Alcooliques Anonymes
Le 18 avril 2021 à 16:17:03 :
Pareil pour moi mais moi c'est pas l'alcool c'est autre chose à quois je suis addict ! Et en se moment ça va vraiment pas c'est de pire en pire !
Viens mp
Le 19 avril 2021 à 10:59:18 :
Sevrée de quelle manière l'OP ?
Les deux fois seule à domicile avec suivi médical. Mais j’ai fait un délirium tremens la première fois et j’ai été hospitalisée.
Famille amis taff santé
Le 20 avril 2021 à 12:33:42 :
C'est pas toi fait du riz au vinaigre tous les jours?
Le midi, pourquoi ?
Le 20 avril 2021 à 12:39:04 :
Quel saloperie je connais peu d'alcooliques qui s'en sortent sans tout perdre avant
Famille amis taff santé
Je m’en suis sorti de justesse. J’ai perdu mon père, et j’ai mes relations avec ma mère qui se sont un peu dégradées, mais ça va mieux maintenant.
Le taff j’ai réussi à composer avec, mon patron était cool.
Je fav dans le doute
Perso -> Semaine de merde au taff + Rhum arrangé Ananas victoria-fruit de la passion = Bourré
Mon passif : 3 ans d'alcoolisme pur pendant lesquelles j'ai consommé 2 bouteilles de bourdon tous les 3 jours suivis de 2 ans de sobriété.
Depuis 3 ans une multitude de rechute plus ou moins violente en fonction du contexte
Alcoolique depuis deux ans suite à un transfert d'addiction, je me permet de poster sur le topic.
Mon ex avait réussi à me faire sortir de l'alcool pendant... un mois Puis la relation est devenue plus que toxique, elle avait une emprise énorme sur moi à cause de sa jalousie maladive. Il s'est donc passé des cuites lors de ses absences, seuls moyen pour oublier cette relation de merde dans laquelle j'étais prisonnier.
Nous ne sommes plus ensemble depuis un an et heureusement.
Je continue de boire mais là depuis 2-3 mois c'est devenu la merde, je bois encore +, chaque jours c'est 7-8 canettes de Rince Cochon ou Goudale ou 8.6 + 1-2 grande bouteille de Duvel.
J'ai essayé d'arrêter de boire la semaine dernière car je souhaite me lancer dans le bénévolat, chose qui va me changer à tout jamais.
J'ai commencé les recherches qui jusqu'à maintenant, vont être florissante.
Seul problème, je bois, je bois et je rebois. Toujours et encore, impossible de m'arrêter.
Dès que je met les pieds dehors, impossible de ne pas aller faire le plein.
Le 21 avril 2021 à 18:52:35 :
Je fav dans le doutePerso -> Semaine de merde au taff + Rhum arrangé Ananas victoria-fruit de la passion = Bourré
Mon passif : 3 ans d'alcoolisme pur pendant lesquelles j'ai consommé 2 bouteilles de bourdon tous les 3 jours suivis de 2 ans de sobriété.
Depuis 3 ans une multitude de rechute plus ou moins violente en fonction du contexte
Tu comptes arrêter définitivement ? Aujourd'hui tu en es où au niveau du moral ?
Si tu as besoin viens en mp
Tu as demandé de l'aide ? Tu as des proches pour te soutenir ?
Le 21 avril 2021 à 18:54:28 :
Alcoolique depuis deux ans suite à un transfert d'addiction, je me permet de poster sur le topic.Mon ex avait réussi à me faire sortir de l'alcool pendant... un mois Puis la relation est devenue plus que toxique, elle avait une emprise énorme sur moi à cause de sa jalousie maladive. Il s'est donc passé des cuites lors de ses absences, seuls moyen pour oublier cette relation de merde dans laquelle j'étais prisonnier.
Nous ne sommes plus ensemble depuis un an et heureusement.
Je continue de boire mais là depuis 2-3 mois c'est devenu la merde, je bois encore +, chaque jours c'est 7-8 canettes de Rince Cochon ou Goudale ou 8.6 + 1-2 grande bouteille de Duvel.J'ai essayé d'arrêter de boire la semaine dernière car je souhaite me lancer dans le bénévolat, chose qui va me changer à tout jamais.
J'ai commencé les recherches qui jusqu'à maintenant, vont être florissante.
