Vous en pensez QUOI de mon petit TEXTE sur mon VOYAGE en INDE ?
Le 17 mai 2024 à 14:44:00 :
Le 17 mai 2024 à 13:55:18 :
Le 17 mai 2024 à 13:40:08 :
Le 17 mai 2024 à 13:31:18 :
Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choixLettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
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Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choixLettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
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> Le 17 mai 2024 à 13:31:18 :
>Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
Cuistre https://streamable.com/p40et4
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> Le 17 mai 2024 à 13:40:08 :
>> Le 17 mai 2024 à 13:31:18 :
> >Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
>
> Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
Cuistre https://streamable.com/p40et4
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>> Le 17 mai 2024 à 13:31:18 :
> >Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
>
> Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
Cuistre https://streamable.com/p40et4
tu m'as l'air bien médiocre pour un gars de 40 balais... peut-être un raté plein d'aigreur, s'identifiant désespérément à une figure de pervers qu'il n'arrive pas à incarner dans la vraie vie ? tellement inintéressant... le monde regorge de ratés en ton genre poto !
Le 17 mai 2024 à 13:55:18 :
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Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choixLettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
C'est bien, continue à "caresser des fantasmes"...
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> >> Le 17 mai 2024 à 13:31:18 :
> > >Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
> >
> > Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
>
> Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
>
> Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
>
> Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
>
> Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
>
> Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
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> > >Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
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> > Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
>
> Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
>
> Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
>
> Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
>
> Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
>
> Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
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tu m'as l'air bien médiocre pour un gars de 40 balais... peut-être un raté plein d'aigreur, s'identifiant désespérément à une figure de pervers qu'il n'arrive pas à incarner dans la vraie vie ? tellement inintéressant... le monde regorge de ratés en ton genre poto !
Le 17 mai 2024 à 15:50:24 :
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> > >> Le 17 mai 2024 à 13:31:18 :
> > > >Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
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> > > Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
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> > Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
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> > Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
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> > Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
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> > Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
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> > Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
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> Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
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> > > >Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
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> > > Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
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> > Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
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> > Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
> >
> > Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
> >
> > Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
> >
> > Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
>
> Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
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tu m'as l'air bien médiocre pour un gars de 40 balais... peut-être un raté plein d'aigreur, s'identifiant désespérément à une figure de pervers qu'il n'arrive pas à incarner dans la vraie vie ? tellement inintéressant... le monde regorge de ratés en ton genre poto !
la défaite...
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> >> Le 17 mai 2024 à 13:40:08 :
> > >> Le 17 mai 2024 à 13:31:18 :
> > > >Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
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> > > Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
> >
> > Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
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> > Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
> >
> > Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
> >
> > Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
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> > Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
>
> Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
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> > >> Le 17 mai 2024 à 13:31:18 :
> > > >Conclusion: quand on veut écrire, il faut toujours éviter. Il faut devoir écrire, ne pas avoir le choix
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> > > Lettre à un jeune poète, Rilke, je connais tout ça, je connais...
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> > Oui c'est bien j'ai remarqué tu lis. Mais lire est la portée de tout le monde, énormément de gens sont cultivés.
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> > Par contre écrire est autre chose. Il ne faut pas forcément être cultivé pour être un bon écrivain.
> >
> > Je te demande ton âge parce que entre 20 et 30 ans je caressais aussi ce fantasme. Il faut dire que mon nom de famille c'est l'écrivain. Donc j'ai un certain tropisme. Mais j'écrivais comme toi. Je condensais toute ma culture dans un boulgi-boulga de phrases alambiquées, parce que je pensais comme un gamin et que je n'avais rien à dire, rien vécu.
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> > Puis j'ai commencé à réellement penser vers 30 ans. Et je suis arrivé au constat que ma démarche était superficielle et narcissique. J'ai commencé à haïr ce que j'écrivais. J'en ai gardé l'habitude de supprimer tout ce que, parfois, j'écris.
> >
> > Mais c'est aussi grâce à ce renoncement que j'ai commencé à produire des textes de bonne qualité. Peut-être que vers 50 ans j'aurai les épaules pour publier quelque chose sans avoir envie de cracher sur mon reflet dans le miroir.
