Topic du Glauque
Merci pour vos retours.
L'histoire de Peter KĂŒrten, alias "le vampire de DĂŒsseldorf" a-t-elle dĂ©jĂ Ă©tĂ© postĂ©e ?
Pour changer un peu des tueurs fous...
L'affaire des foetus de l'hĂŽpital Saint Vincent de Paul, 14e arrondissement de Paris.
Extrait du rapport d'inspection de la chambre mortuaire datant de 2005:
353 corps entiers et 87 corps partiels (dont 20 tĂȘtes) de fĆtus et de nouveaux nĂ©s ont Ă©tĂ© trouvĂ©s Ă lâintĂ©rieur de casiers gris, de cristallisoirs et dâautres rĂ©cipients, dans les diffĂ©rentes piĂšces qui constituent la chambre mortuaire de lâhĂŽpital. Les corps baignaient dans le formol, les plus anciens Ă©tant placĂ©s dans des enveloppes plastiques thermosoudĂ©es. Ces corps avaient, pour la plupart, fait lâobjet dâune autopsie et Ă©taient Ă©viscĂ©rĂ©s. Sur certains le cerveau avait Ă©tĂ© retirĂ©, sur dâautres on avait enlevĂ© la colonne vertĂ©brale. Les conditions de conservation Ă©taient parfois trĂšs mauvaises.
A lâexception de 82 dâentre eux, les corps sont dĂ©sormais identifiĂ©s. La majoritĂ© correspond aux annĂ©es comprises entre 1985 et 1996. Sept corps remontent aux annĂ©es 70, une vingtaine de corps datent des annĂ©es 2000. On note parmi eux neuf corps dâenfants, disposant dâun acte de naissance et dâun acte de dĂ©cĂšs, et prĂ©sents pour certains depuis plus de 15 ans.
A lâorigine de cette dĂ©couverte, on retrouve dâune part lâarrivĂ©e rĂ©cente de nouveau xresponsables [*] dâautre part lâintervention dâune patiente, ayant subi une interruption mĂ©dicale de grossesse, et qui souhaitait savoir ce quâĂ©tait devenu le corps de son fĆtus.
Pour lâessentiel, la situation rencontrĂ©e ne semble pas relever de sanctions pĂ©nales, sous rĂ©serve de lâapprĂ©ciation du procureur. Jusquâen 2004 en effet, une autopsie pouvait ĂȘtre effectuĂ©e en vue de connaĂźtre les causes de la mort dâune personne en lâabsence de consentement et mĂȘme en cas dâopposition de sa famille, dĂšs lors que cette derniĂšre en Ă©tait informĂ©e.
Par ailleurs, jusquâen 1992, le cadavre nâĂ©tait protĂ©gĂ© par la loi pĂ©nale quâĂ partir du moment oĂč il avait une sĂ©pulture. Depuis la rĂ©forme du code pĂ©nal, une infraction « dâatteinte Ă lâintĂ©gritĂ© du cadavre » a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e (article 225-17 du code pĂ©nal), mais les dispositions du code de la santĂ© publique qui permettent la rĂ©alisation dâautopsie mĂ©dicale dĂ©rogent Ă cette interdiction. Or aucun corps dâenfant nâa Ă©tĂ© trouvĂ© dans la chambre mortuaire dĂ©pourvu de prescription mĂ©dicale dâautopsie.
En revanche lâarticle 433-21-1, introduit dans le code pĂ©nal en 1992, prĂ©voit que "toute personne qui donne aux funĂ©railles un caractĂšre contraire Ă la volontĂ© du dĂ©funt ou Ă une dĂ©cision judiciaire, volontĂ© ou dĂ©cision dont elle a connaissance, sera punie de six mois d'emprisonnement et de 7500 ⏠d'amende». Or dans un cas, le pĂšre a renoncĂ© - dans le formulaire signĂ©- Ă rĂ©clamer le corps de son enfant en vue de lâorganisation des obsĂšques, aprĂšs avoir pris connaissance du fait que lâhĂŽpital ferait procĂ©der Ă lâinhumation alors que la personne qui a dĂ©cidĂ© de conserver le corps dans la chambre mortuaire semble avoir Ă©tĂ© informĂ©e de cette disposition (ce qui rendrait plausible le caractĂšre intentionnel)
MĂȘme si, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, il nây a pas de sanction pĂ©nale identifiable, les faits constatĂ©s Ă Saint Vincent de Paul constituent des dĂ©rives prĂ©occupantes. Ils portent en effet atteinte Ă plusieurs principes du droit :
- lâobligation de sĂ©pulture (article 77 du dĂ©cret du 14 janvier 1974 relatif au fonctionnement des centres hospitaliers). Au delĂ de lâaspect juridique, cette obligation est une obligation religieuse ou philosophique trĂšs ancienne, et personne ne peut, au nom de ses propres idĂ©es, dĂ©cider de passer outre. Cette obligation de sĂ©pulture ne portait que sur les enfants (non sur les fĆtus ni les morts nĂ©s).
