Topic du Glauque
Bon je tente une dernière fois en édulcorant un max l'histoire, si elle saute tant pis:
Louis Poirson le tailleur de pierre, alias Rambo
Légère Biographie
Il est né d'un père Français d'une mère Malgache et est l'ainé de trois autres sœurs. Il déclare avoir été battu par son père alcoolique (souvent sans raison) sous le regard passif de sa mère, il éprouve par la suite avec ses sœurs une forte rancœur à l'égard de leurs parents.
Il rêve de devenir para-commando (pour "les voyages, le sport et les combats") mais en raison d'une blessure il ne peut jamais devenir parachutiste, il en est fortement déçu. En 1982, il effectuera alors son service national.
Il rencontre sa nouvelle compagne par correspondance lors d'un séjour en prison.
Les faits
Entre 1995 et 1999, Louis Poirson a semé la terreur dans la campagne de Pacy-sur-Eure sur les femmes qui avaient le malheur de croiser sa route.
Le 26 septembre 2002, à Évreux, s’ouvre le procès de Louis Poirson, «cet égocentrique parfois atteint de mégalomanie, paranoïaque au point de faire disparaître le sujet qui fâche.» Implacable, le verdict est signé de l’expert-psychiatre qui a examiné l’accusé. Un tueur en série à la froide détermination qui, le 30 août 1995, a assassiné une mère (67 ans) et sa fille (44 ans). Enlevées dans le cimetière animalier de Douains, elles seront retrouvées mortes près de Neuilly, en vallée d’Eure.
J’ai été heureuse avec lui
Homme à la personnalité contrastée, Louis Poirson travaille comme tailleur de pierre, près de Chauffour. Il vit avec Chantal qui témoigne de deux ans de vie commune normale, à Pacy-sur-Eure: «Oui, j’ai été heureuse avec lui.»
Mais c’est un tout autre individu que vont croiser Jeanine et Monique Villain. Originaires de Saint-Vincent-des-Bois, les deux femmes se rendent, ce jour-là, sur la tombe de leur chienne «Babette», au cimetière de Douains. Elles tombent nez-à-nez avec Poirson, 33 ans au moment des faits et sorti de prison douze mois auparavant, séjour carcéral dû à une dizaine d'agressions sexuelles et physiques! «Le regard des victimes lui étaient insupportable» décrypte l’expert-psychiatre. En cet été 1995, il s’agit bien d’un regard «mal placé», celui que la mère et la fille portent sur le jeune homme au corps d’athlète qui s’apprête à saccager des sépultures.
Aspergées d’essence
La suite fait froid dans le dos. De peur d’être dénoncé, celui qui rêvait de faire carrière dans les paras commandos, assomme Jeanine et attache Monique, puis les emmène de force dans sa BX, direction Neuilly. Là, il asphyxie la mère de famille à l’aide d’un sac plastique, et tue de la fille avec un bout de bois. Avant d'immoler par le feu les corps en les aspergeant d’essence. Qualifié de «prévenant et agréable à fréquenter» par ses collègues de travail, Louis Poirson s’en va, ensuite, se promener tranquillement à Paris. Trois jours plus tard, des promeneurs effectueront la macabre découverte.
Tralala pour un chien
Dans un premier temps, les gendarmes ont orienté l’enquête vers Michel Villain, fils et demi-frère des deux victimes. Dénoncé par son propre fils, le présumé coupable passera 33 mois derrière les barreaux, avant que Louis Poirson – interpellé dans une autre affaire -, n’avoue le double meurtre de Fains. Le jour du procès, le prévenu s’étonnera qu’on fasse tout ce «tralala pour un chien», et répétera au jury: «à plusieurs reprises, je leur ai laissé le choix de partir à condition de ne rien raconter.»
Mais une fois le «processus» enclenché, il confessera, à la barre, «ne plus pouvoir faire machine arrière.» Propos confirmés par l’expert-psychiatre: «des difficultés fantasmatiques à réprimer ses pulsions.» Après trois heures de délibéré, Louis Poirson sera condamné à la réclusion à perpétuité.
