Les dépressifs, venez raconter vos vies
Le 24 mai 2016 à 01:30:33 ArretMaladieOff a écrit :
Ortie si c'est chiant, tu ne comprends pas un quart de ma vie comme moi je la comprend. Ne me dis pas " ololz je suis précoce t'inquiète surdoué et attardé " non non, quand t'aura payer ta première facture, que t'aura fait ton crédit voiture on en reparlera
j'entend, je n'interprète pas ce que tu dis, et je n'ai pas la prestence pour pouvoir avoir le droit d emettre une objection sur vos propos, donc je vous respectent c tout
Le 24 mai 2016 à 01:31:39 MW2CNul a écrit :
Salut les gens,Mois je suis dépressif pour une raison particuliere...
J'ai été agréssé par un éléve dans mon école au début d'année, il m'a cassé le nez, j'ai perdu connaissance au moment du choc (gros uppercut, déviation de la cloison nasales), et des eleves qui passait ont appelé les pompiers.
J'ai ensuite du subir une opération chirurgicale, mais mon nez reste toujours déformé malgré tout.
Pour ceux qui ont déjà connu la douleurs atroce d'avoir un nez vraiment pété, vous devez savoir de quoi je parle..
Bref j'ai du être sous Codéine tellement la douleur était insupportable ainsi que sous Valium (anxiolityque) tellement j'ai été traumatisé par cette évenement.Sachez que ces 2 substances, ou devrais-je dire drogue sont parmis les plus addictive au monde (juste au dessus c'est héroine, morphine et compagnie)..
Je ne suis plus retourner à l'école pendant la quasi totalité de mon année scolaire, je n'osais plus sortir de chez moi.
La nouvelle s'est répandu très vite, en même pas 2 semaines toutes ma promo était au courant, je subissait donc des moqueries en plus du stress/choc post traumatisme.
J'ai donc eu une réputation de victime.
Je ne me rendait à l'école seulement quand je n'avais vraiment pas le choix (Examen) et cela avec la boule au ventre, de la paranoia que tout le monde se foutait de ma gueule derrière mon dos.
Des gens à qui je n'avais jamais parlé de ma vie, que je ne connaissait meme pas leurs noms, me connaissait tous et rigolait dès qu'il m’apercevait .
Cela ne faisait que renforcer mon mal être...
Les mois passait et cerise sur le gateau, le Valium et la Codéine étant des substances ULTRA addictive, la tolérance s'installait à vitesse grand V .
Aujourd'hui je suis 100% dépendant de ces drogues, 100% accro, 100% drogué H24, 7/7.
Si je n'en ai pas ne serait-ce qu'une journée cela vire au cauchemar, la liste des symptomes et leur puissance sont incomparables.Les 2 combinés dépasse un héroinomane, c'est vous dire.
''
LES SYMPTÔMES "PSYCHOLOGIQUES"
Excitabilité (sursaut, agitation)
Insomnie, les cauchemars et les autres troubles du sommeil
Augmentation de l'anxiété et des crises d'anxiété
Agoraphobie et une phobie sociale
Distorsions perceptives
Dépersonnalisation, déréalisation
Hallucinations, des manques de perception
Dépression
Obsessions
Pensées paranoïaques
Rage, agressivité, irritabilité
Mémoire et cognition faibles
Souvenirs inopportuns
Envies (rare)'
'
LES SYMPTÔMES "PHYSIQUES"
Maux de tête (Céphalée)
Douleur/une raideur - (membres, dos, cou, dents et mâchoires)
Picotement, engourdissement, sensation altérée - (membres, visage, thorax)
Faiblesse ("jambes en coton")
Fatigue, symptômes de la grippe
Contractions musculaires, convulsions, tics, "chocs électriques"
Tremblements
Vertige, étourdissement, manque d'équilibre
Troubles de la vision/vision double, douleur ou sécheresse oculaire
Acouphène
Hypersensitivité - (lumière, son, toucher, goût, odorat)
Symptômes gastro-intestinaux - (nausée, vomissement, diarrhée,
constipation, douleur, distention, difficulté à avaler)
Appétit/variation du poids
Sécheresse buccale, goût métallique, odeur inhabituelle
Bouffées de chaleur/Sueurs/Palpitations
Essoufflement
Difficulté urinaire/menstruelle
Éruption cutanée, démangeaison
Convulsions (rare)
'
'''
Sans compter qu'étant des drogues, elles viennent avec toute leur panoplie d'effets secondaire et destructeurs.Mémoire de poisson rouge (avant je retenait tout, une véritable mémoire d'éléphant j'en était très fier), concentration digne d'un drogué, même un gros fumeur de pet qui tournerais à 10 pet /jour serait plus concentré.
