin qui a un bon potentiel n'est pas condamné à rater ses concours parce qu'il n'est pas dans une excellente prépa.

bah écoute je rapporte ce qu'on m'a dit, y'a même des majors de promo qui se plantent, perso la prépa j'aurais jamais supporté un tel rythme

Mec, il y a un moment où il va falloir que tu admettes que tu ne sais pas de quoi tu parles. Oui, certains ont de l'avance en arrivant en prépa. Mais les cartes sont très vites redistribuées, et après un ou deux semestres de première année, le top de la classe est pas mal chamboulé.
Un élève qui a le potentiel pour bien réussir en prépa, il ne va pas se planter parce qu'il ne vient pas d'un bon lycée. De même qu'un taupin qui a un bon potentiel n'est pas condamné à rater ses concours parce qu'il n'est pas dans une excellente prépa.

Je confirme à 100%. En prépa, lors des deux ou trois premiers mois, on note en effet une certaine avance de ceux qui ont étudié dans de bons lycées. Mais après cette période, les classements prennent une toute autre allure car ceux qui ont du retard le rattrapent très rapidement. Les acquis du lycées permettent parfois de briller au début, mais ça ne va pas plus loin.

Le 13 juin 2015 à 23:27:36 soozi a écrit :
Halfway ce qui compte dans un concours c'est pas de réussir l'examen, mais d'être le meilleur

de toute façon tu te fais vite démolir à l'oral

Je sors de terminale c'est normal que je pine rien aux sujets de maths même celui d'HEC ou bien c'est grave?

Oui c'est grave tu devrais te réorienter en filière pro

Le 13 juin 2015 à 23:30:57 MinneapolisCity a écrit :
Je sors de terminale c'est normal que je pine rien aux sujets de maths même celui d'HEC ou bien c'est grave?

Quelle terminale ? Sinon, c'est normal.

Le 13 juin 2015 à 23:31:18 MinneapolisCity a écrit :
Je suis en terminale S

Go 15-18.

Le 13 juin 2015 à 23:30:57 MinneapolisCity a écrit :
Je sors de terminale c'est normal que je pine rien aux sujets de maths même celui d'HEC ou bien c'est grave?

Oh le nul

Le 13 juin 2015 à 23:27:01 Dagnyr a écrit :

Le 13 juin 2015 à 23:16:42 FameuxPoteNoir a écrit :

Le 13 juin 2015 à 23:13:37 Dagnyr a écrit :

Le 13 juin 2015 à 23:11:21 FameuxPoteNoir a écrit :
Tiens Dagnyr, comment c'est ton stage ?

Faut que je me mette au boulot
Demain, je bourrine et j'avance de 50 pages dans mon bouquin

Genre ça fait deux semaines que tu lis ?
Cool les stages de maths n'empêche.

Ben après, je suis en train de découvrir un domaine qui est vraiment tout nouveau pour moi. Donc forcément ça prend du temps. De toutes façons, le stage de L3 en maths, c'est surtout de la documentation. C'est pas comme si on en savait assez pour faire des trucs vraiment nouveaux.
En plus je perds du temps sur des preuves du bouquin qui sont incomplètes...

Ca parle de quoi déjà ?

Le 13 juin 2015 à 23:30:57 MinneapolisCity a écrit :
Je sors de terminale c'est normal que je pine rien aux sujets de maths même celui d'HEC ou bien c'est grave?

Évidement que c'est normal. On passe pas son temps à se branler la bite en prépa, donc ça parait raisonnable qu'un terminale ne pine rien au sujet.

Le 13 juin 2015 à 23:32:41 FameuxPoteNoir a écrit :
Ca parle de quoi déjà ?

Géométrie tropicale.
Une sorte d'approche un peu combinatoire de la géométrie algébrique.
Genre on traite les nombres réels comme des puissances auxquelles on élèverait un petit epsilon : l'addition devient le minimum et la multiplication devient l'addition.
Ensuite on définit de nouvelles variétés, dites tropicales, qui viennent d'un polynôme et on fait le lien entre les variétés tropicales et les variétés algébriques.