Vous en pensez QUOI de mon petit TEXTE sur mon VOYAGE en INDE ?
Le 17 mai 2024 à 11:37:27 :
Le 17 mai 2024 à 11:36:14 :
Le 17 mai 2024 à 11:17:54 :
Le 17 mai 2024 à 11:10:55 :
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> Le 17 mai 2024 à 11:00:04 :
>> Le 17 mai 2024 à 04:01:48 :
> >> Le 17 mai 2024 à 03:52:53 :
> > >> Le 17 mai 2024 à 03:50:00 :
> > > >> Le 17 mai 2024 à 03:48:36 :
> > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:44:12 :
> > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:42:48 :
> > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:39:26 :
> > > > > > > >Je pense à Bukowski qui, partant de bites, de chattes, de couilles, de poils, de sperme, de pisse, de sodomie, de petits poissons oniriques qui remontent dans un vagin, parvient à des idées supérieures sans avoir l'air d'y toucher, sans sauter des passages entiers de la réalité comme tu le fais, qui nous élève même malgré nous par pure bienveillance au lieu d essayer de nous gruger par des mots pedants et des pensées racornies. Tu es un escroc, ça se voit comme le nez au milieu du visage. Tu es là pour toi-même pas pour ton lecteur.
> > > > > > >
> > > > > > > non mais je me suis jamais comparé à Bukowski, sinon j'écrirais pas sur jvc l'ahuri quel clown tu fais, tu t'attends à lire du bukowski ici, sérieux ? évidemment que je fais dans le pédant et dans la lourdeur, mais aussi avec un humour et un second degré que tu n'as pas l'air de saisir, aveuglé par une agressivité stérile, c 'est triste
> > > > > >
> > > > > > Alors disons que ton humour est un humour merdique et pédant ok
> > > > >
> > > > > C'est un exercice d'écriture et une ébauche, certainement pas un texte "honnête", t'as cru quoi sérieux, tu te prends pour un saint ? d'où tu me traite d'escroc ?
> > > >
> > > > Chut je t'ai plié maintenant fais ta vie mais par pitié arrête d'écrire chacun de tes mots enfonce un peu plus une lame dans la littérature merci
> > >
> > > "une lame dans la littérature", ça c'est de la plume... sois pas jaloux gros, un jour tu sauras écrire comme moi
> >
> > La littérature a t elle un dos? Un cœur? Un corps? Non
> >
> > A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément.
> >
> > Et c'est là que nous différons. Tu penses mal, donc tu écris mal. Tu imites un idéal mal appréhendé.
> >
> > Moi je réfléchis. Et je n' encombre pas mes phrases inutilement.
> >
> > Aucun plaisir à t'écraser petite vermine. Je te laisse le dernier mot
>
> "A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément. " Tu écris super bien toi, avec des idées super claires, ça saute aux yeux, vraiment !
"Sans verser dans un spiritualisme de bazar, rien ne serait plus tentant que d’adhérer à une conception guénonienne (de René Guénon); cette antériorité historique à laquelle l’occidental ébaubi se trouve confronté serait à mettre en rapport avec une croyance en la métempsycose"
C'est le mot "ébaubi" qui te fait rire ?
Aucun mot inconnu,non l'origine de mon hilarité est l'insoutenable prétention qui émane de ce "texte"
pourquoi t'as enlevé "exude" ? c'était joli
non c'était mignon "exude", vraiment
Le 17 mai 2024 à 11:45:43 :
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> > > >> Le 17 mai 2024 à 03:50:00 :
> > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:48:36 :
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> > > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:39:26 :
> > > > > > > > >Je pense à Bukowski qui, partant de bites, de chattes, de couilles, de poils, de sperme, de pisse, de sodomie, de petits poissons oniriques qui remontent dans un vagin, parvient à des idées supérieures sans avoir l'air d'y toucher, sans sauter des passages entiers de la réalité comme tu le fais, qui nous élève même malgré nous par pure bienveillance au lieu d essayer de nous gruger par des mots pedants et des pensées racornies. Tu es un escroc, ça se voit comme le nez au milieu du visage. Tu es là pour toi-même pas pour ton lecteur.
