[FIC] Les SENTIERS de la DRAGUE
Bordel les stickers
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CHAPITRE 02 - L'ART DE LA RÉPÉTITION
Résumé des épisodes précédents (épisode 13)
Tu es Silvain Mistit, étudiant en LEA à Paris Diderot, la filière de l'élite et tu as craqué sur La jolie brune de ta promo, Lola.
Après un mois à rester passif tu as décidé de reprendre ta drague en main
Après un violent coup à la tête faisant suite à un combat entre Victor et toi, tu fus directement envoyé à l'infirmerie où c'était Lola, qui s'occupa de toi. Malheureusement pour toi, une surdose de calmant te fit dormir toute la journée.
De retour chez toi, tu te pris une nouvelle fois le bec avec ton père creusant un peu plus le fosset vous séparant.
Milan, une connaissance que tu t'es faite dans la rue, t''invites à une soirée qui se tiendra Vendredi prochain. Dans la direction du retour tu croises un drôle de personnage dans un train, tu décides de l'accoster
Etais-ce le bon choix ?
Part 05 - La mélodie du métro (1/2)
- AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!
- AHHHHHRGGGGGGGGGGGGGYUUJIB !!?!
Le dernier cri de cette étrange fille se transforma en beuglement d'un mot indéchiffrable avant qu'elle ne tombe violemment au sol.
- MERDE ELLE EST MORTE !!!!???
Choqué par la scène qui se tenait devant tes yeux, tu étais comme pétrifié. La seule idée qui te vint à l'esprit fut de toucher avec ton pied le corps inanimé de la jeune artiste.
- Je devrais me barrer de ce train!? On va croire que je l'ai agressé. Un noir seul devant le corps sans vie d'une fille ! Même moi je me serais accusé ! Qu'est-ce que je raconte moi ! Il faut que je l'aide elle est peut-être pas morte !
Tu t'agenouillas près d'elle et tenta de te rappeler des bribes d'épisodes de Grey Anatomy qui tu avais eu l'occasion de voir.
- BORDEL MAIS TOUT CE QUE JE ME RAPPELLE c'est les SCÈNES DANS LE BAR ET les SCÈNES DE CUL !!! Bon panique pas, tu dois d'abord... OUi, c'est ça ! vérifie son pouls !
Tu posas ton doigt sur son cou mais aucune palpitation ne sa faisait entendre !
- MERDE ! MERDE ! Merde ! QUE FAIRE SI QUELQU'UN N'A PAS DE POULS ??? Un massage cardiaque, c'est ça !!! Allez mon pote
Les cours de secourisme commençait à un peu dater mais tu n'étais pas non plus le dernier des débiles. Tu posas donc ses mains sur son sternum commençant le massage cardiaque quand la jeune fille ouvrit les yeux.
- AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ! POURQUOI T'AS TES MAINS SUR MES SEINS, ESPÈCE DE TARÉ !??!
- J'avais cru que ton cœur s'était arrêté, c-c-c'est tout, j-je te jure c'était ma seule intention pardon j-je recommencerai pas !
La jeune blonde chassa ta main de ses seins. Surprise et l'air renfrogné, elle reprit quelque peu ses esprits
- Ah fallait le dire plus tôt ! Tu m'as foutu une de ses peurs, ça me fait friser les poils pubiens !!
- T'as quand même failli y passer puis excuse-moi mais ça surprend de voir quelqu’un gueuler comme une folle quand on l'aborde.
Pendant que la jeune femme reprenait son souffle, tu la regardais avec de grands yeux écarquillés. Son sale caractère ajoutait une certaine plus-value à la beauté qui se dégageait d’elle.
- J-j’avais cru être seul dans ce train puis quand t'as joué ses quelques notes, j'ai suivi la mélodie. Puis je t'ai vu, puis t'as crié.
- Tu devrais en faire une histoire tellement c'est dingue !
