Topic de Kheyssuscitay-- :

Le moment le plus GLAUQUE de votre vie ?

Le 28 janvier 2021 à 18:58:08 Starr_le_tueur a écrit :

Le 26 janvier 2021 à 23:59:14 Agnostyc a écrit :

Le 26 janvier 2021 à 23:36:52 kheyRelax a écrit :

Le 26 janvier 2021 à 18:33:20 Agnostyc a écrit :

Le 26 janvier 2021 à 18:30:39 San-issou a écrit :

Le 26 janvier 2021 à 18:26:01 Agnostyc a écrit :

Le 26 janvier 2021 à 18:23:01 San-issou a écrit :

Le 26 janvier 2021 à 18:17:25 Agnostyc a écrit :
Et pourtant, rien de plus vrai. J'ai tellement été traumatiser que j'ai perdu le nom de la ville. Tout ce que je sais, c'est que ça s'est passé quelque part dans le Sud-Ouest.
Plus aucune nouvelle des flics ni de la fille.

Mais selon toi c'est quoi qui faisait ce bruit ? genre un mec avec une barre de fer ou autre ? et la fille en question ne t'a pas expliqué comment elle s'est retrouvée là ? qui lui a fait ça ? pourquoi ?

Non. La cheville était vraiment distordu, la douleur l'a rendu inconsciente.

En fait, les flics m'ont demander de venir au commissariat juste après l'appel. Ils avaient l'air très inquiet. Du coup, j'ai pas pu être là à son réveil et depuis ce moment précis, elle m'a ghost et bloqué de partout, sans explication.
Quant aux flics, ils m'ont interroger mais ils avaient vraiment pas l'air dans leurs assiettes.. C'était vraiment étrange comme sentiment. Tu voyais qu'ils étaient pas chauds pour faire la déposition...

EDIT : Pour le bruit, mon avis c'était un type qui devait séquestrer des gens. Pour les torturer. Entre l'endroit, l'ambiance et le bruit assourdissant dans un rythme précis jusqu'à ce que je nous fasse sortir du couloir et qui se tue avant de reprendre d'une manière plus violente... Y avait quelqu'un. Vu que le couloir continuait. Jusqu'où ? Je saurais jamais.. Et tant mieux sûrement.

Et genre la nana te ghost et toi tu essaie pas plus que ça de reprendre contact ? Moi je te le dis, je vis un truc comme ça, la meuf je la lâche pas et même si elle me bloque sur les réseaux et autre je campe devant chez elle pour lui parler !

C'est trop louche comme histoire.

J'ai évidemment essayer de savoir mais même quand je vais chez elle, elle répond pas. La dernière chose que j'ai eu, c'est de la part de sa mère, qui m'a dit qu'elle était finalement partie en HP, quelques dizaines de jours après cette histoire. Et en HP, j'ai jamais eu le droit de la voir, de part son refus de me voir, couplé au fait que j'ai aucun lien de famille.

Donc c'était mort. Et les flics, j'ai jamais eu de nouvelles, même en allant au commissariat. Comme si ça ne s'était jamais produit. Bref...

C’est hyper flippant. L’impression que on essaye de te cacher des choses...

C'est l'impression que j'ai eu. Mais le plus troublant, c'est la déposition.
Que des questions vagues, sans réel rapport du genre :

- Quel faisait-il ?
- Y avait-il de l'herbe autour du complexe ?

Bref, rien de rassurant..

Vraiment bizarre, cette histoire.
C'était dans le Sud-Ouest ? Où plus précisément ?
Si c'est vrai, ça sent l'enlèvement et le tueur en série... l'affaire a dû s'ébruiter dans la région. La fille a dû sacrément être traumatisée, n'empêche, si elle a fini en HP.

J'ai lu l'histoire et elle est vraiment surprenante. Ce serait bien que tu visionnes sur google maps le sud ouest de la France et que tu essayes de voir tous les noms de ville, les lieux etc. pour qu'on puisse visualiser l'endroit. Je trouve ça bizarre que la fille t'ait bloqué. Peut-être que son état de choc immédiat l'a faite réagir comme ça, mais maintenant ? :(

Le 28 janvier 2021 à 00:02:35 Agnostyc a écrit :

Le 27 janvier 2021 à 10:10:01 dalil59 a écrit :
Bizarre l'histoire du khey, elle était inconsciente mais à crier ?

Elle a crié et la douleur l'a fait tomber inconsciente.

