[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?
A) Interviewer d’abord Larry
une interview banale, avec une animosité marquée envers Vanessa. Il ne joue pas encore sérieusement.
B) Interviewer d’abord Vanessa
Big révélations, quand même, ça fait feux fois là, l’auteur essaye de vous aider
C) Aller voir Stéphane.
Vous apprenez quelques secrets sur Vanessa
D) Vous voulez pas que je vous suce d’abord ?
Vous effectuez la fellation, mais c’est Gérard qui décide de ce que vous faites ensuite
A) ll
B)
C)
D) llllll
« La vie, ce n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est d’apprendre à danser sous la pluie. »
Sénèque
Arc 2 Chapitre 3
D) : Vous voulez pas que je vous suce plutôt ?
Mardi 11 Août 2026
- Bon, on vous laisse, on a du taff.
- Si tu veux venir passer me voir célestin, la porte est ouverte.
Vos collègues prirent congé.
- Je, … heu …, vous voulez pas plutôt que je vous suce ?
Vous connaissez la musique. Vous entendez la braguette se dézipper, et voyez le bout de Gérard lentement se dresser.
- Je finirais pas m’imaginer que tu aimes ça, Célestin.
Vous passez de l’autre côté du bureau, et, après une seconde de considération et de dégoût, engloutissez le chibre vigoureux malgré son âge. Vous tentez de faire accélérer la chose, en imprimant des mouvements plus rapides, mais Gérard vous attrape la tête, et ralenti vos aller-retours.
- Pas trop vite, laissons le plaisir durer, voyons.
Lentement mais sûrement, vous reprenez le pompage, au ryhtme que vous impose Gérard. C’est beaucoup plus long que la première fois. Votre langue entre régulièrement en contact avec le gland fripé, parfois jusqu’au décallotage, ce qui faisait pousser des petits gémissement au patron.
Parfois, lors d’un mouvement trop ample, vous entriez directement avec le fromage de bite, décollant, et, dans les pires des cas, avalant des morceaux. La bave vous coulait des lèvres, lubrifiant le tout dans un mélange se rapprochant au mieux du roquefort, au pire d’une abomination cosmique.
- Ooohhh, OOOOOhhh, OOOOOOOHHHHH !
Le flot, salé, envahit votre bouche, par surprise. Gérard enfonça votre tête sur son chibre, jusqu’au bout, jusqu’au fond de la glotte, se déversant immédiatement dans l’œsophage.
- aaaaaaahhhhh. T’es un bon Célestin.
Gérard rangea son attirail, referma sa braguette, tandis que vous retourniez derrière le bureau.
- Bon, c’est pas tout ça, mais je vais quand même te filer un boulot, puisque tu sembles pas vouloir choisir. Un des nombreux militants de Melissa Ssani m’a signalé hier, mais c’est sûrement un piège, un type qui aurait des activités à Marignan, et serait en contact avec un ou plusieurs candidats aux présidentielles.
- ça pue le piège, effectivement.
- Ils veulent qu’on enquête dessus.
- Ils peuvent pas entrer à Marignan, ils ont aucun contact là-dedans.
- Donc on va rentrer dans une zone de non-droit, dans ce qui est sûrement un piège, enquêter sur un type dont on ne connaît rien, pour le compte de la gauche woke ?
- bah, oui. Attendez. Bon, travailler pour les cheveux bleus, c’est peut-être pas ce que je préfère, mais si on peut jeter un œil dans Marignan …
- Très bien. Tu as de la chance, on a des photos du type que vous devez fliquer.
Gérard ouvrit un tiroir de son bureau, et après un petit temps de recherche, en sorti quelques photos, imprimées. Deux étaient la tête de l’individu, de face et de profil droit, et d’autres, des photos de lui, passant dans divers joggings, toujours au même endroit.
- Voilà. On nous a donné l’endroit aussi, ou ces photos ont été prises.
- D’accord. Et votre contact dans la cité ?
