Le moment le plus GLAUQUE de votre vie ?

Le 06 octobre 2020 à 22:29:11 chinazume a écrit :

Le 06 octobre 2020 à 22:04:27 Masque_FFP2 a écrit :

Le 06 octobre 2020 à 21:26:56 chinazume a écrit :
Quand je me suis fais kidnapper par quelqu’un dans la rue à 2 ans. Il m’a amené chez lui, il m’a enlevé la couche, puis, il m’a relâché. Heureusement que le gars a eu un état d’âme. Aucune idée de quel était son objectif.

Horrible

De très très longues enquêtes et on a rien trouvé. Tout ce que je me souviens c’est que le type était soit caucasien soit sémite. Et il avait des lunettes. Je suis sûr qu’il me m’a pas violé par contre. Mais ce genre de souvenirs peuvent s’effacer.

C'est hallucinant que tu te rappelles d'un souvenir à 2 ans

Une nuit nous étions avec 3 potes et nous attendions la copine de l'un d'eux,devant sa maison.(à 5 metres a peu prés de la porte d'entrée).
Quand tout a coup je remarque que chez les voisins d'en face,la lumiere de la porte d'entrée s'est allumée(surement les lampes qui se declenchent quand elles captent un mouvement) mais je n'ai pas entendu la moindre porte s'ouvrir.
Quelques secondes plus tard,je vois,prés d'une voiture faisant face à la maison,un homme encapuchonné qui disparait aprés avoir regardé dans notre direction.
Apres l'avoir vu,je scrute autour de la voiture et je ne vois personne,et encore moins de porte s'ouvrir.
Je dis à mon pote ce que j'ai vu et apparemment je ne suis pas le seul,lui aussi l'a vu.
Cependant nous n'avons plus JAMAIS parlé de ca.
La question est alors :qui se cachait derriere la voiture et que voulait-il ?
Un cambrioleur grillé,le propriétaire qui était venu chercher un truc dans sa caisse ?

Je ne le saurais jamais !

Le 16 juin 2019 à 22:36:47 Stagiaire_Deter a écrit :

Le 16 juin 2019 à 17:20:26 DickFigures a écrit :
Je suis belge et je vis dans une région proche de Binche, ce qui fait que nous aussi avons un carnaval avec des Gilles. En gros, ce sont des types costumés qui balancent des oranges, bref.

Dans les années 60, dans la rue de mes grand-parents, vivait un type en couple avec une Noire qu'il avait ramenée du Congo. Ils étaient pauvres et sans famille, n'avaient pas réussir à avoir d'enfants. De plus, vu qu'il habitait avec une africaine, on se foutait assez facilement de sa gueule, on lui faisait des mauvaises blagues, etc.

Mais viens le moment du carnaval, et les Gilles qui passent par-là ont la bonne idée de balancer violemment leurs oranges sur la maison du couple, au point de péter toutes les fenêtres. Normalement, t'as un certain code de Gilles, où tu ne mets pas de force dans ton lancer ; tu donnes aux gens et voilà. Là, c'était un geste intentionnel pour causer des dégâts.

Peu après, sa femme est venue sonner en pleine nuit chez mes grand-parents, les seuls dans le coin qui étaient sympas avec eux. En fait, le couple n'avait pas de quoi payer les réparations et fatigué de se faire persécuter, son mari c'était pendu.
C'est mon grand-père qui a coupé la corde.

Un ancien ami de ma mère s'est pris une orange des Gilles en pleine tête quand il était petit, depuis il les hait et il leur balançait des trucs quand ils passaient
Je crois qu'il est mort depuis

Oh bordel la chute

Le 19 juin 2019 à 17:04:28 PrussienDeter a écrit :
C’était hier soir, on jouait tranquillement à action ou vérité entre potes
J’alterne entre action et vérité jusqu’à l’action fatidique
L’action peut être résumée ainsi : j'étais censé sucer le doigt d’une personne de sexe féminin qui venait de se doigter
Le jeu étant ce qu’il est, j’ai accepté sauf qu’en bouche, j’ai vite compris que le doigt n’était pas allé dans le bon trou
Vu le nombre de bains de bouches utilisés cette nuit, j’ai du chambouler les prix du marché

Oh bordel ce post qui apaise la situation

Allez, encore une petite histoire, pour UP ce topic.
Peut-être pas glauque, mais j'ai bien flippé.