Douleurs aux foie, qui lui se détruit au jour le jour.
Destruction de mes neurones.Et la liste est longues, oh oui, très longue....
( Pour les curieux : http://www.benzo.org.uk/freman/bzcha03.htm#3 )Mes amis, cette personne à littéralement brisé ma vie.
Je n'ai pas osé porter plainte, peut-être ma gentillesse de bisnounours ou la peur des représaillesDonc voilà où j'en suis aujourd'hui:
Poly-toxicomane drogué aux drogues parmi les plus addictives et destructrices, (je vous assure que la coke est plus safe et moins addictif que ça, à part l’héroïne et les autres opiacés de palier 3 morphine/oxycodone/méthadone.. celles qu'ont donne aux cancéreux ou ceux atteint du Sida), réputation de victime dans toute mon école, ce qui implique évidemment une solitude profonde, je suis seul.
Solitude, Traumatisme, Drogue, Dépression voilà mon quotidien.
Je suis au bord du gouffre, et j'ai vraiment des idées noires ....
Je ne peux plus continuer a vivre, pardon, subir tout cela.Je ne sais même pas pourquoi je vous raconte tout ça, peut être qu'au fond de moi je recherche du soutien...
Voilà c'était mon histoire en résumé, et dites vous qu'il y encore d'autres mais je ne vais pas continuer les pavés.
Si vous m'avez lu jusqu'au bout, je vous remercie en tout cas, c'est déjà ça.
Bien à vous
Tu ne comptes pas essayer de te faire soigner ? Et le gars qui t'a pété le nez, j'espère qu'il s'est bouffé une sanction bien sale ?!
Le 24 mai 2016 à 01:31:39 MW2CNul a écrit :
Salut les gens,Mois je suis dépressif pour une raison particuliere...
J'ai été agréssé par un éléve dans mon école au début d'année, il m'a cassé le nez, j'ai perdu connaissance au moment du choc (gros uppercut, déviation de la cloison nasales), et des eleves qui passait ont appelé les pompiers.
J'ai ensuite du subir une opération chirurgicale, mais mon nez reste toujours déformé malgré tout.
Pour ceux qui ont déjà connu la douleurs atroce d'avoir un nez vraiment pété, vous devez savoir de quoi je parle..
Bref j'ai du être sous Codéine tellement la douleur était insupportable ainsi que sous Valium (anxiolityque) tellement j'ai été traumatisé par cette évenement.Sachez que ces 2 substances, ou devrais-je dire drogue sont parmis les plus addictive au monde (juste au dessus c'est héroine, morphine et compagnie)..
Je ne suis plus retourner à l'école pendant la quasi totalité de mon année scolaire, je n'osais plus sortir de chez moi.
La nouvelle s'est répandu très vite, en même pas 2 semaines toutes ma promo était au courant, je subissait donc des moqueries en plus du stress/choc post traumatisme.
J'ai donc eu une réputation de victime.
Je ne me rendait à l'école seulement quand je n'avais vraiment pas le choix (Examen) et cela avec la boule au ventre, de la paranoia que tout le monde se foutait de ma gueule derrière mon dos.
Des gens à qui je n'avais jamais parlé de ma vie, que je ne connaissait meme pas leurs noms, me connaissait tous et rigolait dès qu'il m’apercevait .
Cela ne faisait que renforcer mon mal être...
Les mois passait et cerise sur le gateau, le Valium et la Codéine étant des substances ULTRA addictive, la tolérance s'installait à vitesse grand V .
Aujourd'hui je suis 100% dépendant de ces drogues, 100% accro, 100% drogué H24, 7/7.
Si je n'en ai pas ne serait-ce qu'une journée cela vire au cauchemar, la liste des symptomes et leur puissance sont incomparables.Les 2 combinés dépasse un héroinomane, c'est vous dire.