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> > > > > > > > non mais je me suis jamais comparé à Bukowski, sinon j'écrirais pas sur jvc l'ahuri quel clown tu fais, tu t'attends à lire du bukowski ici, sérieux ? évidemment que je fais dans le pédant et dans la lourdeur, mais aussi avec un humour et un second degré que tu n'as pas l'air de saisir, aveuglé par une agressivité stérile, c 'est triste
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> > > > > > > Alors disons que ton humour est un humour merdique et pédant ok
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> > > > > > C'est un exercice d'écriture et une ébauche, certainement pas un texte "honnête", t'as cru quoi sérieux, tu te prends pour un saint ? d'où tu me traite d'escroc ?
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> > > > > Chut je t'ai plié maintenant fais ta vie mais par pitié arrête d'écrire chacun de tes mots enfonce un peu plus une lame dans la littérature merci
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> > > > "une lame dans la littérature", ça c'est de la plume... sois pas jaloux gros, un jour tu sauras écrire comme moi
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> > > La littérature a t elle un dos? Un cœur? Un corps? Non
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> > > A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément.
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> > > Et c'est là que nous différons. Tu penses mal, donc tu écris mal. Tu imites un idéal mal appréhendé.
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> > > Moi je réfléchis. Et je n' encombre pas mes phrases inutilement.
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> > > Aucun plaisir à t'écraser petite vermine. Je te laisse le dernier mot
> >
> > "A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément. " Tu écris super bien toi, avec des idées super claires, ça saute aux yeux, vraiment !
>
> "Sans verser dans un spiritualisme de bazar, rien ne serait plus tentant que d’adhérer à une conception guénonienne (de René Guénon); cette antériorité historique à laquelle l’occidental ébaubi se trouve confronté serait à mettre en rapport avec une croyance en la métempsycose"
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C'est le mot "ébaubi" qui te fait rire ?
Aucun mot inconnu,non l'origine de mon hilarité est l'insoutenable prétention qui émane de ce "texte"
pourquoi t'as enlevé "exude" ? c'était joli
non c'était mignon "exude", vraiment
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> > > > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:39:26 :
> > > > > > > > > >Je pense à Bukowski qui, partant de bites, de chattes, de couilles, de poils, de sperme, de pisse, de sodomie, de petits poissons oniriques qui remontent dans un vagin, parvient à des idées supérieures sans avoir l'air d'y toucher, sans sauter des passages entiers de la réalité comme tu le fais, qui nous élève même malgré nous par pure bienveillance au lieu d essayer de nous gruger par des mots pedants et des pensées racornies. Tu es un escroc, ça se voit comme le nez au milieu du visage. Tu es là pour toi-même pas pour ton lecteur.
> > > > > > > > >
> > > > > > > > > non mais je me suis jamais comparé à Bukowski, sinon j'écrirais pas sur jvc l'ahuri quel clown tu fais, tu t'attends à lire du bukowski ici, sérieux ? évidemment que je fais dans le pédant et dans la lourdeur, mais aussi avec un humour et un second degré que tu n'as pas l'air de saisir, aveuglé par une agressivité stérile, c 'est triste
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> > > > > > > > Alors disons que ton humour est un humour merdique et pédant ok
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> > > > > > > C'est un exercice d'écriture et une ébauche, certainement pas un texte "honnête", t'as cru quoi sérieux, tu te prends pour un saint ? d'où tu me traite d'escroc ?
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> > > > > > Chut je t'ai plié maintenant fais ta vie mais par pitié arrête d'écrire chacun de tes mots enfonce un peu plus une lame dans la littérature merci
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> > > > > "une lame dans la littérature", ça c'est de la plume... sois pas jaloux gros, un jour tu sauras écrire comme moi
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> > > > La littérature a t elle un dos? Un cœur? Un corps? Non
> > > >
> > > > A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément.
> > > >
> > > > Et c'est là que nous différons. Tu penses mal, donc tu écris mal. Tu imites un idéal mal appréhendé.
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> > > > Moi je réfléchis. Et je n' encombre pas mes phrases inutilement.
> > > >
> > > > Aucun plaisir à t'écraser petite vermine. Je te laisse le dernier mot
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> > > "A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément. " Tu écris super bien toi, avec des idées super claires, ça saute aux yeux, vraiment !
