[CELESTIN] Maman vous envoie à l'aventure.

Le 17 septembre 2022 à 20:59:19 :
Il manque la partie 19

elle saute tout le temps la partie 19, je sais pas pourquoi
y'a rien de choquant dedans, et je reçois jamais rien quand elle se fait supprimée.
les admins qui shadowbanent

Partie 21

b) demander les actualités

- Sinon, il se passe quoi dehors ? Quelles sont les dernières nouvelles ?

- Les ventes de cristal de vie et celui de mort on été retardés d’une semaine. Le maire de la ville à entendu ce qu’il s’était passé et a décidé de nous remercier. Darius et Morlyor sont partis à la mairie, voir ce qu’il en retourne. Ils ne devraient plus tarder.

- C’est sympa de sa part.

- Oui. En revanche, les mages noirs et les Kalkosard n’ont pas étés retrouvés. On pense que les Kalkosards sont partis vers les cavernes sombres, mais on a aucun indice pour les mages noirs.

- C’est le marché qu’on entends en bas ?

- Oui. Tu veux que j’aille te chercher quelque chose ?

- Non, rien en particulier. On a des nouvelles de la surface ?

- Quelques-unes, mais elles sont pas fraîches. Le roi nous soutient toujours, convaincu qu’on y arrivera. La nouvelle des Kalkosards à fuité, on imagine que les Marinéens vont vouloir mettre leur hommes sur le coup. Darius a aussi parlé d’un certain Laink, qui pourrait envoyer une ou deux phalanges à notre poursuite, s’il ne vient pas lui-même. Et globalement, le fait que le ce Laink s’y intéresse, fait que tout les autres pays en mesure d’envoyer des hommes s’intéressent aux profondeurs d’Iskalladur.

- Ah o-oui quand même, on e-est plus sur la même échelle là.

- Non. Le comité d’accueil à la remonté risque d’être épicé.

- Et toi ? Plus de mercenaires à tes trousses ?

- Je sais pas. J’imagine qu’il sont pas encore arrivés. Mais oui, ça fait un moment qu’on en a plus vu. Tu comptes faire quoi pendant les trois jours ici ?

- Je penses que je vais potasser mon livre de sort. C’est à peu près tout ce que j’aurais à faire.

- On peut entrer ?

C’était Darius et Morlyor.

- Ah bah les voilà. Entrez, entrez.

- Alors, comment se porte notre Célestin national ?

- Je suis immobilisé pour trois, et je ne dois pas me servir trop de mon bras gauche pendant un mois.

- hmmm. On va donc devoir attendre que tout le monde soit rétabli.

- Oui, il vaut mieux rester ici plutôt que de partir blessé. Souligna Morlyor.

- Bref, nous revenons de la mairie. On nous a offert six places gratuites pour les ventes de cristaux de vie, pensant ue Onech et Gilgacheum ne seraiont pas rétablit d’ici là. Le maire a tenu à nous offrir en plus un petit cristal de vie avec.

- Je peux voir ?

- Bien sur.

Morlyor sorti de son sac une petite boîte noire, qu’il ouvrit. Dans son écrin se trouvait un petit cristal, long d’une phalange, d’un vert étincelant. Vous le preniez délicatement entre vos doigts, et le dirigez vers la lumière filtrant à travers la fenêtre. Vous y apercevez des filaments, flottants dans le cristal comme s’ils flottaient dans un liquide.

- C’est les mêmes trucs qu’ils utilisent sur les voilures des navires volants, pour manier le niveau de vivacité des pétales de Xergaya.

- Et ça peut nous servir à quoi ?

- Plein de choses, je penses qu’il serait plus judicieux de demander à un spécialiste lors de la vente des cristaux de vie.

- Tiens, j’y pense, on fait comment pour la carte ?

- Je recopierai celle du groupe d’Onech.

- Si on doit rester ici un mois, on va devoir travailler un minimum.

- Encore ?

- de quoi tu te plains, la dernière fois tu avais travaillé à la bibliothèque royale !

