Alcooliques Anonymes

Merci c'est pour ça que j'en parle ici. Ça fait toujours du bien d'avoir du soutien.

Surtout pour ne pas replonger.

Le 15 juillet 2021 à 22:09:46 :
Merci c'est pour ça que j'en parle ici. Ça fait toujours du bien d'avoir du soutien.

Surtout pour ne pas replonger.

Tu tiens le bon bout.

T’as eu des résultats de l’hôpital ? Tu vas bien ?

Perso moi j’ai recommencé à côtoyer l’alcool sans avoir de trop grosses pulsions. Je suis assez fière.

Petit bémol j’ai consommé pas mal de drogue et fait une sacrée connerie. Mais je crois que je gère. Consommation festive plutôt exceptionnelle avec des amis, et j’ai pas vu une goutte. Donc je pense que c’est bon signe. J’ai une sortie prévue en terrasse ce week-end, où je consommerais pas de drogue du coup comme substitution, on verra si ça se passe bien. Je suis avec un ami qui connaît bien la situation de toute façon donc j’ai qu’un mot à dire pour qu’on s’en aille si ça va pas. J’espère que ça se passera bien.

Je n'ai pas bu depuis le 21 juin maintenant.

Sinon j'ai vu le médecin aujourd'hui ils ne savent toujours pas ce que c'est.

Juste que c'est un nodule qui peut-être bénin ou malin.

Donc ils vont refaire un prélèvement.

Le 23 juillet 2021 à 16:08:23 :
Je n'ai pas bu depuis le 21 juin maintenant.

Sinon j'ai vu le médecin aujourd'hui ils ne savent toujours pas ce que c'est.

Juste que c'est un nodule qui peut-être bénin ou malin.

Donc ils vont refaire un prélèvement.

Félicitations, déjà plus d'un mois, tiens bon ça va aller

Mince... J'espère que tout ira bien de ce côté là. Tiens nous au courant

Vous êtes tous tombé de l'alcoolisme de manière progressive ? Comment exactement ? au début c'était festif entre potes puis ensuite c'est quoi les "étapes" ? Commencer à boire seul ? etc...

J'aimerais en savoir plus car je ne sais pas trop ou me situer. J'ai deux grands parents alcooliques (un du coté de mon père et une du coté de ma mère), et mon père boit pas mal. Il a son boulot très prenant et il l'assume mais ça m'étonnerait pas qu'à la retraite il ne gère plus. Je le vois dès qu'il a du temps libre il boit.

C'est donc dans mes gênes et j'aime beaucoup le vin et la bière, et l'ivresse. Et je recherche cette ivresse de plus en plus souvent. Il m'arrive de boire seul 1 à 2x par semaine. Je me réserve une soirée juste pour moi avec musique etc, et je me sens bien ivre avec moi-même.

Mais je sens que l'envie monte si je ne bois pas quelques jours. Disons que je peux m'en passer, mais je me réjouis assez fortement de la prochaine occasion de boire.

L'alcool ne m'a jamais empêché d'assumer tout ce que je dois faire, en vie privé et professionnelle. Par contre je ne peux presque pas m'arrêter à un verre ou deux. Si je commence à boire, je vais être en recherche constante de boire plus. Et je tiens l'alcool de mieux en mieux.

A l'époque, une demi bouteille de vin j'étais déjà pompette. Maintenant il me faut une bouteille de vin complète. Et encore, le sentiment d'ivresse n'est plus aussi pur et agréable qu'avant, alors je vais enchaîner sur de la bière pour essayer de retrouver ce sentiment, et ainsi de suite.

Je ne bois de loin pas tous les jours. Mon problème c'est plutôt que si je commence avec un verre, j'en veux toujours plus.

L'envie ne me vient JAMAIS en journée, pas avant 17-18h en tout cas, même ça me dégoute et me donne absolument aucune envie avant ces heures là. Je refuserais même si on m'en propose gratos.

