[Alcool] J'ai une cirrhose a 27ans.
Le 21 octobre 2021 à 08:39:41 :
Tu buvais combien de bières fortes par jour l'op ?
Moi c'est minimum 2 et parfois 4ou 5
C'était par période, mais de mémoire et pour se faire une idée globale, jai commencé avec 2 par jour en moyenne, quand je sentais les angoisses revenir. 4 ou 5, c'est quand j'ai commencé à doucement perdre le contrôle, par jour, c'est bien trop pour ton foie. Si c'était de temps à autre, il aurait le temps de récupérer, mais là, si tu lui en met 5 dans la tronche, le lendemain il aura déjà un peu du mal a bien redémarrer, alors quand on en remet par au-dessus, on atteint vite le "trop plein".
Tu ne t'en rendra sûrement pas compte physiquement parlant, le foie n'est pas douloureux par nature, mais avec le temps tu commence à perdre l'appétit, prendre du poids sans vraiment avoir l'impression d'abuser ni de l'alcool ni de la bouffe, ce sont des petits signes qui montrent que le foie à besoin de respirer un peu.
En fait, c'est le problème, le foie n'a pas encore éliminé les toxines de la veille qu'on en remet déjà une couche dessus.
Sinon pour un ordre d'idée, je dirais que quand j'étais vraiment mal, alcoolique et en dépression, je tournais à une bonne dizaine de bières par jour. Parfois plus. Mais je n'avais plus la tête sur les épaules ni le cerveau à l'endroit.
Tant que tu réalise que ta consommation est un potentiel risque, tu peut essayer de l'espacer, de la réduire, petit à petit si il le faut, ta le temps à partir du moment où tu vas dans la bonne direction.
Il faut se poser la question : Sur la balance bénéfice/risque, est-ce mieux de détruire ma vie en continuant de boire ces magnifiques bières, ou m'en passer et avoir toute la vie devant moi, sans souffrir tout les jours?
Je ne dis pas que tout les consommateurs de bières vont mourir, mais que le risque existe et est bien plus vicieux et discret qu'on ne le crois. Donc la question est de savoir si ça vaut le coup de jouer sa vie à la loterie pour une boisson qui ne t'apportera que de mauvaises choses, de toute façon, cirrhose ou pas...
Le 21 octobre 2021 à 08:53:38 PsykoKilla a écrit :
Le 21 octobre 2021 à 08:39:41 :
Tu buvais combien de bières fortes par jour l'op ?
Moi c'est minimum 2 et parfois 4ou 5C'était par période, mais de mémoire et pour se faire une idée globale, jai commencé avec 2 par jour en moyenne, quand je sentais les angoisses revenir. 4 ou 5, c'est quand j'ai commencé à doucement perdre le contrôle, par jour, c'est bien trop pour ton foie. Si c'était de temps à autre, il aurait le temps de récupérer, mais là, si tu lui en met 5 dans la tronche, le lendemain il aura déjà un peu du mal a bien redémarrer, alors quand on en remet par au-dessus, on atteint vite le "trop plein".
Tu ne t'en rendra sûrement pas compte physiquement parlant, le foie n'est pas douloureux par nature, mais avec le temps tu commence à perdre l'appétit, prendre du poids sans vraiment avoir l'impression d'abuser ni de l'alcool ni de la bouffe, ce sont des petits signes qui montrent que le foie à besoin de respirer un peu.
En fait, c'est le problème, le foie n'a pas encore éliminé les toxines de la veille qu'on en remet déjà une couche dessus.Sinon pour un ordre d'idée, je dirais que quand j'étais vraiment mal, alcoolique et en dépression, je tournais à une bonne dizaine de bières par jour. Parfois plus. Mais je n'avais plus la tête sur les épaules ni le cerveau à l'endroit.
Tant que tu réalise que ta consommation est un potentiel risque, tu peut essayer de l'espacer, de la réduire, petit à petit si il le faut, ta le temps à partir du moment où tu vas dans la bonne direction.
Il faut se poser la question : Sur la balance bénéfice/risque, est-ce mieux de détruire ma vie en continuant de boire ces magnifiques bières, ou m'en passer et avoir toute la vie devant moi, sans souffrir tout les jours?Je ne dis pas que tout les consommateurs de bières vont mourir, mais que le risque existe et est bien plus vicieux et discret qu'on ne le crois. Donc la question est de savoir si ça vaut le coup de jouer sa vie à la loterie pour une boisson qui ne t'apportera que de mauvaises choses, de toute façon, cirrhose ou pas...
Je bois 33cl de 1664 quasi tous les soirs ça parait pas beaucoup mais y a t-il des risques ? Merci
Le 21 octobre 2021 à 08:53:38 :
Le 21 octobre 2021 à 08:39:41 :
Tu buvais combien de bières fortes par jour l'op ?
Moi c'est minimum 2 et parfois 4ou 5C'était par période, mais de mémoire et pour se faire une idée globale, jai commencé avec 2 par jour en moyenne, quand je sentais les angoisses revenir. 4 ou 5, c'est quand j'ai commencé à doucement perdre le contrôle, par jour, c'est bien trop pour ton foie. Si c'était de temps à autre, il aurait le temps de récupérer, mais là, si tu lui en met 5 dans la tronche, le lendemain il aura déjà un peu du mal a bien redémarrer, alors quand on en remet par au-dessus, on atteint vite le "trop plein".
