Topic du Glauque
Le 07 février 2021 à 01:55:50 VieuxLille a écrit :
Je tiens à dire que ce topic est vraiment exceptionnel. Voilà exactement pourquoi j'aime le 18-25. Il y a beaucoup de merde mais aussi des perles dans ce genre.
je t'aime bro !
Des bonbons pas si bons
"Christiana Edmunds est née à Margate , Kent , et était l'aînée de William Edmunds , un architecte qui a conçu l' église locale de la Sainte Trinité et le phare de Margate . Sa mère était Ann Christiana Burn, la sœur de John Southerden Burn et fille d'un capitaine des Royal Marines . Edmunds a eu une éducation privilégiée et a reçu une éducation privée, mais on lui a diagnostiqué une hystérie au début de la vingtaine. C'est alors qu'elle vivait avec sa mère veuve à Brighton , à la fin des années 1860, qu'Edmunds s'est impliquée avec le médecin local, Charles Beard.
La nature de leur relation reste une source de controverse mais, en septembre 1870, Edmunds a empoisonné la femme du Dr Beard en lui donnant une crème au chocolat empoisonnée. Cependant, Mme Beard s'est remise de la violente maladie qui en a résulté. Le Dr Beard a déclaré plus tard qu'il soupçonnait Edmunds d'avoir empoisonné sa femme à ce moment-là, mais n'a pas agi sur ses soupçons, en raison d'un manque de preuves et d'une inquiétude quant à la souillure du scandale.
En 1871, Edmunds a commencé à se procurer des crèmes au chocolat du confiseur local, John Maynard. Elle les a ramenés à la maison, les a lacés avec de la strychnine et les a rendus au vendeur. Maynard les a ensuite vendus au public, ne sachant pas qu'ils avaient été empoisonnés. Initialement, Edmunds a obtenu la strychnine d'un chimiste local, Isaac Garrett, sous prétexte qu'elle en avait besoin pour empoisonner les chats errants. Dans une tentative de couvrir ses traces, elle a commencé à payer de jeunes garçons pour les acheter pour elle. À ce moment-là, plusieurs personnes à Brighton étaient tombées malades après avoir mangé des chocolats, mais personne n'avait lié les maladies à ce que les victimes avaient mangé. Cependant, en juin 1871, Sidney Albert Barker, 4 ans, en vacances avec sa famille, mourut après avoir mangé des chocolats de la boutique de Maynard.
Le coroner de Brighton , David Black, a jugé la mort accidentelle. Il a été confirmé plus tard que c'était le seul décès causé par Edmunds. Edmunds a intensifié sa campagne d'empoisonnement et a commencé à envoyer des colis de chocolats à des personnalités éminentes, dont Mme Beard, qui est de nouveau tombée gravement malade. À ce moment-là, la police avait lié les empoisonnements avec les chocolats. Edmunds s'est envoyé des colis, affirmant qu'elle aussi était une victime de l'empoisonneur, dans l'espoir que cela détournerait les soupçons d'elle et de Maynard.
À ce stade, le Dr Beard a informé la police de ses soupçons, ce qui a abouti à l'arrestation d'Edmunds et à l'accusation de tentative de meurtre de Mme Beard et du meurtre de Sidney Barker. Après des auditions de renvoi, il a été décidé de transférer l'affaire de Lewes à Old Bailey . Au cours du procès d'Edmunds, qui a débuté en janvier 1872, sa mère a déclaré que les deux côtés de leur famille avaient des antécédents de maladie mentale . Le Dr Beard a affirmé que lui et Edmunds n'avaient jamais eu de relation sexuelle, mais qu'au lieu de cela, il s'agissait simplement d'une série de lettres qu'elle lui avait envoyées et de doux flirts. Edmunds a été condamnée à mort , mais cela a été commuée en emprisonnement à vie en raison de son état mental. Elle a passé le reste de sa vie à Broadmoor Criminal Lunatic Asylum , y mourant en 1907. Christiana Edmunds"
Le 07 février 2021 à 04:01:27 Macron-san a écrit :
Bordel, l'histoire d'Omm Sety est passionnante et fascinante, cimer pour la découverte.
derien. je suis plutôt terre à terre mais j'avoue que cette histoire m'a troublé!
Le 14 janvier 2019 à 16:21:41 kongstrong a écrit :
Le col dyatlovL'Affaire du col Dyatlov est un événement qui se solda par la mort de neuf skieurs/randonneurs dans le nord de l'Oural (en Union soviétique, aujourd'hui en Russie), dans la nuit du 1er au 2 février 1959.
À première vue, ce qu'on a fini par appeler "l'affaire du col Dyatlov" n'a rien de surprenant : c'est l'histoire a priori banale d'un groupe de dix skieurs, dont neuf ont perdu la vie au cours d'un trek particulièrement difficile par -30°C. Mais les détails de l'affaire, qui proviennent essentiellement de journaux tenus par les protagonistes et de documents produits par des enquêteurs soviétiques, font froid dans le dos : dans la nuit du 2 février 1959, des membres du groupe ont apparemment déchiré leur tente de l'intérieur, avant de se précipiter dans la toundra vêtus de leurs seuls sous-vêtements.
