Alcooliques Anonymes
Le 16 novembre 2021 Ă 18:57:35 :
Toujours du monde ici ?
C’est inconstant. Des gens passent quand ils veulent donner des nouvelles, ou quand ils vont pas bien.
On a plus de nouvelles du kheys malade je suis un peu inquiète. J’espère que tout va bien pour lui. Ça a l’air d’être un mec bien et il mérite une seconde chance dans la vie, de retourner dans le droit chemin, avec un corps sain et un esprit sain.
Puis parfois y a des nouvelles têtes qui découvrent et qui postent.
Moi je suis assez occupée avec mon travail, c’est parfois stressant alors quand je passe sur le forum je préfère troller et rigoler pour faire tomber la pression. Mais je passe de temps en temps voir ce qu’il se dit.
Faudrait faire vivre ce topic, je pense que ça aide les kheys qui essaient d’arrêter.
Le 11 décembre 2021 à 13:48:20 :
Personne ?
Khey le topic est un peu inconstant. Des fois quelqu’un poste, des fois il reste silencieux pendant un moment. Mais ça reste un lieu où on peut échanger. Ne serait-ce que vider son sac ça fait du bien.
Je t’ai surtout donné le lien pour que tu vois que tu n’es pas seul, et que oui c’est possible de se sortir d’une addiction. Si on y arrive tu peux aussi.
Courage Ă toi.
Le 11 décembre 2021 à 13:57:20 :
Le 11 décembre 2021 à 13:48:20 :
Personne ?Khey le topic est un peu inconstant. Des fois quelqu’un poste, des fois il reste silencieux pendant un moment. Mais ça reste un lieu où on peut échanger. Ne serait-ce que vider son sac ça fait du bien.
Je t’ai surtout donné le lien pour que tu vois que tu n’es pas seul, et que oui c’est possible de se sortir d’une addiction. Si on y arrive tu peux aussi.
Courage Ă toi.
C'est gentil quand même, même s'il n'y a pas grand monde dessus et que pas grand monde peut d'aider dans le délire
Le 11 décembre 2021 à 13:57:20 :
Le 11 décembre 2021 à 13:48:20 :
Personne ?Khey le topic est un peu inconstant. Des fois quelqu’un poste, des fois il reste silencieux pendant un moment. Mais ça reste un lieu où on peut échanger. Ne serait-ce que vider son sac ça fait du bien.
Je t’ai surtout donné le lien pour que tu vois que tu n’es pas seul, et que oui c’est possible de se sortir d’une addiction. Si on y arrive tu peux aussi.
Courage Ă toi.
L'inconstance je ne suis pas totalement d'accord. C'est intéressant de savoir ce que devient l'OP aussi qui a quand même quelques comptes à rendre vis-à -vis de celui-ci, sinon il ne faut pas le faire. Une certaine responsabilité vis-à -vis du "suivi" du topic (mais pas vis-à -vis des personnes et de leur addiction).
Je pense à notre ami bernardblake qui n'a pas donné de nouvelles depuis longtemps, ce qui n'est pas forcément bon signe car la honte et l'envie de s'effacer, ne déranger personne, on la connait !
Soutiens Ă toutes et Ă tous
Je vais partager mon histoire, car ça peut peut-être aider, et surtout ça va me faire du bien car je l'ai jamais fait.
J'ai moi même eu une période où je buvais trop et quotidiennement.
A mes 17 ans j'ai commencé la musique en groupe et j'ai c'est à ce moment là que j'ai commencé à boire.
Ça commence par les soirées, les apéros et les fêtes de familles.
Comme beaucoup de gens de mon âge, je me mettais des mines affreuses avec mes potes, a toujours vouloir aller plus loin.
Et dans la musique, les soirées sont légions (ça pouvais aller à entre 3 et 5 par semaine) et je buvais beaucoup à chaque fois.
Pareil pour les répètes/studios, on descend quelques bières, et le soir pour fêter "ça" on continu de boire, toujours plus. Et après les concerts on fait la même chose. (si ce n'est pas avant/pendant/après)
J'étais dans cette routine, même si j'avais des jours de pause sans boire, mais dès que l'occasion s'y prêter je buvais, et rarement quelques verres, j'aimais me mettre bien avec l'alcool.
Vers mes 19-20 ans c'est vite devenu une routine, je buvais chaque midi avant de retourner en cours, je buvais presque tous les jours. Le soir je faisais de la musique en commençant des bières, et en les finissant le matin.