Tu ne t'en rendra sûrement pas compte physiquement parlant, le foie n'est pas douloureux par nature, mais avec le temps tu commence à perdre l'appétit, prendre du poids sans vraiment avoir l'impression d'abuser ni de l'alcool ni de la bouffe, ce sont des petits signes qui montrent que le foie à besoin de respirer un peu.
En fait, c'est le problème, le foie n'a pas encore éliminé les toxines de la veille qu'on en remet déjà une couche dessus.Sinon pour un ordre d'idée, je dirais que quand j'étais vraiment mal, alcoolique et en dépression, je tournais à une bonne dizaine de bières par jour. Parfois plus. Mais je n'avais plus la tête sur les épaules ni le cerveau à l'endroit.
Tant que tu réalise que ta consommation est un potentiel risque, tu peut essayer de l'espacer, de la réduire, petit à petit si il le faut, ta le temps à partir du moment où tu vas dans la bonne direction.
Il faut se poser la question : Sur la balance bénéfice/risque, est-ce mieux de détruire ma vie en continuant de boire ces magnifiques bières, ou m'en passer et avoir toute la vie devant moi, sans souffrir tout les jours?Je ne dis pas que tout les consommateurs de bières vont mourir, mais que le risque existe et est bien plus vicieux et discret qu'on ne le crois. Donc la question est de savoir si ça vaut le coup de jouer sa vie à la loterie pour une boisson qui ne t'apportera que de mauvaises choses, de toute façon, cirrhose ou pas...
T'avais fait des analyses sanguines avant le diagnostic ? Ou tu t'es juste rendus compte du prpbleme quand les symptomes sont apparus.
En vrai, j'ai une consommation excsesive, uniquement "festive" (je ne bois jamais sans amis) certes, mais qui doit tourner autour d'un L de biere a 5degres en moyenne. Et il m'arrive de depasser les 3-4L dans la meme journee, si ambiance fetarde (j'etais encore pire en 2018-19)
Mes analyses sanguines sont excellente, donc je ne m'inquiete pas trop, et me dis que ma conso se reduira toute seule quand je serais case avec des gosses
Le 21 octobre 2021 à 08:57:08 :
Le 21 octobre 2021 à 08:53:38 PsykoKilla a écrit :
Le 21 octobre 2021 à 08:39:41 :
Tu buvais combien de bières fortes par jour l'op ?
Moi c'est minimum 2 et parfois 4ou 5C'était par période, mais de mémoire et pour se faire une idée globale, jai commencé avec 2 par jour en moyenne, quand je sentais les angoisses revenir. 4 ou 5, c'est quand j'ai commencé à doucement perdre le contrôle, par jour, c'est bien trop pour ton foie. Si c'était de temps à autre, il aurait le temps de récupérer, mais là, si tu lui en met 5 dans la tronche, le lendemain il aura déjà un peu du mal a bien redémarrer, alors quand on en remet par au-dessus, on atteint vite le "trop plein".
Tu ne t'en rendra sûrement pas compte physiquement parlant, le foie n'est pas douloureux par nature, mais avec le temps tu commence à perdre l'appétit, prendre du poids sans vraiment avoir l'impression d'abuser ni de l'alcool ni de la bouffe, ce sont des petits signes qui montrent que le foie à besoin de respirer un peu.
En fait, c'est le problème, le foie n'a pas encore éliminé les toxines de la veille qu'on en remet déjà une couche dessus.Sinon pour un ordre d'idée, je dirais que quand j'étais vraiment mal, alcoolique et en dépression, je tournais à une bonne dizaine de bières par jour. Parfois plus. Mais je n'avais plus la tête sur les épaules ni le cerveau à l'endroit.
Tant que tu réalise que ta consommation est un potentiel risque, tu peut essayer de l'espacer, de la réduire, petit à petit si il le faut, ta le temps à partir du moment où tu vas dans la bonne direction.
Il faut se poser la question : Sur la balance bénéfice/risque, est-ce mieux de détruire ma vie en continuant de boire ces magnifiques bières, ou m'en passer et avoir toute la vie devant moi, sans souffrir tout les jours?Je ne dis pas que tout les consommateurs de bières vont mourir, mais que le risque existe et est bien plus vicieux et discret qu'on ne le crois. Donc la question est de savoir si ça vaut le coup de jouer sa vie à la loterie pour une boisson qui ne t'apportera que de mauvaises choses, de toute façon, cirrhose ou pas...
Je bois 33cl de 1664 quasi tous les soirs ça parait pas beaucoup mais y a t-il des risques ? Merci
Ca depend de ton poids et de ton sexe, mais de memoire pour un homme, l'OMS definit comme "excessive" une conso au dessuss de 0,5L khey. A ta place, je m'inquieterais surtout du risque de deraper vers une consommation plus excessive.
Le 21 octobre 2021 à 08:53:38 :
Le 21 octobre 2021 à 08:39:41 :
Tu buvais combien de bières fortes par jour l'op ?
Moi c'est minimum 2 et parfois 4ou 5C'était par période, mais de mémoire et pour se faire une idée globale, jai commencé avec 2 par jour en moyenne, quand je sentais les angoisses revenir. 4 ou 5, c'est quand j'ai commencé à doucement perdre le contrôle, par jour, c'est bien trop pour ton foie. Si c'était de temps à autre, il aurait le temps de récupérer, mais là, si tu lui en met 5 dans la tronche, le lendemain il aura déjà un peu du mal a bien redémarrer, alors quand on en remet par au-dessus, on atteint vite le "trop plein".
