[FEUILLETON] Faut que je vous raconte …
Le 04 juin 2018 à 16:04:05 Mirror_blacked a écrit :
Le 04 juin 2018 à 15:18:37 CoriolisStorm a écrit :
Ca fait plaisir de voir que certains d'entre vous suivent vraiment. Ca devient rare les topics avec un peu de suivis.
La suite arrive dans quelques minutes à peine.Je suis carrément abonnés et j'ai attendu tout ce week-end
Ca fait plaisir.
Le 04 juin 2018 à 16:11:48 41242702031 a écrit :
Ayaaa l’orthographe de l’époque et tout, fac direct l’op ton top IV est un rayon de soleil dans ma vie d’aigri
J'ai encore des sms de l'époque dans un vieux téléphone
Chapitre #18 : Les années lycée – Briser la glace
Il fait un froid mordant, j’ai les dents qui claquent.
Je suis en stress, j’ai les dents qui claquent.
Comme à mon habitude, la discussion est quelque peu compliquée au départ. J’ai toujours ce foutu problème de testicules bloqués dans mon Sagem. Mais cette fois je suis concentré, j’essaye à tout prix d’éviter de sortir une phrase débile comme la dernière fois sous le chapiteau. Pour marquer ma confiance en moi je garde même un écouteur dans l’oreille droite, ça fait le gars détaché.
Au bout de quelques minutes la conversation se lance correctement, faut dire que Marie n’est pas trop timide et qu’elle arrive à me décoincer. On a pas mal de sujets à aborder en fin de comptes. Elle est en seconde dans le même lycée que moi, on peut facilement parler des profs qu’elle a et que j’ai eu l’année passée, des gens en communs que l’on connait, ce genre de choses.
Dans l’après-midi je reçois un, puis deux et même trois textos de mes potes partis faire un tour avec Natacheum. Et je devine que Marie en reçoit également de cette dernière. Ils me demandent comment ça se passe. Ils doivent être bien curieux et je devine que nous sommes leur principal sujet de conversation. En même temps qui utiliserait plusieurs de ses 150 textos mensuels sinon ?
Le temps passe, après un peu plus d’une heure la conversation est vraiment fluide. Mais je ne sais pas combien de temps encore je vais avoir de temps seul à seul avec Marie. Les autres sont partis faire un tour, mais dans une ville comme celle-ci il est difficile de s’occuper bien plus longtemps. Heureusement que la fête foraine de Noël est installée, ça me donne forcément un peu de temps.
Au bout d’un moment, un blanc se créé dans notre échange. Serions-nous arrivés à bout des choses que nous avions à dire pour aujourd’hui ? Ou serait-ce autre chose ?
Marie reste à me fixer, je plonge mes yeux dans ses deux magnifiques globes bleus comme une balle de blitzball.
Je sens mon cœur battre à tout rompre.
Je sens mon estomac se nouer comme sous la pression d’un passage au tableau. A la différence que cette fois l’oral aura une toute autre saveur.
Nos visages se rapprochent, doucement, doucement, le temps freine des deux pieds. Et ça tombe bien, je voudrai que cet instant ne s’arrête à aucun prix.
Ca y est, nous échangeons notre premier baiser. Ses lèvres ont un gout sucré. :cœur:
Après cela, la conversation ne reprendra que sporadiquement. Chaque échange étant ponctué d’un baiser. Nous passons facilement 20 minutes à nous embrasser avant que nos amis ne reviennent. A leur retour de grands sourires se dessinent sur leur visage, mais pas aussi grand que celui qui illumine mon cœur.
Le trajet de retour ne sera que bluff de ma part pour faire croire à mes potes que cet après-midi ne représente rien pour moi ; et passage du revers de la main sur ma bouche afin de faire partir le gloss qui me colle aux lèvres.
Cette fois ce n’est pas une amourette de vacances, il va falloir assumer au lycée maintenant.