La froideur de ses réponses brisait une certaine naïveté qu'on aurait pu imaginer en la voyant pour la première fois. Son ensemble blaser, jean et sa minceur marquée laissait en effet cette légère impression d'attirante fragilité ; impressions très vite effacées par son attitude désabusée. Devant ces sarcasmes, tu décidas de continuer ton chemin dans le train.
- La vie est déjà assez compliquée comme ça pour me faire doser par une connasse vagabonde
- C'est pas gentil de me traiter de vagabonde. Rien ne vaut simplement l'air humide et plein de bactéries d'une station de métro pour trouver l'inspiration au lieu de la froideur d'une cabine d'enregistrement.
- Si tu le dis. Moi, faire preuve de créativité ça me fait plus chier qu'autre chose donc bon. On ne se serait pas croisé quelque part ?
La jeune femme gratta sur sa guitare tout en chantonnant quelques mots en anglais.
- (Elle va me répondre putain ?) Tu m'entends !?
- AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ! T'es qui toi !? Qu'est-ce tu fais dans ma chambre !? PAPA AU SECOURS !
- Mais ça va pas dans ta tête !? Ça fait 5 minutes qu'on discute. Si on peut vraiment appeler ça une discussion. D'ailleurs on est pas chez toi mais dans le métro (d'ailleurs je sais toujours pas vers où il se dirige)
- T'es un migrant qui viole, les belles filles dans le métro, c'est ça !?! j'ai lu un article sur vous, je sais très bien comment vous fonctionnez !? Recule ou j'appelle les flics !
- Mais t'es complètement malade ma parole ? Heureusement que je suis quelqu'un de tolérant et ouvert d'esprit !
- En fait, comment tu t'appelles ?
- (J'aurais du me barrer quand j'en avais l'occasion putain) Euh…Je m'appelle… Silvain
La jeune fille s'approcha de toi pour te fixer droit dans les yeux, ce qui te rendit mal à l'aise.
- Si si, c'est juste que…t’es… excentrique
- J'aime pas trop Silvain. Je peux t'appeler Murphy ?
- Tu ressembles à Eddy Mitchell, c'est pour ça. Qu'est-ce que je te joue Murphy ?
- Eddy Murphy pas Mitchell ! Sinon ça n'a aucun putain de sens ! (Pourquoi je me tape tous les tarés de la ville ?) En plus je le déteste, ce type
- La chanson des flics de Beverly Hills, tu dois adorer
- Je déteste Eddy Murphy !!! Combien de fois je vais devoir te le répéter ! (connasse)
Elle jouait quelques notes de la culte partition avec un tel entrain que même si tu détestais tout ce que pouvait représenter le noir le plus connu des années 80 - après Prince, Michael Jackson, Donna Summer et une centaine d'autres artistes afro-américains – tu étais obligé d’apprécier une telle mélodie si bien interprétée. Tu déplaçais ta tête au rythme de ses cordes.
- Arrête tu vas me faire rougir.
- Non je te jure, on aurait dit que tu joues depuis que t'es petite
- 4 ans ?! Moi à 4 ans je jouais seulement avec mes crottes de nez. Ça montre à quel point je sais rien faire de mes 10 doigts à part me branl… à part brancher la play
La jeune fille semblait tout à coup triste de ce que tu venais de lui dire et posa sa main délicate sur ton dos te regardant par la même occasion d'un air de chien battu. Elle reprit ensuite sa guitare et entama un air jovial pour te remettre de bonnes humeurs.
- Ahah t'as vraiment réponse à tout toi.
- La musique adoucit les morts.
Elle rota.
CHAPITRE 02 - L'ART DE LA RÉPÉTITION
Part 05 - La mélodie du métro (2/2)
Elle rota.
- T'es vraiment une fille pas commune.
- Tu devrais te mettre aux claquettes.
