[PHOTO] Chronique d'un vaurien au Japon et Asie !
Le 11 mai 2015 Ă 21:36:21 Spangler_ a Ă©crit :
L'australien en réanimation
Continue khey
Pour l'australien ça ne va pas arranger ma réputation
Le 11 mai 2015 Ă 21:24:05 FeuckMaurice a Ă©crit :
Le 11 mai 2015 Ă 12:43:34 Casse_beurette a Ă©crit :
JAY TOUT LU !La technique de l'attaque en binome elle est connu , mais tjr aussi efficace
Mais une autre technique redoutable, c'est d'aller tout seul vers un groupe de 3 ou 4 meufs a la zeub, elle vont etre choqué de ton culot/courage et apres c'est pareil, il faut tjr s'interesser a la plus moche en premiere , c'est de la psychologie inversé
Mais serieusement la jap qui fait bavé tout le monde ac qui t'a eu le rancard elle est pas top top hein... J'ose pas imaginer a quoi ressemble les autres meufs alors
(BG le jean Diesel )
c est ce que j allais , si c est elle la bombe du quartier , les autres doivent pas etre terribles
bon apres , je suis pas trop attire par les asiatiques , peut etre que ca joue
Elle est si moche ? A croire que j'ai des gout de chiotte
Je te suis toujours Je te réécris un com pour te dire que j'apprécie toujours autant... c'est juste qu'avec les partiels j'avais la flemme d'écrire
En tout cas tes chroniques donnent envie de découvrir un peu le monde et malgré tes défauts et tes qualités, j'apprécie ta personnalité.
Mon premier souvenir est un son, un léger craquement, une envie irrépressible de bouger, et une clarté. Je n’oublierais jamais cette sensation, cette vague de chaleur qui a parcouru mon duvet, tous ces couleurs qui éclataient de partout. Il s’agit sans aucun doute du plus beau souvenir de ma vie.
Peu de gens ont le souvenir de leur naissance, et encore moins nombreux sont ceux qui te déclarerons qu’il s’agit leur plus beau souvenir. Et pourtant, ma première journée sur cette terre et la seul ou j’ai pu gouter à l’innocence de l’enfance. Je n’oublierais jamais la douceur des ailes de ma mère. Ma journée d’éveil avec mes frères et sœur, mes premières graines, mon premier verre, toutes ces questions qui fusaient dans mon esprit, tout était si vivant et différent! Le soir sous la clarté de ceux que vous appelez « lune », je remerciais, la grande pondeuse pour la beauté de son œuf astral. Et je m’endormais paisiblement au coté de ma famille.
« PREND LE PLUS GROS IL SE VENDRA MIEUX » J’ouvrais les yeux, et vit rapidement un bipède, au mon dieux, les premier mots de ma mère résonnèrent dans mon esprit, « méfie toi d’eux mon amour, un jour ils te nourrissent avec amour et le lendemain … » sa voie s’était tut dans un caquètement inquiet. Bon dieu que se passe-t-il, une main ganté m’attrapa et ce fut le noir complet.
Je fus pris de nausée, incapable de me concentrer, je voulais tant appeler ma famille, mais mon bec restait aphone, une odeur acre d’excrément me montait à la tête. J’entendais des voix, je n’étais pas seul.
- Mon dieu que se passe t il ?
- MAMAN MAMAN !
- Ou est mon frère ! Jimmy répond moi !
On me déplaçait, on était tous secoué, certains d’entre nous mourrait écrasé, je souhaitais que tout s’arrête, j’essayais de me convaincre, cela était peut être un cauchemar, j’étais jeune et naïf, j’appris bien vite qu’un cauchemar prend une forme bien plus douce et sournoise.
Le trajet fut bref, on nous déposa dans un étal, les hommes étaient partout, c’était horrifiant. Il fallait que j’analyse la situation, trouver un échappatoire oui ! Je ne devais pas être si loin de chez moi. Il n’y pas de problème sans solution, sinon ce n’est pas un problème. Halas tout juste sortit de ma torpeur, je fus attrapé par une femme au visage souriant avec 3 congénères et transporté dans une boite plus agréable. A partir de ce moment la, je compris que je ne retrouverais ni ma famille, ni mon innocence, il fallait juste que je survive. Je ne peux toujours pas expliquer le but de cette force de vivre, mais c’est elle qui m’a animé jusqu’ici.
La dame Ă©tait contente.
- Quel drôle d’idée que ces 3 français, veuillent acheter des poussins, bah ma foi, ils doivent s’ennuyer dans notre école Thaï. Si ca peut leur faire plaisir.
C’est durant ce trajet que j’ai fait la connaissance de mes futurs compagnons. Ils étaient au nombre de 3. Une fille très douce du nom de bibi, un casse coup noir du nom de loulou et le dernier était un abrutit, qui ne se souciait de rien d’autre que faire plaisir à ses prochains maitre et s’empiffrer de graine. Son nom était valli.
Suite J'essaie un nouveau style pour cette histoire, emploi du passé et plus lyrique ca passe ?
