Le moment le plus GLAUQUE de votre vie ?
Le 26 septembre 2020 à 10:21:56 pqpas01 a écrit :
J’avais 8 ans environ je marchais pour rentrer de l’école et là un mec m’arrête et me parle 5 minutes pour me demander une cabine téléphonique. Et la d’un coup il me dit « tu veux me sucer » bizarrement j’ai pas pigé la finalité mais j’ai senti que ça puait la merde, et du coup gros blanc et la le type m’a sorti sa bite. Du coup je me suis cassé en courant
Putain je choppe en vrai ce genre d etron je le castre
Avec mon frère et un pote, on s'entrainait au foot à 3 au stade près d'une cité.
Après avoir fini on sort et au loin on voit une bande de wesh (environ 30).
L'un d'eux en scooter se ramène vers nous et s'arrête, c'était un gitan, il dit a mon grand frère ce qu'on faisait, et là il gueule vers ses potes au loin en disant "hey venez voir!!"
ses potes viennent pas alors du coup il nous dit "bougez pas on revient" au moment où il va chercher ses 30 potes on se regarde tous les 3 et on est partis dans les ruelles en courant pour rentrer chez nous
on entendait le scooter qui patrouillait
Le 26 septembre 2020 à 11:10:39 Troglonaute25 a écrit :
Le 26 septembre 2020 à 10:21:56 pqpas01 a écrit :
J’avais 8 ans environ je marchais pour rentrer de l’école et là un mec m’arrête et me parle 5 minutes pour me demander une cabine téléphonique. Et la d’un coup il me dit « tu veux me sucer » bizarrement j’ai pas pigé la finalité mais j’ai senti que ça puait la merde, et du coup gros blanc et la le type m’a sorti sa bite. Du coup je me suis cassé en courantPutain je choppe en vrai ce genre d etron je le castre
A 8 ans tu cours crois moi. Pourtant j’étais une p’tite teigne avec les mecs de mon âge mais la ton cerveau il sait que c’est pas jouable
Le 29 septembre 2020 à 14:16:42 Troglonaute25 a écrit :
Le 26 septembre 2020 à 14:45:47 Troglonaute25 a écrit :
Pourquoi les meilleurs topics bident
Un sorte de choc type stress post traumatique après avoir vu un proche mourir.
Au travail, je me suis retrouvé pendant quelques minutes hagards (tout du moins c'est ce que m'ont dit des collègues et des clients). J'avais perdu le fil du temps, tout ce que j'entendais c'était le râle d'agonie de mon proche. Au final j'ai pas fais le con et pris mes 3 jours de deuil.
Lorsque j'étais enfant, en pleine randonnée familiale, 2 motos qui passent à fond sur la route. 1-2 min plus tard, une énorme détonation.
Arrivé sur place quelques minutes après : un des motards a fait un frontal avec une voiture dans un virage. La famille qui était dans la voiture qui pleure dans un coin, le motard un peu plus loin sur le dos - son collègue motard assis la tête dans les bras en plein choc émotionnel. Des pompiers déjà présents à coté du motard qui essayent de le réanimer.
Le journal confirmera sa mort.
Une soirée avec des potes.
On s'était dit que ce serait marrant de faire des spaces cakes mais vu qu'on avait aucune idée du dosage on a mis baucoup trop de beuh dans le gateau.
La soirée a été une longue décente aux enfers.
Tout d'abbord j'ai été pommé et répondait à coté de la plaque quand on me posait une question, ça allait encore. Ensuite mon esprit était en surchauffe, je faisait des raisonnement dans ma tête mais j'étais incapable de mettre des mot dessus. À ce moment les gens on compris que j'allait pas bien et m'ont donné un jouet pour m'occuper. Puis un pote c'est sentis mal et a finis sa soirée aux toilettes. C'est à ce moment là que j'ai péter un cable.
J'étais persuadé que le gars était mort d'overdose et que les autres essayaient de me le cacher. Et ils avaient beau me dire que non, pour moi ça confirmait juste qu'ils me mentaient. Je les ai insulté de tous les nom puis suis allé gueuler au balcon pour qu'on nous aide. C'était pendant un festival donc il y avait plein de monde dans la rue. Je suis ensuite descendu dans la rue pour ouvrir les gens puis c'est le flou.
D'après mes potes un gars m'a mit ko pour me calmer et les a aidé à me remonter dans l'appart. Ensuite j'était sur le sol de la chambre à moitier conscient, je faisait une sorte de rêve où je revivais toute ma vie et tout les moments importants. puis un vortex essayait de m'aspirer vers le néant et à chaque fois que j'allais être aspiré j'avais une convulsion (dans le rêve et en vrai) et s'était comme si je faisais du saut à l'élastique. Je profitais de mes quelques moments de conscience pour insulter le pote qui avait rien pris.
