[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?
Le 26 août 2023 à 16:45:12 :
Le 26 août 2023 à 15:53:55 :
- Héhé, Charles, tu sais que je suis un homme curieux …
- Serais-tu prêt à satisfaire ma curiosité … au cours d’une soirée seul à seul …
- Il est vrai que je n’ai pas de petite amie pour le moment. Je viens tout juste de lâcher la dernière. Pourquoi pas.
Le 25 août 2023 à 21:28:48 :
Il faut cash dans Charles les khey, loupez pas le train.
j'ai envie de savoir ce que fout
et également pour savoir si la cousine (qui est fliquette il me semble) est au courant de la corruption qui règne dans le milieu/ ou si elle même est corrompu.
et si elle n'aurai pas accès à certaine info qui pourrai nous être utile
Le 28 août 2023 à 15:31:54 :
Vote C,
j'ai envie de savoir ce que foutJesusJean depuis le temps,
et également pour savoir si la cousine (qui est fliquette il me semble) est au courant de la corruption qui règne dans le milieu/ ou si elle même est corrompu.
et si elle n'aurai pas accès à certaine info qui pourrai nous être utile
Je suis d'accord
« Le but du Coït est d’équilibrer les énergies, d’apaiser le coeur et de renforcer la volonté. »
Anonyme
Arc 1 Chapitre 36
Jeudi 16 Juillet 2026
B) Faire un saut chez Jean et Anaïs
« Bah, je vais faire un saut chez jean et Anaïs. Ils seront contents de me voir. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png »
Vous prenez le premier métro, et arrivez au pied du petit immeuble. C’est cette fois Jean qui viens vous ouvrir. Vous entrez, et sentez la bonne odeur du dîner.
- Tu manges ici ? C’est chouette que tu sois passé.
- C’est Anaïs qui nous fait le repas ce soir. Une bonne côte de bœuf.
Vous vous asseyez autour du journal télévisé. Pendant que les titres défilent, vous entamez le dîner et la conversation.
- Alors, Jean, tu voulais me montrer quoi ?
- Hm. Là je peux pas. C’est sur l’ordi, et on va attendre qu’on ai finit de manger.
- Pareil. Mais ce que je veux te montrer, je ne peux même pas le montrer à Jean. Je prends déjà assez de risques.
Le journal fut religieusement regardé. Un reportage sur une mystérieuse mine à ciel ouvert, propriété de Marion d’Aquitaine. Le missile nucléaire toujours pas retrouvé. Les vaccins covid, qui auraient des répercussions, mais minimes, et seulement graves à hautes doses. Un accident de voiture entre une bibliothécaire et une sdf en plein paris. Le Jo d’hiver qui se dérouleront à Petrograd. Le Gange qui est si propre, qu’il a atteint le niveau de la Seine.
Finalement, jean vous emmena dans son bureau. Coincé entre deux table, sur lesquelles se trouvaient plus d’ordinateurs rassemblés que vous n’en aviez vu dans une vie, se trouvaient deux chaises roulantes.
- Assieds-toi. J’ai cru comprendre que tu enquêtais sur les candidats aux présidentielles ?
- ça m’a plus comme bail. Tu sais à quel point j’aime nos autorités. Je ne me suis pas empêché de rechercher sur les douze candidats.
Jean alluma l’un des nombreux ordinateurs, et ouvrit un terminal, ainsi que Whatsapp.
- Héhé … il y en a quatre sur lesquels je n’ai encore rien trouvé d’intéressant. Vanessa de Médicis, Pierrick Nemmour, Michelle l’Anchois, et Phillipe Henri.
- Les autres sont regroupés en deux groupe, sur Whatsapp. Et c’est très clair. On a un groupe de gauche, et un groupe de droite. Ils ont des messageries groupé communes, mais jamais les deux groupes ne se rencontrent. J’ai pas encore réussi à déchiffrer la clé de cryptage pour les message, cependant.
- Et qui sont dans ces groupes ? Comment ça se réparti ?