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LES SYMPTÔMES "PSYCHOLOGIQUES"
Excitabilité (sursaut, agitation)
Insomnie, les cauchemars et les autres troubles du sommeil
Augmentation de l'anxiété et des crises d'anxiété
Agoraphobie et une phobie sociale
Distorsions perceptives
Dépersonnalisation, déréalisation
Hallucinations, des manques de perception
Dépression
Obsessions
Pensées paranoïaques
Rage, agressivité, irritabilité
Mémoire et cognition faibles
Souvenirs inopportuns
Envies (rare)'
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LES SYMPTÔMES "PHYSIQUES"
Maux de tête (Céphalée)
Douleur/une raideur - (membres, dos, cou, dents et mâchoires)
Picotement, engourdissement, sensation altérée - (membres, visage, thorax)
Faiblesse ("jambes en coton")
Fatigue, symptômes de la grippe
Contractions musculaires, convulsions, tics, "chocs électriques"
Tremblements
Vertige, étourdissement, manque d'équilibre
Troubles de la vision/vision double, douleur ou sécheresse oculaire
Acouphène
Hypersensitivité - (lumière, son, toucher, goût, odorat)
Symptômes gastro-intestinaux - (nausée, vomissement, diarrhée,
constipation, douleur, distention, difficulté à avaler)
Appétit/variation du poids
Sécheresse buccale, goût métallique, odeur inhabituelle
Bouffées de chaleur/Sueurs/Palpitations
Essoufflement
Difficulté urinaire/menstruelle
Éruption cutanée, démangeaison
Convulsions (rare)
'
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Sans compter qu'étant des drogues, elles viennent avec toute leur panoplie d'effets secondaire et destructeurs.Mémoire de poisson rouge (avant je retenait tout, une véritable mémoire d'éléphant j'en était très fier), concentration digne d'un drogué, même un gros fumeur de pet qui tournerais à 10 pet /jour serait plus concentré.
Douleurs aux foie, qui lui se détruit au jour le jour.
Destruction de mes neurones.Et la liste est longues, oh oui, très longue....
( Pour les curieux : http://www.benzo.org.uk/freman/bzcha03.htm#3 )Mes amis, cette personne à littéralement brisé ma vie.
Je n'ai pas osé porter plainte, peut-être ma gentillesse de bisnounours ou la peur des représaillesDonc voilà où j'en suis aujourd'hui:
Poly-toxicomane drogué aux drogues parmi les plus addictives et destructrices, (je vous assure que la coke est plus safe et moins addictif que ça, à part l’héroïne et les autres opiacés de palier 3 morphine/oxycodone/méthadone.. celles qu'ont donne aux cancéreux ou ceux atteint du Sida), réputation de victime dans toute mon école, ce qui implique évidemment une solitude profonde, je suis seul.
Solitude, Traumatisme, Drogue, Dépression voilà mon quotidien.
Je suis au bord du gouffre, et j'ai vraiment des idées noires ....
Je ne peux plus continuer a vivre, pardon, subir tout cela.Je ne sais même pas pourquoi je vous raconte tout ça, peut être qu'au fond de moi je recherche du soutien...
Voilà c'était mon histoire en résumé, et dites vous qu'il y encore d'autres mais je ne vais pas continuer les pavés.
Si vous m'avez lu jusqu'au bout, je vous remercie en tout cas, c'est déjà ça.
Bien à vous
Je pense avoir une solution qui pourrait te sauver la vie. En tout cas, je l'ai déjà pratiquée (pas sur moi, mais sur d'autres personnes) et cela marche très bien : c'est l'hypnose.
C'est une excellente méthode qui a fait ses preuves pour éliminer toutes formes d'addiction, un traumatisme etc.
Si tu es intéressé je peux te conseiller un excellent cabinet d'hypnose médicale tenu par des médecins (psychiatre etc) qui ont fait leur preuve.
Par contre c'est assez cher, mais le bonheur n'a pas de prix.
Dis-moi si tu es intéressé.
MW2CNUL je comprend tout à fait et je compatis à ta souffrance. T'as deux guerre à mener sur deux front totalement différent mais qui se rejoint.
Le regard des autres,l'élément déclencheur c'est une rousté, rien de bien déroutant, j'avais taper aussi un gars et je l'avais mis au sol pour le calmer, on en avait rigoler 2 voir 3 semaines mais le mec a assumer et au final ça s'est tasser. La toi c'est différent tu as eu un soucis donc c'est plus marquant. Comme je l'ai dis précédemment on laisse souvent trop de champ au début d'une dépression. Tu as couper court à tes études donc tu as redouter jour après jour, tu as augmenter peu à peu le stress et donc la paranoïa. La, tu n'as plus qu'à recoller les morceaux casses et affronter la réalité, vas y ou tu avanceras jamais
J'étais aussi dépendant d'un médicament inférieur au tiens bien sûr. Je comprend à ma mesure mais si je peux te donner un conseil réduit sans te brusquer, si tu sens que tu perds pied tu essaies de t'occuper à autre chose vraiment sincèrement. Si tu sens que t'as trop baisser tu te laisses le choix de reprendre un peu. Petit à petit tu oublieras tout ça
Je suis avec toi moi. Chaque problème à sa solution. J'apprécie une pensée biblique qui dit qu'on est éprouver jusqu'au au point où on peut supporter. Si tu es beaucoup éprouver dis toi que t'as tenu jusqu'à ici donc tes forcément un combattant vétéran.
