[ALERTE NOIRE] L’ALLEMAGNE à +900 Milliard
Le 08 janvier 2018 à 23:30:24 toto_au_bistro a écrit :
Dire que l'euro est une monnaie commune, c'est confondre le niveau technique/juridique et le niveau économique. Ce qui nous intéresse quand on regarde une monnaie, c'est le niveau économique. Les opérateurs économiques se foutent de savoir que techniquement l'euro c'est une coordination des banques centrales nationales.Les déséquilibres TARGET2 existeraient d'une manière similaire dans le cas d'un euro qui supprimerait les banques centrales nationales. On aurait toujours des fuites de capitaux.
La survie de l'euro, ce n'est pas une question de technique (monnaie commune, TARGET2...). Ce n'est même pas une question économique (zone monétaire optimale...). Fondamentalement, la survie de l'euro c'est une question politique. S'il y a la volonté politique, l'euro survivra.
On aurait toujours des écarts de balances certes, mais c'est une erreur de penser que cette donnée n'est pas prise en compte.
Le fait qu'il y est des Euros et pas un Euro accentue forcement les écarts de la balance, ça ne veut pas dire qu'il n'y aurait pas de différence sans encore une fois. Mais le système est visiblement moins solide, et de part cette fragilité, et il encourage à se placer au meilleur endroit en cas d'explosion.
D'ailleurs il y a quelque années le directeur de la BundesBank, M. Weidmann, avait proposé que les créances sur les banques centrales les plus faibles soient garanties par le dépôt d’actifs en nantissement pour tenter de résoudre le problème des écarts de la balance. Or un tel dispositif revient à instaurer un contrôle des échanges, ce qui reviendrait à signer la fin du principe d'union monétaire, et donc la fin de l'Euro.
Tout ça pour dire que c'est quelque chose de prit en compte, de surveiller et même d'envisager en haute sphère.
Après oui, tu as raison sur un point, c'est essentiellement politique. Cependant, on vit dans un monde, surtout à notre époque, surtout dans l'idéologie actuelle, où la politique est très influencé par l'économie. Je dirais même que l'économie à tendance à manger le politique en ce moment.
Je pense que ça ne joue qu'à la marge. Si tu as une source là-dessus, je veux bien voir. Le problème de la zone euro n'est pas un problème technique. Sinon, il suffirait de modifier ce système juridique où on a une coordination de banques centrales. Qui propose ça aujourd'hui ? Je vois pas ce que ça changerait. Il y aurait toujours des déséquilibres au seine de la zone euro (balances de paiement, productivité divergente...). Et le problème serait toujours politique (budget fédéral, solidarité et volonté indéfectibles).
Avec l'effet du quantitative easing peut-être qu'on va atteindre les 1 000 milliards d'excédents pour l'Allemagne. Je vois pas ce que ça va changer. Une partie de l'augmentation des déséquilibres ait due à ce phénomène. Ensuite, le meilleur moyen de perdre ses créances pour l'Allemagne c'est justement de quitter brutalement la zone euro. Si l'Allemagne fait ça, aucun pays débiteur ne va vouloir honorer ses dettes vis-à-vis de l'Allemagne.
Le 09 janvier 2018 à 00:53:13 toto_au_bistro a écrit :
Je pense que ça ne joue qu'à la marge. Si tu as une source là-dessus, je veux bien voir. Le problème de la zone euro n'est pas un problème technique. Sinon, il suffirait de modifier ce système juridique où on a une coordination de banques centrales. Qui propose ça aujourd'hui ? Je vois pas ce que ça changerait. Il y aurait toujours des déséquilibres au seine de la zone euro (balances de paiement, productivité divergente...). Et le problème serait toujours politique (budget fédéral, solidarité et volonté indéfectibles).Avec l'effet du quantitative easing peut-être qu'on va atteindre les 1 000 milliards d'excédents pour l'Allemagne. Je vois pas ce que ça va changer. Une partie de l'augmentation des déséquilibres ait due à ce phénomène. Ensuite, le meilleur moyen de perdre ses créances pour l'Allemagne c'est justement de quitter brutalement la zone euro. Si l'Allemagne fait ça, aucun pays débiteur ne va vouloir honorer ses dettes vis-à-vis de l'Allemagne.
