Topic de kongstrong :

Topic du Glauque

Le 30 juillet 2019 à 11:26:22 Foi_Jaune a écrit :
Bon, je me dévoue pour Philippe Reniche, avec cet article du Parisien:

L'insoutenable récit d'un crime barbare
TOURS (INDRE-ET-LOIRE) DE NOTRE ENVOYÃ? SPÃ?CIAL
Le 17 mars 2010 à 07h00

Il y a le petit aux cheveux ras, sous tension, qui serre le poing à s'en faire exploser les phalanges et qui tressaute en permanence. Et puis il y a le grand baraqué au front dégarni, fines lunettes et complet gris et à l'apparence sereine. Le premier s'appelle Jason Caillaud, 22 ans, une boule de nerfs ; le second, Jimmy Lemaître, 31 ans, « employé socioculturel » après avoir manqué d'entrer dans la légion. Deux potes qui, depuis hier, sont réunis dans le box de la cour d'assises d'Indre-et-Loire dont les jurés devront, huit jours durant, se plonger au coeur d'un crime barbare d'une violence aussi inouïe qu'incompréhensible.

Le 15 août 2007, les deux accusés se sont acharnés sur Philippe Reniche, 45 ans, qu'ils venaient de prendre en stop après une virée alcoolisée en boîte. En droit, cela est qualifié de « meurtre avec préméditation, actes de torture et de barbarie, enlèvement et séquestration suivis de mort », et cela leur vaut d'encourir la perpétuité.

La lecture de l'ordonnance de mise en accusation donne la nausée. Pour la mère de Philippe Reniche, c'en est trop. A l'énoncé du calvaire de son fils, elle quitte momentanément la salle. Les trois frères de Philippe, eux, ne cillent pas, mais cherchent en vain le regard de deux accusés qui préfèrent garder les yeux rivés au sol. Cette nuit-là, quand ils aperçoivent le pouce tendu de Philippe Reniche, les deux complices basculent dans la violence, sans même avoir besoin de se parler. Les premiers coups pleuvent, et la victime atterrit dans le coffre. On lui soutire sa carte bleue, mais cela ne suffit pas. Les voilà donc qui passent au domicile de Jimmy Lemaître pour y chercher une pelle. Estimant qu'ils ont atteint « le point de non-retour », ils sont décidés à « crever » ce passager trop encombrant. Leurs cinq compagnons de soirée ne bronchent pas, ceux-là comparaissent donc pour « non-dénonciation et non-empêchement de crime ».

L'agonie de Philippe Reniche prendra fin au petit jour dans un chemin de terre. Doigts écrasés, émasculation partielle et coups de pelle au niveau du cou, l'atrocité atteint son comble. Pendant que Jason Caillaud s'acharne, Lemaître fume une cigarette. Et quand celui-ci rentre chez lui, c'est pour découvrir que sa compagne vient de perdre les eaux. Le corps de Philippe Reniche se consume quand le troisième enfant de Jimmy Lemaître, d'une troisième compagne, voit le jour.

Hier, la cour s'est penchée sur le passé chaotique des deux accusés. Haineux envers une mère qui a « abandonné ses enfants », Jason Caillaud a grandi dans un milieu familial déstructuré et violent. Perturbé, il manifeste des tendances suicidaires dès la prime enfance et enchaîne échecs scolaires et condamnations. Jimmy Lemaître, casier vierge, est, lui, un « enfant gâté » par une mère trop possessive, mais il ne s'épanouit guère à l'école et multiplie les petits boulots. Les experts psychiatres n'ont décelé, pour l'un comme pour l'autre, aucun trouble psychique.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/l-insoutenable-recit-d-un-crime-barbare-17-03-2010-851680.php

On avait bien dit pourtant, ne jamais faire de l'autostop :ok:

RMC vient de me rappeler l'histoire du bon curé d'Uruffe: (source wikipedia)

