[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?

Le 08 septembre 2023 à 20:35:54 :
est-ce que vous voulez qu'à chaque chapitre je vous révèles les dangerosité des différents choix du chapitres précédent, et ce qu'il aurait pu arriver ?
(je mettrais un sondage à la fin du prochain récap )

Si ça ne te prends pas trop de temps

Le 08 septembre 2023 à 20:35:54 :
est-ce que vous voulez qu'à chaque chapitre je vous révèles les dangerosité des différents choix du chapitres précédent, et ce qu'il aurait pu arriver ?
(je mettrais un sondage à la fin du prochain récap )

Si possible carrément

« Vous pouvez faire beaucoup plus avec des armes et de la politesse que juste de la politesse. »
Vladimir Poutine

Arc 1 Chapitre 37
A) Troncher Anaïs sans remord.
Vendredi 17 Juillet 2026

- OOOOOhh oui !

- Hihi !

Anaïs vient vous enfourcher, bloquant vos jambes.

Vous passez vos mains sur ses cuisses charnues, passant sous le drapé fin de la robe rouge. Elle vous déboutonne rapidement le pantalon, enlève le slip, et constate votre excitation.

- Déjà au garde à vous …

Lentement, vos mains remontent vers les hanches. D’un mouvement de cuisses, Anaïs les faits glisser au centre. Vous réalisez qu’elle ne porte aucun sous-vêtements tandis que vos pouces s’enfoncent légèrement dans la fente chaude et mouillée.

- ça ne sont pas deux petits pouces qui me suffiront …

Soudain, elle s’avance, saisi votre chibre, et l’insère d’un coup sec des cuisses.

- Hhuurmm …

- Aaaaarrrr …

Sans même vous déshabiller davantage, Anaïs entame les mouvement de vas et viens. Vos mains se perdent sous le corsage élastique du buste, et remontent jusqu’à la poitrine, rebondissante et généreuse, au plaisir de votre partenaire.

- Han, tu, h.. h.. tu sais bien t’y prendre… han …

Vous donnez d’occasionnels coups de reins, soutirant des petits gémissement à votre cousine.

Les lèvres allaient et venaient, massant délicatement mais rapidement votre gland, et toute la verge. Vous continuez à stimuler la poitrine d’Anaïs, allant et venant au même rythme qu’elle, augmentant la distance des mouvements.

Vous la sentez perdre le contrôle. Et vous sentez qu’elle adore ça. Des filets de fluides viennent se répandre sur votre bassin.

D’une série de mouvement profonds, s’érectant contre les lois de la gravité jusqu’au tréfonds humides, vous fécondez ce gracieux corps. Une giclée fertile viens remplir, tapisser les muqueuses, conquérant chaque parcelle, chaque cellule. Une deuxième vient repasser, puis une troisième.

D’une dernière série d’aller-retours, vous finissez le rapport. Vous êtes maintenant en osmose l’un avec l’autre.

Rapidement, Anaïs cherche l’enveloppe, et revient se blottir dans vos bras.

- Regarde. Voilà tout ce que j’ai. J’ai du faire une faveur au capitaine, un gros dégueulasse, pour avoir accès à ces documents, alors ne t’avises pas de les perdre. Fais-en des copies.

- D-d’accord.

- Là. Première photo, on aperçois Camille être draguée par un type louche. Photo prise par la caméra de surveillance. Le même type l’emmène dans un bâtiment adjacent, qui ne communique pas avec la boîte de nuit. C’est ce qu’on voit ici, sur cette autre caméra.

Louise dépose les pièces à convictions sur la table basse, et continue le fil de ses réflexions.

- Voilà le programme de la crémaillère la semaine du meurtre. Trois jours après, la veille de l’apparition de son corps dans la Seine, se tenait une soirée privée. On voit brièvement Camille être traînée de force à l’intérieur de la boîte de nuit, avant que la caméra de surveillance ne soit coupée.

Vous regardez les photos. Camille est enchaînée, tirée par deux chances, vers le bâtiment. Vous croyez voir de larmes parcourir son visage.

- Enfin, dernier fait troublant, ce camion réfrigérant.

- Hein ?

- Oui.

- Pourquoi faire ?

- Transporter le corps sans odeurs. Là. À 4h 21 du matin, il se gare dans la cour de la crémaillère. Regarde bien la plaque.

- TT-501-VW.

- Oui. Et à 5h du matin, on les retrouve sur les bords de la Seine.

Anaïs vous passe une photo de caméra surveillance, montrant le même camion réfrigérant, l’avant, du moins, avec, derrière, caché, la Seine. On voit deux hommes manifestement décharger quelque chose, mais c’est caché par le camion.

- Et dans cette clé USB, t’as les vidéos des photos.

