[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?

Récap

Statistiques heures de votes ( un seul vote possible si j’ai bien fait le bouzin. )
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Sondage résultats des choix du chapitre précédent :
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Le 29 septembre 2023 à 21:30:23 :
Demain la suite

alors. je vais essayer de bricoler quelque chose, mais j'ai pas beaucoup de temps, je suis invité quelque part à 19h, faut encore que je passe à la laverie, donc, soit il n'y aura pas de sweet, soit elle sera assez courte.

A) Demain, c’est thérapie.
Vous engagez un processus thérapeutique vous obligeant à des rendez-vous hebdomadaires, qui vous feront chier, mais vous aideront à aller mieux

B) On va prendre une pause, chacun de notre côté
vous prenez le risque de vriller tout seul dans la folie. Ça n’arrivera heureusement pas.

C) On fait une coloc. On se quitte plus, et on veille les uns sur les autres.
Tous n’auraient pas été d’accord immédiatement, mais, par la suite, vous auraient rejoint.

D) Vous demandez au patron si vous pouvez prendre des vacances au states.
Il acceptent, et vous donne 15 jours de « déplacement professionnel » aux states. Il vous demande simplement d’interviewer le président Etat-unien sur la situation de la France

E) On continue notre vie, comme s’il ne s’était rien passé.
Là, vous vrillez dans la paranoïa. C’est pas en soit le pire qui puisse vous arriver, mais quelque mauvais choix enchaînés vous auraient menés à la HP.

Dangerosité : Orange
1) Accepter la proposition de Flantier.
Vous devenez informateur de Flantier, et donc, de la Russie. Vous bénéficierez d’une protection supplémentaire, incluant des points de chute, et une possibilité d’exfiltration. Bref, tant que vous lui filer des infos, il surveillera vos arrières.

2) Refuser la proposition de Flantier.
Rien ne change.

A)l
B)
C)llll
D)lllll
E)

1)llllllllll
2)

la D1 gagne !

Le 29 septembre 2023 à 21:30:23 :
Demain la suite

Cette fois pour de bon

« Quand on y pense, c’est quoi la vie, sinon espérer autre chose que c’qui on est en train d’faire ? »
dracula 1897, Abraham Stoker

Arc 2 Chapitre 2
D) Vous demandez au patron si vous pouvez prendre des vacances au States.
1) Accepter la proposition de Flantier.
Lundi 27 Juillet 2026

- … Je vais demander des vacances au patron. Partir. Loin.

- Tu peux pas échapper au problème si le problème est imprimé sur ta rétine.

- Loin.

- Loin où ?

- Je … je sais pas. Les States ? Et puis j’emmènerais Louise avec. Un petit ranch, dans le colorado. On fera du cheval, et on n’allumera pas la télé.

- Oui, oui …

- Et vous ? Vous allez faire quoi ?

- Heu … bah, après tout, c’est presque au niveau de l’Afghanistan.

- Ouais, on avait pris un ou deux jours de congé la dernière fois qu’on avait vu des mecs écorché et cloués vifs au murs.

- Faisons ça.

- Bon, on va rentrer, tout doucement.

Vous aidez Louise à se relever. Elle laisse Hubert vous conduire tout les deux chez elle. Après avoir garé la voiture, et vous avoir rendu les clés, Hubert prends congé. Vous accompagnez Louise en haut de son appartement, vous assurant que tout va bien. Avant de repartir à pieds, vous passez aux toilettes. En sortant, vous n’apercevez pas votre collègue dans le salon.

- Louise ? T’es où ?

- Là … dans la cuisine.

Vous entrez dans la petite cuisine. L’avant-bras au-dessus de l’évier, un couteau faiblement tenu par l’autre main, la tête dans l’épaule, Louise laissait son sang se déverser.

- Heu … je … tu vas pas rester comme ça, si ?

- … Pourquoi pas ?

- Y’a du désinfesctant, des pansements chez toi ?

- …

- Tu vas pas rester comme ça. Tu te fais du mal pour rien.

- … dans la salle de bain, l’armoire, en bas, à droite, dernière étagère.

Vous vous précipitez dans la salle de bains, et trouvez rapidement pansements, désinfectants, et compresses. Vous les ramenez dans la cuisine. Vous retirez Louise de l’évier, essuyez les coulées de sang, désinfectez les plaies, et pansez le bras, sous les yeux mouillés de Louise, dont coulent des larmes silencieusement. Puis, vous l’emmenez dans le salon, et la posez sur un canapé, et vous posez sur celui d’en face.

- … je crois qu’il vaut mieux que je reste. Pour … toi. Que tu ne te fasses pas plus de mal.

Louise hocha la tête.

- Et demain, j’irais demander des congés à Gérard. Pour nous deux.