Salut
Je vais pas vous raconter toute ma vie, mais je suis "dépressif" (c'est super dur à écrire sans avoir l'impression de passer pour un AW, c'est dingue) depuis ma troisième à peu près. J'ai été suivi par un assez mauvais psy pendant un certain temps parce que ça m'avait fait apparaitre un tremblement essentiel, mais c'est tout.
Bon, très mauvaise estime de soi, repli sur soi, idées noires, blablabla je pense que vous connaissez déjà et je vais pas m'étendre là dessus. De mes 14 ans à mes 20 ans, ça a été assez difficile pour moi, j'ai redoublé ma seconde et foiré deux premières années de fac, deux années pendant lesquelles je n'ai d'ailleurs quasiment parlé à personne. Je suis descolarisé depuis six mois et c'est vraiment pire que tout, ce pourquoi j'ai décidé de recommencer une année de droit en septembre
Ce qui me fait peur, c'est que depuis un ou deux ans j'ai l'impression d'osciller entre des "périodes" où tout va bien, où je suis plutôt optimiste, heureux et même plutôt social, où je fais des tas de plans sur le futur... Avant de passer sur une période où je pense sans le vouloir que "t'es trop nul de toutes façons, t'arriveras jamais à rien, laisse tomber et reste seul devant ton pc puisque c'est la seule chose que t'es capable de faire".
Par exemple, il y a quelques mois, je voulais absolument devenir flic. J'étais enthousiaste, optimiste, j'avais beaucoup commencé à travailler... Puis du jour au lendemain, j'ai totalement laissé tomber et j'ai évidemment foiré mon concours. C'est la même chose qui m'a fait foiré ma première L1 et laisser tomber ma deuxième.
Du coup, j'ai très peur qu'il m'arrive la même chose l'an prochain et que je foire ma dernière chance d'avoir un diplôme. Il y a des gens dans ma situation ici ? Vous avez réussi à outrepasser ça d'une manière ou d'une autre ?
Désolé pour le pavé par contre
Le 20 mai 2016 à 01:49:06 JeuneConducteur a écrit :
Le 20 mai 2016 à 01:38:39 StoneOfChaos a écrit :
Le 20 mai 2016 à 01:37:02 JeuneConducteur a écrit :
Je suis le seul à avoir le sentiment qu'il faut se sentir quand même suffisamment bien, pour vouloir se faire remonter le moral ? Parce que je ne suis absolument pas intéressé.Non, c'est simplement qu'en étant au fond du gouffre trop longtemps, on finit par aimer ça. C'est une addiction dans laquelle il ne faut pas tomber.
Si c'est ça, alors je suis tombé dedans, et l'idée d'en sortir ne me plaît absolument pas. J'ai même l'impression qu'on ne peut que donner l'illusion d'en être sorti, avec hypocrisie, en se mentant peut-être jusqu'à soi-même.
Quand tu allumes une ampoule, c'est comme si le fait qu'elle était éteinte n'avait aucune influence sur son état "allumé". C'est différent pour l'état dépressif. La dépression est une étape qui modifie notre perception des choses. C'est une évolution de notre personne.
Quand on "sort" de la dépression, on en garde quand même ce qu'on a acquit durant celle-ci. Une fois qu'on est rentré dans la dépression, on ne pourra plus jamais revenir à la vision du monde qu'on avait avant celle-ci.
Je ne peux que plussoyer...
Le 24 mai 2016 à 01:42:10 ChrisCornell a écrit :
Sérieux, quand je lis certains ici j'ai vraiment l'impression de me plaindre de pas grand chose
Non je crois que chaque problème à une valeur égale, mais avc des repercussions différentes
Le 24 mai 2016 à 01:42:10 ChrisCornell a écrit :
Sérieux, quand je lis certains ici j'ai vraiment l'impression de me plaindre de pas grand chose
Talleyrand a dit une excellente phrase :
"Quand je m'analyse, je m'inquiète, mais quand je me compare, je me rassure.."