- T'as un physique à faire des claquettes et à tourner pendant des heures sur toi-même et encore, et encore et encore et encore
Elle tourna sur elle-même tellement vite qu'elle manqua de tomber avant que tu ne la rattrapes in extremis. Alors qu'elle se tenait désormais dans tes bras, elle rota une nouvelle fois et éclata de rire. En temps normal, tu aurais trouvé ça carrément dégueulasse mais l'air juvénile de l'artiste transformait ce rot en quelque chose de presque mignon.
- Chips aux paprikas… Subway poulet amande… et brownies... aux noisettes il me semble
- Aux riz soufflés ! MAIS C’EST DEJA GÉNIAL ! COMMENT TU FAIS ÇA !?
- Un magicien ne dévoile pas tous ses secrets
- JE T'ADORE DÉJÀ ! ON DEVRAIT ESSAYER LA MÊME CHOSE AVEC MA MERDE UN DE SES QUATRES !
- Pourquoi pas dans 7 ans à partir du 32 Octobre ?
- Le rendez-vous est pris ! Mais j’espère que ce n’est pas un rendez-vous galant je déteste ça !
- On a dépassé ce stade depuis longtemps, j'en suis déjà à deviner ce que t'as mangé à partir de tes remontées gastriques.
- On est un couple de petits vieux en fait.
- Exactement. Qu'importe puisque mon cœur brûle déjà pour quelqu’un d'autre et au moins elle a des manières autres que celle d'une paillarde !
- Oh mon brave, rien ne vaudra jamais les exquises senteurs de bons petits rototos. Pourriez-vous vous me donner le nom de cette courtisane, que je puisse appréhender les traits de ma nouvelle ennemie !
Elle prit un ton hautain pour te répondre accompagné de drôles de gesticulations aussi ridicules que drôles créant une imitation parfaite de Gentilhomme. Tu singeas ses manières.
- Elle porte le nom de Lola et a tout l'attirail d'une sublime créature, jeune donzelle. Dès lors que son joli minois traverse mon esprit, je monte au firmament.
- Vos mots me touchent droit au cœur mon ami, les voir les utiliser pour une autre femme que moi me meurtrit. Je la mets toutefois au défi d’enchaîner sonnet et saut de cabris comme je puisse le faire.
- Je ne voudrais vous mettre au défi, ma dame.
Tu fis un pas de côté laissant l'ensemble de l'allée à la jeune femme qui s’exécuta. Elle gratta quelques notes de la sonata di mejor puis lança sa guitare en l'air, enchaîna avec une magistrale roue avant de se lever dans son élan pour rattraper son instrument encore dans les airs. Elle était tout aussi choquée que toi de ce qu'elle venait de faire comme en témoignait ses yeux écarquillés mais la seconde d'après elle te lança un regard plein d'assurance et de défi l'air de dire
- je crois que je suis amoureux.
La jeune fille te lança une nouvelle révérence tout aussi étrange que les précédentes quand le train s’arrêta tout à coup au beau milieu des égouts. Tu te rendis compte que tu n’avais pas vu une station de métro depuis que le train avait démarré.
- À moi de te lancer un défi maintenant. Tu te mets en slibare et tu fais des claquettes ! Et moi je jouerais dessus donnant le tempo. Allez, allez, allez! Plus vite que ça !
- Attends le train s'est arrêté.
- C'est normal il est en fin de service
- Comment je rentre chez moi !?
- Le service reprend à 8h du matin, ça te laisse un peu de temps pour te mettre nu et me jouer des claquettes ! Allez ! Allez ! Allez !
- Je vais pas attendre tout ce temps ! Non ! il faut que je sorte d'ici !
- Relax Murphy, c’était une blague, il va sûrement redémarrer dans une demi-heure au maximum. Crotte de loutre, ça me fait penser que j'ai toujours pas de morceau à présenter demain à ma major. Je vais devoir faire ce que tout bon artiste sans inspiration fait, faire une reprise d'artistes en fin de vie. T'aurais pas une idée, ma petite loutre ? Tiens, raconte moi tout ce qui te passe par la tête !