Mais peut-être que ça plaira à d'autres
Le 12 mai 2015 Ă 10:30:00 DropItNow a Ă©crit :
J'aime pas vraiment perso, c'est un peu brouillon je trouve
Mais peut-être que ça plaira à d'autres
Je ne suis pas fan aussi, je prefere mon style vulgaire, au présent. j'attend d'autre avis pour voir si ca vaut la peine de continuer
Le 12 mai 2015 Ă 10:24:55 IbuyaManjiro a Ă©crit :
Mon premier souvenir est un son, un léger craquement, une envie irrépressible de bouger, et une clarté. Je n’oublierais jamais cette sensation, cette vague de chaleur qui a parcouru mon duvet, tous ces couleurs qui éclataient de partout. Il s’agit sans aucun doute du plus beau souvenir de ma vie.
Peu de gens ont le souvenir de leur naissance, et encore moins nombreux sont ceux qui te déclarerons qu’il s’agit leur plus beau souvenir. Et pourtant, ma première journée sur cette terre et la seul ou j’ai pu gouter à l’innocence de l’enfance. Je n’oublierais jamais la douceur des ailes de ma mère. Ma journée d’éveil avec mes frères et sœur, mes premières graines, mon premier verre, toutes ces questions qui fusaient dans mon esprit, tout était si vivant et différent! Le soir sous la clarté de ceux que vous appelez « lune », je remerciais, la grande pondeuse pour la beauté de son œuf astral. Et je m’endormais paisiblement au coté de ma famille.
« PREND LE PLUS GROS IL SE VENDRA MIEUX » J’ouvrais les yeux, et vit rapidement un bipède, au mon dieux, les premier mots de ma mère résonnèrent dans mon esprit, « méfie toi d’eux mon amour, un jour ils te nourrissent avec amour et le lendemain … » sa voie s’était tut dans un caquètement inquiet. Bon dieu que se passe-t-il, une main ganté m’attrapa et ce fut le noir complet.
Je fus pris de nausée, incapable de me concentrer, je voulais tant appeler ma famille, mais mon bec restait aphone, une odeur acre d’excrément me montait à la tête. J’entendais des voix, je n’étais pas seul.
- Mon dieu que se passe t il ?
- MAMAN MAMAN !
- Ou est mon frère ! Jimmy répond moi !
On me déplaçait, on était tous secoué, certains d’entre nous mourrait écrasé, je souhaitais que tout s’arrête, j’essayais de me convaincre, cela était peut être un cauchemar, j’étais jeune et naïf, j’appris bien vite qu’un cauchemar prend une forme bien plus douce et sournoise.
Le trajet fut bref, on nous déposa dans un étal, les hommes étaient partout, c’était horrifiant. Il fallait que j’analyse la situation, trouver un échappatoire oui ! Je ne devais pas être si loin de chez moi. Il n’y pas de problème sans solution, sinon ce n’est pas un problème. Halas tout juste sortit de ma torpeur, je fus attrapé par une femme au visage souriant avec 3 congénères et transporté dans une boite plus agréable. A partir de ce moment la, je compris que je ne retrouverais ni ma famille, ni mon innocence, il fallait juste que je survive. Je ne peux toujours pas expliquer le but de cette force de vivre, mais c’est elle qui m’a animé jusqu’ici.
La dame Ă©tait contente.
- Quel drôle d’idée que ces 3 français, veuillent acheter des poussins, bah ma foi, ils doivent s’ennuyer dans notre école Thaï. Si ca peut leur faire plaisir.
C’est durant ce trajet que j’ai fait la connaissance de mes futurs compagnons. Ils étaient au nombre de 3. Une fille très douce du nom de bibi, un casse coup noir du nom de loulou et le dernier était un abrutit, qui ne se souciait de rien d’autre que faire plaisir à ses prochains maitre et s’empiffrer de graine. Son nom était valli.Suite J'essaie un nouveau style pour cette histoire, emploi du passé et plus lyrique ca passe ?
J'aime pas du tout j'ai rien compris en plus, d'habitude je lis tes histoires l'esprit tranquil, mais la je dois me forcer a reflechir et vraiment pas envie. Je pense que comme avant c'etait beaucoup mieux
Le 12 mai 2015 Ă 11:16:03 layshmonolo a Ă©crit :
C'est vrai que je préfère le vrai toi, t'as pas besoin de faire comme la bas, pas besoin de masque !
Tu es qui ?
Et avec le dernier texte on te reconnais pas trop (après c'est mon avis) !
Ecrit comme tu le faisais , avec tes moments d'évasion ou tu dit ce que tu penses à l'instant T même si ça n'a aucun rapport avec ton récit.
Le 12 mai 2015 Ă 11:57:16 old_school_game a Ă©crit :
J'adhère moyen à ton nouveau style
Ecrit comme tu le faisais , avec tes moments d'évasion ou tu dit ce que tu penses à l'instant T même si ça n'a aucun rapport avec ton récit.
ok je recommencerais mon histoire sur les poussins une autre fois dans un autre style alors
Données du topic
- Auteur
- IBUYAmanjiro
- Date de création
- 4 mai 2015 Ă 04:27:19
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