Chapitre #19 : Les années lycée – Sur un nuage
La dernière semaine et demie de cours avant les vacances de Noël est passée tellement viiiiite. Chaque journée est plus belle que la précédente. Pour une fois dans ma vie je suis pressée de me lever le matin, ça ne m’était pas arrivé depuis le 29 octobre 2004
Au lycée je retrouve Marie dès ma descente du bus, le mien arrive quelques minutes après le sien donc elle est là pour m’attendre chaque matin. La journée débute ainsi par une grosse pelle baveuse. On fait les quelques mètres jusqu’à la grille pour échanger encore quelques litres de salives. Et c’est encore le cas quand on sépare avant d’entrer en cours. Sérieusement à 8h00 je dois avoir fait plus de tour avec ma langue que Yoshi dans toute sa vie.
Par contre il faut bien l’avouer, les heures de cours semblent bien plus longues et les pauses ont encore plus de gout à mes yeux. Du coup j’ai tendance à décrocher réellement dans la plupart des matières. Mon niveau n’était déjà pas excellent depuis l’année dernière, là ça commence vraiment à être critique. Mais bizarrement je m’en fous cette fois. Tout mon esprit est occupé à autre chose : Marie !
Durant la plupart des pauses, je suis seul avec elle. On se retrouve sur le perron du lycée, et on passe les quelques minutes libres à muscler nos mâchoires. C’est d’ailleurs une chose qui a tendance à énerver le CPE. Ce vieux grincheux ne semble pas apprécier notre petit jeu et on se fait tirer les bretelles presque quotidiennement.
A partir de vendredi 23 décembre, nous sommes en vacances pour 15 jours. Et il est hors de question de rester séparer tout ce temps. Avec Marie les rendez-vous en ville sont presque quotidien, souvent avec mes potes et Natacheum qui s’emble s’être rapprochée de Ronan, au grand désarroi de Mathieu. Mais difficile pour ce dernier de lutter avec Ronan. Comme le dira Natacheum à Marie :
« Il écoute du rap et il a un scooter ! »
Comment voulez-vous lutter contre des arguments pareils ?
Enfin bref, mis à part ce détail, tout ce petit monde s’entend très bien et les longs après-midi passés à la fête foraine sont synonymes d’amusement pour toute notre joyeuse troupe. On évite de trop trainer près des auto-tamponneuses pour ne pas s’attirer la foudre des jeunes forains habituer du coin ; Mais nous trouvons notre bonheur entre New Dream et croustillons.
En résumé, cette période est bénie.
Cerise sur le gâteau, pour le 31 décembre mes parents m’autorisent à faire la fête avec mes amis, les filles seront de la partie, et nous avons même prévu de prendre de l’alcool et d’aller en discothèque. Que de grandes premières pour moi.
j'aime bien
sweet
Chapitre #20 : Les années lycée – 3, 2, 1 BONNE ANNEE !!!
Nous sommes samedi 31 décembre 2005. J’ai 16 ans depuis quelques semaines. Je suis en couple avec la plus belle des filles que je n’ai jamais approché. Il est 21h00. J’ai mis mon plus beau polo et mon unique jean. J’ai réussi à acheter une bouteille de Manzana malgré mon âge. Ça sera ma première expérience avec l’alcool. Ensuite j’irai en boite pour la première fois de ma vie, avec mes potes et même ma copine
Je ne peux rien vous cacher : je suis au TOP.
En sortant de chez moi je rejoins Damien et Mathieu. Nous ferons la route tous les trois pour rejoindre Ronan venu en scooter, Natacheum déposée par ses parents et deux autres connaissances qui habitent non loin de notre point de rendez-vous. Marie quand a elle doit passer le début de la soirée avec ses parents et nous rejoindre après minuit.
Le lieu de la fête ? Un abri bus.
C’est là que nous boirons, là et dans le parc situé juste derrière. C’est le même parc qui accueillait le chapiteau cet été.
A 21h30 on arrive sur place, on y rejoint Ronan qui nous attendait avec les deux autres mecs. Ces gars-là étaient de notre collège et ils trainent de temps en temps avec nous. De loin on dirait Laurel et Hardy. L’un est tout petit et râblé, il a arrêté sa croissance en 5ème j’ai l’impression, il s’appelle Lucien et c’est une grande gueule qui veut toujours se battre. L’autre c’est Philippe, une grande tige qui a peur de son ombre. Malgré tout un point commun les uni, ils sont bêtes comme leurs pieds.
