Topic de GalaXieDeGlace :

ayaaa les 2000 en ont rien à foutre du travail

Un salaire ridicule pour tant d'énergie mise en œuvre

Le 11 septembre 2023 à 20:05:42 :
Un salaire ridicule pour tant d'énergie mise en œuvre

Exact,de l'esclavage.

Le 11 septembre 2023 à 19:50:20 :
Ouais, les apéros avec les collègues, ça me gonfle aussi.

J'ai déjà une famille et des potes. Restez au travail jusqu'à 20h pour écouter Gislaine ergoter sur sa nouvelle 3008, c'est non.

C'est le cliché dans le mauvais sens du terme le monde du travail,c'est ça qui est insupportable.

Pas que les 2000; les 90 aussi, nous sommes ceux qui sont rentrés joyeusement sur le marché du travail il y a sept, huit ans,

prêt à pas mal donner à nos employeurs. Maintenant le ton change avec la nouvelle génération.

Le 12 septembre 2023 à 09:49:21 :
Pas que les 2000; les 90 aussi, nous sommes ceux qui sont rentrés joyeusement sur le marché du travail il y a sept, huit ans,

prêt à pas mal donner à nos employeurs. Maintenant le ton change avec la nouvelle génération.

On passe de la claque dans la gueule à la "rébellion" oui. :oui:

Je suis un 87, j'ai commencé à bosser en 2008 dans le privé, je me défonçais, heure supp, prise d'initiative.
Résultat, on me filait toujours plus de travail et de responsabilité sans augmentation de salaire tandis que ceux qui en foutaient le minimum étaient laissé tranquille :)

Maintenant je bosse dans une grosse boite public, j'en fout le minimum, 3 jours de télétravail par semaine, horaires flexible, mon chef qui me dit que je peux me pointer à 10h si je veux tant que le taff est fait, les 35h je les fais jamais https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png

Le 15 septembre 2023 à 21:40:20 :
Je suis un 87, j'ai commencé à bosser en 2008 dans le privé, je me défonçais, heure supp, prise d'initiative.
Résultat, on me filait toujours plus de travail et de responsabilité sans augmentation de salaire tandis que ceux qui en foutaient le minimum étaient laissé tranquille :)

Maintenant je bosse dans une grosse boite public, j'en fout le minimum, 3 jours de télétravail par semaine, horaires flexible, mon chef qui me dit que je peux me pointer à 10h si je veux tant que le taff est fait, les 35h je les fais jamais https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png

Voilà c'est ça,même ceux qui croient le plus à la Méritocratie,en prenant la RedPill ils changent de comportement et voient que tout se passe beaucoup mieux qu'avant,c'est triste et drôle à la fois. :noel:

Le 11 septembre 2023 à 19:59:08 :
Y aussi le fait que beaucoup de jeunes diplômés ont fait davantage d'études que ceux qui les dirigent.

C'est insupportable d'avoir un boomer avec son BTS te driver comme un môme alors que tu as tryhard ton master mention TB.

Du coup, quand il veut faire copain-copain en t'expliquant qu'il refait le carrelage dans sa résidence secondaire, t'as envie de te barrer fissa.

On peut pas à la fois déplorer que la France ne marche qu’au diplôme et ne pas supporter que ton n+1 se soit par l’expérience.

Et pour le carrelage tout le monde a du mal avec les sujets de conversation de la génération d’avant.

Le fait est que les 2000 ne sont pas blasés, ils sont hautains. Ils ne se sentent liés à rien ni personne, ne sont pas habités par les sentiments d’héritage et de responsabilité.

Oui je suis d’accord qu’ils n’arrivent pas dans le meilleur contexte. Mais aucune autre génération n’a eu accès à autant de moyens et de connaissances.

Mais aucune autre génération n’a eu accès à autant de moyens et de connaissances.

Ca c'est vrai.

Je C/C un post d'un forumeur :

"Il n’y a pas de question plus embrouillée, en France, que celle du travail. Il n’y a pas de rapport plus tordu que celui des Français au travail. Allez en Andalousie, en Algérie, à Naples. On y méprise le travail, au fond. Allez en Allemagne, aux États-Unis, au Japon. On y révère le travail. Les choses changent, c’est vrai. Il y a bien des otaku au Japon, des frohe Arbeitslose en Allemagne et des workaholics en Andalousie. Mais ce ne sont pour l’heure que des curiosités.
En France, on fait des pieds et des mains pour grimper dans la hiérarchie, mais on se flatte en privé de n’en ficher pas une. On reste jusqu’à dix heures du soir au boulot quand on est débordé, mais on n’a jamais eu de scrupule à voler de-ci de-là du matériel de bureau, ou à ponctionner dans les stocks de la boîte des pièces détachées qu’à l’occasion on revend. On déteste les patrons, mais on veut à tout prix être employé. Avoir un travail est un honneur, et travailler une marque de servilité.
Bref : le parfait tableau clinique de l’hystérie. On aime en détestant, on déteste en aimant. Et chacun sait quelle stupeur et quel désarroi frappe l’hystérique lorsqu’il perd sa victime, son maître. Le plus souvent, il ne s’en remet pas. "