Cinq corps furent retrouvés trois semaines plus tard, plusieurs centaines de mètres en-dessous de là où se trouvait leur camp. Il fallut deux mois supplémentaires aux enquêteurs pour trouver les quatre autres corps qui, inexplicablement, étaient partiellement couverts de vêtements appartenant à ceux dont les cadavres avaient été retrouvés préalablement. Des tests révélèrent que ces vêtements émettaient de fortes radiations. Malgré cela, ainsi que des traumatismes impressionnants observés sur les cadavres (y compris de sacre bleuentes fractures du crâne et des côtes broyées), les enquêteurs russes déclarèrent qu'ils n'avaient pu trouver aucune tcommunauté d'agression, et l'affaire fut rapidement bouclée.
Le groupe était constitué d'étudiants de l'Université de l'Oural, qui avaient tous l'habitude de ce type d'expéditions. Celle-ci, organisée par Igor Dyatlov, 23 ans, avait pour but d'explorer Otorten, une montagne située dans la partie nord de l'Oural, et débuta le 28 janvier 1959. Youri Youdine, l'uaime survivant de l'expédition, tomba malade avant que l'équipage ne s'aventure vraiment dans la campagne profonde, et resta se faire soigner dans un village local. Les neuf autres continuèrent leur trek, et selon des photos retrouvées et développées par les enquêteurs, le groupe emmené par Dyatlov établit son campement dans la soirée du 2 février sur la pente d'une montagne proche d'Otorten.
Une tribu indigène locale a donné à la montagne le nom de "Kholat Syakhl", qui se traduit vraisemblablement par "la montagne des morts", même si dans une histoire pareille, ce nom parfaitement flippant paraît un peu gros. Toujours est-il que la décision prise par le groupe de dormir sur la pente de la montagne n'a pas beaucoup de sens. Ils n'étaient qu'à un kilomètre à peine d'une petite forêt, dans laquelle ils auraient certainement trouvé un peu d'abri dans ces conditions extrêmes. Ils n'étaient pas pressés par le temps, et installer son campement sur le flanc d'une montagne plutôt que dans la forêt est pour le moins surprenant.
La tente telle qu'elle a été trouvée le 26 février 1959.Ce fut leur tout dernier campement. Avant le départ, Dyatlov avait annoncé que l'équipe espérait être de retour le 12 février, mais qu'il était possible que leur expédition dure plus longtemps. L'alerte ne fut vraiment donnée que le 20 février, et le camp fut retrouvé le 26 par des équipes de recherche volontaires.
À leur arrivée, les enquêteurs officiels remarquèrent que les tentes semblaient avoir été déchiquetées de l'intérieur, et trouvèrent des tcommunautés de pas de huit ou neuf personnes partant des tentes et se dirigeant vers le bas de la pente, où se trouvaient les arbres. Selon les enquêteurs, les chaussures et le matériel des aventuriers avaient été abandonnés au camp, et les empreintes indiquaient que les individus concernés étaient partis pieds nus ou en chaussettes. Autrement dit, ils étaient partis en déchirant leurs tentes et s'étaient échappés en urgence dans 1m de neige, alors qu'il n'y avait absolument aucune tcommunauté de la présence d'autres individus ou de lutte entre membres du groupe.
Les deux premiers corps furent découverts à l'orée du bois, sous un pin géant. Souvenez-vous : les arbres étaient à plus d'un kilomètre du camp. Les enquêteurs rapportèrent que les empreintes de pas s'arrêtaient au tiers du chemin, même si on peut imaginer que les conditions climatiques les aient effacées avant qu'ils n'arrivent. Les deux cadavres trouvés là étaient en sous-vêtements, et pieds nus. Selon certains rapports, des branches avaient été brisées en haut de l'arbre le plus proche, ce qui indiquait que quelqu'un avait tenté d'y grimper. On distinguait les restes d'un feu juste à côté.
Trois autres corps, y compris celui de Dyatlov, furent découverts à différents endroits entre le campement et les bois, et semblaient être morts en tentant de regagner le camp. L'un d'entre eux, Rustem Slobodine, avait le crâne fracturé, même si les médecins estigénitricent que cette blessure n'était pas fatale. L'enquête criminelle fut close après que les médecins déclarèrent que les cinq individus étaient morts d'hypothermie.
Deux mois s'écoulèrent avant que l'on découvre les quatre corps restants, ensevelis sous 4 mètres de neige dans un ravin quelques centaines de mètres en-dessous de l'arbre géant. Il avait été très difficile d'expliquer le comportement des cinq premiers, mais ce fut la découverte de ce quatuor qui s'avéra la plus horrifique. Tous avaient connu des morts très sacre bleuentes, malgré, précisément, l'absence totale de tcommunautés de sacre bleuence. L'un d'entre eux, Nicolas Thibeaux-Brignollel, avait lui aussi le crâne fracassé. Alexander Zolotariov avait les côtes éclatées. Ludmila Dubinina avait elle aussi les côtes cassées, et surtout, sa langue avait disparu.