> >
> > "Sans verser dans un spiritualisme de bazar, rien ne serait plus tentant que d’adhérer à une conception guénonienne (de René Guénon); cette antériorité historique à laquelle l’occidental ébaubi se trouve confronté serait à mettre en rapport avec une croyance en la métempsycose"
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> C'est le mot "ébaubi" qui te fait rire ?
Aucun mot inconnu,non l'origine de mon hilarité est l'insoutenable prétention qui émane de ce "texte"
pourquoi t'as enlevé "exude" ? c'était joli
non c'était mignon "exude", vraiment
Ok, couché médor
Le 17 mai 2024 à 11:53:06 :
Le 17 mai 2024 à 11:49:01 :
Le 17 mai 2024 à 11:45:43 :
Le 17 mai 2024 à 11:37:27 :
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> > > > > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:39:26 :
> > > > > > > > > > >Je pense à Bukowski qui, partant de bites, de chattes, de couilles, de poils, de sperme, de pisse, de sodomie, de petits poissons oniriques qui remontent dans un vagin, parvient à des idées supérieures sans avoir l'air d'y toucher, sans sauter des passages entiers de la réalité comme tu le fais, qui nous élève même malgré nous par pure bienveillance au lieu d essayer de nous gruger par des mots pedants et des pensées racornies. Tu es un escroc, ça se voit comme le nez au milieu du visage. Tu es là pour toi-même pas pour ton lecteur.
> > > > > > > > > >
> > > > > > > > > > non mais je me suis jamais comparé à Bukowski, sinon j'écrirais pas sur jvc l'ahuri quel clown tu fais, tu t'attends à lire du bukowski ici, sérieux ? évidemment que je fais dans le pédant et dans la lourdeur, mais aussi avec un humour et un second degré que tu n'as pas l'air de saisir, aveuglé par une agressivité stérile, c 'est triste
> > > > > > > > >
> > > > > > > > > Alors disons que ton humour est un humour merdique et pédant ok
> > > > > > > >
> > > > > > > > C'est un exercice d'écriture et une ébauche, certainement pas un texte "honnête", t'as cru quoi sérieux, tu te prends pour un saint ? d'où tu me traite d'escroc ?
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> > > > > > > Chut je t'ai plié maintenant fais ta vie mais par pitié arrête d'écrire chacun de tes mots enfonce un peu plus une lame dans la littérature merci
> > > > > >
> > > > > > "une lame dans la littérature", ça c'est de la plume... sois pas jaloux gros, un jour tu sauras écrire comme moi
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> > > > > La littérature a t elle un dos? Un cœur? Un corps? Non
> > > > >
> > > > > A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément.
> > > > >
> > > > > Et c'est là que nous différons. Tu penses mal, donc tu écris mal. Tu imites un idéal mal appréhendé.
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> > > > > Moi je réfléchis. Et je n' encombre pas mes phrases inutilement.
> > > > >
> > > > > Aucun plaisir à t'écraser petite vermine. Je te laisse le dernier mot
> > > >
> > > > "A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément. " Tu écris super bien toi, avec des idées super claires, ça saute aux yeux, vraiment !
> > >
> > > "Sans verser dans un spiritualisme de bazar, rien ne serait plus tentant que d’adhérer à une conception guénonienne (de René Guénon); cette antériorité historique à laquelle l’occidental ébaubi se trouve confronté serait à mettre en rapport avec une croyance en la métempsycose"
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> > C'est le mot "ébaubi" qui te fait rire ?
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> Aucun mot inconnu,non l'origine de mon hilarité est l'insoutenable prétention qui émane de ce "texte"
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pourquoi t'as enlevé "exude" ? c'était joli
non c'était mignon "exude", vraiment
Ok, couché médor
Wow ce malaise t'as sûrement beaucoup de succès avec les femmes toi hein
Le 17 mai 2024 à 11:55:10 :
Le 17 mai 2024 à 11:53:06 :
Le 17 mai 2024 à 11:49:01 :
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> > > >> Le 17 mai 2024 à 11:00:04 :
> > > > >> Le 17 mai 2024 à 04:01:48 :
> > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:52:53 :
> > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:50:00 :
> > > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:48:36 :
> > > > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:44:12 :
> > > > > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:42:48 :
> > > > > > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:39:26 :
> > > > > > > > > > > >Je pense à Bukowski qui, partant de bites, de chattes, de couilles, de poils, de sperme, de pisse, de sodomie, de petits poissons oniriques qui remontent dans un vagin, parvient à des idées supérieures sans avoir l'air d'y toucher, sans sauter des passages entiers de la réalité comme tu le fais, qui nous élève même malgré nous par pure bienveillance au lieu d essayer de nous gruger par des mots pedants et des pensées racornies. Tu es un escroc, ça se voit comme le nez au milieu du visage. Tu es là pour toi-même pas pour ton lecteur.
