[RISITAS] Un célestin à Istanbul

Le 05 juin 2022 à 15:03:37 :
Bordel magnifique ahi. Tu dois être sacrément bon pour flirter avec une plume comme cela khey

les femmes aiment les hommes romantiques qui savent écrire, bien sûr, c'est connu

Le 05 juin 2022 à 16:17:26 :

Le 05 juin 2022 à 15:03:37 :
Bordel magnifique ahi. Tu dois être sacrément bon pour flirter avec une plume comme cela khey

les femmes aiment les hommes romantiques qui savent écrire, bien sûr, c'est connu

où as-tu appris à écrire khey ?

Le 07 juin 2022 à 11:02:06 :

Le 05 juin 2022 à 16:17:26 :

Le 05 juin 2022 à 15:03:37 :
Bordel magnifique ahi. Tu dois être sacrément bon pour flirter avec une plume comme cela khey

les femmes aiment les hommes romantiques qui savent écrire, bien sûr, c'est connu

où as-tu appris à écrire khey ?

au collège, je lisais plein de livres, vu que les filles ne s'intéressaient pas à moi

Aya les kheys la suite je sais pas quand, sûrement jeudi soir !

Le 07 juin 2022 à 20:30:16 :

Le 07 juin 2022 à 11:02:06 :

Le 05 juin 2022 à 16:17:26 :

Le 05 juin 2022 à 15:03:37 :
Bordel magnifique ahi. Tu dois être sacrément bon pour flirter avec une plume comme cela khey

les femmes aiment les hommes romantiques qui savent écrire, bien sûr, c'est connu

où as-tu appris à écrire khey ?

au collège, je lisais plein de livres, vu que les filles ne s'intéressaient pas à moi

Aya les kheys la suite je sais pas quand, sûrement jeudi soir !

khey, c'est bientôt la fin de ton risitas ?

t'as fait quoi cette année ? est-ce qu'elle était aussi plaisante que l'année dernière ?

Le 07 juin 2022 à 21:03:13 :

Le 07 juin 2022 à 20:30:16 :

Le 07 juin 2022 à 11:02:06 :

Le 05 juin 2022 à 16:17:26 :

Le 05 juin 2022 à 15:03:37 :
Bordel magnifique ahi. Tu dois être sacrément bon pour flirter avec une plume comme cela khey

les femmes aiment les hommes romantiques qui savent écrire, bien sûr, c'est connu

où as-tu appris à écrire khey ?

au collège, je lisais plein de livres, vu que les filles ne s'intéressaient pas à moi

Aya les kheys la suite je sais pas quand, sûrement jeudi soir !

khey, c'est bientôt la fin de ton risitas ?

t'as fait quoi cette année ? est-ce qu'elle était aussi plaisante que l'année dernière ?

très honnêtement, je ne calcule pas, je ne saurais pas dire combien de chapitres il reste, mais y en a encore, vous inquiétez pas
et sinon, je suis rentré en France juste après cette histoire, et j'y suis depuis

Le 07 juin 2022 à 21:32:10 :
est ce que l'on va revoir Yagmur dans le risitas ou c'est totalement fini ?

Laquelle

gg khey tu retranscris à merveille tes émotions

top du top

Le 08 juin 2022 à 00:06:52 :
Combien d'érections chez les kheys as-tu provoquées depuis le début de ce risitas?

je décline toute responsabilité

Chaque mois je reviens pour bouffer 4-5 chapitre en 1 coup et ptn ce qu'est génial.

La sweet chef.

CHAPITRE 126 : Après le mariage

Ce qui s’est passé la suite du mariage, je n’en sais rien et je n’en n’avais strictement rien à faire. J’ai vaguement appris par la suite que Reyhan et Ali étaient allés danser et s’étaient échangés des vœux et des mots doux devant tout le monde. Moi, j’étais avec Damla, et on avait échangé d’autres choses Furkan et Fritz m’ont raconté ce qui s’était passé, durant le retour : les jeux, les danses, les rires, c’était magnifique. Apparemment. Je sais pas, et je m’en contrebalançais royalement.
Je vous avais laissé, mes braves kheys, où mes lèvres s’étaient posées sur celles de Damla. Et elles étaient douces, c’est la meilleure façon que j’ai de les décrire. Il n’est rien de meilleur que les premiers baisers lorsqu’ils sont très doux, un peu timides, lents et appliqués, et je n’oublierai jamais ceux-ci, jamais une coutume turque, peut-être, a suivi notre premier baiser : nous étions dans la nuit, sans nous voir, assis, mais nous nous cherchions des lèvres. Elle a embrassé mes joues, mon front, mes paupières fermées, les coins de mes lèvres, ça chatouillait et ça m’a beaucoup fait rire, et je lui ai fait la même chose. C’était un peu comme une mise en bouche, une façon de nous habituer délicatement au contact l’un de l’autre. Très romantique. mais je n’avais jamais vécu ça avec aucune de mes autres petites turquettes ici, mais peu m’importait

