[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?
A) Tout lui dire, là dans la voiture.
Elle serait rentrer chez elle se scarifier.
B) l’inviter à dîner au resto.
Elle aurait pleuré au beau milieu du resto + serait rentrer chez elle se scarifier
C) Le lui révéler le lendemain, au bureau.
Elle aurait du contenir toute la journée la chose, + serait rentrer chez elle se scarifier encore plus fort.
D) L’invitez chez vous.
Elle n’aurait pas eu la force de rentrer chez elle, et aurait passé la nuit à vos côtés.
F) Lui révéler le tout chez elle.
Elle vous demande poliment de la laisser tranquille pour la soirée + elle se scarifie
F) Heu, non, c’est pas important.
Elle n’aurait probablement jamais su, mais si elle l’avait appris, et qu’en plus vous lui avez caché … les conséquences auraient pu être désastreuses
a)
b)
c)
d) ll
e) lllllll
f)
Vite ma suite
Edit: 50eme papyrus
« L'ambition n'est jamais modeste. Si la modestie signifie avoir un succès médiocre, alors je peux seulement dire: cela ne m'intéresse pas. »
Emmanuel Macron
Lundi 20 Juillet 2026
Arc 1 Chapitre 38
E) tout lui révéler chez elle.
- Heu, attends-moi en bas, je reviens.
Vous montez au 10ème étage, et récupérez une copie de tout les documents fournis par Anaïs. Vous croisez votre voisin, M.Quillon, qui vous laisse prendre l’ascenseur seul, par peur de votre personne. Vous descendez, et remontez dans la mini rouge.
- … on va chez toi. Je rentrerais en métro. J’ai des choses importantes à te dire, et te montrer.
Rapidement, vous arrivez 112 Rue du Faubourg de la Poissonnière. Vous montez au second, et entrez chez Louise. C’est un chouette appartement, lumineux, pas très spacieux, mais moderne, bien agencé. Sur la table basse, entre deux banquettes, vous posez les copies des documents.
- Tu veux boire quelques chose ?
- Heu, un petit jus de fruits, si tu as.
Louise revint avec deux verres, et prit place en face de vous. Elle était si pure et innocente, vous la preniez en pitié pour ce que vous alliez lui révéler. Mais vous avez choisi l’honnêteté, vous ne pouviez plus reculer.
- Alors, qu’est-ce que tu voulais me montrer de si important ?
- J’ai une cousine qui travaille dans la police de Paris. Et elle a réussi à se procurer des éléments sur … le meurtre de Camille.
Louise se pencha en avant, et attrapa l’enveloppe.
- Ce ne sont que des copies. J’ai aussi les copies des caméras de vidéosurveillance, sur ma clé USB.
Louise vous conduit à son ordinateur, et vous ouvrez un a un les fichiers vidéos. Vous répétez ce que vous a expliqué la veille Anaïs. Vous voyez Louise lentement se décomposer.
- Je … je pensais que ça serait bien que tu saches.
Vous voyez les larmes roulez sur sont visage, coulants sur le mascara léger.
Vous retournez dans le petit salon. Louise se roule en boule au bout du canapé de son côté. Les rayons de fin de soirée traversent la pièces, éclairant vos visages d’une lumière orangée. Les larmes coulent silencieuses, comme des cristaux. Les poings serrés, tremblant de tension, la moitié du visage dans les bras, Louise vous fixe.
- Je … est-ce que tu aurais préféré ne pas savoir ?
De la tête, Louise vous fit signe que non.
- Tu préfère que je te dise la vérité, même si ça fait mal ?
Elle articula un « oui » étranglé de colère et de tristesse.
- … et bien, maintenant, tu sais.
- … j’ai besoin d’être seule, pour… pour digérer tout ça.
Vous vous levez, et passez la porte de l’appartement, en jetant un dernier regard. Vous avez presque la sensation de l’abandonner. Mais si elle à besoin d’être seule pour s’en remettre. Vous fermez la porte. Descendez les escaliers. Passez la porte de l’immeuble, et vous retrouvez dans la rue. Un cri déchirant sort de la fenêtre du deuxième étage, puis, un bruit de vase éclaté, suivi de quelques débris de porcelaine, s’écrasant devant vos pieds. Vous quittez rapidement les lieux.
