Topic de --crazymarty-- :

[Officiel] Les Infirmiers/ères du 18-25

Bah c'est "normal" d'être un peu le larbin en stage, tu ne connais pas grand chose, il faut bien apprendre, et selon les mentalités et expériences des tuteurs et diplômés ils te font apprendre plus ou moins à la dure, j'ai connu ça dans mes expériences précédentes aussi.

(quand je dis "normal" c'est entre guillemets hein :noel: )

McZizi :d) Et quels ont été les éléments responsables ? :(
Tu t'es senti bien formé en arrivant vraiment dans la profession ?

Le 04 septembre 2021 à 23:30:49 :
(quand je dis "normal" c'est entre guillemets hein :noel: )

McZizi :d) Et quels ont été les éléments responsables ? :(
Tu t'es senti bien formé en arrivant vraiment dans la profession ?

Ah oui, moi c'est le sentiment que t'es juste un pion sur planning et la prise en charge en mode rendement comme à l'usine, ça m'a claqué bien fort. Sans parler des problèmes de personnel qui existait déjà très fort avant le covid, là maintenant faut multiplier par 10.

Le 04 septembre 2021 à 23:35:26 :

Le 04 septembre 2021 à 23:30:49 :
(quand je dis "normal" c'est entre guillemets hein :noel: )

McZizi :d) Et quels ont été les éléments responsables ? :(
Tu t'es senti bien formé en arrivant vraiment dans la profession ?

Ah oui, moi c'est le sentiment que t'es juste un pion sur planning et la prise en charge en mode rendement comme à l'usine, ça m'a claqué bien fort. Sans parler des problèmes de personnel qui existait déjà très fort avant le covid, là maintenant faut multiplier par 10.

:d) Ouais, je suis bien conscient que j'ai pas choisi la voie de la facilité (c'était pas le but de toute manière) au vu des conditions actuelles d'exercice en France (c'est pas nouveau comme tu le dis) ...
Et vous le vivez comment ces cadences à tenir, le rendement à avoir ? C'est tout de même possible, à défaut de faire du relationnel, de réaliser au moins les soins correctement ?

Le 04 septembre 2021 à 17:10:55 :

Le 04 septembre 2021 à 14:00:31 :
Vous pensez quoi des P1 qui font leur stage infirmier ? C'est vrai que vous les aimez pas ?

En vrai c'est des stagiaires comme les autres, j'en ai encadré un une fois, il la ramenait un peu trop son premier jour "gneugneugneu en médecine moi je moi je moi je" du coup je l'ai envoyé torcher des culs, ça lui a vite fait comprendre la prise en soins holistique du patient, que c'est pas résumable à une pathologie/un trouble et après il était ouvert à l'apprentissage.
C'était ptet sa façon de gérer l'anxiété du stage de parler autant de lui et de combien médecine est le meilleur cursus du monde :(

femmeforumeuse : personne lors de sa prise de poste n'est parfait, loin de là. Tout le monde fait des erreurs, et ta tendance à l'anxiété te facilite pas les choses. Dis toi que tu commences juste, et que tu es doublée deux semaines. D'ici là, on sait tous ici que tu vas réussir à prendre confiance en toi (en tout cas un peu plus que d'habitude :hap:). Tu verras au cours de ta pratique que tu feras encore des erreurs, mais je suis certain que t'as rien fait de grave ou de dommageable, hormis une perte de temps ou de thune (par perte de matériel ou que sais-je)...
Tu vas gérer meuf :ok:

Merci beaucoup mon kheyou, vous êtes des angea :coeur:
Heureuse de savoir qu'il y a des kheyous comme vous

Le 04 septembre 2021 à 17:31:44 :
Je ne sais pas si ça peut rassurer notre collègue débutante mais des conneries j'en ai fait, notamment quelques mémorables :

-arracher une prise électrique en remontant un lit médicalisé (@@€!)
-coincer une ampoule de morphine dans un fauteuil (il a fallu une sonde rectale pour la récupérer).
-asperger un mur de sang après avoir galéré à effectuer un prélèvement à la seringue.
-asperger mon chariot d'urine après avoir effectué un sondage évacuateur (j'ai glissé et PLOUF), j'ai dû le désinfecter 5 fois et le douchée plusieurs fois pour enlever toute odeur.

