[CELESTIN] Maman vous envoie à l'aventure.

Partie 37
'B) Congédier tout vos amis.

- Je … écoutez, j’en peux plus. Je veux pas vous emmener à la mort avec moi. Je … je vais continuer seul. Rentrez tous chez vous. Je ne suis plus digne de votre confiance. Partez.

Le silence tombe sur vos compagnons. Ils échangent des regards désemparés.

- Quoi ? Mais … non ?

- Je veux buter le dragon moi !

- Mais on va tous y passer !
Alors partez, restez en vie ! Moi j’en ai jamais eu de vie ! Alors autant que je ma perde dans un combat héroïque …

Falwe s’approcha de vous.

- Va t’en. Sauf si tu veux qu’on ai un moment d’intimité nous deux avant qu’on se sépare. Je veux que vous soyez tous en vie.

- Célestin …

L’elfe vous prit dans ses bras, mettant votre tête sur son épaule.

- Célestin … je t’ai dit qu’on le ferait après la quête. Ça implique qu’il faut que tu sois encore en vie. Et je vais m’assurer de ça. On est ensemble. On est un groupe.

- T’as changé la vie de chacun d’entre nous. On te laissera pas tomber.

- Et on a un dragon à buter.

- Je … je …

Encore une fois, vos yeux vous trahissaient, et les larmes roulèrent abondamment. Mais en silence cette fois. La tendresse de Falwe vous touche au plus profond. C’est elle le pilier émotionnel du groupe, le ciment. Votre épée tomba de vos mains.

- On est là. Ensembles. Et on ira, ensembles, prendre ce dragon des mains du seigneur Laink.

- Oui … oui.

Vous quittiez les bras confortables de l’elfette, et séchiez vos larmes.

- Aller.

Vous ramassiez votre lame, repreniez vos esprits, et la tête de la troupe.

- Le village Orc était le dernier repaire de civilisation, n’est-ce pas ?

- Oui. En-dessous, il n’y a plus rien. Nous sommes livrés à nous mêmes.

- Qu’est-ce qu’on peut croiser comme créatures dans les cavernes du désespoir ? En dehors de la plante infernale ?

- Bien évidemment des pétrophages et des multiplas, mais ils est rare qu’ils s’aventurent en bas. En dehors de ça, on entends toutes choses sur ce qu’il se trouve en bas. Certains disent qu’on y trouve des fantômes. Mais le principal danger, c’est la rivière, qui se découpe en plein de petits bars, inonde des galeries entières, et charrie toute sortes de déchets.

- Quoi comme ?

- Tout, vraiment. Ça fait qu’on a une faune semi-aquatique importante. Et de ces poissons, batraciens, et autres, se nourrissent des gobelins primitifs.

- primitifs ?

- Oui, ils sont encore à l’état sauvage.

- Tu connais un endroit ou on pourrait entrer dans ce niveau des cavernes ?

- Oui, bien entendu.

Vous suivez Gormeno. Vous ne prêtiez même plus attention au chemin. Peu importais, de toute façon. Vous verriez bien au retour, s’il y en avait un, comment vous en sortir.

- C’est une des entrés. Si vous avez des lunettes de vision nocturne, c’est maintenant qu’il faut les mettre.

- On a prévu le coup. Cäalix, tu en as ?

- Oui, j’ai précieusement gardé les miennes.

Vous considériez l’entré. Une galerie comme une autre, simplement, une seule chose changeait : la lumière de la torche semblait s’arrêter brusquement comme sur un mur empêchant toute lumière d’y pénétrer. Vous décidiez de réaliser un test. Avec votre torche, sans mettre les lunettes de vision nocturne, pénétrez dans les ténèbres. Instantanément, votre vue se brouille, et plus rien n’agite vos nerf oculaires. Vous êtes aveugle. Même la torche, que vous sentez pourtant brûler, n’émet aucune lumière. Vous mettez les lunettes de vision nocturne, et scrutez les cavernes aux alentours.

- C’est bon, vous pouvez venir. Je ne vois encore aucun danger.