- Dominique Carvalloh. Demandez simplement Dominique, au pied de la cité, et on vous y mènera. Prenez aussi les photos, pour mieux le retrouver, si vous le perdez dans la cité. Mais ça peut être dangereux.
- D’accord. J’emmène l’équipe habituelle.
- C’est pas la peine d’emmener Bob et Michel. Ils sont connus là-bas, ils ne peuvent entrer que rarement, et jamais dans le cadre d’un reportage, ou d’une activité officielle. C’est même pas la peine d’essayer.
- Charles et Louise, ça suffira.
Mercredi 12 Août 2026 7h30
11 Rue gambette, à l’intersection.
Vous étiez plantés à l’intersection, du point de vue où avaient été prise les photos, et essayiez d’avoir l’aire naturel. La conversation allait bon train. De la rue perpendiculaire, apparût votre larron, jogging blanc. Louise, depuis le trottoir opposé, lui emboîta la marche, sans un mot d’alerte. Vous la suivez, nonchalamment. Airpods vissés aux oreilles, votre pisté ne semble pas vous avoir remarqué.
Il se dirigeait vers le carrefour des anciens combattant, droit vers ce qui avait été un jour le bois de Boulogne. Le carrefour était une sorte de zone tampon, entre les civils, et les habitants de Marignan. Les arbres avaient étés brûlés, et la terre du rond-point stérilisé à l’aide de sable, donnant une allure de désert au carrefour. C’était là que se réalisaient la plupart des contrat en rapport avec Marignan, peu de gens étant assez braves ou inconscients pour oser poser un pied dans la cité.
Votre cible se présenta au pied des immenses immeubles agglomérés les uns sur les autres, topa dans la main d’un guet, et disparu dans l’étroite ruelle mal éclairée du quartier. Vous vous approchez de la cité. Une explosion retentit au premier étage, déclenchant un incendie. Marignan était en feu. Encore.
Depuis la fenêtre, deux individus chutent sur le macadam, l’’un tenant fermement l’autre par le col. Heureusement, aucun des deux ne semblait être votre homme. La fille, une blonde, la tempe ensanglanté semblait avoir le dessus.
- J’ai juré crâne de p*te, tu me dis pas où est la came, je t’éclates.
- J’te jures Fanny, on peut causer !
- Je sais pas, c’est Lolo qui l’a embarqué, et …
- Lolo ? Et t’as rien fait pour l’arrêter ?
Le crochet droit parti d’un coup.
- POURQUOI T’ETAIS AUX CHIOTTES ?
La blonde traîna le pauvre hère vers les murs de béton, et d’un coup, lui éclata la tête contre le mur.
- Fanny, … je te dis que je peux m’arranger.
- Je, je peux te retrouver un lot, refaire le même mix avec des produits différents …
- Elle était unique. UNIQUE. Qu’est-ce que tu comprends pas ? On va devoir attendre une année entière avant de pouvoir de nouveau en avoir, et toi t’en fais quoi ? Tu la perds.
Elle reprit la tête de sa victime, et l’écrasa à répétition sur le mur, le sang giclant. Les dents tombaient. Vous entendez le crâne se fendre, puis, au coup suivant se briser totalement. Fanny lâcha enfin le mort, qui glissa le long du mur. Elle se dirigea vers les vigiles, qui lui tendirent une cigarette, et un briquet, avec lequel elle alluma la cigarette, puis qu’elle glissa dans sa poche.
- C-Célestin, j-journaliste d’inv-d’investigation au Globe.
- Mauvais endroit. Fais demi-tour.https://image.noelshack.com/fichiers/2020/39/6/1601091277-mmlp2.png
- On, on cherche un certain Dominique Carvhollo.
Fanny s’avança.
- Ecoutes moi bien, la journalope. Personne ici, ne rentres sans mon accord. J’ai dit fais demi-tour, alors t’obéis.
- On peut pas d’abord voir Dominique ?
Votre téléphone sonna. Gérard. Vous décrochez.
- Célestin, Dominique arrive. Le mot de passe, c’est boursin mouchoir cuillère.