Puis les pompiers sont arrivés, j'en ai insulté un de "sale immigré de merde" alors qu'il était blanc et vu que j'était trop agité ils m'ont envelopé dans un couverture rigide qui dans mon délire s'était transformé en un cerceuil et ils m'ont administré un calmant qui a fait que j'ai été aspiré par le vortex puis un blackout total.
Je me suis réveillé à l'hopital en étant persuadé d'avoir révé de tout ces événements à cause du calmant, mais mes potes m'ont bien confirmé que j'ai insulté tout le monde pendant que j'étais défoncé.
Pas spécialement glauque mais étrange :
Quand j'avais 15-16 ans je faisais pas mal d'hallucinations hypnagogique, c'est à dire au moment de l'endormissement.
Ça arrivait la plupart du temps quand j'étais ultra fatigué, du style quand je rentrais de soirée après une nuit blanche et que je m'affalais dans mon lit à 8h du matin. Dans ces moments là je tombais dans une phase bizarre à mi chemin entre le sommeil et l'éveil, déjà bien dans les vapes mais encore conscient et capable de sentir mon corps. Et là tu te mets à rêver en restant conscient, je pouvais entendre ma voisine raconter sa vie ou ce genre de chose. Vu que tu reste lucide tu peux t'extraire de cet état. Donc j'hallucinais, je décidais d'ouvrir les yeux et tout s'arrêtait, puis je refermais les yeux, je retombais dans les vapes et ça recommençais, jusqu'à que je finisse par m'endormir pour de bon
Ah oui aussi une histoire assez triste et un peu glauque. J'étais avec des potes dans le bar juste en face de ma FAC, en terrasse à boire des bières après les cours, il devait être 18h. Soudain avec un pote on aperçoit un vieux monsieur, l'air perdu, la démarche hésitante qui commence à se diriger vers la cours d'honneur de la FAC. Il y a souvent des évènements et des conférences ouvertes au public donc qu'un vieux monsieur y rentre n'est pas forcément étonnant mais dans le cas présent même de loin on voyait bien que quelque chose n'allait pas. Avec mon pote on se décide finalement à aller voir ce qu'il se passait. Arrivé dans la grande cours d'honneur on ne le retrouve pas immédiatement, jusqu'à ce qu'on l'aperçoive se diriger vers un coin reculé aboutissant sur le parking sous terrain des personnels. On va le voir pour lui demander s'il cherche quelque chose ou a besoin d'aide. Le monsieur nous répond à peine, il a le regard dans le vide, ne semble pas savoir ce qu'il fait là. On se décide finalement à l'accompagner s'assoir sur un banc. On essaye de lui demander son identité, d'où il vient, sans grand succès. Dans la conversation il bredouille vaguement qu'il est né à Lyon, qu'il était électricien (je crois) avant. On se dit que c'est sans doute un malade d'Alzheimer et on commence à appeler les hôpitaux et EPHAD du coin pour savoir si un patient de chez eux ne manquerai pas à l'appel, sans succès (soit ça répond pas soit on nous dit qu'ils n'ont constaté aucune disparition). Finalement on parvient à prendre ses papiers qui étaient dans sa poche intérieure. Outre sa carte d'identité (qui nous apprend qu'en fait le mec était né en Algérie Française ), on trouve un morceau de papier où est inscrit un numéro de téléphone. On appelle et on tombe sur ce qui devait être sa fille. On lui explique très gentiment que son papa errait en ville. La meuf nous engueule limite de la déranger et nous dit d'un air dédégneux "il est en gériatrie à la clinique X, voyez ça avec eux" (clinique qu'on avait appelé et qui n'avait bien entendu pas constatée de disparition ) Finalement on appelle Police Secours qui arrive rapidement et reconduit le monsieur à la clinique (je précise que les flics ont été très bienveillants et humains avec lui). Avec mon pote on s'est dit que si le pauvre s'était perdu dans le parking souterrain alors qu'à cette heure quasi tout le personnel est déjà parti il aurait pu mourrir là laissé à lui même, seul dans le froid et l'obscurité.
Ça nous a pas mal fait bader au final, on lisait dans son regard un mélange de tristesse et d'incompréhension. Se dire qu'on peut vivre une vie palpitante pour finir comme ca, abandonné des siens et incapable de se rappeler de son prénom ça met un coup au moral, du coup on a passé le reste de la soirée à enchaîner les pintes au bar où on était initialement.