Je suis arrivé pendant qu'elle sombrait dans son "coma". https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png

Khey, je te crois mais soyons sérieux :hap:

Déjà la meuf si elle dit plus rien, tu vas voir sa mère pour comprendre si ton ex croit que t'y es pour QQ chose ( elle est peut être devenue folle et est persuadee que c'est toi )
Tu demandes aussi a sa mère de t'expliquer ce qu'il s'est passe. Si tu lui dis que t'es traumatisé et que t'as besoin de savoir pour un semblant de vie normale, elle le fera.

Pareil pour les flics, si ils continuent de nier et de rien expliquer, ce que y'a quelque chose qui cloche, je sais pas moi je serais carrément aller raconter ca a un journaliste pour faire cracher le morceau au flic ou je les aurais harcelé car t'es dans ton bon droit de savoir ce qui s'est passe et ou en est l'enquête vu que t'es une victime " indirecte "

Enfin apres, je comprends si tu preferes oublier et pas te rendre malade avec ca

Le 11 décembre 2020 à 04:15:34 Pseud098 a écrit :
up

Le 16 décembre 2020 à 02:02:22 trafiquants a écrit :
Me retrouver accroupi à côté de trois mecs qui fument du crack dans le pire quartier de São Paulo en attendant que l’un d’entre eux qui est mon “guide” finisse sa pipe pour pouvoir quitter les lieux et qu’il me ramène en périphérie de ce quartier d’où je connais le chemin pour rentrer chez moi https://image.noelshack.com/fichiers/2017/50/1/1513020307-jesusjointtransparent.png

Les gens shootés au vrai font peur :peur:

Le 29 janvier 2021 à 14:52:01 TintinNocturne a écrit :

Le 11 décembre 2020 à 04:15:34 Pseud098 a écrit :
up

Le 16 décembre 2020 à 02:02:22 trafiquants a écrit :
Me retrouver accroupi à côté de trois mecs qui fument du crack dans le pire quartier de São Paulo en attendant que l’un d’entre eux qui est mon “guide” finisse sa pipe pour pouvoir quitter les lieux et qu’il me ramène en périphérie de ce quartier d’où je connais le chemin pour rentrer chez moi https://image.noelshack.com/fichiers/2017/50/1/1513020307-jesusjointtransparent.png

Les gens shootés au vrai font peur :peur:

J'en ais déjà croisé en urbex :mort:

Plus jamais :peur:

Page 217 l histoire de Agnostic est pour moi 100% fake. Je trouve ça bizarre que personne ne releve ça.

L histoire est là mais le reste ya rien
- Pas de lieu (nom de ville)
- Pas d epilogue
- Pas d explication
- Pas de contacts
- Que du flou

Et SURTOUT LA LOCALISATION SNAPCHAT EXISTE DEPUIS OCTOBRE 2017.

L auteur nous parle d une histoire d il y a 5 6 ans soit 2015-2016 (et encore je suis gentil on est en janvier 2021 JE pourrais dire 2014-2015)

+ le rdv fixée à l heure H.

Le mec a 20 minutes de retards.
En 20 minutes, la fille a eu le temps de se faire enlever + amené ? Il lui avait donné rdv dans une foret ou quoi ?

Une fois j'ai posté un topic sur le fofo et il a mystérieusement disparu sans message de glados ou rien du tout. Askip ça relève du paranormal
je marche tranquille dans la rue, une voiture passe pas loin de moi, 3 mecs en sortent pr me bloquer contre le mur j'ai eu le temps de mettre un coup de pied à un des gars et taper le run de ma vie, jamais eu autant d'adrénaline.

Le 29 janvier 2021 à 16:20:14 Super-Tingle a écrit :
+ le rdv fixée à l heure H.

Le mec a 20 minutes de retards.
En 20 minutes, la fille a eu le temps de se faire enlever + amené ? Il lui avait donné rdv dans une foret ou quoi ?

Indépendamment de cela, je trouve ca étonnant de pas aller chercher plus loin dans les explications :ok: ( cf mon post plus haut )

Je bosse dans les pompes funèbres.

Ma première semaine en tant que salarié d'une petite boîte de pompes funèbres, mon patron, un autre gars et moi partons pour Nice.
Personne ne me dit ce qu'on va faire mais c'est assez normal, on en discute sur la route.
Mon patron me dit que lui et moi on va faire des papiers à la mairie, pendant que l'autre gars effectuera la mise en bière d'un defun.

Ça me paraît bizarre car on ne fait jamais de mise en bière seul, ça peut être dangereux pour le dos.

