L'évolutionnisme (Darwinisme) devient de plus en plus bancal biologiquement
SuppriméLe 13 juillet 2024 à 22:52:12 RIPMidnight a écrit :
Le 13 juillet 2024 à 22:49:23 :
La musculature façonne l'ossature qui évolue en fonction de l'adaptation à de nouveaux environnements et des besoins moteurs.On parle sur plusieurs centaines de générations avec les mêmes défis à relever.
C'est comme ça qu'une anguille se transforme en serpent puis en lézard et un jour en oiseau.SI on part de ce principe ça veut dire que l'expérience d'un individu dans sa vie peut impacter son génome et transmettre ça à sa descendance. C'est un peu le principe qu'essaie d'expliquer certaines recherches en épigénétique et ça c'est vraiment intéressant pour le coup
Et ça vaut autant pour la mécanique que le psychique. J'imagine que nos phobies ne viennent pas de nulle part.
Je te conseille cette série de vidéos pour mieux comprendre ce qu'est réellement le Darwinisme :
https://m.youtube.com/playlist?list=PL8mPrvnM78yJU5iXdL42bIGIXZzZpKmD8
À défaut je te laisse avec cette réponse :
Il est vrai que la théorie de l'évolution par sélection naturelle est complexe et souvent mal comprise. Les points soulevés nécessitent une clarification sur les mécanismes évolutifs et sur la façon dont des traits complexes comme les ailes peuvent se développer. Voici quelques éléments de réponse pour contre-argumenter :
1. **Évolution par petits pas** : Les traits complexes comme les ailes ne sont pas apparus du jour au lendemain. L'évolution est un processus graduel où des mutations accumulées sur de longues périodes de temps produisent des changements progressifs. Chaque petite mutation doit conférer un avantage sélectif, même minime, pour être retenue par la sélection naturelle.
2. **Fonctionnalité intermédiaire** : Les étapes intermédiaires d'un trait complexe peuvent avoir des fonctions différentes. Par exemple, les proto-ailes des ancêtres des oiseaux pouvaient servir à autre chose qu'au vol, comme la régulation de la température corporelle, la protection ou l'aide à la course. Une fois ces structures en place, elles ont pu être cooptées et modifiées par la sélection naturelle pour permettre le vol.
3. **Brassage génétique et mutations** : Bien que les mutations se produisent de manière aléatoire, le brassage génétique lors de la reproduction peut recombiner les gènes de manière à produire des variations nouvelles et potentiellement avantageuses. Ces nouvelles combinaisons peuvent alors être soumises à la sélection naturelle.
4. **Sélection de traits existants** : Comme mentionné, pour qu'un trait soit sélectionné, il doit déjà exister dans la population. Cependant, même des mutations apparemment neutres peuvent devenir avantageuses si l'environnement change. Par exemple, une mutation qui n'avait aucun effet bénéfique dans un certain contexte pourrait devenir cruciale dans un nouvel environnement.
5. **Évolution convergente** : La nature montre de nombreux exemples d'évolution convergente où des traits similaires évoluent indépendamment dans des lignées différentes en réponse à des pressions environnementales similaires. Cela montre la puissance de la sélection naturelle à façonner des traits complexes.
6. **Exemples observés** : De nombreux exemples d'évolution rapide ont été documentés. Par exemple, les bactéries développent rapidement des résistances aux antibiotiques par sélection naturelle de mutations existantes. Dans le règne animal, des exemples de changements rapides incluent les modifications de la couleur de la peau chez les lézards ou les adaptations au régime alimentaire chez les poissons cichlidés.
7. **Consensus scientifique** : Bien qu'il y ait des débats sur les détails des mécanismes évolutifs, le consensus scientifique soutient fermement la théorie de l'évolution par sélection naturelle. Les désaccords entre scientifiques concernent généralement des aspects spécifiques de l'évolution, et non le principe fondamental.
En résumé, la théorie de l'évolution par sélection naturelle, appuyée par de nombreuses preuves fossiles, génétiques et expérimentales, explique de manière cohérente le développement de traits complexes comme les ailes. Les mutations et le brassage génétique fournissent la variation nécessaire, tandis que la sélection naturelle façonne ces variations en fonction des avantages qu'elles confèrent dans des environnements spécifiques.
