[FIC] Les SENTIERS de la DRAGUE
Donc tu écris en ce moment même?
Comment le dire sans passer pour un glandeur ?
En fait je suis en train de faire des nouveaux stickers mais j'attendais qu'un Khey vote pour écrire la suite. J'ai toujours pas fait de pile ou face donc tout se joue au prochain votant + (même si vous avez déjà voté) !
Je vote 1 !
Toi et bepis vous etes vraiment trés talentueux, c'est un plaisir de vous lire.
et belle affiche
Le 24 novembre 2017 à 23:09:25 -PARADISTA- a écrit :
Donc tu écris en ce moment même?
Comment le dire sans passer pour un glandeur ?
En fait je suis en train de faire des nouveaux stickers mais j'attendais qu'un Khey vote pour écrire la suite. J'ai toujours pas fait de pile ou face donc tout se joue au prochain votant + (même si vous avez déjà voté) !
Après c'est ta fic quai, c'est toi qui gère le rythme d'écriture.
Il y a de bons auteurs ici qui n'ont pas un rythme soutenu. (HapHeroDebideur)
Chapitre 01 - CETTE FILLE
- Part 05 - Les Chiennes de Garde
Après Victor, c'était au tour de ce petit c*n à lunettes de te manquer de respect en te prenant pour une marchandise, il devrait avoir honte de tenir de tel propos. Il fallait se l'avouer, cette soudaine envie de tabassage de ce fucboy à casquette n'était pas moins qu'une enfilade pour échapper au combat que tu avais décidé de mener contre Victor. Certains auraient même appelé ça la technique du lâche mais la question morale, tu t'en fichais pas mal. Le fucboy se tenait juste derrière toi, à bout portant.
- Allez mec ! N*que-le que je remporte mon butin !
- T'as parié sur moi parce que je suis black, c'est ça !?
- Bah évidemment, t'as un peu plus de biceps que l'autre tige ça paraît logique. Bon tu grouilles ton cul stp, j'ai cours à l'autre bout de la fac. Empale le qu'on en finisse !
Basculant vers l'arrière, tu utilisais la force de ta chute pour foutre ton poing dans le visage de ce mec dont la casquette avait d'ailleurs voltigé à l'impact de ton poing.
Souffrant de spasmes, Ta victime semblait était affalé sur la foule. Il gémissait de douleur. Heureusement pour lui, sa chute été amorti par cette jeune fille aux cheveux bleus sur lequel il se trouvait sous lui. Mais cette fille n'était pas qu'une simple badaud venu admirer un simulacre de match de boxe comme ses autres camarades, la jeune demoiselle faisait en fait parti des Chiennes de Gardes, un groupe activiste qui avait déjà fait parler d'elles après avoir recouvert d'excréments les murs du bureau d'un de leurs professeurs qui refusait d'utiliser l'écriture inclusive.
La jeune fille aux cheveux bleus sortit de ces gorges un sifflet qu'elle fit immédiatement retentir dans l'enceinte de l'établissement
- Fluuutt AGRESSION FLUUUUUUUT
Le coup de sifflet à peine retenti, une dizaine de femmes cagoulées apparurent et se dirigèrent vers l'agresseur sans casquette. Certaines semblaient tombées du ciel tandis que d'autres sortaient de cachettes insolites comme des poubelles, Oui t'avais bien vu, de poubelles ! Leur intervention, spectaculaire, était si millimétrée qu'on pouvait se demander si elles n'attendaient pas une simple ouverture se crée pour s'en prendre sans réelle raison à un individu du sexe opposé.
Leur tenue était en total décalage avec ce qu'on pouvait s'attendre quand on imaginait la tenue typique d'une activiste ou plus généralement d'une fille. Elles portaient en effet une sorte de combinaisons moulantes noirs d'une matière qu'on pouvait assimiler à du latex sur la majeure partie de leur corps doublés d'une sorte de mini kimono noire à hauteur du ventre. Chacune de ces ninjas comteporaines portait cet accoutrement auquel elle ajoutait un bandana de couleur caractéristiques cachant leur identité pour compléter leur accoutrement.