>
> Balance un de tes textes alors ! A toi ! allez te fais pas prier ! Par ailleurs j'aimerais savoir ce que tu appelle "commencer à réellement penser" !
Pfff t'es tellement petit mon gars tu n'arrives même pas à m'intéresser
tu m'as l'air sacrément névrosé ma couillasse ! à souffler le chaud et le froid comme tu fais... y'avait-il quelconque agression dans mon com ? je te demande de poster un de tes textes, tu réponds oui ou non, le reste je m'en bats les reins, je vais pas disserter avec toi sur la démarche narcissique de l'écriture, c'est pas au niveau... on parle de texte, du solide, pas de parcours de vie ou d'évolution personnelle, en l'occurrence te crois surtout pas intéressant à balancer ce genre de platitudes... j'aimerais aussi que tu réponde à la question, "qu'appelle-tu penser" ! tu peux faire ça copain ?
Cuistre https://streamable.com/p40et4
tu m'as l'air bien médiocre pour un gars de 40 balais... peut-être un raté plein d'aigreur, s'identifiant désespérément à une figure de pervers qu'il n'arrive pas à incarner dans la vraie vie ? tellement inintéressant... le monde regorge de ratés en ton genre poto !
et n'oublie pas de te connecter à l'un de tes autres comptes, pour continuer à rager ! merci pour le spectacle, c'est touchant !
Allez cadeau, deux autres de mes textes (je prends des risques, moi...)
Proust
« Ce qui frappe, quand on lit Proust, c’est l’absence totale de rêve et d’émotion ». Brutal, inattendu, ce jugement lapidaire émis par Joseph Conrad dans une correspondance a de quoi surprendre, heurter les certitudes et les fantasmes communément entretenus par les commentateurs, chroniqueurs et autres traine-savates de la culture.
On associe généralement la recherche au langage poétique, la richesse métaphorique, la rêverie infinie portée par une forme dilatée, une longue phrase en spirale. Or la poésie comme le rêve sont cousus de silence. La langue saturée de Proust se pose à rebours - paradoxe intéressant pour celui qui, toute sa vie durant, fut allergique au bruit. Plus de mots que de choses. Un exercice d’inversion, une anti synthèse. 3000 pages pour la saveur d’une madeleine. Il ne s’agit pas de trouver le mot adéquat et transfigurant, mais d’évider la chose et le réel de leur substance, de les aspirer dans le siphon littéraire par le déploiement sans entrave d’une puissance analytique. D’où le statisme du récit mais aussi l’étrange amertume infusée lentement dès les premiers volumes. Que reste-t-il du réel ? Tel est le tourment infligé au lecteur, d’autant plus quand l’érotisme d’un langage craché à jet continu, autonomisé sur un mode solipsiste, nous renvoie presqu’à l’état de réceptacle, concavé par un processus d’envahissement. La recherche peut aisément se concevoir comme une entreprise nihiliste, un exercice de démolition puis de reconstitution, de l’autre coté du miroir.
Du rêve, il y en a… La maison de campagne d’enfance, la plage de Balbec (Cabourg) en été, les hôtels particuliers, le bois de boulogne. L’imaginaire bourgeois le plus morne, réduit à ses plus communs dénominateurs. Et c’est précisément de ces points statiques, de ces colonnes de tourbe fossilisée que prend forme la fameuse cathédrale proustienne. Morne, circulaire, mais composée d’autant de bulles d’infinis en forme de chapelles, de fragments, de reliques que sont les personnages, les digressions, les rencontres sanctifiées par le souvenir.
Dieu est le grand absent de la recherche; pas même une phrase, une réflexion ne lui sont dédiées. Tout à l’inverse les églises sont le grand leitmotiv dans l’univers esthétique et géographique du narrateur. L’édifice religieux n’est pas lui-même conçu comme vecteur de foi mais comme résidu d’un temps révolu, réminiscence. C’est bien le Temps, au sens métaphysique, qui se substitue à Dieu. Vivre une réminiscence (une saveur, une fragrance, une vision qui font ressurgir un monde disparu), c’est expérimenter du « temps à l’état pur », être touché par la grâce. La sensibilité proustienne, fut-elle incroyante, est bel et bien d’essence catholique, et fondée sur des signes.