Ben oui chaque génération modifie son génome. En général les modifications sont faites par le XY. Du moins ça accélère le processus.
Si on s'arrache les poils, les microrecepteurs à la base des poils vont s'atrophier et notre descendance aura potentiellement moins de poils.
Le problème par exemple serait l'automobile qui atrophie nos muscles à grande échelle. Ou notre cerveau qui serait moins utilisé que par le passé.
Le 13 juillet 2024 à 22:54:12 :
Le 13 juillet 2024 à 22:52:12 RIPMidnight a écrit :
Le 13 juillet 2024 à 22:49:23 :
La musculature façonne l'ossature qui évolue en fonction de l'adaptation à de nouveaux environnements et des besoins moteurs.On parle sur plusieurs centaines de générations avec les mêmes défis à relever.
C'est comme ça qu'une anguille se transforme en serpent puis en lézard et un jour en oiseau.SI on part de ce principe ça veut dire que l'expérience d'un individu dans sa vie peut impacter son génome et transmettre ça à sa descendance. C'est un peu le principe qu'essaie d'expliquer certaines recherches en épigénétique et ça c'est vraiment intéressant pour le coup
Et ça vaut autant pour la mécanique que le psychique. J'imagine que nos phobies ne viennent pas de nulle part.
Bien sur !
Le 13 juillet 2024 à 22:54:12 :
Le 13 juillet 2024 à 22:52:12 RIPMidnight a écrit :
Le 13 juillet 2024 à 22:49:23 :
La musculature façonne l'ossature qui évolue en fonction de l'adaptation à de nouveaux environnements et des besoins moteurs.On parle sur plusieurs centaines de générations avec les mêmes défis à relever.
C'est comme ça qu'une anguille se transforme en serpent puis en lézard et un jour en oiseau.SI on part de ce principe ça veut dire que l'expérience d'un individu dans sa vie peut impacter son génome et transmettre ça à sa descendance. C'est un peu le principe qu'essaie d'expliquer certaines recherches en épigénétique et ça c'est vraiment intéressant pour le coup
Et ça vaut autant pour la mécanique que le psychique. J'imagine que nos phobies ne viennent pas de nulle part.
C'est relativement complexe mais nous possédons les "logiciel intellectuel" voire certaines prédisposition à être dégoûté ou être relativement phobique concernant certaines choses plus que d'autres.
C'est une sorte de second système immunitaire :
https://youtu.be/xR3L2Q8YGYw?feature=shared
Le 13 juillet 2024 à 23:00:38 :
Le 13 juillet 2024 à 22:54:12 :
Le 13 juillet 2024 à 22:52:12 RIPMidnight a écrit :
Le 13 juillet 2024 à 22:49:23 :
La musculature façonne l'ossature qui évolue en fonction de l'adaptation à de nouveaux environnements et des besoins moteurs.On parle sur plusieurs centaines de générations avec les mêmes défis à relever.
C'est comme ça qu'une anguille se transforme en serpent puis en lézard et un jour en oiseau.SI on part de ce principe ça veut dire que l'expérience d'un individu dans sa vie peut impacter son génome et transmettre ça à sa descendance. C'est un peu le principe qu'essaie d'expliquer certaines recherches en épigénétique et ça c'est vraiment intéressant pour le coup
Et ça vaut autant pour la mécanique que le psychique. J'imagine que nos phobies ne viennent pas de nulle part.
C'est relativement complexe mais nous possédons les outils mécaniques/physiologique et les "logiciels intellectuels" (/certaines prédisposition) à être dégoûté voire être relativement phobique concernant certaines choses plus que d'autres.
C'est une sorte de second système immunitaire :
https://youtu.be/xR3L2Q8YGYw?feature=shared
Tu soutiens la théorie de l'arachnophobie héritée de nos ancêtres ?
Certaines espèces vont évoluer pour atteindre de nouvelles niches qui peuvent disparaîtrent. D'autres animaux peuvent arriver et les repousser de cet espace vital.
Ceci s'appelle la sélection naturelle
D'autres à force de chanter peuvent acquérir une plus belle voix qui sera ensuite sélectionnée par les femelles.