Tu ne t'en rendra sûrement pas compte physiquement parlant, le foie n'est pas douloureux par nature, mais avec le temps tu commence à perdre l'appétit, prendre du poids sans vraiment avoir l'impression d'abuser ni de l'alcool ni de la bouffe, ce sont des petits signes qui montrent que le foie à besoin de respirer un peu.
En fait, c'est le problème, le foie n'a pas encore éliminé les toxines de la veille qu'on en remet déjà une couche dessus.Sinon pour un ordre d'idée, je dirais que quand j'étais vraiment mal, alcoolique et en dépression, je tournais à une bonne dizaine de bières par jour. Parfois plus. Mais je n'avais plus la tête sur les épaules ni le cerveau à l'endroit.
Tant que tu réalise que ta consommation est un potentiel risque, tu peut essayer de l'espacer, de la réduire, petit à petit si il le faut, ta le temps à partir du moment où tu vas dans la bonne direction.
Il faut se poser la question : Sur la balance bénéfice/risque, est-ce mieux de détruire ma vie en continuant de boire ces magnifiques bières, ou m'en passer et avoir toute la vie devant moi, sans souffrir tout les jours?Je ne dis pas que tout les consommateurs de bières vont mourir, mais que le risque existe et est bien plus vicieux et discret qu'on ne le crois. Donc la question est de savoir si ça vaut le coup de jouer sa vie à la loterie pour une boisson qui ne t'apportera que de mauvaises choses, de toute façon, cirrhose ou pas...
Bordel ton histoire m'a fait de la peine autant qu'elle me fait peur, la dernière fois que j'ai arrêté l'alcool (y'a 2 semaines ) je pense que j'étais au bord du delirium tremens, j'ai pas pu dormir pendant 3j a cause de la bloblote, des tremblements et des cauchemars ultra réalistes, le manque physique quel enfer
Le 21 octobre 2021 à 09:01:24 BaronAshura a écrit :
Le 21 octobre 2021 à 08:57:08 :
Le 21 octobre 2021 à 08:53:38 PsykoKilla a écrit :
Le 21 octobre 2021 à 08:39:41 :
Tu buvais combien de bières fortes par jour l'op ?
Moi c'est minimum 2 et parfois 4ou 5C'était par période, mais de mémoire et pour se faire une idée globale, jai commencé avec 2 par jour en moyenne, quand je sentais les angoisses revenir. 4 ou 5, c'est quand j'ai commencé à doucement perdre le contrôle, par jour, c'est bien trop pour ton foie. Si c'était de temps à autre, il aurait le temps de récupérer, mais là, si tu lui en met 5 dans la tronche, le lendemain il aura déjà un peu du mal a bien redémarrer, alors quand on en remet par au-dessus, on atteint vite le "trop plein".
Tu ne t'en rendra sûrement pas compte physiquement parlant, le foie n'est pas douloureux par nature, mais avec le temps tu commence à perdre l'appétit, prendre du poids sans vraiment avoir l'impression d'abuser ni de l'alcool ni de la bouffe, ce sont des petits signes qui montrent que le foie à besoin de respirer un peu.
En fait, c'est le problème, le foie n'a pas encore éliminé les toxines de la veille qu'on en remet déjà une couche dessus.Sinon pour un ordre d'idée, je dirais que quand j'étais vraiment mal, alcoolique et en dépression, je tournais à une bonne dizaine de bières par jour. Parfois plus. Mais je n'avais plus la tête sur les épaules ni le cerveau à l'endroit.
Tant que tu réalise que ta consommation est un potentiel risque, tu peut essayer de l'espacer, de la réduire, petit à petit si il le faut, ta le temps à partir du moment où tu vas dans la bonne direction.
Il faut se poser la question : Sur la balance bénéfice/risque, est-ce mieux de détruire ma vie en continuant de boire ces magnifiques bières, ou m'en passer et avoir toute la vie devant moi, sans souffrir tout les jours?Je ne dis pas que tout les consommateurs de bières vont mourir, mais que le risque existe et est bien plus vicieux et discret qu'on ne le crois. Donc la question est de savoir si ça vaut le coup de jouer sa vie à la loterie pour une boisson qui ne t'apportera que de mauvaises choses, de toute façon, cirrhose ou pas...
Je bois 33cl de 1664 quasi tous les soirs ça parait pas beaucoup mais y a t-il des risques ? Merci
Ca depend de ton poids et de ton sexe, mais de memoire pour un homme, l'OMS definit comme "excessive" une conso au dessuss de 0,5L khey. A ta place, je m'inquieterais surtout du risque de deraper vers une consommation plus excessive.
Bah ça fait 2 ans que c'est comme ça ... Mais ok je vais y penser merci
Le 21 octobre 2021 à 09:02:14 :
Le 21 octobre 2021 à 09:01:24 BaronAshura a écrit :
Le 21 octobre 2021 à 08:57:08 :
Le 21 octobre 2021 à 08:53:38 PsykoKilla a écrit :
Le 21 octobre 2021 à 08:39:41 :
Tu buvais combien de bières fortes par jour l'op ?