- le respect de la personne humaine. Le code de dĂ©ontologie mĂ©dicale impose aux mĂ©decins de prendre en compte le fait que « le respect dĂ» Ă la personne ne cesse pas de sâimposer aprĂšs la mort ». Corollaire de ce principe, lâarticle 1232-5 du CSP indique : â les mĂ©decins ayant procĂ©dĂ© Ă un prĂ©lĂšvement sur une personne dĂ©cĂ©dĂ©e sont tenus de sâassurer de la restauration dĂ©cente de son corps â. Lâexistence dâun corps restantdĂ©membrĂ© aprĂšs autopsie met donc en cause la responsabilitĂ© directe du praticien qui lâa autopsiĂ©.
Dâautres mesures paraissent avoir Ă©tĂ© perdues de vue dans cette affaire, mĂȘme si elles ne revĂȘtent pas la mĂȘme importance:
- lâobligation dâincinĂ©rer les corps dâenfants nĂ©s sans vie, qui sâimposait aprĂšs 2001 ;
- lâinterdiction de conserver des piĂšces anatomiques dans le formol, car ceci contrevient Ă la sĂ©curitĂ© sanitaire.
Par ailleurs, la non prise en compte de lâopposition des familles avant 2004 est moralement choquante, mĂȘme si elle nâest pas juridiquement irrĂ©guliĂšre : dĂšs lors que lâĂ©tablissement demandait aux parents leur Ă©ventuelle opposition, câest quâil envisageait dâen tenir compte. Le fait de passer outre (dans quatre cas, la famille sâĂ©tait opposĂ©e Ă lâautopsie pour motifs religieux) est une attitude dâautant plus regrettable que les cliniciens se donnaient beaucoup de mal pour convaincre les familles dâaccepter.
Enfin, et ce nâest pas le dysfonctionnement le moins grave, les opĂ©rations dâĂ©tat civil conduites par lâĂ©tablissement souffraient dâĂ©videntes carences. LâhĂŽpital enregistre les naissances et les dĂ©cĂšs des nouveaux nĂ©s. Il tient un registre de dĂ©part des corps. Il suffisait donc de comparer le nombre de dĂ©parts de corps au nombre des dĂ©cĂšs enregistrĂ©s, pour sâapercevoir des dysfonctionnements. Or de nombreux noms ne portaient pas de destination et Ă lâinverse, 18 corps, dont 3 corps dâenfants (avec acte de naissance) -mentionnĂ©s sur le registre comme Ă©tant partis vers les obsĂšques- ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s dans la chambre mortuaire.
Lien vers le rapport en question, pour ceux qui souhaitent le lire en entier: https://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/054000740/index.shtml
Lien vers un article de libération, intéressant pour la réaction de certains membres du personnels de l'hÎpital: https://www.liberation.fr/societe/2005/08/04/351-foetus-perdus-dans-les-oubliettes-de-l-administration_528474
Cimer chef.
L'Ă©trange affaire de Pauline Picard semble intĂ©resser plus de monde chez les anglophones. J'ai quand mĂȘme trouvĂ© ceci en français: (source: https://hitek.fr/actualite/mysteres-non-resolus-encore-inexpliques-a-ce-jour_14507)
Avril 1922. Pauline Picard, 2 ans, joue dans le jardin de la ferme familial de Goas-as-ludu, prÚs de Brest lorsque vient l'heure du souper. Sa mÚre, alors à l'intérieur, l'appelle pour venir manger. Seulement, personne ne répond, l'inquiétude monte. La famille de Pauline rassemble voisins et policiers pour partir à sa recherche. Malgré les efforts déployés, la jeune fille reste introuvable. Pendant trois semaines, aucune nouvelle ne parvient à l'oreille des parents, encore sous le choc. Un beau jour, une annonce est faite : Pauline aurait été aperçue à Cherbourg, soit à 400 km de là .
Comme le prĂ©cise l'Ă©dition du Lundi 8 Mai 1922 du journal Le Matin, la famille n'a pas cherchĂ© Ă obtenir davantage d'informations et a sautĂ© dans le premier train en partance pour Cherbourg. Seulement, sur place, la petite a un comportement Ă©trange. Elle demeure muette, ne semblant pas reconnaitre ni ses parents, ni ses proches. La jeune fille ne semble pas ĂȘtre elle-mĂȘme, suggĂ©rant un Ă©tat post-traumatique. Une femme aurait Ă©tĂ© aperçue aux cĂŽtĂ©s de Pauline avant que la petite ne soit identifiĂ©e. Toutefois, personne n'est parvenu Ă la retrouver. Et mĂȘme si Pauline ne reconnait personne, sa famille est persuadĂ©e qu'il s'agit bien de la petite.
Toutefois, l'affaire ne s'arrĂȘte pas lĂ . Un mois plus tard, un cycliste dĂ©couvre un corps, Ă 800 mĂštres de la demeure des Picard. DĂ©nuĂ© de sa tĂȘte, ses mains et ses pieds, le corps est vĂȘtu de la mĂȘme robe noire et blanche ainsi que du mĂȘme manteau bleu que Pauline, le jour de sa disparition. Malheureusement, les indices prĂ©sents sur place ne permettent pas d'identifier formellement le cadavre. L'affaire Ă©volue de nouveau avec l'arrivĂ©e d'Yves Martin, un fermier du coin. L'homme n'a pas arrĂȘtĂ© de demander si la famille avait retrouvĂ© le corps, avant de s'excuser, s'exclamant qu'il est coupable. Mais de quoi ?
