Le moment le plus GLAUQUE de votre vie ?
Je connaissais une Femme qui était garde barrières de Passage à niveau
Sur une ligne de chemin de fer ou les trains peuvent passer à 200km h
La nuit les barrières sont fermées
Ça lui est arrivée à 2 reprises de tomber sur un cadavre éparpillé sur les voies au petit matin
Le 28 janvier 2021 à 00:46:52 TintinCouvreFeu a écrit :
Up
J'ai pas mal de famille cheminot donc c'est souvent en rapport avec un match gens + train
Un mecano ami de la famille a eu une suicidée sous son train
Ce qui est glauque c'est qu elle s'est suicidée en robe de mariée
Sinon toujours cette garde barrière : sa barrière est à la campagne
Entre les rapides de la ligne Paris Toulouse qui frôlent la maison à 160 200, l'été elle a souvent des vipères qui entrent dans sa guérite..
Elles aiment bien la chaleur du ballast et comme elles sont habituées au passage des trains elles ont plus peur des hommes
Mordu par 2 ou 3 vipères aspic on peut crever
Le 28 janvier 2021 à 00:50:07 TintinCouvreFeu a écrit :
J'ai pas mal de famille cheminot donc c'est souvent en rapport avec un match gens + trainUn mecano ami de la famille a eu une suicidée sous son train
Ce qui est glauque c'est qu elle s'est suicidée en robe de mariée
Je suis conducteur de train et des histoires glauques dans le genre y en a plein.
Un train qui percute un gosse de 7/8ans qui voulait ramasser un ballon tombé sur la voie. Un autre train croise le premier sur la voie d'a coté. Le gamin a littéralement été projeté sur le pare-brise de l'autre train et deménbré
Une autre fois un conducteur de TGV qui roule à 300 entend un bruit bizarre à un moment mais léger. Il regarde ses instruments de conduite, rien donc il continue. Il arrive en gare et voit des gens hurler, vomir et même une femme tomber dans les pommes au fur et à mesure qu'il ralentit et arrive.
Le train avait en fait taper un cycliste qui était resté encastré sur le nez du train
Sinon une fois je me suis fait courser par 2 jeunes sur une ligne de chemin de fer abandonnée à Paris
Ils avaient l'air tarés et ont cru que je les photographiais
Je fesais de l urbex
J'ai toujours la photo où l'on voit ces deux crétins en petit
C'était dans le 15eme en 2005 ou 2006
Ils sont peut être ici
Une fois aussi c'était il y a longtemps
Un mecano conduisant une train de grande ligne a envie de se dégourdir les jambes à un bref arrêt
Il vérifie le devant de sa Machine et voit un phare cassé
Dedans
C'était un cycliste qui avait grillé un passage à niveau
Se croyant invulnérable
Les trains c'est fascinant et effrayant
Tu est tellement rien à côté de ces monstres de fer et d'acier qui filent dans un bruit d'apocalypse
Le 26 janvier 2021 à 17:25:42 Gontran_775 a écrit :
j'ai trop fumé et j'ai eu ça:
https://www.youtube.com/watch?v=o7Vg1u-ZXE8
Éducateur spécialisé de nuit pour ma part
Je me situais dans le salon tranquille sur la switch avec une vieille chienne Labrador que j'adorais ( paix à son âme..) à mes côtés. Il faut savoir que cette chienne n'aboie ou ne se lève jamais pour rien, détails important.
Or cette fameuse nuit, j'entends du bruit en provenance de l'arrière du bâtiment, la cour, qui mène à un passage de rail de train. Je me rassure en me disant que c'était le train mais en voyant la chienne qui s'était levée en grognant j'ai de suite percuté que c'était pas normal. Soudain, l'électricité se coupe (panne générale car la rue n'était plus éclairée oire moment...).