Il est possible que le groupe ait cherché de l'aide – en dépit du fait qu'ils se trouvaient au milieu de nulle part, sans équipement, par des températures glaciales – et qu'ils soient tombés dans un ravin. Mais ça n'explique pas que Dubinina ait perdu sa langue. Certains, à l'époque, émirent l'hypothèse qu'ils avaient été attaqués par des membres de la tribu Mansi. Mais les médecins légistes affirgénitricent que les traumatismes, au vu de leur force, n'avaient pu être causés par des humains, surtout que les corps ne présentaient aucune tcommunauté visible de coups.
« C'était comparable aux effets d'un accident de voiture », affirma Boris Vozrozhdenny, l'un des médecins en charge de l'affaire, selon des documents que le Times a pu consulter.
après les funérailles, les parents des morts affirment que la peau des victimes était d'une étrange couleur brune
Vous pouvez voir des photos d'autres corps, mais je ne les posterais pas ici.
En recherchant l'endroit du drame sur google map, j'ai trouvé cette photo au sommet de la montagne
Le 14 janvier 2019 à 18:20:54 kongstrong a écrit :
J'ai oublié de posté ca sur l'affaire kris kremersLa caméra de Froon contenait des photos du 1er avril suggérant que les femmes avaient pris le sentier au-dessus de la ligne de partage des eaux et avaient erré dans des étendues sauvages quelques heures avant leur première tentative d'atteindre le 911, mais sans rien d'anormal. Le 8 avril, quatre-vingt-dix photos flash ont été prises entre 01h00 et 04h00, apparemment dans les profondeurs de la jungle et dans l'obscurité presque complète.
Quelques photos montrent qu’elles étaient peut-être près d’une rivière ou d’un ravin. Certains montrent une brindille avec des sacs en plastique et des emballages de bonbons au sommet d'une pierre, une autre montre ce qui ressemble à du papier toilette et un miroir sur une autre pierre, et une autre montre l'arrière de la tête de Kremers avec ce qui ressemble à du sang près de sa tempe.
En vrai pour cette affaire je vois plutôt un truc simple genre une attaque d'une tribu de la forêt, et après avoir tué les filles, quelqu'un prend l'appareil mais ne sait pas s'en servir donc il prend des photos n'importes comment hyper vite.
Pour la photo 509 effacée, peut être tout simplement un doublon que les filles ont effacés directement elles même (sachant que la photo 508 est normale, donc les filles avaient encore l'appareil).
Le 07 février 2021 à 07:23:31 Twinkai119 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 16:21:41 kongstrong a écrit :
Le col dyatlovL'Affaire du col Dyatlov est un événement qui se solda par la mort de neuf skieurs/randonneurs dans le nord de l'Oural (en Union soviétique, aujourd'hui en Russie), dans la nuit du 1er au 2 février 1959.
À première vue, ce qu'on a fini par appeler "l'affaire du col Dyatlov" n'a rien de surprenant : c'est l'histoire a priori banale d'un groupe de dix skieurs, dont neuf ont perdu la vie au cours d'un trek particulièrement difficile par -30°C. Mais les détails de l'affaire, qui proviennent essentiellement de journaux tenus par les protagonistes et de documents produits par des enquêteurs soviétiques, font froid dans le dos : dans la nuit du 2 février 1959, des membres du groupe ont apparemment déchiré leur tente de l'intérieur, avant de se précipiter dans la toundra vêtus de leurs seuls sous-vêtements.
Cinq corps furent retrouvés trois semaines plus tard, plusieurs centaines de mètres en-dessous de là où se trouvait leur camp. Il fallut deux mois supplémentaires aux enquêteurs pour trouver les quatre autres corps qui, inexplicablement, étaient partiellement couverts de vêtements appartenant à ceux dont les cadavres avaient été retrouvés préalablement. Des tests révélèrent que ces vêtements émettaient de fortes radiations. Malgré cela, ainsi que des traumatismes impressionnants observés sur les cadavres (y compris de sacre bleuentes fractures du crâne et des côtes broyées), les enquêteurs russes déclarèrent qu'ils n'avaient pu trouver aucune tcommunauté d'agression, et l'affaire fut rapidement bouclée.
Le groupe était constitué d'étudiants de l'Université de l'Oural, qui avaient tous l'habitude de ce type d'expéditions. Celle-ci, organisée par Igor Dyatlov, 23 ans, avait pour but d'explorer Otorten, une montagne située dans la partie nord de l'Oural, et débuta le 28 janvier 1959. Youri Youdine, l'uaime survivant de l'expédition, tomba malade avant que l'équipage ne s'aventure vraiment dans la campagne profonde, et resta se faire soigner dans un village local. Les neuf autres continuèrent leur trek, et selon des photos retrouvées et développées par les enquêteurs, le groupe emmené par Dyatlov établit son campement dans la soirée du 2 février sur la pente d'une montagne proche d'Otorten.
Une tribu indigène locale a donné à la montagne le nom de "Kholat Syakhl", qui se traduit vraisemblablement par "la montagne des morts", même si dans une histoire pareille, ce nom parfaitement flippant paraît un peu gros. Toujours est-il que la décision prise par le groupe de dormir sur la pente de la montagne n'a pas beaucoup de sens. Ils n'étaient qu'à un kilomètre à peine d'une petite forêt, dans laquelle ils auraient certainement trouvé un peu d'abri dans ces conditions extrêmes. Ils n'étaient pas pressés par le temps, et installer son campement sur le flanc d'une montagne plutôt que dans la forêt est pour le moins surprenant.