- Aha, o-oui, héhé…

- Bof, personnellement il me suffira de trouver la carrière la plus proche pour être embauché.

- Comme vous le savez, j’ai pas vraiment besoin de me nourrir pour survivre, mais j’avoue qu’avoir quelques pécules en plus ne me fera jamais de mal.

- D’ailleurs, j’aimerais bien en savoir plus là-dessus ? Qu’est-ce que c’était cette histoire de décomposé ?

- Aha. Je t’explique.

Il s’assit au bord du lit.

- Si je suis ici, c’est que ni le paradis ni l’enfer n’ont voulu de moi. Tout comme Onech et Gilgacheum. J’en suis actuellement à ma seconde vie.

- Mais pourquoi n’ont-ils pas voulu de toi ?

- Aha, tout simplement parce que dans ma première vie j’étais un être si malsain et si horrible que les dieux ont décidé que l’enfer était un châtiment trop doux pour moi. Alors ils m’ont renvoyé ici, pour racheter tout le mal que j’ai fait. Il m’ont donné un siècle pour ça.

- ça me semble léger comme châtiment. Tu étais qui avant ? Demanda Falwe sèchement.

- Ne soit pas si dure avec moi. Ils ont aussi décidé de quelques malus. Notamment la douleur. Je ressent une douleur dix fois plus intense qu’avant. Mais ce n’est pas tout. Je ne ressent plus rien en dehors de la douleur.les goûts et les sensations me sont désormais inconnues.

- Ah …

- Pour répondre à ta seconde question, j’étais l’amant de la fille du roi de l’île des hommes-ailés.

- Personne n’ a jamais mit les pieds sur cette île.

- Si, moi. Mon but était d’ouvrir au monde cette île, et mariant la fille du roi, l’obligeant ainsi. Bon, ça a mal tourné, les tensions internes m’ont explosé à la figure, et au moment du mariage, avant de prononcer les vœux, le père est arrivé, a interrompu la cérémonie, on s’est battu, il m’a transpercé avec sa lance.

- ça me dit quelques chose. T’étais pas un fauteur de trouble diplomatique ?

- Si. Je faisais naître des conflits armés, pour mon simple plaisir ou pour les intérêts d’un clients.

- Espèce de…

- Mais maintenant c’est fini tout ça. Je suis là pour me racheter, et uniquement pour me racheter.

- C’était pour ça le marchand Asmanais au marché des cavernes banales ?

- Oui. Il était venu à la cérémonie, et à tout vu. D’où son étonnement.

- Et tu penses qu’on pourrais te faire confiance ? Qu’est-ce qui nous prouve que tu t’amuses pas à nous faire faire n’importe quoi ?

-Excepté Morlyor, vous avez tous rejoint cette quête de votre propre chef.

- Non, non, quand j’ai su que des guides seraient missionnés pour la quête, je me suis immédiatement porté volontaire.

- Donc vous êtes tous ici de votre propre chef. Ensuite, je trouve qu’on a une bonne cohésion de groupe depuis le début. Et tout ceux qu’on a affronté, je n’ai aucun emprise sur eux. Certains, je découvrais leur existence.

- Admettons.

- De toute façon, s’il est là pour se racheter, il nous aidera forcément.

-Oui, surtout que si je le fait pas, on me refait un siècle, mais avec encore plus de malus.

- C’est un bon élément du groupe. Je sais même pas si on aurait survécu sans lui à la dernière attaque.

- Tu es en train d’insinuer qu’il est clairement au-dessus de nous ?

- O-oui…

- …

- …

- Peut-être. Je m’entraînerais alors, pendant ce mois.

- ça c’est une bonne idée.

- Contre toi.

- Moi aussi ! Ça m’a l’air amusant à affronter ton pouvoir.

- … D’accord.

- Et toi Célestin, tu feras quoi une fois les trois jours écoulés ?

a) trouver un petit boulot en ville
b) vivre de vos économies

A) trouver un petit boulot en ville.

- Bof, je pense pas avoir de quoi survivre un mois, malheureusement. Il faudra que je trouve quelque chose.