Guy Desnoyers

Guy Desnoyers est né le 24 février 1920 à Haplemont, un hameau du Saintois en Meurthe-et-Moselle. Issu d'une famille paysanne assez aisée et pieuse, il a une sœur handicapée, violée dans son enfance. Il est promis très jeune à la prêtrise par sa grand-mère maternelle, personnalité dominante dans la famille. Il va au petit, puis au grand séminaire à Bosserville et Villers-lès-Nancy. On le décrit comme un « bon gosse » mais ses pairs remarquent son goût pour les femmes et émettent des doutes sur sa vocation.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est réquisitionné pour travailler dans une usine de Neuves-Maisons sous direction allemande, mais il aide également des prisonniers évadés chez son oncle par alliance Émile Marulier à Harol dans les Vosges. À la Libération, il prétendra même avoir tué un factionnaire allemand sans pouvoir en apporter la preuve.

La guerre terminée, il est ordonné prêtre en 1946, puis affecté à Blâmont comme vicaire. Son supérieur, l'abbé Klein, constate que sa nouvelle recrue préfère jouer au basket plutôt que lire de la théologie. Dès cette première nomination, alors qu'il a vingt-six ans et qu'il est encore vierge, il a une première liaison avec une femme, Madeleine. Cette liaison va être la cause d'une mutation autoritaire de ses supérieurs comme vicaire à Réhon, dans le nord de la Meurthe-et-Moselle. Des rumeurs lui prêtent alors d'autres aventures féminines, notamment avec une veuve fortunée qui vient tout juste de perdre son époux. Celle-ci lui donnera 150 000 francs pour la réfection du toit de l'église et pour l'achat d'une 2 CV. Cela ne l'empêche pas de continuer à voir régulièrement Madeleine. Ainsi, tout en ayant des relations avec d'autres maîtresses, la relation entre Guy et Madeleine durera jusqu'en octobre 1956, soit dix années.

En juillet 1950, il est nommé curé de la paroisse d'Uruffe, village de 392 âmes jouxtant le département de la Meuse. Prêtre actif et plutôt apprécié de ses paroissiens, il s'illustre notamment en montant avec les jeunes garçons du coin une équipe de football ou en organisant des excursions. Les anciens du village trouvent ce prêtre assez singulier, mais les jeunes aiment cette personnalité « moderne » pour l'époque. Ils le trouvent accessible. Mais Guy Desnoyers entretient des relations avec plusieurs femmes de la région, dont certaines sont mineures (l'âge de la majorité étant alors fixé à 21 ans). En décembre 1953, Guy Desnoyers conçoit un enfant avec une adolescente de quinze ans, Michèle Léonard. Suite aux rumeurs qui courent dans le village, il persuade Michèle d'accoucher clandestinement dans l'Ain et d'abandonner « l'enfant du péché » à l'Assistance publique. L'évêque de Nancy, Marc-Armand Lallier, qui prend connaissance de ces faits, décide de rendre visite au prêtre. Celui-ci se jette à ses genoux et demande à son évêque de croire en son innocence. L'entrevue a ébranlé Mgr Lallier qui renouvelle sa confiance au prêtre. Les mois se succèdent alors avec des absences répétées du curé qui inquiètent ses paroissiens. Guy Desnoyers évoquera plus tard des périodes « de tourments et d'angoisse ».

Le drame

En 1956, il a une relation avec Régine Fays, jeune fille d'Uruffe, âgée de dix-neuf ans, qui travaille comme ouvrière à la verrerie de Vannes-le-Châtel6. Séduite au cours d'une activité théâtrale qu'il avait créée, elle se trouve enceinte du prêtre, comme Michèle trois ans plus tôt. Desnoyers persuade le père de Régine que l'amant de sa fille est un jeune homme du cru qui l'a violée au cours d'une fête du village et qui est parti pour la guerre d'Algérie. Peu de monde croit en son histoire et il proteste publiquement devant ses paroissiens en dénonçant une calomnie. Régine promet de garder le secret de la paternité de l'enfant mais refuse d'accoucher clandestinement, d'abandonner son enfant ou d'avorter.