Après quelques minutes de métro, vous arrivez au pied de votre immeuble, ou vous attends le même type de Jeudi dernier. Il était au téléphone.
Il raccrocha en vous voyant arriver.
- Lui-même. Dites-moi, j’ai mené ma petite enquête en ville. Il se trouve que dans une des rues adjacentes au boulevard des Champs-élysées, j’ai croisé un très sympathique sdf, qui m’a raconté tout ce qu’il s’est passé le Dimanche 21 Juin.
- La voiture qui a percuté le Quick. Une voiture débridée, non homologuée. Et dans l’accident qui a suivi, l’explosion a tué deux policiers et trois jeunes de cité.
- Heu, oui, je, je vois de quoi vous voulez parler …
- Il paraît que vous étiez là au moment des faits. Je serais ravi de vous entendre sur ce sujet, ainsi que sur les autres. Encore une fois, j’insiste. Si cela peut vous aider à vous convaincre, de ma motivation, je peux vous offrir un déjeuner, avant l’interview, où vous voulez, dans Paris.
- Je serais très intéressé de savoir comment vous avez survécu à ce crash. Sur ce, j’espère vous revoir très bientôt dans les locaux de RT france.
Il vous serra la main, et disparu.
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Mardi 21 Juillet 2026
Vous descendez de votre appartement, sur votre 31. la chemise boutonnée jusqu’au col, fraîchement repassée, la veste de costard sur le bras. La mini rouge vous attendais en bas de votre immeuble. Vous montez dedans.
- Je … je suis désolé d’avoir été rude, hier. J’avais vraiment besoin d’être seule, de … d’extérioriser.
- C’est pas grave, t’inquiètes. Regardes juste s’il n’y a personne en-dessous, avant de péter un vase.
Louise vous sourit, et déposa un baiser sur votre joue. Vous le lui rendez. Elle rougit, et vous regarde intensément dans les yeux. Elle s’approche de votre visage, lentement. Vous vous approchez aussi. Elle saisi votre visage, et pose ses lèvres sur les vôtres. Vous passez vos bras autour de sa taille. Sa langue viens chercher la vôtre. Vous saisissez l’occasion, et vous l’enlacez de plus près. Elle fond dans vos bras.
Après ce langoureux baiser, vous prenez la direction du palais de l’Élysée, les nouvelles énoncées par la radio.
« … missile retrouvé, après plus de deux jours passés dans la nature. Des militants de Phillippe Henri, retrouvés dans le hangar dans lequel était cachés la tête nucléaire. Ils affirment être innocents, et clament le coup monté. En revanche, une nouvelle disparition inquiétante, c’est celle du candidat anx présidentielles, Pierrick Nemmour, qui depuis Dimanche reste introuvable. Le reportage de la semaine, maintenant : la peau de banane glisse-t-elle vraiment quand on marche dessus ? Un reportage de - »
Vous arrivez devant le barrage de police, coupant la rue du faubourg Saint-Honoré. Louise sort un laisser-passer, qu’elle montre au policier, qui vous laisse passer. Le barrage est ouvert, les voitures de polices dégagées, et enfin, la grille ouverte. Vous êtes au coeur de la république française.
Dans la cour d’accueil, vous attendaient certes quelques policiers, mais aussi une guide.
- Vous êtes les journaliste du Globe ?
- Bien. Monsieur Pâtissier aura un peu de retard, il est retenu en réunion.
elle vous conduit dans les longs couloirs du palais. Soudain, au détour d’un couloir, une porte s’ouvre, révélant M.Pâtissier.
- Ah, et ne m’attendez pas pour la réforme des retraites, j’ai torture à 16h. J’aurais peut-être un peu de retard, mais vous pourrez commencer sans moi.
Il se retourna vers vous.
- Ah. Vous devez être les jounralistes du Globe, n’est-ce pas ? Enchanté.
- Enchanté, c’est cela même. Vous venez de parler d’une réforme des retraite ? Vous comptez en refaire une ?
- Enchanté. Comment ça torture ?
- Ahah, non, vous avez du mal entendre jeune homme. J’ai dit « tortue », en me référant au salon de détente à tortue qui a ouvert récemment en ville. Je comptais le tester cet après-midi.
- Bon, et bien, je vais vous suivre. Les techniciens sont déjà installés ?
