Marx et Engels : “Les SOCIÉTÉS PAR ACTIONS et les TRUSTS = SOCIALISME”
Engels
In the trusts, freedom of competition changes into its very opposite - into monopoly; and the production without any definite plan of capitalistic society capitulates to the production upon a definite plan of the invading socialistic society.
Marx:
When we pass from joint-stock companies to trusts which assume control over, and monopolize, whole industries, it is not only private production that ceases, but also planlessness.
Mais aussi:
Before we go any further, there is still the following economically important fact to be noted: Since profit here assumes the pure form of interest, undertakings of this sort are still possible if they yield bare interest, and this is one of the causes, stemming the fall of the general rate of profit, since such undertakings, in which the ratio of constant capital to the variable is so enormous, do not necessarily enter into the equalisation of the general rate of profit.
This is the abolition of the capitalist mode of production within the capitalist mode of production itself, and hence a self-dissolving contradiction, which prima facie represents a mere phase of transition to a new form of production. It manifests itself as such a contradiction in its effects. It establishes a monopoly in certain spheres and thereby requires state interference. It reproduces a new financial aristocracy, a new variety of parasites in the shape of promoters, speculators and simply nominal directors; a whole system of swindling and cheating by means of corporation promotion, stock issuance, and stock speculation. It is private production without the control of private property.
De leur vivant, c’est-à-dire à la fin du 19ème siècle, Marx et Engels observaient les prémices d’un nouveau mode de production de nature socialiste et qui n’avait pas pour but de répondre à des besoins sociaux mais bien de pérenniser le pouvoir d’une nouvelle classe émergente : l’aristocratie financière.
Toute l’histoire du développement économique du monde occidental au vingtième siècle leur donne raison.
Ma question est la suivante : pourquoi les marxistes occidentaux attardés continuent de répéter la même rengaine obsolète sur le capitalisme ? Pourquoi le niveau des marxistes occidentaux est-il si bas ?
99% SONT ATTARDÉS
AAAAAAARRRRRRRRRHHHHHHH
Chaque révolution trouve son pendant dogmatique et réactionnaire qui vient parasiter la dite révolution.
Judaïsme ? Talmud.
Christianisme ? Catholicisme et trinité.
Islam ? Hadiths.
Hégélianisme ? Les jeunes hégéliens.
Marxisme ? Les gauchistes et autres attardés occidentaux.
https://youtu.be/aMuKQw3QJPk?si=sQ1iQsOEe3ssmd0g
btg
non ils savent ce qu'ils font mais personne ne veut aller au bout du raisonnement
Le 21 octobre 2024 à 22:32:07 :
Apparemment c'est surtout toi qui n'est pas renseigné et qui a une culture du marxisme conditionnée à ce qu'il a lu sur twitter puisque les économistes marxistes sérieux ont officialisé la thèse du capitalisme monopoliste d'état depuis les années 70 et ne parlent pas de "néolibéralisme" ou je ne sais quoi. Quant au pan philosophique, Clouscard avait parfaitement analysé la mutation du capitalisme avec la dizaine de concepts qu'il a théorisé
1. Le “capitalisme monopoliste” n’est déjà plus du capitalisme, il faut lire les citations, demeurin.
2. Les analyses de Clouscard relèvent de la critique culturelle et idéologique. Il n’a jamais rien observé de pertinent concernant la réalité du mode de production.
Il ne faut rien attendre des hommes du XXIe siècle.
Pour trouver de l'intelligence il faut lire les hommes du XIXe et des siècles pre-XIXe.
Et donne les sources
Le 21 octobre 2024 à 22:51:23 :
Il ne faut rien attendre des hommes du XXIe siècle.
Pour trouver de l'intelligence il faut lire les hommes du XIXe et des siècles pre-XIXe.Et donne les sources
1. Cousin est aussi un charlatan.
2. Capital, tome 3
Engels est un bouffon, rien de nouveau sous le soleil. Le contrôle privé de la production par un monopole n'est pas du socialisme, mais simplement une contradiction interne du capitalisme, qui survit et se maintient malgré la fin de la « libre-concurrence » qui n'est pas un principe essentiel du capitalisme (comme les capitalismes autoritaires/fascistes l'ont montré). Le capitalisme c'est un système qui vise l'extraction de survaleur comme fin en soi, il ne faut pas confondre ce qui le caractérise essentiellement avec des caractéristiques historiques accidentelles comme la libre-concurrence ou aujourd'hui la concurrence non faussée dans l'UE.
Ensuite, l'extrait de « Marx » est en fait un extrait de Engels, mais bon passons, Engels dit, pour une fois, quelque chose de censé.
