[FIC] "Bienvenue dans la police criminelle monsieur Célestin Chancla"
Le 21 novembre 2024 à 19:19:25 :
Le 21 novembre 2024 à 18:12:48 :
Le 21 novembre 2024 à 18:05:27 :
Le 21 novembre 2024 à 17:43:41 :
sweet ce soir ?Je devrais bien trouver le temps d'écrire deux lignes avant ce soir, oui
Plus sérieusement oui, j'ai déjà bien commencé. Il s'agira d'un double chapitre minimum si ça peut en rassurer certains
J'ai tout fait hier et à midi. J'avais été frustré pour deux personnages dans les chapitres précédents de ne pas avoir les stickers que je voulais. Ça devrait être bon maintenant
Le 21 novembre 2024 à 21:32:46 :
Le 21 novembre 2024 à 21:18:37 :
C'est qui l'actrice? Je suis sûr de l'avoir déjà vu quelque part
Shameless la série, Le Labyrinthe, Pirates des Caraïbes 5 (pas le meilleur rôle pour elle ) la récente série The Gentlemen
CHAPITRE 16 : DEUX PENSÉES SOUS LA NEIGE
Aujourd’hui, vous vous êtes réveillé tôt, pressé de quitter l’hôpital. Avant l’extinction des feux hier soir, le médecin, dans sa dernière visite, vous avait confirmé que vous pourriez quitter l’établissement dans le matin. C’est donc depuis votre réveil que vous tendez l'oreille pour tous les pas arpentant votre couloir à la recherche de ceux qui bifurqueront vers votre porte. Après plusieurs fausses espérances, un candidat crédible semble enfin se diriger vers votre chambre. Le grincement de la poignée qui s’abaisse chante à vos oreilles comme la cloche de votre libération. Vous voyez une femme les bras chargés d’une caisse surmontée d’une pile de dossier entrer.
- Bonjour, je viens pour vous... Oh, Célestin !
- ...
- Ça va ?
- ... oui.
- Enfin, je te demande ça alors que tu es patient dans un hôpital. Excuse-moi. Je ne t’ai pas revu après l’incendie, comment ça s'est passé pour toi ?
- Je suis parti assez vite.
- Et comment tu t’es retrouvé ici ? Attends, j’ai ton dossier avec les papiers que je dois te faire signer.
Elle attrape sa pile de dossiers qu’elle commence à feuilleter.
- Alors, Célestin Gréville, où est-ce que tu es...
Gréville... Elle ne va jamais me trouver ! Comment je peux lui expliquer ça ?
- Oh ! J’ai dû te rater. Excuse-moi, accorde-moi trente secondes...
- Trouvé ! Célestin Gréville. J’avais dû te sauter.
Elle ouvre une chemise et parcourt des yeux le premier document.
- Perforation... sutures... attaque au couteau... Eh bien, tu n’as vraiment pas eu de chance ce soir-là. Un incendie puis une agression au couteau en rentrant.
- Oui, j’aurais mieux fait de rester couché.
- C’est sympa pour ceux que tu as rencontrés ce soir-là.
- Ce n’est pas ce que je voulais dire.
- Je sais, je plaisantais.
- Mais, et toi, que fais-tu là ?
- Eh bien, je suis externe, c’est la partie pratique de ma formation. Tu as raté Léo de peu d’ailleurs, c’est elle qui serait venue te voir si elle n’avait pas fini il y a dix minutes.
- Ah, d’accord. Je ne connais pas trop le fonctionnement du cursus en médecine.
- Je comprends. Bien, on va pouvoir te relâcher dans la nature. Il faut seulement que je t’administre un dernier antibiotique, que tu signes quelques documents et tu es libre.
- Parfait.
- Très bien, mets-toi sur le ventre le temps que je prépare la seringue.
- C... Comment ça ?
- Il faut que je pique dans une zone proche de la plaie. La fesse, ça ira très bien.
Vous la voyez soulever le couvercle de la caisse qu’elle a apportée, puis fouiller dedans tandis que vous blêmissez de gêne.
- ... C’est vraiment obligatoire ?
Elle tire de la caisse un stylo qu’elle vous tend.
- Non, deux signatures suffiront.
Vous expirez de soulagement.
- Désolée. Je sais, ça ne fait rire que moi.
Elle vous tend une feuille fixée sur une plaquette en plastique.
- Signe ici et là. Tes affaires sont dans la caisse que je t’ai amenée. Tu n’auras plus qu’à te changer et à partir.
- Merci.