J'en ferai sûrement d'autres.

C'est vrai que ça rassure pas mal. Putain les kheys qu'est-ce que je ferai sans vous :coeur:

Le 04 septembre 2021 à 22:38:06 :
Salut les gars (et les filles, parce que c'est un métier de fille, non ? https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467336912-jesus5.png )

Bon, ben 8 ans après avoir passé le concours pour la première fois (et avoir échoué https://image.noelshack.com/fichiers/2016/45/1478607863-jesus-before.png ), c'est enfin parti pour moi en ce beau mois de septembre ...
Quoi de mieux pour se dire qu'on a fait le bon choix que de venir lire le topic des infirmiers du 18-25 ... https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/6/1522514973-risitasaah.png

J'ai un peu remonté les pages précédentes jusqu'à atterrir au moment où vous évoquiez la forte demande pour accéder à la formation sur Parcoursup, le nombre d'étudiants censé augmenter ... Et votre fameuse question "A quand la désillusion pour eux ?" ...
D'où mon questionnement : qu'est-ce qui vous a motivé a devenir infirmier ? Et est-ce que vous arrivez encore à vous rattacher à ces motivations aujourd'hui ? (en vrai je suis presque sûr de vous avoir posé cette même question y'a un ou deux ans :( )

Pas vraiment eu de desulision sur le métier pour ma part, j'y allais pas avec des rêve plein les yeux sur le métier en général.

L'ambiance dans certains services m'a refroidit par contre ainsi que la manière de faire de certains. Après j'suis toujours aussi heureux de fair mon métier, c'est pas facile tous les jours mais je sens que j'aide vraiment les gens dans le sens premier du terme et c'est coo' d'avoir un métier qui donne du sens à ce que tu fais.

C'est clairement une vocation, t'es fait pour l'être ou pas, après le déclic peut arriver tard, pour ma part c'est en fin de 2eme année que j'ai su à 100% que je voulais faire ça, et les notes stages sont passés de corrects à bon voir très bons pour ceux qui m'ont le plus intéresser. J'suis l'un des premiers à déconseiller ce taff en général si t'es pas sur de le vouloir. Mais j'reste très heureux de m'être accroché et j'me vois pas être ailleurs honnêtement.

Merci pour ton retour Piedsdecochons. :ok:
Pour ma part c'est avant tout la volonté de servir qui m'a poussé vers cette voie là ... Ca n'a pas été possible après le bac, pourtant presque 10 ans plus tard, bah j'avais quand même le souhait de réessayer.
Mais ça fait un sacré tournant, j'imagine qu'il est normal de douter, non ? :noel: Tu as commencé tes études à quel âge toi ? :(

Concernant l'ambiance et la manière de faire de certains, c'est généralisable à l'ensemble du monde du travail, quel que soit le domaine, quel que soit le poste ... Tu as des branleurs, des incompétents, des m'en foutistes partout ...

Bonjour, le métier brancardier m'intéresse mais j'ai quelques questions :

Comment le devenir et comment se passe le choix des hopitaux ? :(

Les horaires sont chiants mais ça je m'en fous limite, mais est-ce que faut être musclé ? Car je suis grand mais maigre :hap:

Et est-ce qu'on peut évoluer après ou ça reste un métier limité et bien juste quand on est jeune ?

Merci à vous, et bon courage les infirmiers !

Le 05 septembre 2021 à 16:43:05 :
Bonjour, le métier brancardier m'intéresse mais j'ai quelques questions :

Comment le devenir et comment se passe le choix des hopitaux ? :(

Les horaires sont chiants mais ça je m'en fous limite, mais est-ce que faut être musclé ? Car je suis grand mais maigre :hap:

Et est-ce qu'on peut évoluer après ou ça reste un métier limité et bien juste quand on est jeune ?

Merci à vous, et bon courage les infirmiers !

Faut te renseigner auprès de l'hosto ou tu veux bosser. Y a pas vraiment besoin d'être muscler, c'est toujours mieux parce que tu peux être amené à mobiliser des patients. En soit si l'hosto est bien équipé les lits sont très ergonomiques.