- Dans le groupe de gauche, tu as Joe Maurice Mécontent, Bacar Trouer, Melissa Ssani, et Flavien Roussi. Dans le groupe de droite, Il y a Cécilien de Lavergeture, Manuel Pâtissier, Marion d’Aquitaine, et Jeanne Lestylo.
- Je vois … C’est tout ce que tu sais pour le moment ?
- Pour le moment. Je travaille sur la clé de chiffrement. Et quand je l’aurais déchiffré, là on s’amusera. Là t’auras du scoop.
- Je … Merci Jean. Tu n’avais pas à faire ça pour moi.
- Oh, pour une fois que je trouve quelque chose d’intéressant à faire. Et puis, qui sait, ça pourrait me rapporter une position dans ton journal.
Vous ressortez tout les deux, et rejoignez Anaïs devant le programme du soir.
- Si tu veux, je passe demain soir te montrer ce que je veux.
Le programme du soir fini, vous rentrez chez vous.
Vendredi 17 Juillet 2026.
La mini rouge vous emmenait dans le quartier du Python Duvernois. Quartier réputé pauvre de Paris.
- On va interviewer qui là-bas ?
Ainsi, au 5 Rue Louis Ganne, Louise gara la voiture. Malgré les grandes tours typiques, le quartier n’avait pas l’air si dangereux.
C’est au septième étage, que se trouve votre interviewé. L’appartement est modeste, comme celui de Bacar Trouer, mais la décoration est très différente. Tout comme l’homme, qui vous accueille.
Bob et Michel étaient déjà là, tout prêts.
- Nous n’attendions plus que vous. Nous démarrerons quand vous voulez.
Vous vous installez, et entamez l’interview. Monsieur Roussi se présente. Comment il mettra en place un système communiste en France, comment il améliorera la vie de tous les français. Et ien sûr, qui il est. Vint enfin la période des questions.
- Merci beaucoup, monsieur Roussi. Vous dites donc, vouloir instaurer un communisme d’état en France. Pourtant, on a vu, par l’histoire, que c’était quelque chose qui était voué à s’effondrer, ou, à appauvrir la classe moyenne. Qu’est-ce qui fait que vous, vous réussirez à pérenniser le communisme ?
- Les communismes expérimentés dans l’histoire ne sont pas des communisme, mais des dictatures. Des monarchies, en somme. Et, il va de soi, que la dictature, ou la monarchie, ça n’est pas communiste, ça ne partage pas. Un autre piège dans lequel tombent les communistes, c’est la purge des cerveaux, comme lors des khmers rouge. Le communisme, ça n’est pas forcer tout le monde à être égal, par l’intelligence ou les capacités physiques. Nous ne naissons pas égaux. Mais par le droit, par le partage, par la redistribution égale des richesses, on peut mettre tout le monde sur un pied d’égalité. Il faut au contraire tirer profit de ces différences, afin d’unifier sous une même bannière une nation. L’homme d’intelligence sera placé dans les métiers requérant son intellect. L’homme qui n’a que ses bras, sera placé dans les milieux ouvrier. L’homme handicapé, il lui sera créé une place pour lui, afin qu’il soit aussi utile à la société.
- Donc vous voulez, en somme, cette inégalité ?
- Oui. Et la société sera répartie un peu comme une fourmilière. Chacun a des capacités, des spécificités qui vont le désigner à travailler dans tel ou tel secteur du pays. Personne ne sera laissé derrière.
- Je vois. Par ailleurs, pourquoi vouloir imposer le communisme ? Aujourd’hui, on vit sous un capitalisme effréné, pourtant, la société fonctionne ?
- Elle ne fait que fonctionner. Elle n’est pas heureuse. Vous savez pourquoi le capitalisme marche ? C’est une question de nature.
- Pourquoi le capitalisme ça marche ? Quelle est la différence fondamentale entre le communisme et le capitalisme ? Le partage, c’est le don, la gentillesse, la bonté. Si donc, le communisme repose sur la bonté intrinsèque de l’homme, sur quoi repose le capitalisme ?