Enfin, pour ce qui est du dernier extrait, c'est dommage. Marx semble s'être hâté en pensée et avoir également confondu une caractéristique contingente (libre-concurrence) avec l'essence du capitalisme. Encore une fois, le capitalisme peut se maintenir sans la fameuse libre-concurrence qui n'a en fait jamais vraiment existé puisqu'il n'y a jamais eu de vrai marché où tous les acteurs seraient au même niveau, à une égalité parfaite. Non, le capitalisme crée des inégalités partout, et notamment entre les capitalistes eux-mêmes puisque le jeu de la concurrence élimine les plus faibles et fait grossièrement croître les plus forts. Le capitalisme fonctionne avec des marchés, un marché c'est des vendeurs et des acheteurs. Il n'y a aucune nécessité à ce que la concurrence entre les vendeurs soit « libre », tout porte à penser le contraire.
De plus, dire que « It establishes a monopoly in certain spheres and thereby requires state interference. » est également une inférence qui sort de nul part. Non un monopole ne requiert pas une intervention étatique, il n'y a pas de nécessité en la matière, que de l'accidentel historique. L'Etat peut très bien laisser le marché à lui-même (càd le laisser se faire engloutir par un monopole) voire même aider le monopole à croître, comme il peut empêcher à la racine la formation de monopole.
« It is private production without the control of private property. » Faux aussi, le monopole est une production privée contrôlée par la propriété privée. Que ce soit un groupe, et non pas un seul capitaliste, qui dirige ensemble cette production ne change rien au fait que c'est un ensemble de propriétaires privés qui la contrôlent, et non une puissance publique/démocratique commune.
Tu es profondément stupide donc je vais devoir te faire redescendre sur terre.
Engels est un bouffon, rien de nouveau sous le soleil.
Engels est l’un des deux théoriciens fondamentaux du marxisme, sans ses observations et ses données récoltées dans l’étude du mode de production capitaliste, Marx n’aurait jamais achevé “le Capital”. Il a aussi été capable d’offrir à Marx des ressources bibliographiques étendues et l’a même corrigé sur certains points (ex: Marx croyait en la validité de la phrénologie). Tu cesses de couiner comme le porc vautré dans la boue de l’ignorance que tu es et tu mets du respect sur son nom.
Le contrôle privé de la production par un monopole n'est pas du socialisme, mais simplement une contradiction interne du capitalisme, qui survit et se maintient malgré la fin de la « libre-concurrence » qui n'est pas un principe essentiel du capitalisme (comme les capitalismes autoritaires/fascistes l'ont montré). Le capitalisme c'est un système qui vise l'extraction de survaleur comme fin en soi, il ne faut pas confondre ce qui le caractérise essentiellement avec des caractéristiques historiques accidentelles comme la libre-concurrence ou aujourd'hui la concurrence non faussée dans l'UE.
C’est une “SOCIALISATION” donc la mise en commun - ici, entre les mains d’une classe émergente, l’aristocratie financière - de moyens de production. Cela constitue une révolution au sein de la manière dont se constituait la propriété privée jusqu’alors.
Puisque tu es ignare parce que tu es un marxiste occidental, tu ne comprends pas ce qu’implique le mouvement dialectique au sein de la réalité matérielle. Ce qui est souvent traduit à tort par “abolition” est, de fait, le “aufhebung” hégélien, c’est-à-dire le dépassement et - dans le même mouvement - la préservation de ce qui est dépassé mais cette fois, sous une forme supérieure. Ici, la plus-value est préservée mais sous une forme supérieure qui signe les prémices de la transition socialiste : la “socialisation” de celle-ci.
Les capitalistes autoritaires et autres fascistes opéraient déjà après cette révolution signant les prémices du socialisme. C’est d’ailleurs significatif que Mussolini lui-même vienne de l’école anarchiste et socialiste (donc clairement pas celle de Marx). Tu es à côté de la plaque. Cesse de couiner.
Ensuite, l'extrait de « Marx » est en fait un extrait de Engels, mais bon passons, Engels dit, pour une fois, quelque chose de censé.
Faute d’inattention de ma part mais qu’importe puisque les deux compères disaient essentiellement la même chose. Une très large partie des écrits d’Engels ont été publiés du vivant de Marx. S’il était habitué à raconter n’importe quoi, Marx aurait été le premier à le réfuter. Or la correspondence de Marx et Engels : les deux amis ne cessent de s’interroger mutuellement, de faire part de leurs doutes et de s’entraider dans leur quête scientifique. Ton révisionnisme pue la merde et est caractéristique des déchets anarchistes qui souhaitent s’approprier Marx tout en délaissant Engels parce que ce dernier les a savamment fessés.
Enfin, pour ce qui est du dernier extrait, c'est dommage. Marx semble s'être hâté en pensée et avoir également confondu une caractéristique contingente (libre-concurrence) avec l'essence du capitalisme.
Bah voyons.
BAH.