Vos trois compagnons vous rejoignent dans le dernier niveau des cavernes, avant la faille, et le dragon. Si vous n’y voyez rien, et revanche, vous entendez très bien. Trop bien. Chacun de vos pas, chacun de vos mouvement semble résonner jusqu’à l’infini, se répétant, rebondissant contre les parois rocheuses des cavernes. Vous entendez votre coeur battre, vous sentez votre propre respiration sur votre corps, vous percevez presque le battement de coeur des autres rien qu’à l ‘ouïe.

Vous communiquez en chuchotant, et encore, cela vous semble encore trop fort. Vous avez la sensation de troubler le sommeil d’un lieu sacré, endormi depuis des éons. Et puis, viens le premier des derniers choix. Un simple embranchement. Mais à ce stade, vous savez que chaque erreur peut vous coûter très cher.

- On prend quel chemin ? Chuchote Cäalix.

- Le premier est inondé, mais praticable, le second est couvert de racines, et de tiges.

- L’un comme l’autre, on devra affronter des dangers mortels.

- Oui. Célestin, c’est toi le chef. Nous avons confiance en ta décision, quelle qu’elle soit. Tu nous a jusqu’ici mené à bon port.

- Que dit ton nez, Cäalix ?

- Kalara se trouve dans le chemin de végétal.

A) le chemin inondé
B) le chemin couvert de racines et de tiges végétales.

Le 29 janvier 2023 à 14:08:39 :
A

Le 30 janvier 2023 à 13:04:33 :
A

Le 30 janvier 2023 à 22:21:39 :
Vote A

Je suis un vrai leader d’opinion ici

Partie 38 : A, le chemin inondé

- Si Kalara est prêt de la plante de mort, on doit éviter ce chemin à tout prix. Prenons le chemin inondé.

- Allons-y.

Vous pénétrez dans la galerie. Les parois sont glissantes, et dans les nuances de verts que vous transmettent les lunettes de vision nocturne, vous distinguez une eau calcaire couler par endroit sur le murs. Un premier cristal, vert, comme tout le reste, attire votre œil. Il grossi en réalisant des triangles, des pyramides à base triangulaire. L’eau vous arrive désormais à la cheville. Tout ce que vous pouvez entendre, c’est le remous de vos pas dans l’eau saumâtre de la galerie, et les gouttes tombant des stalactites aux stalagmites.

- On n’a encore rien croisé de méchant, pour le moment.

- Tout ce qu’il y a, c’est quelques poissons, nageant dans au fond de l’eau.

Vous arrivez à un croisement. Rien de bien méchant.

- Bon, comme on en est au dernier niveau, j’aimerais qu’on se perde pas, même si on n’a pas de carte. Le roi, avant de partir nous avait à tous donné un marteau et un burin, afin qu’on puisse prélever des échantillons à lui ramener.

- Certes.

- On va donc marquer un numéro, à la gauche de chaque tronçon, dans le calcaire de la roche, et ce aux deux extrémité dudit tronçon. Si on a besoin de revenir sur nos pas, il nous suffira de remonter vers les chemins aux numéros les plus petits.

- Très bonne idée, j’approuve.

Vous empoignez marteau et burin, et dans le silence de mort des galeries, commencez votre trait.

- En espérant que ce vacarme n’alerte pas de créatures hideuses.

- Je remarque, en passant, qu’on ne trouve plus d’infrastructure naine depuis un moment déjà.

- La porte d’entrée au cavernes sombre est scellée, et gardé, j’imagine que ça n’est pas pour rien.

- On a des visites naines régulières, au village. Ils s’aventurent rarement au-delà des cavernes sombres, et c’est toujours pour de grandes occasion qu’une expédition est montée vers les cavernes du désespoir.

- On va prendre le premier passage à gauche, qu’on numérotera 2. Puis, on mettra au prochain embranchement, les numéros 2,1, 2,2, 2,3, etc … C’est compris ?

- Clair comme de l’eau de roche.

- Et on numérote ainsi les deux autres tunnels de ce carrefour, les 3 et 4.

Vous reprenez votre travail de gravure, vous doutant bien qu’un jour ou l’autre, quelqu’un passera derrière vous, et utilisera à son tour les numéros. Ils seront peut-être utilisé, et suivis par des générations de nains, qui feront des cartes détaillés des tunnels, et des siècles plus tard, les premiers traits gravés dans la roche, seront peut-être toujours là, présent, prêts à servir quiconque se serait perdu.