En attendant Natacheum, on commence à boire. Ronan ouvre une bouteille de Smirnoff Ice et Lucien une de Boomerang. On se fait tourner ces deux bouteilles. On a mangé chacun chez soi, on va se contenter de boire ce soir : Une grande soirée s’annonce.
Après quelques gorgées, je commence à sentir ma tête tourner, je rigole beaucoup et je contrôle moins bien ce que je dis. C’est donc ça. Lorsque Natacheum arrive nous avons terminé les premières bouteilles et nous fêtons sa venue par l’ouverture des deux petites sœurs. Très vite l’ambiance devient joviale, sauf pour Mathieu. En effet il est toujours en kiff sur Natacheum, mais celle-ci s’est rapprochée de Ronan ces dernières semaines, et ce soir elle semble très proche de Lucien. Il faut les voir tous les deux, il lui arrive au épaules mais il travaille la jument comme un forcené.
A 23h30 nous avons démarré l’alcool fort depuis un bon moment maintenant. Je me suis vidé une demi-bouteille de Manzana dans le ventre, puis j’ai vidé le contenu de mon ventre dans un coin d’herbe. Natacheum et Lucien ont passés les 30 dernières minutes à mélanger leur salive, Mathieu a passé les 30 dernières minutes à menacer de se suicider. Autrement dit, la soirée est lancée.
Nous ne voyons pas minuit arriver, le décompte se fera sans nous.
Nous sommes pourtant bel et bien en 2006, une année qui s’annonce riche en aventures …
Chapitre #21 : Les années lycée – A la vitesse du TGV
« - Embrasse-moi !!! »
« - J’ai vomis tout à l’heure. »
Marie est enfin arrivée, déposée par son père à quelques dizaines mètres de la bouche des Enfers que représente notre petit groupe. Heureusement il ne m’a pas vu, peut-être simplement aperçu de loin mais rien de plus. Une chance que Marie traite ses parents comme toutes les adolescentes de son âge, avec honte et mépris.
Mon polo est souillé de terre et de bile, Marie est sur son 31, le couple idéal.
Très vite nous faisons route vers la discothèque située juste à côté, il est déjà tard et notre état ne nous permettra de tenir très longtemps à ce rythme. De toute façon les bouteilles sont vides, Marie n’aura eu le droit qu’à quelques gorgées d’alcool. En discothèque hors de question d’acheter de l’alcool, les tarifs sont bien au-dessus de nos moyens, il faudra se contenter de la consommation comprise avec le ticket d’entrée. Comme je ne suis plus en état de boire quoi que ce soit sans que ça ne ressorte aussitôt, j’offre ma consommation à Marie qui a du retard à rattraper.
A peine passer la porte de la discothèque – sous l’œil peu regardant des videurs – je pars m’affaler sur une banquette. Mathieu vient avec moi, Les autres vont danser et Marie se précipite au bar avec ses deux tickets en main. Elle commande coup sur coup deux TGV, les avale d’un seul trait et file rejoindre les autres sur la piste.
De mon côté je remarque Manon assis sur la banquette voisine. C’est la fille qui avait voulue sortir avec moi après avoir mis un vent à Damien à l’été 2003. Nous discutons un petit peu, et très vite la copine avec qui elle est venue - qui semble très éméchée – se met à coller Mathieu de très près. Encore boudeur de l’histoire entre Natacheum et Lucien, voici pour lui une chance de sauver sa soirée.
« - Tu me passe ton téléphone ? » :-d
« - Non ! »
…
« - Tu viens danser ? » :-d
« - Non ! »
Bordel, ce con est encore plus naze que moi à ma grande époque de loose. Il est irrécupérable.
Mais très vite voilà Ronan qui arrive en vitesse et qui me tire sur la manche :
« - Thomas viens vite ! »
« - Non j’danse pas c’est mort. »
« - Mais non viens c’est Marie ! »
Merde, mais qu’est ce qui se passe avec Marie ?
J’arrive en vitesse elle est affalée sur une banquette au bord de la piste. Elle ne tient même pas assise, on dirait un corps sans vie. J’essaye de la remuer mais elle me répond à peine. Les 2 TGV avalés un peu plus tôt lui ont étés fatals. Je me retrouve bourré avec une fille encore plus saoule que moi sur les bras. Comment je suis censé gérer ça ? Je panique, c’est tout ce que je suis capable de faire.