Ainsi, de façon plus culturelle que « sensible » pourrait s’envisager la judéité civile de Proust; la mémoire avant la foi, la chronique, le texte comme mystique première - bien plus que la « marginalité créative » d’un auteur juif décrivant par son oeil laser un monde auquel il n’appartient pas (tarte à la crème baveuse servie cette année sur France culture).
Et l’on ne peut faire plus éloigné du pessimisme bouddhique que Proust, pourtant admirateur de Schopenhauer, cité à plusieurs reprises. L’un se fonde sur l’art du détachement; la recherche est un art de l’attachement. Proust est né sous le signe du cancer.
Si la poésie est élévation, la recherche est le récit d’une permanente désillusion, une descente du ciel vers la terre - non pas celle du saint esprit mais de l’imaginaire qui vient s’écraser platement sur l’incompressible solitude des êtres, même ceux habitant le monde olympien de la haute aristocratie. Si Victor Hugo exaltait les misérables, Proust pulvérise les étoiles suspendues au ciel, qui habitent ses fantasmes et ses désirs d’enfant. La sursaturation du langage n’est pas mouvement d’élévation mais désintégration. Ce long processus mis en oeuvre de façon circulaire et fragmentée jusqu’au « Temps retrouvé » préfigure, dans le récit, la dévastation réelle opérée par le temps sur les personnages, et les évènements de la guerre de 14 qui viennent balayer un monde. La sentence du réel vient concrétiser le processus intérieur du narrateur, qui dès lors, décide de se mettre à écrire.
Thaïlande
Arrivée le 11 Janvier 10h00 à Bangkok. Toujours un peu honte d’annoncer aux autres que je vais là-bas… la Thaïlande c’est devenu le macdo du tourisme, disait un ami. Peu d’arguments vraiment sérieux à lui opposer.
Le paradis exotique où s’enchevêtrent allègrement vessies et lanternes chinoises, décor édénique et défouloir hédoniste me semblait, durant l’année précédente, pouvoir se résumer à un accident de parcours; moment nécessaire aussi, ultime adieu à l’imaginaire juvénile dont il m’appartenait de faire le deuil définitif, comme le chrétien pénitent transiterait du stade esthétique au stade religieux. Mais j’y suis revenu. Mes constructions mentales se sont lamentablement effondrées. Retour en arrière, énième procrastination, grande amertume. « Ils sont bouddhistes, tout s’explique, il fait chaud c’est pour ça, quand on vit au paradis on peut se le permettre, plus de dieu à adorer ni à craindre, etc etc… » le prurit mental s’est imposé de lui-même. On est peut-être au macdo, mais un macdo sans issue, dont les effluves parfois nauséeuses vous endorment en quelques heures et pour longtemps. Une nouvelle fois, l’évènement inaugural et mystérieux que j’avais connu lors de mon précédent voyage, au même endroit, à près de 500 mètres du grand temple Wat Phra Kaeo: la vibration imaginaire du Gong qui me traverse, comme Neil Armstrong entendait, parait-il, les minarets de la lune avant sa conversion à l’Islam; l’irradiation, la plénitude flottante. Je marche sur le trottoir de cette avenue sur laquelle s’alignent les portraits d’un roi débauché et silencieusement conspué. Puis je me ballade dans le vieux Bangkok, puis dans le Bangkok moins vieux, jusqu’au fleuve d’où surgissent sur l’autre rive les grattes-ciels, notre monde en négatif, l’improbable technicité fondue sur les tropiques par la chaleur écrasante.
Un cliché en négatif. Les mêmes archétypes, d’une autre couleur. Même taille et même population en chiffres que la France. Mais été en hiver, chedis à la place des églises, circulation à gauche, pays jamais colonisé. Aucune continuité, aucun lien, un pure décalque en négatif. Non pas un voyage, mais un désancrage.