- D’accord. Je vais dormir … essayer.

- Bonne nuit.

- Bonne nuit.

Vous trouvez une couverture, et restez ainsi à veiller sur Louise, puis vous endormez.

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Mardi 28 Juillet 2026

Vous arrivez à la rédaction, croisant Magalie dans les couloirs. Depuis la porte d’entré, vous pouvez entendre la conversation enflammée se tenant dans le bureau du patron. Vous toquez à la porte. C’est Gérard qui vient vous ouvrir.

- Ah, voilà notre champion ! Entre, on parlait de toi, justement !

Vous refermez derrière vous la porte. Bob, Michel, et Charles sont là.

- Célestin, toi et les autres, vous m’avez sorti le scoop de la décennie là ! Est-ce que tu en es conscient ? Est-ce que tu as vu les images ?

- Je … non, mais j’ai vécu la chose, et c’est pas forcément mieux.

- C’est, c’est, c’est dingue ! On est sur du scandale ! Et plus sur de l’échelle d’un petit scandale de drogue, non. Là, c’est un scandale … pas d’état, mais, idéologique, ça va détruire la campagne, tout bouleverser, changer l’échiquier politique, ils seront … ils auront peur. Peur de nous.

- Au fait, comment va Louise ?

- … Mal. Très mal. Elle était déjà très affectée par la disparition de son amie, de découvrir comment elle a vécue ses derniers instants …

- Oui …

- Je suis venu vous demander une petite semaine de vacances. On compte partir se ressourcer aux states.

- Toi et Louise ?

- Je pensais partir seul, puis, je lui ai proposé, elle a dit oui.

- Et tes autres collègues, non ?

- Aucun n’a manifesté son envie de nous accompagner. Vous voulez venir ?

Les trois collègues vous firent signe que non, qu’ils comprenaient très bien.

- Bon. Et bien. Là, sans préavis, ça va être compliqué, légalement. En revanche, j’ai quelques contacts proches du président américain, je peux t’envoyer en déplacement 15 jours, pour interviewer le président.

- Sur quoi ?

- ce que tu veux, l’état de la france, la couleur de ses lacets, la politique future qu’il veut appliquer, peu importe. C’est juste une justification légale pour t’envoyer en déplacement pro. Bon. Quant à vous autres, vous voulez trois jours de récup, c’est ça ?

- Ouais.

- Je peux vous doubler pour une semaine, s’il faut.

- Boh, non, après trois jours, j’ai du mal, je veux reprendre le boulot.

- Pareil.

- Comme vous voulez.

- J’aurais pas besoin de Bob et Michel comme techniciens sur place ?

- Non, on en a un ou deux là-bas. T’inquiètes pas, tout ira comme sur des roulettes.

Gérard vous avait trouvé un petit ranch à un peu moins de deux heures de route de Denver. Au programme, équitation, séances de tir, et farniente. Immédiatement après votre arrivée au ranch, vous achetiez des vêtements plus typés country. Chapeau, jean, bottes, bref, vous étiez des cow-boys. Les premiers jours, vous appreniez à monter à cheval. Parlant tout les deux bien l’anglais, vous pouviez converser sans trop de problèmes avec les locaux.
Puis vinrent les premières séances de tirs. Louise semblait revivre.
Vous faisiez de longues randonnées hippiques dans les montagnes, admirant les grands espaces encore sauvages de l’amérique, comme un continent seulement à moitié apprivoisé. La nuit, vous dormiez dans le même lit. Et même si vous n’eurent aucun rapport, vous vous sentiez comme deux âmes unies au milieu de nulle part. Puis, vint le jour de l’interview.
Vous prirent l’avion, de Denver à Washington. Sans trop de problème, vous arriviez à la maison blanche. Enchaînez les checkpoints et les procédures, et finalement, arrivez dans la salle d’interview. C’était Donald Trump, qui, réelu en 2024, se tenait en face de vous. Il avait, d’ailleurs, par pure perversion prit Joe Biden comme premier ministre. Après une poignée de main franche, et une bise insistante, vous entamez l’interview.

En anglais dans le texte

- Monsieur Trump, bonjour.

- Bonjour.

- Merci de nous accorder cette interview.

- Mais de rien.

- On va se centrer beaucoup sur la france, et sa place à l’internationale. Pour commencer, aujourd’hui, quelle est la relation entre la france et les Etats-Unis ?

- Hum. Aujourd’hui, la france est à la même page que l’europe : un vassal des états-unis d’amérique. Tout ce qu’il se passe en europe est dirigé de près ou de loin par les états-unis. Vous êtes une colonie. Mais en fin de compte, on fait comme la Chine. Parce que les chinois, eux, c’est eux dont il faut avoir peur. Il faut tendre l’oreille, pour que l’oeil attentif des américains puissent sentir des lieux à la ronde, la proximité déroutantes de l’avidité et de la vilainie des chinois.