On arrive à l'hôpital pour poser le gars, et partir faire les papiers. Sauf que le gars question revient avant qu'on soit parti et explique qu'il "ne peut pas, c'est trop dur".

Je demande et mon patron m'explique que le défunt est... un bébé de 3 ans mort empoisonné par des médicaments pour adultes. A cause de sa mère stupide.

Je me retrouve donc, seul, avec mon petit cerceuil blanc sur un chariot, devant morgue de l'hôpital de Nice (pire morgue ever d'ailleurs).

Le gars en charge de la morgue se pointe et je le suis, il ne me dit pas bonjour, ni rien d'autre d'ailleurs. Il me fait passer par la partie technique, et me désigne un grand rideau, puis il me dit d'attendre derrière.

Je passe le rideau. Derrière se trouve un "box" avec une chaise et une petite table sur laquelle se trouve une vieille fleur en plastique.

Deux murs de la pièce sont en dur, et les deux autres sont de grands rideaux. Celui par le quel je suis entré mène à la partie technique, l'autre à la salle d'attente des familles.

Je me dirige donc là, et j'appelle doucement la famille du bébé, pour les informer de la mise en bière imminente.

La famille (4 personnes, les deux parents et leurs pères) m'accordent à peine un regard, ce qui est normal.
Je retourne derrière le rideau, dans le box, et là c'est l'horreur.

Le gamin décédé est nu, sur une table en inox. De grandes cicatrices très épaisses partent de son bas ventre jusqu'à son cou, et pareil dans son dos.
Il n'a eu ni soin, ni habillage.
A côté de lui, un body, des chaussettes, un bonnet et un nounours. Je suis pétrifié. Je comprends que je dois l'habiller.

Je n'ai jamais fait ça avant.

Je respire un grand coup, j'ouvre et prépare le cerceuil, j'enfile 2 paires de gants, je met mes écouteurs avec une musique sympa, et je me met au boulot.

Ça été une galère sans nom.

La couture du dos s'est prise dans la fermeture du body, et elle s'est ouverte, un liquide jaune et rouge à coulé partout.

Je vous épargne le reste, un quart d'heure plus tard le l'avais habillé, présenté, et nettoyé.

Je suis retourné voir la famille. La mère est entrée, à pris l'unique chaise et c'est assise à côté du cerceuil de son enfant.
Le père s'est mis derrière elle, les mains sur ses épaules.
Les deux grands père son restés dehors, avec moi.

L'un d'eux est sorti fumer, le second à commencé à me parler, il m'a tout raconté depuis la naissance du petit, sans s'arrêter. Les disputes dans la famille, son divorce, les difficultés pour voir l'enfant, et finalement la maladie du petit.
Gastro, toute bête.
Médicaments pour adulte, l'habitude.
Le petit qui change de couleur en 2 minutes, puis qui cesse de respirer.

L'appel paniqué aux urgences, trop tard.

A ce moment, moi, un jeune célestin de 23 ans, je me retrouve avec un homme d'affaire de 60 ans, détruit, qui tombe dans mes bras, en pleurs.

Je garde la tête froide, je ferme mon visage et mon cœur, complètement. Ne pas se laisser submerger.
Le père et la mère ressortent, en silence.

La mère me souffle un "merci" et s'en va.

J'ai pas craqué ce jour là, mais depuis, j'ai les pires insomnies imaginables.

Le 30 janvier 2021 à 02:39:12 Eragoe2 a écrit :
Je bosse dans les pompes funèbres.

Ma première semaine en tant que salarié d'une petite boîte de pompes funèbres, mon patron, un autre gars et moi partons pour Nice.
Personne ne me dit ce qu'on va faire mais c'est assez normal, on en discute sur la route.
Mon patron me dit que lui et moi on va faire des papiers à la mairie, pendant que l'autre gars effectuera la mise en bière d'un defun.

Ça me paraît bizarre car on ne fait jamais de mise en bière seul, ça peut être dangereux pour le dos.

On arrive à l'hôpital pour poser le gars, et partir faire les papiers. Sauf que le gars question revient avant qu'on soit parti et explique qu'il "ne peut pas, c'est trop dur".

Je demande et mon patron m'explique que le défunt est... un bébé de 3 ans mort empoisonné par des médicaments pour adultes. A cause de sa mère stupide.

Je me retrouve donc, seul, avec mon petit cerceuil blanc sur un chariot, devant morgue de l'hôpital de Nice (pire morgue ever d'ailleurs).