La tente telle qu'elle a été trouvée le 26 février 1959.Ce fut leur tout dernier campement. Avant le départ, Dyatlov avait annoncé que l'équipe espérait être de retour le 12 février, mais qu'il était possible que leur expédition dure plus longtemps. L'alerte ne fut vraiment donnée que le 20 février, et le camp fut retrouvé le 26 par des équipes de recherche volontaires.
À leur arrivée, les enquêteurs officiels remarquèrent que les tentes semblaient avoir été déchiquetées de l'intérieur, et trouvèrent des tcommunautés de pas de huit ou neuf personnes partant des tentes et se dirigeant vers le bas de la pente, où se trouvaient les arbres. Selon les enquêteurs, les chaussures et le matériel des aventuriers avaient été abandonnés au camp, et les empreintes indiquaient que les individus concernés étaient partis pieds nus ou en chaussettes. Autrement dit, ils étaient partis en déchirant leurs tentes et s'étaient échappés en urgence dans 1m de neige, alors qu'il n'y avait absolument aucune tcommunauté de la présence d'autres individus ou de lutte entre membres du groupe.
Les deux premiers corps furent découverts à l'orée du bois, sous un pin géant. Souvenez-vous : les arbres étaient à plus d'un kilomètre du camp. Les enquêteurs rapportèrent que les empreintes de pas s'arrêtaient au tiers du chemin, même si on peut imaginer que les conditions climatiques les aient effacées avant qu'ils n'arrivent. Les deux cadavres trouvés là étaient en sous-vêtements, et pieds nus. Selon certains rapports, des branches avaient été brisées en haut de l'arbre le plus proche, ce qui indiquait que quelqu'un avait tenté d'y grimper. On distinguait les restes d'un feu juste à côté.
Trois autres corps, y compris celui de Dyatlov, furent découverts à différents endroits entre le campement et les bois, et semblaient être morts en tentant de regagner le camp. L'un d'entre eux, Rustem Slobodine, avait le crâne fracturé, même si les médecins estigénitricent que cette blessure n'était pas fatale. L'enquête criminelle fut close après que les médecins déclarèrent que les cinq individus étaient morts d'hypothermie.
Deux mois s'écoulèrent avant que l'on découvre les quatre corps restants, ensevelis sous 4 mètres de neige dans un ravin quelques centaines de mètres en-dessous de l'arbre géant. Il avait été très difficile d'expliquer le comportement des cinq premiers, mais ce fut la découverte de ce quatuor qui s'avéra la plus horrifique. Tous avaient connu des morts très sacre bleuentes, malgré, précisément, l'absence totale de tcommunautés de sacre bleuence. L'un d'entre eux, Nicolas Thibeaux-Brignollel, avait lui aussi le crâne fracassé. Alexander Zolotariov avait les côtes éclatées. Ludmila Dubinina avait elle aussi les côtes cassées, et surtout, sa langue avait disparu.
Il est possible que le groupe ait cherché de l'aide – en dépit du fait qu'ils se trouvaient au milieu de nulle part, sans équipement, par des températures glaciales – et qu'ils soient tombés dans un ravin. Mais ça n'explique pas que Dubinina ait perdu sa langue. Certains, à l'époque, émirent l'hypothèse qu'ils avaient été attaqués par des membres de la tribu Mansi. Mais les médecins légistes affirgénitricent que les traumatismes, au vu de leur force, n'avaient pu être causés par des humains, surtout que les corps ne présentaient aucune tcommunauté visible de coups.
« C'était comparable aux effets d'un accident de voiture », affirma Boris Vozrozhdenny, l'un des médecins en charge de l'affaire, selon des documents que le Times a pu consulter.
après les funérailles, les parents des morts affirment que la peau des victimes était d'une étrange couleur brune
Vous pouvez voir des photos d'autres corps, mais je ne les posterais pas ici.
En recherchant l'endroit du drame sur google map, j'ai trouvé cette photo au sommet de la montagne
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-65623518-1-0-1-0-mort-etrange-le-col-dyatlov.htm
La salope dans l'herbe
Depuis l'aube des forums, circule une vieille photo montrant une poupée assise dans l'herbe. La légende s'est construite autour du réalisme de la poupée, elle serait en fait créée à partir d'une femme morte. De nos jours, on ne connait toujours pas la date d'apparition et la vraie nature de cette photo.
L'histoire date de 1996 dans le Texas , un psychopathe a kidnappé plusieurs filless avant de les violer. Son métier était taxidermiste et il s'amusait à "empailler" ses victimes et à les prendre en photo avant les enterrer
Le 09 février 2021 à 14:49:39 TheKongstrong a écrit :
up
Je te up à mon tour mon clef, pour le meilleur topic de jvc assurément
Voilà ça m'a pris trois jours mais j'ai tout lu (j'attendais la nuit à chaque fois)! Je connaissais bien la plupart des trucs par contre, genre plus de 90%! Entre les Enquêtes Impossibles, Hondelatte Raconte, Faites Entrer l'Accusé, Non Elucidé, les livres de Bellemare et toutes les chiés de vidéos YouTube, les articles sur le net et d'autres émissions que j'ai oublié de cité, forcément j'en connaissais déjà.