Ni une ni deux je m'arme d'un manche de bois et j'avance doucement vers le bruit avec la chienne. J'eclaire la cour avec mon téléphone, je me sentais observer, instinctivement je me suis mis à hurler : LA POLICE EST EN ROUTE ! D'un coup j'ai vu un groupe de 3 4 personnes cagoules prendre la fuite aussitôt dans le noir...j'ai prévenu aussitôt la police et j'ai passé ma nuit avec un couteau et le manche à balais sous la main ^^
Le 26 janvier 2021 à 17:59:06 Agnostyc a écrit :
Il y a 5-6 ans, j'avais rendez-vous avec une fille dans le centre-ville de sa ville à elle, ville dont j'ai oublié le nom mais pas certains détails. Enfin bref. C'était une personne qui comptait pour moi car ça faisait plusieurs années qu'on se connaissait, on avait le le collège, le lycée, les études supérieurs ensemble. Bref, on était vraiment super proches, au point qu'on a finit par sortir ensemble, du coup, c'était vraiment le premier rendez-vous en tant que "copain copine" et pas juste potes.Donc on convient d'un rendez-vous, je l'appelle pour lui dire que j'ai un peu de retard tout ça, elle me dit qu'il y a pas de souci. Alors, je me gare non loin de la zone du rendez-vous et j'arrive une vingtaine de minute plus tard après sa confirmation. Et là que le cauchemar va commencer. Et avant toute chose, c'est certifié no fake.
---
Donc, je cherche à l'appeler et tout, envoi de messages mais j'ai aucune réponse. Ca m'inquiète un peu. Heureusement, avec la localisation de snapchat, j'arrive à savoir où elle se situe et étrangement, c'est une zone un peu vide et industriel que son portable est localisée. Alors, à partir de là, je me pose déjà quelques questions et j'fais très attention. J'ai toujours, sur moi, un cutter et un canif dans ma chaussette au cas où. Mieux vaut prévenir que guérir.
Du coup, je me rends au point GPS indiqué par le téléphone et je retrouve à moitié pété, au niveau de la vitre, devant l'entrée d'une usine désaffectée. Pour vous décrire, l'ambiance est tellement lugubre que j'en frissonne pendant au moins cinq minutes. Le vent soufflait assez fortement ensemble, ce qui rajoutait au bruit ambiant. Hésitant au début, je finis par pénétrer dans cette usine. Celle-ci est facilement pénétrable car la grande porte est oxydé par le temps et le manque d'entretien. Donc j'entre à l'intérieur et déjà, le vent fait grincer les différentes machines présentes. Des morceaux de verre jonchent sur le sol et une odeur nauséabonde semble s'échappe de ce même sol. Pour vous décrire un peu mieux, en fait, en face de la porte, c'est une graaaaande salle quasiment vide, où la lumière perce sur tout le centre et tout ce qui est à côté est plongé dans l'obscurité.
Plus j'avance pour me rapprocher du centre, plus j'entends le bruit des rats ou autres rongeurs, je sais pas exactement. Soudainement, la porte d'entrée violemment, avant de s'ouvrir et de se claquer une deuxième fois. Ca m'a fait sursauter comme jamais. Pour vous donner un ordre d'idée au niveau du temps, il devait 15h-15h30, je sais plus exactement. Bref, j'étais déjà pas bien. Puis, dans une alcôve un peu plus loin, je vois une porte tout aussi oxydé que la première qui s'ouvre mais dans un noir complet. Tout cela commence vraiment à me faire peur mais je me disais que si elle était ici, il fallait que je la retrouve. (oui a l'époque j'avais un esprit chevaleresque que j'ai perdu à cause de cette histoire.)
Du coup, j'emprunte la porte. Un long couloir assez étroit comme à se former, descendant légèrement. En pente, rien de bien insurmontable mais à partir de maintenant, tout va s'accélérer. A peine je descends, j'entends un hurlement strident pendant plus d'une dizaine de seconde. Dans ce cri, je reconnus ma copine alors, avec la lumière de mon téléphone, j'éclaire ce couloir. Sur ma droite, je finis par trouver une porte, je l'ouvre rapidement sans savoir ce qui m'attend... Et je tombe sur elle, avec le genou complètement flingué, vraiment distordu. Elle souffre le martyr comme jamais alors qu'on attend aussi, plus loin, quelque chose de frappe dans des tuyaux juste au-dessus du couloir, quelque chose de lourd, comme si on cogne avec un objet massif.