Le 24 mai 2016 à 01:40:46 ChrisCornell a écrit :
SalutJe vais pas vous raconter toute ma vie, mais je suis "dépressif" (c'est super dur à écrire sans avoir l'impression de passer pour un AW, c'est dingue) depuis ma troisième à peu près. J'ai été suivi par un assez mauvais psy pendant un certain temps parce que ça m'avait fait apparaitre un tremblement essentiel, mais c'est tout.
Bon, très mauvaise estime de soi, repli sur soi, idées noires, blablabla je pense que vous connaissez déjà et je vais pas m'étendre là dessus. De mes 14 ans à mes 20 ans, ça a été assez difficile pour moi, j'ai redoublé ma seconde et foiré deux premières années de fac, deux années pendant lesquelles je n'ai d'ailleurs quasiment parlé à personne. Je suis descolarisé depuis six mois et c'est vraiment pire que tout, ce pourquoi j'ai décidé de recommencer une année de droit en septembre
Ce qui me fait peur, c'est que depuis un ou deux ans j'ai l'impression d'osciller entre des "périodes" où tout va bien, où je suis plutôt optimiste, heureux et même plutôt social, où je fais des tas de plans sur le futur... Avant de passer sur une période où je pense sans le vouloir que "t'es trop nul de toutes façons, t'arriveras jamais à rien, laisse tomber et reste seul devant ton pc puisque c'est la seule chose que t'es capable de faire".
Par exemple, il y a quelques mois, je voulais absolument devenir flic. J'étais enthousiaste, optimiste, j'avais beaucoup commencé à travailler... Puis du jour au lendemain, j'ai totalement laissé tomber et j'ai évidemment foiré mon concours. C'est la même chose qui m'a fait foiré ma première L1 et laisser tomber ma deuxième.
Du coup, j'ai très peur qu'il m'arrive la même chose l'an prochain et que je foire ma dernière chance d'avoir un diplôme. Il y a des gens dans ma situation ici ? Vous avez réussi à outrepasser ça d'une manière ou d'une autre ?
Désolé pour le pavé par contre
Je suis un peu comme ça. J'ai une très mauvaise estime de moi.
Ce qu'il faut, c'est essayer de trouver de l'attention. Je sais, t'as pas envie de faire ton AW, mais chaque être humain a besoin d'attention, c'est comme ça. Tu as besoin de soutien, aussi.
Tu n'as personne qui pourrait te soutenir ? Ta famille ?
Le 24 mai 2016 à 01:43:36 OrtieNight a écrit :
Le 24 mai 2016 à 01:42:10 ChrisCornell a écrit :
Sérieux, quand je lis certains ici j'ai vraiment l'impression de me plaindre de pas grand choseNon je crois que chaque problème à une valeur égale, mais avc des repercussions différentes
La "gamine" de 14 ans qui sort des propos plus matures et plus vrais que les 3/4 de ce forum.
Tu peux rester ici, mais fais attention sur ce forum, il y a des tarés.
Le 24 mai 2016 à 01:45:38 ArretMaladieOff a écrit :
Ortie je suis constipée n'a pas la même valeur que j'ai perdu ma femme. Les problèmes n'ont pas la même valeur et donc pas la même répercussion.
Mauvais exemple. La constipation n'est pas source de dépression.
Le 24 mai 2016 à 01:47:44 StoneOfChaos a écrit :
Le 24 mai 2016 à 01:45:38 ArretMaladieOff a écrit :
Ortie je suis constipée n'a pas la même valeur que j'ai perdu ma femme. Les problèmes n'ont pas la même valeur et donc pas la même répercussion.Mauvais exemple. La constipation n'est pas source de dépression.
Le 24 mai 2016 à 01:45:38 ArretMaladieOff a écrit :
Ortie je suis constipée n'a pas la même valeur que j'ai perdu ma femme. Les problèmes n'ont pas la même valeur et donc pas la même répercussion.
c'est ce que je me suis dis ! merci, hein, la dernière fois je m'étais bien fait jetée !!!
Le 24 mai 2016 à 01:41:00 Arn93 a écrit :
Le 20 mai 2016 à 01:49:06 JeuneConducteur a écrit :
Le 20 mai 2016 à 01:38:39 StoneOfChaos a écrit :
Le 20 mai 2016 à 01:37:02 JeuneConducteur a écrit :
Je suis le seul à avoir le sentiment qu'il faut se sentir quand même suffisamment bien, pour vouloir se faire remonter le moral ? Parce que je ne suis absolument pas intéressé.Non, c'est simplement qu'en étant au fond du gouffre trop longtemps, on finit par aimer ça. C'est une addiction dans laquelle il ne faut pas tomber.