Bien sûr.

Pendant le premier confinement et l'été, j'étais en Sibérie. Début juillet, l'ennui pointant fermement, je décide de partir en randonnée.
J'avais récupéré de vieilles cartes sur internet, et un trajet de 3-4 jours sur un vieux sentier tout de même entretenu pour les quelques rares touristes dans le secteur me faisait de l'œil. Vous comprenez ce que "Sibérie" peut signifier : en quittant la route fréquentée qui longeait la chaîne de montagne, j'avais environ 70 kilomètres à faire (140 aller-retour) en pleine forêt et basse montagne (1500 mètres maximum), et surtout en terrain parfaitement sauvage.
"Il est peu fréquenté, mais c'est un chemin fait pour les touristes. Pas de danger."

Ah, et j'étais seul, bien sûr.

Excellente première journée. Pas mal de moustiques, mais des paysages splendides. Il n'y avait strictement personne. À cette période de l'année, je m'attendais au moins à croiser un pécore se promenant comme moi : même en Sibérie, où qu'on soit, on n'est jamais seul. Mais là, rien. Personne.
Impossible de compter sur les cabanes de garde-chasse pour dormir. Autrefois, le chemin devait être emprunté l'été par des camps de pionniers de l'Union Soviétique, mais depuis la fin de l'Union, les infrastructures avaient dû être revues à la baisse.

Heureusement, j'avais de quoi faire.
La nuit, j'entends des bruits. C'est la forêt, quoi.

Le lendemain, je franchis la crête. Paysages splendides de nouveau. En regardant par terre, je vois une trace d'ours bien imprimée dans la terre molle.
"Chouette. J'ai de la chance. On m'avait dit que c'était rare dans cette région."
En effet, un allemand présent en Sibérie depuis plusieurs années déjà m'avait rassuré avant mon départ.
"Pas s'inquiéter. Ours pas beaucoup. Moi jamais vu là-bas."
"Et si toi voir eux, faire WOUWOUWOU et eux partir très peur."

Je continue mon chemin, un peu moins rassuré. Quelques kilomètres plus loin, je redescends dans une vallée de l'autre côté de la crête. Par terre, je trouve de nouveau des traces de nounours.
"Ah, oui. Ce n'est peut-être pas si rare, en fait."
En poursuivant mon chemin, j'en croise de nouveau. Tous les 100 mètres, en fait. Et de tailles différentes : elles ne proviennent pas d'un seul individu. Bien entendu, mes sens se mettent en alerte. Quand j'entends des bruits de bestioles dans la forêt, des couinements, je flippe. Et je finis par décider à environ mi-chemin de faire demi-tour et rentrer. Impossible de profiter de la balade avec une pareille angoisse latente. C'est un sentier pour touristes, mais je ne vois personne, et les ours peuvent être taquins dans la région. Un exemple parmi d'autres : https://arigus.tv/news/item/118821/

Alors que je remonte vers la crète, une pluie diluvienne commence à tomber. Le genre de pluie à créer des sillons et effacer toutes les traces. Je plante ma tente pour faire une sieste et repars après environ une heure.
Et là, sur le chemin que j'avais emprunté, plus aucune de mes traces n'était visible. Mais il y avait des traces de nounours partout. Et donc très fraiches. Un putain d'oursodrome, cette vallée des enfers.
Finalement, j'ai pris une bonne allure, et suis arrivé à la nuit tombante à un hôtel sur le bord de la route de laquelle j'étais parti.