- Qu’est-ce que tu fais ce soir ?
Vous redressez la tête et croisez son regard.
- Euh... c’est une invitation ?
- Non, c’est seulement le réveillon.
- Mais on n’était pas le 20 hier ?
- Bien sûr que non, puisque nous tentions de survivre à un incendie le 21. Tu t’es mélangé. Hier, c'était le 23 et aujourd'hui, nous sommes le 24.
Ma mère doit se demander pourquoi je ne lui ai pas encore dit si je serai là !
- Oh, encore un qui n’a pas fait ses cadeaux.
___________
Vous retrouvez le hall d’entrée de votre bâtiment après plusieurs jours d’absence. Tout en réfléchissant à votre organisation de la journée, vous montez les marches de l’escalier avec votre sac avec vos affaires à la main.
Je reste tranquille jusqu’à midi, je mange de la vraie nourriture par rapport à ce qu’ils m’ont donné à l’hôpital, puis dans l’après-midi, j'irai dans le magasin de décoration au bout de la rue pour trouver des cadeaux pour ma mère et ma sœur.
Alors que vous parveniez aux dernières marches et que votre palier vous apparaissait, vous trouvez assis contre votre porte quelqu’un. Vous vous arrêtez, vous dévisagez mutuellement en silence avant que vous ne finissiez par prendre la parole.
- Tu ne peux plus te passer de moi.
- On a été interrompus dans notre discussion hier. Comme je savais que tu sortais de l’hôpital ce matin...
- C’est bon... rentre.
Vous gravissez les dernières marches restantes et introduisez votre clef dans la serrure.
- Tu seras sympa de ne pas me frapper cette fois.
- Je ne sais pas, refrappe à ta propre porte pour voir.
- ...
- Je plaisante, et je t’ai déjà dit que je m’en voulais terriblement.
D’un tour de main, vous ouvrez votre porte et pénétrez tous deux dans l’appartement. Vous n’allumez pas de lumière et vous contentez de l’éclairage froid des ciels d’hiver qui se diffuse avec peine depuis vos fenêtres. C’est dans cette fausse clarté que vous la faites assoir dans le salon avant de la rejoindre, deux bières à la main. Vous lui tendez la sienne avant de vous laisser tomber dans le fauteuil qui fait face à votre invitée. Kaya avait retiré ses chaussures et replié ses jambes sous elle. Vous buvez ensemble votre première gorgée sans vous quitter des yeux, vous sondant mutuellement. Après quelques instants, elle vous questionne timidement.
- Ça fait mal ?
- Un peu.
- Comment c’est arrivé ?
- Durant une mission.
Elle contrefait une voix grave en oscillant grotesquement la tête.
Vous esquissez un sourire rieur devant son imitation.
- Je ne peux pas parler d’une affaire en cours.
- Et maintenant, après l’homme viril, tu joues au mec mystérieux ?
- Fais ce que tu veux, je ne te le dirai pas.
- Dommage… Dis, tu as bien reçu mes chocolats ?
- Oui, ils étaient très bons, je te remercie, tu n’aurais pas dû.
- Je suis contente que tu les aies trouvés. La voisine aurait bien pu les prendre pour elle. Ça m’aurait vraiment emmerdé de savoir qu’elle les avait bouffés.
- Je comprends...
- ...
- Mais, pourquoi tu es venu me voir ?
- Hum... tu m’intrigues. La vie ne cesse de te mettre sur ma route.
- Il y a quand même deux fois où ta route se trouvait être mon palier.
- Oui, mais tout de même, l’hôpital, c’était fort non ? Qu'on y soit en même temps ?
- Si tu le dis. Tu n’as pas un réveillon à préparer plutôt que de venir me voir, une famille à qui tu dois rendre visite ?
Vous remarquez que son visage se referme à l’évocation de sa famille. Elle doit même desserrer la mâchoire pour vous répondre.
- Je ne m’entends pas très bien, avec ma famille.
- Ah, désolé.
- Tu ne pouvais pas savoir.
Face à la gêne s’installant, vous cherchez un nouveau sujet de conversation. Votre esprit s’active jusqu’à trouver un élément auquel s’accrocher.
- Tu devais vraiment lui en vouloir à l’ancien locataire pour vouloir le frapper.
- Pas du tout. Il aurait pu me dire qu’il déménageait et que nous n’aurions plus de rendez-vous, c’est vrai, mais ce n’était pas lui que je voulais frapper ce soir-là, c’était l’idiot qui s’amusait à toquer de l’autre côté de la porte.