Le 3 décembre 1956, peu avant la date prévue pour l'accouchement, Guy Desnoyers prend peur et entraîne Régine sur la petite route déserte qui mène à Pagny-la-Blanche-Côte. Il arrête sa 4 CV près d'un bosquet et à deux reprises propose à la jeune fille de lui donner l'absolution. Étonnée, celle-ci refuse et s'éloigne à pied. Guy Desnoyers la suit tenant son revolver 6,35 mm à la main. Il tire alors à trois reprises sur sa maîtresse dans la nuit noire. Sitôt après l'avoir tuée, il l'éventre à l'aide d'un canif de scout, sort le fœtus viable (elle est alors enceinte de 8 mois et l'autopsie révélera que le nourrisson était en vie), une petite fille qu'il baptise pour la sauver des limbes. Il la tue à coups de couteau, puis lui taillade le visage afin d'effacer toute éventuelle ressemblance. Il pousse ensuite la mère et son enfant dans un fossé.

Dans la soirée, les parents de Régine s'inquiètent de sa disparition. Le curé alerte le maire, fait sonner le tocsin et organise lui-même les recherches pour la retrouver et tenter ainsi d'écarter les probables soupçons qui vont peser sur lui. À une heure du matin, Desnoyers désigne un fossé au bord de la route dans lequel gît la jeune fille. Les soupçons se dirigent rapidement vers le curé : une amie de Régine confie à la police que la jeune femme lui avait dit que le curé était le père. Une douille de 6,35 mm est retrouvée près de Régine, or Desnoyers est détenteur d'un permis de port d'arme pour ce calibre. Placé en garde à vue le 5 décembre 1956, Guy Desnoyers nie avec véhémence. Il prétend d'abord qu'il connaît le meurtrier mais qu'il lui est impossible de le dénoncer à cause du secret de la confession auquel il est lié. Il avoue finalement au bout de quarante-huit heures.

En cette période d'Avent et de Saint-Nicolas, l'affaire fait grand bruit. Il est écroué en prison sous un faux nom pour éviter toute vengeance. L'Église organise des cérémonies expiatoires pour ses crimes.

Le procès et la condamnation

À l'époque, toute la France est horrifiée par ce double crime odieux. Le procès débute à la Cour d'assises de Nancy le 24 janvier 1958, un an après les faits. La foule massée au palais de justice réclame la peine de mort pour ce prêtre fornicateur.

Le 26 janvier, après deux jours de procès, le procureur donne raison à la foule dans son réquisitoire :

« Je ne sais si ce Dieu que vous avez ignominieusement servi aura pitié de vous à l'heure, peut-être proche, de votre mort. Moi, je ne connais que la justice des hommes et je sais qu'elle ne peut vous pardonner. »

L'avocat de la défense, le bâtonnier Robert Gasse lui répond :
« Dieu des croyants, descendez dans la conscience de la cour, dans l'âme des jurés. Dites leur qu'ils n'ont pas le droit de toucher à la vie parce que la vie vous appartient à vous seul. »

Avant les délibérations des jurés, Guy Desnoyers fait une dernière déclaration :
« Je suis prêtre, je reste prêtre, je réparerai en prêtre. Je m'abandonne à vous parce que je sais que devant moi vous tenez la place de Dieu. »

Après une heure et quarante minutes de délibération, les sept jurés lorrains rendent leur verdict. À toutes les questions posées (sur le double crime, sur l'infanticide et sur la préméditation), les réponses des jurés sont « oui » à la majorité. Toutefois on reconnait à l'accusé des circonstances atténuantes, ce qui lui permet d'échapper à la peine capitale. Il est alors condamné aux travaux forcés à perpétuité.

Le 5 août 1978, après vingt-deux ans de détention, Guy Desnoyers, devenu le plus ancien prisonnier de France, obtient une liberté conditionnelle. Différentes rumeurs le voient dans le Sud de la France, en Louisiane, ou en ménage avec une visiteuse de prison.

Comme le prévoyait sa liberté conditionnelle, il s'est en fait retiré en l'abbaye Sainte-Anne de Kergonan à Plouharnel dans le département du Morbihan, où il meurt le 21 avril 2010 à l'âge de quatre-vingt-dix ans.