- D’accord … et les états-unis sont-ils plutôt intéressé par les colonies, ou vont-ils les délaisser ?

- Vous savez, ce midi, j’ai mangé une belle part de gâteau au chocolat, préparé par la cuisinière sexy, et c’était une belle part. Le gâteau était très bon, et ça a refait ma journée. Et bien, les état-unis , c’est moi, et la france c’est la cuisinière.

- Je, j’avoue ne pas vous suivre.

- Mais c’est simple. La France nous sert. Elle fait la cuisine, le ménage, la lessive … et des bons gâteau. Des très bon gâteaux. C’est une femme soumise et aimante.

- Je vois.

- Et oui.

- J’aimerais vous parler un peu de l’insécurité qui règne en france. En tant que … maître ?

- Oui ?

- Maître de la France ?

- Oui.

- En tant que maître de la France, que pensez-vous de la montée de l’insécurité en France ?

- C’est les migrants, c’est sûr. Je ne comprends pas pourquoi les européens ne construisent pas un mur en plein milieu de la méditerranée, pour empêcher les africains de passer. Ça serait tellement plus simple.

- On n’a pas forcément envie.

- Et après vous tirez sur les africains qui essayent de passer.

- Je …

- Comme l’Arabie Saoudite.

- C’est pas vraiment dans les valeurs européennes.

- Peut-être, mais il vaut mieux être un être abominable, et vivant, qu’un saint mort.

- admettons.

- D’ailleurs, nous regardons de très près la campagne présidentielle des élections. Mais surtout, l’état du pays. Lorsque vous serez au bord de la guerre civile, nous interviendrons, et mettrons en place une régence.

- Et pour vous, est-ce qu’on est plutôt proche ou loin de l’avènement de ceci ?

- J’ai peur qu’on en soit proche. Vous savez, les États-Unis ont basé leur économie sur la guerre. Or, maintenant que le conflit en Ukraine est résolu, j’ai bien peur que ça soit la france, le nouveau terrain de jeu des US.

- Vous ne voulez pas que cela arrive ?

- Non. Je ne suis pas comme ces péd*philes ou satanistes. Malgré ce que l’on dit de moi aux médias, je suis pour la paix, et plus proche du saint qu’eux. Moi j’irais au paradis, tandis qu’eux iront en enfer, là où ils ont leurs places.

- Je … très bien. Je pense ne plus avoir de questions à vous poser.

- C’est un peu comme Rome, ce qu’il vous arrive. En voulant trop devenir universels, vous ne convenez plus à personne.

- D’accord. Je pense que l’on peut conclure l’interview là-dessus. M.trump, merci beaucoup pour votre temps.

- Il n’y a pas de souci. Et n’oubliez pas : Make America great again !

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Mardi 11 Août 2026

Le reste des vacances au US continuèrent sur la même lancée, les même activités. Tir, auquel vous étiez devenu, vous et Louise redoutable, pour les standards européens. Randonnée à cheval, que vous appréciez toujours autant. Et puis, pour vous faire plaisir, Louise a bien voulu vous accompagner à une course de NASCAR. Finalement, vint le moment de revenir au pays.

Après être passé déposer vos affaires chez vous, vous décidez de passer au bureau. Là, dans le bureau du patron, à travers la porte entrouverte, vous entendez une voix que vous reconnaissez. Larry de Mac’n Feast. Il sort du bureau du patron, et vous salue avant de disparaître. Vous entrez chez Gérard. Stéphane aussi est présent.

- Bonjour à tous. Qu’est-ce qu’il faisait ici lui ?

- Ah, bonjour Célestin. Il est venu renégocier un débat avec Madame de Médicis. Tu l’avais laissé sans réponse lors de son dernier appel, il s’est déplacé en personne.

- Ah. Et du coup ?

- Je lui ai dit que c’était d’accord. La date n’est pas encore posée.

- D’accord.

- je pense que ça serait pas mal que tu interview d’abord les deux parti indépendamment l’un de l’autre, sur leur opposant.

- D’ailleurs, je ne t’ai toujours pas communiqué mes résultats de ma petite enquête en italie, vanessa de Médicis. Viens me voir, si tu veux en savoir plus.

- Très bien. J’ai vu l’interview que vous avez faite, Louise et toi. J’en suis très satisfait. Alors, tu commences par quoi, Célestin ?

A) Interviewer d’abord Larry
B) Interviewer d’abord Vanessa
C) Aller voir Stéphane.
D) Vous voulez pas que je vous suce d’abord ?

Dangerosité : Verte

Nombre de morts : 34