Je C/C un post d'un forumeur :

"Il n’y a pas de question plus embrouillée, en France, que celle du travail. Il n’y a pas de rapport plus tordu que celui des Français au travail. Allez en Andalousie, en Algérie, à Naples. On y méprise le travail, au fond. Allez en Allemagne, aux États-Unis, au Japon. On y révère le travail. Les choses changent, c’est vrai. Il y a bien des otaku au Japon, des frohe Arbeitslose en Allemagne et des workaholics en Andalousie. Mais ce ne sont pour l’heure que des curiosités.
En France, on fait des pieds et des mains pour grimper dans la hiérarchie, mais on se flatte en privé de n’en ficher pas une. On reste jusqu’à dix heures du soir au boulot quand on est débordé, mais on n’a jamais eu de scrupule à voler de-ci de-là du matériel de bureau, ou à ponctionner dans les stocks de la boîte des pièces détachées qu’à l’occasion on revend. On déteste les patrons, mais on veut à tout prix être employé. Avoir un travail est un honneur, et travailler une marque de servilité.
Bref : le parfait tableau clinique de l’hystérie. On aime en détestant, on déteste en aimant. Et chacun sait quelle stupeur et quel désarroi frappe l’hystérique lorsqu’il perd sa victime, son maître. Le plus souvent, il ne s’en remet pas. "

Enorme soutien aux 2000 et 2000+ qui trollent ou foutent la merde dans le monde satanique du travail + font rager tout ces bureaucrates en costards qui sont habitués à voir que ce qu'ils veulent voir ou entendre que ce qu'ils veulent entendre. :play:

Ils mériteront le respect que quand ils feront travailler les gens dans de bonnes conditions + payeront bien et pas au minimum + bonnes horaires et pas esclavagistes. :ok:

Respect qu'aux rares vrais patrons/responsables qui font leur maximum pour qu'il y ait une belle ambiance,qui ne traitent pas les gens comme des esclaves ou des machines et ou la vraie méritocratie(et pas promotion canapé ou promotion baise)s'applique dans leurs entreprises.

Le 08 décembre 2023 à 12:28:21 :
Enorme soutien aux 2000 et 2000+ qui trollent ou foutent la merde dans le monde satanique du travail + font rager tout ces bureaucrates en costards qui sont habitués à voir que ce qu'ils veulent voir ou entendre que ce qu'ils veulent entendre. :play:

Ils mériteront le respect que quand ils feront travailler les gens dans de bonnes conditions + payeront bien et pas au minimum + bonnes horaires et pas esclavagistes. :ok:

Respect qu'aux rares vrais patrons/responsables qui font leur maximum pour qu'il y ait une belle ambiance,qui ne traitent pas les gens comme des esclaves ou des machines et ou la vraie méritocratie(et pas promotion canapé ou promotion baise)s'applique dans leurs entreprises.

C E C I

Le 03 novembre 2023 à 20:57:03 :
Je C/C un post d'un forumeur :

"Il n’y a pas de question plus embrouillée, en France, que celle du travail. Il n’y a pas de rapport plus tordu que celui des Français au travail. Allez en Andalousie, en Algérie, à Naples. On y méprise le travail, au fond. Allez en Allemagne, aux États-Unis, au Japon. On y révère le travail. Les choses changent, c’est vrai. Il y a bien des otaku au Japon, des frohe Arbeitslose en Allemagne et des workaholics en Andalousie. Mais ce ne sont pour l’heure que des curiosités.
En France, on fait des pieds et des mains pour grimper dans la hiérarchie, mais on se flatte en privé de n’en ficher pas une. On reste jusqu’à dix heures du soir au boulot quand on est débordé, mais on n’a jamais eu de scrupule à voler de-ci de-là du matériel de bureau, ou à ponctionner dans les stocks de la boîte des pièces détachées qu’à l’occasion on revend. On déteste les patrons, mais on veut à tout prix être employé. Avoir un travail est un honneur, et travailler une marque de servilité.
Bref : le parfait tableau clinique de l’hystérie. On aime en détestant, on déteste en aimant. Et chacun sait quelle stupeur et quel désarroi frappe l’hystérique lorsqu’il perd sa victime, son maître. Le plus souvent, il ne s’en remet pas. "

C'est qui le forumeur qui à écrit ça ?