Épilogue

Dans le cimetière d'Uruffe, la tombe des deux victimes porte sur une plaque l'inscription « Ici repose Fays Régine tuée le 3 décembre 1956 par le curé de la paroisse à l'âge de 19 ans ». En dépit des demandes répétées de l'évêché, la famille de Régine a toujours refusé de la retirer.

Up, la nuit commence à tomber les kheys il est temps de lire quelques histoires bien glauques :ok:

Pour pimenter votre prochaine visite de Paris:

Un sergent trop morbide.

Des profanations en série.

En 1847, c’est à Bléré (Indre-et-Loire) que l’on constata la première d’une étrange série de profanations de sépultures. L’épouse du fossoyeur dit qu’elle avait cru voir, sur le lieu du crime, un jeune soldat qui se tenait dans les ténèbres. Plus tard, d’autres profanations du même genre furent commises au cimetière du Père-Lachaise. Mais une nuit, un gardien du cimetière découvrit blotti dans une nouvelle fosse, un militaire de 25 ans. L’épouse du fossoyeur de Bléré avait donc vu juste. Le militaire se nommait Francis Bertrand et était engagé volontaire au 74e de Ligne, avec le grade de sergent. Au moment des faits, il était revêtu de son habit militaire. Le sergent prétendit être venu là, à un rendez-vous d’amour et avoir été surpris par le sommeil. On crut à son histoire et il fut reconduit à la caserne de Reuilly. Mais les profanations reprirent bientôt, mais à Ivry cette fois. Une petite fille de sept ans, emportée par une maladie foudroyante, y avait été enterrée. Dans la nuit qui suivit ses funérailles, on découvrit son cercueil ouvert et son corps mutilé : on lui avait arraché le cœur.

Au cimetière Montparnasse.

Les profanations s’étendirent par la suite au cimetière Montparnasse. Le 30 juillet 1848 et durant les semaines qui suivirent, les gardiens trouvèrent des cadavres de femmes arrachés à leurs tombeaux et abandonnés ensuite, mutilés, dans les allées peu fréquentées. On décida alors de tendre un piège au nécrophile : un canon de fusil, chargé de mitraille et pourvu d’un mécanisme automatique rudimentaire, fut pointé vers un haut mur où l’on avait remarqué des traces d’escalade. Les mois passèrent et l’on finit par désespérer, lorsque le 15 mars 1849, vers minuit, une détonation se fit entendre. Après exploration du terrain, on découvrit des traces de sang. On remonta la piste et on finit par découvrir qu’un sergent du 74ème de ligne avait été grièvement blessé et admis au Val-de-Grâce où l’on retrouva le sergent Francis Bertrand. Sous-officier de bonne conduite et au service irréprochable, comment aurait-on pu le soupçonner ? Il fit pourtant des aveux complets, déclarant notamment que, certaines nuits, il avait été jusqu’à ouvrir dix à quinze cercueils et qu’il éprouvait un abominable plaisir à mutiler les cadavres, à leur arracher les entrailles et à en disperser les lambeaux. Le sergent nécrophile fut condamné à une peine de prison de quelques mois et à une amende. Il accomplit sa peine au bagne de Belle-Ile, puis disparut à jamais.

https://www.parisvox.info/2017/09/16/histoire-de-paris-necrophile-cimetiere-de-montparnasse/

Autres infos ici: https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Bertrand_(sergent)

Deuxième up
J'ai recommencé le topic du début et je me rend compte à la 7e page que je connais toutes les histoires :mort:

Je suis un dégénéré vous pensez ? :peur:

Le 15 août 2019 à 13:57:29 DC_Parlov a écrit :
Deuxième up
J'ai recommencé le topic du début et je me rend compte à la 7e page que je connais toutes les histoires :mort:

Je suis un dégénéré vous pensez ? :peur:

Tant que tu ne n'imites pas les protagonistes de ces histoires, je pense qu'il n'y a pas de souci. :noel: Et si tu en connais des inédites, n'hésite pas à les partager !