Mais je trouvais ça "marrant", c'était "Rock and Roll" comme on disait avec mes potes.
Et puis une fois arriver à la fac c'était encore pire. Soirée étudiante, et soirée toujours avec mon activité musicale.
Il m'arrivait de boire dans une flasque le matin avant d'aller en cours (ça m'inspirait je disais).
Mais très vite j'ai arrêter les cours après le premier semestre et diminué la musique en groupe. Mais pas ma consommation d'alcool.
A 20 ans, je buvais déjà chez moi le soir tout seul en écrivant, en jouant ou en écrivant la musique.
Dès que j'avais un coup de déprime, je buvais, ça me rendait euphorique.
A 21 ans, j'ai eu la chance énorme de rencontrer une fille (avec qui je suis toujours après 7 ans), et de tomber amoureux.
Déjà je buvais moins, car j'avais de nouvelles occupations et que ça allait bien dans ma vie, et peu de temps après j'ai arrêter la musique par manque d’intérêt et lassitude.
Cependant, dès que je me retrouvais seul, je buvais le soir, souvent quand ça n'allait pas. Du vin, de la bière, de l'alcool fort, peu importe je voulais me retrouver dans cet état euphorique et planant. Et lors des soirée, je prenais toujours d'immense cuites.
Je buvais moins quotidiennement, mais ça revenait toujours périodiquement. Mais je ne me bourrais pas la gueule tout seul au point d'être dans un état lamentable, juste ce qu'il fallait pour me détendre.
Et vers la fin de mes 21 ans/début 22 j'ai eu des soucis de santé.
C'était du a plusieurs critères dont l'alcool. Et pour faire des tests, j'ai du ne pas boire UNE goutte d'alcool pendant 1 mois.
J'ai réussi. C'était drôle d'ailleurs, j'ai pu faire 2 soirée où je n'ai pas bu du tout, et voir les autres bourrés c'est un spécial
J'ai même du aller en boite, et bordel déjà que ivre c'est chiant mais sobre je vous raconte pas
Après ça, j'ai fais mes examens, je n'avais rien de grave, mais il fallait radicalement réduire ma consommation d'alcool, notamment quotidienne. Du coup j'ai continué à ne plus boire pendant un moment.
Ca me gène de le dire comme ça, mais ça a été plus simple que je le pensais. Déjà car être en couple a été la force moteur de mon arrêt, et aussi car le manque physique avait disparu au bout de quelques semaines.
Socialement par contre, ça pouvait être compliqué. J'ai par exemple perdu 80% de mes amis de l'époque parce que "Tu n'est plus le vrai DixitHubert". Pour eux, être un ivrogne faisait parti de ma personnalité donc bon, je les ai dégager, même si c'était dur;
Aujourd'hui à bientôt 28 ans, je bois très occasionnellement, lors des repas de familles ou lors des très rares soirées que je fais (2-3 par an et de toute façon je suis bourré au bout d'une pinte ) et il m'arrive de passer des semaines /mois de sobriété. J'en ai plus rien à foutre de l'alcool.
Je n'aime plus ça à part quelques boissons, que je déguste vraiment par plaisir.
J'ai découvert le bouddhisme il y a quelques années, et ça m'a bien aidé aussi a y voir plus clair sur cette boisson qu'est l'alcool.
J'ai même repris la musique (et sans boisson, et j'ai jamais été aussi bon et inspiré. Comme quoi le mythe de prendre de l'alcool, n'est qu'un mythe justement.
Pour anecdote, j'avais commencé la clope en même temps (vers 17ans).
J'ai arrêter y a 2 ans, et bordel ça a été tellement plus dur que l'alcool pour moi
Même aujourd'hui, quelques rares fois il m'arrive d'être tenté par la clope.
Le 12 décembre 2021 à 03:46:05 :
Le 11 décembre 2021 à 13:57:20 :
Le 11 décembre 2021 à 13:48:20 :
Personne ?Khey le topic est un peu inconstant. Des fois quelqu’un poste, des fois il reste silencieux pendant un moment. Mais ça reste un lieu où on peut échanger. Ne serait-ce que vider son sac ça fait du bien.
Je t’ai surtout donné le lien pour que tu vois que tu n’es pas seul, et que oui c’est possible de se sortir d’une addiction. Si on y arrive tu peux aussi.
Courage Ă toi.