Après encore une bonne trotte dans les couloirs du palais, vous arrivez au lieu de l’interview. Bob et Michel installent les micro-cravate, et enfin, l’interview peut commencer. M.Pâtisser, après deux mandats consécutifs, étant déjà bien connu, la présentation fut des plus courtes, jusque là.
- Merci, monsieur le président. Pour entamer cette partie de questions, nous allons tout d’abord parler un peu de l’actualité, si vous voulez bien.
- Tout d’abord, comment cela se peut-il qu’un missile à tête nucléaire disparaisse ainsi en France, pendant plusieurs jours ?
- Écoutez, moi, je ne suis pas tout-puissant. J’ai ces derniers jours beaucoup échangé avec les généraux des armées, et tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il y a eu une mutinerie, maintenant maté, au sein de l’armée, entraînant ces débordement. Maintenant, le missile en question à été retrouvé, ils sera rapatrié, et changé d’endroit de stockage, afin d’éviter qu’un tel évènement se reproduise. D’ailleurs, à cet effet, toutes les têtes nucléaires de l’armée vont être déplacées.
- Merci. Toujours sur l’actualité, un candidat à la présidentielle qui disparaît, déjà, ça fait peur, mais surtout, ça éveille les soupçons. Pas forcément sur vous, mais aussi sur tout les autres candidats.
- Je comprends tout à fait cela. De mon avis, aucun candidat à la présidentielle ne saurait se trouver coupable de telles exactions. Ils sont tout de même sous les feux des projecteurs. À la moindre erreur, c’est la disqualification. Non, je pense qu’il faut chercher autre part. Quoi qu’il en soit, les recherches sont organisées, la police, les pompiers, sont sur l’affaire.
- Un tout autre sujet,maintenant. Vous savez qu’en France, il n’est pas possible pour un même candidat d’enchaîner plus de deux mandats présidentiels ? Pourquoi vous représentez-vous ?
- Si, c’est possible. J’ai fait changer la loi, en Mars dernier. Il est désormais possible d’enchaîner autant de mandat consécutifs que le peuple voudra bien.
- Je vois. Et, dans cette campagne, quel est votre thème ? Vous n’avez encore communiqué aucun programme au français. Qu’est-ce que vous feriez lors de ce troisième mandat ?
- Je garderais le cap des deux précédents. Préserver les intérêts de la france à l’international. Restructurer de manière pérenne les institutions sociales du pays. Investir dans la jeunesse. Faire briller la france à l’étranger.
- Beaucoup pensent que, plus on vous laisse au pouvoir, plus la france risque de s’effondrer. Qu’est-ce que vous leur répondez ?
- Ils ne réfléchissent pas par eux-mêmes. Ils sont dépendant de la pensée d’autrui. Hors, que se passe-t-il lorsque l’on ne fait que répéter la pensée apprise, sans la réfléchir, sans la questionner ? On devient un mouton. Mais le destin d’un mouton, il n’est pas enviable. Pourquoi ? Parce que le destin du mouton, c’est la mort. Qu’il soit dans la bergerie, ou à l’extérieur, qu’il soit libre ou non, à la fin, il finira mangé. Il n’a aucun échappatoire. Et pour cela, il faut que nos concitoyens apprennent à penser de leur propre chef, à être indépendant intellectuellement. Sinon, ils finiront dans l’assiette des loups de ce monde.
- Très bien. Dans cette campagne, l’un des thème principaux reste encore l’immigration, plus particulièrement la fermeture des frontières. Qu’est-ce que vous en pensez ?
- C’est un sujet très polémique, mais je reste convaincu que nous devons continuer d’accueillir les ceux qui viennent chercher l’asile chez nous. C’est au-delà d’un devoir humain, et morale, un esprit européen traditionnel que de tendre la main aux nécessiteux. Et malheureusement, le racisme rampant dans notre république nous fait lentement oublier que la charité, et l’humanisme sont aux fondations de notre régime, français, mais aussi européen.
- Pourtant, on a vu, avec Nahel, puis Oumar, puis plus largement avec le quartier de Marignan qu’il y a un manque de volonté des populations immigrés à s’intégrer. C’est même en train de devenir l’inverse, la culture française est en train de s’intégrer à la culture de ses immigrants.