Une harmonie troublante semble régner dans ce pays. Et dans cette culture. Je parlais de prurit mental; impossible de résister à l’envoûtement des peintures murales dans les temples. La vie de Bouddha. Ses vies antérieures, qui s’étalent du sol au plafond. L’imagerie du paradis terrestre. Plus que toute autre croyance, le bouddhisme s’adresse à l’enfant qui git en nous, et nous fait envisager l’enfance comme vie antérieure. D’où un sentiment global de déjà-vu; rêver l’Asie, c’est rêver ce qui tourne en rond, s’incliner passivement devant le vortex du samsara. L’archétype prend la place de l’idole, comme la nature de Bouddha, enfouie en chacun, prend la place du bouddha historique. Le voyageur se trouve dès lors confronté au doute torturant d’entre ce qui relève de la réminiscence du précédent voyage, ou de l’ivresse enfantine suggérée par une alchimie opaque. Séduction provenant aussi du hiatus admirable entre l’évidence qui se représente, le bouddha souriant dans la jungle, la nature édénique, et la pudeur des autochtones. L’intelligence entendue, compassionnelle, exact contraire d’un racolage démonétisant, caractéristique de bien des cloaques dévastés par le surtourisme.
Koh Phangan. Ile de 10000 habitants située dans le golfe de Thaïlande, elle est depuis une trentaine d’années le relais de ce que fut Goa dans les années 60. Et ça se comprend. Même si toute prise de drogue y est illégale et surtout, inutile. Les pisse-froids de la civilisation, ceux qui doutent encore de l’évidence que la nature, en certains lieux du globe, puisse imiter l’art, feraient bien d’aller y faire un stage de quelques semaines. Deus sive natura, enfance démiurgique de la nature qui crée des formes et communique en infralangage. Chant des oiseaux et des grillons, babillage naïf; déluge tropical soudain, enfant qui s’effondre en pleurs. Nul part ailleurs, dans mes diverses pérégrinations, qu’elles soient proches ou lointaines, n’ai-je été confronté à un tel spectacle d’amplification...
Le 17 mai 2024 à 16:36:39 :
Ce topic résume bien pourquoi j'exècre les écrivains.
Pourquoi ? et réponds pas "à cause du résumé de ce topic" stp...
Le 17 mai 2024 à 16:41:09 :
Le 17 mai 2024 à 16:36:39 :
Ce topic résume bien pourquoi j'exècre les écrivains.Pourquoi ? et réponds pas "à cause du résumé de ce topic" stp...
Vous êtes tous vaniteux de vos propres écrits. Impossible de relever une quelconque lacune ou phrase qu'on trouve lourde sans que vous partiez au quart de tour. Même quand la critique est bienveillante et juste, vous la rangez dans le même tiroir que celles qui sont volontairement désobligeantes.
Finalement, vous écrivez pour vous, pas pour les autres.
Le 17 mai 2024 à 16:46:08 :
Le 17 mai 2024 à 16:41:09 :
Le 17 mai 2024 à 16:36:39 :
Ce topic résume bien pourquoi j'exècre les écrivains.Pourquoi ? et réponds pas "à cause du résumé de ce topic" stp...
Vous êtes tous vaniteux de vos propres écrits. Impossible de relever une quelconque lacune ou phrase qu'on trouve lourde sans que vous partiez au quart de tour. Même quand la critique est bienveillante et juste, vous la rangez dans le même tiroir que celles qui sont volontairement désobligeantes.
Finalement, vous écrivez pour vous, pas pour les autres.
Le 17 mai 2024 à 16:46:08 :
Le 17 mai 2024 à 16:41:09 :
Le 17 mai 2024 à 16:36:39 :
Ce topic résume bien pourquoi j'exècre les écrivains.Pourquoi ? et réponds pas "à cause du résumé de ce topic" stp...
Vous êtes tous vaniteux de vos propres écrits. Impossible de relever une quelconque lacune ou phrase qu'on trouve lourde sans que vous partiez au quart de tour. Même quand la critique est bienveillante et juste, vous la rangez dans le même tiroir que celles qui sont volontairement désobligeantes.
Finalement, vous écrivez pour vous, pas pour les autres.
vous êtes malhonnête et menteuse, où avez-vous vu que les critiques bienveillantes suscitaient mon ire
Données du topic
- Auteur
- Flagadass75
- Date de création
- 30 mars 2024 à 19:25:38
- Nb. messages archivés
- 220
- Nb. messages JVC
- 181