-D’accord. Si tu veux on pourra t’aider à trouver du travail.

- ça serait avec plaisir.

- Bon aller, là, il se fait tard, et les patient ont besoin de repos ! Intervint le docteur à ce moment là.

Il était suivi par un mage.

-Bonjour !

- Heu… Bonsoir.

- C’est un ami. Pas toujours sur terre, mais efficace. Voilà les deux patients.

Pendant que les deux personnages s’attelaient à la difficile tâche de réveiller les deux chevaliers, vous vous plongiez dans votre livre de sort.

En plus de votre dédoublement des choses, de la boule de feu, et de l’explosion, vous vous êtes entraîné, au grand dam du médecin à invoquer un chien, qui ne peut pour l’instant que rester quelques minutes par jour avec vous, ainsi qu’un petit nuage de sauterelles attaquant la personne que vous désirez.

Vous vous êtes aussi entraîné à écrire des sorts, avec un succès variant en fonction des essais. Globalement, vous sortez instruit de magie, et de nouveaux sort. Il vous fallait bien ces quelques jours de repos, avant de reprendre la quête. En trois jours, d’ailleurs, les deux décomposés n’ont toujours pas été remis sur pieds.

- Célestin, je pense que l’aventure s’arrête ici pour nous. Vous confie Goumar. Bien que Salinius et moi-même soyons de braves guerriers, nous ne pourrons pas poursuivre sans Gilgacheum et Onech.

- Je comprend. De notre côté, nous continuerons. Quoi qu’il nous attend là-dessous, je n’ai qu’une vie, autant qu’elle serve à quelque chose.

-Oui. Tu a beaucoup évolué depuis le début de l’aventure. J’espère que tu pourras continuer sur cette voie. Quoi qu’il en soit, prends soin de toi, et des autres.

- Merci, au revoir Goumar.

- Et rappelez-vous, ne sollicitez pas votre épaule gauche avant la fin du mois ! Insista le médecin quand vous sortez.

- Vous n’avez pas à vous inquiéter pour ça ! Merci des soins !

Vous décidez de visiter un peu la ville, avant de chercher du travail. Vous admirez les beaux colombages de ces maisons, leurs pièrres taillés ou sculptés, les arches, les fenètres, les trompe-l’œil, et les toits. Cette ville respire le luxe et la richesse.

- Ah, Célestin. Viens là. Pendant que tu étais au pieu, je suis allé à la mairie, voir s’ils voudraient bien te prendre. J’ai bien plaidé ta cause, et ils sont d’accord pour te prendre à un poste administratif à faible responsabilité, dans leurs bureaux. La PLANQUE ! Tout ce qu’ils te demandent, c’est d’être propre, et de troquer ton armure contre quelque chose de moins guerrier. T’es partant ?

- Oui, m-mais, je sais pas vraiment m’habiller…

- Roooh, aller, tu pourras compter sur mes deux vies d’expérience pour te conseiller !

- A-aller

- On va trouver le tailleur le plus proche !

---------------

- …

- non, c’est trop. On va te prendre autre chose.

- Et ça ?

-c’est tout aussi pédant, mais pas de la même manière, intéressant.

- Je penses que c’est mieux qu’on parte là-dessus.

-Oui, c’est très bien.

Après une attaque cardiaque à moitié loupé en voyant le prix de la chose, vous vous dirigez vers la mairie, ou l’on vous dirige vers le bureau de l’adjoint. Malgré quelques remarques de celui-ci sur Darius, qui prend sur lui, vous êtes finalement embauché.

- Votre job est simple. Vous rédigerez les fiches d’imposition des administrés. On les envoie bientôt, donc faudra charbonner.

- D’accord.

- Vous avez un jour de congé payé pour la vente de cristaux de vie, demain. Maintenant, au boulot ! Martine vous montrera comment on fait. Hop, hop, hop !

- Salut Célestin !

- Heu, s-salut …

Vous passez votre journée à donc rédiger des fiches d’imposition. La tâche est répétitive à souhait, et vous finissez le soir par vous endormir presque sur vos fiches, bien que vous n’ayez pour ainsi dire rien fait de la journée.