La jeune fille joua un air assez posé qui se contentait d’être un enchaînement de 3 notes successives. Tu tentais maladroitement de rapper dessus.
- Je m'appelle Silvain… Je suis pas bien malin… Je fais une LEA… mais j'ai pas la tête ça… je pense bien trop à Lola
- Comment te le dire sans te vexer ? C'est à chier. Fais-moi rêver bon sang !
Elle mis son doigt dans son nez fouillant dans l'une de ses narines. C’était un parfait miroir de ce qui se passait dans ta tête, cherchant désespérément une histoire assez sympa à raconter. Après quelques secondes de réflexion, tu décidas de parler de tout ce qui t’étais arrivé depuis hier matin.
- T'as passé 2 belles journées de merde.
La jeune femme ne fit maintenant plus attention à toi, trop occupée à composer un morceau sur les quelques phrases que tu lui venais de lui énoncer. Tu te posas sur le strapontin d'en face la regardant construire et déconstruire ce qu'elle était en train de créer. La fille folle, presque enfantine, qui se tenait il y a quelques instants devant toi avait maintenant laissé place à une femme très concentrée et appliquée sur l'œuvre qu'elle était en train de sculptée.
Quelques fois, tu pouvais l'entendre chuchoter - presque chantonner - quelques lignes de couplet.
- 🎶 C'est Murphy qui l'a dit, C'est Murphy qui l'a dit 🎶
- Tu comptes pas mettre tout ce que je t'ai raconté dans une chanson hein, Victor pourrait tomber dessus ou pire, Lola ! En fait oublie tout ce que je t'ai raconté, c’était une blague ahah…rien de tout ça m'est arrivé…
- Manque plus que la bristish touch pour le côté hype et ça devrait faire l’affaire ! Merci, t'es un bonbon à l'anis !
- (Elle s'en fout complètement de ce que je lui ai dit bon sang.) Un bonbon à l'anis ?
- C'est une marque d'affection belge comme je te pisse sur la guibole ou lèche les couilles de Saint-Augustin sauf que ça c'est des insultes. Tout le monde le dit chez nous les Belges.
- T’es mon petit bonbon à l'anis alors.
Le bruit caractéristique de démarrage du train se fit entendre dans la rame.
- Ah le train s'est remis en marche, avec un peu de chance il se dirige vers ma station !
Durant le reste du trajet tu demandas à la jeune compositrice de te jouer ce qu'elle venait de créer. elle refusa à plusieurs reprises. Vous discutiez donc de tout et de rien, de vos vies, des loutres, de la musique, des loutres. Elle adorait les loutres. Après quelques moments de rigolade, tu aperçus la station Denfert-Rochereau signant la fin de votre discussion tant fusionnelle qu'étrange.
Même si tu n’oubliais pas Lola, la complicité que vous veniez d’avoir cette jeune artiste et toi n’était peut être pas innocente. Tu te devais peut-être de transformer ce moment en instant inoubliable.
Qu’allez-vous vous faire ?
- Vote 1 : La saluer courtoisement
- Vote 2 : lui demander son nom et son numéro
- Vote 3 : l’embrasser
- Bonjour à toutes et à tous, je suis Mirtille de la Boissière et vous êtes dans l'instant Speakerine. Générique !
___________________ https://youtu.be/bcEIGXmeyOw ___________________
- Avant votre nouvel épisode de votre feuilleton favori : Le commissaire Moulin, où notre cher policier va s'infiltrer dans un gang de mamie en Vespa sévissant dans les quartiers chauds de Neuilly, nous allons recevoir un invité plutôt spécial puisqu'il s'agit de l'esclave du showrunner de la fic "les Sentiers de la Drague", j'ai nommé Monsieur Paradista. Bonjour Paradista, vous allez bien ?