Comme dirait Mocky (rip),à mort l'arbitre ! :noel:

Au Brésil, un arbitre de football se fait torturer et décapiter par le public

Un match de football amateur au nord du Brésil a tourné au drame le 30 juin dernier. Une altercation entre un joueur et un arbitre a terminé dans un bain de sang. Après avoir poignardé le joueur, l'arbitre a été pris à parti par le public qui l'a molesté, torturé, écartelé et décapité avant de mettre sa tête sur un pieu.

A un an de la Coupe du Monde, ce fait divers fait un peu tâche au Brésil. Alors que la Seleçao vient de remporter la Coupe des Confédérations et que les Auriverde s’apprêtent également à accueillir les Jeux Olympiques en 2016, les problèmes de la violence et de l'insécurité latents dans ce pays d’Amérique du sud refont surface. En pleine crise sociale alimentée par de nombreuses révoltes contre l'augmentation du coût de la vie inhérente au Mondial 2014, le football brésilien et le Brésil tout entier n'avaient pas besoin de ça en ce moment.

Cette information datant du 30 juin dernier et qui vient de sortir dans la presse du monde entier fait froid dans le dos. Lors d'un match de football amateur, un arbitre aurait grièvement blessé un joueur à coup de couteau avant d'être pris à parti par le public qui l'aurait torturé, écartelé et décapité.

Un déchaînement de violence incompréhensible

Cette histoire pourrait être tout droit sortie d'un épisode de Game of Thrones. A Pio XII dans l'Etat du Maranhao au nord du Brésil, la réalité a rattrapé la fiction en ce jour du 30 juin 2013. Tout a commencé quand Oravio de Jordao Catanhede da Silva, l'arbitre de la rencontre tout juste âgé de 20 ans, a donné un carton rouge à un des joueurs sur le terrain. Josenir dos Santos Abreu, le joueur en question de 31 ans, n'acceptant pas de se faire expulser a répondu à l'homme en noir par plusieurs coups de pied et coups de poing.

Le jeune officiel, pris de panique, a sorti un couteau qu'il avait sur lui et a poignardé à de nombreuses reprises le footballeur, qui serait décédé sur le chemin de l'hôpital. En voyant la scène, les spectateurs présents en nombre dans les gradins ont attrapé le jeune homme, l'ont ligoté et ont commencé à le lapider. Si on peut se demander pourquoi un arbitre officie avec une arme blanche sur lui, ce qui suit pourrait s'apparenter au scénario d'un film d'horreur.

Le public a planté sa tête au bout d'un pieu

Selon l'AP (The Associated Press), les services de Police de l'état de Maranhao ont affirmé que les amis du joueur ainsi que sa famille, fous furieux de l'agression, ont été à l'origine de l'envahissement du terrain. Ils ont ensuite lancé des pierres au visage de l'arbitre et l'ont écartelé avant de lui couper la tête. En guise de trophée et comme aux plus sombres années de moyen âge, ils ont embroché la tête sur un pieu. La scène a été filmée par de nombreux téléphones portables qui ont permis aux services d'ordres brésiliens d'identifier trois suspects.

Ce mardi 2 juillet, il ont procédé à l'arrestation de l'un d'eux dénommé Luis Moraes Sousa (27 ans). Les deux autres, son frère Francisco Moraes Sousa et Josimar de Sousa, sont toujours dans la nature. Selon les informations rapportées par le Parisien, l'homme arrêté aurait frappé Catanhede à la tête avec une bouteille, son frère se serait chargé de lui ôter les bras, les jambes et la tête à l'aide d'une faucille tandis que le dernier tortionnaire aurait lui mis des coups de poignard dans la nuque de l'arbitre.

Le 8 juillet 2013 à 18:50 • Emmanuel Perrin

Source: https://sport.gentside.com/insolite/au-bresil-un-arbitre-de-football-se-fait-torturer-et-decapiter-par-le-public_art39472.html

Je n'ai pas le courage de chercher les vidéos, si elles existent sur le net.