« - Eh Natacheu… euh Natacha ! Il s’est passé quoi avec Marie ? Qu’est-ce qu’on va faire ?»
« - T’inquiètes pas, elle a appelé son père pour qu’il vienne la chercher. »
« - Que … quoi … qui … QUOI !?Son père va débouler ici ? »
…
En effet. Il n’aura pas tardé le daron. Il récupère Marie fissa et ils filent en voiture. Obligé de me planquer dans un coin par peur qu’il me tombe dessus en me prenant pour responsable du malaise alcoolique de sa fille.
Plus jamais je ne pourrai rester avec elle, elle va me détester et toute sa famille aussi.
Chapitre #22 : Les années lycée – Une chose à dire
Comme un Lion le soir, comme un con le matin !
J’ai la gueule de bois.
Je ne me souviens pas énormément de la soirée de la veille hormis l’incident avec Marie et son père. Mes parents se foutent de ma gueule.
Plus jamais je ne bois une goutte d’alcool.
Quelques textos avec Marie suffisent à m’apprendre qu’elle est dans le même état que moi, qu’elle ne m’en veut pas, que son père ne m’a pas calculé et qu’elle est même passée entre les gouttes de l’engueulade. Ses parents étaient plus inquiets qu’énervés.
Maintenant il faut se reconcentrer sur la rentrée.
Les semaines de cours de janvier se déroulent aussi bien que les dernières de décembre, la soirée du 31 n’aura finalement eu aucun impact sur mon couple. La semaine je vais en cours, je m’y ennui en attendant les pauses que je passe à caresser la luette de Marie. Et le week-end je vais au foot. Les semaines passent, mes sentiments pour ma chérie se renforcent et mes notes dégringolent.
Mon forfait de téléphone me permet des appels illimités vers mes 3 numéros favoris tous les soirs de 20h à minuit, ça rend mon forfait bloqué bien plus digeste. Evidemment, le numéro de Marie fait partie de ces trois numéros, c’est d’ailleurs le seul que j’utilise. Tous les soirs, 4h de discussion du fond de mon lit en écoutant Difool d’une oreille.
Un soir de février, après le problème du mois, Marie m’annonce qu’elle a une chose à me dire. Mais elle refuse de m’en dire plus par téléphone, elle veut me l’annoncer en face le lendemain au lycée.
J’ai déjà entendu des histoires similaires, et de ce que j’en sais, ça ne sent pas bon du tout.
…
J’ai mal dormis, je suis d’une humeur massacrante.
« Mais bordel que veut-elle me dire ? »
Cette question m’a trottée dans la tête toute la nuit, j’ai écrit 300 messages à Marie pour lui demander des explications avant de les effacer sans même les envoyer.
« Elle va me plaquer c’est sûr ! »
Cette affirmation a envahie mes pensées également. C’est maintenant une certitude, rien que d’y penser j’ai les larmes aux yeux. Mathieu essaye de comprendre mon humeur durant notre trajet en car jusqu’au lycée. Mais je reste stoïque.
Arrivé au lycée, je sors du car comme une flèche et je me précipite vers Marie, je ne peux plus attendre, je dois savoir :
« - Alors, qu’est-ce que tu as à me dire ? »
« - Hein !? »
« - Hier au téléphone, tu as dit que tu avais quelque chose à m’annoncer !!? »
« - Aaaaaah ouiiiiiiii c’est vrai. »
« - … »
« - Samedi mes parents ne sont pas là de la soirée, il doivent aller chez des amis et ils rentreront tard. Tu veux bien passer la soirée chez moi ? Mes parents sont d’accord. »
« - Euh … ouais … enfin peut-être … enfin j’sais pas … enfin il faut que je demande à mes parents. »
« - Cool, tiens moi au courant. Et embrasse-moi avant que ça ne sonne. »
WEEEEEEEEEESSSSHHHHHHHH
Je vais peut-être dormir chez Marie ce week-end. Cette semaine sera peut-être ma dernière de puceau !!! Faut que mes parents disent oui.
Chapitre #23 : Les années lycée – Il neige
Avant de demander la permission à mes parents d’aller dormir chez Marie, et de m’y emmener par la même occasion () il a fallu leur annoncer que j’avais une copine.