- Non, vous inversez tout. Ces gens on certes des difficultés à s’intégrer, parce qu’on ne leur en donne pas l’occasion. Marignan a été une expérience, voire un échec d’intégration. Le projet, en mettant des hlm au milieu du Paris bourgeois était que ces populations s’intègrent au tissus plus élevés de la classe bourgeoise, et puissent ainsi mieux réussir.
- Parce qu’il y a eu une volonté des populations bourgeoise, tout d’abord de rejeter ces populations immigrantes dans les banlieues loin de chez elles, puis, après manifestations, lorsqu’elle se sont aperçues que ça ne serait pas possible, un rejet social, mais aussi d’emploi. Aujourd’hui, Marignan, c’est le quartier comportant le plus de chômeur de tout Paris. Uniquement à cause du rejet des populations blanches bourgeoises, qui pourtant sont ravies d’accueillir ces migrants dans le pays.
- Intéressant. Personnellement, qu’est-ce que vous attendez de cette campagne ?
- Un duel au second tour contre quelqu’un d’autre que Madame Lestylo. J’ai déjà gagné deux fois face à elle, j’aimerais qu’il y ai un peu de résistance en face. Bien que pour autant, parmi les candidats actuels, je ne vois personne qui pourrait vraiment être une menace sérieuse.
- Est-ce que finalement, Madame Lestylo n’est pas votre tremplin, votre faire-valoir, pour accéder à la présidence ?
- Non, malgré ses capacités limitées en débat politique. C’est pour cela que j’aimerais avoir quelqu’un d’autre qu’elle en face de moi lors du second tour.
- Vous pensez déjà passer le premier tour ?
- Je ne voudrais pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, mais j’estime pouvoir aisément accéder au second tour, oui.
- Je vois. Avant de clore cette interview, même si vous avez dit ne craindre personne, qui serait votre favoris, ou votre meilleur adversaire dans cette campagne ?
- Je pense que la gauche peut encore nous surprendre. Particulièrement mademoiselle Ssani et monsieur Trouer. Mais je pense que la surprise de tous, ça sera cette nouvelle, mademoiselle de Médicis. Je suis incapable d’estimer ses chances, à quel point elle pourrait créer de l’engouement. Son programme, ses postures, tout est si … différent chez elle. On la croirait presque venue d’un autre monde.
- Très bien. Je vous remercie beaucoup pour cette interview.
Vous ressortez du palais. Dans la mini rouge, vos pensées s’entrechoquent.
- Il n’ira pas au salon à tortue. Il va vraiment torturer quelqu’un.
- Je, je pense que ça pourrait être pas mal, ouais.
Votre téléphone sonna. Un numéro inconnu. Vous décrochez quand même.
- Célestin, journaliste au Globe ?
- O-oui, à qui ais-je l’honneur ?
- Larry Goldenstein. Je suis le patron de Mac’n Feast. Je me fait le porte-parole des industriels de l’agro-alimentaire présents sur tout le territoire français. J’aimerais savoir s’il serait possible d’organiser un débat, une rencontre avec Vanessa de Médicis.
- Heu, il faut que je vois cela avec mon patron. Je vous rappelle dès que possible.
Larry raccrocha.
- Larry Goldenstein. Il veut qu’on organise une rencontre au globe avec Vanessa de Médicis.
- Intéressant ça. Faudra qu’on en parle à Gérard.
Votre téléphone sonna à nouveau. Cette fois, c’était Charles. Vous décrochez, et mettez le haut parleur.
- Salut beau gosse ! Comment ça va ?
- Très bien, merci. C’était juste pour te dire que demain, à 22h, Bacar Trouer, nous invites, toi, Louise, Miche, Bob, et moi, à la crémaillère. Pour une soirée privée.
- Oui, il nous l’avait dit qu’il nous inviterais à la prochaine.
- On va enfin savoir ce qu’il se passe là-bas.
- Ouais. Bon aller, je décolle à la salle. À demain !
Vous raccrochez. Louise regardais la route d’un œil vengeur.
- On va enfin savoir … Heu, je te dépose où ?
A) à RT France, pour faire l’interview tant demandée par Flantier
B) Près du salon de tortue, afin de voir si Pâtisser y va vraiment.
C) à la rédaction, pour discuter de ce débat avec Gérard.
D) au QG de Vanessa, pour parler du débat avec elle.
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Données du topic
- Auteur
- exumorefic
- Date de création
- 16 avril 2023 à 20:39:32
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