[RISITAS] Un célestin à Istanbul
SWEET OU CANCER COLORECTAL
Le 13 octobre 2022 à 02:54:11 :
Turkissou la ddb va partir je rigole meme pas.
SWEET OU CANCER COLORECTAL
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CHAPITRE 144 : Bons baisers de Turquie
-Euuuh ? Eeeh, hein ? Euuh, hêrk, q-q-quoi ?
-Tu n’as pas besoin de parler
Damla et moi avions passé des semaines ensemble, des MOIS, en réalité. Je l’avais vue dans tous ses états. En colère, triste, fâchée, heureuse, un peu co/quine, comme je l’ai déjà décrit dans ces chapitres. Je l’ai vue enjouée, riante, froide, distante, elle m’avait fait passer par toutes les émotions, on en avait vu de toutes les couleurs, en réalité, mais ce soir était une nouvelle émotion à la palette que nous avions constituée ensemble, et il ne nous restait plus qu’à peindre une belle nuit d’amour ensemble
Et évidemment, les plus fidèles lecteurs de ces lignes auront repéré quelque chose d’assez étonnant. Quelques jours seulement auparavant, Damla et moi nous étions retrouvés dans une situation assez similaire, en rentrant de l’hosto, quand Furkan nous avait ramenés. La situation avait escaladé, vraiment escaladé, et on était presque allés là où il fallait, nous avions presque franchis le cap, mais, après discussion, j’avais compris qu’il valait mieux attendre, et honnêtement, malgré mon désir intense, j’avais trouvé tous ses arguments très legit
Mais pourquoi ? Pourquoi ce soudain revirement ? Etait-ce seulement un revirement ? Est-ce qu’elle voulait passer à la vitesse supérieure alors même qu’elle m’avait dit le contraire quelques jours auparavant ? Non, ce n’était pas son genre… et changer d’avis aussi vite sur un sujet aussi important… non, décidément pas son genre. Je me faisais toutes ces réflexions dans ma tête tandis que j’avais un sourire niais sur le visage (et de la bave aux lèvres ).
Heureusement, l’amour permet de décrypter l’alphabet du regard. Damla comprit toutes mes pensées. Elle eut un petit sourire gêné.
-Choqué ?
-A ton avis ?
-Je… je n’ai pas l’habitude de me mettre comme ça… enfin, d’habitude c’est dans le noir, parce que… je… enfin, je n’aime pas trop mon corps…
-Et pourtant…
-Face à toi, ça… ça va, je me sens mieux, assez en confiance, apparemment…
Cette jeune femme que tout le monde connaissait si forte de caractère, parfois un peu froide, je la connaissais douce, tendre, timide. La timidité et la pudeur sont les deux plus beaux sentiments qu’une femme peut affecter, j’étais (encore plus) sous le charme. Elle rougissait et ses mains glissaient un peu sur tout son corps, en cachant un peu ses bouts de peau, à droite et à gauche. C’était d’une délicatesse exquise. Et moi, je souriais de plus en plus bêtement, attendant la suite. Je me suis assis sur le canapé lit et ai fait dire à mes yeux « viens »
Elle s’approcha, presque sur la pointe des pieds. Toujours avec un léger sourire, et je regardais de plus en plus ses formes et ses courbes. Tous les kheys initiés savent qu’un corps de femme habillé n’est pas le même qu’un corps de femme en s/ous-vêtem/ent, et que nu, il est encore plus différent. Damla, je l’ai toujours dit, n’était nullement fat, mais elle avait des courbes spectaculaire et ses formes étaient bellement rondes. En s/ous-vêt/ement, à la lumière, elle n’en n’était pas moins belle, tout appelait à l’amour
Elle s’est approchée de moi. J’étais toujours assis sur le canapé-lit. Elle s’est approchée encore, et a posé ses mains sur mes épaules. Puis elle est montée sur moi. Elle a rapproché son corps du mien, sa petite poitrine était collée contre la mienne, ma béquille commençait à me déranger sérieusement dans le calebard, elle a approché son visage et ses cheveux ont créé comme un voile autour de nos visages, comme s’il n’y avait plus que nous deux. Il n’y avait plus que nous deux. Alors j’ai posé une main sur ses f/ess*s, une autre dans le creux de ses reins, et, la bouche entr’ouverte, je l’ai approchée d’un coup de mon corps, ce que nous avions entre les j/ambes étaient plus proches que jamais. A littéralement deux couches du tissu du dérapage nous nous sommes embrassés. Un baiser passionné comme nous savions les faire, pendant que son corps serpentait contre le mien, entre deux baisers et quelques gémissements. Je faisais pression sur le bas de ses reins pour rapprocher son entr-jambe du mien. La tension montait. Elle ralentit deux minutes.