Ça a peu d'importance, à ce niveau de créances l'Allemagne sait déjà que cette argent elle n'en verra pas la couleur. Si elle quitte l'Euro ce serait justement pour éviter d'être d'avantage flouée car la tendance est toujours à la hausse.
1000 milliards c'est un seuil "psychologique", où certaines élites économiques, bancaire, financière d'Allemagne pourraient en profiter pour dire "Vous voyez ça ne vaut pas le coup d'insister d'avantage, on arrête les frais, l'Euro n'est pas viable, nous avons une issu, utilisons là."
Dans la tête des politiques, ça pourrait raisonner fort, ne serait-ce que pour des raisons purement électorales, personne ne veut porter la responsabilité de ne pas avoir pu anticiper une explosion de l'Euro, via la sortie potentielle d'un autre pays.
Concernant la proposition de Weidmann, la source est en Allemand par contre http://www.faz.net/aktuell/wirtschaft/schuldenkrise-die-bundesbank-fordert-von-der-ezb-bessere-sicherheiten-11667413.html
Ce passage là en particulier :
« In einem Brief, dessen Inhalt der F.A.Z. bekannt ist, nimmt Weidmann ausdrücklich auf die wachsenden Target-Forderungen Bezug. Er schlägt eine Besicherung dieser Forderungen der EZB gegenüber den finanzschwachen Notenbanken des Eurosystems vor, die einen Wert von mehr als 800 Milliarden Euro erreicht hätten. »
Traduit par :
« Dans une lettre, dont le contenu est connu de la Frankfurter Allgemeine Zeitung, Weidmann fait expressément référence à l’accroissement des créances Target. Il propose que ces créances sur les banques centrales les plus faibles soient garanties par le dépôt d’actifs en nantissement (actifs que l’on appelle le « collatéral », et l’on nomme ce nantissement « collatéralisation » N.d.A.). Ces créances sur les banques centrales les plus faibles ont atteint le montant de 800 milliards (chiffres de Février 2012 N.d.A.). »
Le problème de la reforme du système de l'Euro c'est que vu que c'est la monnaie, c'est un sujet capital et ultra sensible et les besoins sont différents, les situations des pays sont très inégales. De fait certains pays, dont sans doute même l'Allemagne, n'accepteront jamais un budget fédéral, c'est beaucoup trop contraignant. Mettre tout le monde d'accord relèverait du miracle. Et même au niveau technique pour réorganiser tout ça il faut mettre d'accords des pays avec des intérêts et des aspirations parfois contraire.
L'Euro est une impasse peu importe comment on voudrait le modifier, c'est fragile et c'est visible.
On nous prend pour des cons
l'argent provient à plus de 90 % des banques qui créent sur leur ordinateur de l'argent en entrant la somme électroniquement, le reste doit provenir de la BCE
Cette argent entre ensuite dans l'économie réel via un prêt à des ménages, entreprises ou à l'état, de l'argent se met donc à circuler dans l'économie
Si les ménages/entreprises/états remboursent tout l'argent qu'ils devaient, la quantité d'argent dans l'économie disparait et il n'y plus d'argents qui circule donc plus d'économie
En gros pour qu'une économie fonctionne, il faut toujours de la dette pour maintenir à un niveau constant la quantité d'argent dans l'économie réel
Actuellement nous """croulons""" sous des dettes qui sont remboursés essentiellement à des banques privées par une destruction des services publics et une baisse du pouvoir d'achat pauvreté accrue et chômage de masse, accroissement des inégalités, records de dividendes versés, c'est exactement ce qu'il se passe actuellement
Ces mêmes banques privées et autres fonds d'investissement , responsables des 23 dernières crises depuis 1980 reçoivent une masse d'argents liquide provenant du quantitative easing et de la dette et n'ayant aucune obligation d'investir dans l'économie réelle, elles investissent en masse dans le marché secondaire et un peu dans les pays émergents et ultra-libéraux comme le Canada et l'Australie
Résultat il y'a de moins en moins d'argent dans l'économie réelle des pays pratiquant l'austérité et donc une déflation et une précarisation de la population
En gros pour résumer, au prétexte d'une crise provoquée par la haute finance, nous le peuple devons nous serrer la ceinture et accepter de s'appauvrir, leur donner plus d'argent via le remboursement de la dette tandis qu'eux utiliseront cette argent et l'argent de la BCE pour délocaliser dans d'autres pays, plaquer leur argent dans des paradis fiscal et créer d'énormes bulles de spéculation qui nous exploseront tôt ou tard dans la gueule et que nous devrons alors réparer
Voila d'où viendra la future crise, de toutes ces bulles spéculatives immobilières, de prêts universitaires ou automobiles, de places boursières et j'en passe, un jour le décalage entre économie réelle et secondaire va nous exploser à la figure et devinez quoi ? C'est nous qui paieront les pots cassés
Et les gens lobotomisés par leur portable, leurs divertissements et le culte et l'apparence acceptent gentiment sans trop se poser de questions, acquiesçant sans problème cette injustice de l'austérité
@ gtaboys_37 : Le seuil de 1 000 milliards, tu le sors de ton chapeau. Le quantitative easing a eu un effet la masse monétaire et sur les soldes TARGET2. Donc l'augmentation du déséquilibre n'est pas si surprenante que cela.