Seul problème, je bois, je bois et je rebois. Toujours et encore, impossible de m'arrêter.
Dès que je met les pieds dehors, impossible de ne pas aller faire le plein.
Tu as pensé à demander conseils et aide auprès d'un spécialiste ? Ou juste d'en parler a ton généraliste pour commencer.
Sinon, tu as pensé à utiliser des benzo pour te sevrer ? Ca aide énormément, et c'est même obligatoire en fonction de ton stade d'avancement dans l'addiction, à cause des symptomes de sevrage alcoolique, et surtout le délirium tremens, potentiellement mortel.
Pas facile d'avoir des benzo comme ça, mais ça peut se trouver, c'est des anxiolythiques/antidépresseurs, donc souvent on peut en avoir quand on a eu des blessures. Possible, si tu as des proches, des amis, de la famille, que quelqu'un en ait dans ses tiroirs à pharmacie. Sinon, seule solution, c'est de voir un médecin et s'en faire prescrire.
Personnellement j'ai fait un transfert d'addiction. J'ai 24 ans et j'ai fais bien des expériences dans ma courte vie, (drogues de toute sorte, alcool, médicaments..) j'ai été addictive au cannabis pendant près de 6 ans, j'ai fini par arrêter suite à de sérieux problèmes de mémoire. Malheureusement j'ai compensé en commençant à boire, un ou deux verres de whisky me suffisait pour être éméché, aujourd'hui je bois 2 bouteilles (75cl) en trois jours.
J'ai des terreurs nocturnes qui me pourrissent mes nuits, je suis sous Rivotril pour ça d'ailleurs, je suis ravagée par l'anxiété des suites d'un traumatisme pendant mon adolescence et je souffre de la solitude.
Mon père est pompier et a toujours été là pour me soutenir, sauf que je suis désormais à plus de 300km de chez lui. Je me retrouve seule avec mes angoisses et mes peines, que je noie dans l'alcool.
Hier encore j'ai eu une grosse mauvaise passe à broyer du noir, je me suis encore mis une murge.
On va sûrement me traiter d'aw mais ça m'a fait du bien de l'écrire.
Je vois quasi tous les jours de 2 à 6 doses d'alcool et je n'arrive pas à m'arrive pas à boire un verre de manière festive...
En parallèle je suis sous xanax et seroplex depuis une séparation (la séparation bien corsée avec bataille pour la garde d'enfants et vente de maison)
Heureusement j'ai une chérie au top et u' bon taf mais cette dépendance aux cachets et à l'alcool m'inquiète beaucoup
Bonjour à tous.
J'ai 29 ans et j'ai été alcooliques pendant 15 ans, aujourd'hui ça fait 4 mois et 4 jours que je suis abstinent.
J'avais des pics de consommation à 2 bouteilles de vodka et 2 à 3 litres de bières à 12% par jour.
J'ai vécu une longue et douloureuse descente aux enfers, dans ma vie l'alcool à tout impacter de manière négative : le couple, la famille, le travail, l'argent, la santé, la vie sociale de manière générale, les problèmes avec la justice, les comportements autodestructeur et violent, dangereux envers les autres, l'absence de respect pour quoi que ce soit.
Tout à finit par graviter autour de ma consommation au détriment du reste.
Et même la personne qui m'était la plus fidèle, ma maman, à fini par se lasser et m'abandonner, à juste titre et je ne lui en veux pas.
Après avoir passé ma vie à vouloir me détruire et après plusieurs tentatives infructueuses, j'ai accidentellement détruit la vie d'une autre personne et ça a été l'élément déclencheur vers ma décision de devenir responsable et acteur de ma propre vie.
Après une longue remise en question et une ferme intention de devenir et rester abstinent, j'ai été demander de l'aide à un médecin et j'ai été hospitalisé 2 mois.
Le sevrage a été rude et j'ai failli y laisser ma peau.
J'ai décidé de faire de mon mieux chaque jour car j'ai compris que ma vie, ma conscience, était le fruit d'un immense hasard et que j'avais hérité d'une partie de la vie de mes aïeux, des combats qu'ils ont du mener, le dur labeur et aussi les bons moments.
Aujourd'hui je fais de mon mieux pour être impliqué dans une communauté, dans la vie sociale que je développe, pour être bien dans ma peau, heureux de vivre et reconnaissant de ma bonne santé et de ma bonne forme physique.