> > > > > > > > > > >
> > > > > > > > > > > non mais je me suis jamais comparé à Bukowski, sinon j'écrirais pas sur jvc l'ahuri quel clown tu fais, tu t'attends à lire du bukowski ici, sérieux ? évidemment que je fais dans le pédant et dans la lourdeur, mais aussi avec un humour et un second degré que tu n'as pas l'air de saisir, aveuglé par une agressivité stérile, c 'est triste
> > > > > > > > > >
> > > > > > > > > > Alors disons que ton humour est un humour merdique et pédant ok
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> > > > > > > > > C'est un exercice d'écriture et une ébauche, certainement pas un texte "honnête", t'as cru quoi sérieux, tu te prends pour un saint ? d'où tu me traite d'escroc ?
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> > > > > > > > Chut je t'ai plié maintenant fais ta vie mais par pitié arrête d'écrire chacun de tes mots enfonce un peu plus une lame dans la littérature merci
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> > > > > > > "une lame dans la littérature", ça c'est de la plume... sois pas jaloux gros, un jour tu sauras écrire comme moi
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> > > > > > La littérature a t elle un dos? Un cœur? Un corps? Non
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> > > > > > A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément.
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> > > > > > Et c'est là que nous différons. Tu penses mal, donc tu écris mal. Tu imites un idéal mal appréhendé.
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> > > > > > Moi je réfléchis. Et je n' encombre pas mes phrases inutilement.
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> > > > > > Aucun plaisir à t'écraser petite vermine. Je te laisse le dernier mot
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> > > > > "A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément. " Tu écris super bien toi, avec des idées super claires, ça saute aux yeux, vraiment !
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> > > > "Sans verser dans un spiritualisme de bazar, rien ne serait plus tentant que d’adhérer à une conception guénonienne (de René Guénon); cette antériorité historique à laquelle l’occidental ébaubi se trouve confronté serait à mettre en rapport avec une croyance en la métempsycose"
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> > > C'est le mot "ébaubi" qui te fait rire ?
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> > Aucun mot inconnu,non l'origine de mon hilarité est l'insoutenable prétention qui émane de ce "texte"
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> pourquoi t'as enlevé "exude" ? c'était joli
non c'était mignon "exude", vraiment
Ok, couché médor
Wow ce malaise t'as sûrement beaucoup de succès avec les femmes toi hein
je vois pas trop le rapport
Le 17 mai 2024 à 11:57:16 :
Le 17 mai 2024 à 11:55:10 :
Le 17 mai 2024 à 11:53:06 :
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> > > > > > > >> Le 17 mai 2024 à 03:50:00 :
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> > > > > > > > > > > > >Je pense à Bukowski qui, partant de bites, de chattes, de couilles, de poils, de sperme, de pisse, de sodomie, de petits poissons oniriques qui remontent dans un vagin, parvient à des idées supérieures sans avoir l'air d'y toucher, sans sauter des passages entiers de la réalité comme tu le fais, qui nous élève même malgré nous par pure bienveillance au lieu d essayer de nous gruger par des mots pedants et des pensées racornies. Tu es un escroc, ça se voit comme le nez au milieu du visage. Tu es là pour toi-même pas pour ton lecteur.
> > > > > > > > > > > >
> > > > > > > > > > > > non mais je me suis jamais comparé à Bukowski, sinon j'écrirais pas sur jvc l'ahuri quel clown tu fais, tu t'attends à lire du bukowski ici, sérieux ? évidemment que je fais dans le pédant et dans la lourdeur, mais aussi avec un humour et un second degré que tu n'as pas l'air de saisir, aveuglé par une agressivité stérile, c 'est triste
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> > > > > > > > > > > Alors disons que ton humour est un humour merdique et pédant ok
> > > > > > > > > >
> > > > > > > > > > C'est un exercice d'écriture et une ébauche, certainement pas un texte "honnête", t'as cru quoi sérieux, tu te prends pour un saint ? d'où tu me traite d'escroc ?