Les aveux ne sont pas complets. Les forces de l'ordre et les voisins ayant pris part aux premiĂšres recherches avaient affirmĂ© avoir passĂ© les alentours au peigne fin, y compris l'endroit oĂč le cadavre a Ă©tĂ© retrouvĂ©. Le corps aurait donc Ă©tĂ© dĂ©posĂ© lĂ par quelqu'un d'autre. Avec cette dĂ©couverte, la famille Picard a dĂ©crĂ©tĂ© que la jeune fille identifiĂ© Ă Cherbourg ne pouvait pas ĂȘtre Pauline. La petite a, part la suite, Ă©tĂ© envoyĂ©e dans un orphelinat. Toutefois, impossible de confirmer ce qu'il est vĂ©ritablement arrivĂ© Ă la Petite Pauline Picard. Certains tablent sur une attaque de sangliers, d'autres sur le coup de sabot d'un cheval ou pire encore.
Pour ceux qui veulent creuser l'affaire, j'ai trouvé ce pdf riche en photos et coupures de presse: https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&ved=2ahUKEwjD5tKpwOHkAhUC2uAKHdZTCNkQFjAAegQIAhAC&url=https%3A%2F%2Fwww.mairiepleyben.fr%2Findex.php%2Ffiles%2F86%2FHISTOIRES%2F70%2FAffaire-Pauline-Picard-St-Rivoal-.pdf&usg=AOvVaw3LIzm0Pl_-famgVYrkBufH
J'aimerai bien que quelq'un poste l'histoire du "fils de sam" si possible un de ses 4
Merci
Le 16 janvier 2019 à 21:17:09 Pseudo supprimé a écrit :
[17:08:27] <kongstrong>
Le khey de la forĂȘtPersonne ne sait qui il est. Mais lâĂ©trange ĂȘtre qui erre dans la forĂȘt de Maules, en GruyĂšre, avec une pĂšlerine militaire sur le dos et un masque Ă gaz sur le visage nâa rien du dahu ou dâun fantĂŽme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il nâamuse personne.
Voici une photo de lâindividu de dos. «Il a apeurĂ© mes enfants», lĂąchait lâauteur du clichĂ©, qui lâa croisĂ© dimanche. Depuis, les tĂ©moignages affluent. Une habitante de SĂąles (FR) lâa vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derriĂšre son gros masque Ă gaz sombre. CâĂ©tait effrayant et je connais des femmes qui ne sâaventurent plus seules en forĂȘt», explique-t-elle.
Ce khey qui est parti faire le nouvel an dans la forĂȘt pour ne jamais en revenir
Il ne faut pas prendre à la lettre prÚs les délires du forum, les clefs
Le 23 septembre 2019 Ă 14:33:18 KHEYN_MAN a Ă©crit :
Le 16 janvier 2019 à 21:17:09 Pseudo supprimé a écrit :
[17:08:27] <kongstrong>
Le khey de la forĂȘtPersonne ne sait qui il est. Mais lâĂ©trange ĂȘtre qui erre dans la forĂȘt de Maules, en GruyĂšre, avec une pĂšlerine militaire sur le dos et un masque Ă gaz sur le visage nâa rien du dahu ou dâun fantĂŽme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il nâamuse personne.
Voici une photo de lâindividu de dos. «Il a apeurĂ© mes enfants», lĂąchait lâauteur du clichĂ©, qui lâa croisĂ© dimanche. Depuis, les tĂ©moignages affluent. Une habitante de SĂąles (FR) lâa vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derriĂšre son gros masque Ă gaz sombre. CâĂ©tait effrayant et je connais des femmes qui ne sâaventurent plus seules en forĂȘt», explique-t-elle.
Ce khey qui est parti faire le nouvel an dans la forĂȘt pour ne jamais en revenir
Il ne faut pas prendre à la lettre prÚs les délires du forum, les clefs
A ce sujet, un petit article qui donne de ses nouvelles:
https://www.tempslibre.ch/actualites/3-histoires-suisses-et-vraies-a-vous-glacer-le-sang-157
A la demande d'un khey, voici un article sur "le fils de Sam".
De 1976 Ă 1977, le tueur en sĂ©rie David Berkowitz a terrorisĂ© New York en abattant de jeunes innocents dans leurs voitures. Il a ensuite affirmĂ© que câĂ©tait Sam, le chien de son voisin possĂ©dĂ© par Satan, qui lâavait poussĂ© Ă commettre ces meurtres.
ON LE SURNOMME « LE FILS DE SAM »
Si les journaux de lâĂ©poque lâont rapidement surnommĂ© « Le Fils de Sam » et ont ainsi contribuĂ© Ă bĂątir sa lĂ©gende, le tueur en sĂ©rie new-yorkais a fini par admettre que tout cela nâĂ©tait quâun canular. David Berkowitz ne souffrait pas de troubles mentaux, et a Ă©tĂ© jugĂ© apte Ă comparaĂźtre devant la justice aprĂšs plusieurs examens psychiatriques poussĂ©s.