Il avait besoin de tuer
Mais «M. Hyde», comme le surnomment les journalistes à l’époque, n’en a pas terminé avec la justice: deux autres meurtres et un rapt lui sont imputés. Non content d’avoir enlevé trois auto-stoppeuses de 15 ans, et étranglé puis enterré une septuagénaire demeurant en maison de retraite, l’ancien marinier devenu tailleur de pierre, jettera son dévolu sur une Pacéenne de 79 ans. Charlotte Berson a eu l’infortune de croiser la route de Louis Poirson alors qu’elle se promenait dans la campagne. Au volant de sa voiture, il lui bloque le passage, elle s’énerve et frappe sur le capot.
Rambo
Le sang de «Rambo» – autre surnom dont on l’affuble – ne fait qu’un tour. Il pousse violemment la septuagénaire qui heurte, alors, une pierre. Il l’assomme et achève sa triste besogne. Découverte par deux chasseurs, Charlotte Berson sera identifiée grâce à la montre qu’elle portait. Pour ce quatrième meurtre en cinq ans, le tueur en série « héritera » de la réclusion criminelle à perpétuité. «Il avait besoin de tuer» conclura le bâtonnier Xavier Hubert, décrivant des faits odieux et «des actes d’un humain qui ne peut comprendre tout de ses réactions incontrôlables.»
La mystérieuse victime sur la photo
Une photo d'une femme nue dans un bois, terrorisée est trouvée dans les affaires de Poirson. Les enquêteurs, convaincus qu'il s'agit d'une autre victime, l'interrogent à ce sujet. Il déclare qu'il n'a jamais vu cette femme et que c'est une photo qu'il a simplement trouvée.
On a à ce jour aucune piste concernant cette personne sur la photo (trouvable sur le net, rien de gore ou graphique d'ailleurs, mais elle à un côté malsain).
Le 17 février 2021 à 00:32:01 Liimustelieth a écrit :
Bon je tente une dernière fois en édulcorant un max l'histoire, si elle saute tant pis:
Légère Biographie
Il est né d'un père Français d'une mère Malgache et est l'ainé de trois autres sœurs. Il déclare avoir été battu par son père alcoolique (souvent sans raison) sous le regard passif de sa mère, il éprouve par la suite avec ses sœurs une forte rancœur à l'égard de leurs parents.
Il rêve de devenir para-commando (pour "les voyages, le sport et les combats") mais en raison d'une blessure il ne peut jamais devenir parachutiste, il en est fortement déçu. En 1982, il effectuera alors son service national.
Il rencontre sa nouvelle compagne par correspondance lors d'un séjour en prison.
Les faits
Entre 1995 et 1999, Louis Poirson a semé la terreur dans la campagne de Pacy-sur-Eure sur les femmes qui avaient le malheur de croiser sa route.
Le 26 septembre 2002, à Évreux, s’ouvre le procès de Louis Poirson, «cet égocentrique parfois atteint de mégalomanie, paranoïaque au point de faire disparaître le sujet qui fâche.» Implacable, le verdict est signé de l’expert-psychiatre qui a examiné l’accusé. Un tueur en série à la froide détermination qui, le 30 août 1995, a assassiné une mère (67 ans) et sa fille (44 ans). Enlevées dans le cimetière animalier de Douains, elles seront retrouvées mortes près de Neuilly, en vallée d’Eure.
J’ai été heureuse avec lui
Homme à la personnalité contrastée, Louis Poirson travaille comme tailleur de pierre, près de Chauffour. Il vit avec Chantal qui témoigne de deux ans de vie commune normale, à Pacy-sur-Eure: «Oui, j’ai été heureuse avec lui.»
Mais c’est un tout autre individu que vont croiser Jeanine et Monique Villain. Originaires de Saint-Vincent-des-Bois, les deux femmes se rendent, ce jour-là, sur la tombe de leur chienne «Babette», au cimetière de Douains. Elles tombent nez-à-nez avec Poirson, 33 ans au moment des faits et sorti de prison douze mois auparavant, séjour carcéral dû à une dizaine d'agressions sexuelles et physiques! «Le regard des victimes lui étaient insupportable» décrypte l’expert-psychiatre. En cet été 1995, il s’agit bien d’un regard «mal placé», celui que la mère et la fille portent sur le jeune homme au corps d’athlète qui s’apprête à saccager des sépultures.
Aspergées d’essence
La suite fait froid dans le dos. De peur d’être dénoncé, celui qui rêvait de faire carrière dans les paras commandos, assomme Jeanine et attache Monique, puis les emmène de force dans sa BX, direction Neuilly. Là, il asphyxie la mère de famille à l’aide d’un sac plastique, et tue de la fille avec un bout de bois. Avant d'immoler par le feu les corps en les aspergeant d’essence. Qualifié de «prévenant et agréable à fréquenter» par ses collègues de travail, Louis Poirson s’en va, ensuite, se promener tranquillement à Paris. Trois jours plus tard, des promeneurs effectueront la macabre découverte.