Ensuite, je suis en désaccord sur la responsabilité politique. Personne (et encore moins l'Allemagne) ne veut être responsable de l'explosion de la zone euro. D'une part parce que les conséquences sont difficilement prévisibles et d'autre part parce que la réputation de cet Etat en prendrait un coup. On aurait encore pu comprendre que la Grèce sorte de la zone euro et nous laisse son solde TARGET2. Dans le cas de l'Allemagne, cela semble très improbable.
Sur Weidmann, j'ai pas trop compris ce que cette référence vient faire ici. L'UPR aime bien faire une fixette sur certains articles. C'est une proposition qui n'a pas été retenue et qui n'est pas d'actualité aujourd'hui. Schäuble voulait aussi dégager la Grèce de la zone euro. Et alors ?
Mettre tout le monde d'accord relèverait du miracle.
C'est se voiler la face que de dire ça. Regarde le traité de Maastricht et la situation maintenant. Il s'est quand même passé quelques miracles (PSC, MES, TSCG, Union bancaire...). Et même si les conservateurs allemands freinent sur le budget fédéral et les eurobonds, ils sont d'accord sur l'harmonisation fiscale.
Mettre tout le monde d'accord relèverait du miracle.
Je précise ce que j'ai dit plus haut à ce sujet. Je suis anti-euro. Pendant le pic lors de la crise de l'euro, moi aussi je voyais la fin de l'euro toute proche avec TARGET2, les spreads et avec le refus allemand d'une fédéralisation. En gros, je pensais que c'était juste une question de temps et qu'on était sur du court/moyen terme.
Je me suis trompé, l'euro est toujours là et Macron ravive l'idée d'une fédération. A long terme, l'euro me semble toujours condamné. Cependant, cette aventure européenne pourrait bien durer un petit bout de temps... Ce qui te parait de l'ordre du miracle ne le sera peut-être plus dans 10 ans.
Le 09 janvier 2018 à 20:52:36 toto_au_bistro a écrit :
@ gtaboys_37 : Le seuil de 1 000 milliards, tu le sors de ton chapeau. Le quantitative easing a eu un effet la masse monétaire et sur les soldes TARGET2. Donc l'augmentation du déséquilibre n'est pas si surprenante que cela.
Le seuil de 1000 milliards est purement symbolique, mais il est aussi colossale. Qu'il y est des écarts, même grands dans une balances, ok. Mais que ces écarts ne se stabilisent pas et ne fassent qu'augmenter exponentiellement, comme c'est le cas ici, c'est un véritable problème. Est ce que c'est bien raisonnable de laisser l'écart se creuser jusqu'à 5.000, 10.000 milliards, voir plus ? la réponse est non. Et si les écarts du Target2 n'ont pour l'instant pas signer la fin de l'Euro c'est parce que beaucoup avaient encore l'espoir que ça puisse s'inverser.
Ensuite, je suis en désaccord sur la responsabilité politique. Personne (et encore moins l'Allemagne) ne veut être responsable de l'explosion de la zone euro. D'une part parce que les conséquences sont difficilement prévisibles et d'autre part parce que la réputation de cet Etat en prendrait un coup. On aurait encore pu comprendre que la Grèce sorte de la zone euro et nous laisse son solde TARGET2. Dans le cas de l'Allemagne, cela semble très improbable.