Lorsquâon lui a demandĂ© qui avait commis les six meurtres attribuĂ©s au Fils de Sam, Berkowtiz a rĂ©pondu : « CâĂ©tait moi, moi et seulement moi ».
En 1974, le soldat David Berkowitz revient aux Ătats-Unis aprĂšs avoir servi 3 ans en CorĂ©e du Sud. Le jeune homme ĂągĂ© de 21 ans sâinstalle dans un petit appartement miteux de Yonkers, et ne tarde pas Ă constater que tous ses anciens amis et connaissances ont dĂ©mĂ©nagĂ©. IsolĂ© et toujours fragilisĂ© par le dĂ©cĂšs de sa mĂšre adoptive survenue sept ans plus tĂŽt, le jeune homme est dĂ©couragé⊠et furieux.
LâannĂ©e suivante, Berkowtiz dĂ©couvre que sa mĂšre biologique, quâil croyait morte en couches, est en fait bien vivante. Lorsquâil la rencontre, celle-ci semble distante et ne lui manifeste que peu dâintĂ©rĂȘt, ce qui ne fait quâaggraver son manque de confiance en lui et le persuade quâaucune femme ne le dĂ©sirera jamais.
BERKOWITZ ĂTAIT UN ENFANT PARTICULIĂREMENT VIOLENT
Lorsquâil Ă©tait enfant, David Berkowitz avait dĂ©jĂ eu de graves accĂšs de violence. Il avait notamment tuĂ© des animaux, dĂ©clenchĂ© des incendies et dĂ©truit des biens. Il reconnaĂźtra dâailleurs plus tard que sa vie sociale particuliĂšrement terne et son incapacitĂ© Ă avoir une petite amie nâont fait que nourrir sa haine viscĂ©rale Ă lâĂ©gard de femmes.
Tout bascule la veille de Noël 1975. Berkowitz suit deux adolescentes dans une ruelle et les poignarde dans le dos avec un couteau de chasse. Les deux jeunes femmes survivent, mais ne peuvent identifier leur agresseur.
BERKOWITZ COMMET SON PREMIER MEURTRE LE 29 JUILLET 1976
Le 29 juillet 1976, Berkowitz sâapproche dâune voiture garĂ©e dans le quartier du Bronx, armĂ© dâun revolver Charter Arms Bulldog de calibre 44 fraĂźchement acquis au Texas. Ă lâintĂ©rieur, Jody Valenti et Donna Lauria discutent. Lâhomme tire plusieurs coups de feu, tuant Lauria et blessant Valenti. Il quitte rapidement les lieux, et ce nâest quâen ouvrant les journaux le lendemain quâil dĂ©couvre quâil vient de commettre son premier meurtre.
La folie meurtriĂšre de David Berkowitz va durer plus dâun an. Du 29 juillet 1976 au 31 juillet 1977, lâhomme tue six personnes et en blesse griĂšvement huit. Il sâagit majoritairement de jeunes couples stationnĂ©s dans leur vĂ©hicule la nuit.
Depuis sa sixiĂšme attaque perpĂ©trĂ©e en avril 1977, le tueur a lâhabitude dâenvoyer des lettres provocatrices Ă la police de New York, et au chroniqueur du Daily News, Jimmy Breslin. Câest ainsi que va naĂźtre le mythe du « Fils de Sam » qui va terroriser la ville.
LE FILS DE SAM TERRORISE LA VILLE DE NEW-YORK
Dans ses lettres, Berkowitz Ă©crit notamment : « Sam est un garçon particuliĂšrement assoiffĂ©, et il ne me laissera pas arrĂȘter de tuer tant quâil nâaura pas obtenu sa dose de sang » et « Pour mâarrĂȘter, tu vas devoir me tuer ».
La série de meurtres perpétrés par le Fils de Sam prend fin le 31 juillet 1977, lorsque Berkowitz tue Stacy Moskowitz et blesse griÚvement Robert Violante, son compagnon, dans le quartier de Bath Beach à Brooklyn.
UN TĂMOIGNAGE CRUCIAL
La police de New-York reçoit lâappel dâun tĂ©moin qui dit avoir aperçu un homme suspect en train de prendre un ticket de stationnement prĂšs de la scĂšne du crime, et affirme quâil Ă©tait muni dâun objet sombre. Les registres de stationnement sont mĂ©ticuleusement analysĂ©s par les enquĂȘteurs, qui finissent par obtenir le numĂ©ro de la plaque dâimmatriculation de David Berkowitz.
Quelques heures plus tard, les agents arrivent devant lâappartement de Berkowitz et repĂšrent sa voiture. Ă lâintĂ©rieur, ils dĂ©couvrent un fusil et un sac rempli de munitions, ainsi que plusieurs cartes de la ville sur lesquelles sont marquĂ©s les lieux des crimes, et une autre lettre destinĂ©e aux autoritĂ©s.
Surpris par les forces de lâordre alors quâil sâapprĂȘte Ă monter dans son vĂ©hicule, le tueur en sĂ©rie se rend sans violence.