J'ai de l'espoir pour l'avenir, le mien et celui des autres, du mieux vivre ensemble avec toutes les espèces qui peuplent notre monde, et j'ai de l'espoir pour notre planète terre, notre mère nature.
Je pense que c'est le strict minimum dont chaque être humain devait être capable.
Je suis actuellement sans emploi, je dois repasser mon permis de conduire en août et ce sera mon point de départ pour me relancer dans la vie active.
Je reprendrais des études d'art en parallèle à la rentrée scolaire en dessin, avec comme objectif est de devenir tatoueur pour les personnes ayant des cicatrices suite à des accidents, des opérations, des cancers, avec une ambition sociale, un petit prix pour les personnes concernées et quelques échanges sur nos vies.
Il m'aura fallu traverser tout ça pour tenter de devenir quelqu'un de meilleur et j'aurais pu ne jamais ressentir le désir de m'en sortir.
J'avance en portant le poids de toutes mes erreurs mais je suis beaucoup plus doux et amical avec moi-même que je ne l'ai jamais été car quelques soient les erreurs que j'ai pu commettre, je ne pourrais jamais réellement les réparer, par contre je peux avancer en acceptant mon passé et transmettre de la joie autour de moi et mon expérience comme message d'espoir, l'espoir que dans la vie tout peux arriver.
Je souhaite à tout ceux qui sont dans cet enfer d'être plus clément et doux envers eux-même et je leur propose de tenter de s'en sortir, de devenir acteur de sa guérison et de faire du mieux possible, ni plus ni moins.
C'est possible de s'en sortir et ça fait du bien.
Ca demande du courage mais la vie est belle et elle en vaut la peine.
En espérant que mon témoignage soit utile pour au moins l'un d'entre-vous mes clés !
Le 22 avril 2021 à 10:25:06 :
Personnellement j'ai fait un transfert d'addiction. J'ai 24 ans et j'ai fais bien des expériences dans ma courte vie, (drogues de toute sorte, alcool, médicaments..) j'ai été addictive au cannabis pendant près de 6 ans, j'ai fini par arrêter suite à de sérieux problèmes de mémoire. Malheureusement j'ai compensé en commençant à boire, un ou deux verres de whisky me suffisait pour être éméché, aujourd'hui je bois 2 bouteilles (75cl) en trois jours.J'ai des terreurs nocturnes qui me pourrissent mes nuits, je suis sous Rivotril pour ça d'ailleurs, je suis ravagée par l'anxiété des suites d'un traumatisme pendant mon adolescence et je souffre de la solitude.
Mon père est pompier et a toujours été là pour me soutenir, sauf que je suis désormais à plus de 300km de chez lui. Je me retrouve seule avec mes angoisses et mes peines, que je noie dans l'alcool.
Hier encore j'ai eu une grosse mauvaise passe à broyer du noir, je me suis encore mis une murge.On va sûrement me traiter d'aw mais ça m'a fait du bien de l'écrire.
J'ai fait ce topic pour ça justement, ici t'es libre de coucher tes maux à l'écrit. Je sais que ça fait beaucoup de bien. De plus l'anonymat nous permets d'être bien plus libre de nous livrer.
Tu as pensé à consulter un spécialiste pour avoir de l'aide vis à vis de ton addiction ?
Pour ton trauma je comprends, j'ai aussi eu un traumatisme durant l'adolescence, je fais des insomnies chroniques depuis. Quand je ferme les yeux j'ai fréquemment les images qui reviennent et ça m'empêche de trouver le sommeil. J'ai aussi eu des phases de grosses consommation de drogues, notamment pour chasser mes démons par l'hédonisme. Tant que c'était mondain, ça allait encore, bien que c'était excessif et surtout extrême (raves, grosse perches, etc.). Le problème a été quand j'ai fait ma depression et que j'ai commencé à boire seule, puis à la suite de mon premier sevrage, en continuant et en augmentant mes fréquences de prises de prods.
Pour ton trauma, tu as vu quelqu'un ? Si tu es sous traitement je suppose que tu as vu un psychiatre. T'as pensé au psychologue ? Ca guérit pas mais parfois ça peut aider, juste de parler.
Ton papa est au courant de ta situation ?