Les histoires qui m'horrifient le plus c'est celle de Junko Furuta, l'horreur que la jeune femme à subie est indescriptible, les victimes des Tool Box Killers et les deux meuf de Marrakech pareil.
Celles qui m'intriguent le plus c'est comme tout le monde Elisa Lam, les hollandaises, Lars Mittank! Mais aussi l'affaire Méchinaud (qui a été posté ici je ne sais plus quelle page) qui est carrément unique dans les anales judiciaire française. Toute une famille disparait et 50 ans après on a pas le moindre indice ni témoignage ni quoi que ce soit.
Enfin bref voilà je profite de ce post pour up le topic et remercier Kongstrong, Foi-Jaune et les autres d'avoir raconter ces histoires! J'en raconterais aussi de temps en temps!
Louis Poirson le tailleur de pierre, alias Rambo
Légère Biographie
Il est né d'un père Français d'une mère Malgache et est l'ainé de trois autres sœurs. Il déclare avoir été battu par son père alcoolique (souvent sans raison) sous le regard passif de sa mère, il éprouve par la suite avec ses sœurs une forte rancœur à l'égard de leurs parents.
Il rêve de devenir para-commando (pour "les voyages, le sport et les combats") mais en raison d'une blessure il ne peut jamais devenir parachutiste, il en est fortement déçu. En 1982, il effectuera alors son service national.
Il rencontre sa nouvelle compagne par correspondance lors d'un séjour en prison.
Les faits
Entre 1995 et 1999, Louis Poirson a semé la terreur dans la campagne de Pacy-sur-Eure, n’hésitant pas à étrangler et brûler les femmes qui avaient le malheur de croiser sa route.
Le 26 septembre 2002, à Évreux, s’ouvre le procès de Louis Poirson, «cet égocentrique parfois atteint de mégalomanie, paranoïaque au point de faire disparaître le sujet qui fâche.» Implacable, le verdict est signé de l’expert-psychiatre qui a examiné l’accusé. Un tueur en série à la froide détermination qui, le 30 août 1995, a assassiné une mère (67 ans) et sa fille (44 ans). Enlevées dans le cimetière animalier de Douains, elles seront retrouvées asphyxiées, poignardées et carbonisées près de Neuilly, en vallée d’Eure.
J’ai été heureuse avec lui
Homme à la personnalité contrastée, Louis Poirson travaille comme tailleur de pierre, près de Chauffour. Il vit avec Chantal qui témoigne de deux ans de vie commune normale, à Pacy-sur-Eure: «Oui, j’ai été heureuse avec lui.»
Mais c’est un tout autre individu que vont croiser Jeanine et Monique Villain. Originaires de Saint-Vincent-des-Bois, les deux femmes se rendent, ce jour-là, sur la tombe de leur chienne «Babette», au cimetière de Douains. Elles tombent nez-à-nez avec Poirson, 33 ans au moment des faits et sorti de prison douze mois auparavant, séjour carcéral dû à une dizaine de viols et agressions ! «Le regard des victimes lui étaient insupportable» décrypte l’expert-psychiatre. En cet été 1995, il s’agit bien d’un regard «mal placé», celui que la mère et la fille portent sur le jeune homme au corps d’athlète qui s’apprête à saccager des sépultures.
Aspergées d’essence
La suite fait froid dans le dos. De peur d’être dénoncé, celui qui rêvait de faire carrière dans les paras commandos, assomme Jeanine et attache Monique, puis les emmène de force dans sa BX, direction Neuilly. Là, il étouffe la mère de famille à l’aide d’un sac plastique, et brise la nuque de la fille avec un bout de bois. Avant de les brûler en les aspergeant d’essence. Qualifié de «prévenant et agréable à fréquenter» par ses collègues de travail, Louis Poirson s’en va, ensuite, se promener tranquillement à Paris. Trois jours plus tard, des promeneurs effectueront la macabre découverte.
Tralala pour un chien mort
Dans un premier temps, les gendarmes ont orienté l’enquête vers Michel Villain, fils et demi-frère des deux victimes. Dénoncé par son propre fils, le présumé coupable passera 33 mois derrière les barreaux, avant que Louis Poirson – interpellé dans une affaire de viol -, n’avoue le double meurtre de Fains. Le jour du procès, le prévenu s’étonnera qu’on fasse tout ce «tralala pour un chien mort», et répétera au jury: «à plusieurs reprises, je leur ai laissé le choix de partir à condition de ne rien raconter.»
Mais une fois le «processus» enclenché, il confessera, à la barre, «ne plus pouvoir faire machine arrière.» Propos confirmés par l’expert-psychiatre: «des difficultés fantasmatiques à réprimer ses pulsions.» Après trois heures de délibéré, Louis Poirson sera condamné à la réclusion à perpétuité.