C'est un métier ou t'évolues peu au final mais ça peut te servir si tu veux reprendre des études dans le milieu hospitalier. Après t'as aussi le rôle de "Garçon" dans le public qui est très sympathique. T'as quand même moyen d'être très utile. Y a deux brancardiers qui sont venus nous aider en dialyse pendant le covid (le bloc était fermé), ils étaient ultra efficace, très marrant, très pro. L'équipe entière les ont adoré. En plus la présence masculine dans le milieu fait beaucoup de bien physiquement (tu restes plus fort que les filles) et moralement si t'es pas prise de tête.

Le 05 septembre 2021 à 13:43:46 :
Merci pour ton retour Piedsdecochons. :ok:
Pour ma part c'est avant tout la volonté de servir qui m'a poussé vers cette voie là ... Ca n'a pas été possible après le bac, pourtant presque 10 ans plus tard, bah j'avais quand même le souhait de réessayer.
Mais ça fait un sacré tournant, j'imagine qu'il est normal de douter, non ? :noel: Tu as commencé tes études à quel âge toi ? :(

Concernant l'ambiance et la manière de faire de certains, c'est généralisable à l'ensemble du monde du travail, quel que soit le domaine, quel que soit le poste ... Tu as des branleurs, des incompétents, des m'en foutistes partout ...

Post bac directement donc 19ans. Après douter oui, c'est plutôt si tu continues de douter passer un certain dans la formation que c'est plus compliqué je suppose.

Le 05 septembre 2021 à 17:01:52 :

Le 05 septembre 2021 à 16:43:05 :
Bonjour, le métier brancardier m'intéresse mais j'ai quelques questions :

Comment le devenir et comment se passe le choix des hopitaux ? :(

Les horaires sont chiants mais ça je m'en fous limite, mais est-ce que faut être musclé ? Car je suis grand mais maigre :hap:

Et est-ce qu'on peut évoluer après ou ça reste un métier limité et bien juste quand on est jeune ?

Merci à vous, et bon courage les infirmiers !

Faut te renseigner auprès de l'hosto ou tu veux bosser. Y a pas vraiment besoin d'être muscler, c'est toujours mieux parce que tu peux être amené à mobiliser des patients. En soit si l'hosto est bien équipé les lits sont très ergonomiques.

C'est un métier ou t'évolues peu au final mais ça peut te servir si tu veux reprendre des études dans le milieu hospitalier. Après t'as aussi le rôle de "Garçon" dans le public qui est très sympathique. T'as quand même moyen d'être très utile. Y a deux brancardiers qui sont venus nous aider en dialyse pendant le covid (le bloc était fermé), ils étaient ultra efficace, très marrant, très pro. L'équipe entière les ont adoré. En plus la présence masculine dans le milieu fait beaucoup de bien physiquement (tu restes plus fort que les filles) et moralement si t'es pas prise de tête.

Merci de ta réponse.
On peut postuler directement dans les hopitaux ? J'appelle directement un hopital proche pour postuler ? Y'a zéro formation ?
L'ambiance est comment vu que c'est composé que de femme ? Faut etre assez yes life ou on peut etre reserve dans ce metier ?
Et on peut toucher beaucoup si on fait des heures supp ?

T'auras besoin de l'AFGSU normalement, mais pas besoin de formation spécifique je dirais
Oui contacte un centre hospitalier près de chez toi, ce sera plus simple et plus sûr niveau infos

L'ambiance ca dépend de l'endroit où tu es, du service.. Chez nous ca se passe bien avec les collègues brancardiers, ils sont cool
Que tu sois yes life ou célestin osef franchement, du moment que tu es correct avec tes collegues/patients.. Je suis réservé ca ne m'empeche pas d'avoir tjrs été considéré comme un bon infi par mes pairs par ex.. je suis un peu réservé avec mes collegues (et encore c'est quand je ne connais pas assez/ne me connaissent pas assez au début) mais avec les patients je suis tjrs ouvert

Comme partout les heures supp ca peut mettre du beurre dans les épinards ! Mais faut voir ton taux horaires et cie, je connais pas assez les salaires des brancardiers

Et tu peux évoluer dans ton métier aussi, tu peux tres bien être brancardier dans les services "classiques", brancardier au bloc, ou même en morgue pour les centres plus gros (bon, c'est spécial, mais ca existe !)

