Connaissez-vous des hauts Q.I ?

Le 13 mai 2024 à 03:51:24 :

Le 13 mai 2024 à 03:45:11 :

L'IA est plus intelligente que n'importe qui sur le topic et pourtant elle pourrait cesser de fonctionner pendant des années et ne plus rien produire d'utile et de concret qu'elle serait toujours aussi performante lorsqu'on aurait à nouveau besoin d'elle.

Oui, mais elle ne servirait plus à rien dans notre quotidien. L'IA resterait donc un outil intelligent, mais inutilisé. Un gros pénis, comme évoqué précédemment, resterait gros même s'il est inutilisé.

Et pourtant, il serait inutile à son détenteur, du moins si l'objectif final est de provoquer la jouissance chez sa partenaire.

Conclusion :

Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche.

Ce qui fait le génie, ce n'est pas seulement le potentiel, mais bien le résultat, qui dépend à la fois des capacités et du travail accompli.

un gros pénis non utilisé ne reste pas gros justement
Ou plutôt il n'a jamais été gros puisqu'il n'a jamais été un pénis dans un contexte sexuel, il n'a jamais existé sur le plan sexuel et donc il n'a jamais été gros sur le plan sexuel

je me répète mais tout ça c'est déjà formulé et reformulé depuis près de 100 ans dans la littérature existentialiste

L'herbe commence à s'infuser dans ton esprit.

Le 13 mai 2024 à 03:51:43 :
Et si l'aspirateur reçoit moins de courant que prévu initialement, peut-il être moins efficient ?

C'est la source d'énergie qui serait en cause et pas l'aspirateur en lui-même.

Le 13 mai 2024 à 03:52:49 :

un gros pénis non utilisé ne reste pas gros justement
Ou plutôt il n'a jamais été gros puisqu'il n'a jamais été un pénis dans un contexte sexuel, il n'a jamais existé sur le plan sexuel et donc il n'a jamais été gros sur le plan sexuel

je me répète mais tout ça c'est déjà formulé et reformulé depuis près de 100 ans dans la littérature existentialiste

Ce pénis pourrait exister, si son détenteur n'est pas dénué de testostérone, rien ne l'empêche de rechercher une partenaire. Ce penis deviendrait donc utilisable et existant.

rien n'existe hors de la réalité, pourquoi parler de chose qui n'existe pas ?
soit la chose existe soit elle existe pas, "pouvoir exister" au fond ça veut rien dire

bon sur ce je me tire, bonne nuit les kheys

C'est la source d'énergie qui serait en cause et pas l'aspirateur en lui-même.

Oui, tu n'as pas tort, bien joué. Cependant, le résultat sera toujours inférieur au plein potentiel qui aurait pu être atteint avec une meilleure source

Un de mes meilleurs potes l'est, et ce sont pas des tests d'internet, il a été forcé à une expertise psychiatrique quand il a été interné de force suite à des problèmes avec la police, QI mesuré à 138.

Ça ne m'a pas vraiment étonné, le mec a toujours été hyper actif et pouvait mener des dizaines de projets en même temps, il a quitté l'école très tôt car il était harcelé mais s'est formé tout seul dans un tas de domaines (mécanique, construction, informatique, modélisation 3D, chant, cinéma amateur, arts martiaux, etc.).

Il a même appris le japonais tout seul

Les khey vous êtes allés loin cette nuit dans la dualité existence par essence ou existence par aboutissement.

Certain d'entre vous ont beaucoup usé d'un certain relativisme, notamment en faisant appel à l'existentialime. Le fait qu'il ait été beaucoup traité dans la littérature n'en fait pas une vérité absolue. Je n'aime pas le "relativisme absolu" (j'adore cet oxymore néanmoins), parce qu'il lutte, peut être vers une grande cause visant à l'égalitarisme (égalité des chances par exemple), contre l'essence même des choses. En cela vous avez insisté pour qu'une chose qui n'a pas révélé son potentiel n'existe pas (sérieux c'était pas sympa de considérer qu'un pénis qui n'avait jamais pénétré un autre humain n'existait pas, ou n'existait pas encore ).