Tralala pour un chien
Dans un premier temps, les gendarmes ont orienté l’enquête vers Michel Villain, fils et demi-frère des deux victimes. Dénoncé par son propre fils, le présumé coupable passera 33 mois derrière les barreaux, avant que Louis Poirson – interpellé dans une autre affaire -, n’avoue le double meurtre de Fains. Le jour du procès, le prévenu s’étonnera qu’on fasse tout ce «tralala pour un chien», et répétera au jury: «à plusieurs reprises, je leur ai laissé le choix de partir à condition de ne rien raconter.»
Mais une fois le «processus» enclenché, il confessera, à la barre, «ne plus pouvoir faire machine arrière.» Propos confirmés par l’expert-psychiatre: «des difficultés fantasmatiques à réprimer ses pulsions.» Après trois heures de délibéré, Louis Poirson sera condamné à la réclusion à perpétuité.
Il avait besoin de tuer
Mais «M. Hyde», comme le surnomment les journalistes à l’époque, n’en a pas terminé avec la justice: deux autres meurtres et un rapt lui sont imputés. Non content d’avoir enlevé trois auto-stoppeuses de 15 ans, et étranglé puis enterré une septuagénaire demeurant en maison de retraite, l’ancien marinier devenu tailleur de pierre, jettera son dévolu sur une Pacéenne de 79 ans. Charlotte Berson a eu l’infortune de croiser la route de Louis Poirson alors qu’elle se promenait dans la campagne. Au volant de sa voiture, il lui bloque le passage, elle s’énerve et frappe sur le capot.
Rambo
Le sang de «Rambo» – autre surnom dont on l’affuble – ne fait qu’un tour. Il pousse violemment la septuagénaire qui heurte, alors, une pierre. Il l’assomme et achève sa triste besogne. Découverte par deux chasseurs, Charlotte Berson sera identifiée grâce à la montre qu’elle portait. Pour ce quatrième meurtre en cinq ans, le tueur en série « héritera » de la réclusion criminelle à perpétuité. «Il avait besoin de tuer» conclura le bâtonnier Xavier Hubert, décrivant des faits odieux et «des actes d’un humain qui ne peut comprendre tout de ses réactions incontrôlables.»
La mystérieuse victime sur la photo
Une photo d'une femme nue dans un bois, terrorisée est trouvée dans les affaires de Poirson. Les enquêteurs, convaincus qu'il s'agit d'une autre victime, l'interrogent à ce sujet. Il déclare qu'il n'a jamais vu cette femme et que c'est une photo qu'il a simplement trouvée.
On a à ce jour aucune piste concernant cette personne sur la photo (trouvable sur le net, rien de gore ou graphique d'ailleurs, mais elle à un côté malsain).
Le 19 février 2021 à 04:50:21 Pseud073 a écrit :
Le 17 février 2021 à 00:32:01 Liimustelieth a écrit :
Bon je tente une dernière fois en édulcorant un max l'histoire, si elle saute tant pis:
Légère Biographie
Il est né d'un père Français d'une mère Malgache et est l'ainé de trois autres sœurs. Il déclare avoir été battu par son père alcoolique (souvent sans raison) sous le regard passif de sa mère, il éprouve par la suite avec ses sœurs une forte rancœur à l'égard de leurs parents.
Il rêve de devenir para-commando (pour "les voyages, le sport et les combats") mais en raison d'une blessure il ne peut jamais devenir parachutiste, il en est fortement déçu. En 1982, il effectuera alors son service national.
Il rencontre sa nouvelle compagne par correspondance lors d'un séjour en prison.
Les faits
Entre 1995 et 1999, Louis Poirson a semé la terreur dans la campagne de Pacy-sur-Eure sur les femmes qui avaient le malheur de croiser sa route.
Le 26 septembre 2002, à Évreux, s’ouvre le procès de Louis Poirson, «cet égocentrique parfois atteint de mégalomanie, paranoïaque au point de faire disparaître le sujet qui fâche.» Implacable, le verdict est signé de l’expert-psychiatre qui a examiné l’accusé. Un tueur en série à la froide détermination qui, le 30 août 1995, a assassiné une mère (67 ans) et sa fille (44 ans). Enlevées dans le cimetière animalier de Douains, elles seront retrouvées mortes près de Neuilly, en vallée d’Eure.