Sans perdre plus de temps, je prends ma copine par-dessus par-dessous et je cours avec elle vers la sortie. Pendant qu'on est dans le couloir, on entend un hurlement une fois en dehors de celui-ci et les bruits qui se font plus secs et violent. Je finis par la portée au moins jusqu'à la sortie et même plus finalement, jusqu'à ma voiture avant de se tailler à l'hôpital.
----
Bilan : Une fois qu'elle fut hospitalisée, on me dit que c'est son genou qui a été complètement fracturée, heureusement, ils vont pouvoir l'opérer. Evidemment, une fois arrivée à l'hopital, j'ai aussitôt prévenu les flics en leur donnant l'emplacement de l'usine. Malheureusement, depuis, j'ai aucune nouvelle. J'ai été traumatisé comme jamais par tout ça. Et encore aujourd'hui, j'en ressens les séquelles, les endroits abandonnées, me font avoir une syncope et actuellement, je suis incapable d'arriver en retard à un rdv, de peur que cette histoire recommence encore une fois.
Voila voila.
Chaud
En urbex on tombe parfois sur des tarés
Le 26 janvier 2021 à 17:59:06 Agnostyc a écrit :
Il y a 5-6 ans, j'avais rendez-vous avec une fille dans le centre-ville de sa ville à elle, ville dont j'ai oublié le nom mais pas certains détails. Enfin bref. C'était une personne qui comptait pour moi car ça faisait plusieurs années qu'on se connaissait, on avait le le collège, le lycée, les études supérieurs ensemble. Bref, on était vraiment super proches, au point qu'on a finit par sortir ensemble, du coup, c'était vraiment le premier rendez-vous en tant que "copain copine" et pas juste potes.Donc on convient d'un rendez-vous, je l'appelle pour lui dire que j'ai un peu de retard tout ça, elle me dit qu'il y a pas de souci. Alors, je me gare non loin de la zone du rendez-vous et j'arrive une vingtaine de minute plus tard après sa confirmation. Et là que le cauchemar va commencer. Et avant toute chose, c'est certifié no fake.
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Donc, je cherche à l'appeler et tout, envoi de messages mais j'ai aucune réponse. Ca m'inquiète un peu. Heureusement, avec la localisation de snapchat, j'arrive à savoir où elle se situe et étrangement, c'est une zone un peu vide et industriel que son portable est localisée. Alors, à partir de là, je me pose déjà quelques questions et j'fais très attention. J'ai toujours, sur moi, un cutter et un canif dans ma chaussette au cas où. Mieux vaut prévenir que guérir.
Du coup, je me rends au point GPS indiqué par le téléphone et je retrouve à moitié pété, au niveau de la vitre, devant l'entrée d'une usine désaffectée. Pour vous décrire, l'ambiance est tellement lugubre que j'en frissonne pendant au moins cinq minutes. Le vent soufflait assez fortement ensemble, ce qui rajoutait au bruit ambiant. Hésitant au début, je finis par pénétrer dans cette usine. Celle-ci est facilement pénétrable car la grande porte est oxydé par le temps et le manque d'entretien. Donc j'entre à l'intérieur et déjà, le vent fait grincer les différentes machines présentes. Des morceaux de verre jonchent sur le sol et une odeur nauséabonde semble s'échappe de ce même sol. Pour vous décrire un peu mieux, en fait, en face de la porte, c'est une graaaaande salle quasiment vide, où la lumière perce sur tout le centre et tout ce qui est à côté est plongé dans l'obscurité.
Plus j'avance pour me rapprocher du centre, plus j'entends le bruit des rats ou autres rongeurs, je sais pas exactement. Soudainement, la porte d'entrée violemment, avant de s'ouvrir et de se claquer une deuxième fois. Ca m'a fait sursauter comme jamais. Pour vous donner un ordre d'idée au niveau du temps, il devait 15h-15h30, je sais plus exactement. Bref, j'étais déjà pas bien. Puis, dans une alcôve un peu plus loin, je vois une porte tout aussi oxydé que la première qui s'ouvre mais dans un noir complet. Tout cela commence vraiment à me faire peur mais je me disais que si elle était ici, il fallait que je la retrouve. (oui a l'époque j'avais un esprit chevaleresque que j'ai perdu à cause de cette histoire.)