- Nous combattrons l'oppression
- Nous ne faisons qu'une fâce au Violent Mâle
- Nous mettrons fin à tous ses maux
- Nous sommes les Chiennes de Garde ! VIVENT LES FEMMES
En même temps qu'elles énonçaient leur serment, chaque Chienne frappa sans retenu l'homme sans casquette. Leur force était assez impressionnante et le jeune homme se retrouva très vite en sang les vêtements déchiquetés dispersés sur le sol de la fac.
- Arrêtez ! Zé pas fait exprès de tomber zur elle ! zé pa.une agression.
- La ferme jeune mâle agresseur cis-genre, tu ne sais donc pas qu'on ne s'en prend pas aux autres surtout à une femme dans defense. N'as-tu pas honte de céder à tes pulsions tel une bête en rute !?
- Pour avoir violenté notre Amie nous allons nous même te violenter !
Pendant que le pauvre mec a casquette se faisait cartonner la gueule à coup de mawashigari et de coups de pieds retournés bien placés, la foule, elle, continuait de s'amasser autour de ce tabassage en règle. D'abord enchantée de voir enfin du sang et des larmes couler après le honteux spectacle que tu leur avais proposé, elle était maintenant desorbitée par la scène de plus en plus étrange voire malsaine qui se déroulait sous ses yeux.
- T'as vu celle là mec ! Quelle tigresse ! Même en 3 nuits j'arriverai pas à la dompter
- Pourquoi ma meuf n'est pas comme ça bordel !? En plus je suis sûr qu'elle me trompe avec mon meilleur pote cette s*lope
- Ah mais elles enfoncent leur doigt dans son oreille. Pourquoi elles font ça ?
- Et maintenant il est à moitié nue ! C'est quoi ce délire !?
- Attends mais ils sont vraiment en train de tirer sur son membre là ?!
- J'en vois même une jouer avec ses testicules !
Les supplications du pauvre homme sans casquette ne calmaient pas les coups de ces Chiennes. Tu t'en voulais un peu d'avoir provoqué le tabassage de ce mec qui n'avait après tout rien demandé. Tu tentais donc de te persuader qu'il l'avait mérité. Il semblait être en plus dans un état second entre douleur atroce et sublime extase. Ce n'est pas tous les jours qu'une dizaine de femmes s'occupent de votre corps huileux, c'était peut-être un mal pour un bien.
Après avoir rampé sur une dizaine de mètres, tu avais réussi à te mettre quelques peu en retrait de ce remue-ménage. Ton simulacre de match de boxe n'étaient désormais plus qu'un lointain souvenir sauf pour ton corps qui accusait toujours de violentes faiblesses. Il t'était en effet impossible de te remettre en position debout, ramper ou marcher à quatre pattes étaient tes 2 seuls possibilités de locomotion. Ton sac près de toi, tu rampais désormais discrètement vers la porte de ton amphi afin de t'installer avant l'arrivée du professeur de civilisation norvégienne qui n'était étonnement toujours pas arrivé quand les bruits de coups sur ton camarade cessèrent tout à coup.
- Chiennes de garde ! Dispersion !
- Tu as subi le courroux des Chiennes, sale mâle cis-blanc. Que ce lynchage te servent de leçon !
- Dites non à la violence faite aux femmes !
- Quoi !? Zous partez dézà !? J'ai même pas joui !
Sans aucune raison visible, Les chiennes de garde s'éloignèrent de leur victime chacune courant une direction différente. Elle brillait par leur bestiale agilité sans faille, leur pas ressemblait en effet plus à des sauts de gazelles qu'à celle de chiennes.
Une d'entre elle fuyait à toute vitesse dans ta direction.
L'une des Chiennes de garde avait malencontreusement (sciemment ?) écrasée violemment sa patela dans ta tête.
- Je ne voulais pas te frapper jeune mâle cis-blanc mais ce coup de genou est assené au nom de toutes les femmes que tu feras souffrir dans le reste de ta vie. Je ne donc regrette rien.
Du sang coulait à présent de ton nez, le visage enfoncé dans le sol, les fesses relevées tu étais au plus mal. Sur le point de tomber en syncope, un de tes proches devait au plus vite d'aider à te remettre sur pied.
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Sur qui allez-vous compter ?
Le 25 novembre 2017 à 09:18:09 -PARADISTA- a écrit :
Je suis loin du niveau Bepis pour l'instant. J'ai pas encore fait mes preuves dans le fic Game pour faire des partenariats avec des auteurs bien plus expérimentés
C’est en forgeant qu’on devient forgeron quai.