L'inconstance je ne suis pas totalement d'accord. C'est intéressant de savoir ce que devient l'OP aussi qui a quand même quelques comptes à rendre vis-à -vis de celui-ci, sinon il ne faut pas le faire. Une certaine responsabilité vis-à -vis du "suivi" du topic (mais pas vis-à -vis des personnes et de leur addiction).
Je pense à notre ami bernardblake qui n'a pas donné de nouvelles depuis longtemps, ce qui n'est pas forcément bon signe car la honte et l'envie de s'effacer, ne déranger personne, on la connait !
C’est moi l’OP en fait.
Et j’ai un travail, d’ailleurs je passe bientôt en 44h/semaine, du coup j’ai pas forcément le temps de passer ici aussi souvent que je le souhaiterais. Et quand je passe sur le forum, la plupart du temps, je souhaite y trouver détente, je viens ici pour rire, ou pour discuter de sujets qui m’intéressent ou le passionnent, pas toujourd l’envie de lire des choses déprimantes.
Cependant j’essaie de passer de temps en temps, je lis un peu, si je peux je conseille, je rassure, comme je peux. J’ai juste pris l’initiative de créer ce topic, il ne m’appartient pas, c’est en fait votre topic. Libre à vous de le faire vivre ou de le laisser mourir.
Personnellement tout va bien dans ma vie. Je me sens mieux que jamais vue je l’ai été, j’ai de moins en moins de pulsion au sujet de l’alcool, je suis plutôt sereine vis à vis de ça. Je ne me drogue plus non plus. Enfin, ça m’arrive, mais rarement. Durant les fêtes j’ai fumée un peu, mais sans plus, j’ai rien pris en dure, aucune prod. Ça fait bien 3 mois que j’ai touché à aucune prod. Je sais que d’ici février/mars y a des events qui m’intéressent et je vais sûrement le proder, mais voilà , on est sur de l’occasionnel festif et je suis au clair avec cela, je pense en tout cas. Donc tout va bien. Professionnellement je suis en train d’évoluer, je m’éclate dans mon taff, et je songe de plus en plus à poursuivre sérieusement là -dedans. Peut-être pas toute ma vie, mais en tout cas une bonne partie.
Je ne souhaite pas que ces nouvelles soient perçues comme une raillerie, je ne vous nargue pas, a vous tous qui êtes aujourd’hui en détresse. Dites vous seulement que j’ai été à votre place il y a quelques temps, et qu’aujourd’hui j’en suis là où je suis, en me battant. Et je n’ai rien d’exceptionnel, si j’y suis arrivée, vous le pouvez aussi. Soyez forts, il n’y a rien d’autre à faire que d’être fort, se battre comme si vos vies en dépendaient.
Le 13 décembre 2021 à 11:19:17 :
Je suis à une bouteille de vin par jour depuis quelques mois. J'en ai besoin pour calmer mon anxiété et m'autoriser à dormir. Mais lorsque je suis en famille ou chez des amis, je ne consomme pas et je ne ressens aucun besoin de le faire. Je ne sais pas à quel point j'en suis dépendant puisque je n'ai besoin de boire que quand je suis seul chez moi. J'ai peur de tomber dans l'alcoolisme, mais je n'ai pas trouvé d'autre solution que la boisson.
Tu as consulté des spécialistes pour l’anxiété ? Et pour la boisson ?
Bonsoir, j'ai subit un sevrage alcoolique en hĂ´pital d'environ 8 jours, suite Ă ma consommation intensive d'alcool pendant 3 ans.
Au début c'était une ou deux bières le soir, et pas forcément tous les jours, puis j'avais pas mal de trous dans mon emploi du temps donc j'en profitais pour m'acheter une bière ou deux, et j'ai remarqué que chez moi, ça avait tendance à réduire ma timidité, par exemple j'osais participer en TD (fac d'informatique) ou même parfois en Cours Magistral, donc j'ai trouvé à l'alcool une sorte de remède contre mes problèmes que je considère psychologiques (être timide c'est psychologique pour moi)
Et je vois venir ceux qui vont se dire, il était complètement bourré en TD, il disait de la merde. C'est faux, je donnais de bonnes réponses (pas tout le temps évidemment) j'avais juste assez d'alcool dans le sang pour être désinhibé sans pour autant perdre mes facultés intellectuelles.