Plutôt que de devoir emprunter des voies de plus en plus complexes et emberlificotées pour faire exister une vérité qui en soi ne veut que dépouiller les choses de leur essence, il est quand même plus réaliste et simple de considérer l'existence de deux situations non nécessairement antinomiques.

A savoir qu'un potentiel en quelque chose existe par essence : si vous prenez un cerveau avec un certain potentiel, peu importe à quelle heure de la journée vous le testez, il exprimera son potentiel (nonobstant des variables extérieures tels que la fatigue, etc., mais il s'agit seulement d'une variation marginale). Et par essence, si vous pouvez faire un test sur quelque chose pour obtenir un résultat à n'importe quel moment démontre que le potentiel est là, en dormance ou non.

Sérieux, pour user de vos métaphores, un aspirateur qui sort d'usine ne serait pas encore un aspirateur, et n'aurait pas en lui son potentiel d'aspirer, quel que soit l'heure à laquelle il sera utilisé chez Célestin ? Ca me dépasse un peu.

Ensuite on peut amener le concept de l'aboutissement, de la révélation, on l'appelle comme on veut. Certains souhaitent que le potentiel n'aurait de valeur que lorsqu'il est utilisé, comme si il poppait à ce moment là. En terme de valeur, on peut imaginer pourquoi pas qu'en effet il n'en a pas si il ne s'exprime pas, et n'abouti pas au résultat attendu, mais pourquoi diable voulez-vous à tout prix qu'en plus de le dépouiller de toute valeur, ce qui est déjà discutable, vous souhaitez qu'il n'ait même pas d'existence ? ("le pénis n'est pas un pénis tant qu'il n'a pas été utilisé comme tel", mais bon sang il n'est pas plus logique de penser qu'il faut bien que le pénis soit pénis afin d'être utilisé comme tel ?

Un potentiel existe nécessairement par essence, avant son utilisation, l'utilisation ne part pas du néant pour engendrer l'objet au moment de son utilisation, le potentiel était là, même s'il s'agit d'un cailloux random pour allumer un feu, certes le cailloux n'était pas un allume feu, mais le fait de le claquer pour produire des étincelles nécessite que par essence le cailloux soit riche en fer et rencontre brutalement un silex. Ils existaient avant bon sang, leur potentiel n'est pas apparu au moment même de la première étincelle !

Ce qui me gène dans ces hypothèses relativismes plus ou moins égalitaristes c'est qu'elles nient l'existence par essence des choses afin de satisfaire des frustrations, ou des schémas, qui préfèrent ce confort. Il est évident plus rassurant pour quelqu'un qui serait frustré, ou trouverait injuste, de ne pas sentir certaines capacités suffisantes, ou de ne pas pouvoir tout obtenir à partir de rien, que peu importe son niveau actuel, avec du travail et une volonté bien orientée n'importe quel talent pourra popper à partir de rien. Bien sûr on peut s'améliorer grâce au travail, même beaucoup, et encore heureux sinon nous n'irions pas bien loin dans notre société, les enfants ne pourraient même pas murir. Mais cela n'empêche que bon sang, on peut considérer l'existence d'un potentiel à la base, sinon cela revient à dire que tous les cerveaux sont nécessairement identiques afin qu'ils puissent tous y faire popper un génie ou quoi que ce soit que l'on souhaiterait.

Mais posons la question aux faits, et entre autres à la biologie : il a été mainte fois démontré, même avant la "mode" du HPI, des différences biologiques fondamentales, certes chacune à certains degrés variables selon les individus, mais on retrouvait au moins en bonne partie ces particularités chez le HPI, et ce qu'il s'agisse d'enfants qui n'ont pas encore fini de grandir que chez des vieillards qui ont plus qu'évolué par rapport aux aléas de la vie. Ces particularité sont par exemple, de manière non exhaustive, une plus dense interconnexion synaptique entre les neurones, engendrant un maillage plus complexe et plus vaste, notamment dans le cortex frontal, ainsi qu'une connexion un peu plus fusionnelle entre les hémisphères, on a aussi découvert une meilleure efficience des cellules gliales, augmentant la conductivité axonique, ainsi qu'un certain développement parfois supérieur de l'hypocampe (mémoire) et de l'amigdale (émotions),...