Puis vu la nature de ma prochaine fic, un potentiel crossover est facile a mettre en place.
Mais c’est toi qui décide.
Puis je vote 1) (baise-là)
Chapitre 01 - CETTE FILLE
PART 06 - Les Évadés
Tu étais dans un état second, tu le sentais, il ne te restait que quelques secondes avant de t'évanouir. Tes yeux à moitié fermé en témoignaient. Tu tentas d'interpeller au plus vite l'un de tes camarades pour qu'il te vienne au plus vite en aide. Après avoir pensé à Ronan, Fajara, Jean-Sebastien ou même à Victor, ton choix se porta finalement sur :
- Il parle d'un génie, la défaite l'a rendue fou. Pauvre homme.
Les vapes dans lequel tu baignais ne jouait pas non seulement sur la vision de l'espace qui t'entourent mais aussi sur ton élocution. Les mots que tu prononçais étaient comme broyés, formant un mélasse de syllabes obscurs. Il était impossible de comprendre ce que tu disais, en atteste la foule agarde qui ne bougeait pas d'un copec. Elle préférait te regarder te noyer dans ta bave. Même ça tu n'y arrivais pas. Abandonnant, tu tombas dans les pommes.
- Oui j'arrive Silvain ! POUSSEZ-VOUS ! Mais POUSSEZ-VOUS BON SANG ! ? Cligne des yeux une fois pour oui, deux fois pour non, d'accord ?!
- Merde il va vraiment pas bien.
- Bah évidemment pauvre idiot !
- Votre faculté a un nouveau maître, le flibustier de minuit, le dragueur des mille couronnes, la lame aiguisée du Père Lachaise, j'ai nommé VICTOR ! Eh toi ! Donne-moi mes 10 euros
- Quoi ?! C'est même pas toi qui l'a mis au sol et j'ai jamais parié avec toi fdp
- Enflure, donne-moi mes sous !
- FERMEZ-LÀ VOUS DEUX ! Il y a pas quelqu'un qui pourrait m'aider à soulever Silvain au lieu de rester là à me regarder ?!
- MAIS C'EST QUOI CETTE FAC ?! Ronan ! BOUGE TON POPOTIN !!!
- Ah oui désolé, j'arrive . On en fait quoi ?
- Il faut l'emmener au plus vite voir l'infirmière, il tourne de l'oeil et sa tension a significativement baissé.
Pendant que vous vous éloigniez en direction de l'infirmerie, la foule se dispersait également : une partie vaqua à ses divers occupations pendant que l'autre se faufila dans l'amphi, le professeur de civilisation norvégienne venait en effet d'arriver.
- Allez, chers élèves, la civilisation norvégienne de 1567 à nos jours ne va pas d'apprendre toute seule. D'où vient toute cette bave sur le sol ? Je vous rappelle que les chiens et autres animaux de compagnie sont interdits dans l'enceinte de cet établissement, jeunes gens !
- Et mince ! je vais rater le début du cours
- Oh si ça t'importe d'avantage que le sort de ton ami, tu peux nous laisser !
- C'est vrai Jenny ? T'es vraiment sup..
- SI TU FAIS ÇA JE TE FAIS BOUFFER TES LUNETTES SALE INGRAT !!! Tu vois pas que je galère déjà à porter la moitié de ton copain !?
- Oh pas la peine d'utiliser la violence, je reste pour vous aider évidemment
Cela faisait maintenant 5 minutes que vous déambuliez dans les couloirs vides de la fac à la recherche de cette satanée infirmerie. L'établissement était plutôt grand et il était facile de se perdre dans les divers passages et couloirs de la faculté.
- T'es sûr qu'on se dirige vers l'infirmerie dans cette direction ?
- Attends mais j'en sais rien moi !
- NAN MAIS C'EST UNE BLAGUE, je te suis depuis 5 minutes, tu pouvais pas le dire avant !!!
- Moi aussi je te suivais t'avais l'air si décidée, donc j'ai suivi le vent
- Je le disais bien qu'on tournait en rond ! On sait qui porte la culotte dans ton couple !
- Silvain, Tu devrais penser à mieux choisir tes amis.
- Ne Dis pas des trucs comme ça !