- Il n'est pas là . Il souffre d'une violente diarrhée explosive qui le cloue au WC, c'est l'une de ses actrices qui est venue faire la promotion.
- Vous n'aurez pas pu le dire avant, imbécile !? JE VOUS AI DÉJÀ PRÉVENU QUE JE DOIS ÊTRE LA FEMME LA PLUS JEUNE SUR LE PLATEAU ! Apportez-moi du café et du fond de teint, vous n'êtes bon qu'à ça ! Bonjour Fatherkels, comment allez-vous ?
- Bonjour Mirtille, coussi coussa on va dire.
- Vous êtes ici pour nous présenter la fic "Les Sentiers de Drague" et les nouveautés qui vont l'affecter très bientôt, c'est bien ça ?
- Exactement, c'est moi qui dois me taper le sale boulot vu que Monsieur l'auteur crache ses intestins en ce moment-même.
- Épargnez-nous les détails, je vous prie. Pouvez-vous nous présenter en quelques mots, la fic et le personnage que vous incarnez ?
- Ils n'ont qu'à suivre le feuilleton, moi je suis juste là pour présenter les nouveautés, j'ai 1,7 millions de followers qui attendent ma nouvelle publication, donc pas de temps à perdre.
- Elle a son petit caractère la princesse. Hâte de voir la taille de votre melon dans les 10 prochaines années. Bah on vous écoute, dites-nous ce que vous avez à dire.
- Dans Les SENTIERS de la DRAGUE, nous tenons à échanger au maximum avec les lecteurs afin de répondre au mieux à leurs attentes, de faire une histoire qui leur plaira et qu'ils aimeront suivre.
- C'est pour cela que nous nous efforçons d'apporter des nouveautés qui récompenseront nos lecteurs pour leur soutien sans faille. 2 nouveautés font donc leur apparition, Le Président et Derrière les Sentiers
- Le Président : Le Président est un système permettant au plus fidèle votant de créer son propre personnage et de l'intégrer dans la fic. Il aura en effet le droit de choisir son apparence, sa personnalité et pleins de petits éléments bien sympas. Sur un intervalle de 10 Sweet, le plus fidèle votant sera récompensé (il faut au moins voter 6 fois sur 10 pour être le Président, ce système est mis en place des la prochaine Sweet). C'est pas génial ?
- Vous savez pas à quel point j'en ai rien à carrer.
- La deuxième nouveauté, c'est la mise en place du show Derrière les Sentiers. Les jours sans Sweet, il y aura ce petit programme court où on pourra en apprendre davantage sur les personnages et l'environnement de la fic. Ça permettra d'avoir des suites plus rythmées. D'ailleurs ce sera présenté par une personne vraiment exceptionnelle mais je garde la surprise pour plus tard !!!
- Bon sang mais je vous avais demandé de rien dire ! C'est dingue ça !
- Oh ! Taisez-vous ! On s'en fout de vos nouveautés et de votre fic de merde. Ce que vous essayez de mettre en place ressemble + à une tentative de sauvetage de bide qu'autre chose !
- M-mais pas du tout. Je ne vous permets pas de dire ça ! Les chiffres sont très bons, on fait de tres bons scores sur les personnes âgées hospitalisées. On est très content de ça.
- Oui oui. Vous raconterez ça a quelqu'un d'autre que moi ! L'émission touche à sa fin, vous avez une dernière chose à dire ?
- J'ai oublié de signaler quelques choses au lecteur. Si ces 2 systèmes ne vous plaisent pas, on les enlèvera, c'est vraiment en fonction de vous. C'est votre Fic ! Et n'oubliez pas de me suivre sur Insta, @Fatherkels, je fais des photos trop folles avec mes Bests, venez nombreux !
- On vous voit jamais sur le plateau de tournage sur vos photos d'ailleurs, une explication ?