C'était peut-être vrai il y a quelques années mais aujourd'hui il y eu le Brexit et même si ça ne concernait pas l'Euro, dans l'opinion c'est le signe que l'on peut se détacher des institutions Européennes. Ensuite la sortie de l'Euro ou de l'UE est prévu par les traités. On peut s'en libérer à tout instant et tous les pays ont signé ça.
Ça ne veut pas dire que les autres rageraient pas. Mais le risque de subir l'effondrement de l'intérieur fait très peur, c'est l'inconnu et plus on attend plus cet inconnu devient sombre.
La Grèce sortant de l'Euro ça aurait eu très peu d'impact, l'Euro y aurait survécu en tout cas. Le pays était très endetté, mais à son petit niveau pas de quoi faire sérieusement tremblé la structure de l'Euro.
Sur Weidmann, j'ai pas trop compris ce que cette référence vient faire ici. L'UPR aime bien faire une fixette sur certains articles. C'est une proposition qui n'a pas été retenue et qui n'est pas d'actualité aujourd'hui. Schäuble voulait aussi dégager la Grèce de la zone euro. Et alors ?
La différence c'est que cette proposition et d'une toute autre importance puisqu'elle revient ni plus ni moins à envisager la fin de l'union monétaire. Encore une fois sortir la Grèce aurait eu des conséquences certes, mais des conséquences limitées, et ce n'est pas une proposition de changement du système en profondeur comme a pu l'être la proposition de Weidmann.
C'est se voiler la face que de dire ça. Regarde le traité de Maastricht et la situation maintenant. Il s'est quand même passé quelques miracles (PSC, MES, TSCG, Union bancaire...). Et même si les conservateurs allemands freinent sur le budget fédéral et les eurobonds, ils sont d'accord sur l'harmonisation fiscale.
Pour l'harmonisation fiscale c'est toujours le même problème : on harmonise sur quelle base ? Parce que suivant l'étalon que tu vas choisir certain pays seront content et d'autre non. C'est toujours le même problème que de devoir concilier des intérêts divergents.
Ensuite les miracles que tu cites, notamment le MES et TSCG n'ont pas était adopté par tous et de ne s'appliquent pas à tout le monde au sein de la zone euros. Il y a toujours certains pays qui ne veulent pas y participer.
Par contre je suis d'accord avec toi, ça peut effectivement durer encore un moment, parce qu'au final, la décision sera prise par des politiques.
Ensuite les miracles que tu cites, notamment le MES et TSCG n'ont pas était adopté par tous et de ne s'appliquent pas à tout le monde au sein de la zone euros. Il y a toujours certains pays qui ne veulent pas y participer.
T'es sûr ? Pour moi tous les membres de la zone euro sont dans le MES et ont ratifié le TSCG
Le 09 janvier 2018 à 23:20:45 toto_au_bistro a écrit :
Ensuite les miracles que tu cites, notamment le MES et TSCG n'ont pas était adopté par tous et de ne s'appliquent pas à tout le monde au sein de la zone euros. Il y a toujours certains pays qui ne veulent pas y participer.
T'es sûr ? Pour moi tous les membres de la zone euro sont dans le MES et ont ratifié le TSCG
Erratum !
Il me semblait que 2 pays n'avait pas signé le TSCG, mais les membres actuels de la zone semblent tous y être sauf erreur.
En revanche des pays qui se doivent par obligation d'intégrer prochainement l'euro, de part le traité d'Athènes de 2003, n'ont soit, toujours pas ratifié ou tout simplement refusé de signer.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pacte_budgétaire_européen#/media/File:European_Fiscal_Compact_ratification.svg
En bleu foncé ceux qui l'ont signé et ratifié
En bleu clair ceux qui l'ont signé toujours pas ratifié
En rose ceux qui ne l'ont pas voté.
En vert ceux qui l'ont ratifié sans faire parti de la zone Euro.
Et puis bon, le TSCG en soit, il a peine été mis en place que tout le monde voulait déjà le modifier, ça encore plus crispé les pays sur la question de la monnaie.
En revanche pour le MES la Lettonie et la Lituanie, pourtant dans la zone euro, ne contribuent pas au projet.