-Tu te souviens de l’autre jour ?
-Bien sûr. Je me demandais aussi ce que c’était que… tout ça.
-Je n’ai pas changé d’avis. On ne veut pas le faire tout de suite, on est d’accord ?
-C’est ce qu’on avait convenu, en effet
-Mais j’ai quand même envie de te faire plaisir. Maintenant que tout devient plus… concret
-Et comment tu vas me faire plaisir ?
Elle sourit. Le sourire le plus timide, pudique, mais qui se transforma rapidement en sourire co/quin. Elle se mordit la lèvre en me regardant totalement dans les yeux, profondément et entièrement. Je ne savais pas ce qui allait se passer, honnêtement je n’en savais RIEN, mais nous allions passer un cap ce soir, je le savais, et elle savait qu’elle devait faire monter la température, et elle savait le faire… ou alors c’est moi qui n’avais aucune capacité de résistance en tout cas, j’étais un nage complète, j’ai rapidement enlevé mon haut, et ce moment les kheys, on l’oublie trop souvent, mais quand on est avec une femme, sentir sa peau contre votre peau, il n’y a rien de plus chair que ça, cette chaleur diffuse et réconfortante, peu importe la température, mais b*rdel tout était bon dans ces premières secondes qu’elle me donnait
La suite m’étonna encore plus. Alors que j’avais, dans ces domaines-là, une expertise CERTIFIEE, contrairement à elle, c’était elle qui avait décidé de prendre les commandes. On décida de diminuer la luminosité à la bonne manière, en jetant un petit voile sur ma lampe de chevet, ça aussi c’est le petit conseil bien cliché mais qui fonctionne merveilleusement bien.
Nous nous sommes couchés, en poursuivant nos embrassades passionnées. Elle a retiré mon pantalon et, toujours en so/us-vê/tement, elle se prélassait sur moi comme un chat qui prépare sa couche, et je voulais être sa couche ce soir, qu’elle se couche sur moi. Oui, ses mouvements au niveau de nos bassins étaient insistants, mais elle se retenait, et je ne voulais pas la brusquer. Mais je sentais qu’elle voulait quelque chose d’autre, quelque chose de plus. Je lui ai retiré ce qui lui restait en haut. Mais ce n'était pas ça, elle continua ses mouvements avec une certaine timidité, jusqu’à ce que mon regard la questionne franchement.
-Lève-toi.
-Ha ?
-Là, devant le lit.
Je me tenais debout, devant le lit, elle s’est mise accroupie dessus, elle m’a souri, encore toute rouge de nos « ch/astes é/bats ». Même si on était presque dans le noir, je voyais ses yeux briller d’une malice délicieuse, et les délices ne s’arrêteraient pas là.
Elle descendit ses mains. Elle baissa ce qu’il me reste. J’étais debout devant elle. Totalement dé/nudé. Elle passa ses mains sur tout mon corps, ma taille, ses hanches, puis elle embrassa mes pecs, mes abdos, puis elle descendit.
Voilà.
B*rdel.
C’est là qu’elle voulait en venir.
Elle me prit délicatement en bouche et me délivra en quelques minutes l’une des plus belles prestations que je reçus de toute ma vie. Sans rigoler, l’une des plus belles, et ce n’est pas peu dire. Une fois l’affaire terminée, je tremblais de partout, la sueur partout sur mon cœur, je commençais à avoir froid, mais je ne pouvais plus parler, ma gorge était sèche comme JAMAIS. Damla me regardait. Elle était encore en train de s’amuser un peu autour, en bas, et elle levait de temps en temps ses yeux pour me regarder et me sourire, voyant que je prenais mon pied avec un plaisir qui devait se lire sans la moindre difficulté
Je dus me coucher pour calmer mes tremblements, et je pris Damla dans mes bras pour l’amener à se coucher avec moi.