Le dĂ©tective Falotico qui le tient en joue lui demande : « Maintenant que je tâai attrapĂ©, qui es-tu vraiment ? ». « Vous le savez dĂ©jà » dĂ©clare Berkowitz dâune voix douce. « Non je ne le sais pas, dis-le moi » insiste Falotico. Le tueur en sĂ©rie tourne alors la tĂȘte dans sa direction et dĂ©clare : « Je suis le fils de Sam ».
En inspectant le domicile du tueur, la police découvre des graffitis sataniques sur les murs, ainsi que des carnets détaillant précisément ses sombres occupations.
Berkowitz tente de se faire passer pour fou, mais les tests psychiatriques pratiquĂ©s et les preuves abondantes de sa culpabilitĂ© lâobligent Ă revoir sa dĂ©fense. Il plaide finalement coupable pour tous les chefs dâaccusation et est condamnĂ© Ă six peines de prison Ă vie pour meurtres le 12 juin 1978. IncarcĂ©rĂ© dans le centre correctionnel dâAttica, il rejoint en 1987 lâĂglise Ă©vangĂ©lique chrĂ©tienne « Born Again » et se fait dĂ©sormais appeler le « Fils de lâEspoir ».
Source: https://dailygeekshow.com/david-berkowitz-serial-killer-tueur-en-serie-new-york/
Un autre article, plus détaillé avec nombreuses photos: http://www.psycho-criminologie.com/2018/08/david-berkowitz-le-fils-de-sam.html
Le 24 septembre 2019 Ă 13:06:05 Foi_Jaune a Ă©crit :
Le 23 septembre 2019 Ă 14:33:18 KHEYN_MAN a Ă©crit :
Le 16 janvier 2019 à 21:17:09 Pseudo supprimé a écrit :
[17:08:27] <kongstrong>
Le khey de la forĂȘtPersonne ne sait qui il est. Mais lâĂ©trange ĂȘtre qui erre dans la forĂȘt de Maules, en GruyĂšre, avec une pĂšlerine militaire sur le dos et un masque Ă gaz sur le visage nâa rien du dahu ou dâun fantĂŽme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il nâamuse personne.
Voici une photo de lâindividu de dos. «Il a apeurĂ© mes enfants», lĂąchait lâauteur du clichĂ©, qui lâa croisĂ© dimanche. Depuis, les tĂ©moignages affluent. Une habitante de SĂąles (FR) lâa vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derriĂšre son gros masque Ă gaz sombre. CâĂ©tait effrayant et je connais des femmes qui ne sâaventurent plus seules en forĂȘt», explique-t-elle.
Ce khey qui est parti faire le nouvel an dans la forĂȘt pour ne jamais en revenir
Il ne faut pas prendre à la lettre prÚs les délires du forum, les clefs
A ce sujet, un petit article qui donne de ses nouvelles:
https://www.tempslibre.ch/actualites/3-histoires-suisses-et-vraies-a-vous-glacer-le-sang-157
Merci
Je trouve la rĂ©action des gens trop dĂ©mesurĂ©s Ă son encontre; si j'ai bien compris, en 10 ans de dĂ©ambulation dans la forĂȘt il n'a attaquĂ© personne; alors, pourquoi le calomnier autant dans la presse
HonnĂȘtement, le loyon me fait de la peine
ça m'avait tout l'air d'un brave type mis de cĂŽtĂ©, qui pour mieux supporter sa solitude ici-bas, a dĂ©cidĂ© de se couper totalement de tout le monde en passant le plus clair de son temps dans une forĂȘt. La diabolisation dont il a Ă©tĂ© victime fait qu'on l'a privĂ© de son exutoire, si vital pour lui
Le 24 septembre 2019 Ă 14:58:20 KHEYN_MAN a Ă©crit :
Le 24 septembre 2019 Ă 13:06:05 Foi_Jaune a Ă©crit :
Le 23 septembre 2019 Ă 14:33:18 KHEYN_MAN a Ă©crit :
Le 16 janvier 2019 à 21:17:09 Pseudo supprimé a écrit :
[17:08:27] <kongstrong>
Le khey de la forĂȘtPersonne ne sait qui il est. Mais lâĂ©trange ĂȘtre qui erre dans la forĂȘt de Maules, en GruyĂšre, avec une pĂšlerine militaire sur le dos et un masque Ă gaz sur le visage nâa rien du dahu ou dâun fantĂŽme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il nâamuse personne.
Voici une photo de lâindividu de dos. «Il a apeurĂ© mes enfants», lĂąchait lâauteur du clichĂ©, qui lâa croisĂ© dimanche. Depuis, les tĂ©moignages affluent. Une habitante de SĂąles (FR) lâa vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derriĂšre son gros masque Ă gaz sombre. CâĂ©tait effrayant et je connais des femmes qui ne sâaventurent plus seules en forĂȘt», explique-t-elle.