Nous nous étions éclipsés assez tard, et pendant un moment assez long. Pendant de longues minutes, tous nos échanges se sont limités à de tendres embrassades, dont je vous passe les langoureuses descriptions, le tout ponctués de rires, de sourires et de petites discussions. C’est au bout de quelques minutes seulement, une fois la glace brisée, que nous avons commencé à découvrir nos corps progressivement ; on ne va pas se cacher, j’attendais ça avec plaisir mes mains ont couru sur ses formes pendant de longues minutes, sans aucun pression au début : je voulais admirer ses courbes, les apprécier à leur juste valeur, et ce fut d’une grande beauté : j’avais l’impression de caresser une statue grecque, la douceur et l’élasticité de la chair en plus. Et bien sûr… ce que j’avais attendu pendant des jours, que dis-je, des SEMAINES, allait enfin se produire, et j’ai tout fait pour me souvenir de ce mouvement : nous nous sommes levés pour nous balader un peu le long de la crète, toujours plus loin de la lumière et des bruits, et à un moment, debouts, je l’ai prise dans mes bras, je l’ai embrassée avec tout l’amour que j’ai pu, et mes mains se sont enfin posées sur sa chute de reins : b*rdel, c’est encore mieux au toucher non seulement la forme est parfaite, mais la consistance l’était aussi : parfaitement fermes, musclées, bombées, rebondies, b*rdel rien que d’y repenser j’ai une de/mi-mol/le. D’ailleurs sur le coup, j’étais tellement dur que j’ai dû reculer un peu mon bassin pour qu’elle ne le sente pas trop, je vous dit pas la position ridicule que je devais avoir elle avait remarqué que je faisais ces efforts un peu ridicules, et je crois que ça l’a fait sourire un peu, entre deux bisous. Finalement, après cette loooongue séance de câlins et d’embrassades, nous nous sommes posés à un endroit, en nous tenant la main.

-Ca faisait longtemps ?
-Que j’espérais ce moment ? Je ne sais pas, j’ai l’impression que tout a jailli d’un coup après avoir maturé pendant longtemps
-Oui, ça a jailli d’un coup… j’ai cru que tu allais exploser sur la piste, tiens
-Faut dire que ça fait des semaines que tu m’envoies des petits signaux, tu te souviens le jour de mon passage pour les examens ? J’ai cru que tu allais m’embrasser !
-Honnêtement ? J’ai hésité. Mais je ne sais pas… je me suis dit que ça t’aurait déconcentré, et je voulais un meilleur cadre pour notre premier bisou
-Ici c’est plutôt pas mal…
-On a bien choisi, ouais !
-Enfin, ce soir, c’était la farandole des signaux, b*rdel, de la voiture jusqu’à la danse, tu n’as pas arrêté
-Je voulais que ça se passe ce soir, c’était ta dernière chance de toute façon
-Pardon ??
-Bah, franchement, je m’attendais à ce que tu passes à l’action plus tôt… ce soir j’ai tout fait pour te faire comprendre que tu pouvais y aller… si tu n’avais rien fait ce soir, tu aurais pu passer ton chemin, ça aurait été terminé
-Ah t’es comme ça, toi ?
-Oui, clairement, à un moment, voilà quoi, alors j’ai mis le paquet
-C’est le moins qu’on puisse dire, j’allais exploser
-C’était le but

Je crois que c’était aussi ça qui m’avait fait tellement kiffé ce qui s’était passé : tout avait été organisé comme une relation parfaite, le genre qu’on ne voit que dans les films ou dans les romans de Balzac. Tout y avait été : la rencontre fortuite, la fréquentation régulière, la naissance progressive des sentiments amoureux, les jeux de séduction, les petits signaux envoyés les uns aux autres, puis enfin la conclusion de la relation… en fait, si je compare tout ça avec ce que j’avais connu avant, j’avais eu l’impression d’avoir fait le tour. J’avais eu Irem, la décadente prise juste un soir, Tutku la femme-maman protectrice, Yagmur l’amour raté, Aminata le grand écart, bref, j’avais l’impression d’avoir fait le tour, vraiment, et qu’il était grand temps, comme dit, de me poser et de rencontrer celle qu’il me fallait pour de vrai, le type de femme qui me convenait, et je crois bien que le petit caractère bien trempé de Damla était ce qu’il me fallait c’est aussi ce soir-là, ou plutôt cette nuit, que nous nous sommes ouverts l’un à l’autre sur notre passé amoureux, nos attentes… nous avions finalement conclu que cette discussion devait être remise à plus tard, et c’était le mieux à faire, et je n’y manquerai pas : je ne voulais pas faire une Yagmur numéro deux, il fallait quelque chose d’un peu plus structuré, pour éviter les déconvenues. Toutefois, Damla a voulu poser dès ce soir-là un sujet sur la table. Un sujet brûlant. Très brûlant, et dont je voyais dans ses yeux que ça la dérangeait profondément.
…