VOYONS.
Donc Karl Marx, le type qui a consacré l’essentiel des deux dernières années de sa vie à une œuvre colossale qu’il n’aura jamais pu achever parce qu’il ne cessait de chercher toujours plus de données, de se renseigner toujours plus sur les différentes formes du mode de production capitaliste selon les nations, de lire quantité de pavés sur l’économie et l’histoire, ce même type qui ne cessait de se relire de manière quasi-pathologique pour ne pas publier une erreur de raisonnement ou des données mal retranscrites, ce type là aurait soudainement commis une « confusion ».
Non, ATTARDIN.
Deux choses l’une : il n’y a pas de « contingence ».
La contingence n’est qu’une nécessité que la finitude de notre compréhension ne parvient pas (encore) à restituer et saisir comme telle. Contrairement à Lénine, j’étais pas certain que lire « la Science de la Logique » de Hegel était important pour saisir le « Capital » mais quand je lis tes bouffonneries, je n’en doute plus. Lénine avait raison, mais ça ne concernant que les neuneus de ton genre.
Secondo, t’es juste un demeuré qui n’a pas lu Marx, qui ne comprend pas la dialectique et qui ne comprend pas ce qu’implique la transition socialiste.
Parce que Demeurin, ce que tu ne piges pas, c’est que le monopole puis les trusts et les cartels constituent à la fois le développement du mode de production capitaliste sur les bases qu’ils avaient précédemment établis (concurrence impitoyable entre des individus capitalistes) mais que c’est dans ce même mouvement que sont déploient les contradictions qui lui seront fatales. Le monopole, les trusts puis les cartellisations massives ne sont qu’une fuite en avant qui structure simultanément le socialisme naissant.
« Communism is for us not a state of affairs which is to be established, an ideal to which reality [will] have to adjust itself. We call communism the real movement which abolishes the present state of things. The conditions of this movement result from the premises now in existence. »
J’enfonce le clou. Marx, dans sa critique du programme de Gotha, explique clairement quand dans la phase inférieure, un surplus continuera d’être produit, ce qui signifie bien que le capitalisme, tandis qu’il disparaît et n’existe plus que sous formes résiduelles, persiste sous la forme de la plus-value mise en commun :
« Let us take, first of all, the words "proceeds of labor" in the sense of the product of labor; then the co-operative proceeds of labor are the total social product.
From this must now be deducted: First, cover for replacement of the means of production used up. Second, additional portion for expansion of production. Third, reserve or insurance funds to provide against accidents, dislocations caused by natural calamities, etc.
These deductions from the "undiminished" proceeds of labor are an economic necessity, and their magnitude is to be determined according to available means and forces, and partly by computation of probabilities, but they are in no way calculable by equity.
There remains the other part of the total product, intended to serve as means of consumption.
Before this is divided among the individuals, there has to be deducted again, from it: First, the general costs of administration not belonging to production. This part will, from the outset, be very considerably restricted in comparison with present-day society, and it diminishes in proportion as the new society develops. Second, that which is intended for the common satisfaction of needs, such as schools, health services, etc. From the outset, this part grows considerably in comparison with present-day society, and it grows in proportion as the new society develops. Third, funds for those unable to work, etc., in short, for what is included under so-called official poor relief today. »
Ici, il s’agit d’un surplus mis en commun pour des besoins sociaux certes mais ce que j’avance avec ce topic, c’est que ce surplus en mis en commun pour les besoins de l’aristocratie financière mais qu’il y a, dans cette mise en commun, la base d’un socialisme pour les masses.
Autrement dit, ce que tu prends pour un aspect « essentiel » finit « dépassé et préservé » selon le « aufhebung » (qui n’est pas, je le rappelle, une abolition au sens où on l’entend communément).
Encore une fois, le capitalisme peut se maintenir sans la fameuse libre-concurrence qui n'a en fait jamais vraiment existé puisqu'il n'y a jamais eu de vrai marché où tous les acteurs seraient au même niveau, à une égalité parfaite.
C’est un bel épouvantail mais Marx n’a jamais écrit ça quand il parlait du marché libre. Essaye encore.
Ou non.
N’essaye plus. Ça me fait profondément chier de debunk les élucubrations d’un inculte qui attribue à Marx sa propre stupidité.
Non, le capitalisme crée des inégalités partout, et notamment entre les capitalistes eux-mêmes puisque le jeu de la concurrence élimine les plus faibles et fait grossièrement croître les plus forts.
Attends mais… T’as découvert ça tout seul ?
Hâte que tu découvres que le capitalisme crée aussi une concurrence féroce et inégalitaire entre les prolétaires eux-mêmes.