Il avait besoin de tuer
Mais «M. Hyde», comme le surnomment les journalistes à l’époque, n’en a pas terminé avec la justice: deux autres meurtres et un rapt lui sont imputés. Non content d’avoir enlevé trois auto-stoppeuses de 15 ans, et étranglé puis enterré une septuagénaire demeurant en maison de retraite, l’ancien marinier devenu tailleur de pierre, jettera son dévolu sur une Pacéenne de 79 ans. Charlotte Berson a eu l’infortune de croiser la route de Louis Poirson alors qu’elle se promenait dans la campagne. Au volant de sa voiture, il lui bloque le passage, elle s’énerve et frappe sur le capot.
Rambo
Le sang de «Rambo» – autre surnom dont on l’affuble – ne fait qu’un tour. Il pousse violemment la septuagénaire qui heurte, alors, une pierre. Il l’assomme et achève sa triste besogne en versant de l’acide chlorhydrique sur le visage et les mains de la malheureuse. Découverte par deux chasseurs, Charlotte Berson sera identifiée grâce à la montre qu’elle portait. Pour ce quatrième meurtre en cinq ans, le tueur en série « héritera » de la réclusion criminelle à perpétuité. «Il avait besoin de tuer» conclura le bâtonnier Xavier Hubert, décrivant des faits odieux et «des actes d’un humain qui ne peut comprendre tout de ses réactions incontrôlables.»
La mystérieuse victime sur la photo
Une photo d'une femme nue dans un bois, terrorisée est trouvée dans les affaires de Poirson. Les enquêteurs, convaincus qu'il s'agit d'une autre victime, l'interrogent à ce sujet. Il déclare qu'il n'a jamais vu cette femme et que c'est une photo qu'il a simplement trouvée.
On a à ce jour aucune piste concernant cette personne sur la photo.
Louis Poirson le tailleur de pierre, alias Rambo
Légère Biographie
Il est né d'un père Français d'une mère Malgache et est l'ainé de trois autres sœurs. Il déclare avoir été battu par son père alcoolique (souvent sans raison) sous le regard passif de sa mère, il éprouve par la suite avec ses sœurs une forte rancœur à l'égard de leurs parents.
Il rêve de devenir para-commando (pour "les voyages, le sport et les combats") mais en raison d'une blessure il ne peut jamais devenir parachutiste, il en est fortement déçu. En 1982, il effectuera alors son service national.
Il rencontre sa nouvelle compagne par correspondance lors d'un séjour en prison.
Les faits
Entre 1995 et 1999, Louis Poirson a semé la terreur dans la campagne de Pacy-sur-Eure, n’hésitant pas à étrangler et brûler les femmes qui avaient le malheur de croiser sa route.
Le 26 septembre 2002, à Évreux, s’ouvre le procès de Louis Poirson, «cet égocentrique parfois atteint de mégalomanie, paranoïaque au point de faire disparaître le sujet qui fâche.» Implacable, le verdict est signé de l’expert-psychiatre qui a examiné l’accusé. Un tueur en série à la froide détermination qui, le 30 août 1995, a assassiné une mère (67 ans) et sa fille (44 ans). Enlevées dans le cimetière animalier de Douains, elles seront retrouvées asphyxiées, poignardées et carbonisées près de Neuilly, en vallée d’Eure.
J’ai été heureuse avec lui
Homme à la personnalité contrastée, Louis Poirson travaille comme tailleur de pierre, près de Chauffour. Il vit avec Chantal qui témoigne de deux ans de vie commune normale, à Pacy-sur-Eure: «Oui, j’ai été heureuse avec lui.»
Mais c’est un tout autre individu que vont croiser Jeanine et Monique Villain. Originaires de Saint-Vincent-des-Bois, les deux femmes se rendent, ce jour-là, sur la tombe de leur chienne «Babette», au cimetière de Douains. Elles tombent nez-à-nez avec Poirson, 33 ans au moment des faits et sorti de prison douze mois auparavant, séjour carcéral dû à une dizaine de viols et agressions ! «Le regard des victimes lui étaient insupportable» décrypte l’expert-psychiatre. En cet été 1995, il s’agit bien d’un regard «mal placé», celui que la mère et la fille portent sur le jeune homme au corps d’athlète qui s’apprête à saccager des sépultures.
Aspergées d’essence
La suite fait froid dans le dos. De peur d’être dénoncé, celui qui rêvait de faire carrière dans les paras commandos, assomme Jeanine et attache Monique, puis les emmène de force dans sa BX, direction Neuilly. Là, il étouffe la mère de famille à l’aide d’un sac plastique, et brise la nuque de la fille avec un bout de bois. Avant de les brûler en les aspergeant d’essence. Qualifié de «prévenant et agréable à fréquenter» par ses collègues de travail, Louis Poirson s’en va, ensuite, se promener tranquillement à Paris. Trois jours plus tard, des promeneurs effectueront la macabre découverte.
Tralala pour un chien mort
Dans un premier temps, les gendarmes ont orienté l’enquête vers Michel Villain, fils et demi-frère des deux victimes. Dénoncé par son propre fils, le présumé coupable passera 33 mois derrière les barreaux, avant que Louis Poirson – interpellé dans une affaire de viol -, n’avoue le double meurtre de Fains. Le jour du procès, le prévenu s’étonnera qu’on fasse tout ce «tralala pour un chien mort», et répétera au jury: «à plusieurs reprises, je leur ai laissé le choix de partir à condition de ne rien raconter.»