Si c'est ça, alors je suis tombé dedans, et l'idée d'en sortir ne me plaît absolument pas. J'ai même l'impression qu'on ne peut que donner l'illusion d'en être sorti, avec hypocrisie, en se mentant peut-être jusqu'à soi-même.
Quand tu allumes une ampoule, c'est comme si le fait qu'elle était éteinte n'avait aucune influence sur son état "allumé". C'est différent pour l'état dépressif. La dépression est une étape qui modifie notre perception des choses. C'est une évolution de notre personne.
Quand on "sort" de la dépression, on en garde quand même ce qu'on a acquit durant celle-ci. Une fois qu'on est rentré dans la dépression, on ne pourra plus jamais revenir à la vision du monde qu'on avait avant celle-ci.
Je ne peux que plussoyer...
Que ca devienne pas une excuse pour pas essayer de s'en sortir. Je vous vois venir.
Tu as besoin de soutien, aussi.
Tu n'as personne qui pourrait te soutenir ? Ta famille ?
J'ai le soutien de ma famille, évidemment, mais très peu d'amis là où je vis puisque la plupart sont partis pour leurs études. J'ai décidé dernièrement de déménager dans une ville où je connais quelques personnes, en espérant qu'agrandir mon cercle social me permettra de ne pas recommencer à déprimer. Difficile de savoir si ça sera suffisant
Bon, pour le coup je suis dans une bonne période en ce moment, mais je vous assure que dans une mauvaise période je suis largement capable de pondre d'énormes pavés en m'apitoyant sur mon sort. Bizarrement, quand je me sens bien, j'ai beaucoup de mal à prendre mes périodes de vraie dépression au sérieux, un peu comme si j'oubliais tout ce que j'ai pu ressentir pendant toutes ces semaines
Le 24 mai 2016 à 01:55:40 ChrisCornell a écrit :
Tu as besoin de soutien, aussi.
Tu n'as personne qui pourrait te soutenir ? Ta famille ?J'ai le soutien de ma famille, évidemment, mais très peu d'amis là où je vis puisque la plupart sont partis pour leurs études. J'ai décidé dernièrement de déménager dans une ville où je connais quelques personnes, en espérant qu'agrandir mon cercle social me permettra de ne pas recommencer à déprimer. Difficile de savoir si ça sera suffisant
Bon, pour le coup je suis dans une bonne période en ce moment, mais je vous assure que dans une mauvaise période je suis largement capable de pondre d'énormes pavés en m'apitoyant sur mon sort. Bizarrement, quand je me sens bien, j'ai beaucoup de mal à prendre mes périodes de vraie dépression au sérieux, un peu comme si j'oubliais tout ce que j'ai pu ressentir pendant toutes ces semaines
tu pourras toujours elargir ton cercle social en aidant ex= à la municipalité de la ville, des voisins etc ! bon pas confondre avec bonne à tout faire !
Le 24 mai 2016 à 01:55:40 ChrisCornell a écrit :
Tu as besoin de soutien, aussi.
Tu n'as personne qui pourrait te soutenir ? Ta famille ?J'ai le soutien de ma famille, évidemment, mais très peu d'amis là où je vis puisque la plupart sont partis pour leurs études. J'ai décidé dernièrement de déménager dans une ville où je connais quelques personnes, en espérant qu'agrandir mon cercle social me permettra de ne pas recommencer à déprimer. Difficile de savoir si ça sera suffisant
Bon, pour le coup je suis dans une bonne période en ce moment, mais je vous assure que dans une mauvaise période je suis largement capable de pondre d'énormes pavés en m'apitoyant sur mon sort. Bizarrement, quand je me sens bien, j'ai beaucoup de mal à prendre mes périodes de vraie dépression au sérieux, un peu comme si j'oubliais tout ce que j'ai pu ressentir pendant toutes ces semaines
Un peu le cas de plein de gens. Déjà, t'as le soutien de ta famille, c'est pas le cas de tout le monde.
Et oui, c'est une excellente idée d'agrandir ton cercle social.
Données du topic
- Auteur
- StoneOfChaos
- Date de création
- 20 mai 2016 à 01:31:11
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
- 20422