[ETUDE] Les MANAGERS en COLÈRE : « Les JEUNES n’ont tout simplement PLUS ENVIE DE TRAVAILLER »
« Les gens n’ont tout simplement plus envie de travailler » : des N+1 aigris vident leur sac
Des boulets, exigeants, faignants et capricieux, juste bons à casser les pieds de leur chef.
C’est ce que ces managers pensent de leurs équipes. Car non, tous n'ont pas envie de vider les lieux et de faire sauter le système. Certains se désespèrent aussi du manque d'entrain et d'éthique professionnelle de la génération Z. Témoignages.
« Aujourd’hui, mes équipes en font le moins possible »
« Quand j’ai commencé le boulot, on ne voyait pas le travail comme une corvée. C’était un moyen de se réaliser, de vivre mieux et de s’éclater. Seul et avec les autres. On ne comptait pas nos heures, on était en charrette tous ensemble, dans un grand bordel, une sorte d’excitation joyeuse, on bossait comme des dingues avant d’aller boire des coups. Je me revois, lors de mon premier job à Paris : je venais d’arriver dans un petit appart près de la Seine, et j’adorais aller au bureau ! J’arrivais tôt, je partais tard, parfois après minuit, et c’étaient les meilleures années de ma vie, très formateur et enrichissant. Aujourd’hui, mes équipes en font le moins possible, le strict minimum, pour rester dans les clous de leur contrat. Ils sont comme obsédés par l’argent, le salaire, les avantages. C’est d’une tristesse ! On ne travaille pas que pour gagner de l’argent, quand même, même si évidemment c’est important. J’ai le sentiment d’être devenue une sorte de bureau des pleurs : on me parle en permanence de divorce, de problème de plomberie, de garderie en grève, de belle-mère malade ! Mais je ne suis pas psy, moi. Je ne suis pas là pour écoper les problèmes de tout le monde, ce n'est pas ma fonction. »
Marianne*, 58 ans, manager dans une entreprise de conseil à Paris.
« Être manager est devenu un métier impossible »
Certains se désespèrent aussi du manque d'entrain et d'éthique professionnelle de la génération Z. « Je sais que c’est devenu un cliché, un poncif moqué par les jeunes, mais les gens, toutes générations confondues, n’ont tout simplement plus envie de travailler. Plus envie de faire le moindre effort, de donner d’eux-mêmes à la boîte, et j’ai vraiment du mal à sympathiser avec cette mentalité.
On peut difficilement leur donner tort.
Je le constate moi même quotidiennement au travail.
Il y a un réel problème avec la nouvelle génération.
Outre les problèmes de politesse et même souvent d'hygiène, ils sont souvent mous, amorphe et très peu engagés.
Le 14 février 2024 à 15:02:20 :
Certains se désespèrent aussi du manque d'entrain et d'éthique professionnelle de la génération Z
On peut difficilement leur donner tort.
Je le constate moi même quotidiennement au travail.
Il y a un réel problème avec la nouvelle génération.
Outre les problèmes de politesse et même souvent d'hygiène, ils sont souvent mous, amorphe et très peu engagés.
Normal
Qui veut donner son temps de vie pour un patron qui te méprise et veut te payer le moins possible ?
Le 14 février 2024 à 15:04:13 :
Le 14 février 2024 à 15:02:20 :
Certains se désespèrent aussi du manque d'entrain et d'éthique professionnelle de la génération Z
On peut difficilement leur donner tort.
Je le constate moi même quotidiennement au travail.
Il y a un réel problème avec la nouvelle génération.
Outre les problèmes de politesse et même souvent d'hygiène, ils sont souvent mous, amorphe et très peu engagés.Normal
Qui veut donner son temps de vie pour un patron qui te méprise et veut te payer le moins possible ?
Regarde ta fiche de paie.
Ton patron te paie énormément.
Mais plus de la moitié de ce qu'il te donne part pour l'État...
Le 14 février 2024 à 15:05:21 :
Le 14 février 2024 à 15:04:13 :
Le 14 février 2024 à 15:02:20 :
Certains se désespèrent aussi du manque d'entrain et d'éthique professionnelle de la génération Z
On peut difficilement leur donner tort.
Je le constate moi même quotidiennement au travail.