Tout ça fait que je ne sais pas trop ou me situer. Dépendant ou juste grosse consommation sans dépendance ?

Vous me conseillez quoi ? Tenter une abstinence d'1 mois ou 2 mois pour voir si ça me pose problème ?

Je me remets beaucoup en question et l'exemple de mes grands parents me sert à me dire qu'il vaut mieux que je me pose les bonnes questions en amont.

Je n'accepterai pas d'être alcoolique donc je prend constamment du recul pour me demander si ce que je fais est "normal" et m'auto-analyser en quelque sorte.

D'ou le fait que j'aimerais savoir comment on "glisse" à en avoir besoin tous les jours. C'est ce mécanisme progressif et piégeur qui m'intéresse, pour être en mesure d'agir avant cette étape.

Le 22 avril 2021 à 10:25:06 :
Personnellement j'ai fait un transfert d'addiction. J'ai 24 ans et j'ai fais bien des expériences dans ma courte vie, (drogues de toute sorte, alcool, médicaments..) j'ai été addictive au cannabis pendant près de 6 ans, j'ai fini par arrêter suite à de sérieux problèmes de mémoire. Malheureusement j'ai compensé en commençant à boire, un ou deux verres de whisky me suffisait pour être éméché, aujourd'hui je bois 2 bouteilles (75cl) en trois jours.

J'ai des terreurs nocturnes qui me pourrissent mes nuits, je suis sous Rivotril pour ça d'ailleurs, je suis ravagée par l'anxiété des suites d'un traumatisme pendant mon adolescence et je souffre de la solitude.
Mon père est pompier et a toujours été là pour me soutenir, sauf que je suis désormais à plus de 300km de chez lui. Je me retrouve seule avec mes angoisses et mes peines, que je noie dans l'alcool.
Hier encore j'ai eu une grosse mauvaise passe à broyer du noir, je me suis encore mis une murge.

On va sûrement me traiter d'aw mais ça m'a fait du bien de l'écrire.

Bon et bien.. j'ai recommencé à boire depuis juillet. Je bois plus qu'avant même, je descend 3 litres en 2j. Pourtant ça va pas pire qu'avant, mais pas mieux non plus.
Je souffre.

Je ne me considère pas comme alcoolique car je ne bois que le week-end, donc je ne peux pas te répondre à ça. Cependant j'aurais tendance à dire, que lorsque l'on commence à se poser des questions sur notre consommation d'alcool, si c'est "normale" alors c'est qu'il commence à y avoir le début d'un problème et qu'il est temps de stopper ou de fortement réduire

Je pense qu'un des premiers signes ça serait le fait de boire seul. Le fait de vouloir toujours boire plus pour un effet. Le fait de tenir mieux avec l'habitude

Mais il faudrait voir d'autres avis

Le 02 août 2021 à 13:35:35 :

Le 22 avril 2021 à 10:25:06 :
Personnellement j'ai fait un transfert d'addiction. J'ai 24 ans et j'ai fais bien des expériences dans ma courte vie, (drogues de toute sorte, alcool, médicaments..) j'ai été addictive au cannabis pendant près de 6 ans, j'ai fini par arrêter suite à de sérieux problèmes de mémoire. Malheureusement j'ai compensé en commençant à boire, un ou deux verres de whisky me suffisait pour être éméché, aujourd'hui je bois 2 bouteilles (75cl) en trois jours.

J'ai des terreurs nocturnes qui me pourrissent mes nuits, je suis sous Rivotril pour ça d'ailleurs, je suis ravagée par l'anxiété des suites d'un traumatisme pendant mon adolescence et je souffre de la solitude.
Mon père est pompier et a toujours été là pour me soutenir, sauf que je suis désormais à plus de 300km de chez lui. Je me retrouve seule avec mes angoisses et mes peines, que je noie dans l'alcool.
Hier encore j'ai eu une grosse mauvaise passe à broyer du noir, je me suis encore mis une murge.