- ... J’avais trouvé ça marrant sur le moment.
- C’en avait l’air.
- Joli direct en tout cas.
- J’en suis assez fière, c’est vrai.
- Hum ... ça me fait penser, c’est bien que j’aie ta carte. Je connais des gens qui sont très portés au massage, alors je pourrais te recommander.
- Alors euh...
- ...
- Il faut que je te dise quelque chose. Je ne pense pas que tu devrais me recommander, même si c’est très gentil de ta part.
- Pourquoi ?
- Parce que, masseuse, c’est comme ça que je me suis enregistrée pour pouvoir déclarer mes revenus et bénéficier des protections sociales et d’une retraite, mais je ne suis pas vraiment masseuse.
- Qu’est-ce que tu fais alors ?
- Des massages que je ne pourrais pas déclarer aux impôts.
- Ah ! ... Je comprends.
- Je ne le cache jamais habituellement, je suis honnête sur ce que je fais. Je t’ai répondu masseuse la première fois, car je ne pensais pas que l’on se reverrait.
- Je vois.
Un lourd silence s’abat sur votre appartement. Vous avez beaucoup de mal à réagir à cette information à laquelle vous ne vous attendiez pas. Après une longue minute sans qu’aucun de vous deux ne prononce un mot, Kaya termine sa bière avant de la reposer sur la table basse, l’air affectée.
- Je vais te laisser.
- Non, je... désolé, je ne m’y attendais pas.
- Je ne t’en veux pas, je comprends ce que tu penses.
Elle commence à remettre ses chaussures.
- C’est juste que... je n’ai pas trouvé les mots...
- Ce n’est pas grave, je t’ai dit. Et puis, je me suis imposée. C’était Noël, je me sentais un peu seul, alors j’ai cru... j’ai cru que j’aurais pu trouver quelqu’un pour passer un peu de temps, mais je n’ai pas à t’imposer ça. Tu l’as dis-toi même hier, on ne se connaît pas.
- Kaya...
Elle serre son dernier lacet puis se lève pour se diriger vers la porte d’un pas décidé. Vous vous levez et la suivez du regard. Arrivée devant votre porte, elle se retourne vers vous.
- Merci pour la bière. Encore désolée pour ton nez. Je suis contente que cela ne t’ait pas laissé de trace.
Vous vous fixez. Pendant combien de temps ? Vous ne saurez le dire. Elle attend, elle espère de vous une solution à cette situation et vous le savez, mais les mots ne vous viennent pas. Toutes les esquisses de phrases que vous vous formulez viennent mourir contre vos lèvres serrées, et vous ne pouvez que regarder la porte se refermer. Votre téléphone vibre deux fois tandis que vous percevez encore le raisonnement de la poignée dans l’air. Vous le sortez et consultez le message que vous venez de recevoir : « Nous venons de réceptionner ton arrêt de travail. Tu reprends dès le 26. Je te souhaite un bon réveillon. Barrios. » Votre regard se reporte sur votre parquet, attiré par la multitude d’ombres le parcourant en un même sens, puis vous relevez la tête vers votre fenêtre. Dehors, il neige.
____________
C’est l’esprit en joie et déterminé que vous montez avec un peu d’avance dans votre voiture en ce matin de retour au travail. Vous veniez de passer auprès de votre famille le plus doux des réveillons depuis bien longtemps. Loin du supplice habituel de l’interrogatoire sur votre situation orchestré par vos grands-parents, vous fûtes, cette fois-ci, la personne importante de ce rassemblement. Tous avaient loué le prestige de votre poste dans une brigade criminelle et les larmes contenues de votre mère lorsqu’elle expliquait son bonheur d’avoir retrouvé un fils passionné par ce qu’il faisait et pétrit d’un enthousiasme nouveau vous avaient particulièrement touchées.
Il se trouve, de plus, que ce matin passait la chanson sur laquelle vous aviez dansé avec le lieutenant Mendes au bar. Ceci vient à nouveau gonfler votre enthousiasme et vous chantiez à haute voix dans l’habitacle tout en marquant le rythme avec vos mains sur le volant lorsqu’une voiture de police arrêtée sur le bas-côté attira votre attention. Vous distinguez alors un agent en train de plaquer une jeune femme sur son coffre afin de lui passer les menottes.
- La journée commence bien pour celle-là !
Après l’avoir menottée, l’agent redresse la femme, ce qui vous permet de voir son visage.
Vous reconnaissez Kaya.