J'admet que c'est glauque, l'escalade de violence, carton rouge = coup de poing = coup de couteau = lapidation, démembrement et decaption... ils sont tarés les Breziliens quand il s'agit de foot

Je viens d'en découvrir une je fais péter https://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494632778-risitas-romantique-copie.png

:mort: Meurtres du lac Bodom :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/34/2/1566262242-lacbodom.jpg

Tout commence le 4 juin 1960. Dans la petite ville d’Esbo, en Finlande se trouve un lac qui se nomme Bodominjärvi (en finnois).

Quatre jeunes gens : deux garçons et deux filles partent campés sur les rives du lac...
Seul Nils Wilhelm Gustafsson survivra à cette nuit dramatique.

Pendant la nuit le groupe est attaqué par un mystérieux personnage qui s'en prend au groupe. Un des garçons, Nils Gustafsson, arriva à s'extirper de la tente pendant que ses amis se faisaient massacrés.

Il raconta à la police que l'homme avait une lueur rouge dans ses yeux.

Le meurtrier du groupe s'en aurait prit à eux avec une violence sauvage. Les corps furent retrouvés au plus profond du lac, découpés en morceaux.

L'autopsie révéla que seule une très grande épée ou une grande faux aurait pu causer de tels dégâts.

Nils Gustafsson restera dans un mutisme pendant 1 an. Il raconta que c'était la mort qui était venu les chercher.

Personne ne put démentir ou confirmer ses dires vu qu'ils étaient seuls dans les environs au moment des faits.

Il fut accusé en 2005 du meurtre de ses amis mais il fut innocenté pour fautes de preuves.

Aujourd’hui on ne sait presque rien de ce crime: avec quelle arme le meurtrier a t'il agit? Quelles étaient ses motivations ? Qu’est t'il devenu? Y’avait t'il vraiment une lueur rouge dans ses yeux? Le mystère reste entier....

Rapport d'enquête :

Les enquêteurs établissent que le tueur n'a pas pénétré dans la tente mais qu'il les a attaqués par les côtés de la tente, avec un couteau et un instrument contondant non identifié. Les armes du crime n'ont jamais été localisées. Le tueur a volé plusieurs des objets personnels des victimes, y compris leurs portefeuilles et quelque-uns de leurs vêtements. Certains de ces vêtements, dont les chaussures de Nils Gustafsson, ont été plus tard découverts, partiellement cachés à environ 500 mètres du lieu du crime. D'autres objets des victimes, comme la veste en cuir de Seppo Boisman, n'ont jamais été localisés. Les traces de sang et d'empreintes ont montré que le tueur portait les chaussures de Gustafsson.

Maila Irmeli Björklund, la petite amie de Gustafsson, est retrouvée déshabillée à partir de la taille et couchée au-dessus de la tente. Elle a subi plus de blessures que les autres victimes, et notamment été poignardée plusieurs fois après sa mort ; les deux autres adolescents ont été tués avec moins de brutalité. Gustafsson est également retrouvé couché sur le dessus de la tente.

:d) Sur une photographie de presse de l'enterrement des victimes, un visage a été jugé très ressemblant aux descriptions fournies par Nils Gustafsson. Il n'a jamais été possible d'identifier cet individu. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/34/2/1566262731-bodom.jpg

:d) Portraits robot du prétendu tueur du Lac Bodom https://image.noelshack.com/fichiers/2019/34/2/1566262797-robot.jpg

Il a également été établi que deux jeunes gens pêchaient au bord du lac cette nuit-là. La police n'a jamais réussi à les identifier, alors qu'elle a retrouvé plusieurs poissons laissés sur les berges, comme s'ils avaient dû partir précipitamment.

Boooordel :ouch:

La violence des mètres quand meme, la nuit d'horreur...

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/34/2/1566273195-bodom-1960-teltta.jpg

La photo de la tente. Quel genre d'arme peut fair eca ? :(

L'horreur de ce topic qui revit ! https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474550437-1473450590-picsart-09-06-09-35-51.png

Mon post sur Johnny Catherine a disparu. :(

Un autre lien, du coup, en espérant qu'il tienne:

https://www.nofi.media/2017/06/johnny-catherine-massacre/39923

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kongstrong
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11 janvier 2019 à 16:05:48
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