Du coup, j'emprunte la porte. Un long couloir assez étroit comme à se former, descendant légèrement. En pente, rien de bien insurmontable mais à partir de maintenant, tout va s'accélérer. A peine je descends, j'entends un hurlement strident pendant plus d'une dizaine de seconde. Dans ce cri, je reconnus ma copine alors, avec la lumière de mon téléphone, j'éclaire ce couloir. Sur ma droite, je finis par trouver une porte, je l'ouvre rapidement sans savoir ce qui m'attend... Et je tombe sur elle, avec le genou complètement flingué, vraiment distordu. Elle souffre le martyr comme jamais alors qu'on attend aussi, plus loin, quelque chose de frappe dans des tuyaux juste au-dessus du couloir, quelque chose de lourd, comme si on cogne avec un objet massif.
Sans perdre plus de temps, je prends ma copine par-dessus par-dessous et je cours avec elle vers la sortie. Pendant qu'on est dans le couloir, on entend un hurlement une fois en dehors de celui-ci et les bruits qui se font plus secs et violent. Je finis par la portée au moins jusqu'à la sortie et même plus finalement, jusqu'à ma voiture avant de se tailler à l'hôpital.
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Bilan : Une fois qu'elle fut hospitalisée, on me dit que c'est son genou qui a été complètement fracturée, heureusement, ils vont pouvoir l'opérer. Evidemment, une fois arrivée à l'hopital, j'ai aussitôt prévenu les flics en leur donnant l'emplacement de l'usine. Malheureusement, depuis, j'ai aucune nouvelle. J'ai été traumatisé comme jamais par tout ça. Et encore aujourd'hui, j'en ressens les séquelles, les endroits abandonnées, me font avoir une syncope et actuellement, je suis incapable d'arriver en retard à un rdv, de peur que cette histoire recommence encore une fois.
Voila voila.
Chaud
En urbex on tombe parfois sur des tarés
No fake
J'ai appris le jour de mon mariage que ma femme et moi nous avons un arrière grand parent en commun..
Le 26 janvier 2021 à 23:59:14 Agnostyc a écrit :
Le 26 janvier 2021 à 23:36:52 kheyRelax a écrit :
Le 26 janvier 2021 à 18:33:20 Agnostyc a écrit :
Le 26 janvier 2021 à 18:30:39 San-issou a écrit :
Le 26 janvier 2021 à 18:26:01 Agnostyc a écrit :
Le 26 janvier 2021 à 18:23:01 San-issou a écrit :
Le 26 janvier 2021 à 18:17:25 Agnostyc a écrit :
Et pourtant, rien de plus vrai. J'ai tellement été traumatiser que j'ai perdu le nom de la ville. Tout ce que je sais, c'est que ça s'est passé quelque part dans le Sud-Ouest.
Plus aucune nouvelle des flics ni de la fille.Mais selon toi c'est quoi qui faisait ce bruit ? genre un mec avec une barre de fer ou autre ? et la fille en question ne t'a pas expliqué comment elle s'est retrouvée là ? qui lui a fait ça ? pourquoi ?
Non. La cheville était vraiment distordu, la douleur l'a rendu inconsciente.
En fait, les flics m'ont demander de venir au commissariat juste après l'appel. Ils avaient l'air très inquiet. Du coup, j'ai pas pu être là à son réveil et depuis ce moment précis, elle m'a ghost et bloqué de partout, sans explication.