Le 22 avril 2021 à 15:50:24 :
Je suis loin d'ingurgiter les mêmes doses que vous mais je suis quand même addict au niveau psychologique.
Je vois quasi tous les jours de 2 à 6 doses d'alcool et je n'arrive pas à m'arrive pas à boire un verre de manière festive...
En parallèle je suis sous xanax et seroplex depuis une séparation (la séparation bien corsée avec bataille pour la garde d'enfants et vente de maison)
Heureusement j'ai une chérie au top et u' bon taf mais cette dépendance aux cachets et à l'alcool m'inquiète beaucoup
Fais attention au mélange benzo / alcool. C'est extrêmement dangereux pour ta santé, en plus de décupler les risques de plongée dans des stades profond d'addiciton (addiction physique). Tu as parlé de ta dépendance à l'alcool à un médecin ?
Le 22 avril 2021 à 16:43:13 :
Bonjour à tous.J'ai 29 ans et j'ai été alcooliques pendant 15 ans, aujourd'hui ça fait 4 mois et 4 jours que je suis abstinent.
J'avais des pics de consommation à 2 bouteilles de vodka et 2 à 3 litres de bières à 12% par jour.J'ai vécu une longue et douloureuse descente aux enfers, dans ma vie l'alcool à tout impacter de manière négative : le couple, la famille, le travail, l'argent, la santé, la vie sociale de manière générale, les problèmes avec la justice, les comportements autodestructeur et violent, dangereux envers les autres, l'absence de respect pour quoi que ce soit.
Tout à finit par graviter autour de ma consommation au détriment du reste.
Et même la personne qui m'était la plus fidèle, ma maman, à fini par se lasser et m'abandonner, à juste titre et je ne lui en veux pas.Après avoir passé ma vie à vouloir me détruire et après plusieurs tentatives infructueuses, j'ai accidentellement détruit la vie d'une autre personne et ça a été l'élément déclencheur vers ma décision de devenir responsable et acteur de ma propre vie.
Après une longue remise en question et une ferme intention de devenir et rester abstinent, j'ai été demander de l'aide à un médecin et j'ai été hospitalisé 2 mois.
Le sevrage a été rude et j'ai failli y laisser ma peau.
J'ai décidé de faire de mon mieux chaque jour car j'ai compris que ma vie, ma conscience, était le fruit d'un immense hasard et que j'avais hérité d'une partie de la vie de mes aïeux, des combats qu'ils ont du mener, le dur labeur et aussi les bons moments.Aujourd'hui je fais de mon mieux pour être impliqué dans une communauté, dans la vie sociale que je développe, pour être bien dans ma peau, heureux de vivre et reconnaissant de ma bonne santé et de ma bonne forme physique.
J'ai de l'espoir pour l'avenir, le mien et celui des autres, du mieux vivre ensemble avec toutes les espèces qui peuplent notre monde, et j'ai de l'espoir pour notre planète terre, notre mère nature.
Je pense que c'est le strict minimum dont chaque être humain devait être capable.Je suis actuellement sans emploi, je dois repasser mon permis de conduire en août et ce sera mon point de départ pour me relancer dans la vie active.
Je reprendrais des études d'art en parallèle à la rentrée scolaire en dessin, avec comme objectif est de devenir tatoueur pour les personnes ayant des cicatrices suite à des accidents, des opérations, des cancers, avec une ambition sociale, un petit prix pour les personnes concernées et quelques échanges sur nos vies.Il m'aura fallu traverser tout ça pour tenter de devenir quelqu'un de meilleur et j'aurais pu ne jamais ressentir le désir de m'en sortir.
J'avance en portant le poids de toutes mes erreurs mais je suis beaucoup plus doux et amical avec moi-même que je ne l'ai jamais été car quelques soient les erreurs que j'ai pu commettre, je ne pourrais jamais réellement les réparer, par contre je peux avancer en acceptant mon passé et transmettre de la joie autour de moi et mon expérience comme message d'espoir, l'espoir que dans la vie tout peux arriver.
Je souhaite à tout ceux qui sont dans cet enfer d'être plus clément et doux envers eux-même et je leur propose de tenter de s'en sortir, de devenir acteur de sa guérison et de faire du mieux possible, ni plus ni moins.
C'est possible de s'en sortir et ça fait du bien.