Moi c'est minimum 2 et parfois 4ou 5C'était par période, mais de mémoire et pour se faire une idée globale, jai commencé avec 2 par jour en moyenne, quand je sentais les angoisses revenir. 4 ou 5, c'est quand j'ai commencé à doucement perdre le contrôle, par jour, c'est bien trop pour ton foie. Si c'était de temps à autre, il aurait le temps de récupérer, mais là, si tu lui en met 5 dans la tronche, le lendemain il aura déjà un peu du mal a bien redémarrer, alors quand on en remet par au-dessus, on atteint vite le "trop plein".
Tu ne t'en rendra sûrement pas compte physiquement parlant, le foie n'est pas douloureux par nature, mais avec le temps tu commence à perdre l'appétit, prendre du poids sans vraiment avoir l'impression d'abuser ni de l'alcool ni de la bouffe, ce sont des petits signes qui montrent que le foie à besoin de respirer un peu.
En fait, c'est le problème, le foie n'a pas encore éliminé les toxines de la veille qu'on en remet déjà une couche dessus.Sinon pour un ordre d'idée, je dirais que quand j'étais vraiment mal, alcoolique et en dépression, je tournais à une bonne dizaine de bières par jour. Parfois plus. Mais je n'avais plus la tête sur les épaules ni le cerveau à l'endroit.
Tant que tu réalise que ta consommation est un potentiel risque, tu peut essayer de l'espacer, de la réduire, petit à petit si il le faut, ta le temps à partir du moment où tu vas dans la bonne direction.
Il faut se poser la question : Sur la balance bénéfice/risque, est-ce mieux de détruire ma vie en continuant de boire ces magnifiques bières, ou m'en passer et avoir toute la vie devant moi, sans souffrir tout les jours?Je ne dis pas que tout les consommateurs de bières vont mourir, mais que le risque existe et est bien plus vicieux et discret qu'on ne le crois. Donc la question est de savoir si ça vaut le coup de jouer sa vie à la loterie pour une boisson qui ne t'apportera que de mauvaises choses, de toute façon, cirrhose ou pas...
Je bois 33cl de 1664 quasi tous les soirs ça parait pas beaucoup mais y a t-il des risques ? Merci
Ca depend de ton poids et de ton sexe, mais de memoire pour un homme, l'OMS definit comme "excessive" une conso au dessuss de 0,5L khey. A ta place, je m'inquieterais surtout du risque de deraper vers une consommation plus excessive.
Bah ça fait 2 ans que c'est comme ça ... Mais ok je vais y penser merci
Je suis pas expert en la matiere, mais ca depend surtout de ta relation avec ta binouze.
En terme de santee, je pense pas que ca pose de gros probleme, mais est ce que tu te sentirais d'arreter deux semaine par exemple?
Par exemple, malgres ma consommation abusee, je sais que je l'ai fait au debut du rona sans trop de problemes
Après pour avoir vu mal de gens atteints de cirrhose en stage il y a des solutions ! Et notamment la greffe d’autant plus que t’es jeune et donc un très bon candidat.
Je connais pas toute ton histoire mais si t’es réellement abstinent il y a pas de raisons que tu ne puisses pas en béneficier un jour
Le 21 octobre 2021 à 08:45:02 :
Le 21 octobre 2021 à 08:24:56 :
Le 17 juillet 2021 à 02:06:00 :
Il faut tout de même rappeler que l'auteur est dans cette situation car il s'est enquillé 1 ou 2 bouteilles de Pastis par JOUR pendant des ANNÉES.Tu m'étonnes que des poivrots de 50 ans qui picolent depuis 30 ans de la bière ou du vin se portent plus ou moins bien que toi.
Non, c'est pas tout à fait exact. C'était une bouteille grand maximum pendant la dernière année, et je ne pouvais pas la terminée tout les jours, parce que je vomissait trop souvent avec le stress et, rétrospectivement, le foie qui n'en pouvais déjà plus. Le pastis n'est qu'une cerise sur le gâteau du désespoir, la bière à 8° est plus pertinente à pointer du doigt.
Et "les poivrots" (joli catégorisation. Personne ne décide d'avoir une vie comme ça, je le rappel. Il n'y a jamais de fumée sans feu.) qui picolent depuis 30 ans, picolent justement depuis 30 ans. J'ai eu ma cirrhose sans même avoir 30 ans. Tu saisis ce que j'essaie de souligner quand je dis que ça peut aller bien plus vite qu'on ne le crois ?
Sinon je ne vois pas trop l'intérêt du message, si ce n'est pour dire en screud "oui bah c'est pas démérité". Ce qui n'était peut-être pas obligatoire.
Juste mon opinion.Le 28 septembre 2021 à 16:20:01 :
Il est sûrement décédé, malheureusement, ou alors il passe tout simplement plus ici.Un peu des deux...il est vrai que j'ai déserté JVC depuis quelques temps...et je le regrette un peu, mais parler de ma maladie en même temps que la gérer commence à devenir infernal, c'est déjà difficile physiquement, mais psychologiquement, c'est comme une double peine. J'essaie tant bien que mal de jouer pour penser à autre chose parfois, mais la fatigue devient vraiment très présente. Désolé pour ceux que j'aurais pu inquiété éventuellement et merci à vous d'avoir fait vivre ce topic. Pour ceux qui me reprennent sur mon post initial, ça date. J'ai écrit un soir il y à des années encore sous le choc parce sue je venais d'échapper de peu à la mort, vivre l'enfer et j'étais encore assommé par tout celà. Pas la peine de reprendre ad nauseaum la phrase sur les jeunes qui picolent pour prouver que vous avez le cul blanc et une magnifique hygiène de vie. Tant mieux pour vous, mais faites en un topic. Je préfère parler aux personnes concernés par le sujet histoire de gagner du temps.