Le gars en charge de la morgue se pointe et je le suis, il ne me dit pas bonjour, ni rien d'autre d'ailleurs. Il me fait passer par la partie technique, et me désigne un grand rideau, puis il me dit d'attendre derrière.

Je passe le rideau. Derrière se trouve un "box" avec une chaise et une petite table sur laquelle se trouve une vieille fleur en plastique.

Deux murs de la pièce sont en dur, et les deux autres sont de grands rideaux. Celui par le quel je suis entré mène à la partie technique, l'autre à la salle d'attente des familles.

Je me dirige donc là, et j'appelle doucement la famille du bébé, pour les informer de la mise en bière imminente.

La famille (4 personnes, les deux parents et leurs pères) m'accordent à peine un regard, ce qui est normal.
Je retourne derrière le rideau, dans le box, et là c'est l'horreur.

Le gamin décédé est nu, sur une table en inox. De grandes cicatrices très épaisses partent de son bas ventre jusqu'à son cou, et pareil dans son dos.
Il n'a eu ni soin, ni habillage.
A côté de lui, un body, des chaussettes, un bonnet et un nounours. Je suis pétrifié. Je comprends que je dois l'habiller.

Je n'ai jamais fait ça avant.

Je respire un grand coup, j'ouvre et prépare le cerceuil, j'enfile 2 paires de gants, je met mes écouteurs avec une musique sympa, et je me met au boulot.

Ça été une galère sans nom.

La couture du dos s'est prise dans la fermeture du body, et elle s'est ouverte, un liquide jaune et rouge à coulé partout.

Je vous épargne le reste, un quart d'heure plus tard le l'avais habillé, présenté, et nettoyé.

Je suis retourné voir la famille. La mère est entrée, à pris l'unique chaise et c'est assise à côté du cerceuil de son enfant.
Le père s'est mis derrière elle, les mains sur ses épaules.
Les deux grands père son restés dehors, avec moi.

L'un d'eux est sorti fumer, le second à commencé à me parler, il m'a tout raconté depuis la naissance du petit, sans s'arrêter. Les disputes dans la famille, son divorce, les difficultés pour voir l'enfant, et finalement la maladie du petit.
Gastro, toute bête.
Médicaments pour adulte, l'habitude.
Le petit qui change de couleur en 2 minutes, puis qui cesse de respirer.

L'appel paniqué aux urgences, trop tard.

A ce moment, moi, un jeune célestin de 23 ans, je me retrouve avec un homme d'affaire de 60 ans, détruit, qui tombe dans mes bras, en pleurs.

Je garde la tête froide, je ferme mon visage et mon cœur, complètement. Ne pas se laisser submerger.
Le père et la mère ressortent, en silence.

La mère me souffle un "merci" et s'en va.

J'ai pas craqué ce jour là, mais depuis, j'ai les pires insomnies imaginables.

Pourquoi tu bosses la dedans khey :(
Force à toi mais change de métier bordel :(

Le 30 janvier 2021 à 05:32:26 RLodbrok a écrit :

Le 30 janvier 2021 à 02:39:12 Eragoe2 a écrit :
Je bosse dans les pompes funèbres.

Ma première semaine en tant que salarié d'une petite boîte de pompes funèbres, mon patron, un autre gars et moi partons pour Nice.
Personne ne me dit ce qu'on va faire mais c'est assez normal, on en discute sur la route.
Mon patron me dit que lui et moi on va faire des papiers à la mairie, pendant que l'autre gars effectuera la mise en bière d'un defun.

Ça me paraît bizarre car on ne fait jamais de mise en bière seul, ça peut être dangereux pour le dos.

On arrive à l'hôpital pour poser le gars, et partir faire les papiers. Sauf que le gars question revient avant qu'on soit parti et explique qu'il "ne peut pas, c'est trop dur".

Je demande et mon patron m'explique que le défunt est... un bébé de 3 ans mort empoisonné par des médicaments pour adultes. A cause de sa mère stupide.

Je me retrouve donc, seul, avec mon petit cerceuil blanc sur un chariot, devant morgue de l'hôpital de Nice (pire morgue ever d'ailleurs).

Le gars en charge de la morgue se pointe et je le suis, il ne me dit pas bonjour, ni rien d'autre d'ailleurs. Il me fait passer par la partie technique, et me désigne un grand rideau, puis il me dit d'attendre derrière.

Je passe le rideau. Derrière se trouve un "box" avec une chaise et une petite table sur laquelle se trouve une vieille fleur en plastique.