Ceci s'appelle la sélection sexuelle
Le 13 juillet 2024 à 23:05:49 :
C'est exactement les arguments que j'avance mais en mieux expliqué
Dommage que des gens soient venus aboyer la bave aux lèvres parce qu'ils m'ont pris pour un religieux
C'est bien le problème. Tu essaies d'expliquer à des fanatiques.
Les athées évolutionnistes sont pires que les adeptes de sectes. Les mecs ne réfléchissent pas.
Le 13 juillet 2024 à 23:04:13 :
Certaines espèces vont évoluer pour atteindre de nouvelles niches qui peuvent disparaîtrent. D'autres animaux peuvent arriver et les repousser de cet espace vital.
Ceci s'appelle la sélection naturelleD'autres à force de chanter peuvent acquérir une plus belle voix qui sera ensuite sélectionnée par les femelles.
Ceci s'appelle la sélection sexuelle
Je suis 100% d'accord avec ton modèle le problème c'est que quand tu creuses tu trouves peu d'évidences qui montrent qu'un individu modifie ses cellules germinales pour transmettre son nouvel ADN à sa progéniture.
Je n'ai trouvé ça qu'avec l'épigénétique
Si on s'arrache les poils, les microrecepteurs à la base des poils vont s'atrophier et notre descendance aura potentiellement moins de poils.
Y'a des études là dessus ?
Le 13 juillet 2024 à 23:08:09 :
Si on s'arrache les poils, les microrecepteurs à la base des poils vont s'atrophier et notre descendance aura potentiellement moins de poils.
Y'a des études là dessus ?
Pareil j'aimerais beaucoup voir ça.
Parce que s'il s'avère que c'est vrai, ça expliquerait énormément de choses.
Personellement je ne crois toujours pas à l'apparition ( même de proto ) caractéristiques avancées par le pur fruit du hasard, c'est trop improbable
Le 13 juillet 2024 à 23:03:39 :
Le 13 juillet 2024 à 23:00:38 :
Le 13 juillet 2024 à 22:54:12 :
Le 13 juillet 2024 à 22:52:12 RIPMidnight a écrit :
Le 13 juillet 2024 à 22:49:23 :
La musculature façonne l'ossature qui évolue en fonction de l'adaptation à de nouveaux environnements et des besoins moteurs.On parle sur plusieurs centaines de générations avec les mêmes défis à relever.
C'est comme ça qu'une anguille se transforme en serpent puis en lézard et un jour en oiseau.SI on part de ce principe ça veut dire que l'expérience d'un individu dans sa vie peut impacter son génome et transmettre ça à sa descendance. C'est un peu le principe qu'essaie d'expliquer certaines recherches en épigénétique et ça c'est vraiment intéressant pour le coup
Et ça vaut autant pour la mécanique que le psychique. J'imagine que nos phobies ne viennent pas de nulle part.
C'est relativement complexe mais nous possédons les outils mécaniques/physiologique et les "logiciels intellectuels" (/certaines prédisposition) à être dégoûté voire être relativement phobique concernant certaines choses plus que d'autres.
C'est une sorte de second système immunitaire :
https://youtu.be/xR3L2Q8YGYw?feature=sharedTu soutiens la théorie de l'arachnophobie héritée de nos ancêtres ?
La théorie de l'arachnophobie héritée de nos ancêtres est une hypothèse intéressante qui suggère que la peur des araignées pourrait avoir des racines évolutives. Selon cette théorie, nos ancêtres auraient développé une aversion instinctive pour les araignées (et autres créatures potentiellement dangereuses) parce que cela augmentait leurs chances de survie en évitant les morsures venimeuses.
Pour évaluer cette théorie, plusieurs points doivent être considérés :
1. **Avantage sélectif** : La peur des araignées pourrait avoir conféré un avantage sélectif en aidant les ancêtres humains à éviter les morsures dangereuses, ce qui aurait augmenté leurs chances de survie et de reproduction.
2. **Réponse instinctive** : Les phobies, y compris l'arachnophobie, peuvent être vues comme des réponses instinctives qui se développent rapidement chez les jeunes enfants, souvent sans exposition directe à l'objet de la peur. Cela suggère une base biologique potentielle pour ces peurs.
3. **Études expérimentales** : Certaines études ont montré que les humains et même les primates non humains peuvent rapidement associer des images d'araignées à des expériences négatives. Cela pourrait indiquer une prédisposition à apprendre à craindre les araignées plus facilement que d'autres stimuli.