Ce que je vais faire d'ailleurs.
Le 02 août 2021 à 14:09:49 :
Moi j'ai pire j'ai une insomnie chronique et je suis tout seul, j'aurais jamais aucune aideAh je connais. C'est en pack avec la cirrhose, insomnie sur le long terme puis phase d'hypersomnie. Ça te gache la vie cette merde... t'arrive jamais à être vraiment bien au final... c'est la fatigue permanente. J'espère que tu arriveras, d'une manière ou d'une autre à retrouver le sommeil.
Le 04 mai 2021 à 04:53:12 :
J'ai 25 ans et je bois des bières à 8 degrés tous les jours c'est risqué?Tout les jours : Oui. Clairement. Comme précisé au-dessus, c'est pas tellement le Pastis qui ma tué, mais le piège de la bière qui fait redescendre les angoisses dans un premier temps. Au début tu te dit que "si ça peut aller mieux avec juste quelques bières, alors ok...tu arrêtera quand tu te sentiras mieux dans tes bottes."
Sauf qu'évidemment, avant même de s'en rendre compte, on en boit un peu plus que la semaine dernière, et ainsi de suite. Et sans le vouloir on se retrouve dans un autre piège : Celui de la dépendance physique. Si celà vous arrive de vous réveiller sans pouvoir boire à cause du manque, d'un mal-être très marqué, physiquement et psychologiquement, il faut vite se faire aider. Je vous jure, j'avais une phobie des cachets, de l'arrêt, je me disais que ça allait être impossible, dangereux etc. Bref l'angoisse.À l'hôpital, quand j'étais mourrant et qu'on m'a filé des medocs pour calmer tout ça, je me suis dis "Quoi? C'est tout? C'est si simple que celà ?"
Je m'étais fait une montagne sur du rien. Arrêter l'alcool, en étant aidé, si la volonté est là, c'est d'une simplicité incroyable. Honnêtement, comparativement à ce que le corps prend dans la gueule avec la picole, trois cachets qui t'empêche de trembler et d'angoisser... c'est pas grand chose....Si j'avais su que tout était si... "simple", j'aurais eu une vie totalement différente. Il ne faut jamais, JAMAIS angoisser à l'avance sur des idées préconçues. Le mieux reste de se dire : de toute façon, c'est pas comme si ça pouvait être pire.
Donc ne faite pas comme moi, arrêter si vous sentez que vous perdez le contrôle et que l'alcool commence à s'imposer.
Rendez-vous service.L’auteur pardonne moi si je vais être hautain mais c’est toi à 100% qui a décider d’avoir cette vie hein
on les connais tous les risques, après si t’as pas été responsable malgré ça on peut rien pour toi
+ quels cachet pour arrêter ? Ça m’intéresse vu que j’ai des proches à QI négatif dans le même cas que toi
Je n'ai jamais demandé d'avoir des crises de paniques tellement ingérables que j'étais incapable de vivre. Au sens propre du terme. Je ne me suis pas réveillé un matin en me disant "Tient ! Et si je BUVAIT POUR DEVENIR ALCOOLIQUE".
Derrière l'alcoolisme, comme derrière toutes dépendance, il y à un véritable problème de fond derrière, et celui-ci, personne ne l'a demandé.
C'est comme tomber d'un arbre sans cesse et essayer de trouver n'importe quel branche pourvue qu'elle ammortisse le choc.
Personne ne s'accroche aux branches sans tomber au préalable. Ce que tu viens d'écrire est un manque de connaissance sur les dépendances. Sans vouloir être hautain non plus, mais c'est un raccourci utiliser par beaucoup de personnes pour dire : Tu la bien cherché.
Quel être humain cherche à vivre l'enfer consciemment ? Encore une fois, on ne prend pas des chemins par hasard, la vie nous pousse vers ceux-là. Ensuite, il y à ceux qui se noient et ceux qui arrivent à rejoindre la rive. Hélas je fais parti de la première catégorie.
Je ne me suis jamais blâmé pour mon passé, ni d'avoir fait l'erreur involontaire de détruire ma vie, j'avais tout simplement un couteau sous la gorge. Comme tellement de dépendants.
La vie, c'est pas juste noir ou blanc, y'a énormément de facteurs qui amènent à de telles routes... c'est bien pour ça que j'avais fait ce topic à l'époque, pour éviter les raccourcis et peut-être aider les gens à réaliser que si la vie nous pousse dans une mauvaise direction, il n'est pas trop tard pour essayer de lui donner tort. Mais pour ça, il faut en parler, et non pas dire : BAH TA QU'À PAS BOIRE.
Ce qui n'est ni un conseil, ni une véritable solution. C'est une leçon de morale dispensable pour ceux qui sont déjà coincés malgré eux dans celà. Et c'est bien la dernière chose qu'ils veulent entendres, ils le savent déjà que trop bien qu'il ne fallait jamais toucher à cette merde. Mieux que les personnes qui jugent d'un point de vue extérieure.