Mais une fois le «processus» enclenché, il confessera, à la barre, «ne plus pouvoir faire machine arrière.» Propos confirmés par l’expert-psychiatre: «des difficultés fantasmatiques à réprimer ses pulsions.» Après trois heures de délibéré, Louis Poirson sera condamné à la réclusion à perpétuité.
Il avait besoin de tuer
Mais «M. Hyde», comme le surnomment les journalistes à l’époque, n’en a pas terminé avec la justice: deux autres meurtres et un rapt lui sont imputés. Non content d’avoir enlevé trois auto-stoppeuses de 15 ans, et étranglé puis enterré une septuagénaire demeurant en maison de retraite, l’ancien marinier devenu tailleur de pierre, jettera son dévolu sur une Pacéenne de 79 ans. Charlotte Berson a eu l’infortune de croiser la route de Louis Poirson alors qu’elle se promenait dans la campagne. Au volant de sa voiture, il lui bloque le passage, elle s’énerve et frappe sur le capot.
Rambo
Le sang de «Rambo» – autre surnom dont on l’affuble – ne fait qu’un tour. Il pousse violemment la septuagénaire qui heurte, alors, une pierre. Il l’assomme et achève sa triste besogne en versant de l’acide chlorhydrique sur le visage et les mains de la malheureuse. Découverte par deux chasseurs, Charlotte Berson sera identifiée grâce à la montre qu’elle portait. Pour ce quatrième meurtre en cinq ans, le tueur en série « héritera » de la réclusion criminelle à perpétuité. «Il avait besoin de tuer» conclura le bâtonnier Xavier Hubert, décrivant des faits odieux et «des actes d’un humain qui ne peut comprendre tout de ses réactions incontrôlables.»
La mystérieuse victime sur la photo
Une photo d'une femme nue dans un bois, terrorisée est trouvée dans les affaires de Poirson. Les enquêteurs, convaincus qu'il s'agit d'une autre victime, l'interrogent à ce sujet. Il déclare qu'il n'a jamais vu cette femme et que c'est une photo qu'il a simplement trouvée.
On a à ce jour aucune piste concernant cette personne sur la photo.
Sinon, l’affaire du col de Dyatlov a été résolue par des ingénieurs suisses :
https://actu.epfl.ch/news/quand-la-science-permet-d-explorer-un-mystere-russ/
Le 16 février 2021 à 05:18:04 bohih19053 a écrit :
Sinon, l’affaire du col de Dyatlov a été résolue par des ingénieurs suisses :https://actu.epfl.ch/news/quand-la-science-permet-d-explorer-un-mystere-russ/
Une avalanche aurait causé des radiations? Arraché les yeux? Échangé les vêtements? Fait subir autant de dégâts internes? Déshabillé certains d'entre eux?
Surtout que si ça avait été aussi bête qu'une avalanche pourquoi on aurait mis autant de temps à savoir? Et pourquoi les autres morts par avalanche (dans le monde je veux dire) n'ont pas eu tout les trucs bizarres qu'eux ont eu? M'est avis qu'on ne saura vraiment jamais ce qu'il c'est passé.
Le 16 février 2021 à 06:00:11 Liimustelieth a écrit :
Le 16 février 2021 à 05:18:04 bohih19053 a écrit :
Sinon, l’affaire du col de Dyatlov a été résolue par des ingénieurs suisses :https://actu.epfl.ch/news/quand-la-science-permet-d-explorer-un-mystere-russ/
Une avalanche aurait causé des radiations? Arraché les yeux? Échangé les vêtements? Fait subir autant de dégâts internes? Déshabillé certains d'entre eux?
Surtout que si ça avait été aussi bête qu'une avalanche pourquoi on aurait mis autant de temps à savoir? Et pourquoi les autres morts par avalanche (dans le monde je veux dire) n'ont pas eu tout les trucs bizarres qu'eux ont eu? M'est avis qu'on ne saura vraiment jamais ce qu'il c'est passé.
Ils le disent dans l'article que beaucoup de mystère demeure, c'est le clé qui s'est précipité surtout là.
Louis Poirson le tailleur de pierre, alias Rambo
Légère Biographie
Il est né d'un père Français d'une mère Malgache et est l'ainé de trois autres sœurs. Il déclare avoir été battu par son père alcoolique (souvent sans raison) sous le regard passif de sa mère, il éprouve par la suite avec ses sœurs une forte rancœur à l'égard de leurs parents.
Il rêve de devenir para-commando (pour "les voyages, le sport et les combats") mais en raison d'une blessure il ne peut jamais devenir parachutiste, il en est fortement déçu. En 1982, il effectuera alors son service national.
Il rencontre sa nouvelle compagne par correspondance lors d'un séjour en prison.
Les faits
Entre 1995 et 1999, Louis Poirson a semé la terreur dans la campagne de Pacy-sur-Eure, n’hésitant pas à étrangler et brûler les femmes qui avaient le malheur de croiser sa route.