Après avoir demandé votre chemin à un étudiant un peu mieux renseigné que Ronan, un panneau indiquant la direction de l'infirmerie était visible à quelques pieds de vous, vous étiez donc bientôt arrivé. Jenny semblait avoir de plus en plus de mal à supporter ton carcasse, elle trébucha à plusieurs reprises avant de te faire tomber violemment au sol.
- Tu penses vraiment que la meilleure solution pour qu'il se sente mieux est de le faire trainer au sol ?
- J'ai pas fait exprès, Crétin ! Si tu trainais un peu plus à la salle de sport à muscler tes biceps au lieu de flâner, je n'aurais pas à supporter les 2/3 de son poids !
- La ferme on est arrivé, mince il y'a l'air d'avoir du monde, j'espère qu'elle pourra quand même s'occuper de lui !
- Bonjour que puis-je faire pour vous ?
Devant l'infirmerie une jeune femme blonde la blouse blanche sur les épaules etiquetée Madame Amazone Silvie vous accueilla, son intonation penchait + vers l'hotesse de l'air que vers le médecin, X qui pouvait prêter à confusion. Une certaine classe se dégageait d'elle qui ne venait pas seulement de sa blouse blanche lui donnant le statut de médecin mais bel et bien d'elle.
- Bonjour Madame l'infirmière, notre ami s'est pris un coup de genou en pleine tête et s'est violemment écrouler au sol à plusieurs reprises, sa tension a d'ailleurs baissée avant de revenir quasiment à la normale désormais. On l'a amené vous voir le plus rapidement que j'ai pu mais certains boulets nous ont ralenti
- Je sais très bien que tu parles de moi
- Je ne suis pas une simple infirmière. Vous pouvez m'appeler Médecin Silvie. Cet emploi ici ne sert qu'à boucler mes fins de mois. Bon on va bien s'occuper de lui, il n'a pas l'air d'avoir que des blessures superficielles au niveau de la fosse temporale et du rhomboïde, on va faire des examens complémentaires pour voir si un trouble plus profond n'ait pas apparu
- Génial ! Ronan, donne-lui ton numéro pour qu'elle puisse te joindre dès que Silvain se porte mieux.
- C'est comme si c'était fait, grâce à mes lunettes je peux trouver votre e-mail Madame et vous envoyer mon numéro et V O I L À ! C'est pas fabuleux !?
- Euh.. je crois que je vais y aller, occupez-vous bien de lui Madame
Ronan rebroussa chemin*
- Ne t'inquiète pas en tant que Médecin d'expérience je vais faire notre maximum pour qu'il soit au plus vite sur pied.
Jenny donna ton sac à Madame Silvie puis enleva délicatement ta main de son épaule et te fit basculer sous les bras de l'infirmerie qui t'emmena dans une chambre non loin de la porte d'entrée.
Elle attendit quelques secondes après que vous ayez disparu dans une chambre, toi et l'infirmière pour rebrousser chemin à son tour.
Tu avais repris quelque peu tes esprits.
- (Qu'est-ce que je fais ici ?)
Tu étais à présent couché de tout ton long sur le lit de ta chambre. L'infirmière t'avait laissé quelques instants seul. Tu repensais à ce début de matinée si éprouvant que tu étais en train de vivre.
Ce jour devait pourtant être le tien, celui où tu allais enfin parler à cette fille à laquelle tu penses tant mais le monde en avait décidé autrement. Était-ce un signe ? Il ne fallait peut-être pas que ça se fasse entre vous, elle te semblait si loin de toi en ce moment elle qui se tenait à quelques centimètres de toi dans ce wagon de métro.
- Il y a énormément de monde en ce moment, je ne pourrais pas spécialement m'occuper de toi, j'ai donc demandé à ma stagiaire de s'occuper de toi, elle s'appelle Lola et doit tout faire pour que tu te sentes le mieux possible au plus vite.
- C'est pas vrai ça ! Il a encore tourné de l'oeil !
Qu'allez-vous faire ?
- Vote 1 : Essayez de parler
- Vote 2 : Attendre de voir comment la situation évolue
- Vote 3 : Lui chanter la chanson de ce matin
Données du topic
- Auteur
- -PARADISTA-
- Date de création
- 18 novembre 2017 à 13:22:05
- Nb. messages archivés
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