> > > > > > > > >
> > > > > > > > > Chut je t'ai plié maintenant fais ta vie mais par pitié arrête d'écrire chacun de tes mots enfonce un peu plus une lame dans la littérature merci
> > > > > > > >
> > > > > > > > "une lame dans la littérature", ça c'est de la plume... sois pas jaloux gros, un jour tu sauras écrire comme moi
> > > > > > >
> > > > > > > La littérature a t elle un dos? Un cœur? Un corps? Non
> > > > > > >
> > > > > > > A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément.
> > > > > > >
> > > > > > > Et c'est là que nous différons. Tu penses mal, donc tu écris mal. Tu imites un idéal mal appréhendé.
> > > > > > >
> > > > > > > Moi je réfléchis. Et je n' encombre pas mes phrases inutilement.
> > > > > > >
> > > > > > > Aucun plaisir à t'écraser petite vermine. Je te laisse le dernier mot
> > > > > >
> > > > > > "A t elle besoin qu'on lui en attribue un pour enrichir le symbolisme du propos? Pas forcément. " Tu écris super bien toi, avec des idées super claires, ça saute aux yeux, vraiment !
> > > > >
> > > > > "Sans verser dans un spiritualisme de bazar, rien ne serait plus tentant que d’adhérer à une conception guénonienne (de René Guénon); cette antériorité historique à laquelle l’occidental ébaubi se trouve confronté serait à mettre en rapport avec une croyance en la métempsycose"
> > > > >
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> > > > C'est le mot "ébaubi" qui te fait rire ?
> > >
> > > Aucun mot inconnu,non l'origine de mon hilarité est l'insoutenable prétention qui émane de ce "texte"
> > >
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> > pourquoi t'as enlevé "exude" ? c'était joli
>
non c'était mignon "exude", vraiment
Ok, couché médor
Wow ce malaise t'as sûrement beaucoup de succès avec les femmes toi hein
je vois pas trop le rapport
« Mon parcours se situait » c’est bizarre
« La rencontre était rude » quelle rencontre ? Ça sonne bizarre
« Le fossé d’avec » bizarre voire incorrect
Je ne suis pas allé plus loin.
Essaie de simplifier le style, c’est lourdingue et pompeux.
Le 17 mai 2024 à 11:59:45 :
« Mon parcours se situait » c’est bizarre« La rencontre était rude » quelle rencontre ? Ça sonne bizarre
« Le fossé d’avec » bizarre voire incorrect
Je ne suis pas allé plus loin.
Essaie de simplifier le style, c’est lourdingue et pompeux.
Tout le monde lui dit mais, bien qu'il demande des avis, il éructe des insultes quand on lui dit la vérité et semble imperméable à la remise en question. Son écriture fait saigner les yeux c'est une évidence pourtant
Le 17 mai 2024 à 12:20:25 :
Le 17 mai 2024 à 11:59:45 :
« Mon parcours se situait » c’est bizarre« La rencontre était rude » quelle rencontre ? Ça sonne bizarre
« Le fossé d’avec » bizarre voire incorrect
Je ne suis pas allé plus loin.
Essaie de simplifier le style, c’est lourdingue et pompeux.
Tout le monde lui dit mais, bien qu'il demande des avis, il éructe des insultes quand on lui dit la vérité et semble imperméable à la remise en question. Son écriture fait saigner les yeux c'est une évidence pourtant
Quelles insultes mdr... ok le multicompte !
Le 17 mai 2024 à 12:30:29 :
Le 17 mai 2024 à 12:20:25 :
Le 17 mai 2024 à 11:59:45 :
« Mon parcours se situait » c’est bizarre« La rencontre était rude » quelle rencontre ? Ça sonne bizarre
« Le fossé d’avec » bizarre voire incorrect
Je ne suis pas allé plus loin.
Essaie de simplifier le style, c’est lourdingue et pompeux.
Tout le monde lui dit mais, bien qu'il demande des avis, il éructe des insultes quand on lui dit la vérité et semble imperméable à la remise en question. Son écriture fait saigner les yeux c'est une évidence pourtant
Quelles insultes mdr... ok le multicompte !