- C'etait Fatherkels au commande de l'instant Speakerine, tout de suite un nouvel épisode de votre feuilleton préféré, nous on se dit à la prochaine, kiss !
PS : On arrive au 14eme épisode et j'aimerais bien avoir les retours des quelques lecteurs qui passent par là . Qu'est-ce que vous aimez, ce que vous détestez, comment trouvez-vous le rythme, etc. Même si vous trouvez toute la fic à chier, dites-le hein ne vous gênez pas
PS 2 : Continuez de voter le choix est important pour la suite des aventures de Silvain.
Le 24 décembre 2017 à 11:56:25 Thiriodrakondas a écrit :
Si tu es déterminé à aller jusqu'au bout de ta fic, je pense qu'elle est capable d'être énorme (personnellement le meilleur chapitre pour moi est celui de la bagarre, puis du lynchage du mec), c'est un peu comme la fic de la décadente de Bepis dans le sens où le monde est déjanté, à l'exception que le personnage principal lui est relativement normal. Le rythme était un peu lent au début mais il s'est amélioré maintenant.
Ouais j'espère aller au bout de cette fic. Normalement on a assez posé les persos de la fic, on va vraiment pouvoir rouler comme sur des roulettes
Le 24 décembre 2017 à 13:40:25 zectoro a écrit :
Sweet
Le 24 décembre 2017 à 13:30:52 PtitGramoun a écrit :
Un délice à lire, jveux une sweet
Merci mon bonbon à l'anis, la Sweet arrive dans quelques instants
CHAPITRE 02 - L'ART DE LA RÉPÉTITION
Résumé des épisodes précédents (épisode 14)
Tu es Silvain Mistit, étudiant en LEA à Paris Diderot, la filière de l'élite et tu as craqué sur La jolie brune de ta promo, Lola.
Après un mois à rester passif tu as décidé de reprendre ta drague en main
Après un violent coup à la tête faisant suite à un combat entre Victor et toi, tu fus directement envoyé à l'infirmerie où c'était Lola, qui s'occupa de toi. Malheureusement pour toi, une surdose de calmant te fit dormir toute la journée.
Le lendemain, tu rencontres Milan, une connaissance que tu t'es faite dans la rue, il t'invite à une soirée qui se tiendra Vendredi prochain.
Dans la direction du retour tu croises un personnage tant étrange qu'attachant. Après une bonne heure passée avec elle, tu décides de finir en beauté.
Etais-ce le bon choix ?
Part 06 - La Vie n'est qu'un langoureux baiser
- Je crois que j'ai compris. C'est là que je descends.
- Oh. Ok... J'étais ravie de te rencontrer, on aura peut-être l'occasion de se revoir dans un lieu moins...moite
- (ou davantage) Peut-être bien.
Les portes du métro s'ouvrirent derrière toi quand une lumière blanche provenant de la station vous éclairaient à présent, la jeune artiste et toi. La mignonne blonde était maintenant sublimée par cette nouvelle ambiance. Plus belle que jamais, tu ne pouvais partir sans avoir l'avoir fait.
Vous vous regardates dans les yeux durant de longues secondes. L'attendait-elle elle aussi ? Tu posas délicatement ta main sur une de ses mèches de cheveux rebelle la remettant derrière son oreille. Si tu n'avais plus aucun souvenir des épisodes de Grey Anatomy, tu connaissais le script entier de ceux de Friends et par extension l'ensemble des conseils de Joey sur la façon d'emballer une fille. Il fallait d'abord mettre en place un rapport tactile presque intime avec ta proie afin de vérifier que la personne soit positivement réceptive à tes caresses. Gagner ! la jeune femme continuait de te regarder dans le blanc des yeux appuyant sa joue contre tes doigts. Tu caressais désormais sa joue avant de tomber jusqu'à son cou, rapprochant tes lèvres des siennes, il était temps de transformer l'essai. Tu sentais ses yeux se fermer lentement et sa tête pencher dans le sens inverse de la tienne, ses lèvres étaient maintenant quelques peu ouvertes, attendant la pression de tes lippes contre les siennes. Tu avais réussi.