De plus, dire que « It establishes a monopoly in certain spheres and thereby requires state interference. » est également une inférence qui sort de nul part. Non un monopole ne requiert pas une intervention étatique, il n'y a pas de nécessité en la matière, que de l'accidentel historique. L'Etat peut très bien laisser le marché à lui-même (càd le laisser se faire engloutir par un monopole) voire même aider le monopole à croître, comme il peut empêcher à la racine la formation de monopole.
MAIS T’ES UN PUR DEMEURÉ
Tu sais que ce qui constitue la base même des monopoles de JP MORGAN, de la famille Rockefeller et aujourd’hui de BlackRock et Vanguard, c’est la collusion claire qu’il existe entre ces groupes et l’état américain ? T’es au courant, pauvre demeuré, que ce qui a été le socle de la puissance du dollar, à savoir la réserve fédérale, a été fondé et crée par les efforts de lobbying de JP MORGAN et la famille Rockefeller ? T’es au courant que BlackRock et Vanguard - pour ne citer qu’eux - ont parmi leurs cadres des membres de la CIA et du département d’état américain ? T’es au courant que même Space X, pauvre demeuré, reçoit plus de 60% de ses fonds de la part de subventions de l’état américain ?
Pourquoi un ignare de ta trempe ouvre son cul ? D’où tu tiens cette assurance qui te laisse croire que tu peux t’exprimer ?
« It is private production without the control of private property. » Faux aussi, le monopole est une production privée contrôlée par la propriété privée. Que ce soit un groupe, et non pas un seul capitaliste, qui dirige ensemble cette production ne change rien au fait que c'est un ensemble de propriétaires privés qui la contrôlent, et non une puissance publique/démocratique commune.
Non, espèce de déficient. Parce que je le répète, il y a une SOCIALISATION. Ce ne sont plus des INDIVIDUS mais les acteurs d’une CLASSE - en l’occurrence l’aristocratie financière - qui se joignent et contrôlent des pans entiers de la production privée. C’est pour ça que BlackRock et Vanguard investissent dans les MÊMES COMPAGNIES :
https://blackrockvanguardwatch.com
T’es content, Demeurin ? Tu m’as fait perdre mon temps pour réfuter toutes tes affirmations qui n’étaient fondés que sur de la branlette théorique et sur rien qui serait décelable et concrétisé dans la réalité matérielle.
Le 22 octobre 2024 à 20:13:57 :
Marx est mort en 1883 faut être déranger pour appliquer les préceptes de ses bouquins en 2024…
De quels préceptes tu parles ? Et surtout, où Marx a-t-il dit que la description scientifique qu’il faisait du mode de production capitaliste allait figer la réalité matérielle ?
Au fait : j’ai sauvegardé ce pavé donc tu pourras DDB tant que tu veux, je reviendrai toujours avec un nouveau pseudo pour reposter ton humiliation.
Le 22 octobre 2024 à 20:19:38 :
Va vivre en Corée du Nord ou à cuba
Cuba et la CDN sont figées dans le développement de leurs forces productives à cause des nombreuses sanctions imposées par l’hégémonie américaine. Ce sont donc des sociétés socialistes arriérées. Je n’ai aucun intérêt à aller vivre là-bas.
Je pourrais aller vivre en Chine mais je reste malgré tout (malgré moi, surtout) attaché à ce pays.
Cela dit, si l’Algérie poursuit son développement et parvient à l’accélérer, je n’hésiterai pas à quitter la France pour cet autre pays auquel je suis autant (non, bien plus, en fait) attaché.
Le 22 octobre 2024 à 20:21:37 :
Au fait : j’ai sauvegardé ce pavé donc tu pourras DDB tant que tu veux, je reviendrai toujours avec un nouveau pseudo pour reposter ton humiliation.Le 22 octobre 2024 à 20:19:38 :
Va vivre en Corée du Nord ou à cubaCuba et la CDN sont figées dans le développement de leurs forces productives à cause des nombreuses sanctions imposées par l’hégémonie américaine. Ce sont donc des sociétés socialistes arriérées. Je n’ai aucun intérêt à aller vivre là-bas.
Je pourrais aller vivre en Chine mais je reste malgré tout (malgré moi, surtout) attaché à ce pays.
Cela dit, si l’Algérie poursuit son développement et parvient à l’accélérer, je n’hésiterai pas à quitter la France pour cet autre pays auquel je suis autant (non, bien plus, en fait) attaché.
l'Algérie ne veut pas des gauchiottes athées qui veulent saper l'islam
Meanwhile, dans le monde réel :
https://en.m.wikipedia.org/wiki/September_2019_events_in_the_U.S._repo_market
https://americandeposits.com/insights/history-quantitative-easing-united-states/
« Gaarrghheeeuh Markche a confondu la contingenche et la néchéchité »
Données du topic
- Auteur
- AlrightStill
- Date de création
- 21 octobre 2024 à 22:25:07
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