Au sortir de la journée, vous voyez Darius traîner dans les rues.

- Ah Célestin. J’ai besoin de toi. Vois-tu, j’ai voulu aller chez l’apothicaire, pour faire les potions de combat. J’ai essayé deux autres fois, avec Goumar et Salinius, et sur nous trois, le mec a pas voulu nous les faire. Selon lui, on en aurait pas besoin. Donc j’aurais bien aimé essayer avec toi.

- J’aurais aimé profiter de cette journée pour aller à la vente de cristaux.

- Alors, en parlant de ça. J’ai été mandaté par les marchands pour servir de protection et d’escorte jusqu’aux cavernes banales pour les marchands qui achèterais le cristal de mort. Je serais bien entendu grassement payé, étant la seule personne aux environ à pouvoir physiquement le toucher.

- Et on peut pas attendre la fin du mois, pour faire les potions ?

- L’apothicaire part une semaine après à l’autre bout du monde, pour un ou deux ans, d’après ce que j’ai compris.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/46/7/1511116774-aragorn-2.jpg

- Et Falwe et Morlyor ?

- Ils ont aussi étés pris dans l’organisation de l’évenement. Morlyor vendra d’autres minerais, et Falwe a été mandaté pour l’accueil.

- Ah …

- Ah, et il y a un fou du village au pieds des murailles, si jamais. Le mec fait des vieilles prédiction éclatés, mais c’est toujours marrant.

A) aller voir la vente de cristaux
B) l’apothicaire et le fou du village

Le 01 octobre 2022 à 23:14:25 :
Je tiens à préciser que si vous voulez prendre d'autres décision, décidez de faire quelque chose pour la suite, ou tout simplement avoir des réponses sur le lore, c'est possible.
là on est un peu dans le ventre mou de la fic, mais c'est le contrecoup de l'action d'avant.

B l'apothicaire

Le 02 octobre 2022 à 14:05:58 :
combien de royaumes humains il y a dans ton univers l'op

je sais pas, j'ai pas encore décidé de ça, mais disont qu'entre les différentes espèces intelligentes conscientes (orc, gobelins, elfes, nains, humais et mi-hommes mi-animal, + quelques espèces secrètes ) on a une majorité d'elfes, nains et humains. les mi-hommes mi-animal sont une minorité, de part leurs origines. et les orcs et gobelins sont généralement des communautés agglomérée dans les escpaces libres, ou inoccupés par les autres races, d'ou le fait quelles soient vue commes "barbares". tu trouve souvent des orcs et des gobelins bien intégrés parmi des société "normales" d'elfes, humains et nains.

Si ça répond à ta question.

B) aller chez l’apothicaire et jeter un œil au fou du village.

- Bon. J’irais voir l’apothicaire, puisqu’il semble qu’on ait pas trop le choix.

- Merci Célestin. Avec ça on aura un gros avantage sur nos adversaires.

Vous rentrez à l’auberge, en compagnie de Darius et décidez de prendre une chambre pour le mois. Le patron, généreux vous fait une réduction sur le tarif mensuel. Afin d’occuper votre soirée, vous décidez de faire un tour au pieds des murailles.

- Tu veux voir le fou du fou village ?

- On sais jamais, ça pourrait être divertissant.

- Aha, tu vas voir.

Vous descendez au pieds des murailles, et passez la grande herse protégeant la ville. Juste là, sur votre gauche, un homme vêtu de noir et portant un chapeau déblatère des paroles sans queue ni tête.

- Rayonnemet ionique de l’antichambre,ouverture du coffre mathématique, élagation des 27 premières sous-branches de la réalité -

Il s’interrompt en vous voyant.

- Bien atteint effectivement.

- Attend, file-lui un objet.

- Quoi comme ?

-Un truc à toi auquel tu tiens pas énormément.

Vous cherchez dans vos poches, voir si quelque chose vous semble approprié. Vous sentez l’oeuf de pierre retrouvé à Beremor.