- C’est terminé. Tout est numéroté comme il faut.

- Alors continuons.

Vous continuez dans le dédale. Les carrefours sont nombreux, mais votre travail de numérotation ne cesse, et vous en êtes bientôt au tunnel 2,1,1,1,1,1. Tunnel qui s’enfonce dans l’eau subitement.

- Bon, qui est prêt à aller voir ce qu’il y a de l’autre côté ?

- Pourquoi tu n’irais pas toi ?

- J’ai une armure trop lourde, et ça prendrais trop de temps de l’enlever. Ça ferait aussi une protection en moins pour vous.

- Honnêtement, personne a vraiment envie d’y aller.

- C’est vrai que toi avec ta longue robe, tu risque pas non plus d’aller très loin.

- Bon j’y vais si vous rechignez tous.

Le groupe acquiesce. Vous donnez un couteau à Gormeno. Des fois que sa masse ne suffirait pas. Il plonge, et disparaît. Vous n’êtes pas serein. Vous entendez comme des remous dans l’eau, réguliers.

- On fait quoi s’il ne revient pas ?

- On … on abandonne ce chemin. Ça serait une perte de trop, et ça voudrait dire qu’il n’y a aucune issue derrière cette eau.

- Tu l’abandonnerais ? Et si ce qu’on cherchais était derrière ? Et si il n’est pas mort mais qu’au final on est parti trop tôt, et qu’il revient ?

- Il sait où est son village depuis l’entré aux cavernes du désespoir, et j’espère qu’il a compris comment les numéros le guiderons. Il pourra rentrer sain et sauf.

- Sauf s’il tombe sur un pétrophage.

- … Oui…

La surface de l’eau remue, et il en sort rapidement, un Gormeno tenant fièrement un poisson de la taille de sa jambe, encore vivant.

- J’ai trouvé le dîner.

- et l’autre côté, c’est sécurisé ? On peut y aller ?

- Oui, aucun problème. Ça remonte, et il n’y a qu’un mince filet d’eau, coulant vers les profondeurs.

- Oui, il faut qu’on suive le courant, en nous enfonçant plus bas, on pourra la trouver, notre faille.

- Bon. Alors on peut se mettre à poil, et faire plusieurs voyages ?

- Oui, sans problèmes.

Vous débouclez votre ceinture, enlevez vos pièces d’armures, et bientôt, vous vous retrouvez presque nu dans la galerie. Vous vous sentez observé, et pas par Falwe. Celle-ci s’est aussi dévêtue, et a délicatement plié sa robe, révélant ses formes féminines. Cäalix est déjà passée de l’autre côté.

- Tu … tu sais Falwe, à propos des mages noirs …

- Oui ?

- Tu sais que je suis toujours puceau …

- Célestin, on va pas revenir dessus à chaque fois qu’on est seuls …

- Je voulais juste te donner une information en plus.

- Accouche.

- Les mages noirs, obtiennent leurs pouvoirs après leur 30ème anniversaire de pucellerie. Et plus ils sont frustré dans la vie, plus ils seront puissants, et dangereux.

- Et ils veulent faire de toi un mage noirs en te corrompant, j’ai bien compris. Et il nous reste combien de temps avant ton 30ème anniversaire ?

- Avec les deux mois de trajet de Scheizügel à Isskalladur, plus le mois de glandouille à Mezdiérazel, si on compte en plus un mois pour tout le reste, on doit être à 8 mois restants.

- Faut pas trop traîner donc, mais on a le temps.

- Mais faut pas trop traîner. Autre chose …

- Oui ?

- Pour empêcher la transformation, avant le 30ème anniversaire, l’homme puceau doit se dépuceler avec une femme. Ça marche pas si c’est homo.

- Je vois.

- Et il me semble, mais je n’en suis pas certain, qu’un mage noir doit rester puceau à vie pour conserver ses pouvoirs.

- Je comprends … Mais, nous devons passer de l’autre côté, les autre vont nous attendre.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/32/5/1565329062-64.png

Après quelques aller-retours, faits une dague à la taille, au cas ou un intrus vous surprendrais, vous vous retrouvez de l’autre côté de la flaque, toutes vos affaire prêtes, Mais malheureusement mouillées.