En bref, l'existence de ces particularismes de la petite enfance à l'âge canonique les rends existants par essence d'autant plus qu'il s'agit de structures que l'on ne peut pas fondamentalement modifier, et sans que cela n'exclu la plasticité et la capacité à progresser, évidemment, mais les individus ne progresseront pas de manière homogène tant qualitativement que quantitativement. Le problème c'est de naviguer sans cesse entre "tout est inné je m'en fou je suis un génie même si vous le voyez pas" et "tout le monde est pareil tu n'as qu'à bosser pour devenir exactement ce que tu veux", chacune des versions peut faire du mal tantôt à une sensibilité tantôt à une autre. Mais c'est plus confortable de rester dans une position dogmatique, alors même qu'un point de vue plus mesuré et équilibré constate et accepte qu'il s'agit, comme souvent dans la nature, de deux choses ayant une légitimité à exister en même temps.

On a connu des enfants privés de ressources culturelles et dans une misère intellectuelle qui arrivaient à exprimer leur potentiel dès qu'on leur en donnait la possibilité, quand d'autres malgré un travail et une volonté acharnés n'ont que peu sorti la tête de la masse (tout en acceptant que personne n'est dépourvu d'une certaine marge de manœuvre dans tous les cas, évidemment !)

Le 13 mai 2024 à 03:09:29 :

Tu achètes un aspirateur haut de gamme. Ta baraque est un dépotoir poussiéreux.

--) l'aspirateur est inefficace parce que la mission pour laquelle il a été conçu n'est pas remplie?

Ce qu'il cherche à te transmettre, c'est que posséder un outil puissant est vain s'il demeure inutilisé, relégué au placard. Cela n'amoindrit en rien l'efficacité de l'intelligence de son détenteur. Le jour où ce dernier se réveillera, il pourra effectivement rattraper son retard, en fonction de sa situation actuelle et de la différence d'efficacité entre les deux.

c est vrai face a des gens qui n'ont qu'une balayette pour faire le ménage, mais la plus part des gens ont un aspirateur
tu projettes tes fantasmes encore

Le 13 mai 2024 à 00:18:00 :

Le 13 mai 2024 à 00:15:58 :
J'en ai connu un, à la fin il allait plus en cours et prenait full antidépresseurs

Quels étaient ses passions, ses passe-temps ?

Le 13 mai 2024 à 00:16:50 :
pourquoi tu boucles autant sur le QI, passe un WAIS IV comme ça tu seras fixé

Le test n'est pas donné et je ne suis pas en condition actuellement pour le passer. Du moins, le résultat ne sera pas réprésentatif de l'étendue de mes capacités cognitives.

Sinon, le Q.I est un sujet qui me fascine.

Le 13 mai 2024 à 00:17:04 :
Et bon courage pour la perte de poids aussi

Merci, mon bon clé.

Vu ton orthographe catastrophique, je t'épargne une perte inutile de 300€ : t'es un mid QI.

Le 13 mai 2024 à 09:09:46 :
Les khey vous êtes allés loin cette nuit dans la dualité existence par essence ou existence par aboutissement.

Certain d'entre vous ont beaucoup usé d'un certain relativisme...

+ plutôt d'accord mais tu aurais pu faire un effort de clarté

Le 13 mai 2024 à 22:50:10 :

Le 13 mai 2024 à 09:09:46 :
Les khey vous êtes allés loin cette nuit dans la dualité existence par essence ou existence par aboutissement.

Certain d'entre vous ont beaucoup usé d'un certain relativisme...