- Ben attends, on va y jeter un coup d’oeil.

Vous branchez la clé USB sur votre ordinateur, et ouvrez les vidéos une à une. On y voit tout, comme sur les images, mais pas grand-chose de plus compromettant.

- Donc la piste serait que les fameuses soirées privées seraient … des meurtres ?

- Oui.

- ça tombe bien, on a été invités à l’une d’entre elles.

- … Fait attention à toi, je t’en prie. C’est dangereux.

- Promis.

- Je te laisse. À la prochaine.

- à la prochaine !

Anaïs vous quitte, vous laissant seul avec vos pensées et les documents.

Lundi 20 Juillet 2026

114 B Rue Michel Ange. Le siège du parti Valeurs d’Antan. En sortant de la mini rouge, vous apercevez un groupe de chances sortir du siège du parti de Jeanne Lestylo. Étrange, pour un parti d’extrême-droite.

Bob et Michel, déjà en place, vous attendent, comme à leur habitude. Jeanne Lestylo vous attends dans son bureau.

- Soyez les bienvenues, entrez, entrez ! Prenez places, installez-vous.

Vous vous calez confortablement dans les fauteuils rouges, autours de la table basse, comme un petit salon de bureau.

- Vous voulez quelque chose à boire ?

- Je voudrais bien un café, s’il vous plaît.

- Et vous ?

- Je n’aime pas le café, un chocolat chaud si vous avez.

Vous discernez le sourire en coin de Louise.

- Oui, bien sûr.

Jeanne disparut dans les couloirs de son siège.

- Sérieusement ? T’aimes pas le café ?

- Mais non, c’est dégueu.

- Faut grandir un peu.

- Je suis parfaitement adulte, et capable de m’opposer au lobby du café.

Jeanne revint quelques instants plus tard, boissons en main, une pour elle en plus.

- Et bien si tout est prêt, nous pouvons commencer.

- Allons-y.

Jeanne Lestylo se présenta, elle, son histoire, ainsi que celle, controversée de son parti, et de sa généalogie. En quelques point, elle présenta son programme, ainsi que les raisons de ses convictions. Après cette courte présentation, vint le moment des questions.

- Merci pour cette présentation. Votre programme se concentre beaucoup sur l’autonomie du pays. Pourtant, dans une économie mondialisée, est-ce que ça n’est pas une position obsolète ?

- Non, au contraire. Qu’un pays soit autonome, particulièrement dans une économie mondialisée, c’est une mesure de sécurité, face à cette mondialisation, en réalité. Prenez la Russi, lors de la guerre en Ukraine. Lorsque les pays de l’OTAN on décidé de punir économiquement le pays, celui-ci ne s’est pas effondré. Parce qu’il était capable de subvenir lui-même à ses propres besoins. On doit, en France, faire de même. Aujourd’hui, on ne dépend pas énormément de nos importations, mais sans elles, nous ne sommes tout de même pas autonomes. C’est une situation d’une précarité préoccupante, à laquelle il faut apporter des solutions rapidement.

- Mais la Russie est quand même entrée en guerre. Est-ce que finalement, se préparer à l’autonomie, c’est donner le signal aux autres pays qu’on se prépare à la guerre ?

- Non, assurément. En revanche, ça peut être interprété comme un manque de confiance en nos pays partenaires d’importations, ça, c’es certain. Mais encore une fois, c’est une question de sûreté d’état. Tout d’abord, parce qu’on ne sais jamais ce que celui qui passeras après vous feras. Peut-être qu’effectivement il entrera en guerre. À ce moment là, le pays doit être près à se subvenir à lui-même. Mais même en dehors de cela. On ne peut pas parler d’état, de pays, lorsque sur un territoire donnée, l’on est pas capable d’au minimum nourrir sa population sans dépendre des exportations.

- Pourtant, on a des exemples, notamment tout les petits pays d’europe.

- Oui, mais ils ne vivent que parce que l’on est en paix. En réalité, ce ne sont des pays qui n’attendent que la première guerre venue pour tomber. Et je ne veux pas que la France rentre dans cette catégorie.

- Vous voulez certes, être autonomes vis-à-vis de la mondialisation, mais aussi rentrez dans son jeu, en réindustrialisant le pays. C’est un peu contradictoire, non ?

- Pas du tout. Comme vous le dites, la mondialisation est un jeu, et on n’entre pas dans un jeu avec l’intention d’y perdre. Tout le monde veut gagner. Or, jusqu’ici, nous n’avons pas très bien joué la carte de la mondialisation. La France possède un territoire et un patrimoine industriel pourtant propice à ce type de développement. Mais il manque un discernement important, à notre politique d’industrialisation.