J’ai été heureuse avec lui
Homme à la personnalité contrastée, Louis Poirson travaille comme tailleur de pierre, près de Chauffour. Il vit avec Chantal qui témoigne de deux ans de vie commune normale, à Pacy-sur-Eure: «Oui, j’ai été heureuse avec lui.»
Mais c’est un tout autre individu que vont croiser Jeanine et Monique Villain. Originaires de Saint-Vincent-des-Bois, les deux femmes se rendent, ce jour-là, sur la tombe de leur chienne «Babette», au cimetière de Douains. Elles tombent nez-à-nez avec Poirson, 33 ans au moment des faits et sorti de prison douze mois auparavant, séjour carcéral dû à une dizaine d'agressions sexuelles et physiques! «Le regard des victimes lui étaient insupportable» décrypte l’expert-psychiatre. En cet été 1995, il s’agit bien d’un regard «mal placé», celui que la mère et la fille portent sur le jeune homme au corps d’athlète qui s’apprête à saccager des sépultures.
Aspergées d’essence
La suite fait froid dans le dos. De peur d’être dénoncé, celui qui rêvait de faire carrière dans les paras commandos, assomme Jeanine et attache Monique, puis les emmène de force dans sa BX, direction Neuilly. Là, il asphyxie la mère de famille à l’aide d’un sac plastique, et tue de la fille avec un bout de bois. Avant d'immoler par le feu les corps en les aspergeant d’essence. Qualifié de «prévenant et agréable à fréquenter» par ses collègues de travail, Louis Poirson s’en va, ensuite, se promener tranquillement à Paris. Trois jours plus tard, des promeneurs effectueront la macabre découverte.
Tralala pour un chien
Dans un premier temps, les gendarmes ont orienté l’enquête vers Michel Villain, fils et demi-frère des deux victimes. Dénoncé par son propre fils, le présumé coupable passera 33 mois derrière les barreaux, avant que Louis Poirson – interpellé dans une autre affaire -, n’avoue le double meurtre de Fains. Le jour du procès, le prévenu s’étonnera qu’on fasse tout ce «tralala pour un chien», et répétera au jury: «à plusieurs reprises, je leur ai laissé le choix de partir à condition de ne rien raconter.»
Mais une fois le «processus» enclenché, il confessera, à la barre, «ne plus pouvoir faire machine arrière.» Propos confirmés par l’expert-psychiatre: «des difficultés fantasmatiques à réprimer ses pulsions.» Après trois heures de délibéré, Louis Poirson sera condamné à la réclusion à perpétuité.
Il avait besoin de tuer
Mais «M. Hyde», comme le surnomment les journalistes à l’époque, n’en a pas terminé avec la justice: deux autres meurtres et un rapt lui sont imputés. Non content d’avoir enlevé trois auto-stoppeuses de 15 ans, et étranglé puis enterré une septuagénaire demeurant en maison de retraite, l’ancien marinier devenu tailleur de pierre, jettera son dévolu sur une Pacéenne de 79 ans. Charlotte Berson a eu l’infortune de croiser la route de Louis Poirson alors qu’elle se promenait dans la campagne. Au volant de sa voiture, il lui bloque le passage, elle s’énerve et frappe sur le capot.
Rambo
Le sang de «Rambo» – autre surnom dont on l’affuble – ne fait qu’un tour. Il pousse violemment la septuagénaire qui heurte, alors, une pierre. Il l’assomme et achève sa triste besogne. Découverte par deux chasseurs, Charlotte Berson sera identifiée grâce à la montre qu’elle portait. Pour ce quatrième meurtre en cinq ans, le tueur en série « héritera » de la réclusion criminelle à perpétuité. «Il avait besoin de tuer» conclura le bâtonnier Xavier Hubert, décrivant des faits odieux et «des actes d’un humain qui ne peut comprendre tout de ses réactions incontrôlables.»
La mystérieuse victime sur la photo
Une photo d'une femme nue dans un bois, terrorisée est trouvée dans les affaires de Poirson. Les enquêteurs, convaincus qu'il s'agit d'une autre victime, l'interrogent à ce sujet. Il déclare qu'il n'a jamais vu cette femme et que c'est une photo qu'il a simplement trouvée.