On va sûrement me traiter d'aw mais ça m'a fait du bien de l'écrire.

Bon et bien.. j'ai recommencé à boire depuis juillet. Je bois plus qu'avant même, je descend 3 litres en 2j. Pourtant ça va pas pire qu'avant, mais pas mieux non plus.
Je souffre.

Tu as essayé des cures ?

Le 02 août 2021 à 13:40:55 :

Le 02 août 2021 à 13:35:35 :

Le 22 avril 2021 à 10:25:06 :
Personnellement j'ai fait un transfert d'addiction. J'ai 24 ans et j'ai fais bien des expériences dans ma courte vie, (drogues de toute sorte, alcool, médicaments..) j'ai été addictive au cannabis pendant près de 6 ans, j'ai fini par arrêter suite à de sérieux problèmes de mémoire. Malheureusement j'ai compensé en commençant à boire, un ou deux verres de whisky me suffisait pour être éméché, aujourd'hui je bois 2 bouteilles (75cl) en trois jours.

J'ai des terreurs nocturnes qui me pourrissent mes nuits, je suis sous Rivotril pour ça d'ailleurs, je suis ravagée par l'anxiété des suites d'un traumatisme pendant mon adolescence et je souffre de la solitude.
Mon père est pompier et a toujours été là pour me soutenir, sauf que je suis désormais à plus de 300km de chez lui. Je me retrouve seule avec mes angoisses et mes peines, que je noie dans l'alcool.
Hier encore j'ai eu une grosse mauvaise passe à broyer du noir, je me suis encore mis une murge.

On va sûrement me traiter d'aw mais ça m'a fait du bien de l'écrire.

Bon et bien.. j'ai recommencé à boire depuis juillet. Je bois plus qu'avant même, je descend 3 litres en 2j. Pourtant ça va pas pire qu'avant, mais pas mieux non plus.
Je souffre.

Tu as essayé des cures ?

Non jamais

Ma libido a commencé à chuter. J’ai recommencé à consommer beaucoup de drogues dures, en soirée et accompagnée je précise, et en même pas trois semaines j’ai déjà ma libido qui est en chute libre. J’ai fait une connerie je crois. Mais bon, je sais pas trop, ça m’aide à tenir des soirées où y a beaucoup d’alcool sans avoir de pulsion, alors je sais pas trop si c’est un bien pour un mal. Je retrouve une vie sociale débordante comme j’aime avoir, j’avoue qu’avec le covid j’étais pas mal déprimée d’être enfermée, souvent seule, avec mon addiction.

Pour ceux qui ne savent pas bien comment gérer tout ça. C’est bien d’en parler ici. Mais ce que je peux vous conseiller avant tout, c’est de peut-être en parler avec votre médecin. Ici c’est un endroit où on peut se vider, s’abandonner à ses ressentis, on s’encourage et on se dit les choses. Mais ça ne remplace pas l’avis de spécialistes. Ça vous donnera juste le courage qu’il faut pour faire les choses qu’il y a à faire pour s’en sortir.

Le 02 août 2021 à 22:18:43 :
Ma libido a commencé à chuter. J’ai recommencé à consommer beaucoup de drogues dures, en soirée et accompagnée je précise, et en même pas trois semaines j’ai déjà ma libido qui est en chute libre. J’ai fait une connerie je crois. Mais bon, je sais pas trop, ça m’aide à tenir des soirées où y a beaucoup d’alcool sans avoir de pulsion, alors je sais pas trop si c’est un bien pour un mal. Je retrouve une vie sociale débordante comme j’aime avoir, j’avoue qu’avec le covid j’étais pas mal déprimée d’être enfermée, souvent seule, avec mon addiction.