Le 26 septembre 2002, à Évreux, s’ouvre le procès de Louis Poirson, «cet égocentrique parfois atteint de mégalomanie, paranoïaque au point de faire disparaître le sujet qui fâche.» Implacable, le verdict est signé de l’expert-psychiatre qui a examiné l’accusé. Un tueur en série à la froide détermination qui, le 30 août 1995, a assassiné une mère (67 ans) et sa fille (44 ans). Enlevées dans le cimetière animalier de Douains, elles seront retrouvées asphyxiées, poignardées et carbonisées près de Neuilly, en vallée d’Eure.
J’ai été heureuse avec lui
Homme à la personnalité contrastée, Louis Poirson travaille comme tailleur de pierre, près de Chauffour. Il vit avec Chantal qui témoigne de deux ans de vie commune normale, à Pacy-sur-Eure: «Oui, j’ai été heureuse avec lui.»
Mais c’est un tout autre individu que vont croiser Jeanine et Monique Villain. Originaires de Saint-Vincent-des-Bois, les deux femmes se rendent, ce jour-là, sur la tombe de leur chienne «Babette», au cimetière de Douains. Elles tombent nez-à-nez avec Poirson, 33 ans au moment des faits et sorti de prison douze mois auparavant, séjour carcéral dû à une dizaine de viols et agressions ! «Le regard des victimes lui étaient insupportable» décrypte l’expert-psychiatre. En cet été 1995, il s’agit bien d’un regard «mal placé», celui que la mère et la fille portent sur le jeune homme au corps d’athlète qui s’apprête à saccager des sépultures.
Aspergées d’essence
La suite fait froid dans le dos. De peur d’être dénoncé, celui qui rêvait de faire carrière dans les paras commandos, assomme Jeanine et attache Monique, puis les emmène de force dans sa BX, direction Neuilly. Là, il étouffe la mère de famille à l’aide d’un sac plastique, et brise la nuque de la fille avec un bout de bois. Avant de les brûler en les aspergeant d’essence. Qualifié de «prévenant et agréable à fréquenter» par ses collègues de travail, Louis Poirson s’en va, ensuite, se promener tranquillement à Paris. Trois jours plus tard, des promeneurs effectueront la macabre découverte.
Tralala pour un chien mort
Dans un premier temps, les gendarmes ont orienté l’enquête vers Michel Villain, fils et demi-frère des deux victimes. Dénoncé par son propre fils, le présumé coupable passera 33 mois derrière les barreaux, avant que Louis Poirson – interpellé dans une affaire de viol -, n’avoue le double meurtre de Fains. Le jour du procès, le prévenu s’étonnera qu’on fasse tout ce «tralala pour un chien mort», et répétera au jury: «à plusieurs reprises, je leur ai laissé le choix de partir à condition de ne rien raconter.»
Mais une fois le «processus» enclenché, il confessera, à la barre, «ne plus pouvoir faire machine arrière.» Propos confirmés par l’expert-psychiatre: «des difficultés fantasmatiques à réprimer ses pulsions.» Après trois heures de délibéré, Louis Poirson sera condamné à la réclusion à perpétuité.
Il avait besoin de tuer
Mais «M. Hyde», comme le surnomment les journalistes à l’époque, n’en a pas terminé avec la justice: deux autres meurtres et un rapt lui sont imputés. Non content d’avoir enlevé trois auto-stoppeuses de 15 ans, et étranglé puis enterré une septuagénaire demeurant en maison de retraite, l’ancien marinier devenu tailleur de pierre, jettera son dévolu sur une Pacéenne de 79 ans. Charlotte Berson a eu l’infortune de croiser la route de Louis Poirson alors qu’elle se promenait dans la campagne. Au volant de sa voiture, il lui bloque le passage, elle s’énerve et frappe sur le capot.
Rambo
Le sang de «Rambo» – autre surnom dont on l’affuble – ne fait qu’un tour. Il pousse violemment la septuagénaire qui heurte, alors, une pierre. Il l’assomme et achève sa triste besogne en versant de l’acide chlorhydrique sur le visage et les mains de la malheureuse. Découverte par deux chasseurs, Charlotte Berson sera identifiée grâce à la montre qu’elle portait. Pour ce quatrième meurtre en cinq ans, le tueur en série « héritera » de la réclusion criminelle à perpétuité. «Il avait besoin de tuer» conclura le bâtonnier Xavier Hubert, décrivant des faits odieux et «des actes d’un humain qui ne peut comprendre tout de ses réactions incontrôlables.»
La mystérieuse victime sur la photo
Une photo d'une femme nue dans un bois, terrorisée est trouvée dans les affaires de Poirson. Les enquêteurs, convaincus qu'il s'agit d'une autre victime, l'interrogent à ce sujet. Il déclare qu'il n'a jamais vu cette femme et que c'est une photo qu'il a simplement trouvée.
On a à ce jour aucune piste concernant cette personne sur la photo (qui est trouvable sur le net, rien de gore mais elle a un côté malsain un peu).
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
- Nb. messages archivés
- 3024
- Nb. messages JVC
- 2606