Qu’allez-vous faire ?
1) Vous vous arrêtez et tentez de voir si vous pouvez la sortir de cette situation, quitte à jouer de votre grade.
2) Vous passez votre chemin et vous dirigez tout droit au poste.
Le 21 novembre 2024 à 22:10:05 :
Le 21 novembre 2024 à 22:05:40 :
Ça aurait tué Célestin d'aller saluer ses voisins
Bon , vote 1. A défaut de résoudre l'enquête, Célestin va peut être péchoIl y avait les cadeaux de la mama à aller acheter, il y a des priorités
Léa, Emily et la fille Inconnue jugeront ses actions depuis là-haut
Le 21 novembre 2024 à 22:10:27 :
Vote 1, ça peut être une personne utile dans notre enquête.....
Avec de la chance, elle était une indic pour le précédent locataire
- Et comment tu t’es retrouvé ici ? Attends, j’ai ton dossier avec les papiers que je dois te faire signer.
- Perforation... sutures... attaque au couteau... Eh bien, tu n’as vraiment pas eu de chance ce soir-là. Un incendie puis une agression au couteau en rentrant.
Comme si tu n'y était pas étrangère
- Très bien, mets-toi sur le ventre le temps que je prépare la seringue.
- Il faut que je pique dans une zone proche de la plaie. La fesse, ça ira très bien.
On ne se connaît pas encore assez voyons
Ahah, elle nous as bien eu
Maintenant, on sait qu'elle ment bien
Je... Je plaisantais mon gars, calme ton sabre laser
- Mais on n’était pas le 20 hier ?
- Bien sûr que non, puisque nous tentions de survivre à un incendie le 21. Tu t’es mélangé. Hier, c'était le 23 et aujourd'hui, nous sommes le 24.
- Tu ne peux plus te passer de moi.
- On a été interrompus dans notre discussion hier. Comme je savais que tu sortais de l’hôpital ce matin...
Elle contrefait une voix grave en oscillant grotesquement la tête.
Ok, elle sera haut dans la tiers list, mais tu ne pourras pas être la waifu, hélas
- Je suis contente que tu les aies trouvés. La voisine aurait bien pu les prendre pour elle. Ça m’aurait vraiment emmerdé de savoir qu’elle les avait bouffés.
- Hum ... ça me fait penser, c’est bien que j’aie ta carte. Je connais des gens qui sont très portés au massage, alors je pourrais te recommander.
Si vous me cherchez, je ne suis pas là !
C'est un travail comme un autre
- Je vais te laisser.
- Non, je... désolé, je ne m’y attendais pas.
Et voilà, ça jette un froid maintenant
Vous reconnaissez Kaya.
VOTE 1), j'aime pas cela IRL mais en même temps, on ne peux pas la laisser comme cela
C'est le premier choix où nous pouvons jouer avec les limites de la légalité. L'auteur nous propose un choix d'apparence très anodin mais qu'il a préparé tout le chapitre. C'est la première fois qu'il nous demande quel genre de policier veut-on être ? Un qui suit les règles ou un qui joue avec, voir pire ? C'est habile et bien amené.
Jusqu'où l'auteur est prêt à nous laisser la possibilité de devenir un flic aux méthodes douteuses ? Loin j'espère.
J'aime de plus en plus le projet. Vote 1. Il y a le début d'une Bad cop road derrière ce choix et il va falloir se salir les mains pour attraper le tueur
SOMMAIRE DE LA FIC
Chapitre 1 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272000585
Chapitre 2 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272000681
Chapitre 3 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272000785
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272000809
Chapitre 4 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272064289
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272064417
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272064505
Chapitre 5 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272129577
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272129625
Chapitre 6 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272198881
Chapitre 7 :
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272442065
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272442161
Chapitre 8 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272591081
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272591153
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272591249
Chapitre 9 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272713385
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272713417
Chapitre 10 :
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272965009
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1272965105
Chapitre 11 :
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273058777
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273059009
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273059137
Chapitre 12 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273214481
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273214569
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273214713
Chapitre 13 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273430081
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273430177
Chapitre 14 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273531817
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273531897
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273532009
Chapitre 15 :
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273609193
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273609625
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273609825
Chapitre 16 : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273679769
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273680025
Rappel des personnages : https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1273430193
Vote 1 bien sur
Déjà qu'on est flic, si en plus on est un bâtard ça va pas le faire
Données du topic
- Auteur
- PubliusOvidius
- Date de création
- 30 octobre 2024 à 20:15:02
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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