Quant aux flics, ils m'ont interroger mais ils avaient vraiment pas l'air dans leurs assiettes.. C'était vraiment étrange comme sentiment. Tu voyais qu'ils étaient pas chauds pour faire la déposition...EDIT : Pour le bruit, mon avis c'était un type qui devait séquestrer des gens. Pour les torturer. Entre l'endroit, l'ambiance et le bruit assourdissant dans un rythme précis jusqu'à ce que je nous fasse sortir du couloir et qui se tue avant de reprendre d'une manière plus violente... Y avait quelqu'un. Vu que le couloir continuait. Jusqu'où ? Je saurais jamais.. Et tant mieux sûrement.
Et genre la nana te ghost et toi tu essaie pas plus que ça de reprendre contact ? Moi je te le dis, je vis un truc comme ça, la meuf je la lâche pas et même si elle me bloque sur les réseaux et autre je campe devant chez elle pour lui parler !
C'est trop louche comme histoire.
J'ai évidemment essayer de savoir mais même quand je vais chez elle, elle répond pas. La dernière chose que j'ai eu, c'est de la part de sa mère, qui m'a dit qu'elle était finalement partie en HP, quelques dizaines de jours après cette histoire. Et en HP, j'ai jamais eu le droit de la voir, de part son refus de me voir, couplé au fait que j'ai aucun lien de famille.
Donc c'était mort. Et les flics, j'ai jamais eu de nouvelles, même en allant au commissariat. Comme si ça ne s'était jamais produit. Bref...
C’est hyper flippant. L’impression que on essaye de te cacher des choses...
C'est l'impression que j'ai eu. Mais le plus troublant, c'est la déposition.
Que des questions vagues, sans réel rapport du genre :- Quel faisait-il ?
- Y avait-il de l'herbe autour du complexe ?Bref, rien de rassurant..
Vraiment bizarre, cette histoire.
C'était dans le Sud-Ouest ? Où plus précisément ?
Si c'est vrai, ça sent l'enlèvement et le tueur en série... l'affaire a dû s'ébruiter dans la région. La fille a dû sacrément être traumatisée, n'empêche, si elle a fini en HP.
Le 14 juin 2019 à 22:52:56 IC3PEAKdesekour a écrit :
J'ai été à l'hôpital psychiatrique de jour quand j'avais 14 ans il y avait une rousse qui racontait sans arrêt ses histoires d'amour avec ses ex qui avaient tous un prénom arabe, qui gueulait « J'AI DU SANG LÀ PARCE QUE J'AI AVORTÉ MOI-MÊME » ou encore « J'AI PLUS D'ONGLES JE LES AI MANGÉS » tout en accompagnant ce propos de bruits d'onychophagie dégueulasses (c'est pas grand chose mais ça me donnait la nausée car les bruits étaient vener, elle devait vraiment manger de gros bouts d'ongles avec hargne une fois j'étais dans une pièce dans laquelle il n'y avait personne à part elle et une infirmière, la folle disait ses trucs de folle et quand elle a commencé à se ronger les ongles j'ai déguerpi car ça me soulevait le cœur et une infirmière qui était dans le couloir vers lequel j'ai déguerpi a demandé où j'allais, j'avais répondu un truc comme « je préfère me jeter d'une falaise plutôt que continuer à écouter cette folle raconter sa vie » et elle m'a répondu « tu veux QUOI »)
elle mettait du Reyel à fond dans l'HP
Elle racontait ses fugues dans lesquelles elle faisait le tour de la France en train
Elle fuguait de son foyer pour venir dans l'HP
Une fois elle avait dit « j'ai peur de faire une crise parce que j'ai pas mon patch » ce à quoi une infirmière avait répondu « mais ton père il te l'a remis » alors la rousse avait éclaté d'un faux rire tonitruant et complètement exagéré avant de gueuler « JLAI ENLEVÉ IL ME GRATTAIT »
Des fois elle s'allongeait sur le canapé et frappait le mur pendant des plombes
Elle me grattait l'amitié et voulait que je fume avec elle alors que je fumais pas (et je fume toujours pas)
Il y a des fous bieeeeeeeeen pires qu'elle mais bon sang qu'est-ce qu'elle me saoulait
Mais nan
Données du topic
- Auteur
- Kheyssuscitay--
- Date de création
- 14 juin 2019 à 22:45:32
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