"Multicompte"
"Couché Médor "
Pas de doute c'est soit un puceau provincial soit un boomer
Le 17 mai 2024 à 12:31:29 :
Le 17 mai 2024 à 12:30:29 :
Le 17 mai 2024 à 12:20:25 :
Le 17 mai 2024 à 11:59:45 :
« Mon parcours se situait » c’est bizarre« La rencontre était rude » quelle rencontre ? Ça sonne bizarre
« Le fossé d’avec » bizarre voire incorrect
Je ne suis pas allé plus loin.
Essaie de simplifier le style, c’est lourdingue et pompeux.
Tout le monde lui dit mais, bien qu'il demande des avis, il éructe des insultes quand on lui dit la vérité et semble imperméable à la remise en question. Son écriture fait saigner les yeux c'est une évidence pourtant
Quelles insultes mdr... ok le multicompte !
"Multicompte"
"Couché Médor "Pas de doute c'est soit un puceau provincial soit un boomer
provincial mais pas puceau
Le 17 mai 2024 à 12:32:25 :
Le 17 mai 2024 à 12:31:29 :
Le 17 mai 2024 à 12:30:29 :
Le 17 mai 2024 à 12:20:25 :
Le 17 mai 2024 à 11:59:45 :
« Mon parcours se situait » c’est bizarre« La rencontre était rude » quelle rencontre ? Ça sonne bizarre
« Le fossé d’avec » bizarre voire incorrect
Je ne suis pas allé plus loin.
Essaie de simplifier le style, c’est lourdingue et pompeux.
Tout le monde lui dit mais, bien qu'il demande des avis, il éructe des insultes quand on lui dit la vérité et semble imperméable à la remise en question. Son écriture fait saigner les yeux c'est une évidence pourtant
Quelles insultes mdr... ok le multicompte !
"Multicompte"
"Couché Médor "Pas de doute c'est soit un puceau provincial soit un boomer
provincial mais pas puceau
Le 30 mars 2024 à 19:53:57 :
Bon, tu as pas les défauts courants (certaines phrases sont bien tournées, et assez bien faites), mais tu as ce que j'appellerai une écriture de cuistre, ce qui se manifeste :1 - par ton écriture pompeuse et trop chargée (je pense à cette inutile inversion : "la systématique portée", ou cette tournure "Cette issue de secours en perspective fut sans doute salutaire dans le ressenti global." d'une lourdeur et d'une inélégance remarquable. Ne pouvais tu faire plus simple ?)
2 - par un usage malavisé de la citation, par exemple celle de Michaux, qui te donne l'air d'un cuistre, littéralement, c'est à dire quelqu'un qui affiche sa culture par le biais de petites références, assez mal à propos, le plus souvent hors sujet, et surtout, traitées superficiellement.
Ceci étant dit, si je prends la peine d'écrire ce message, c'est que tu as un véritable potentiel. Déjà, tu semble ne pas être dénué d'humour, et tu as pu me faire sourire. Bref, tu survole assez facilement ce que j'ai pu lire sur JVC, mais ton texte reste hautement perfectible, et en l'état, ridicule et pompeux. Je te souhaite de continuer, en tout cas.
This, essaye de faire plus simple, tu y prendras plus de plaisir et nous aussi
Le 17 mai 2024 à 12:43:36 :
Le 17 mai 2024 à 12:37:18 :
Le 30 mars 2024 à 19:53:57 :
Bon, tu as pas les défauts courants (certaines phrases sont bien tournées, et assez bien faites), mais tu as ce que j'appellerai une écriture de cuistre, ce qui se manifeste :1 - par ton écriture pompeuse et trop chargée (je pense à cette inutile inversion : "la systématique portée", ou cette tournure "Cette issue de secours en perspective fut sans doute salutaire dans le ressenti global." d'une lourdeur et d'une inélégance remarquable. Ne pouvais tu faire plus simple ?)
2 - par un usage malavisé de la citation, par exemple celle de Michaux, qui te donne l'air d'un cuistre, littéralement, c'est à dire quelqu'un qui affiche sa culture par le biais de petites références, assez mal à propos, le plus souvent hors sujet, et surtout, traitées superficiellement.