- Tu lui dit même pas bonjour, juste ça. T’as bien retenu ?
Gérard raccrocha.
- Hé, tête de bzez, t’as pas entendu ? Tu dégages !
- Non, mais notre contact arrive …
Fanny s’avança et pointa un couteau juste sous votre gorge.
- C’est bon, tu comprends là ?
Dans la ruelle, une silhouette féminine se dessina, dans l’ombre, et sorti au grand jour. Une femme, la cinquantaine, fine. Elle passa entre les deux vigiles, et vint donner une claque maternaliste derrièrela tête de Fanny, avant de lui piquer sa cigarette.
- Tu pourrais respecter mes invités au moins une fois, sale gosse ?
Fanny ne répondit pas. Elle se contenta de faire profil bas, et de se retirer, entre les deux vigiles.
- Bonjour. Dominique Carvalloh. Gérard vous envoie ?
- Heuuuu … Boursin mouchoir cuillère.
Vous passez sous l’oeil haineux de Fanny, qui récupère au vol la cigarette que Dominique lui a renvoyé, et pénétrez dans la cité interdite. Dominique vous conduit chez elle. Un petit studio, grand comme deux chambres CROUS, en désordre.
- Asseyez-vous où vous trouvez de la place. Alors, qu’est-ce que vous venez risquez vos vie ici ?
- On doit retrouver un type, qu’on avait réussi à pister jusqu’ici jusqu’à ce que votre …
- D’accord. On a réussi à le pister jusqu’à ce que ton …
- Ton chien de garde, disons les choses, issou.https://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/6/1608985783-ahi-triangle.png
- Fanny ? Elle se prends pour la reine du monde. Mais vous n’êtes pas là pour parler d’elle.
- Oui. On nous a donné une piste, de type qu’on suivait, comme quoi c’est un individu suspect. En jogging, qui a fait de la prison, et …
- Qui vous a donné le signalement ?
- Des partisans de Melissa Ssani.
- Intéressant. Bon. Je vois de qui vous parlez, C’est un type régulier. À l’heure qu’il est, je pense savoir où le retrouver.
- Je suis l’Oeil de la cité de Marignan. Si l’autre prétends que personne n’entres sans son autorisation, ici, rien ne se passe sans que j’en soit au courant.
Dominique sorti un ordinateur portable miteux, et quelques instants plus tard, afficha une image de vidéosurveillance. En quelques clics, elle le retrouva.
- Il est dans la cour des triples dents. On va y aller, mais avant tout, vous avez des armes sur vous ? Non ? Personne ? Bon, tenez. Le minimum syndical.
Dominique vous prêta à chacun un couteau de combat, ainsi qu’une arme de poing.
- J’espère que vous savez vous en servir. Et même si vous ne savez pas, vous allez vite apprendre, si vous traînez par ici. Suivez-moi.
- Les habitants sont aux courants pour ces caméras ?
- Non. Gardez ça pour vous. Je penses que Fanny vous a déjà fait une démonstration de ce qu’il pourrait vous arriver si j’apprends que vous ne l’avez pas fait.
Vous déglutissez.
Vous parcourez les innombrables couloirs de la cité. Les rues sombres abritaient toutes sortes de parasites, vous remémorant la panique des punaises de lit de 2024. Les odeurs, de parfum, de bouffe, de vomi, de déjections, de bordel, enfumaient les rues, presque, vous redécouvriez l’existence de votre odorat.
L’on baisait au coin d’un couloir, on dealait entre deux portes, écrasant un rat au passage, là c’était une mise à mort, deux pas plus loin le médecin, le postier passait, faisant parti des rares ayant droit à passer partout. Au milieu de cette fresque de tout les vices, vous trouviez une petite cour de sérénité, éclairé par les quelques rayons du soleil assez hardi pour venir illuminer cette terre perdue.
- Ici. Sur les dernières images de surveillance, il était seul.
Vous voyez à ses côtés une femme, courtement vêtue, lui donnant manifestement des instructions très claires.
- C’est marrant j’ai l’impression de la connaître.