Et c'est pas un reproche, c'est juste que c'est difficile de comprendre le cheminement sans l'avoir vécu je suppose, alors c'est toujours plus simple de rendre un jugement préconçu que d'y réfléchir.
Pour les cachets, j'ai été sous Valium et Seresta lors de mon hospitalisation. En sortant de l'hôpital, j'ai oublié un mois entier de mon existence a cause du Valium. Selon les proches, j'étais méconnaissable. Pour moi, ça à juste été un immense trou noir.
En ce sens, et parce que, sauf situation d'urgence il est fortement déconseillé de mixer les deux, ça dépendra de la personne finalement, mais on restera soit sous Valium, soit sous Seresta. J'ai balayé le Valium sans regrets ni difficultés, et j'ai gardé les Seresta 50mg. Que je orend encore aujourd'hui, parce qu'une dépendance en remplace une autre si on est mal encadré.
J'ai pas été encadré.
Mais le Seresta, dans mon cas de figure, reste la meilleure solution pour plusieurs raisons : Il possède une courte durée de vie, ce qui permet dans un premier temps dd voir si la personne est à l'aise avec le traitement. Je n'ai jamais eu ni vertiges, ni nausées, ni changement de comportement, il ne "ramolli" pas comme le Valium peut le faire, et selon mon compteur de hits combos dans les VS fighting, il ne fait pas perdre les réflexes.
Honnêtement, très vite on ne réalise plus être sous traitement mais c'est une belle béquille pour éviter que le cerveau part trop en vrille.
Et puis petit bonus c'est le seul benzo qui ne défonce pas le foie. Ce qui est non négligeable dans notre cas de figure.
Attention, c'est juste mon expérience. Certains sont très mal avec Seresta et très bien avec Valium. Mais si je devais conseiller quelqu'un pour commencer un sevrage doucement mais sûrement, je conseillerais Seresta 10mg ou 50 selon la dépendance, il a de meilleur chance d'offrir aux "QI négatifs" une nouvelle vie.
En espérant avoir aidé un peu. Et désolé pour le pavé, mais comme j'écris rarement, autant tout mettre à plat sans tortiller de la croupe.
Le 21 octobre 2021 à 08:41:19 :
J'allais écrire "boucle" mais en fait c'est le topic originalT'es devenu quoi l'auteur ? Désolé si tu l'a dis déjà plein de fois mais pas le courage de lire 150 pages
Haha je vais pas te blâmer pour la flemme ! Eh bien... je suis devenu pas grand-chose. C'est la routine entre maladie et répétitivité, c'est lassant avec les années et les symptômes qui empire. Ceci étant dit, même si je suis encore tout les jours allité (comme d'habitude.) J'essaie un maximum de me changer les idées en jouant toujours autant, en lisant toujours autant et en regardant toujours autant de trucs.
J'écris un peu pour moi-même souvent aussi, j'ai commencé le dessin aussi, il y à peu, pour essayer ce moyen d'expression. Je ressens de plus en plus le besoin de "créer" des choses, j'ai même envie de reprendre la musique, mais la route semble complexe à emprunter. Mais je perd pas espoir, je crois que mon cerveau à besoin de se laisser aller, j'ai besoin de vidé le surplus qu'il y a là-dedans..!
Sinon routine, les amours, toossa, là-dessus, je ne suis pas à plaindre après bientôt 13 ans de vie commune sans battement d'ailes ^^
Dinc disons que "on fait aller". J'essaie de voir le positif. Y'a Shin megami tensei V bientôt, par exemple
Ça apprend au moins à profiter des petits moments que la vie me laisse, c'est toujours un peu triste d'être si fatigué mais il y aura peut-être des jours meilleurs. La pandémie et mon manque de défense immunitaire ne m'ont pas beaucoup aidé à faire de la marche ou des activités depuis tout ce merdier. C'était déjà pas simple avant, mais là...aie.
Donc on croise les doigts pour des jou8plus paisibles et essayer de regagner un touuuut petit peu des muscles fondus et pouvoir aller repasser mes examens médicaux
Merci d'avoir pris des nouvelles en tout cas ! Ça fait plaisir !
Le 21 octobre 2021 à 09:06:05 :
Sinon l'OP tu vis aussi au Japon ? Je dois pas imaginer le cauchemar que c'est pour un alcoolique vu comment enormement d'interactions sociales poussent a la picole ici
J'y ai été quelques temps, et bordel....oui je connais le problème ! Pour contourner le problème, je disais sobrement que mon médecin m'avait dit de lever le pied, sans rentrer dans les détails, ça passe toujours. Mais il vaut mieux éviter de dire "Ouais non l'alcool c'est de la daube !" Sinon tu finira en vilain petit canard. Alors que l'excuse du médecin, ça passe bien, personne ne creuse la question et je suis toujours tombé sur des gens qui me disaient "Ah bah pas grave, vient boire avec nous quand-même, prend pas d'alcool !"
Et zou ! Mais même avec d'autres Gaijins, c'était chaud
J'ai une petite anecdote toute naze d'un jour où j'ai pété l'ambiance très violemment malgré moi ;
J'avais pas trop de temps devant moi et avec la maladie, une fois que j'avais fait ma journée à traverser Tokyo en long, en large et en travers, t'imagine bien que j'étais détruit. Donc flemme, Capsule hôtel quoi. En plus j'avais jamais test et ma femme non plus, bonne occasion pour la curiosité ma foi (si j'ose dire !)