Ceci étant dit, si je prends la peine d'écrire ce message, c'est que tu as un véritable potentiel. Déjà, tu semble ne pas être dénué d'humour, et tu as pu me faire sourire. Bref, tu survole assez facilement ce que j'ai pu lire sur JVC, mais ton texte reste hautement perfectible, et en l'état, ridicule et pompeux. Je te souhaite de continuer, en tout cas.
This, essaye de faire plus simple, tu y prendras plus de plaisir et nous aussi
Merci copain, c'est super cool, je vais travailler à me rendre plus accessible !
Le 17 mai 2024 à 12:37:18 :
Le 30 mars 2024 à 19:53:57 :
Bon, tu as pas les défauts courants (certaines phrases sont bien tournées, et assez bien faites), mais tu as ce que j'appellerai une écriture de cuistre, ce qui se manifeste :1 - par ton écriture pompeuse et trop chargée (je pense à cette inutile inversion : "la systématique portée", ou cette tournure "Cette issue de secours en perspective fut sans doute salutaire dans le ressenti global." d'une lourdeur et d'une inélégance remarquable. Ne pouvais tu faire plus simple ?)
2 - par un usage malavisé de la citation, par exemple celle de Michaux, qui te donne l'air d'un cuistre, littéralement, c'est à dire quelqu'un qui affiche sa culture par le biais de petites références, assez mal à propos, le plus souvent hors sujet, et surtout, traitées superficiellement.
Ceci étant dit, si je prends la peine d'écrire ce message, c'est que tu as un véritable potentiel. Déjà, tu semble ne pas être dénué d'humour, et tu as pu me faire sourire. Bref, tu survole assez facilement ce que j'ai pu lire sur JVC, mais ton texte reste hautement perfectible, et en l'état, ridicule et pompeux. Je te souhaite de continuer, en tout cas.
This, essaye de faire plus simple, tu y prendras plus de plaisir et nous aussi
Merci copain, c'est super cool, je vais travailler à rendre plus accessible mon génie !
Le 17 mai 2024 à 12:46:25 :
de la daube quand on sait pas ecrire on n ecrit pas
on peut toujours s'entrainer !
Le 17 mai 2024 à 04:13:11 :
Mon
premierprécédent voyageen Indem’avait laisséunle goût amer.Mond'un parcoursde touristese situait alors danstraversant le Karnataka , de Bombay à Pondicherry,enpar la côte du Kerala;la rencontre(pas "rencontre", préciser)futavait été rude, le fosséd’avec le rêve brutal (mal tourné, pas de fossé, plutôt un rêve percuté par le réel + tout doit se tenir en une phrase forte).Autant dire que je n’avais rien compris(maladroit et inutile).Des clichés plein la tête(inutile : remplacer par la description de clichés), j’avais atterrilà-bas(autre), il y a cinq ans, avec l’enthousiasme d’un jeune commiscroyant foulerfoulantdu piedaux pieds une placide et immuableterre sacrée(pompeux, trop emphatique + "placide" définit les caractères, + pas du tout applicable à l'idée de l'Inde...).Mentalementformatépar le fatras qu’un romantisme pop("formaté" pas bon, + ce n'est pas du romantisme)lui("m'" , ou pas de point avec la dernière phrase) avaitinoculé(imprécis) dèsson"l'" entrée au collège,par un récit familial mal compris, mal digéré, des dispositions erratiques avaient exacerbé une mystique bouffonne de carte postale.(vague, imprécis)Il n'y a pas d'écriture car tu ne cherches pas le soubassement de ce que tu dis : ce qui est décrit est la matière première sur laquelle tu dois travailler pour comprendre et faire ressortir l'essence de ce qui est balancé ainsi. Du coup ça compense par une prétention lourdingue, une petite lecture de Proust (juste du côté de chez Swann par exemple) peut aider, ou mieux et plus proche :
+ "Une saison en enfer" de Rimbaud, voici une lecture de l'oeuvre du GOAT https://www.youtube.com/watch?v=PPziwDMc_4U&t=543s
Cette précision qu'il trouve dans chaque expression est exemplaire
D'ailleurs, voici un petit texte que j'avais écrit sur la Recherche du temps perdu
« Ce qui frappe, quand on lit Proust, c’est l’absence totale de rêve et d’émotion ». Brutal, inattendu, ce jugement lapidaire émis par Joseph Conrad dans une correspondance a de quoi surprendre, heurter les certitudes et les fantasmes communément entretenus par les commentateurs, chroniqueurs et autres traine-savates de la culture.