Ca demande du courage mais la vie est belle et elle en vaut la peine.En espérant que mon témoignage soit utile pour au moins l'un d'entre-vous mes clés !
Merci pour ton témoignage ! Ca fera sûrement du bien à ceux qui te liront. Il donne espoir !
Félicitations pour tes 4 mois, tu es sur la bonne voie. Sois fort et tout ira bien.
Bon courage pour tes études, je suis moi-même artiste et j'essaie de reprendre des études dans le cinéma. C'est pas facile mais je compte bien réussir à reprogrammer ma vie pour de bon.
Moi je suis de l'autre côté de la maladie : ma mère en souffre depuis de nombreuses années, je viens apporter un regard extérieur.
C'est vraiment terrible de voir une personne proche se peter la tête avec ces substances. Je l'aime beaucoup, mais quand elle consomme, je n'ai vraiment pas envie de lui parler.
Aussi, c'est vraiment difficile de comprendre l'addiction si l'on ne l'a pas vécu j'ai l'impression. Ça à l'air bien plus compliqué que d'arrêter la cigarette ou autre.
Enfin j'ai quand même l'impression que c'est un problème global, et plutôt tabou. Avant qu'on m'annonce qu'elle était alcoolique (je n'avais jamais soupçonné cela, je pensais que c'était juste les médocs pour sa dépression qui la rendait dans cet état là), les alcooliques n'étaient qu'une partie infime de la population.
Ça m'a fait un vrai choc quand on me l'a annoncé.
Je vous souhaite bien du courage mes kheys kheyettes, quel poison sans rigoler
Le 22 avril 2021 à 19:43:54 :
Le 22 avril 2021 à 10:25:06 :
Personnellement j'ai fait un transfert d'addiction. J'ai 24 ans et j'ai fais bien des expériences dans ma courte vie, (drogues de toute sorte, alcool, médicaments..) j'ai été addictive au cannabis pendant près de 6 ans, j'ai fini par arrêter suite à de sérieux problèmes de mémoire. Malheureusement j'ai compensé en commençant à boire, un ou deux verres de whisky me suffisait pour être éméché, aujourd'hui je bois 2 bouteilles (75cl) en trois jours.J'ai des terreurs nocturnes qui me pourrissent mes nuits, je suis sous Rivotril pour ça d'ailleurs, je suis ravagée par l'anxiété des suites d'un traumatisme pendant mon adolescence et je souffre de la solitude.
Mon père est pompier et a toujours été là pour me soutenir, sauf que je suis désormais à plus de 300km de chez lui. Je me retrouve seule avec mes angoisses et mes peines, que je noie dans l'alcool.
Hier encore j'ai eu une grosse mauvaise passe à broyer du noir, je me suis encore mis une murge.On va sûrement me traiter d'aw mais ça m'a fait du bien de l'écrire.
J'ai fait ce topic pour ça justement, ici t'es libre de coucher tes maux à l'écrit. Je sais que ça fait beaucoup de bien. De plus l'anonymat nous permets d'être bien plus libre de nous livrer.
Tu as pensé à consulter un spécialiste pour avoir de l'aide vis à vis de ton addiction ?
J'en ai parlé un petit peu à mon psy, mais y'a pas de solution miracle
Pour ton trauma je comprends, j'ai aussi eu un traumatisme durant l'adolescence, je fais des insomnies chroniques depuis. Quand je ferme les yeux j'ai fréquemment les images qui reviennent et ça m'empêche de trouver le sommeil. J'ai aussi eu des phases de grosses consommation de drogues, notamment pour chasser mes démons par l'hédonisme. Tant que c'était mondain, ça allait encore, bien que c'était excessif et surtout extrême (raves, grosse perches, etc.). Le problème a été quand j'ai fait ma depression et que j'ai commencé à boire seule, puis à la suite de mon premier sevrage, en continuant et en augmentant mes fréquences de prises de prods.
J'ai fais mes expériences avec des amis mais jamais en teuf ou dans des festivals etc.. toujours dans un cadre plutôt calme et serein.
Pour ton trauma, tu as vu quelqu'un ? Si tu es sous traitement je suppose que tu as vu un psychiatre. T'as pensé au psychologue ? Ca guérit pas mais parfois ça peut aider, juste de parler.
Oui j'ai un suivi, j'ai vu des psychologues étant plus jeune suite à ça.