Pour ceux qui ne savent pas bien comment gérer tout ça. C’est bien d’en parler ici. Mais ce que je peux vous conseiller avant tout, c’est de peut-être en parler avec votre médecin. Ici c’est un endroit où on peut se vider, s’abandonner à ses ressentis, on s’encourage et on se dit les choses. Mais ça ne remplace pas l’avis de spécialistes. Ça vous donnera juste le courage qu’il faut pour faire les choses qu’il y a à faire pour s’en sortir.

Merde je suis sincèrement désolé
J'espère vraiment que tu t'en sortiras, bon courage à toi et à ceux du topic
En tout cas c'est très courageux tu permets à des gens de se confier sans filtre, bref courage à tous ceux qui passent par là, vous n'êtes pas seuls

Le 02 août 2021 à 22:20:05 :

Le 02 août 2021 à 22:18:43 :
Ma libido a commencé à chuter. J’ai recommencé à consommer beaucoup de drogues dures, en soirée et accompagnée je précise, et en même pas trois semaines j’ai déjà ma libido qui est en chute libre. J’ai fait une connerie je crois. Mais bon, je sais pas trop, ça m’aide à tenir des soirées où y a beaucoup d’alcool sans avoir de pulsion, alors je sais pas trop si c’est un bien pour un mal. Je retrouve une vie sociale débordante comme j’aime avoir, j’avoue qu’avec le covid j’étais pas mal déprimée d’être enfermée, souvent seule, avec mon addiction.

Pour ceux qui ne savent pas bien comment gérer tout ça. C’est bien d’en parler ici. Mais ce que je peux vous conseiller avant tout, c’est de peut-être en parler avec votre médecin. Ici c’est un endroit où on peut se vider, s’abandonner à ses ressentis, on s’encourage et on se dit les choses. Mais ça ne remplace pas l’avis de spécialistes. Ça vous donnera juste le courage qu’il faut pour faire les choses qu’il y a à faire pour s’en sortir.

Merde je suis sincèrement désolé
J'espère sincèrement que tu t'en sortiras

Ne toujours pas avoir touché à une goutte d’alcool, même dans des soirées arrosées, c’est déjà un victoire en soi pour moi. J’ai pas spécialement de problème d’addiction avec les drogues, j’en consomme de façon festive et c’est pas quotidien. Mais j’en consomme quand même souvent et beaucoup, et je ressens déjà des effets sur mon moral, sur mon caractère et sur ma sexualité. J’ai eu des coucheries en plein milieu des bois sous ké, à l’intérieur d’un camion en sortant de rave, mais là après trois semaines je suis vidée, et genre, j’ai plus d’envies. Plus beaucoup du moins. C’est frustrant. J’ai des pics des fois, mais ça retombe aussi sec que c’est venu. Même me masturber c’est plus possible en fait, ça monte pas, puis je m’arrête. Limite j’ai la flemme. Faudrait que je fasse une pause je pense, mais j’ai déjà des soirées de prévues et je sais très bien que même si j’en achète pas moi, y en aura et je vais y foutre le nez dedans. Parce que je m’amuse trop et que ça m’aide aussi à ne pas boire. Je sais pas trop quoi faire avec ça. Ça serait con que je fasse un transfert d’addiction

Le 02 août 2021 à 22:21:29 :
Salut les kheys,
Je suis petit à petit tombé dans une alcoolo dépendance après avoir longtemps bu qu'une ou deux bière par jour + parfois de bonnes cuites le weekend.
Je ne suis pas un très gros buveur mais j'ai du mal à m'arrêter et je me retrouve souvent à boire un pack de bière ou une bouteille de vin tout seul en rentrant du boulot.
J'ai décidé de réduire drastiquement depuis quelques temps.
En juillet je n'ai bu que 5 jours, 20 doses d'alcool. Ce n'est pas parfait mais c'est déjà pas mal pour moi qui ai du mal à me passer d'alcool une journée. Là je n'ai rien bu depuis 6 jours.