Le 04 septembre 2021 à 22:38:06 :
Salut les gars (et les filles, parce que c'est un métier de fille, non ? https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467336912-jesus5.png )

Bon, ben 8 ans après avoir passé le concours pour la première fois (et avoir échoué https://image.noelshack.com/fichiers/2016/45/1478607863-jesus-before.png ), c'est enfin parti pour moi en ce beau mois de septembre ...
Quoi de mieux pour se dire qu'on a fait le bon choix que de venir lire le topic des infirmiers du 18-25 ... https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/6/1522514973-risitasaah.png

J'ai un peu remonté les pages précédentes jusqu'à atterrir au moment où vous évoquiez la forte demande pour accéder à la formation sur Parcoursup, le nombre d'étudiants censé augmenter ... Et votre fameuse question "A quand la désillusion pour eux ?" ...
D'où mon questionnement : qu'est-ce qui vous a motivé a devenir infirmier ? Et est-ce que vous arrivez encore à vous rattacher à ces motivations aujourd'hui ? (en vrai je suis presque sûr de vous avoir posé cette même question y'a un ou deux ans :( )

-Possibilité de varier les services, de se spécialiser, de voyager par exemple ,ces 3 motivations que j'avais avant même de rentrée en IFSI ,et maintenant que je suis diplômé ,j'en ai déjà réalisé 2 sur les 3 ,je trouve ça pas mal quand même

Le 04 septembre 2021 à 22:38:06 :

Salut les gars (et les filles, parce que c'est un métier de fille, non ? https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467336912-jesus5.png )

L'élément féminin représente en effet 85% de l'effectif.
Nous, les hommes, sommes généralement appréciés, non pas parce que (comme je le lis trop souvent) un milieu féminin est forcément toxique mais, tout simplement, parce qu'on a pas la même façon de ressentir, de réagir et que la mixité apporte souvent un plus.
D'ailleurs, de manière générale il est bon dans une équipe d'avoir des gens d'âges et d'expérience différents.

Bon, ben 8 ans après avoir passé le concours pour la première fois (et avoir échoué https://image.noelshack.com/fichiers/2016/45/1478607863-jesus-before.png ), c'est enfin parti pour moi en ce beau mois de septembre ...

Quoi de mieux pour se dire qu'on a fait le bon choix que de venir lire le topic des infirmiers du 18-25 ... https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/6/1522514973-risitasaah.png
J'ai un peu remonté les pages précédentes jusqu'à atterrir au moment où vous évoquiez la forte demande pour accéder à la formation sur Parcoursup, le nombre d'étudiants censé augmenter ... Et votre fameuse question "A quand la désillusion pour eux ?" ...

C'est vrai qu'on est souvent assez durs dans notre vision des choses.
Disons qu'il faut être conscient de trois choses:

-Il y a des choses dures inhérentes au métier: s'occuper de gens qui vont mal c'est voir et entendre beaucoup de choses moches, c'est souvent se sentir impuissant.
Ça c'est inévitable.
-Il y a surtout des conditions de travail souvent mauvaises, parfois au point d'empêcher de faire correctement son travail, ce qui entraîne de la souffrance pour les patients et beaucoup de frustration pour les soignants. Rien de pire que de se sentir pris dans un engrenage qui déconne.
-Evidemment il y a aussi des gens qui s'en foutent et font mal leur boulot, ce qui peut saloper l'action d'une équipe toute entière.
De manière générale quand tout le monde en chie il peut y avoir des frictions entre collègues, c'est un milieu dur.
Du coup on a tendance à refroidir les étudiants ou futurs étudiants, pas parce qu'on est aigris mais bien pour que le choc soit mon rude.