On a à ce jour aucune piste concernant cette personne sur la photo (trouvable sur le net, rien de gore ou graphique d'ailleurs, mais elle à un côté malsain).
Y'a un Faites Entrer l'Accusé sur ce gars (et un Hondelatte Raconte aussi)
Le 19 février 2021 à 07:05:17 Liimustelieth a écrit :
Le 19 février 2021 à 04:50:21 Pseud073 a écrit :
Le 17 février 2021 à 00:32:01 Liimustelieth a écrit :
Bon je tente une dernière fois en édulcorant un max l'histoire, si elle saute tant pis:
Légère Biographie
Il est né d'un père Français d'une mère Malgache et est l'ainé de trois autres sœurs. Il déclare avoir été battu par son père alcoolique (souvent sans raison) sous le regard passif de sa mère, il éprouve par la suite avec ses sœurs une forte rancœur à l'égard de leurs parents.
Il rêve de devenir para-commando (pour "les voyages, le sport et les combats") mais en raison d'une blessure il ne peut jamais devenir parachutiste, il en est fortement déçu. En 1982, il effectuera alors son service national.
Il rencontre sa nouvelle compagne par correspondance lors d'un séjour en prison.
Les faits
Entre 1995 et 1999, Louis Poirson a semé la terreur dans la campagne de Pacy-sur-Eure sur les femmes qui avaient le malheur de croiser sa route.
Le 26 septembre 2002, à Évreux, s’ouvre le procès de Louis Poirson, «cet égocentrique parfois atteint de mégalomanie, paranoïaque au point de faire disparaître le sujet qui fâche.» Implacable, le verdict est signé de l’expert-psychiatre qui a examiné l’accusé. Un tueur en série à la froide détermination qui, le 30 août 1995, a assassiné une mère (67 ans) et sa fille (44 ans). Enlevées dans le cimetière animalier de Douains, elles seront retrouvées mortes près de Neuilly, en vallée d’Eure.
J’ai été heureuse avec lui
Homme à la personnalité contrastée, Louis Poirson travaille comme tailleur de pierre, près de Chauffour. Il vit avec Chantal qui témoigne de deux ans de vie commune normale, à Pacy-sur-Eure: «Oui, j’ai été heureuse avec lui.»
Mais c’est un tout autre individu que vont croiser Jeanine et Monique Villain. Originaires de Saint-Vincent-des-Bois, les deux femmes se rendent, ce jour-là, sur la tombe de leur chienne «Babette», au cimetière de Douains. Elles tombent nez-à-nez avec Poirson, 33 ans au moment des faits et sorti de prison douze mois auparavant, séjour carcéral dû à une dizaine d'agressions sexuelles et physiques! «Le regard des victimes lui étaient insupportable» décrypte l’expert-psychiatre. En cet été 1995, il s’agit bien d’un regard «mal placé», celui que la mère et la fille portent sur le jeune homme au corps d’athlète qui s’apprête à saccager des sépultures.
Aspergées d’essence
La suite fait froid dans le dos. De peur d’être dénoncé, celui qui rêvait de faire carrière dans les paras commandos, assomme Jeanine et attache Monique, puis les emmène de force dans sa BX, direction Neuilly. Là, il asphyxie la mère de famille à l’aide d’un sac plastique, et tue de la fille avec un bout de bois. Avant d'immoler par le feu les corps en les aspergeant d’essence. Qualifié de «prévenant et agréable à fréquenter» par ses collègues de travail, Louis Poirson s’en va, ensuite, se promener tranquillement à Paris. Trois jours plus tard, des promeneurs effectueront la macabre découverte.
Tralala pour un chien
Dans un premier temps, les gendarmes ont orienté l’enquête vers Michel Villain, fils et demi-frère des deux victimes. Dénoncé par son propre fils, le présumé coupable passera 33 mois derrière les barreaux, avant que Louis Poirson – interpellé dans une autre affaire -, n’avoue le double meurtre de Fains. Le jour du procès, le prévenu s’étonnera qu’on fasse tout ce «tralala pour un chien», et répétera au jury: «à plusieurs reprises, je leur ai laissé le choix de partir à condition de ne rien raconter.»