C'est en tout cas vers un long baiser langoureux qu'on se dirigeais. Ses chaudes lèvres étaient maintenant à quelques micromètres des tiennes. Plus qu'une dernière étape à passer. Ta lèvre supérieure frôlait la sienne quand un bruit aigre sortit malencontreusement de ta bouche, c'était un rot. Elle te repoussa l'instant d'après, dégoûtée.
- Ah ! Mais c'est dégueulasse, tu fais quoi là !?!
- D-desolé, j'ai merdé. On peut reprendre comme si rien ne s'était passé, stp ?
- Reprendre quoi ? Je veux pas t'embrasser, t'as cru quoi ?!
- T'as pas arrêté de roter depuis tout à l'heure ! Ça ne devrait pas te rebuter ! C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
- Mais j'ai jamais eu l'envie de t'embrasser, d'accord ? Je savais que t'étais un pervers depuis que t'as touché mes nibards !
- je t'ai déjà expliqué que je voulais te faire un massage cardiaque !!! Bordel, t'es qu'une allumeuse !
- Tout ça c'était juste un plan pour me draguer, c'est ça ? C'est pas cool Murphy, PRENDS ÇA !
La jeune femme te lança un coup de pied dans le torse te faisait valdinguer hors du train. Les portes se fermèrent dans la foulée. Alors que t'étais affalé sur le sol collant de la station, tu voyais la tête déçue de la jeune femme derrière la vitre s'éloigner.
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Tu rentrais dans ta colocation en traînant des pieds après t'être pris le plus gros râteau depuis que… Non, en fait c’était le plus gros bâche de ton existence qui venait de se dérouler. Il remettait en question ta volonté de choper Lola, si tu n’étais pas capable d’emballer une artiste aux mœurs légères, comment pourrais-tu séduire La Belle fille de ta promo ? Tu en voulais d’ailleurs énormément à la jeune compositrice de t'avoir fait ça, elle semblait pourtant réceptive mais sa personnalité assez instable devait sûrement être un signal pour t'indiquer de te prendre du recul sur elle.
Arrivé devant le palier de la porte, une étrange odeur d'encens sortait de ton appartement et se propageait dans tout le bâtiment.
- Eh Senor la, Tchu peux arrêter de faire brûler tes conneries ! Ça pue l’Afrique dans toute ma maison Senor. On va appeler le bailleur lô si sa continue !
- Excusez-moi Monsieur Sanchez, je sais pas du tout ce qui se passe chez moi. Je vais immédiatement voir ce que je peux faire ( à la première sangria j'appellerai les flics tu vas voir)
- Plus vite que ça Senor, mi mujer va dégueuler Lo
Non, ne sois pas etonné, Monsieur Sanchez parlait bien comme un beauf tout en ayant conservé son accent espagnol si caractéristique. Les joies de l'assimilation diront nous. L’éducation par les médias aura au moins permis d’intégrer ce genre de spécimen si particulier à notre hexagone. Monsieur Sanchez trouvait toujours une bonne occasion pour ouvrir sa porte dès lors que vous vous pointure sur le pallier. Certains pourraient croire qu’il vous guettait. C’était le Voisin casse burne qu’on avait tous dans sa cage d'escalier et si tu en avais pas c'est que c'est toi, le Voisin Casse burne. Mais ce n’était pas le moment de déballer ses 4 vérités à ton voisin préféré, tu te contentas donc d'un sourire crispé
- Je vais régler ça Monsieur Sanchez, bonne soirée
- ROBERTA IL VA ÉTEINDRE SES MERDES QU'IL M’A DIT !
- (Qu'est-ce que Jimmy a encore fait putain !)