Le 30 septembre 2020 à 03:04:46 Lisandron a écrit :
Ah oui aussi une histoire assez triste et un peu glauque. J'étais avec des potes dans le bar juste en face de ma FAC, en terrasse à boire des bières après les cours, il devait être 18h. Soudain avec un pote on aperçoit un vieux monsieur, l'air perdu, la démarche hésitante qui commence à se diriger vers la cours d'honneur de la FAC. Il y a souvent des évènements et des conférences ouvertes au public donc qu'un vieux monsieur y rentre n'est pas forcément étonnant mais dans le cas présent même de loin on voyait bien que quelque chose n'allait pas. Avec mon pote on se décide finalement à aller voir ce qu'il se passait. Arrivé dans la grande cours d'honneur on ne le retrouve pas immédiatement, jusqu'à ce qu'on l'aperçoive se diriger vers un coin reculé aboutissant sur le parking sous terrain des personnels. On va le voir pour lui demander s'il cherche quelque chose ou a besoin d'aide. Le monsieur nous répond à peine, il a le regard dans le vide, ne semble pas savoir ce qu'il fait là. On se décide finalement à l'accompagner s'assoir sur un banc. On essaye de lui demander son identité, d'où il vient, sans grand succès. Dans la conversation il bredouille vaguement qu'il est né à Lyon, qu'il était électricien (je crois) avant. On se dit que c'est sans doute un malade d'Alzheimer et on commence à appeler les hôpitaux et EPHAD du coin pour savoir si un patient de chez eux ne manquerai pas à l'appel, sans succès (soit ça répond pas soit on nous dit qu'ils n'ont constaté aucune disparition). Finalement on parvient à prendre ses papiers qui étaient dans sa poche intérieure. Outre sa carte d'identité (qui nous apprend qu'en fait le mec était né en Algérie Française ), on trouve un morceau de papier où est inscrit un numéro de téléphone. On appelle et on tombe sur ce qui devait être sa fille. On lui explique très gentiment que son papa errait en ville. La meuf nous engueule limite de la déranger et nous dit d'un air dédégneux "il est en gériatrie à la clinique X, voyez ça avec eux" (clinique qu'on avait appelé et qui n'avait bien entendu pas constatée de disparition ) Finalement on appelle Police Secours qui arrive rapidement et reconduit le monsieur à la clinique (je précise que les flics ont été très bienveillants et humains avec lui). Avec mon pote on s'est dit que si le pauvre s'était perdu dans le parking souterrain alors qu'à cette heure quasi tout le personnel est déjà parti il aurait pu mourrir là laissé à lui même, seul dans le froid et l'obscurité.Ça nous a pas mal fait bader au final, on lisait dans son regard un mélange de tristesse et d'incompréhension. Se dire qu'on peut vivre une vie palpitante pour finir comme ca, abandonné des siens et incapable de se rappeler de son prénom ça met un coup au moral, du coup on a passé le reste de la soirée à enchaîner les pintes au bar où on était initialement.
Quelle indignité cette fille.... Que Dieu me préserve d'avoir une fille comme ça.
Le 24 mai 2020 à 21:43:46 Captain_Olive a écrit :
Le truc qui m'a fait le plus peur de toute ma vie :J'étais reparti vivre chez ma mère. Première nuit, je dors au rez-de-chaussée parce que la chambre qu'elle m'avait préparé n'était pas encore prête (elle avait repeint et ça puait encore la peinture). Je me réveille plusieurs fois pendant la nuit et me rendors aussitôt. Le lendemain je rassemble mes idées et je réalise que j'ai l'impression tenace de m'être fait réveiller parce que je me faisais piétiner par un chien... je raconte ça à ma mère qui pense que c'est un rêve mais elle prend quand même soin de me dire la précédente locataire avait un chien mort de faim dans le salon, retrouvé par les flics. Apparemment la meuf s'était tirée en vacances avec son mec en donnant "quelques croquettes". Elle me montre un article du journal, la meuf s'est suicidée quatre mois plus tard pour une raison inconnue. Je crois pas aux fantômes mais je trouve la coïncidence cocasse.
Le lendemain, ma chambre est prête, aux deuxième étage, juste en dessous du grenier. Ma mère part travailler et pendant la journée j'entends des bruits de pas à l'étage (je regarderai la télé dans le salon). Étant un mec deter, je monte direct pour trouver un voleur et lui faire goûter de la boxe thaï. Je trouve personne. Je cherche bien 20 minutes, j'ouvre tous les placards, je regarde en dessous des lits, je trouve rien. Je finis par aller au grenier, et pendant que je fouille (c'est un grand grenier de la surface de la maison et ma mère garde toujours un max de trucs parce que "on sait jamais"), j'entends une porte claquer juste à l'étage d'en dessous. Je me dis que ce fumier est planqué au deuxième, je redescend du grenier...
J'avoue que je flippais un peu de tomber sur un mec armé et en plus je perdais patience (c'est pas mon fort la patience...), du coup en le cherchant, je gueulais partout dans la maison que j'allais le trouver et lui ouvrir la gueule.