Mais une fois le «processus» enclenché, il confessera, à la barre, «ne plus pouvoir faire machine arrière.» Propos confirmés par l’expert-psychiatre: «des difficultés fantasmatiques à réprimer ses pulsions.» Après trois heures de délibéré, Louis Poirson sera condamné à la réclusion à perpétuité.
Il avait besoin de tuer
Mais «M. Hyde», comme le surnomment les journalistes à l’époque, n’en a pas terminé avec la justice: deux autres meurtres et un rapt lui sont imputés. Non content d’avoir enlevé trois auto-stoppeuses de 15 ans, et étranglé puis enterré une septuagénaire demeurant en maison de retraite, l’ancien marinier devenu tailleur de pierre, jettera son dévolu sur une Pacéenne de 79 ans. Charlotte Berson a eu l’infortune de croiser la route de Louis Poirson alors qu’elle se promenait dans la campagne. Au volant de sa voiture, il lui bloque le passage, elle s’énerve et frappe sur le capot.
Rambo
Le sang de «Rambo» – autre surnom dont on l’affuble – ne fait qu’un tour. Il pousse violemment la septuagénaire qui heurte, alors, une pierre. Il l’assomme et achève sa triste besogne. Découverte par deux chasseurs, Charlotte Berson sera identifiée grâce à la montre qu’elle portait. Pour ce quatrième meurtre en cinq ans, le tueur en série « héritera » de la réclusion criminelle à perpétuité. «Il avait besoin de tuer» conclura le bâtonnier Xavier Hubert, décrivant des faits odieux et «des actes d’un humain qui ne peut comprendre tout de ses réactions incontrôlables.»
La mystérieuse victime sur la photo
Une photo d'une femme nue dans un bois, terrorisée est trouvée dans les affaires de Poirson. Les enquêteurs, convaincus qu'il s'agit d'une autre victime, l'interrogent à ce sujet. Il déclare qu'il n'a jamais vu cette femme et que c'est une photo qu'il a simplement trouvée.
On a à ce jour aucune piste concernant cette personne sur la photo (trouvable sur le net, rien de gore ou graphique d'ailleurs, mais elle à un côté malsain).
Y'a un Faites Entrer l'Accusé sur ce gars (et un Hondelatte Raconte aussi)
merci pour l'info j'y jetterai un coup d'oeil!
Daniel Petrich
" Même avec l'arrêt du jeu sur un feu constant, il ne peut pas dire que cela pourrait provoquer ce fait 16 ans Daniel Petric. Après avoir souffert après être tombé d'une planche à neige, Petrich a passé une énorme quantité de jours de jeu Halo 3. Lorsque le père lui avait interdit de jouer le jeu, Daniel prévu la vengeance terrifiante. Il a la main sur la clé de la boîte, où il a été enregistré un disque de jeu, et mis la main sur le pistolet. Lorsque ses parents sont venus à la maison du travail, il leur a demandé de fermer les yeux, parce qu'il a une surprise pour eux, puis a tiré dans la tête. Après cela, il a fui la scène, en prenant votre disque de jeu, mais seulement après avoir tenté de mettre en scène un assassiner et le suicide.
père adolescent a survécu à une tentative d'assassinat, mais sa mère est morte sur place."
Le 19 février 2021 à 14:48:14 Pseud073 a écrit :
" Même avec l'arrêt du jeu sur un feu constant, il ne peut pas dire que cela pourrait provoquer ce fait 16 ans Daniel Petric. Après avoir souffert après être tombé d'une planche à neige, Petrich a passé une énorme quantité de jours de jeu Halo 3. Lorsque le père lui avait interdit de jouer le jeu, Daniel prévu la vengeance terrifiante. Il a la main sur la clé de la boîte, où il a été enregistré un disque de jeu, et mis la main sur le pistolet. Lorsque ses parents sont venus à la maison du travail, il leur a demandé de fermer les yeux, parce qu'il a une surprise pour eux, puis a tiré dans la tête. Après cela, il a fui la scène, en prenant votre disque de jeu, mais seulement après avoir tenté de mettre en scène un assassiner et le suicide.père adolescent a survécu à une tentative d'assassinat, mais sa mère est morte sur place."
https://gamergen.com/actualites/daniel-petric-meurtirer-mere-halo-3-40951-1
Voilà pourquoi la population des indiens d'Amérique est passé de 30 millions à 300
Le 22 février 2021 à 19:20:15 OFB a écrit :
Voilà pourquoi la population des indiens d'Amérique est passé de 30 millions à 300
Je sais pas quel genre de squelette humain on t'as montré en SVT, mais là ce sont des crânes de bisons.