...
-Et elle ?
-Qui ça « elle » ?
-Tu sais très bien de qui je veux parler…
-Mmh… Tutku…
-Oui. Maintenant que nous … sommes allés plus loin, j’estime avoir le droit d’en savoir plus sur elle, où tu en es etc.
-Tu veux vraiment parler de ça maintenant ?
-Oui. Turkissou.
-Je t’ai déjà dit, elle a été mon… am/ante, disons… on a été en couple il y a très longtemps, quand je suis arrivé en Turquie, ça me semble déjà une éternité, mais aujourd’hui nos rapport sont amicaux, vraiment. Elle est là pour moi, je suis là pour elle, on se dit tout, c’est ma « meilleure amie », enfin c’est bizarre de dire ça, mais c’est le cas.
-Si je te demandais de la faire disparaître de ta vie, tu le ferais ?
-Est-ce que tu voudrais être avec un homme qui abandonne ses amis les plus chers sur un simple ordre ?
-Un ordre de la femme qui t’aime et que tu aimes.
-Et qui doit donc me faire confiance, et croire que je sais limiter mes relations.
-…
-…
-… Tu as raison. Je n’allais pas te le demander de toute façon, mais tu sais… J’ai peur, parfois, que… je ne sois pas sur le podium de ta vie, parmi les premières personnes. C’est bête, c’est romantique, peut-être un rêve fou, mais je ne veux pas être laissée de côté
-Eh, Damla… tu as vu ce que nous avons vécu ? Comme nous nous sommes attendus pendant des semaines ? Comme nous avons fait monter nos sentiments ? On est sur une fusée émotionnelle là, notre… relation, ne va sûrement pas en rester là et continuer de grandir. Tu ne seras jamais en reste dans ma vie. Jamais je ne te laisserais, jamais.

Ainsi, pendant toute une partie de la nuit, après les moments de découverte sensuelle et physique, nous avons eu de ces discussion sérieuses et posées dont un jeune couple a besoin pur se construire sur des bases solides. C’est ce qu’il fallait, et nous avons prévu de nouvelles discussions très prochaines, dès notre retour sur Istanbul, il était nécessaire de passer à la suite, et de solidifier notre relation. Ca partait sur de bonnes bases.
Nous avons fini par rejoindre le mariage : c’était là encore très particulier comme sensation. J’ai essayé de ne pas croiser le regard de Ceren, et encore moins celui de Merdan, b*rdel j’avais trop de bonheur dans les yeux pour qu’ils ne comprennent pas ce qu’il s’était passé. Damla est partie rejoindre ses cousines et amies… elle leur a glissé quelques mots… et elles se sont toutes mises à glousser. Ok c’était clair.
De mon côté, j’étais un peu plus esseulé : Fritz était sur la piste de danse en train de danser très proche de certaines cousines, Furkan était totalement absent, finalement je me suis retrouvé sur un canapé défoncé à prendre une ch/ich/a avec Deniz, le mec avait du s’enfiler des milliers de volutes dans toute la soirée, bref, je me demandais comment il tenait encore debout.
D’ailleurs, même Ali et Reyhan n’était plus là… alors, au bout d’un moment, Furkan et Fritz ont fini par nous rejoindre, sans trop nous dire ce qui s’était passé… on était tous complètement défoncés, il devait être aux alentours de 5h du matin, on était rincés comme jamais, tous nos membres n’étaient plus que du coton.
On s’est endormis sur le canapé, avec des coussins, deux ou trois couvertures, en fermant la tente pour garder un peu la chaleur et ne pas subir le froid de la nuit. Ce n’était pas si inconfortable que ça : je me souviens avoir poussé Deniz en bas du canapé pour pouvoir y dormir entièrement sans difficulté, très confortable.

Mes dernières pensées ne furent ni pour Reyhan et Ali, sans qui rien n’aurait été possible. Ni pour Tutku, à qui j’allais devoir annoncer la nouvelle. Ni à la discussion que je devais avoir avec Damla quant à notre avenir, vu que j’allais rentrer en France. Mes pensées n’étaient plus que pour Damla, et seulement elle, dans son entièreté de femme. Je n’avais plus la moindre envie de réfléchir dans le mal, je voulais penser sérieusement à la suite. Pour la première fois de ma vie, je m’imaginais à long, TRES long terme, avec une femme. Et … en plus… cette femme… zzzzz… c*l… j’kiffais…. Zzzz…

Le 13 juillet 2021 à 14:32:17 :
Sweet ou torsion testiculaire

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