Ce khey qui est parti faire le nouvel an dans la forĂȘt pour ne jamais en revenir
Il ne faut pas prendre à la lettre prÚs les délires du forum, les clefs
A ce sujet, un petit article qui donne de ses nouvelles:
https://www.tempslibre.ch/actualites/3-histoires-suisses-et-vraies-a-vous-glacer-le-sang-157
Merci
Je trouve la rĂ©action des gens trop dĂ©mesurĂ©s Ă son encontre; si j'ai bien compris, en 10 ans de dĂ©ambulation dans la forĂȘt il n'a attaquĂ© personne; alors, pourquoi le calomnier autant dans la presse
HonnĂȘtement, le loyon me fait de la peine
ça m'avait tout l'air d'un brave type mis de cĂŽtĂ©, qui pour mieux supporter sa solitude ici-bas, a dĂ©cidĂ© de se couper totalement de tout le monde en passant le plus clair de son temps dans une forĂȘt. La diabolisation dont il a Ă©tĂ© victime fait qu'on l'a privĂ© de son exutoire, si vital pour lui
Il y a quand mĂȘme de quoi se poser des questions: pourquoi alors porter un tel accoutrement ? Quelle Ă©tait sa dĂ©marche ? On ne peut pas reprocher aux gens de flipper un peu, mĂȘme si ses intentions semblaient loin d'ĂȘtre mauvaises. Triste malentendu en tous cas.
Sinon, pour ceux qui l'auraient manqué, l'Ombre d'un Doute sur le dr Petiot: https://www.youtube.com/watch?v=bOXw7YE5ziY
Et un article (source: https://www.13emerue.fr/dossier/le-docteur-petiot ):
Le Docteur Petiot
Marcel AndrĂ© Henri FĂ©lix Petiot, dit le docteur Petiot est un mĂ©decin qui a dĂ©frayĂ© la chronique Ă la fin de la 2eme guerre mondiale. On a dĂ©couvert en 1944 Ă son domicile les restes de 27 personnes. GuillotinĂ© le 25 mai 1946 Ă Paris, le docteur Petiot nâa exprimĂ© aucun remord. Sa derniĂšre phrase ayant Ă©tĂ© : «ça ne va pas ĂȘtre beau Ă voir». Retour sur la vie dâun homme diabolique.
Marcel AndrĂ© Henri FĂ©lix Petiot est nĂ© le 17 janvier 1897 Ă Auxerre dâun pĂšre fonctionnaire des postes et dâune mĂšre souffrant de pathologies psychiatriques.
Cet enfant est assez complexe. Il a beau ĂȘtre trĂšs intelligent, et lire Ă 5 ans, comme un enfant de10 ans, il nâen reste pas moins troublant et effrayant. On raconte quâil Ă©tranglait les chats aprĂšs leur avoir brĂ»lĂ© les pattes Ă lâeau bouillante.
Sa scolaritĂ© est aussi truffĂ©e dâaccidents violents: Ă 8 ans, il est attrapĂ© distribuant des images obscĂšnes Ă ses camarades. A 11 ans, il tire un coup de feu en classe dâhistoire avec le revolver de son pĂšre. Câest pourquoi aprĂšs avoir Ă©tĂ© renvoyĂ© Ă 2 reprises, il dĂ©cide de finir ses Ă©tudes seul chez lui et passe son bac avec succĂšs.
ParallĂšlement, sa mĂšre est internĂ©e Ă Sainte-Anne pour troubles psychiatriques. Elle nâen sortira jamais puisquâelle dĂ©cĂšde lorsque Marcel a 12 ans.
A 17 ans, Marcel Petiot est arrĂȘtĂ© pour vol. Reçu par des psychiatres, il est jugĂ© bipolaire et socialement inadaptĂ©. On parle mĂȘme de pathologie hĂ©rĂ©ditaire. RĂ©sultat, il nâest pas apte Ă ĂȘtre jugĂ©, et ne sera donc jamais condamnĂ© pour ce vol.
On est en 1916. Marcel Petiot a 19 ans lorsquâil sâengage au 98e rĂ©giment dâinfanterie. Les combats de la PremiĂšre Guerre Mondiale, il nâen fera pas beaucoup puisquâil est blessĂ© au pied 6 mois aprĂšs son enrĂŽlement. Durant sa convalescence, on lâaccuse dâavoir volĂ© des couvertures Ă lâhĂŽpital. RĂ©sultat, il est enfermĂ© Ă la prison militaire dâOrlĂ©ans. Il nây restera pas longtemps puisquâĂ la suite de ses conversations avec les psychiatres, il est diagnostiquĂ© neurasthĂ©nique, dĂ©sĂ©quilibrĂ© mental, dĂ©pressif paranoĂŻaque et phobique. Il atterrit donc dans le service psychiatrique de lâhĂŽpital de Fleury-les-Aubrais.
Mais lâarmĂ©e, qui manque de soldats, le renvoie au front en 1918. Il y restera encore moins longtemps que la 1ere fois, se tirant une balle dans le pied, suite Ă une grave dĂ©pression. LâarmĂ©e dĂ©cide donc de le rĂ©former pour troubles psychiatriques.
Contrairement Ă toute attente, Marcel Petiot nâest pas dirigĂ© vers un asile pour aliĂ©nĂ©s, il utilise sa mĂ©daille dâancien combattant pour faciliter son entrĂ©e en mĂ©decine. Et au lieu dâĂȘtre internĂ©, Marcel devient le docteur Petiot le 15 dĂ©cembre 1921, date de lâobtention de son diplĂŽme de mĂ©decine, quâil a rĂ©ussi Ă dĂ©crocher avec la mention trĂšs bien.