J'ai cherché pendant au moins une heure, j'ai tout retourné, j'ai rien trouvé. Ça m'a soulé, j'ai fermé la porte d'entrée à clé, impossible pour lui de sortir (et visiblement j'étais trop con pour appeler les flics). Je rallume la télé pour lui faire croire que j'ai abandonné les recherches et j'attends. Pendant que j'attends, j'entend encore des bruits de pas à l'étage... ce fdp voulait jouer avec moi.
Puis là, grosse frayeur, ma mère qui s'excite sur la porte parce qu'elle est fermée (j'étais dos à la porte).
Je lui explique ce qu'il s'est passé et elle, même pas étonnée me dit dans le plus grand des calmes que ça arrive souvent (ça faisait un an qu'elle habitait dans cette maison et c'est la première fois que j'y allais, d'habitude c'est ma mère qui venait chez moi) et que ça vient sûrement des voisins... j'avais beau lui dire que je suis pas débile et que les bruits venaient d'ici, elle voulait rien savoir.
Au bout de deux trois semaines, j'ai pris l'habitude d'entendre des bruits de pas dans cette maison... je m'inquiétais plus même si je trouvais ça toujours suspect...
Et une nuit, je suis réveillé par un bruit de porte qui claque, bien violemment et en plus la porte de ma chambre. Je me réveille forcément en sursaut et je vois ma porte en train de s'ouvrir tout doucement en grinçant, pire qu'un film d'horreur. Encore bien deter, je me lève et je vais voir, im n'y a rien, tout est calme et ma mère dort... je me remets au mit en prenant soin de bien fermer ma porte et là tout part en couilles... l'air devient "pesant", comme si on pouvait le toucher parce qu'il se solidifiait et j'avais chaud et froid en même temps, c'était vraiment bizarre (et rien que d'en reparler j'ai la chair de poule), ma lampe de chevet s'éteint et au même moment je me prend une énorme claque dans la gueule ! Je pète un câble, je me lève et je panique encore plus parce que je vois plus rien, il y a comme un épais brouillard, comme de la fumée mais ça sentait rien de particulier. Je demande qui est là (bordel, quelle réaction de merde), et je me prend une deuxième claque, encore plus violente que la première ! Là j'ouvre ma porte et je cours voir si ma mère va bien. Elle venait de se réveiller et se demandait pourquoi je faisais autant de bruit. Je lui raconte tout, elle voit bien à mon regard que je ne raconte pas de conneries. On a déménagé dans le mois (elle de son côté et moi j'ai repris un appart).
C'est la première fois que je raconte ça, j'ai toujours eu honte d'en parler...
J'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie...
J'ai explosé aux claques dans la gueule
Le mec se prend des tartes par un fantôme
On sortait d'un bar avec des potes, on fume une clope devant le bar avant de partir
Un gars sort du bar aussi complètement arraché mais on l'étais tous donc bon
Il commence à tenir des propos incohérent voir à mal parler aux filles du groupe puis après il rigole
Je me fous ouvertement de sa gueule, il vient me voir et me murmure à l'oreille "je peux te tuer tu sais"
Je lui dis oui oui, je continue à me foutre de lui et lui dire de dégager, je suis prêt à me battre. Mais lui se contente de se coller à moi et me dire tout doucement "tu sais, je peux te tuer si je veux"
bref il finit par partir, j'y ai repensé le lendemain une fois sobre et je me dis que c'était vraiment glauque en fait
Le 01 octobre 2020 à 14:44:35 MessiTouch a écrit :
On sortait d'un bar avec des potes, on fume une clope devant le bar avant de partirUn gars sort du bar aussi complètement arraché mais on l'étais tous donc bon
Il commence à tenir des propos incohérent voir à mal parler aux filles du groupe puis après il rigole
Je me fous ouvertement de sa gueule, il vient me voir et me murmure à l'oreille "je peux te tuer tu sais"
Je lui dis oui oui, je continue à me foutre de lui et lui dire de dégager, je suis prêt à me battre. Mais lui se contente de se coller à moi et me dire tout doucement "tu sais, je peux te tuer si je veux"
bref il finit par partir, j'y ai repensé le lendemain une fois sobre et je me dis que c'était vraiment glauque en fait
Tu aurais du lui foutre un bourre pif
16 ans, j'etais en centre ville de Bordeaux, un rebeu de genre 30 ans qui m'attrape et qui me dit que je le regarde mal, il sort direct un pistolet, il dit n'importe quoi, qu'il sort de prison qu'il a pas peur d'y retourner qu'il va me tuer.
Il m'a volé tout ce que j'avais, y'a un épicier turc qui a vu la scène il est sortie et a fait fuire le mec, il m'a fait rentrer dans sa réserve, m'a donné a boir et son téléphone que j'appelle ma mère
Données du topic
- Auteur
- Kheyssuscitay--
- Date de création
- 14 juin 2019 à 22:45:32
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