Le lendemain, ne souhaitant pas être venu pour rien, j'avise de me promener dans un endroit un petit peu plus fréquenté ; un autre sentier que j'avais aussi repéré. Je passe également devant le poste de contrôle des gardes forestiers, et leur demande si j'ai eu la veille raison de flipper ou non.
"Tu étais dans le parc naturel, champion. Là où tu voulais aller, en bas de la vallée, on nourrit les ours."
"Généralement, à cette saison, ils n'attaquent pas. Ils n'ont pas trop faim. Généralement."
"Mais ils se reproduisent bien. On estime qu'il y en a environ un par kilomètre carré.
"Tu es con, blyat. Sur ce chemin, les promeneurs vont toujours en groupes, accompagnés de guides armés."
"Il fallait nous appeler avant de partir. Si tu avais disparu, on aurait dû faire une enquête. Et ça fait chier."

J'ai sans doute eu peur pour rien, mais ç'a été assez angoissant pour mériter un post, je pense.
La semaine suivant ma promenade, un bonhomme a justement posté sur youtube une vidéo d'un nounours exactement dans le secteur dans lequel je me promenais. https://www.youtube.com/watch?v=74lq5eaw4xg&feature=emb_logo

Bonjour à tous,
Avant de vous pondre mon pavé, je tiens à préciser naturellement que tout est

Il y a quelques années, en 2015, j'étais étudiante à l'université et vivais donc dans un de ces appartements assez petits et assez laids de centre-ville de nos belles cités françaises.

L'appartement était situé au premier étage d'un très petit immeuble, avec une forme de U à l'intérieur duquel se trouvait une cour intérieure fermée par une vieille porte en métal pleine de tags.

Je n'y vivais pas depuis très longtemps, et j'étais pas vraiment à l'aise dedans : la porte donnant accès au "hall" de l'immeuble ne fermait pas à clefs, pas plus que la porte en métal susdécrite. La porte d'entrée de mon appartement était semblable à celle de ta chambre chez tes parents. Fine, avec un jour en dessous. Il y avait tout de même une serrure pour les moins téméraires

Après quelque mois à vivre là dedans, un vendredi soir, je m'apprêtais à rejoindre des copines au bar pas loin pour passer la soirée

Avant ça, comme toutes bonnes greluches feraient, je prends une douche, et une fois sortie, je reste en serviette sur mon lit pour brosser mes cheveux et éventuellement me maquiller

Je termine mes préparatifs, et me dirige à nouveau vers la salle de bain pour attraper quelques trucs, une brosse à cheveux me semble-t-il, afin de peaufiner mon apparence

Et c'est en passant par la cuisine pour atteindre cette salle de bain, que quelque chose par la fenêtre a attiré mon oeil, sans vraiment comprendre de quoi il s'agissait

Je fais les deux pas en arrière, afin de vérifier si j'ai bien vu ce que j'avais cru voir. Et OUI
OUI BORDEL

Un mec, par ma fenêtre du premier étage, entre les deux volets entre-ouverts, avec une cagoule qui me fixe
Je vois que ses yeux, il est tout proche de moi, depuis combien de temps?!

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Vous savez tout les kheys qui ont réussi à me lire jusqu'au bout si il y en a.
Cet événement m'a longtemps gardé traumatisée, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui, alors en rire fait du bien

J'ai pas de truc gloque comme ça

Mais des situations dangereuses oui j'en est déjà connu ou il fallait bouger très vite ( un paquet a vrai dire )

Up

Y'a du potentiel faut pas gâcher

Up, Up, Up

J'habitais dans le Nord quand j'étais petit (mon père avait été muté là bas et j'y ai vécu là bas 10 ans) et on vivait dans une ville de cassos dans une rue de merde. Je devais avoir 10 ans et avant de dormir, j'entends les pompiers, le SAMU et la police dans la rue. J'étais en train de me demander ce qui était en train de se passer et la voisine nous apprends quelques heures plus tard qu'en fait, un mec de la rue voulait se suicider en faisant une fuite de gaz et menacer de faire sauter tous le quartier. Il voulait pas que sa femme rompe. Le lendemain, sa femme a essayé de se tailler les veines sous la fenêtre de ma soeur qui était en train de bosser

Le pire, c'est que le mec était tellement désespéré qu'il était venu voir ma mère pour l'inviter à prendre un café chez lui Heureusement qu'elle a refusée