Deux murs de la pièce sont en dur, et les deux autres sont de grands rideaux. Celui par le quel je suis entré mène à la partie technique, l'autre à la salle d'attente des familles.

Je me dirige donc là, et j'appelle doucement la famille du bébé, pour les informer de la mise en bière imminente.

La famille (4 personnes, les deux parents et leurs pères) m'accordent à peine un regard, ce qui est normal.
Je retourne derrière le rideau, dans le box, et là c'est l'horreur.

Le gamin décédé est nu, sur une table en inox. De grandes cicatrices très épaisses partent de son bas ventre jusqu'à son cou, et pareil dans son dos.
Il n'a eu ni soin, ni habillage.
A côté de lui, un body, des chaussettes, un bonnet et un nounours. Je suis pétrifié. Je comprends que je dois l'habiller.

Je n'ai jamais fait ça avant.

Je respire un grand coup, j'ouvre et prépare le cerceuil, j'enfile 2 paires de gants, je met mes écouteurs avec une musique sympa, et je me met au boulot.

Ça été une galère sans nom.

La couture du dos s'est prise dans la fermeture du body, et elle s'est ouverte, un liquide jaune et rouge à coulé partout.

Je vous épargne le reste, un quart d'heure plus tard le l'avais habillé, présenté, et nettoyé.

Je suis retourné voir la famille. La mère est entrée, à pris l'unique chaise et c'est assise à côté du cerceuil de son enfant.
Le père s'est mis derrière elle, les mains sur ses épaules.
Les deux grands père son restés dehors, avec moi.

L'un d'eux est sorti fumer, le second à commencé à me parler, il m'a tout raconté depuis la naissance du petit, sans s'arrêter. Les disputes dans la famille, son divorce, les difficultés pour voir l'enfant, et finalement la maladie du petit.
Gastro, toute bête.
Médicaments pour adulte, l'habitude.
Le petit qui change de couleur en 2 minutes, puis qui cesse de respirer.

L'appel paniqué aux urgences, trop tard.

A ce moment, moi, un jeune célestin de 23 ans, je me retrouve avec un homme d'affaire de 60 ans, détruit, qui tombe dans mes bras, en pleurs.

Je garde la tête froide, je ferme mon visage et mon cœur, complètement. Ne pas se laisser submerger.
Le père et la mère ressortent, en silence.

La mère me souffle un "merci" et s'en va.

J'ai pas craqué ce jour là, mais depuis, j'ai les pires insomnies imaginables.

Pourquoi tu bosses la dedans khey :(
Force à toi mais change de métier bordel :(

Putain l'horreur... Comme le dit mon vdd, change de taff ! Pendant une période de chômage, on m'avais proposé de faire ce taff, j'y ai réfléchis 5 min et je me suis dit que je finirais sous prozac dans les jours qui suivront, j'ai refusé ! Emotionnellement faut être soit très très fort, soit un psychopathe pour subir ça sans réagir !

Le 31 janvier 2021 à 02:20:14 TintinNocturne a écrit :
:up:

Le 31 janvier 2021 à 02:21:57 TintinNocturne a écrit :
:up:

Le 31 janvier 2021 à 02:31:31 TintinNocturne a écrit :
:up:

Le 14 juin 2019 à 23:34:43 Tytonides a écrit :

Le 14 juin 2019 à 23:30:43 Kheyssuscitay-- a écrit :

Le 14 juin 2019 à 23:28:26 Tytonides a écrit :
Un pédophile qui commençait à me palper l'entrejambe dans une file d'attente pour visiter un lieu très connu (à l'étranger)
J'avais 17 ans

Où ça khey ?
Ça me rappelle que j'ai eu la même expérience :ouch:
Mais je l'avais engueulé et je m'étais cassé :(
C'était au Cambodge moi :(

En Palestine, pour visiter la grotte où serait né Jesus.
J'étais dans la file d'attente, bloqué dans un couloir donc impossible de partir, j'avais ma famille qui était loin devant moi. J'étais seul, y avait énormément de monde autour de moi et je me rappelle encore de ce petit moustachu qui ressemble au personnage de la panthère rose qui me parlait dans une langue étrangère et qui commençait à me palper l'entrejambe

Certifié nofake

heureusement que t'étais pas plus jeune :malade:

l'histoire du khey avec le petit m'a filé un énorme coup au moral :-(

Données du topic

Auteur
Kheyssuscitay--
Date de création
14 juin 2019 à 22:45:32
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