Les débuts du docteur Petiot
1922. Villeneuve-sur-Yonne. Marcel Petiot ouvre son 1er cabinet mĂ©dical. Il se fait de la publicitĂ© en dĂ©nigrant les 2 autres mĂ©decins, au prĂ©texte que son Ăąge et son diplĂŽme fraĂźchement en poche sont un atout pour soigner les maladies modernes. Sa popularitĂ© sâaccroĂźt rapidement dans la rĂ©gion. Il est le mĂ©decin qui offre des consultations et des vaccinations gratuites aux personnes sans le sou. Malheureusement, sa popularitĂ© est entachĂ©e par sa nette tendance Ă la cleptomanie et on dĂ©couvrira par la suite quâil inscrivait ses patients Ă lâassistance mĂ©dicale pour toucher leurs prestationsâŠ.
Câest 4 ans plus tard que la population dĂ©couvre sa liaison avec Louise Daveleau, la fille dâune de ses patientes. Cela fait grand bruit. Mais câest lâincendie de la maison de celle-ci et sa disparition, qui feront scandale. On retrouve le corps dâune jeune femme dans une valise au fond de la riviĂšre. Mais le corps est en Ă©tat de dĂ©composition avancĂ©. Il nâest donc pas identifiable. La valise, elle, ressemble Ă celle que le docteur Petiot emmĂšne avec lui lors de ses dĂ©placements. Mais la police ne fait pas le rapprochement, et Marcel Petiot nâest pas inquiĂ©tĂ©. Il continue Ă faire son petit bonhomme de chemin, en Ă©pousant Georgette Lablais, la fille dâun riche charcutier dâAuxerre.
Il se lance aussi en politique et devient maire de Villeneuve-sur-Yonne en juillet 1926. Mais son accession au mandat est controversĂ©e. Dâautant quâil est vite citĂ© Ă comparaĂźtre pour plusieurs dĂ©lits tels que: dĂ©tournements de fonds, vol de biens publics, fausses dĂ©clarations Ă lâassurance maladieâŠ. Il sera dĂ©chu de sa fonction de maire en 1931, mais gardera celle de conseiller gĂ©nĂ©ral quâil a remportĂ© en 1928. Les procĂšs recommencent et il sera privĂ© de tout mandat Ă©lectif en 1934.
Pendant ce temps, les rumeurs courent Ă son sujet. En mars 1930, Mme Debauwe, gĂ©rante de la coopĂ©rative laitiĂšre de Villeneuve-sur-Yonne est retrouvĂ©e calcinĂ©e. Elle a Ă©tĂ© assassinĂ©e Ă coups de marteau. Et on a mis le feu Ă sa laiterie. Certains pensent que Marcel Petiot entretenait une liaison avec cette femme, et un dĂ©nommĂ© Frascot affirme lâavoir vu traĂźnant prĂšs de la laiterie le soir de lâincendie. Le docteur est soupçonnĂ©. Mais ce dĂ©nommĂ© Frascot dĂ©cĂšde brusquement en sortant de chez le mĂ©decin. Un anĂ©vrisme raconte le certificat de dĂ©cĂšs. Certificat signĂ© parâŠMarcel Petiot! Plus de tĂ©moin, plus de preuve, et donc Petiot est Ă nouveau libre comme lâair. Mais toutes ces affaires lui collent Ă la peau, il dĂ©cide donc de quitter Villeneuve-sur-Yonne et de gagner Paris. On est en 1933.
Le Docteur Petiot Ă Paris
Il emmĂ©nage avec sa famille au 66 rue Caumartin Ă Paris. Il y ouvre une clinique ultra moderne pour lâĂ©poque et distribue Ă tours de bras des prospectus dans le quartier:
«Vous ĂȘtes priĂ© de bien vouloir noter que le cabinet mĂ©dical, tenu prĂ©cĂ©demment au premier Ă©tage, 66, rue Caumartin, sera dĂ©sormais occupĂ© par le Dr Marcel Petiot, diplĂŽmĂ© de la FacultĂ© de MĂ©decine de Paris en 1921, Conseiller gĂ©nĂ©ral de lâYonne, ex-interne de lâhĂŽpital, directeur de clinique, mĂ©decin-chef de lâOffice mĂ©dical de la Seine.
Ce cabinet, en plein centre de Paris, vous offre toutes facilitĂ©s dâaccĂšs (autobus, mĂ©tro: stations Saint-Lazare et Caumartin).
Il comporte les matĂ©riels des plus modernes et des plus perfectionnĂ©s, avec rayons X, UV, UR, et radiothĂ©rapie superficielle ou mĂȘme profonde, laboratoire de galvanisation, ionisation, ergothĂ©rapie, diathĂ©rapie (toutes frĂ©quences, ondes courtes Ă grande puissance, fiĂšvre artificielle, bistouris Ă©lectriques, outillage chirurgical, ĆnothĂ©rapie, aĂ©rothĂ©rapie, etc.).