4. **Culturalité et variabilité** : L'arachnophobie n'est pas universelle et peut varier considérablement selon les cultures. Dans certaines cultures, les araignées sont considérées comme bénignes ou même bénéfiques. Cela indique que l'apprentissage et l'expérience jouent également un rôle important dans le développement de cette peur.
5. **Autres facteurs** : Il est possible que des facteurs comme la morphologie inhabituelle des araignées (nombre élevé de pattes, mouvement rapide, etc.) contribuent à l'arachnophobie. Ces traits peuvent déclencher des réponses de peur par le biais de mécanismes psychologiques plus généraux, indépendamment de l'histoire évolutive.
6. **Complexité des phobies** : Les phobies sont des réactions complexes qui peuvent résulter de l'interaction entre la prédisposition génétique, les expériences personnelles et les influences culturelles. Cela rend difficile de déterminer à quel point l'arachnophobie est héritée de nos ancêtres par rapport à des influences acquises.
En conclusion, bien que la théorie de l'arachnophobie héritée de nos ancêtres soit plausible et soutenue par certains éléments de preuve, elle n'est pas entièrement prouvée. Il est probable que l'arachnophobie résulte d'une combinaison de facteurs évolutifs, biologiques, psychologiques et culturels.
Le 13 juillet 2024 à 23:07:51 :
Le 13 juillet 2024 à 23:04:13 :
Certaines espèces vont évoluer pour atteindre de nouvelles niches qui peuvent disparaîtrent. D'autres animaux peuvent arriver et les repousser de cet espace vital.
Ceci s'appelle la sélection naturelleD'autres à force de chanter peuvent acquérir une plus belle voix qui sera ensuite sélectionnée par les femelles.
Ceci s'appelle la sélection sexuelleJe suis 100% d'accord avec ton modèle le problème c'est que quand tu creuses tu trouves peu d'évidences qui montrent qu'un individu modifie ses cellules germinales pour transmettre son nouvel ADN à sa progéniture.
Je n'ai trouvé ça qu'avec l'épigénétique
Tout le monde modifie ses cellules germinales par rapport à son patrimoine initial, c’est avéré
Le 13 juillet 2024 à 23:10:55 :
Le 13 juillet 2024 à 23:03:39 :
Le 13 juillet 2024 à 23:00:38 :
Le 13 juillet 2024 à 22:54:12 :
Le 13 juillet 2024 à 22:52:12 RIPMidnight a écrit :
> Le 13 juillet 2024 à 22:49:23 :
>La musculature façonne l'ossature qui évolue en fonction de l'adaptation à de nouveaux environnements et des besoins moteurs.
>
> On parle sur plusieurs centaines de générations avec les mêmes défis à relever.
> C'est comme ça qu'une anguille se transforme en serpent puis en lézard et un jour en oiseau.
SI on part de ce principe ça veut dire que l'expérience d'un individu dans sa vie peut impacter son génome et transmettre ça à sa descendance. C'est un peu le principe qu'essaie d'expliquer certaines recherches en épigénétique et ça c'est vraiment intéressant pour le coup
Et ça vaut autant pour la mécanique que le psychique. J'imagine que nos phobies ne viennent pas de nulle part.
C'est relativement complexe mais nous possédons les outils mécaniques/physiologique et les "logiciels intellectuels" (/certaines prédisposition) à être dégoûté voire être relativement phobique concernant certaines choses plus que d'autres.
C'est une sorte de second système immunitaire :
https://youtu.be/xR3L2Q8YGYw?feature=sharedTu soutiens la théorie de l'arachnophobie héritée de nos ancêtres ?
La théorie de l'arachnophobie héritée de nos ancêtres est une hypothèse intéressante qui suggère que la peur des araignées pourrait avoir des racines évolutives. Selon cette théorie, nos ancêtres auraient développé une aversion instinctive pour les araignées (et autres créatures potentiellement dangereuses) parce que cela augmentait leurs chances de survie en évitant les morsures venimeuses.
Pour évaluer cette théorie, plusieurs points doivent être considérés :
1. **Avantage sélectif** : La peur des araignées pourrait avoir conféré un avantage sélectif en aidant les ancêtres humains à éviter les morsures dangereuses, ce qui aurait augmenté leurs chances de survie et de reproduction.