- Sous les autres régimes communistes historiques, on retrouve aussi, des cultes de la personnalité, des persécutions de minorités, ainsi que des programmes démographiques. Est-ce que c’est dans vos projets ?
- Pour ce qui concerne le culte de la personnalité, comme les persécutions, ainsi que, pour aller plus loin, l’abolition des religions, ou leur bannissement, c’est hors de considération. Les gens sont libres de croire en ce qu’ils veulent. Et je ne m’imposerais certainement pas comme un dieu. Le communisme, c’est aussi partager les lieux de culte et de culture.
- Quid des politiques démographiques ?
- Si l’on fonctionne sur un système de ressources qu’il faut partager, cela veut aussi dire que, si tout le monde doit avoir une part égale à celle de son voisin, cette part est destinée à évoluer en fonction de la population, mais aussi des ressources disponibles. Or, si l’on veut que tout le monde puisse disposer des ressources permettant de subvenir à ses besoins, il faut, non seulement limiter, mais aussi contrôler la population. L’abondance, comme tout, ne vient pas du rien.
- Et comment comptez-vous contrôlez la population afin que chacun ai sa part ?
- Deux mesures. Premièrement, fermeture des frontières. Ça peut vous paraître comme étant un discours de droite, mais ça me paraît nécessaire afin d’apporter une vie bonne pour nos concitoyens. Ensuite, il faut effectivement créer une politique de contrôle démographique, avec, en fin d’année, une évaluation, en fonction des réserves, des récoltes, et autres, pour que l’année suivant soit annoncé le nombre de naissances possibles sur le territoire. Sinon, effectivement, il ne sera pas possible de subvenir aux besoins de tous.
- C’est audacieux comme proposition. Vous n’avez pas peur d’être associé au régime chinois, ou, à d’autres personnages historiques moins reluisants ?
- Non. Si j’avais eu peur, je ne me serais pas lancé en politique.
- Très bien. Une dernière question, avant de nous quitter. Qui est pour vous le favori, ou votre adversaire dans cette élection ?
- Monsieur pâtissier part évidemment favori, mais je pense que monsieur Nemmour est un de mes adversaire. Nous partageons le même point de vue sur l’immigration, et j’ai peur que pour cet unique point, il me vole mon électorat.
- Je vois. Merci pour cette interview, et pour votre temps.
- Mais de rien, j’ai apprécié de partager ce moment avec vous.
Vous repliez bagages, et descendez, dans la mini rouge.
- Et ben, on dira ce qu’on voudra, mais c’est encore quelqu’un qu’il ne faut pas mettre à la tête du pays.
- Pourtant il fermera les frontière …
- Oui, mais à quel prix. J’ai pas envie qu’on finisse comme la Russie de Poutine, ou la Corée du nord.
- Mouais. Moi j’ai bien apprécié ce qu’il proposait.
Louise vous déposa à nouveau chez vous. Vous passiez la soirée, en slip, à geeker. Le soir venue, Anaïs vous appela. Elle était au pied de votre immeuble. Vous lui ouvrez, et pendant qu’elle monte, vous enfilez un pantalon, et un vieux t-shirt. (heureusement, pas le t-shirt à sperme). Elle entra, et déposa sur votre table, une enveloppe kraft, contenant apparemment pléthore de documents. Elle s’était maquillée, et portait une robe courte, révélant ses cuisses galbées.
- J’ai ici de quoi t’aider pour l’enquête sur l’amie de ta collègue.
Anaïs s’interposa entre l’enveloppe et vous, se collant à vous.
- Avant tout, il faut me satisfaire …
Sa main glissa dans votre pantalon.
- Héla … heu, p-pas trop vite en familiarités.
Elle vous saisi par le col, et vous coucha sur le canapé.
- Il n’y a qu’une seule issue pour toi, pour voir ces documents, Célestin. Et tu sais laquelle …
A) Troncher Anaïs sans remords
B) Non mais non, on est un être incorruptible nous
C) Jean est d’accord ?
Dangerosité : Verte
Nombre de morts : 31
Données du topic
- Auteur
- exumorefic
- Date de création
- 16 avril 2023 à 20:39:32
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