Le 23 février 2021 à 09:09:38 Pseud72 a écrit :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-63806802-1-0-1-0-alerte-le-youtubeur-edison-est-mort.htm
Sa fiche de décès: https://deces.matchid.io/id/QT81t92qBOOd
Pour le coup c'est plus triste qu'autre chose en sachant qu'il était encore plein de vie un peu avant le décès. Ça montre que tout peut s'arrêter n'importe quand et c'est ça qui est dérangeant 
Le 23 février 2021 à 14:08:52 BrummieKid a écrit :
Le 23 février 2021 à 09:09:38 Pseud72 a écrit :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-63806802-1-0-1-0-alerte-le-youtubeur-edison-est-mort.htmSa fiche de décès: https://deces.matchid.io/id/QT81t92qBOOd
Pour le coup c'est plus triste qu'autre chose en sachant qu'il était encore plein de vie un peu avant le décès. Ça montre que tout peut s'arrêter n'importe quand et c'est ça qui est dérangeant
Je passe trop de temps sur ce site (deces.matchid.io) depuis que je l'ai découvert. 
Taper son nom de famille dans la barre de recherche, voir son grand-père, retrouver le nom d'une connaissance suicidée il y a sept ans et aller voir son profil FB, voir qu'il y a déjà 21 personnes nées le même jour que moi qui sont déjà mortes (dont plusieurs fausses-couches ou décès en bas âge), voir d'autres profils FB figés dans le temps... c'est glauque et déprimant mais ça me fascine. 
On finira tous dans cette liste tôt ou tard. Dans 3 mois ? 5 ans ? 70 ans ? Telle est la seule question.
Le 23 février 2021 à 14:08:52 BrummieKid a écrit :
Le 23 février 2021 à 09:09:38 Pseud72 a écrit :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-63806802-1-0-1-0-alerte-le-youtubeur-edison-est-mort.htmSa fiche de décès: https://deces.matchid.io/id/QT81t92qBOOd
Pour le coup c'est plus triste qu'autre chose en sachant qu'il était encore plein de vie un peu avant le décès. Ça montre que tout peut s'arrêter n'importe quand et c'est ça qui est dérangeant
parti trop tot!
Le 23 février 2021 à 14:44:56 FilsDePucix a écrit :
Le 23 février 2021 à 14:08:52 BrummieKid a écrit :
Le 23 février 2021 à 09:09:38 Pseud72 a écrit :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-63806802-1-0-1-0-alerte-le-youtubeur-edison-est-mort.htmSa fiche de décès: https://deces.matchid.io/id/QT81t92qBOOd
Pour le coup c'est plus triste qu'autre chose en sachant qu'il était encore plein de vie un peu avant le décès. Ça montre que tout peut s'arrêter n'importe quand et c'est ça qui est dérangeant
Je passe trop de temps sur ce site (deces.matchid.io) depuis que je l'ai découvert.
Taper son nom de famille dans la barre de recherche, voir son grand-père, retrouver le nom d'une connaissance suicidée il y a sept ans et aller voir son profil FB, voir qu'il y a déjà 21 personnes nées le même jour que moi qui sont déjà mortes (dont plusieurs fausses-couches ou décès en bas âge), voir d'autres profils FB figés dans le temps... c'est glauque et déprimant mais ça me fascine.
On finira tous dans cette liste tôt ou tard. Dans 3 mois ? 5 ans ? 70 ans ? Telle est la seule question.
drole de passion
Le 23 février 2021 à 14:44:56 FilsDePucix a écrit :
Le 23 février 2021 à 14:08:52 BrummieKid a écrit :
Le 23 février 2021 à 09:09:38 Pseud72 a écrit :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-63806802-1-0-1-0-alerte-le-youtubeur-edison-est-mort.htmSa fiche de décès: https://deces.matchid.io/id/QT81t92qBOOd
Pour le coup c'est plus triste qu'autre chose en sachant qu'il était encore plein de vie un peu avant le décès. Ça montre que tout peut s'arrêter n'importe quand et c'est ça qui est dérangeant
Je passe trop de temps sur ce site (deces.matchid.io) depuis que je l'ai découvert.