On associe généralement la recherche au langage poétique, la richesse métaphorique, la rêverie infinie portée par une forme dilatée, une longue phrase en spirale. Or la poésie comme le rêve sont cousus de silence. La langue saturée de Proust se pose à rebours - paradoxe intéressant pour celui qui, toute sa vie durant, fut allergique au bruit. Plus de mots que de choses. Un exercice d’inversion, une anti synthèse. 3000 pages pour la saveur d’une madeleine. Il ne s’agit pas de trouver le mot adéquat et transfigurant, mais d’évider la chose et le réel de leur substance, de les aspirer dans le siphon littéraire par le déploiement sans entrave d’une puissance analytique. D’où le statisme du récit mais aussi l’étrange amertume infusée lentement dès les premiers volumes. Que reste-t-il du réel ? Tel est le tourment infligé au lecteur, d’autant plus quand l’érotisme d’un langage craché à jet continu, autonomisé sur un mode solipsiste, nous renvoie presqu’à l’état de réceptacle, concavé par un processus d’envahissement. La recherche peut aisément se concevoir comme une entreprise nihiliste, un exercice de démolition puis de reconstitution, de l’autre coté du miroir.
Du rêve, il y en a… La maison de campagne d’enfance, la plage de Balbec (Cabourg) en été, les hôtels particuliers, le bois de boulogne. L’imaginaire bourgeois le plus morne, réduit à ses plus communs dénominateurs. Et c’est précisément de ces points statiques, de ces colonnes de tourbe fossilisée que prend forme la fameuse cathédrale proustienne. Morne, circulaire, mais composée d’autant de bulles d’infinis en forme de chapelles, de fragments, de reliques que sont les personnages, les digressions, les rencontres sanctifiées par le souvenir.
Dieu est le grand absent de la recherche; pas même une phrase, une réflexion ne lui sont dédiées. Tout à l’inverse les églises sont le grand leitmotiv dans l’univers esthétique et géographique du narrateur. L’édifice religieux n’est pas lui-même conçu comme vecteur de foi mais comme résidu d’un temps révolu, réminiscence. C’est bien le Temps, au sens métaphysique, qui se substitue à Dieu. Vivre une réminiscence (une saveur, une fragrance, une vision qui font ressurgir un monde disparu), c’est expérimenter du « temps à l’état pur », être touché par la grâce. La sensibilité proustienne, fut-elle incroyante, est bel et bien d’essence catholique, et fondée sur des signes.
Ainsi, de façon plus culturelle que « sensible » pourrait s’envisager la judéité civile de Proust; la mémoire avant la foi, la chronique, le texte comme mystique première - bien plus que la « marginalité créative » d’un auteur juif décrivant par son oeil laser un monde auquel il n’appartient pas (tarte à la crème baveuse servie cette année sur France culture).
Et l’on ne peut faire plus éloigné du pessimisme bouddhique que Proust, pourtant admirateur de Schopenhauer, cité à plusieurs reprises. L’un se fonde sur l’art du détachement; la recherche est un art de l’attachement. Proust est né sous le signe du cancer.
Si la poésie est élévation, la recherche est le récit d’une permanente désillusion, une descente du ciel vers la terre - non pas celle du saint esprit mais de l’imaginaire qui vient s’écraser platement sur l’incompressible solitude des êtres, même ceux habitant le monde olympien de la haute aristocratie. Si Victor Hugo exaltait les misérables, Proust pulvérise les étoiles suspendues au ciel, qui habitent ses fantasmes et ses désirs d’enfant. La sursaturation du langage n’est pas mouvement d’élévation mais désintégration. Ce long processus mis en oeuvre de façon circulaire et fragmentée jusqu’au « Temps retrouvé » préfigure, dans le récit, la dévastation réelle opérée par le temps sur les personnages, et les évènements de la guerre de 14 qui viennent balayer un monde. La sentence du réel vient concrétiser le processus intérieur du narrateur, qui dès lors, décide de se mettre à écrire."
Données du topic
- Auteur
- Flagadass75
- Date de création
- 30 mars 2024 à 19:25:38
- Nb. messages archivés
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- 181