On s'installe pépouze, et avant de dormir, jdemande au gérant ou jpeut fumer une clope, il m'indique le toit, ok nickel !
Sur le toit y'avait des Australiens et des ricains bien éméchés ! Hyper sympas et avenants, content de rencontrer un français, on blablate et tout tranquille, et là, la bourde, un gars sort les fameuses 8° mixées avec de l'énergie drink, et me dit " Tiens vazy fait toi plaisir ! On trinque pour notre rencontre éphémère mais vraiment cool !"
Et là, bah comme c'est pas des Japonais en face, réflexe, je sort : "Ah merci c'est gentil les gars mais j'ai une cirrhose donc..."
Et j'ai à peine eu le temps de me dire "putaiiiin non, fallait pas dire ça !"
Grand blanc. Le silence. Les gars qui marmounait des "Wah désolé mec..." "Oh merde... j'aurais pas dû te proposer je suis con"
Putain le cassage d'ambiance, j'ai répondu au tac au tac sans y mettre les bords. Heureusement que je suis pas fataliste, j'ai réussi tant bien que mal à les hype à nouveau et à ce qu'on en rigole, mais le malaise de fond était resté quand-même.
Après quelques clopes et beaucoup de blabla, quand je me suis retiré pour aller me pieuter, j'ai senti que les sourires étaient sincères et aussi un peu triste. J'étais deg pour eux, pas pour moi. Ils s'attendaient sûrement pas à ça les pauvres, ils étaient dans un bon délire et j'voulais pas du tout le casser.
Le lendemain matin j'en ai revu un vite fait, j'me suis excusé pour la veille, et c'était encore pire niveau pitié ! Bordel L'enfer !
J'ai retenu la leçon japonaise ce jour là, avec les Japonais, c'est le docteur. Avec les Gaijins, prétexte que ta déjà trop bu pour aujourd'hui et que tu bosse le lendemain matin très tôt, dans les deux cas, tu vas mentir, mais tu passera pas la nuit à te dire : Woputain, ça craint, j'aurais du trouver autre chose !
Et des occasions de boire au Japon, y'en a partooooout. "Ah des français, trop bien, J'vous paie ma tournée !"
Les japonais sont très sympathiques majoritairement, alors évidemment, ils veulent trinquer pour tout et rien avec leur nouveau pote ! Alors le médecin blabla, puis finalement il paie sa tournée de Pepsi et ça passe crème.
Fait prendre le coup quoi, plus jamais l'erreur de débutant
Enfiiin....vu la situation sanitaire et ma santé, à mon avis le Japon pour moi, ça sera plus jamais tout court. Dommage j'aurais pu avoir 1001 opportunité là-bas, avec la santé, mais on peut pas réécrire l'histoire hein...
Au moins j'aurais eu la chance de connaître ce beau pays. Et même si c'est plus difficile que pour une personne lambda, j'étais bien là-bas. Ma maladie était devenu un détail, j'étais pas... oppressé ? Du coup j'avais forcément les stigmates de la maladie, physiquement, mais mentalement, j'ai eu l'occasion de revivre en 2019.
C'était une sorte d'années en dehors du temps, en dehors du lit et des habitudes horribles, le matin j'arrivais à me lever tôt, j'allais courir doucement dans un petit parc prêt d'où j'étais à Ikebukuro, j'avais vraiment envie de combattre la maladie.
Et heureusement que J'AVAIS envie, parce que la médecine là-bas, c'est terrible.
Ma seule "mauvaise expérience". Les prix exorbitant pour une consultation ou les médecins check sur Google pour qu'au final tu fasse ton auto-diagnostique et ordonnance, mais putain quoi
Voilà, désolé pour le pavé HS Japon, c'est un de mes seul bon souvenir dans la vie et surtout depuis la maladie. Alors quand la nostalgie l'emporte... je m'arrête plus. :-d
Pardon ^^'
Le 21 octobre 2021 à 09:18:59 :
Aya 6 ans déjà ce topic, content de voir que tu fais toujours partis de ce monde l'auteur tu m'as fais réduire ma conso qui commençait à devenir problématique
Je suis grave content de lire que tu as réussi à contrôler ta conso ! C'est grâce à ton courage, félicitations franchement, content de voir que tu prends la bonne route ! C'est vraiment cool !
Wow mec tu me touche vraiment , tes tellement jeune bordel , j'étais pareille que toi ( je fesais des crises d'angoisse ingérable , spasmophilie etc ) j'ai perdu énormément de pois ( road 75 a 53 kg ) donc je comprend vraiment pourquoi tu es tombée dans l'alcool ...
J'ai U de la chance d'avoir un une copine aimante qui m'a vraiment aider moralement ...
Ta l'air d'être un humain exceptionnel j'aurais vraiment aimé faire ta connaissance
Je te conseille de te tourner vers le spirituel sa m'a beaucoup aidé aussi
Le 21 octobre 2021 à 08:45:02 :
Le 21 octobre 2021 à 08:24:56 :
Le 17 juillet 2021 à 02:06:00 :
Il faut tout de même rappeler que l'auteur est dans cette situation car il s'est enquillé 1 ou 2 bouteilles de Pastis par JOUR pendant des ANNÉES.Tu m'étonnes que des poivrots de 50 ans qui picolent depuis 30 ans de la bière ou du vin se portent plus ou moins bien que toi.