- Lequel ?

- L’importance, et la demande des domaines dans lesquels la France s’industrialise, sur le marché mondial. Il faut que nous créons plus d’industries de pointe, où, dans lesquelles il y a un monopole pour l’instant, afin de briser le monopole, et saper le marché.

- Vous pensez à quoi en particulier ?

- Les micro-controlleurs. Aujourd’hui l’usine de fabrication majeure est situé à Taïwan, qui est revendiquée par le système chinois. Il y a une carte énorme à jouer. En construisant une usine en France, on brise le monopole mondiale, et l’on s’accorde une place de choix dans l’économie mondialisé, en devenant le deuxième pays fabricant ces microcontrolleurs dont la demande est si élevée.

- je vois.

- et il faut rechercher et saisir ces occasions. Ça n’est ici qu’un exemple, mais je suis persuadée qu’il existe d’autres occasions de la sorte.

- Très bien. Pendant longtemps, vous avez été affilié à l’extrême droite, et aux discours hostiles à l’immigration, et aux populations d’immigration, avec notamment des mesures, aujourd’hui classiques de l’extrême droite, comme la fermeture des frontières, ou le renvois des OQTF. Pourtant, lors de cette élection, vous ne présentez aucune mesures de ce type dans votre programme. Est-ce que c’est des convictions auxquelles vous avez renoncé ?

- Non, pas du tout. Simplement, je ne veux pas être une caricature de moi-même, et je souhaite aussi apporter au français un autre débat plus intéressant que le racisme de bas étage.

- Donc si vous accédez à la présidence, c’est tout de même des mesures que vous prendriez ?

- Assurément.

- Pourquoi alors, ne pas les mettre dans votre programme ?

- c’est implicite, tout le monde sait que ce sont des mesures qui seront appliqués. Vous sortez dans la rue, interroger le premier passant, et lui demandez quelles sont les mesures qu’il estime que je prendrais, il vous répondras le plus souvent pas ces deux options. C’est si ancré dans l’esprit des français, que je n’ai plus besoin de l’afficher.

- Très bien. Avant de nous quitter, une dernière question. Qui est pour vous, le favori de cette élection ?

- Monsieur Mécontent. Monsieur Pâtissier ne passera pas le troisième mandat, il est trop controversé à présent. Les regards vont se tourner vers la gauche, et la difficulté pour nous, la droite, va être de ramener la lumière sur nous.

- Très bien, merci pour votre temps et cette interview.

- Mais de rien.

Vous ressortez du siège, toujours en croisant des chances. Il vous semble en reconnaître quelques têtes, mais vous n’y prêtez pas attention.

- Bon, je te dépose chez toi ?

- Heu, o-oui.

Vous montez dans la voiture rouge. Les révélations d’Anaïs vous reviennent, frappant au portes de vos lèvres, Vous ne pouvez pas la laisser dans l’ignorance.

- Louise, je … j’ai quelque chose à te dire.

- Oui ?

« Bordel, faut pas que je me foire. Faut que j’y mette les formes, sinon, elle risque de très, très mal le prendre, voire même de m’en vouloir.  »

A) Tout lui dire, là dans la voiture.
B) l’inviter à dîner au resto.
C) Le lui révéler le lendemain, au bureau.
D) L’invitez chez vous.
F) Lui révéler le tout chez elle.
F) Heu, non, c’est pas important.

Dangerosité : Jaune

nombre de morts : 31

Le 09 septembre 2023 à 09:16:51 :

Le 08 septembre 2023 à 20:35:54 :
est-ce que vous voulez qu'à chaque chapitre je vous révèles les dangerosité des différents choix du chapitres précédent, et ce qu'il aurait pu arriver ?
(je mettrais un sondage à la fin du prochain récap )

Si ça ne te prends pas trop de temps

Non, je résumerais ça vite fait, en une ou deux lignes.

Le 09 septembre 2023 à 09:18:57 :

Le 08 septembre 2023 à 20:35:54 :
est-ce que vous voulez qu'à chaque chapitre je vous révèles les dangerosité des différents choix du chapitres précédent, et ce qu'il aurait pu arriver ?
(je mettrais un sondage à la fin du prochain récap )

Si possible carrément

parfait.

Récap

Statistiques heures de votes ( un seul vote possible si j’ai bien fait le bouzin. )
https://strawpoll.com/polls/PKgl3B88anp

Sondage résultats des choix du chapitre précédent :
https://strawpoll.com/BDyNER17JZR

Le 09 septembre 2023 à 20:26:39 :
Vote E (enfin premier vote F ), il faut qu'elle sache la vérité mais en y mettant un minimum les formes.

my bad, j'avais pas vus. c'est trop tard pour modifier, malheureusement.