Le confinement, les cours à distance le manque de contacts sociaux m'a fait sombrer dans un alcoolisme "profond" dans le sens où je pouvais sortir l'après midi dans la rue pour m'acheter quelque bières en les buvant seul dans un parc (avec mes 32 attestations de sortie), puis en fin d'après midi, avant de rentrer chez moi je faisait le plein pour la soirée, bières à 10°, whisky ou rhum en général (tout ça payé par les bourses du crous).
J'ai parfois été tellement bourré que j'ai fait 24h de garde à vue pour "violence sur personne dépositaire de l'autorité publique", plainte classée sans suite par le procureur, le policier a juste porté plainte pour se protéger car j'ai été blessé pendant l'interpellation, coquards, entorse au poignet etc..
Je me suis déjà réveillé dans un bus, dans les escaliers de mon immeuble, par terre chez moi, le tout sans savoir pourquoi.
Il m'est arrivé d'aller au bar un lendemain de cuite, le serveur me disait "Je ne vais pas te servir, tu m'as insulté hier soir", je n'en avais aucun souvenir et me suis sincèrement excusé puis je suis parti.
J'ai déjà dormi chez de parfaits inconnus, deux fois rencontrés au bar et une autre fois dans la rue car j'avais oublié les clefs de chez moi et ne voulais pas réveiller mes parents qui dormaient souvent..
Hier, ça faisait 24 jours que je n'avais pas bu, mais malgré l'avis de l'infirmière psychologue et des médecins j'ai succombé.
J'ai acheté 2 8.6 à 10.5 hier soir, que j'ai bu de la fin de journée et en milieu de soirée.
Aujourd'hui, une 8.6 que je viens de terminer, et la, j'attaque ma flask de label 5.
Dans ma tête je me dis que si j'arrive à m'abstenir la semaine et boire uniquement le week-end, ça ira pour moi.
J'ai déjà réussi à tenir 24 jours, alors je pense pouvoir recommencer, mais je sais que l'alcool appel l'alcool et j'ai un problème avec ça.
J'aime l'ivresse, le sentiment de bonheur que l'alcool procure, j'en manque naturellement ce qui fait que je me tourne vers les drogues telles l'alcool.
Je ne comprends pas les médecins qui veulent à tout prix une abstinence de 3 mois avant de reboire, de mon point de vue, c'est d'arriver à se contrôler qui est important. C'est pas parce que j'attends 3 mois avant de reboire que je vais pour autant mieux réussir à me contrôler. Je sais, ils disent que c'est pour ré-apprendre au cerveau à vivre normalement sans alcool, mais honnêtement en 2022, quels-sont les jeunes (18-30 ans) ne boivent pas du tout d'alcool le week-end ? Il y en a sûrement, certes, mais la majorité se lâche le week-end je pense ne pas être le seul.
En résumé, je n'aime pas les médecins que je fréquente, ils ont l'air pressés et pas à l'écoute, à chaque consultation, il est obligé de relire le dossier mais il oublie des choses qu'il avait pourtant écrites à la dernière consultation.
Je suis allé voir un psychiatre aussi, qui a envoyé un courrier à mon médecin addictologue, aucune nouvelle de la part de mon addictologue, la psychiatre était prête à me prescrire des antidépresseurs avec l'accord de l'addictologue mais zero nouvelles de sa part, on dirait qu'il découvre mon dossier à chaque fois que je le consulte et ça m'énerve.
À part me prescrire du Seresta et de la Cyamémazine (Qui me donne du mal à bander et me fait éjaculer sec par ailleurs), je trouve qu'il ne sert pas à grand chose.
j'ai subi*
désolé pour les fautes il y en a sûrement plus d'une
Le lendemain d'une cuite, il m'est aussi arrivé de vomir tellement qu'arrivé à un point, je vomissait littéralement du rien.
(c'est Ă dire que c'Ă©tait comme si je vomissais mais rien ne sortait).
Update : Je suis actuellement en hp, mon psy a pris la décision parce que je suis allé a un rdv complètement bourré. Je suis un danger pour moi même d'après lui et les autres, je suis presque entièrement brisé par l'alcool et la dépression.. j'avais trouvé quelqu'un qui savait m'apaiser et me rendre heureuse mais j'ai encore tout gâché à cause de mes conneries, je me sens seul, si seul..
On me gave de médicaments après midi et soir pour me "calmer" et rendre la chose moins éprouvante d'après eux.. mais je me sens juste comme avec les ad que je prenais avant, l'ivresse de l'alcool en moins..
J'espère m'en sortir..