MES :
- Lettonie : 0.2746 % de participation depuis 2014
- Lituanie : 0.4063 % de participation depuis 2015
https://www.esm.europa.eu/explainers
Pour les pays devant rejoindre la zone euro, ils adopteront au pire des cas le TSCG au moment de leur passage à l'euro. C'est ce qu'il s'est passé avec la Lettonie et la Lituanie.
Le 10 janvier 2018 à 01:02:40 toto_au_bistro a écrit :
MES :
- Lettonie : 0.2746 % de participation depuis 2014
- Lituanie : 0.4063 % de participation depuis 2015
https://www.esm.europa.eu/explainers
Pour les pays devant rejoindre la zone euro, ils adopteront au pire des cas le TSCG au moment de leur passage à l'euro. C'est ce qu'il s'est passé avec la Lettonie et la Lithuanie.
Ha bah autant pour moi les sources de wikipédia ne sont pas à jours
Le 07 janvier 2018 à 00:52:05 gtaboys_37 a écrit :
Le 07 janvier 2018 à 00:49:28 GangeKarcherKK a écrit :
J'ai globalement comprisMais qu'est-ce qui empêche concrètement les allemands de faire volte-face et empocher leurs intérêts pharaoniques ?
Ils veulent pas envenimer les relations ?
C'est parce que c'est le jeux d'une union monétaire de ne rien faire. Si ils font volte face, ils sortent de facto de l'euro. Pour simple être dans l'Euro c'est subir cette règle.
Je te dit pas le bordel au niveau des relations entre pays de l'UE ca va vite se transformer en guerre froide
Le 07 janvier 2018 à 01:25:30 PARADOXE-MORTEL a écrit :
https://www.youtube.com/watch?v=dErHus_miMQ Conférence intéressante sur l'avenir de l'euro, où Target est analysé
Cette vidéo est vraiment pas mal d'autant qu'elle reprend en partie ce que je dis avec d'autres mots.
À noter que O.Delamarche est finalement très alarmiste, et prédisez à l'époque du tournage (fin Février 2017 je pense) qu'il restait à l'Euro entre 18 et 24 mois avant l'explosion.
Soit entre Aout 2018 et Février 2019, et pour le coup je ne pense pas que les chiffres récents du Target l'auront fait reculer sur cette estimation.
Berruyer qui pense que les politiques peuvent laissez le truc s'envenimer encore un moment, pour une chute encore plus violente.
Mais tous semble d'accord pour dire que c'est bien Allemagne qui allumera la mèche.
Le 18 janvier 2018 à 13:49:39 Dieu_Ananhap a écrit :
Résumé rapide pour un connard qui n'y connait rien en éco et qui n'a pas envie de tout lire ?
L'Euro est entrain de mourir. Grossièrement : Alors que la balance des dettes et les créances des états membres est censée rester stable, l'écart se creuse de plus en plus et de plus en plus vite. Ce qui fait qu'en théorie 1 euro Allemand vaut plus qu'1 euros Italien. Ce système fait que l'Allemagne dés lors qu'elle échange des flux avec l'Italie ou tout autres pays plus endetté est en réalité flouée et elle le sera de plus en plus vu que l'écart semble continuer à grandir indéfiniment
Le 18 janvier 2018 à 14:09:07 gtaboys_37 a écrit :
Le 18 janvier 2018 à 13:49:39 Dieu_Ananhap a écrit :
Résumé rapide pour un connard qui n'y connait rien en éco et qui n'a pas envie de tout lire ?L'Euro est entrain de mourir. Grossièrement : Alors que la balance des dettes et les créances des états membres est censée rester stable, l'écart se creuse de plus en plus et de plus en plus vite. Ce qui fait qu'en théorie 1 euro Allemand vaut plus qu'1 euros Italien. Ce système fait que l'Allemagne dés lors qu'elle échange des flux avec l'Italie ou tout autres pays plus endetté est en réalité flouée et elle le sera de plus en plus vu que l'écart semble continuer à grandir indéfiniment
Ah
El famoso Euro indestructible
La fin est proche pour lui du coup ?
Le 18 janvier 2018 à 14:12:52 gtaboys_37 a écrit :
D'ailleurs pour les kheys qui demandaient des conseils de placements la dernière fois il y en quelques-uns dans la vidéo des Éconoclastes.
Rien de mieux que placer sa tune dans de la pierre ou de la TERRE
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- gtaboys_37
- Date de création
- 7 janvier 2018 à 00:11:46
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