Le 01 janvier 2024 à 21:34:10 :

Le 03 novembre 2023 à 20:57:03 :
Je C/C un post d'un forumeur :

"Il n’y a pas de question plus embrouillée, en France, que celle du travail. Il n’y a pas de rapport plus tordu que celui des Français au travail. Allez en Andalousie, en Algérie, à Naples. On y méprise le travail, au fond. Allez en Allemagne, aux États-Unis, au Japon. On y révère le travail. Les choses changent, c’est vrai. Il y a bien des otaku au Japon, des frohe Arbeitslose en Allemagne et des workaholics en Andalousie. Mais ce ne sont pour l’heure que des curiosités.
En France, on fait des pieds et des mains pour grimper dans la hiérarchie, mais on se flatte en privé de n’en ficher pas une. On reste jusqu’à dix heures du soir au boulot quand on est débordé, mais on n’a jamais eu de scrupule à voler de-ci de-là du matériel de bureau, ou à ponctionner dans les stocks de la boîte des pièces détachées qu’à l’occasion on revend. On déteste les patrons, mais on veut à tout prix être employé. Avoir un travail est un honneur, et travailler une marque de servilité.
Bref : le parfait tableau clinique de l’hystérie. On aime en détestant, on déteste en aimant. Et chacun sait quelle stupeur et quel désarroi frappe l’hystérique lorsqu’il perd sa victime, son maître. Le plus souvent, il ne s’en remet pas. "

C'est qui le forumeur qui à écrit ça ?

https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1234131725

Le 15 septembre 2023 à 21:40:20 :
Je suis un 87, j'ai commencé à bosser en 2008 dans le privé, je me défonçais, heure supp, prise d'initiative.
Résultat, on me filait toujours plus de travail et de responsabilité sans augmentation de salaire tandis que ceux qui en foutaient le minimum étaient laissé tranquille :)

Maintenant je bosse dans une grosse boite public, j'en fout le minimum, 3 jours de télétravail par semaine, horaires flexible, mon chef qui me dit que je peux me pointer à 10h si je veux tant que le taff est fait, les 35h je les fais jamais https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png

Moi j'ai eu l'agréable surprise d'être bien augmenté + petite promotion (pas un changement de poste) alors que j'ai jamais rien demandé. Par contre, j'avais un chef vraiment top

Cette année, j'ai continué dans la même lignée mais nouveaux chefs, nouveau management. Je suis pas sûr du tout d'être récompensé comme avant :peur:

Perso ça ne me dérange pas, je préfère que chacun s'ignore dans une paix tranquille plutôt que d'alimenter une feinte et artificielle affabilité https://image.noelshack.com/fichiers/2022/38/4/1663852709-golemabasourdi.png

NewEra_7
NewEra_7
MP
CiterBlacklisterAlerte
Niveau 18
16 janvier 2024 à 13:40:33

Attendez les 2K5 2K10

Là ca va être un carnage. :noel:

Le 01 janvier 2024 à 21:34:10 :

Le 03 novembre 2023 à 20:57:03 :
Je C/C un post d'un forumeur :

"Il n’y a pas de question plus embrouillée, en France, que celle du travail. Il n’y a pas de rapport plus tordu que celui des Français au travail. Allez en Andalousie, en Algérie, à Naples. On y méprise le travail, au fond. Allez en Allemagne, aux États-Unis, au Japon. On y révère le travail. Les choses changent, c’est vrai. Il y a bien des otaku au Japon, des frohe Arbeitslose en Allemagne et des workaholics en Andalousie. Mais ce ne sont pour l’heure que des curiosités.
En France, on fait des pieds et des mains pour grimper dans la hiérarchie, mais on se flatte en privé de n’en ficher pas une. On reste jusqu’à dix heures du soir au boulot quand on est débordé, mais on n’a jamais eu de scrupule à voler de-ci de-là du matériel de bureau, ou à ponctionner dans les stocks de la boîte des pièces détachées qu’à l’occasion on revend. On déteste les patrons, mais on veut à tout prix être employé. Avoir un travail est un honneur, et travailler une marque de servilité.
Bref : le parfait tableau clinique de l’hystérie. On aime en détestant, on déteste en aimant. Et chacun sait quelle stupeur et quel désarroi frappe l’hystérique lorsqu’il perd sa victime, son maître. Le plus souvent, il ne s’en remet pas. "

C'est qui le forumeur qui à écrit ça ?

https://lafabrique.fr/wp-content/uploads/2017/05/pdf_Insurrection.pdf

Données du topic

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GalaXieDeGlace
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24 juillet 2023 à 19:50:24
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