Ouvrant la porte, tu entras dans ton appartement illuminé d'une inhabituelle lumière chaude tamisée baignant dans chaque recoin de ta demeure ; des tas de bougies étaient placées à divers endroits, on s’étonnait même qu'il n’y ait toujours pas de début d'incendie tellement il y'avait de flamme au mètre carré. Quelques pétales roses finissaient d'orner ce décor romantique et intimiste. Elles étaient parcemées sur le sol formant un léger chemin menant au piano qui était étrangement tout mouillé. Tu touchas son dessus, ce n’était pas de l'eau.
Tu fonças à toute vitesse devant la chambre de ton coloc pour avoir des explications.
- C’EST QUOI TOUTES SES BOUGIES DANS L’APPART, TU M’AVAIS DIT QUE C’ÉTAIT FINI TA PÉRIODE RAEL !
Personne te répondit tout simplement parce que sa chambre était vide. Pourtant des bruits se faisaient entendre dans une autre pièce de l'appartement ! Mais où pouvait-il être ? le stress commença à monter dans ton fort intérieur, tes mains devenaient progressivement moites. Et si cet enfoiré avait osé faire l’inimaginable !?
- (Dis-moi que t’as pas osé faire ce que je pense ?)
Tu déboulas devant ta propre chambre à toute vitesse pour avoir au plus vite des explications de ton coloc
- PUTAIN MAIS TU FAIS QUOI DANS MA CHAAAAAAMBRE !??!
Jimmy montait littéralement une jeune fille dans ton lit. Oui t'avais bien entendu, dans ton propre lit. Un sentiment de dégout mêlée de choc. Il faut dire que la position qu'ils avaient pris était assez improbable. Tu n’avais jamais vu une telle figure même dans tes escapades nocturnes sur les sites les plus sombres du net. C’était en effet une figure perdue entre la levrette et la lévitation digne des meilleurs gymnastes ou des plus célèbres actrices X (la même chose me direz-vous.) Un dessin te permettrait de mieux comprendre ce qui se passait.
- Vieux frère, tu rentres tôt, t'as journée c'est bien passé ?
Jimmy te tapait la discussion comme si de rien était, continuant ses mouvements de bassin dans sa copine du soir.
- Vous baisez dans mon lit comme ça, dans le plus grand des calmes !?!
- Jamais je ne ferais l'amour dans un autre lit que le mien.
- Non mais sors de mon lit putain, qu'est-ce que tu comprends pas !?
- C'est qui qui crie comme ça ? Tu peux le foutre dehors, Jimmy ?
- Nan mais je rêve, tu sais que je vis en fait ici, Connasse ! Pire tu mouilles dans MES DRAPS BRODÉS de Friends, dédicacés par tous les acteurs de la série. ÉCOUTE-MOI PUTAINNNNN !
- Je t’expliquerai tout ça après, vieux frère, fais-toi un petit thé avec la beuh qu'il reste sur la table j'arrive.
Jimmy lâcha sa copine et te dit ses quelques mots tout en arrivant à te faire reculer jusqu'au pas de la porte, il ne lui resta plus qu'à la claquer pour te faire définitivement sortir de ta chambre.
- T'AS INTÉRÊT À ME PAYER UN NOUVEAU LIT FDP ! RAS LE CUL DE TES CONNERIES !
QU'ALLEZ-VOUS FAIRE ?
- Vote 1 : Éteindre les bougies de la maison, Monsieur Sanchez risque de rappliquer et te faire encore chier.
- Vote 2 : Tout casser dans la chambre de Jimmy pour te venger sans attendre ses explications de ton ami.
Je vote 1) + 100ème post.
Merci Khey !!
Un dernier vote pour départager svp ! Sinon on fera un tirage au sort !
Données du topic
- Auteur
- -PARADISTA-
- Date de création
- 18 novembre 2017 Ã 13:22:05
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