À quoi ça sert un mathématicien ?

Par exemple un physicien, il sert à nous faire comprendre la matière, l'énergie, et à formaliser les lois de l'Univers.

Un mathématicien concrètement, c'est juste l'assistant du physicien ?

Le 07 février 2023 à 23:35:37 :
À faire des maths

Alors à quoi servent les maths, à part faire de la physique ?

Le 07 février 2023 à 23:41:53 :
Et le physicien il fait comment ses recherches si on ne lui donne pas de nouveaux outils mathématiques ?

Ce sont les sous-fifres des physiciens quoi

Le 07 février 2023 à 23:41:53 :
Et le physicien il fait comment ses recherches si on ne lui donne pas de nouveaux outils mathématiques ?

J'ai bien compris que le physicien n'existe pas sans les maths, mais par exemple quand le mathématicien s'amuse à créer des concepts comme les relations d'ordres, ou d'équivalence, franchement, ça sert à quoi d'utile ?

Le 07 février 2023 à 23:43:07 :

Le 07 février 2023 à 23:41:53 :
Et le physicien il fait comment ses recherches si on ne lui donne pas de nouveaux outils mathématiques ?

Ce sont les sous-fifres des physiciens quoi

C'est ce à quoi j'ai pensé.

Le 07 février 2023 à 23:43:39 :
La cryptographie par exemple, est une application courante actuelle des maths.

C'est des maths appliquées, ça. Par exemple les statistiques c'est pas des vraies maths.

Le 07 février 2023 à 23:46:07 :
Ca permet par exemple de créer des classes de problèmes.
Donc de ramener un ensemble de problèmes en apparence différents à un seul problème le plus simple possible, qui s'il est résolu, donne la méthode pour tous les autres.

Oui, mais là tu contournes la question. Je te dis que si le problème n'est pas d'ordre physique, comme le théorème de Thalès ou des équations à plusieurs inconnues, mais d'ordre théorique comme ce qui se fait à haut niveau, à quoi ça sert ?

Le 07 février 2023 à 23:35:03 :
Par exemple un physicien, il sert à nous faire comprendre la matière, l'énergie, et à formaliser les lois de l'Univers.

Un mathématicien concrètement, c'est juste l'assistant du physicien ?

A mathematisser.

Le 07 février 2023 à 23:47:23 :
Chiffrement, algorithme, trading, optimisation de chemins etc...

C'est des maths appliquées, ça. Par exemple les statistiques c'est pas des vraies maths.

C'est des maths appliquées, ça. Par exemple les statistiques c'est pas des vraies maths.

Qu'est-ce que c'est que cette idée ?
Les statistiques sont bien sûr de vraies maths.

Le 07 février 2023 à 23:49:06 :

Le 07 février 2023 à 23:35:03 :
Par exemple un physicien, il sert à nous faire comprendre la matière, l'énergie, et à formaliser les lois de l'Univers.

Un mathématicien concrètement, c'est juste l'assistant du physicien ?

A mathematisser.

Le 07 février 2023 à 23:49:42 :

C'est des maths appliquées, ça. Par exemple les statistiques c'est pas des vraies maths.

Qu'est-ce que c'est que cette idée ?
Les statistiques sont bien sûr de vraies maths.

Non, parce qu'elles ne cherchent qu'à simplifier des études axées. Le pourcentage ne sert qu'à nous donner une idée de la répartition des biens.

Le 07 février 2023 à 23:50:39 :
Il sert à enseigner ls maths à d'autres étudiants pour qu'une petite partie devienne mathématicien et enseigne les maths à d'autres étudiants.

Ah, comme les pommes de pins, qui ne servent qu'à proliférer à l'infini sans jamais servir à quoi que ce soit ?

Le 07 février 2023 à 23:46:20 :

Le 07 février 2023 à 23:43:07 :

Le 07 février 2023 à 23:41:53 :
Et le physicien il fait comment ses recherches si on ne lui donne pas de nouveaux outils mathématiques ?

Ce sont les sous-fifres des physiciens quoi

C'est ce à quoi j'ai pensé.

Le 07 février 2023 à 23:43:39 :
La cryptographie par exemple, est une application courante actuelle des maths.

C'est des maths appliquées, ça. Par exemple les statistiques c'est pas des vraies maths.

Tu racontes n'importe quoi. Un protocole de chiffrement post-quantique a été cassé cette été, c'est que des matsh !

Dans l'article publié ce week-end, les chercheurs du CSIS ont expliqué avoir abordé le problème d'un point de vue purement mathématique, en s'attaquant au cœur de la conception de l'algorithme plutôt qu'à d'éventuelles vulnérabilités du code. Ils ont réussi à déchiffrer SIKE en s'attaquant à son algorithme de chiffrement de base, Supersingular Isogeny Diffie-Hellman (SIDH). SIDH serait vulnérable au théorème "glue-and-split", développé en 1997 par le mathématicien Ernst Kani, avec des outils mathématiques supplémentaires conçus en 2000. L'attaque utilise aussi des courbes de genre 2 pour attaquer des courbes elliptiques.

« L'attaque exploite le fait que SIDH a des points auxiliaires et que le degré de l'isogénie secrète est connu. Les points auxiliaires dans SIDH ont toujours été une gêne et une faiblesse potentielle, et ils ont été exploités pour des attaques de fautes, l'attaque adaptative GPST, des attaques de points de torsion, etc. », a expliqué Steven Galbraith, professeur de mathématiques à l'Université d'Auckland. Pour le reste d'entre nous, tout cela signifie que les chercheurs ont utilisé les mathématiques pour comprendre le schéma de chiffrement de SIKE et ont pu prédire - puis récupérer - ses clefs de chiffrement.