« Aya, j’ai toujours ce truc ? Bon aller, ça me sert à rien. »

Vous tendez l’oeuf à l’homme, qui l’inspecte sous toutes ses coutures, respirant comme épuisé, même de parler.

- Hhhhhh … intéresssssaaannt … hhhhh …

- Bon alors, qu’est-ce qu’il fait avec ? Vous impatientez-vous.

- Attends, regarde.

L’homme étrange pose l’oeuf sur un rocher, remonte sa robe de sorcier, puis s’assoit sur dessus.

- Mais …

- T’y tenais pas j’espère ?

- N-non, mais …

Le fou du village se met alors a émettre de la lumière, à la surprise de Darius.

- Il fait ça, d’habitude ?

- Non. C’est la première fois que je le vois faire ça.

- Destraos est de retour… hhhhhhhh … son règne arrive … hhhhhh … il a envoyé un agent … hhhhhhh … un qui a échappé … à la furie de Yörmoll … hhhhh …

Darius fut d’un coup bien plus sérieux.

- Son nom ! Dis-nous son nom !

- … hhhhhh … Je ne peux pas … Il n’est pas de notre monde… il a des alliés… hhhhhhh …. très puissants …

- Qui sont-ils ? Que veulent-ils ?

- hhhhhhhhhhhhhh … acide … guerre …

L’homme tombe à la renverse, s’éteignant, mort, les yeux encore ouverts. Vous le regardez, perplexe, puis vous tournez vers Darius. Celui-ci semble profondément troublé par ce qu’il vient de se passer.

- Le Seigneur Laink des Terres acides prépare une guerre.

- C-c’est qui Destraos et Yörmoll ?

- Destraos est le dieu du chaos, adoré par ses adeptes, les agents du chaos. Ceux-ci avaient pour but de faire régner le chaos total sur le monde. Ils répendaient le chaos, ils pensaient chaotiquement, ils étaient le chaos. Yörmoll est l’homme qui pendant toute sa vie a décidé de débarrasser le monde de ces gens-là. Il les a réuni sur une île et les a tous massacrés, y perdant sa vie. C’était après Tossir, il y a à peu près 600 ans. Ça fait 600 ans qu’on a plus entendu personne se revendiquer agent du chaos, ou avoir le comportement d’un adorateur de Destraos.

- Mais personne peux vivre 600 ans, si ?

- Si, les elfes, mais ça n’en est pas un. S’il a trouvé un moyen de passer ces 600 ans en vie, sans se faire remarquer, c’est bien plus grave qu’un simple armurier. Nous devons prévenir les autorités. Mais ce n’est pas Laink le plus inquiétant. C’est l’autre, qui est un agent du chaos avéré, et qui viendrai d’un autre monde.

Vous retournez vers la herse, et racontez tous au gardes.

- Vous savez monsieur, c’est juste un idiot qui se foutait des trucs dans le postérieur. Si on devait croire tout les diseurs de bonne aventure, ou irions-nous ? Je remonterais ça à ma hiérarchie, c’est le protocole, mais évitez de croire tout les diseurs de bonne aventure.

Vous retournez le soir à l’auberge, pensif. Les paroles de cet homme vous avaient troublé. Plusieurs question rebondissaient dans votre tête, avant que vous ne vous endormiez.
« Qui est ce Laink des Terres acide ? À quel point est-il menaçant pour que même Darius le craigne ? Qui est l’autre inconnu, cet agent du chaos ? De quel monde vient-il ?  Pourquoi tout ça nous tombe sur la figure ? Est-ce que j’aurais pas mieux fait de rester chez moi à faire des chaises en bois ? »

Tant de question, si peu de réponses.

Vous vous réveillez le lendemain, dans le tumulte de l’auberge remplie de visiteurs, et d’acheteurs en tout genre. Vous vous habillez et sortez dans la salle principale.

-Patron ?

-Ouais ?

- Vous pourriez m’indiquer le chemin pour aller chez l’apothicaire ?