C’est bien ! Tu es sur la bonne voie. Surveille bien ton état de santé si tu décides d’arrêter totalement de boire. Je ne connais pas l’avancement de ton addiction, peut-être es-tu déjà physiquement dépendant. Cela peut être dangereux. Si jamais tu ressens des effets secondaires à ton sevrage qui s’accentuent, consulte rapidement un médecin, tu auras peut-être besoin d’un traitement à base de benzo pour contrer les effets du sevrage alcoolique.

J’en profite pour faire un rappel. Ça ne fait jamais de mal.

Le sevrage alcoolique est dangereux.

Il y a des effets secondaires possibles en fonction du stade d’avancement de l’addiction. Tremblements, maux de tête, sueurs froides, insomnie, somnambulisme, nausées, et dans les cas les plus grave il est possible de faire un delirium tremens, avec hallucinations, démences, voire la mort.

Un sevrage alcoolique n’est pas à prendre à la légère. Je comprends qu’on ne veuille pas d’assistance médicale. Je n’en voulais pas moi-même. Mais surveillez au moins votre état de santé, soyez à l’écoute de votre corps. Si vous avez des effets secondaires qui s’aggravent, consultez rapidement un médecin.

Le 02 août 2021 à 22:25:31 :

Le 02 août 2021 à 22:20:05 :

Le 02 août 2021 à 22:18:43 :
Ma libido a commencé à chuter. J’ai recommencé à consommer beaucoup de drogues dures, en soirée et accompagnée je précise, et en même pas trois semaines j’ai déjà ma libido qui est en chute libre. J’ai fait une connerie je crois. Mais bon, je sais pas trop, ça m’aide à tenir des soirées où y a beaucoup d’alcool sans avoir de pulsion, alors je sais pas trop si c’est un bien pour un mal. Je retrouve une vie sociale débordante comme j’aime avoir, j’avoue qu’avec le covid j’étais pas mal déprimée d’être enfermée, souvent seule, avec mon addiction.

Pour ceux qui ne savent pas bien comment gérer tout ça. C’est bien d’en parler ici. Mais ce que je peux vous conseiller avant tout, c’est de peut-être en parler avec votre médecin. Ici c’est un endroit où on peut se vider, s’abandonner à ses ressentis, on s’encourage et on se dit les choses. Mais ça ne remplace pas l’avis de spécialistes. Ça vous donnera juste le courage qu’il faut pour faire les choses qu’il y a à faire pour s’en sortir.

Merde je suis sincèrement désolé
J'espère sincèrement que tu t'en sortiras

Ne toujours pas avoir touché à une goutte d’alcool, même dans des soirées arrosées, c’est déjà un victoire en soi pour moi. J’ai pas spécialement de problème d’addiction avec les drogues, j’en consomme de façon festive et c’est pas quotidien. Mais j’en consomme quand même souvent et beaucoup, et je ressens déjà des effets sur mon moral, sur mon caractère et sur ma sexualité. J’ai eu des coucheries en plein milieu des bois sous ké, à l’intérieur d’un camion en sortant de rave, mais là après trois semaines je suis vidée, et genre, j’ai plus d’envies. Plus beaucoup du moins. C’est frustrant. J’ai des pics des fois, mais ça retombe aussi sec que c’est venu. Même me masturber c’est plus possible en fait, ça monte pas, puis je m’arrête. Limite j’ai la flemme. Faudrait que je fasse une pause je pense, mais j’ai déjà des soirées de prévues et je sais très bien que même si j’en achète pas moi, y en aura et je vais y foutre le nez dedans. Parce que je m’amuse trop et que ça m’aide aussi à ne pas boire. Je sais pas trop quoi faire avec ça. Ça serait con que je fasse un transfert d’addiction

C'est déjà très bien les petites victoires, mais en vrai c'est assez inquiétant ce que tu décris les semaines d'après... Je ne sais pas quoi dire j'aimerais pouvoir aider
Ce n'est pas possible de voir pour faire des soirées avec moins d'alcool, ou quelque chose du genre ? Je me doute que non malheureusement mais bon