Il y a un réel problème avec la nouvelle génération.
Outre les problèmes de politesse et même souvent d'hygiène, ils sont souvent mous, amorphe et très peu engagés.Normal
Qui veut donner son temps de vie pour un patron qui te méprise et veut te payer le moins possible ?Regarde ta fiche de paie.
Ton patron te paie énormément.
Mais plus de la moitié de ce qu'il te donne part pour l'État...
C'est pas mon problème le golem. Il à qu'à m'inciter à travailler plus (prime)
Le 14 février 2024 à 15:05:21 :
Le 14 février 2024 à 15:04:13 :
Le 14 février 2024 à 15:02:20 :
Certains se désespèrent aussi du manque d'entrain et d'éthique professionnelle de la génération Z
On peut difficilement leur donner tort.
Je le constate moi même quotidiennement au travail.
Il y a un réel problème avec la nouvelle génération.
Outre les problèmes de politesse et même souvent d'hygiène, ils sont souvent mous, amorphe et très peu engagés.Normal
Qui veut donner son temps de vie pour un patron qui te méprise et veut te payer le moins possible ?Regarde ta fiche de paie.
Ton patron te paie énormément.
Mais plus de la moitié de ce qu'il te donne part pour l'État...
Sauf que ca c'est pas le problème du salarié
Le 14 février 2024 à 15:06:22 :
Le travail est une chance qui permet d'acquérir des valeurs fondamentales comme le goût de l'effort, le respect de la hiérarchie, le surpassement de soi... Mais ça la nouvelle génération ne le comprend pas...
Non ça c'est le sport, tu confonds. J'ai du mal à respecter les golems de 130kg qui ont été pistonné toute leur vie
Vivement la semaine de 4 jours generalisee au taffe
5 jours sur 7 chaque semaine c juste trop
Et ces génies veulent obliger à travailler des gens qui n'ont pas envie de travailler et qui n'ont pas les compétences pour.
Tout le monde veut travailler sur ses propres horaires, certains le matin, d’autres le soir ! En fait, la nouvelle génération a du mal avec la communauté, les contraintes… La dernière en date : un candidat m’a demandé (ou plutôt a exigé !) de travailler à mi-temps et depuis Marseille ! L’air de rien, comme si c’était normal, il a été choqué que je lui dise que cela ne marchait pas comme ça, et après le second entretien je n’ai plus entendu parler de lui… Mais comment pensait-il que cela fonctionnait ? À la carte, apparemment… Mais comment je suis censée faire en composant avec les cas particuliers de chacun, les sensibilités de tout le monde ? Entre ceux qui veulent qu’on les appelle « iel » et ceux qui quittent le bureau comme des fonctionnaires, cela devient franchement compliqué…
Ahi le khey Marseillais IciZolaski qui aura tenté le tout pour le tout
j’adorais aller au bureau ! J’arrivais tôt, je partais tard, parfois après minuit, et c’étaient les meilleures années de ma vie
Le 14 février 2024 à 15:10:51 :
j’adorais aller au bureau ! J’arrivais tôt, je partais tard, parfois après minuit, et c’étaient les meilleures années de ma vie
La même pour moi !
La bise.
Jean-Pierre
Si l’on ose demander à son équipe de faire un pas de côté, de sortir un peu de sa fiche de poste, en un mot de grandir et d’apprendre, on ne récolte que des récriminations plus ou moins virulentes, quand ce n’est pas de la franche hostilité. Et pendant ce temps-là, en Chine, ils ne craignent pas d’enchaîner les heures supplémentaires, de prendre des risques, de tout donner. Et après on s’étonne d’être dépassés, largués, à la traîne, de ne pas innover comme on le devrait…
Les chinois connaissent la valeur travail, eux.
N’en déplaise au forumeurs je suis assez d’accord avec ce constat. Je ne suis PAS chef d’entreprise ni manager MAIS ma fonction m’oblige à côtoyer la gen Z et force est de constater qu’il n’y a que l’argent qui compte.
L’argent, l’argent, l’argent. Avec le recul ce sont pas les salariés les esclaves du système mais bien eux. de vrai bons esclaves du système
Données du topic
- Auteur
- KingProprio
- Date de création
- 14 février 2024 à 15:00:32
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