2. **Réponse instinctive** : Les phobies, y compris l'arachnophobie, peuvent être vues comme des réponses instinctives qui se développent rapidement chez les jeunes enfants, souvent sans exposition directe à l'objet de la peur. Cela suggère une base biologique potentielle pour ces peurs.
3. **Études expérimentales** : Certaines études ont montré que les humains et même les primates non humains peuvent rapidement associer des images d'araignées à des expériences négatives. Cela pourrait indiquer une prédisposition à apprendre à craindre les araignées plus facilement que d'autres stimuli.
4. **Culturalité et variabilité** : L'arachnophobie n'est pas universelle et peut varier considérablement selon les cultures. Dans certaines cultures, les araignées sont considérées comme bénignes ou même bénéfiques. Cela indique que l'apprentissage et l'expérience jouent également un rôle important dans le développement de cette peur.
5. **Autres facteurs** : Il est possible que des facteurs comme la morphologie inhabituelle des araignées (nombre élevé de pattes, mouvement rapide, etc.) contribuent à l'arachnophobie. Ces traits peuvent déclencher des réponses de peur par le biais de mécanismes psychologiques plus généraux, indépendamment de l'histoire évolutive.
6. **Complexité des phobies** : Les phobies sont des réactions complexes qui peuvent résulter de l'interaction entre la prédisposition génétique, les expériences personnelles et les influences culturelles. Cela rend difficile de déterminer à quel point l'arachnophobie est héritée de nos ancêtres par rapport à des influences acquises.
En conclusion, bien que la théorie de l'arachnophobie héritée de nos ancêtres soit plausible et soutenue par certains éléments de preuve, elle n'est pas entièrement prouvée. Il est probable que l'arachnophobie résulte d'une combinaison de facteurs évolutifs, biologiques, psychologiques et culturels.
Pourquoi utiliser ChatGPT...
Utilise tes mots.
Toutes les phobies peuvent être travaillées, maintenant ça n'indique en rien leur origine.
Le 13 juillet 2024 à 23:11:10 :
Le 13 juillet 2024 à 23:07:51 :
Le 13 juillet 2024 à 23:04:13 :
Certaines espèces vont évoluer pour atteindre de nouvelles niches qui peuvent disparaîtrent. D'autres animaux peuvent arriver et les repousser de cet espace vital.
Ceci s'appelle la sélection naturelleD'autres à force de chanter peuvent acquérir une plus belle voix qui sera ensuite sélectionnée par les femelles.
Ceci s'appelle la sélection sexuelleJe suis 100% d'accord avec ton modèle le problème c'est que quand tu creuses tu trouves peu d'évidences qui montrent qu'un individu modifie ses cellules germinales pour transmettre son nouvel ADN à sa progéniture.
Je n'ai trouvé ça qu'avec l'épigénétique
Tout le monde modifie ses cellules germinales par rapport à son patrimoine initial, c’est avéré
Si t'as de la doc la dessus je suis preneur alors.
En prenant du recul, c'est la seule chose qui expliquerait l'évolution correctement
Rien que nos cerveaux au final, c'est pas des petites mutations aléatoires sur un ou deux individus qui vont faire que notre espèce entière est devenue intelligente.
Pour un caractère primaire comme les ailes chez les oiseaux, comment expliquer qu'une telle prouesse se soit développée ? Selon nos connaissances, c'est impossible. Des ailes fonctionnelles ne peuvent pas apparaitre du jour au lendemain sur un individu, et si par miracle un début d'aile se développait chez un individu il n'y aurait pas de raison qu'il soit sélectionné plutot qu'un autre.
Tu prends l'aile mais tu as la réponse si tu prends un autre organe, par exemple l'oeil: on a dans les espèces vivantes et fossiles tout l'éventail de l'élaboration de l'oeil évolué, de la simple cellule photosensible à la paire d'yeux de primates capables de voir en trois couleurs et en relief et de faire le point à différentes distances
Données du topic
- Auteur
- RIPMidnight
- Date de création
- 13 juillet 2024 à 21:39:59
- Date de suppression
- 14 juillet 2024 à 00:16:00
- Supprimé par
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