+ plutôt d'accord mais tu aurais pu faire un effort de clarté

Yes mais on va dire que j'étais dans un "état second" pour des raisons inavouables mais aisées à imaginer.

Je le suis, diagnostiqué comme tel par une neuropsy

J'essaye de pas trop me le rappeler sinon mon égo va encore remonter en flèche et je vais être frustré. En société j'essaye de me dire que je suis comme tout le monde, j'accepte l'avis des autres même s'ils ont souvent tort et basta

Par contre je cherche un moyen d'évacuer toute la frustration d'être forcé de me niveler par le bas au boulot. Je vais sûrement me mettre de manière sérieuse à l'écriture

Le 13 mai 2024 à 23:05:09 :
Je le suis, diagnostiqué comme tel par une neuropsy

J'essaye de pas trop me le rappeler sinon mon égo va encore remonter en flèche et je vais être frustré. En société j'essaye de me dire que je suis comme tout le monde, j'accepte l'avis des autres même s'ils ont souvent tort et basta

Par contre je cherche un moyen d'évacuer toute la frustration d'être forcé de me niveler par le bas au boulot. Je vais sûrement me mettre de manière sérieuse à l'écriture

Tu soufres de frustration lorsque ton égo est trop haut, mais tu soufres aussi du fait de te niveler vers le bas, de te cancel, quelle souffrance est la pire pour toi ?
Personnellement c'est la deuxième souffrance qui serait la pire pour moi.

Edith : tu penses qu'en te mettant à l'écriture tu arriverait à trouver un équilibre ou tu souffrirais moins du fait que tu n'as plus à te limiter, y'a pas de limite à l'intensité de l'expression en écriture, et que donc tu n'aurais plus de raisons de laisser ton égo monter en flèche ?

Il ne faut pas diaboliser l'égo, c'est parfois un outil très utile pour réaliser quelque chose, avoir confiance en soit affronter quelque chose, mais aussi de vivre la sensation d'avoir créé quelque chose, et la fierté d'avoir réussi une épreuve.

Je pense que l'écriture dans ton un super idée, tu as raison !

[23:18:45] <halorache>

Le 13 mai 2024 à 23:05:09 :
Je le suis, diagnostiqué comme tel par une neuropsy

J'essaye de pas trop me le rappeler sinon mon égo va encore remonter en flèche et je vais être frustré. En société j'essaye de me dire que je suis comme tout le monde, j'accepte l'avis des autres même s'ils ont souvent tort et basta

Par contre je cherche un moyen d'évacuer toute la frustration d'être forcé de me niveler par le bas au boulot. Je vais sûrement me mettre de manière sérieuse à l'écriture

Tu soufres de frustration lorsque ton égo est trop haut, mais tu soufres aussi du fait de te niveler vers le bas, de te cancel, quelle souffrance est la pire pour toi ?
Personnellement c'est la deuxième souffrance qui serait la pire pour moi.

Se niveler vers le bas, clairement. L'égo j'arrive de mieux en mieux à le gérer, par contre faire de la merde ça m'est insupportable, j'ai beaucoup de mal à l'accepter, même sur des trucs anodins. Surtout que j'arrive difficilement à faire accepter mon point de vue, étant autiste en prime je suis pas expert en relations sociales. Au contact des gens quand je vois une résistance je finis par me taper des crises d'anxiété/angoisse/whatever parce que je me demande toujours comment c'est possible de pas voir l'évidence. Et en fin de compte j'ai toujours raison, sauf que l'ego des hommes faisant quand c'est le cas je me retrouve toujours seul et avec personne pour venir me dire qu'effectivement, j'avais raison. À la longue c'est épuisant

D'où ma réflexion actuelle de me mettre sérieusement à l'écriture. Au moins ça dépendra que de moi et y aura personne pour venir m'emmerder. Et sur le reste, boulot, relations sociales, je lâche l'affaire. S'ils veulent rester dans leur propre médiocrité c'est leur problème. À quoi bon de toutes manières