La soirée ne se finit pas comme ça. J’éteignis la lumière et commençais à m’occuper d’elle là où elle l’aimait tant. Je croquais sa poitrine, j’en jouais comme un gamin avec sa su/cette, ma langue, mes dents ne faisaient que suivre ses gémissements, c’était la seule règle : je fais quelque chose et elle gémit ? Je continue. Elle ne gémit plus ? Je change d’endroit. Toute la nuit s’organisa ainsi. Je crois, sans rire les kheys, que je n’avais jamais passé une nuit aussi longue. Et on ne s’était arrêtés que quelques heures avant le lever du soleil. Nous avons parcouru chaque parcelle de notre corps, nous avons cherché pendant des heures entières les endroits que nous aimions voir titiller par l’autre, et nous avons ri et jo/ui comme jamais. Ce plaisir donné, les kheys, c’est la valeur vraie de l’amour
Je ne connais Istanbul que par son aéroport (l'ancien Ataturk) car j'y transitais régulièrement à l'époque où je voyageait entre Marseille et Tokyo (excellent lounge en passant, ça faisait une coupure dans le voyage et permettait de se restaurer et prendre une douche avant de continuer le vol) J'ai remarqué l'extrême diversité des populations locales qui allait de la femme en voile intégral à la bimbo en mini jupe ralafoune.
J'espère pouvoir visiter la ville quand la situation se sera améliorée d'un pont de vue sanitaire, pour avoir baratiné une hôtesse dans le vol de la Turkish j'ai cru comprendre que la donzelle ottomane n'était pas des plus farouches et positivement ouverte à quelques expériences humides avec les visiteurs de passage. Certains d'entre vous ont ils déjà voyagé avec Pegasus? C'est la compagnie Low Cost locale?
Le 15 octobre 2022 à 11:43:37 :
Excellent ce Risitas, la plume est acerbe et les détails croustillants, félicitations.
Je ne connais Istanbul que par son aéroport (l'ancien Ataturk) car j'y transitais régulièrement à l'époque où je voyageait entre Marseille et Tokyo (excellent lounge en passant, ça faisait une coupure dans le voyage et permettait de se restaurer et prendre une douche avant de continuer le vol) J'ai remarqué l'extrême diversité des populations locales qui allait de la femme en voile intégral à la bimbo en mini jupe ralafoune.
J'espère pouvoir visiter la ville quand la situation se sera améliorée d'un pont de vue sanitaire, pour avoir baratiné une hôtesse dans le vol de la Turkish j'ai cru comprendre que la donzelle ottomane n'était pas des plus farouches et positivement ouverte à quelques expériences humides avec les visiteurs de passage. Certains d'entre vous ont ils déjà voyagé avec Pegasus? C'est la compagnie Low Cost locale?
J'ai voyagé avec Pegasus c'est du low cost. Sinon niveau meuf c'est pas ouf Istanbul. J'ai testé j'ai réussi à trouver deux copine mais en sortant les forceps sur 2 semaines de vacances. Les meufs sont pas si open que sa, elles vivent la plupart dans leurs familles donc pour coucher sa complique pas mal les choses. Pour moi c'est plutôt un point positif, elles cherchent plus un copain qu'un plan cul. Sa implique d'être investit dans la relation. Après faut aimer ou pas mais les turques ont une mentalité de petite princesse. Faut pas oublié que le mariage est très important en Turquie et que l'islam reste malgré tous derrière. Les relations avec les filles turques demandent pas mal d'énergie.
L'Ukraine, Biélorussie et Russie sont de bien meilleures destination pour les femmes. Je vais tester le Kazakhstan j'ai de bon retour sur Tinder.
Le 15 octobre 2022 à 16:13:06 :
Tout doit dépendre des endroits et du degré de religiosité des donzelles, j'avais également un doute sur l'importance de la religion dans le pays mais d'après l'OP ça ne semble pas les déranger plus que ça et il est assez aisé de conclure dans le détroit, comme on dit par chez nous ça bez fort dans le Bosphore
Comme je t'ai dit la plupart vivent chez leurs parents donc déjà sa compliquent pas mal les choses. Elles peuvent pas sortir comme elles veulent tous le temps et doivent tous le temps justifier ou elles vont. Il y a des filles turques qui couchent mais c'est plus dans l'optique d'une relation amoureuse souvent. C'est plus difficile de trouver juste un plan cul comme sa. La Turquie c'est pas la meilleure destination pour juste du sexe facile. Même si elles font modernes et tous, le spectre de l'islam est jamais loin.
L'Op est restée 4 mois ou 6. Il a eu le temps de faire des rencontres et de construire des relations.
Un autre soucis Istanbul est une très grande ville. En fonction de ou vie la fille sa peut compliquer la rencontre. En plus il y a pas mal de quartiers mal famé à Istanbul donc attention à ou tu met les pieds.
Données du topic
- Auteur
- Turkissou9
- Date de création
- 11 juillet 2021 à 20:23:23
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