Une fois la nouvelle digérer et l’autorisation obtenue il a fallu se taper les leçons d’éducation sexuelle pleine de tact de mes géniteurs. Sérieusement qui a besoin d’entendre qu’il faut « se protéger » et « faire attention » de la bouche même de sa mère ?
J’avais juste envie de disparaitre, elle essayait de me parler et moi je faisais tout pour ne pas lui hurler de dégager de ma chambre, que j’étais informé et que je n’avais absolument pas envie d’entendre les mots « préservatif » ou « rapport bucaux génital » sortir de sa bouche.
Je devais prendre sur moi pour ne pas me faire interdire de voir Marie, et puis il faut bien se mettre à sa place aussi. Elle apprend que son petit bébé () à une copine et qu’il a pour projet de l’empaler sous peu. Il lui demande même de l’y emmener … Le malaise devait être au moins aussi grand pour mes parents que pour moi en fin de compte.
Enfin bon, tout cela est maintenant derrière moi, la semaine est finie et ce soir c’est le grand soir. C’est terminé d’attendre le samedi soir pour la trilogie du samedi. C’est terminé de passer ces heures avec Buffy, Phoebe Halliwell et Samantha Carter. Ce samedi ça sera Marie !
Le rendez-vous est fixé à 19h00 chez elle, mais mon sac est fait et je suis moi-même prêt depuis la moitié de l’après-midi. A 18h00 - 30 minutes avant de partir - la neige se met à tomber. Je déteste le froid, et je déteste la neige. Aujourd’hui je la déteste encore plus depuis que ma mère est venue me voir :
« - Thomas, si il neige comme ça on ne va pas pouvoir t’emmener chez ta copine. C’est trop dangereux. »
« - QUOI ? »
Non mais c’est IM-PO-SSI-BLE que je n’y aille pas. Il va me falloir user de tous mes charmes. C’est-à-dire gueuler comme un putois sur mes parents pour qu’ils cèdent à mon caprice. Ça marche normalement cette technique.
Mes « arguments » aidés par une accalmie dans les chutes de neige viennent finalement à bout de la décision de ma mère de conserver son fils chérie près d’elle. Et c’est avec seulement 30 minutes de retard que nous prenons la route pour la demeure de ma chère et tendre.
Après près d’une heure de route sous la neige dans une ambiance plus glaciale qu’à l’extérieure ; une heure à entendre ma mère dire que c’est une très mauvaise idée et que nous allons avoir un accident et mon père gueuler sans raison sur l’ensemble des autres automobilistes qui « ont eu leur permis dans une pochette surprise » ; nous arrivons finalement proche de l’adresse indiquée.
« - Elle a dit derrière la maison de retraite. Là on est devant la maison de retraite. ALORS TU CONTOURNE LA MAISON DE RETRAITE !!! »
…
Elle a visiblement entendue la voiture se garée. Quand j’en descends, elle se tient sous le porche de sa toute petite maison. La voir me sourire, debout dans ce décor enneigé, avec toutes les promesses de cette soirée qui débute, j’ai l’impression de vivre un rêve éveillé.
La soirée ne fait que débuter.
La suite très bientôt.
Je me rends compte que je m'attarde beaucoup (trop?) sur cette période, il va falloir que je change de rythme si je veux espérer venir à bout de mon récit un jour ou l'autre.
Vous préférez que je continue d'entrer dans les détails comme depuis le début de la relation avec Marie ou que j'accélère ? Parce qu'il me reste 12 années à chroniquer.
Le 06 juin 2018 à 16:58:59 CoriolisStorm a écrit :
La suite très bientôt.Je me rends compte que je m'attarde beaucoup (trop?) sur cette période, il va falloir que je change de rythme si je veux espérer venir à bout de mon récit un jour ou l'autre.
Vous préférez que je continue d'entrer dans les détails comme depuis le début de la relation avec Marie ou que j'accélère ? Parce qu'il me reste 12 années à chroniquer.
La relation avec marie est intéressante la pluie et le beau temps beaucoup moins
Le dernier chapitre aurait sûrement était sympa dans le chapitre ou tu es chez marie
Données du topic
- Auteur
- CoriolisStorm
- Date de création
- 28 mai 2018 à 17:11:07
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