Bonsoir, je poste sur ce topic simplement pour laisser une date (et à moindre mesure une heure) concernant mon arrêt de l'alcool. Ça fait plusieurs semaines que j'hésite à poster sur ce topic en me disant "cette fois, c'est la bonne, ça te motivera à arrêter" j'enclenche une vaine tentative d'arrêt et ça repart (mon record et à 2 semaines.) Mais cette fois-ci, c'est la bonne, je poste et si je me loupe je vais passer pour une grosse mer** devant tout le monde, ça pourra peut-être m'inspirer à aller jusqu'au bout cette fois-ci.
Pour résumer mon histoire, si cette dernière intéresse des gens (je peux comprendre que ce ne soit pas le cas.) J'ai commencé à boire mi-2018, période de chômage et synonyme aussi d'un temps où je m'en fichais complètement d'en finir avec la vie, par conséquent j'ai commencé à boire car c'est la seule chose qui me faisait du bien, bref une phase de ma vie en roue libre. Malheureusement (enfin heureusement d'un côté ), depuis mi-2020, mon quotidien a commencé à devenir plus agréable, j'ai trouvé (miraculeusement) un travail qui me plait énormément, avec des collègues vraiment sympathiques etc... et ma vie est devenue clairement meilleure (disparition des envies suicidaires, plaisir d'aller travailler, vie extra-professionnelle en évolution également, conséquence d'une vie professionnelle épanouie etc...) sauf que les anciennes habitudes ne disparaissent pas aussi facilement évidemment : alcool le soir (1 bouteille de bière d'1L à peu près, voire de temps en temps d'alcool fort) et une fois cette habitude ancrée, c'est dur d'en sortir. J'ai même été à un point d'en avoir discuté avec l'infirmière lors de la visite médicale avec la médecine du travail, celle-ci m'a indiqué plusieurs numéros/associations à contacter pour essayer d'obtenir de l'aide pour m'en sortir. Évidemment, j'en ai contacté absolument aucune.
Bref, tout ça pour dire que celle-ci, c'est la bonne, je vais essayer de diminuer, voire d'arrêter l'alcool pour de bon. J'avais réussi à faire 1 semaine d'arrêt mais forcément, avec mes amis alcooliques qui me contactent pour se réunir+ (c'est absolument pas de leur faute si je cède aussi facilement, je suis juste faible mentalement) j'ai bu à nouveau. Et pas plus tard qu'hier (après une semaine d'intervalle suite à l'évènement précédant) j'ai rechuté. Je suis encore un peu pompette...
Je m'excuse par avance pour ce pavé, ça m'aide quand même un peu d'extérioriser tout ça et je pourrais laisser un trace de mon début de sevrage. En espérant que celui-ci aboutisse avec succès.
Bon courage Ă ceux qui prennent le mĂŞme bateau, c'est pas Ă©vident mais chacun avancera Ă son rythme
Bonne soirée tout le monde, demain je commence mon périple de sobriété
Si vous trouvez un remède face à l alcolisme je suis preneur
Car mon corps n en peux plus
Tout comme toi Ă chaque fois je me dit c est bon demain j arrĂŞte mais rien a faire
Il me faut mes 2L de bière par soir
Sans parler du week end ou je commence direct après le café vu que sa passe la gueule de bois et donc des journée a boire 5L...
C est quoi le secret??
Mon corps en peux plus.... Tachycardie, sueur, etc
Ces sensations sont un enfer...
Le 08 mars 2022 Ă 03:45:07 :
Bonjour
Si vous trouvez un remède face à l alcolisme je suis preneur
Car mon corps n en peux plus
Tout comme toi Ă chaque fois je me dit c est bon demain j arrĂŞte mais rien a faire
Il me faut mes 2L de bière par soir
Sans parler du week end ou je commence direct après le café vu que sa passe la gueule de bois et donc des journée a boire 5L...
C est quoi le secret??
Mon corps en peux plus.... Tachycardie, sueur, etc
Ces sensations sont un enfer...
Consulte un médecin, il saura t’aiguiller.
N’entreprend rien seul, vu ta situation ça serait dangereux. Aies confiance en ton médecin, il voudra ton bien, vraiment.
Le sevrage alcoolique peut conduire jusqu’à la mort dans les cas les plus graves, faut pas prendre ça à la légère.
Données du topic
- Auteur
- Frimeuse
- Date de création
- 17 avril 2021 Ă 02:23:44
- Nb. messages archivés
- 289
- Nb. messages JVC
- 265