Le docteur Petiot fut le promoteur en 1921-1923 dâune technique parvenant Ă supprimer complĂštement les douleurs dans les accouchements, sans anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale ou rĂ©gionale et sans instrument dangereux. Cette mĂ©thode permet la suppression de la douleur dans les affections les plus pĂ©nibles (sciatique, rhumatisme, nĂ©vralgie, zona, nĂ©vrite, ulcĂ©ration, cancer).
Auteur dâouvrages originaux sur les maladies nerveuses et leurs traitements modernes (spĂ©cialement des affections Ă crises pĂ©riodiques et cures de dĂ©sintoxication).
CrĂ©ateur, avec un physicien connu, dâun matĂ©riel et dâune technique permettant la guĂ©rison de toute tumeur non gĂ©nĂ©ralisĂ©e ou affectant des organes vitaux (ganglions externes ou internes, loupes, lipomes, polypes, vĂ©gĂ©tations, verrues, taches rouges, goitres, dĂ©formations, tatouages, cicatrices, etc. et mĂȘme fibromes et tumeurs malignes ou cancers, mĂȘme profonds).
Le docteur Petiot vous sera parfaitement reconnaissant de bien noter dans vos annuaires, son adresse:
66, rue Caumartin Paris IXe, ainsi que son numéro de teléphone: PIG 7711».
Le succÚs ne se fait pas attendre et avec ses larges bénéfices, il acquiert 2 propriétés en province et un hÎtel particulier à paris, rue Le Sueur.
En 1936, Marcel Petiot se balade dans les allĂ©es de la librairie Gibert Ă Paris. Il est trĂšs intĂ©ressĂ© par les livres, un peu trop mĂȘme puisquâil est pris en flagrant dĂ©lit de vol Ă lâĂ©talage. Il est conduit devant les juges, Ă qui il rĂ©pond: «un gĂ©nie ne sâencombre pas de basses choses matĂ©rielles». Au final, le gĂ©nie quâil pense ĂȘtre est reconnu aliĂ©nĂ© mental et se retrouve internĂ© Ă la Maison de SantĂ© dâIvry durant 7 mois.
Deux ans aprĂšs, la Guerre Ă©clate et la France se retrouve envahie par les Allemands.
Le 26 septembre 2019 Ă 09:36:53 Foi_Jaune a Ă©crit :
Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi mes derniers posts sur le dr Petiot passent Ă la trappe ?
meuh non khey j'ai tout lu c'est fascinant ^^
Le tueur de 4chan
David Michael Kalac , alias "The 4chan Killer" , est un meurtrier américain qui a tué sa petite amie et a publié des photos de son corps sur le célÚbre site photoboard, 4chan
Pour des raisons indéterminées, il a tué sa petite amie, Amber Coplin, aprÚs son retour à la maison. Ensuite, il a posté des photos de son corps nu en ligne. Son corps a été retrouvé une heure plus tard par son fils ùgé de treize ans. Utilisant la voiture de Coplin pour s'échapper, Kalac s'est échappé de chez lui et a appelé le 911.
Les enquĂȘteurs ont pu retrouver son tĂ©lĂ©phone portable. Kalac a alors envoyĂ© un message Ă deux de ses amis, lui disant qu'ils le verraient dans les journaux. Dix-neuf heures plus tard, la voiture de Coplin a Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e et des policiers l'ont poursuivie. Cependant, Kalac a rĂ©ussi Ă leur Ă©chapper en s'engageant dans le trafic venant en sens inverse.
Quelques heures plus tard, Ă environ 20 milles au sud-ouest de Portland, Kalac s'est rendu et a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© sans rĂ©sistance. Il a par la suite Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© coupable de meurtre au deuxiĂšme degrĂ©, qui a ensuite Ă©tĂ© qualifiĂ© de meurtre au premier degrĂ©. Dans la chambre de Coplin, la police a trouvĂ© des messages Ă©crits par Kalac, tels que "elle m'a tuĂ© d'abord" sur une photo et "mort" sur un permis de conduire, laissĂ© prĂšs de sa tĂȘte.
Le mobile de Kallin pour le meurtre de Coplin est actuellement inconnu, bien qu'il ait mentionnĂ© le fait qu'il Ă©tait en Ă©tat d'Ă©briĂ©tĂ© au moment des faits et allĂ©guĂ© qu'elle l'avait mis en colĂšre. Dâautres sources disent que Coplin entretient une relation amoureuse avec un autre homme et que Kalac lâa dĂ©couverte, lâayant tuĂ©. Il a Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ© pour son meurtre et le reste aujourd'hui.
Lorsqu'il a tuĂ© Amber Coplin, il l'a Ă©tranglĂ©e manuellement, puis est passĂ©e Ă l'Ă©tranglement par ligature avec un lacet. Tout en l'Ă©tranglant, il l'a Ă©galement frappĂ©e Ă la tĂȘte avec un objet non spĂ©cifiĂ©. Par la suite, Kalac a enlevĂ© ses vĂȘtements et a pris des photos de son corps nu avant de les poster en ligne avec divers messages provocants sous la forme de lĂ©gendes.
WARNING : les trois photos qu'il a pris sont super choquante, vous pouvez les trouver sur google mais je vous aurais averti..........
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 Ă 16:05:48
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