Le patron attrape un morceau de papier, et vous dessine un plan sommaire de la ville, indiquant l’itinéraire de l’auberge à la boutique. Vous le remerciez et vous mettez en chemin. Une demi-heure de marche plus tard, vous voici devant l’apothicaire.

Une haute tour, attaché à une maison, servant de boutique. Dans la vitrine, diverses potions lpus ou moins ragoûtantes. Vous ne désirez pas vous attarder devant, de peur de croiser un œil ou un doigt baignant dans un liquide viole, et décidez de frapper directement. La porte s’ouvre, libérant une odeur nauséabonde, mélange de gras et d’autre chose que vous n’osez identifier.

- C’est pour quoi ?

- h-heu, bonjour, je voudrais que vous me réalisiez un potion.

- Entrez, et montrez-moi ça.

Vous pénétrez dans l’antre, agressé par la puanteur, vous manquez de vomir. Vous prenez quelque minutes à vous faire à l’odeur. L’apothicaire s’assoit dans une fauteuil moelleux, attrape une choppe de bière, et vous regarde.

- Alors, montrez-moi ça.

Vous sortez la feuille donné par Praoult, et la donnez à la main boudinée tendu vers vous. Il inspecte la recette, et se retourne vers vous.

- Aha, je vois que Praoult n’a pas chômé. Bon. Ça fera une une pièce d’argent pour trois potions.

« Mince, je sais pas combien j’en aurait besoin. Dans le doute, prenons un petit stock. »

- Vous m’en ferez douze.

- Très bien. Votre nom ?

-Célestin.

- Revenez dans une heure, tout sera fait.

Vous sortez de la boutique, à l’air pur. Les rues sont remplies de monde. On croirait voir tout les pays représentés dans cette ville, réunis pour acheter des cristaux. Vous décidez de vous promener en ville, pendant l’heure d’attente. Vous discutiez avec les passants, à propos de tout et de rien, et avant même que vous ne vous en aperceviez, l’heure était passée. Vous remontez vers la tour, payez, et récupérez vos potions.

Le reste de la journée, vous décidez de passer à la vente de cristaux. Vous croisiez fréquemment vos compagnons, et les saluiez. Puis, le reste du mois passa sans trop de remous, un peu comme une vie normale. Enfin, à la fin du mois, vous retrouviez vos amis.

- Alors, ça va mieux Célestin ?

-Oui, bien mieux, je peux à nouveau utiliser mon bras gauche. Et vous ?

-oh, quelques cicatrices, mais rien de grave.

- Pareil.

- J’ai revu Onech et Gilgacheum entretemps. Ils ont décidé de remonter, non pas pour abandonner la quête, mais pour surveiller et en apprendre plus sur le seigneur Laink. Je leur ai communiqué ce qu’avait dit le fou.

- Ils s’en sont remit donc ?

- Oui, difficilement, mais ils s’en sont remis. D’ailleurs, tu as les potions ?

- Oui, tenez, trois pour chacun.

- Et bien alors, qu’attendons-nous pour repartir ?

-Alors, justement, intervint Morlyor. J’ai bien étudié tout les chemins possibles pour accéder à la faille, et nous allons, évidemment devoir passer par les cavernes sombres, ou profondes, comme vous voulez.

Toujours est-il qu’il y fait très sombre, et qu’on y voit rien sans lumière. Mais là n’est pas le pire. Nous n’avons que deux chemin possibles. L’un est un gouffre menant directement aux cavernes du désespoir, mais il est infesté de loups prêts à bouffer tout ce qui y passe. Le second est un dédale passant sur le territoire d’une tribu orc.

- C’est pour ça qu’on s’est entraînés tout le mois, Darius et moi. On pourra y faire face.

- Je propose quand même qu’on aille faire un tour au marché, voir si on trouve des choses intéressantes. À moins que vous n’estimiez qu’on puisse y aller comme ça.

- un petit détour par le marché me semblerait des plus judicieux effectivement.

'''A) Acheter le nécessaire au marché.
B) On est suffisamment équipés, allons-y comme ça.

1) passer par le gouffre.
2) passer par la tribu orc. '''