Non, c'est pas tout à fait exact. C'était une bouteille grand maximum pendant la dernière année, et je ne pouvais pas la terminée tout les jours, parce que je vomissait trop souvent avec le stress et, rétrospectivement, le foie qui n'en pouvais déjà plus. Le pastis n'est qu'une cerise sur le gâteau du désespoir, la bière à 8° est plus pertinente à pointer du doigt.
Et "les poivrots" (joli catégorisation. Personne ne décide d'avoir une vie comme ça, je le rappel. Il n'y a jamais de fumée sans feu.) qui picolent depuis 30 ans, picolent justement depuis 30 ans. J'ai eu ma cirrhose sans même avoir 30 ans. Tu saisis ce que j'essaie de souligner quand je dis que ça peut aller bien plus vite qu'on ne le crois ?
Sinon je ne vois pas trop l'intérêt du message, si ce n'est pour dire en screud "oui bah c'est pas démérité". Ce qui n'était peut-être pas obligatoire.
Juste mon opinion.Le 28 septembre 2021 à 16:20:01 :
Il est sûrement décédé, malheureusement, ou alors il passe tout simplement plus ici.Un peu des deux...il est vrai que j'ai déserté JVC depuis quelques temps...et je le regrette un peu, mais parler de ma maladie en même temps que la gérer commence à devenir infernal, c'est déjà difficile physiquement, mais psychologiquement, c'est comme une double peine. J'essaie tant bien que mal de jouer pour penser à autre chose parfois, mais la fatigue devient vraiment très présente. Désolé pour ceux que j'aurais pu inquiété éventuellement et merci à vous d'avoir fait vivre ce topic. Pour ceux qui me reprennent sur mon post initial, ça date. J'ai écrit un soir il y à des années encore sous le choc parce sue je venais d'échapper de peu à la mort, vivre l'enfer et j'étais encore assommé par tout celà. Pas la peine de reprendre ad nauseaum la phrase sur les jeunes qui picolent pour prouver que vous avez le cul blanc et une magnifique hygiène de vie. Tant mieux pour vous, mais faites en un topic. Je préfère parler aux personnes concernés par le sujet histoire de gagner du temps.
Ce que je vais faire d'ailleurs.
Le 02 août 2021 à 14:09:49 :
Moi j'ai pire j'ai une insomnie chronique et je suis tout seul, j'aurais jamais aucune aideAh je connais. C'est en pack avec la cirrhose, insomnie sur le long terme puis phase d'hypersomnie. Ça te gache la vie cette merde... t'arrive jamais à être vraiment bien au final... c'est la fatigue permanente. J'espère que tu arriveras, d'une manière ou d'une autre à retrouver le sommeil.
Le 04 mai 2021 à 04:53:12 :
J'ai 25 ans et je bois des bières à 8 degrés tous les jours c'est risqué?Tout les jours : Oui. Clairement. Comme précisé au-dessus, c'est pas tellement le Pastis qui ma tué, mais le piège de la bière qui fait redescendre les angoisses dans un premier temps. Au début tu te dit que "si ça peut aller mieux avec juste quelques bières, alors ok...tu arrêtera quand tu te sentiras mieux dans tes bottes."
Sauf qu'évidemment, avant même de s'en rendre compte, on en boit un peu plus que la semaine dernière, et ainsi de suite. Et sans le vouloir on se retrouve dans un autre piège : Celui de la dépendance physique. Si celà vous arrive de vous réveiller sans pouvoir boire à cause du manque, d'un mal-être très marqué, physiquement et psychologiquement, il faut vite se faire aider. Je vous jure, j'avais une phobie des cachets, de l'arrêt, je me disais que ça allait être impossible, dangereux etc. Bref l'angoisse.À l'hôpital, quand j'étais mourrant et qu'on m'a filé des medocs pour calmer tout ça, je me suis dis "Quoi? C'est tout? C'est si simple que celà ?"
Je m'étais fait une montagne sur du rien. Arrêter l'alcool, en étant aidé, si la volonté est là, c'est d'une simplicité incroyable. Honnêtement, comparativement à ce que le corps prend dans la gueule avec la picole, trois cachets qui t'empêche de trembler et d'angoisser... c'est pas grand chose....Si j'avais su que tout était si... "simple", j'aurais eu une vie totalement différente. Il ne faut jamais, JAMAIS angoisser à l'avance sur des idées préconçues. Le mieux reste de se dire : de toute façon, c'est pas comme si ça pouvait être pire.
Donc ne faite pas comme moi, arrêter si vous sentez que vous perdez le contrôle et que l'alcool commence à s'imposer.
Rendez-vous service.L’auteur pardonne moi si je vais être hautain mais c’est toi à 100% qui a décider d’avoir cette vie hein
on les connais tous les risques, après si t’as pas été responsable malgré ça on peut rien pour toi
+ quels cachet pour arrêter ? Ça m’intéresse vu que j’ai des proches à QI négatif dans le même cas que toi
Mdr cette condescendance
Données du topic
- Auteur
- PsykoKilla
- Date de création
- 1 mai 2015 à 22:12:47
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