- Je propose qu’on s’arrête ici. On va dormir un peu, faire cuire le poisson et sécher nos vêtements autant que possible.

- Je suis pour. On va pas rester avec nos fringues mouillées, on va attraper froid.

- ça serait con de mourir d’une hypothermie alors qu’on en est au dernier niveau.

Sur cet accord général, Vous trouvez une galerie un peu plus large et un peu plus sèche, dans laquelle vous pourrez sécher et dormir à volonté. Dans l’immense silence des galeries, vous déployez un camp de fortune, et allumez un feu avec ce que vous avez. Vous décidez des tours de garde, et rapidement, viens votre tour d’aller au pieu. Néanmoins, vous n’avez pas l’esprit tranquille.

A) Inviter Falwe à une petite baise de derrière les fagots.
B) Aller voir si vous êtes vraiment suivis.
C) Tenir compagnie à Cäalix, qui est de garde.
D) Papoter avec Gormeno, vous le connaissez pas très bien, après tout

Le 08 février 2023 à 13:24:41 :
A

c'était sûr ahient

Le 08 février 2023 à 13:54:22 :

Le 08 février 2023 à 13:24:41 :
A

c'était sûr ahient

Partie 39 : un peu de A, un peu de B

Vous jetez un coup d’oeil à Gormeno. Celui-ci dort profondément. Mais pas Falwe.Vous vous approchez de l’oreille de l’elfette, et lui chuchotez :

- Rejoins moi à l’extérieur du campement … Si tu es intéressée …

Vous écartez les vêtements sur votre chemin, et vous retrouvez en slip derrière un rocher mouillé, près du campement. Cäalix ne vous a pas vu sortir. Vous lui parlerez de ceci plus tard, l’instant ne s’y prête pas.

«  Bon, Célestin, qu’est-ce que tu va pouvoir inventer pour la séduire ? Elle est pucelle, donc elle a jamais vu un chibrax. D’un autre côté, elle doit bien savoir comment ça fonctionne, donc juste avoir la gole n’ l’impressionnera pas. Voyons, Célestin, réfléchis …  »

Falwe sort à son tour du campement, en culotte, sans haut. Elle vous voit, un petit sourire se dessine sur ses lèvres.

«  Vite, vite, vite !! Voyons, elle a jamais passé de moment intime avec un homme, peut-être que … l’hélicobite ! Au mieux on baise, au pire elle se marre ! Aller, on est tipar balthazar !  »

Vous imprégnez un mouvement rotatif à votre bassin, et rapidement, votre chibrax en demi-molle atteint le stade de pale d’hélicoptère. ( Vous ne savez pas ce qu’est un hélicoptère, mais admettons. ) Falwe vous voit exécuter ces étranges mouvements.

- Qu’est-ce que tu fais Célestin ? Tu ne te masturbes pas, j’espère ?

- ooooh Non. Je vais te montrer quelque chose que personne ne t’as jamais montré, qu’aucun elfe n’oserais faire devant toi …

- Je t’attends …

Vous sortez de derrière le rocher, à poil, et continuez les mouvement de bassin.

«  Le moment décisif  »

Falwe pouffe.

- Je- … je n’avais jamais vu ça, c’est …

Elle s’arrête, et continue d’observer votre entrejambe, comme hypnotisée.

- C’est une performance artistique, à ce niveau là …

Falwe s’approche de vous, sourire aux lèvres.

- Dis-moi Célestin, t’as ton déjà …

- Déjà quoi ?

- Fait ce genre de plaisir ?

L’elfe attrape votre chibre, et doucement commence à le tripoter. Ses doigts fins sur votre gland caleux, à force de branlette, vous excitent plus que jamais. La demi-molle se transforme et barre de fer. Malgré toute sa bonne volonté, Falwe ne sais pas s’y prendre.

- Je… c’… c’est la première fois qu’une femme me fait ça.

- Je vois ça.

- Tu n’es pas à l’aise, si ? Je peux te montrer comment faire.

- Montre-moi comment tu l’aime, ta branlette.