Si je n'aime pas le terme de "vocation" (le côté bonnes soeurs corvéables etc) je considère néanmoins que c'est un "beau" métier, car on est utile de plein de manières à d'autres gens, on travaille en équipe, on vit des situations improbables et, si c'est un milieu dur c'est aussi un milieu où il peut exister une grande solidarité, celle qui se forme entre gens qui il n'y vécu des choses difficiles ensemble.
Qui plus est on a la santé de vraies personnes entre les mains, les enjeux sont donc très importants.
C'est un métier qui a du sens, s'il ne faut pas être naïf il ne faut pas non plus cracher sur tout idéal : prendre soin de tout un chacun, sans se soucier des origines ou du niveau de revenu de la personne par exemple c'est un idéal, vouloir traiter le patient comme on voudrait être traité aussi.
Être idéaliste ne veut pas dire idéaliser le métier, je pense même que c'est important pour avoir des points de repère.
Dans de bonnes conditions c'est vraiment un métier passionnant.

D'où mon questionnement : qu'est-ce qui vous a motivé a devenir infirmier ? Et est-ce que vous arrivez encore à vous rattacher à ces motivations aujourd'hui ? (en vrai je suis presque sûr de vous avoir posé cette même question y'a un ou deux ans :( )

Pour ma part j'ai commencé par des études d'histoire, ça me passionnait, ça me passionne toujours mais je ne voulais pas être prof, je ressentais un besoin d'être utile socialement, concrètement, de servir.
Dans ma famille on est attachés à cette notion, beaucoup de profs justement, j'imagine que ça joue.
J'ai commencé comme secouriste bénévole pour une association (je le suis toujours, bien que peu actif) et j'ai découvert le soin, qui plus est le soin dans sa globalité, un secouriste ne fait pas qu'emmener un patient d'un point A à un point B, il cherche à préserver sa dignité, à écouter même si c'est un temps court, à rassurer.
Et j'ai évidemment rencontré des soignants parmi ces bénévoles, j'ai aussi découvert le travail en équipe.
J'ai découvert que j'aimais ça et que a priori je m'en sortais plutôt bien.
Du coup, même si ce sont des soins différents je me suis rendu compte que que je voulais en faire mon métier, j'ai rapidement choisi infirmier car c'était le métier qui me paraissait le plus généraliste, avec notamment une grande variété de lieux d'exercice.
De plus, n'ayant pas un profil scientifique certains cursus me paraissaient inaccessibles (pas tous, j'ai hésité avec orthophoniste et psychomotricien aussi).

Je ne pense pas avoir idéalisé le métier, je m'attendais à ce que soit dur, à tomber sur des équipes en galère...et effectivement je me suis mis une pression de dingue, j'ai douté de moi, au point de faire une année de coupure pour souffler bosser un peu comme AS.
Paradoxalement j'ai rapidement été moins stressé une fois en poste que pendant mes études.

Mes motivations n'ont pas vraiment changé, je suis saoulé de mon service et de mon hosto, de ce qu'il est devenu en quelques années, je change donc de lieu et de service.
Mais justement, je ne change pas de métier, je me suis posé la question mais en fait je prends toujours du plaisir dans les soins alors je veux essayer de trouver un endroit qui me convienne mieux.
Je suis plus revendicatif, je connais un peu mieux mes limites, par exemple quand je suis au travail je me donne à fond mais je fais très rarement des heures supplémentaires et je 'e reviens jamais sur un jour de repos, quand c'est fini c'est fini.
Mais fondamentalement je n'ai pas changé.

C'est un très beau métier mais il faut être prêt à encaisser, ne pas attendre de remerciements et être vigilant, certaines structures sont tellement daubées que même un professionnel consciencieux peut être poussé à la faute.

C'est un job qui m'intéresse pas mal, il y a pas mal d'évolutions et ça c'est top

Le 08 septembre 2021 à 15:23:22 :
C'est un job qui m'intéresse pas mal, il y a pas mal d'évolutions et ça c'est top

tu gagnes cb ?

Rien que dans notre structure ( géant hôpital + ehpad) 450 soignants ne sont pas vaccinés. Ca va être un carnage les kheys, préparez vous
bof, ici structure assez petite autour de 500 salariés, y'a que 3 qui refusent

Le 09 septembre 2021 à 00:01:16 :
bof, ici structure assez petite autour de 500 salariés, y'a que 3 qui refusent

J'ai remarqué c'est tout ou rien j'ai l'impression

Données du topic

Auteur
--crazymarty--
Date de création
14 juin 2013 à 16:07:57
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