- Melissa ? Ssani ?
- Chhhht, pas trop fort, ils ne nous ont pas vu, il ne faudrait pas non plus qu’ils nous entendent.
- Mais qu’est-ce qu’elle vient foutre ici ? Si c’est elle qui nous envoie le pister …
- J’avais dit à Gérard, ça pue le piège. Attention, ils se séparent, planquez-vous. On continue à suivre notre cible. On demandera des compte à Mélissa en dehors de ce coupe-gorge.
Après quelques minutes de déambulations au travers des couloirs trop humides, ou trop secs, ou couverts de mousses ou de rouille, votre filature arrive à une petite intersection, où l’attend un autre homme. Ils s’échangent quelques paroles,puis votre cible remet à l’inconnu un sac plein, dont il montre une liasse de billet, avant de la reposer dedans.
- Je comprends pas tout à fait. Cet autre type, que votre cible viens de contacter, c’est un immense facho, et il le salue comme si c’était son frère.
Une porte s’ouvrit derrière vous.
C’était un petit bonhomme, asiatique, sympathique. Vous entrez derrière Charles dans le petit appartement. Sur le téléviseur récupéré et bricolé, des images extraordinaires.
« … matin, un convoi transportant des têtes nucléaires, a été attaqué. ... »
A l’écran, sur une route à flanc de montagne, le GigaHorse, possession de Joe Maurice Mécontent dévalait la pente et attaquait le camion, transportant les fameuses têtes nucléaires, accompagné d’autres voitures du même style, s’occupant de l’escorte. On voit la milice récupérer et charger les missiles, avant que la caméra ne se coupe sous un coup de poing.
- C’était ça leur plan depuis le début. Joe Maurice Mécontent affirme qu’on lui a volé le véhicule, des fachos de droite, il se trouve en ce moment même à Paris.
- Ouais, là c’est grave … hein Louise ?
Vous vous retournez.
Vous ressortez dans le couloir.
Personne.
- Paniques pas Célestin. On va l’appeler.
À votre surprise, Louise répondit.
- Ouais, belle gosse, t’es où ?
- oh, je fais un tour. Ne vous inquiétez pas pour moi, je vous retrouve dehors.
- T’es sûre ? C’est pas vraiment l’endroit pour une femme pour être seule, on aimerais pas te récupérer en morceaux.
- J’ai tout ce qu’il me faut pour me défendre. Je vous retrouve dehors.
Louise raccrocha.
- Vous êtes des visiteurs. Tant que vous regardez personne de travers, et que vous prenez part à aucune affaire qui ne vous concerne pas, ça devrait bien se passer. Et puis, elle l’a dit elle-même, elle est armée.
- Ouais. En attendant, on a perdu notre cible, et son client.
- Et il faudrait qu’on interroge Joe Maurice mécontent et Melissa Ssani sur ce qu’elle, elle fait ici, et lui, comment on se fait voler un véhicule pareil.
- On pourra en faire qu’un à la fois, par contre.
A) retrouver votre cible.
B) retrouver son client ( le facho)
C) aller interroger Melissa Ssani
D) aller interroger Joe Maurice Mécontent
E) non mais on va pas laisser Louise seule, quand même.
Dangerosité : Verte
Nombre de morts : 35
Le 08 octobre 2023 à 11:57:13 :
Le 08 octobre 2023 à 11:54:59 :
Le 08 octobre 2023 à 11:50:34 :
Sweet + j'ai bandédes problèmes de stikers mort m'on retardé, ça me soule
je vais faire des choses pas très catholiques aux modos de noelshackAyaaa
je te jure ça me rends dingz
t'es là, tu fais ta suite, tu mets tes stickors en cc/cv dans le doc, tu cc/cv le tout sur le prévisu
et là tu vois que la moitié de tes stickers sont morts
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA mais laissez-moi faire un meurtre bon sang, pour le bien de tous
Données du topic
- Auteur
- exumorefic
- Date de création
- 16 avril 2023 à 20:39:32
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