Taper son nom de famille dans la barre de recherche, voir son grand-père, retrouver le nom d'une connaissance suicidée il y a sept ans et aller voir son profil FB, voir qu'il y a déjà 21 personnes nées le même jour que moi qui sont déjà mortes (dont plusieurs fausses-couches ou décès en bas âge), voir d'autres profils FB figés dans le temps... c'est glauque et déprimant mais ça me fascine.
On finira tous dans cette liste tôt ou tard. Dans 3 mois ? 5 ans ? 70 ans ? Telle est la seule question.
Bon, je suis pas de France donc je ne risque pas de finir dedans au moins 
Ni mes connaissances d'ailleurs, même si je dois avouer que j'aimerais bien
Par contre j'avais trouvé le profil de Chirac dessus, intéressant
C'est celui-là je crois https://deces.matchid.io/id/fohpDS17K0Ez
Le 23 février 2021 à 15:40:08 BrummieKid a écrit :
Le 23 février 2021 à 14:44:56 FilsDePucix a écrit :
Le 23 février 2021 à 14:08:52 BrummieKid a écrit :
Le 23 février 2021 à 09:09:38 Pseud72 a écrit :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-63806802-1-0-1-0-alerte-le-youtubeur-edison-est-mort.htmSa fiche de décès: https://deces.matchid.io/id/QT81t92qBOOd
Pour le coup c'est plus triste qu'autre chose en sachant qu'il était encore plein de vie un peu avant le décès. Ça montre que tout peut s'arrêter n'importe quand et c'est ça qui est dérangeant
Je passe trop de temps sur ce site (deces.matchid.io) depuis que je l'ai découvert.
Taper son nom de famille dans la barre de recherche, voir son grand-père, retrouver le nom d'une connaissance suicidée il y a sept ans et aller voir son profil FB, voir qu'il y a déjà 21 personnes nées le même jour que moi qui sont déjà mortes (dont plusieurs fausses-couches ou décès en bas âge), voir d'autres profils FB figés dans le temps... c'est glauque et déprimant mais ça me fascine.
On finira tous dans cette liste tôt ou tard. Dans 3 mois ? 5 ans ? 70 ans ? Telle est la seule question.
Bon, je suis pas de France donc je ne risque pas de finir dedans au moins
Ni mes connaissances d'ailleurs, même si je dois avouer que j'aimerais bien
Par contre j'avais trouvé le profil de Chirac dessus, intéressant
C'est celui-là je crois https://deces.matchid.io/id/fohpDS17K0Ez
Dans quel pays vis tu?
Le 24 février 2021 à 16:28:39 Pseud72 a écrit :
Le 23 février 2021 à 15:40:08 BrummieKid a écrit :
Le 23 février 2021 à 14:44:56 FilsDePucix a écrit :
Le 23 février 2021 à 14:08:52 BrummieKid a écrit :
Le 23 février 2021 à 09:09:38 Pseud72 a écrit :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-63806802-1-0-1-0-alerte-le-youtubeur-edison-est-mort.htmSa fiche de décès: https://deces.matchid.io/id/QT81t92qBOOd
Pour le coup c'est plus triste qu'autre chose en sachant qu'il était encore plein de vie un peu avant le décès. Ça montre que tout peut s'arrêter n'importe quand et c'est ça qui est dérangeant
Je passe trop de temps sur ce site (deces.matchid.io) depuis que je l'ai découvert.
Taper son nom de famille dans la barre de recherche, voir son grand-père, retrouver le nom d'une connaissance suicidée il y a sept ans et aller voir son profil FB, voir qu'il y a déjà 21 personnes nées le même jour que moi qui sont déjà mortes (dont plusieurs fausses-couches ou décès en bas âge), voir d'autres profils FB figés dans le temps... c'est glauque et déprimant mais ça me fascine.
On finira tous dans cette liste tôt ou tard. Dans 3 mois ? 5 ans ? 70 ans ? Telle est la seule question.
Bon, je suis pas de France donc je ne risque pas de finir dedans au moins
Ni mes connaissances d'ailleurs, même si je dois avouer que j'aimerais bien
Par contre j'avais trouvé le profil de Chirac dessus, intéressant
C'est celui-là je crois https://deces.matchid.io/id/fohpDS17K0Ez
Dans quel pays vis tu?
Suisse
Rien de bien exotique mais pour le coup je ne connais personne de ma famille qui vive en France
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
- Nb. messages archivés
- 3024
- Nb. messages JVC
- 2606