Ton papa est au courant de ta situation ?
Non, je veux pas l'inquiéter plus que nécessaire et il a déjà ses problèmes à gérer de son côté
FREKO - CLIP Vision Faussée
https://www.youtube.com/watch?v=DWZvF-L8yYg
FREKO 2007 vs FREKO 2017
https://www.youtube.com/watch?v=XxUxbI4q0N0
FREKO 2017 répond à FREKO 2007
https://www.youtube.com/watch?v=hEbMbUz1wUY
2021 j'fini toujours mon stock de canette 8.0
Le 22 avril 2021 à 22:22:58 :
Le 22 avril 2021 à 19:43:54 :
Le 22 avril 2021 à 10:25:06 :
Personnellement j'ai fait un transfert d'addiction. J'ai 24 ans et j'ai fais bien des expériences dans ma courte vie, (drogues de toute sorte, alcool, médicaments..) j'ai été addictive au cannabis pendant près de 6 ans, j'ai fini par arrêter suite à de sérieux problèmes de mémoire. Malheureusement j'ai compensé en commençant à boire, un ou deux verres de whisky me suffisait pour être éméché, aujourd'hui je bois 2 bouteilles (75cl) en trois jours.J'ai des terreurs nocturnes qui me pourrissent mes nuits, je suis sous Rivotril pour ça d'ailleurs, je suis ravagée par l'anxiété des suites d'un traumatisme pendant mon adolescence et je souffre de la solitude.
Mon père est pompier et a toujours été là pour me soutenir, sauf que je suis désormais à plus de 300km de chez lui. Je me retrouve seule avec mes angoisses et mes peines, que je noie dans l'alcool.
Hier encore j'ai eu une grosse mauvaise passe à broyer du noir, je me suis encore mis une murge.On va sûrement me traiter d'aw mais ça m'a fait du bien de l'écrire.
J'ai fait ce topic pour ça justement, ici t'es libre de coucher tes maux à l'écrit. Je sais que ça fait beaucoup de bien. De plus l'anonymat nous permets d'être bien plus libre de nous livrer.
Tu as pensé à consulter un spécialiste pour avoir de l'aide vis à vis de ton addiction ?
J'en ai parlé un petit peu à mon psy, mais y'a pas de solution miracle
Pour ton trauma je comprends, j'ai aussi eu un traumatisme durant l'adolescence, je fais des insomnies chroniques depuis. Quand je ferme les yeux j'ai fréquemment les images qui reviennent et ça m'empêche de trouver le sommeil. J'ai aussi eu des phases de grosses consommation de drogues, notamment pour chasser mes démons par l'hédonisme. Tant que c'était mondain, ça allait encore, bien que c'était excessif et surtout extrême (raves, grosse perches, etc.). Le problème a été quand j'ai fait ma depression et que j'ai commencé à boire seule, puis à la suite de mon premier sevrage, en continuant et en augmentant mes fréquences de prises de prods.
J'ai fais mes expériences avec des amis mais jamais en teuf ou dans des festivals etc.. toujours dans un cadre plutôt calme et serein.
Pour ton trauma, tu as vu quelqu'un ? Si tu es sous traitement je suppose que tu as vu un psychiatre. T'as pensé au psychologue ? Ca guérit pas mais parfois ça peut aider, juste de parler.
Oui j'ai un suivi, j'ai vu des psychologues étant plus jeune suite à ça.
Ton papa est au courant de ta situation ?
Non, je veux pas l'inquiéter plus que nécessaire et il a déjà ses problèmes à gérer de son côté
Tu devrais peut-être lui en parler. Je sais que c'est pas forcément évident, surtout s'il a ses propres soucis, mais je pense qu'il t'en voudrait limite de ne pas lui avoir dit. Si il est vraiment proche de toi, il doit vouloir ton bonheur.
Après oui, dans l'absolu il y pourrait peut-être pas grand chose, mais qui sait, des fois juste des mots réconfortants de la bonne personne ça peut être suffisant pour se sortir de la torpeur.
En attendant, on est là. Et mes MP sont ouverts comme à tous.
Données du topic
- Auteur
- Frimeuse
- Date de création
- 17 avril 2021 à 02:23:44
- Nb. messages archivés
- 289
- Nb. messages JVC
- 265