Vous prenez la main de l’elfette, et guidez le mouvement, et la vitesse. L’appui sur le gland, la prolongation du mouvement sur toute la longueur, vous lui enseignez tout. Vous relâcher ses mains, et la laissez faire. Vos leçons semblent être efficaces. Vous êtes plus dur que jamais. Ses mains délicates vont et viennent, sur votre corps caverneux. Ça y est, vous avez connu le toucher agréable d’une femme. Vous êtes parmi les grands de ce monde. Vous êtes un roi sur son trône, auquel on donne plaisir, vous êtes le conquérant du continent opposé. Tout votre esprit s’assemble dans votre gland, comme pour être touché tout entier par les mains douces de l’elfette, comme pour que chaque part de votre être spirituel se dépucelle du toucher féminin. La pression monte, vous avez chaud. D’un mouvement de bassin, instinctif, vous libérez l’écume de toute votre mer de frustration. Une vague, un tsunami se répand sur vos terres, sur votre royaume, sur vos colonies, votre conquête. Ils se répandent partout dans votre royaume, affirmant ainsi l’appartenance de ces collines, montagnes et fossés boisés, à votre famille, à votre sang.

- Ce… c’était comment ?

Vous revenez à la réalité, et admirez la généreuse poitrine de Falwe, dégoulinante.

- Je… magnifique… je- je vais t’aider à nettoyer tout ça.

- C’est un peu sale quand c’est au mauvais endroit.

Vous cherchez un savon dans le campement, et revenez. Falwe s’est déjà rincée avec l’eau de la rivière. Vous lui tendez le savon.

- Je crois qu’on a passé cette étape non ?

Falwe attrape votre main, et la mets sur sa poitrine.

- Tu peux m’aider à me savonner, si tu veux bien.

Vous passez le savon sur les seins rebondis de l’elfette, et faites mousser le tout en les malaxant entre vos mains. La toilette se résume entre caresses intimes et rinçage sensuels de vos deux corps. Finalement, vous retournez au campement, pour y terminer la nuit. Vous retournez dans votre couchage. Falwe se rapproche de vous, jusqu’à dormir à vos côtés. Vous prenez votre courage à deux mains, et passez votre bras autour d’elle.

- J’ai une question, Célestin …

- Moui … ?

- C’est pas dépucelé, tant qu’il n’y a pas eu de rapport vaginal ?

- Je … je crois pas, non.

- Hmm…

Sur ces paroles, l’efle s’endort rapidement. Pas vous.

«  Attend, ça veut dire quoi ? Que tant qu’elle est pas dépucelé, elle ne prends pas notre relation au sérieux ?  »

- Célestin ? C’est ton tour de garde.

- Je… j’arrive.

Vous enfilez rapidement votre armure et sortez du campement.

- Soyez plus discrets la prochaine fois, avec Falwe.

- Vous vous draguez bien sous notre nez avec Gormeno.

La louve vous sourit, et rentra au campement. Vous vous posez sur la même pierre ou elle s’était assise, et repensez à ce qu’il s’était passé auparavant.

«  Si ça compte pas comme un dépucelage, alors ça compte comme quoi ? Pourquoi elle pose cette question ? Peut-être qu’elle voulait vraiment me dépuceler au final, mais qu’elle ne sais pas comment sont considérés les choses. Mais de l’autre côté, elle disait ça comme si elle essayait de se rassurer …  »

Vous entendez un clapotis irrégulier dans l’eau. Cette fois c’est certain, vous êtes observés. Vous réajustez vos lunettes, et épée en main, avancez lentement vers la source des bruits. Vous scrutez la pénombre des cavernes, reflétée en vert sur vos yeux. Au fond, vous voyez une ombre se dissimuler dans les replis calcaire de la galerie. Vous avancez, prudemment. Ça n’est qu’un gobelin. Aveugle. Il vous renifle, et vous tâte, afin de mieux vous percevoir. Vous ne vous en formalisez pas, rassuré que votre poursuivant soit inoffensif, et rangez votre épée. Vous retournez vers le campement, mais le gobelin vous tire votre armure, comme s’il voulait que vous veniez avec lui. Il grogne dans un langage qui semble cohérent, mais qui vous est incompréhensible. Il semble vouloir votre aide.

A) le suivre
B) rester au campement
C) le suivre avec vos compagnons
D) rester au campement et en parler à vos compagnons le lendemain.